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Nouvelles fonctionnalités de Logic Express 7.2K Apple Computer, Inc. © 2006 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Selon les lois sur le copyright, ce manuel ne peut pas être copié, en tout ou partie, sans l’accord écrit d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer, Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation du logo Apple du “clavier” (Option +1) à des fins commerciales sans l’accord écrit préalable d’Apple peut constituer une violation de marque et un acte de concurrence déloyale. Tous les efforts ont été faits pour garantir la précision des informations de ce manuel. Apple n’est pas responsable des erreurs de frappe ou d’impression. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, Final Cut, Final Cut Pro, FireWire, iBook, iMac, iTunes, Logic, Mac, Macintosh, Mac OS, PowerBook et QuickTime sont des marques d’Apple Computer, Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder et GarageBand sont des marques d’Apple Computer, Inc. Les autres noms d’entreprises et de produits mentionnés dans ce document sont des marques de leurs propriétaires respectifs. La mention de produits tiers est à titre purement informatif et ne constitue ni une approbation, ni une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité concernant les performances ou l’utilisation de ces produits. LP00002 3 1 Table des matières Préface 7 Nouvelles fonctionnalités de Logic Express 7.2 8 Vue d’ensemble des fonctionnalités de Logic Express 7.2 Chapitre 1 11 Améliorations générales 11 Mode plug and play des interfaces audio 11 Changements de l’interface 13 Barres de menus et barres de défilement masquées dans les Screensets 14 Nouvelle préférence Masquer automatiquement le Dock Chapitre 2 15 Améliorations du montage 15 Améliorations des raccourcis clavier 19 Modification de la longueur de boucle 20 Création de plusieurs pistes 21 Fonctionnalité de marqueur 22 Outil Automation 23 Suppression de films 23 Gestion des régions pour l’arrangement Chapitre 3 25 Utilisation de l’audio 25 Lecture directe des fichiers audio compressés 26 Utilisation de la fonction Suivre Tempo 28 Création plus rapide des vues d’ensemble 28 Renommer les fichiers stéréo séparés Chapitre 4 29 Utilisation des fenêtres du mixeur 29 Utilisation des performances de bande de canal 31 Sélection multiple de bandes de canaux 32 Automatisation de l’état de contournement 33 Prise en charge des objets ReWire stéréo 34 Outil Main dans le mixeur de pistes et bande de canal de l’Arrangement 35 Améliorations du bouncing Chapitre 5 39 Importation de fichiers 39 Importation de fichiers MIDI4 Table des matières Chapitre 6 41 Prise en charge des surfaces de contrôle 41 Prise en charge de surfaces de contrôle supplémentaires 42 Utilisation de la barre de contrôle des pistes 43 Nouvelle fonction de répétition de touche 43 Arrêt intermédiaire à la valeur par défaut 44 Affichage des boîtes de dialogue modales 44 Prise en charge du mode Mackie Control 45 Améliorations de l’éditeur d’assignations de contrôleur Chapitre 7 47 Utilisation de boucles Apple Loops 48 Boucles Apple Loops vertes et bleues 49 Ajout de boucles Apple Loops 50 Utilisation du navigateur de boucles 54 Création de boucles Apple Loops 69 Pistes globales et boucles Apple Loops 70 Conversion de boucles Apple Loops en fichiers audio 71 Boucles Apple Loops et fréquences d’échantillonnage 71 Fondu de boucles Apple Loops 72 Chemins des fichiers Apple Loop Chapitre 8 73 Chemins d’accès aux fichiers mis à jour 73 Préférences 73 Modèles de morceaux 74 Réglages de modules 75 Instruments GarageBand 75 Réglages de bande de canal 75 Instruments EXSP 76 Conversion d’échantillon EXSP 76 Icônes utilisateur 76 Plug-ins de surface de contrôle 76 Tuning Tables 76 Répertoires par défaut Chapitre 9 77 Améliorations des modules 77 Utilisation du gestionnaire AU 79 Utilisation de la compensation de retard de module 82 Ajustement des paramètres des modules avec la molette de la souris 82 Prise en charge des modules Générateur Audio Units 83 EXSP24 mkII 84 Instruments GarageBand 85 Amplificateur de basse 87 Nouveau module Ducker 88 Nouveau module Speech EnhancerTable des matières 5 89 Effet Améliorer le contrôle du temps 90 Effet Vocal Transformer 91 Effet Enhance Pitch 91 Curseur de mixage de Platinum Verb et Tape Delay 92 Prise en charge des instruments Audio Units multicanaux 92 Conversion des modules Audio Units EVP73, EXSP24 et ET1 Annexe 93 Corrections apportées à la documentation Logic Express 7 7 Préface Nouvelles fonctionnalités de Logic Express 7.2 Ce document décrit les fonctionnalités qui ne sont pas traitées dans les manuels de Logic Express 7. Il contient des informations détaillées sur les améliorations et modifications contenues dans les mises à jour de Logic Express publiées depuis la version Logic Express 7. Important : les descriptions de ce document remplacent les sections correspondantes des manuels de Logic Express 7 ! Pour obtenir des informations de dernière minute sur Logic Express 7.2, reportez-vous au document “Informations de dernière minute”. Ce document est publié en ligne et peut être mis à jour à mesure que de nouvelles informations sont disponibles. Vous pouvez accéder au document Informations de dernière minute en choisissant Aide > Informations de dernière minute dans Logic. Pour rester au fait des mises à jour de produits, des conseils et des techniques, rendez-vous sur le site Web de Logic Express, à l’adresse http://www.apple.com/fr/logicexpress. Ce document combine les descriptions des nouvelles fonctionnalités de Logic Express 7.1 et Logic Express 7.2 ainsi que les informations des documents “Informations de dernière minute” de Logic Express 7.0 et Logic Express 7.1. Vous disposez ainsi d’une réfé- rence unique et unifiée contenant les descriptions des nouvelles fonctionnalités et des modifications, qui seraient à défaut réparties sur quatre manuels distincts. Si seules les modifications apportées depuis la version de Logic Express 7.1 vous intéressent, reportez-vous à la section suivante. Elle contient une liste détaillée des fonctionnalités de Logic Express 7.2. Pour des informations détaillées sur ces fonctionnalités et modifications, suivez les liens des sections correspondantes. La documentation mise à jour comprend également un chapitre complet sur les boucles Apple Loops. Vous y trouverez des informations détaillées concernant tous les sujets relatifs à l’audio dans ce format.8 Préface Nouvelles fonctionnalités de Logic Express 7.2 Vue d’ensemble des fonctionnalités de Logic Express 7.2 Cette section offre une vue d’ensemble des fonctionnalités de Logic Express 7.2. Pour plus d’informations sur ces fonctionnalités et leur utilisation, reportez-vous aux chapitres correspondants de ce document. Lecture des formats de fichier compressés Logic Express 7.2 permet la lecture directe des formats de fichier compressés, tels que AAC. Ces fichiers ne doivent plus être convertis automatiquement lors de l’importation dans Logic. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Lecture directe des fichiers audio compressés” à la page 25. Performances de bande de canal Logic Express 7.2 vous permet de basculer entre les réglages de bande de canal en envoyant des messages de changement de programme MIDI. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Utilisation des performances de bande de canal” à la page 29. Basculement de l’état de contournement du logement Insertion Logic Express 7.2 vous permet d’activer ou de désactiver l’état de contournement des logements “Insertion d’objets audio” à l’aide de la valeur 64 du contrôleur MIDI. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Automatisation de l’état de contournement” à la page 32. Prise en charge des objets ReWire stéréo Logic Express 7.2 prend désormais en charge les objets ReWire stéréo, offrant ainsi plus de souplesse et une utilisation simplifiée des applications ReWired telles que Reason. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Prise en charge des objets ReWire stéréo” à la page 33. Préférence Masquer automatiquement le Dock Logic Express 7.2 offre une nouvelle préférence qui vous permet de masquer le Dock pendant l’exécution de Logic afin d’agrandir l’espace disponible à l’écran. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Nouvelle préférence Masquer automatiquement le Dock” à la page 14. Prise en charge améliorée des surfaces de contrôle Logic Express 7.2 prend désormais en charge la surface de contrôle iControl GarageBand distribuée par M-Audio. Pour plus d’informations sur les affectations de surfaces de contrôle individuelles ou sur la modification des affectations par défaut, reportez-vous au document Prise en charge des surfaces de contrôle, disponible dans le dossier Documentation du DVD d’installation de Logic Express 7.Préface Nouvelles fonctionnalités de Logic Express 7.2 9 Logic Express 7.2 comprend en outre une barre de contrôle de piste : il s’agit d’une barre colorée qui indique les pistes de la fenêtre Arrangement faisant l’objet d’un accès par une surface de contrôle. Pour des informations détaillées, reportez-vous à la section “Utilisation de la barre de contrôle des pistes” à la page 42. Logic Express 7.2 offre des modules de surface de contrôle mis à jour qui prennent en charge la fonction de répétition de touches (si cela est utile et applicable au périphérique). Lorsque cette fonction est activée, la fonction de raccourci clavier déclenchée par une affectation de contrôleur est exécutée de manière répétée aussi longtemps que le bouton ou le commutateur est maintenu enfoncé. Pour plus d’informations sur la fonction de répétition de touche, consultez la section “Nouvelle fonction de répétition de touche” à la page 43. Changements des raccourcis clavier La mise à jour Logic Express 7.2 comporte les changements de raccourci clavier suivants :  Aller au début du morceau—Nouveau  Supprimer le film—Nouveau  Enregistrer en tant que performance—Nouveau  Aller à la fin de la sélection—Nouveau. Ce raccourci clavier de l’Éditeur d’échantillons définit le SPL à la fin de la section sélectionnée du fichier audio. Le raccourci clavier de l’option “Aller à la sélection” a été renommée “Aller au début de la sélection”. Pour obtenir la liste complète de tous les changements de raccourci clavier depuis la version Logic Express 7.0, consultez la section “Améliorations des raccourcis clavier” à la page 15. Nouveau module Ducker Ce module réduit automatiquement le niveau d’un mixage musical pendant une annonce (doublage). Une fois l’annonce terminée, la musique reprend automatiquement son niveau de volume original. Les détails concernant l’utilisation du module Ducker se trouvent dans la section intitulée “Nouveau module Ducker” à la page 87. Nouveau module Speech Enhancer Ce module améliore l’intelligibilité et le son des enregistrements vocaux effectués avec les microphones Macintosh intégrés, tels que ceux des iBooks et des PowerBooks. Pour en savoir plus sur l’utilisation du module Speech Enhancer, lisez la section “Nouveau module Speech Enhancer” à la page 88. 10 Préface Nouvelles fonctionnalités de Logic Express 7.2 Le navigateur de boucles offre de nouvelles catégories d’effets sonores Logic Express 7.2 est livré avec un certain nombre de boucles Apple Loops supplémentaires, conçues pour une utilisation en tant qu’effets sonores. Ces boucles se trouvent dans la nouvelle vue Effets sonores du navigateur de boucles, lequel affiche de nouveaux boutons avec des balises spéciales pour les effets et les jingles. Vous pouvez activer cette vue du navigateur de boucles en cliquant sur le bouton Vue comportant l’icône Cloche. Le fait de cliquer sur l’icône Note bascule vers la vue Bouton des versions antérieures de Logic. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “L’interface du navigateur de boucles” à la page 50. Option Suivre Tempo pour les boucles Apple Loops La zone Paramètre de région des boucles Apple Loops avec boucle (et non les boucles one-shot) offre désormais l’option Suivre Tempo. Si cette option est désactivée, la boucle Apple Loop ne suit pas le tempo et la tonalité du morceau. Pour plus d’informations sur l’option Suivre Tempo, reportez-vous à la section “Utilisation de la fonction Suivre Tempo” à la page 26. Pour plus d’informations sur les boucles Apple Loops, reportez-vous à la section “Utilisation de boucles Apple Loops” à la page 47. L’option “Calcul plus rapide des vues d’ensemble” est enregistrée Logic mémorise désormais l’état de l’option de calcul plus rapide des vues d’ensemble dans la zone de dialogue de création de vue d’ensemble. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Création plus rapide des vues d’ensemble” à la page 28. Fenêtre “Réglages audio AAC améliorée” Logic Express 7.2 comprend une fenêtre Réglages audio AAC améliorée et unifiée qui simplifie la création de ce type de fichier compressé. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Fenêtre Réglages audio AAC rationalisée” à la page 35. Prise en charge d’un maximum de 32 sorties mono pour les instruments Audio Units Logic prend désormais en charge un maximum de 32 sorties mono pour les instruments Audio Units multicanaux. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Prise en charge des instruments Audio Units multicanaux” à la page 92.1 11 1 Améliorations générales Ce chapitre décrit toutes les améliorations générales apportées depuis la version Logic Express 7. Ces modifications rationalisent et simplifient l’utilisation et la configuration de Logic. Elles comprennent :  Mode plug-and-play des interfaces audio  Améliorations d’interface  Améliorations des préférences et des réglages de morceaux Mode plug and play des interfaces audio Logic Express prend en charge le mode plug-and-play pour les interfaces audio, ce qui permet la connexion et l’activation d’une interface audio nouvelle ou supplémentaire pendant l’exécution de Logic. Une alerte apparaît lorsque vous vous connectez à un nouveau périphérique, vous invitant à sélectionner et à configurer l’interface/le gestionnaire audio que vous souhaitez utiliser. Changements de l’interface L’interface de Logic a été améliorée dans les domaines suivants depuis la sortie de Logic Express 7:  De nombreuses zones de dialogue offrent des options supplémentaires de gestion des fichiers audio.  Les menus ont été nettoyés, certains présentent des noms plus clairs.  Cases à cocher des paramètres : les paramètres qui ne présentent que deux états s’affichent sous forme de cases à cocher. Lisez les sections suivantes pour plus de détails. 12 Chapitre 1 Améliorations générales Améliorations des zones de dialogue Un certain nombre de modifications ont été apportées aux zones de dialogue Logic suivantes :  Éditeur d’échantillons : Fichier audio > Enregistrer Sélection Sous, Fichier audio > Enregistrer une copie sous. Les deux boîtes de dialogue vous permettent de définir la fréquence d’échantillonnage souhaitée, la conversion stéréo et le type de diffusion du fichier de destination. Les zones de dialogue comportent en outre une option “Ajouter le fichier résultant dans la fenêtre Audio”.  Fenêtre Audio : Fichier audio > Enregistrer Région sous, Fichier audio > Copier/convertir le fichier sous : Les deux boîtes de dialogue offrent les menus de conversion de fichier détaillés ci-dessus pour l’Éditeur d’échantillons, ce qui permet la conversion ou la copie d’un(e) ou plusieurs régions/fichiers sélectionné(e)s. La zone de dialogue Copier/convertir le fichier sous contient également une option “Ajouter le fichier résultant dans la fenêtre Audio”.  Fenêtre Arrangement : La zone de dialogue Audio > Convertir Région en Fichier offre les menus de conversion de fichier décrits ci-dessus pour l’Éditeur d’échantillons.  La zone de dialogue Fichier > Exporter > Région en tant que fichier audio comporte l’option “Ajouter le fichier résultant dans la fenêtre Audio”. Modifications apportées aux menus L’élément de menu Audio > Réglages audio a été supprimé, car il s’agissait d’un doublon de l’élément Logic > Préférences > Audio. Les éléments de menu Logic > Préférences > Surfaces de contrôle > Détecter et Logic > Préférences > Surfaces de contrôle > Installation ont été déplacés dans le menu local Nouvelle de la fenêtre Configuration que vous retrouverez par les menus Logic > Préférences > Surfaces de contrôle > Configuration. L’élément de menu local Éditeur matriciel dans les menus Présentation > Fond blanc a été renommé en Présentation > Fond clair. Certaines boîtes de dialogue de fichiers comportent des réglages supplémentaires de conversion de fichier.Chapitre 1 Améliorations générales 13 Cases à cocher des paramètres Tous les paramètres avec seulement deux états (par exemple activé/désactivé) sont activés et désactivés avec des cases à cocher. Il suffit de cliquer dessus pour activer (case cochée) ou désactiver (case non cochée) le paramètre. Les paramètres ayant été mis à jour pour fonctionner ainsi comprennent :  Région : Loop (boucle)  Objet Arpège : Repeat (répéter)  Afficher le paramètre dans l’éditeur de partitions : Interpretation, Syncopation, No Overlap, Lyric (interprétation, syncope, pas de superposition, paroles) Barres de menus et barres de défilement masquées dans les Screensets Logic Express vous permet d’enregistrer l’état des barres des menus et barres de défilement masquées dans des Screensets. Les barres des menus et barres de défilement masquées sont également enregistrées lorsque vous fermez une fenêtre. Exemple : masquez la barre des menus et les barres de défilement de la fenêtre Arrangement, puis fermez cette dernière. Lorsque vous rouvrez la fenêtre Arrangement, les barres de menus et de défilement restent masquées. Pour masquer les barres de menus et de défilement locales d’une fenêtre : m Cliquez dans la barre de titre de la fenêtre tout en cliquant sur Option et sur Commande. Cette fonction est pratique lorsque vous souhaitez configurer de petites fenêtres d’environnement flottantes contenant des objets de fondu, utilisés comme interrupteurs, par exemple.14 Chapitre 1 Améliorations générales Nouvelle préférence Masquer automatiquement le Dock La sous-fenêtre Général des préférences d’affichage de Logic Express 7.2 propose l’option de masquage automatique du Dock. L’activation de cette préférence masque automatiquement le Dock pendant l’exécution de Logic, ce qui a pour effet d’optimiser l’espace à l’écran pour les fenêtres Logic. Pour activer la préférence Masquer automatiquement le Dock : 1 Choisissez Logic > Préférences. 2 Cliquez sur le bouton Affichage. 3 Activer la case Masquer automatiquement dans la section Dock de la sous-fenêtre Général. Remarque : cette option est également disponible dans l’Assistant réglages de Logic. Préférence Masquer automatiquement le Dock2 15 2 Améliorations du montage Ce chapitre décrit les améliorations concernant le montage apportées depuis Logic Express 7. Ces modifications incluent entre autres un certain nombre de raccourcis clavier nouveaux ou modifiés, de nouvelles fonctionnalités de création de pistes, ainsi qu’une gestion améliorée des marqueurs. Améliorations des raccourcis clavier La section qui suit décrit toutes les améliorations des raccourcis clavier apportées depuis la version Logic Express 7. Cela comprend plusieurs nouvelles raccourcis clavier pouvant accélérer le flux de travaux, ainsi qu’un nouvel avertissement de raccourci clavier pouvant vous aider à effectuer le suivi des attributions des raccourcis. Nouveaux raccourcis clavier Le tableau suivant décrit tous les raccourcis clavier ajoutés depuis la sortie de Logic Express 7.16 Chapitre 2 Améliorations du montage Fonctions de menu globales Les raccourcis clavier généraux suivants ont été ajoutés. Raccourci clavier Fonction/Explication Ouvrir les Préférences Globales Ouvrir les Préférences Audio Ouvrir les Préférences MIDI Ouvrir les Préférences Affichage Ouvrir les préférences de la partition Ouvrir les Préférences Vidéo Ouvrir les Préférences Automatisation Ouvrir les Préférences Surfaces de contrôle Ouvrir les Préférences Surround Ouvre les préférences correspondantes. Ouvrir les réglages de morceau pour la synchronisation Ouvrir les réglages de morceau pour le métronome Ouvrir les réglages d’optimisation des morceaux Ouvre les préférences correspondantes des morceaux. Réglages du projet Ouvre la fenêtre Réglages du projet. Purger le projet Affiche tous les fichiers audio ou instruments EXS inutilisés de votre dossier de projet, ce qui vous permet de les supprimer. Consolider le projet Déplace dans un dossier tous les fichiers associés à un projet. Renommer le projet Ouvre une zone de dialogue vous permettant de renommer votre projet. Enregistrer comme projet Enregistre un morceau ou un projet. Si le morceau ouvert n’est pas déjà un projet, un état de projet est affecté au morceau. Enregistrer une copie sous Permet d’enregistrer une copie d’un morceau ou d’un projet sous un autre nom. Enregistrer comme modèle Enregistre le morceau (avec tous les réglages de mixeur, de piste et d’environnement) en tant que modèle, pouvant être utilisé pour les projets ultérieurs. Importer Fichier Audio Ajoute un fichier audio à votre projet. Navigateur de boucles Lance la fenêtre Navigateur de boucles. Ouvrir le Clavier d’entrée pas à pas Affiche la fenêtre Step Input Clavier. Activer/désactiver la compensation de retard de module : tout/pistes et instruments Bascule la préférence Compensation de retard de module entre “Tous” et “Pistes et instruments audio”.Chapitre 2 Améliorations du montage 17 Menu Arrangement Les fonctions suivantes du menu Arrangement local (fenêtre Arrangement) sont désormais également accessibles via des raccourcis clavier : Éditeur Hyper Les fonctions Éditeur Hyper locales suivantes sont également disponibles via des raccourcis clavier : Mixeur de pistes Tous les boutons de filtrage peuvent être activés et désactivés par l’intermédiaire de raccourcis clavier. Nom du raccourci clavier Fonction/Explication Créer des pistes multiples Ouvre une zone de dialogue qui vous permet de créer de manière séquentielle le nombre défini de pistes. Supprimer les pistes audio redondantes Supprime les pistes audio inutilisées. Ouvrir dans l’utilitaire de boucle Apple Ouvre la région audio sélectionnée dans l’Utilitaire de boucles Apple Loops. Copier boucle ReCycle Comme son nom l’indique. Coller boucle ReCycle Comme son nom l’indique. Chercher le point zéro Active/désactive les recherches automatiques des points zéro dans les fichiers audio et les régions. L’activation de cette possibilité facilite la création des boucles audio. Nom du raccourci clavier Fonction/Explication Créer Hyper Set Permet de définir un nombre limité de contrôleurs MIDI en tant que Hyper Set. Créer Set Batterie GM Comme son nom l’indique. Créer Hyper Set pour les événements courants Un Hyper Set est créé, basé sur les informations de contrôleur des régions sélectionnées. Effacer Hyper Set Supprime toutes les définitions de contrôleur d’un Hyper Set. Nom du raccourci clavier Fonction/Explication Activer/désactiver les instruments MIDI Affiche/masque les bandes de canaux d’instruments MIDI. Activer/désactiver les pistes audio Affiche/masque les bandes de canaux de pistes audio. Activer/désactiver les instruments audio Affiche/masque les bandes de canaux d’instruments audio. Activer/désactiver les aux. audio Affiche/masque les bandes de canaux auxiliaires. Activer/désactiver les bus audio Affiche/masque les bandes de canaux de bus. Activer/désactiver les sorties audio Affiche/masque les bandes de canaux audio de sortie.18 Chapitre 2 Améliorations du montage Réglages de bande de canal Les raccourcis clavier suivants ont été ajoutés : Menu Glissement Toutes les entrées du menu Glissement peuvent désormais être sélectionnées par l’intermédiaire de raccourcis clavier. Recherchez le terme “Glissement” dans la fenêtre Raccourcis clavier afin de trouver ces entrées. Éditeur d’échantillons L’Éditeur d’échantillons offre le nouveau raccourci clavier “Aller à la fin de la sélection”, qui déplace le SPL vers la fin de la sélection (dans un fichier audio). Le raccourci clavier “Aller à la sélection” a été renommée “Aller au début de la sélection”. Nouvel avertissement de raccourci clavier Lorsqu’une combinaison de raccourcis clavier existante est utilisée lors de l’affectation d’une nouvelle combinaison globale, le message d’avertissement suivant apparaît : Nom du raccourci clavier Fonction/Explication Réglage de tranche de piste suivant Charge le réglage de bande de canal suivant dans la liste des réglages. Réglage de tranche de piste précédent Comme ci-dessus, mais pour le réglage précédent. Réglage de tranche de piste ou Programme ou Instrument EXS suivant Charge le réglage de bande de canal ou de module (ou instrument EXS) suivant dans la liste des réglages. Réglage de tranche de piste ou Programme ou Instrument EXS précédent Comme ci-dessus, mais pour le réglage précédent. Enregistrer réglage de tranche de piste sous Vous permet d’enregistrer un réglage de bande de canal sous un autre nom. Copier réglage de tranche de piste Copie le réglage de bande de canal sélectionné dans le presse-papiers. Coller réglage de tranche de piste Colle le réglage de bande du presse-papiers dans la bande de canal sélectionnée. Enregistrer comme performance Enregistre le réglage de bande de canal en tant que réglage de performance numéroté (et nommé), ce qui vous permet d’y accéder via un message de changement de programme.Chapitre 2 Améliorations du montage 19 Vous avez alors trois possibilités : Annuler, Remplacer ou OK.  Annuler ne modifie pas les affectations existantes.  Remplacer remplace par la fonction sélectionnée le raccourci existant (affecté au raccourci clavier choisi).  OK affecte le raccourci clavier à la fonction sélectionnée, tout en conservant le raccourci clavier/la fonction existant (dans une autre classe). Important : il existe une hiérarchie de classes de raccourcis clavier, lesquels ne sont pas simplement répartis en raccourcis généraux et locaux. Par exemple, il existe une classe de raccourcis qui s’applique à toutes les fenêtres qui affichent des séquences. Cette classe est prioritaire à celle des raccourcis généraux, mais pas à celle des raccourcis de fenêtre locales (Arrangement, Partition, Matrice, etc.). Modification de la longueur de boucle La fonction Boucle de Logic a été enrichie d’une fonction Édition de la longueur de boucle, facile d’emploi. Pour définir la longueur d’une séquence en boucle : 1 Placez le curseur à la fin de la séquence que vous voulez mettre en boucle. Il prend l’apparence d’une flèche circulaire (boucle) lorsqu’il est positionné dans la moitié supérieure de la région. 2 Cliquez et, tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé, faites glisser l’extrémité de la séquence vers la longueur souhaitée. Remarque : lorsque vous placez le curseur dans la moitié supérieure de la zone en boucle, il se transforme en flèche circulaire et autorise ainsi le changement de longueur. Si vous souhaitez sélectionner la région en boucle (pour la déplacer, par exemple), cliquez dans la moitié inférieure de la zone en boucle. Vous pouvez aussi appuyer sur la touche Maj tout en cliquant sur la zone supérieure. 20 Chapitre 2 Améliorations du montage Le curseur prend la forme d’une flèche circulaire (permettant d’éditer la longueur d’une boucle) uniquement lorsque la taille de la piste est suffisante. Si la hauteur de la piste est minimale, appuyez sur la touche Option tout en cliquant sur l’extrémité de la région pour accéder à la fonction de modification de longueur de boucle. Cela vaut aussi si les données d’automatisation sont visibles sur une piste. Important : la désactivation du paramètre Region Loop (boucle de région) réinitialise la longueur de boucle. Lors de la prochaine utilisation du paramètre Loop (boucle), la région sera répétée jusqu’à ce qu’elle trouve une autre région sur la même piste ou jusqu’à ce qu’elle atteigne la fin du morceau. Création de plusieurs pistes Cette fonctionnalité, accessible via l’option de menu Pistes > Créer plusieurs de la fenê- tre Arrangement (et via le raccourci clavier correspondant), fait exactement ce qu’elle indique. Lorsque vous la sélectionnez, une zone de dialogue apparaît, qui vous permet de choisir le :  Driver (gestionnaire) : ce menu déroulant permet de sélectionner le gestionnaire de périphérique audio à utiliser avec vos nouvelles pistes.  Track Type (type de piste) : ce menu déroulant vous laisse le choix entre les pistes Audio, Instruments audio et Auxiliaires.  Number of Tracks (nombre de pistes) : tapez ici le nombre de pistes souhaité. Huit (8) est la valeur par défaut.  Mode : il suffit de cliquer sur le bouton radio Mono ou Stéréo, afin de créer plusieurs pistes mono ou stéréo du type choisi. La fonction “Créer des pistes multiples” est intelligente car elle gère des pistes et les objets audio sous-jacents. Pour le comprendre, supposons qu’un morceau contienne quatre pistes dans la fenêtre Arrangement et huit objets audio sur la couche audio de l’environnement. Utilisez la fonction “Créer des pistes multiples” pour ajouter les quatre pistes dans la fenêtre Arrangement. Les quatre pistes existantes utilisent les objets audio 1 à 4 ; les nouvelles pistes, les objets audio 5 à 8.Chapitre 2 Améliorations du montage 21 Fonctionnalité de marqueur Les fonctionnalités de marqueur de Logic Express 6 ont été rétablies dans Logic Express 7.1. Les marqueurs sont très utiles pour baliser des positions temporelles ou sections particulières dans un morceau. Ils apparaissent sous forme de chaînes de texte dans les règles de mesure de toutes les fenêtres Logic qui en contiennent. Pour créer un marqueur : 1 Placez le curseur sur le tiers inférieur de la règle de mesure à l’emplacement du morceau souhaité. 2 Cliquez tout en appuyant sur les touches Option et Commande. 3 Tapez le nom du marqueur dans le champ Marqueur. La longueur du marqueur est définie automatiquement : le marqueur s’étend jusqu’au point de départ du marqueur suivant, ou jusqu’à la fin du morceau ou du dossier s’il n’y a pas de marqueurs. Pour supprimer un marqueur : m Sélectionnez-le avec la souris dans la règle de mesure, puis faites-le glisser vers le bas, en dehors de la règle de mesure. Relâchez le bouton de la souris lorsque le curseur devient une main contenant deux flèches (voir capture d’écran ci-dessous). Les nouveaux marqueurs sont automatiquement nommés “marqueur ##”. La valeur “##” indique leur ordre d’apparition dans la timeline, qui s’affiche dans la règle de mesure sous “Marqueur 1”, “Marqueur 2”, etc. Le numéro fait toujours référence à l’ordre réel de tous les marqueurs du morceau, y compris les marqueurs renommés. 22 Chapitre 2 Améliorations du montage Pour modifier le nom d’un marqueur : 1 Double-cliquez sur le marqueur tout en maintenant les touches Contrôle et Commande enfoncées. 2 Un champ de saisie de texte s’ouvre, vous permettant de modifier le nom du marqueur. Pour changer la position d’un marqueur dans la règle de mesure : 1 Cliquez sur le marqueur dans la règle de mesure tout en maintenant la touche Commande enfoncée. 2 Faites glisser le marqueur vers la gauche ou vers la droite. Pour définir le SPL sur un marqueur : m Cliquez sur le marqueur dans la règle de mesure tout en maintenant la touche Commande enfoncée. Le SPL est défini au point de départ du marqueur sur lequel vous avez cliqué. Un double-clic permet de démarrer la lecture au point de départ du marqueur. Remarque : vous pouvez faire glisser un marqueur vers le haut dans le tiers supérieur de la règle de mesure. Cela permet de définir une zone Cycle correspondant à la position et à la longueur du marqueur (et donc aux positions du délimiteur). Si le séquenceur est arrêté lors de l’exécution de cette action, le SPL est déplacé vers le point de départ de la zone Cycle. Outil Automation La boîte à outils Arrangement de Logic Express comprend l’outil Automation. Cet outil permet l’automatisation d’un certain nombre de tâches. Lorsque l’automatisation de piste est activée par l’option de menu Présentation > Automatisation de piste, un menu déroulant se trouvant sous la boîte à outils vous permet de définir les fonctions que vous prévoyez à l’outil Courbe Si vous choisissez cette option, vous pouvez utiliser l’outil Automation pour courber une ligne entre deux nœuds ou n’importe quelle sélection de plus de deux nœuds. Quatre types de courbes sont à votre disposition :convexe, concave et deux types de courbes en S différents. Remarque : cette fonction est également disponible lorsque vous utilisez l’outil Pointeur standard en appuyant sur la combinaison de touches Option + Contrôle.Chapitre 2 Améliorations du montage 23 Sélection Si vous choisissez cette option, vous pouvez utiliser l’outil Automation pour “étirer” une sélection de nœuds dans les données d’automatisation. Si vous cliquez ainsi sur une région, tous les événements d’automatisation visibles à l’écran et se trouvant dans les limites de la région sont alors sélectionnés. Ceci vous permet de déplacer librement la sélection ainsi faite correspondant à la zone de la région (ou à la région toute entière le cas échéant) à gauche ou à droite. Si vous appuyez en même temps sur la touche Option, vous pouvez alors copier la sélection dans un autre emplacement. Il est important de noter que ces deux types d’opérations ne conservent pas les nœuds dans la zone de destination. Si vous cliquez en appuyant sur la touche Maj par l’outil Automation, vous pouvez alors effectuer une sélection complémentaire d’autres zones à la sélection existante. Cela vous permet de modifier simultanément des sélections non adjacentes. Cliquer sur un nœud à l’aide de l’outil Automation tout en maintenant la touche Maj enfoncée (aussi bien avant qu’après une sélection) vous permet d’étendre la sélection en cours. Suppression de films Le menu Options > Séquences comporte une fonction Supprimer la séquence, qui vous permet de supprimer totalement une séquence d’un morceau ou d’un projet Toutes les références à la séquence dans le projet ou le morceau sont supprimées. Cette fonction peut également être lancée avec le raccourci clavier de l’option Supprimer le film. Gestion des régions pour l’arrangement La gestion des régions dans la fenêtre Arrangement a été améliorée : les régions sélectionnées qui chevauchent des régions non sélectionnées sont affichées “au-dessus”.3 25 3 Utilisation de l’audio De nombreuses fonctionnalités de montage audio ont été améliorées depuis la sortie de Logic Express 7. Logic Express 7.2 introduit la lecture directe des fichiers audio compressés ainsi que des améliorations en ce qui concerne le changement de nom des fichiers stéréo séparés, entre autres. Lecture directe des fichiers audio compressés Logic Express 7.2 vous permet de lire directement les formats de fichier audio compressé suivants :  AAC  Fichiers Apple Lossless Ces fichiers ne sont plus convertis automatiquement lors de l’importation dans Logic. Le fichier audio compressé est ajouté à la fenêtre Arrangement et une région incluant le fichier audio complet est créée. Vous pouvez modifier cette région de la même façon qu’une région audio “normale” dans la fenêtre Arrangement : Vous pouvez la couper, la boucler, la renommer, etc. Remarque : il n’est pas possible d’affecter des fondus aux fichiers audio compressés, pas plus que vous ne pouvez les modifier de façon destructrice. Les régions audio qui pointent vers des fichiers audio compressés sont désignés avec les symboles suivants :26 Chapitre 3 Utilisation de l’audio Le gestionnaire de projet peut organiser ces types de fichiers audio compressés. La catégorie Fichier audio de la vue Parcourir offre désormais la sous-catégorie Compressé. Le filtre Fichier audio en mode Recherche inclut également une nouvelle case Compressé : activez-le afin de rechercher tous les fichiers audio AAC et Apple Lossless compressés. Vous pouvez convertir les fichiers audio AAC et Apple Lossless compressés en effectuant l’une des opérations suivantes : m Sélectionnez les régions Audio qui pointent vers le fichier audio souhaité dans la fenê- tre Arrangement, puis choisissez Audio > Convertir Région en Fichier individuel dans le menu de la fenêtre Arrangement locale (ou utilisez le raccourci clavier de l’option “Convertir Région en Fichier individuel”, l’affectation par défaut étant Contrôle + F). La partie du fichier audio couverte par la région Audio est convertie en un nouveau fichier audio. m Sélectionnez les fichiers audio dans la fenêtre Audio, puis choisissez Fichier audio > Copier/Convertir fichier(s) dans le menu de la fenêtre Audio locale (ou utilisez le raccourci clavier de l’option Copier/Convertir fichier(s)). Important : les fichiers audio compressés protégés par DRM (Digital Rights Management) ne peuvent pas être ouverts dans Logic. La musique achetée dans la boutique iTunes Music Store est généralement protégée par DRM. Utilisation de la fonction Suivre Tempo Les fichiers audio créés dans Logic Express 7.1 ou Logic Express 7.2 peuvent suivre le tempo du morceau (y compris les changements de tempo) et la première signature de tonalité définie dans les pistes globales. Exemple : si vous enregistrez un solo de basse à 100 ppm, vous pouvez passer le tempo du morceau à 120 ppm et le solo de basse est alors automatiquement lu au nouveau tempo. Cela fonctionne pour tous les fichiers audio enregistrés dans Logic Express 7.1 et Logic Express 7.2 ou ayant fait l’objet d’un renvoi ou d’une exportation à partir de ces versions. Cela fonctionne uniquement dans le morceau parent (c’est-à-dire celui dans lequel les fichiers audio ont été créés). Si vous faites glisser un fichier enregistré dans un morceau donné vers un autre morceau avec le Finder, le fichier ne peut pas suivre le tempo du morceau. Les fichiers ayant fait l’objet d’un bounce ou d’une exportation peuvent uniquement suivre le tempo du morceau si l’option “Ajouter les fichiers résultants à la fenêtre Audio” a été activée dans la fenêtre Export/Bounce avant le bounce/ exportation. Les fichiers copiés entre deux morceaux conservent la possibilité de suivre le tempo du morceau. Chapitre 3 Utilisation de l’audio 27 Les informations de tempo du morceau sont utilisées pour baliser les temps dans l’enregistrement. Le fonctionnement de cette fonction est optimal si vos fichiers audio correspondent avec précision au tempo du morceau. Plus les fichiers audio sont longs, plus la quantité de RAM nécessaire pour cette fonctionnalité est importante. Pour qu’un fichier audio suive le tempo du morceau et la première signature de tonalité : 1 Sélectionnez l’une des régions audio du fichier audio dans la fenêtre Arrangement. Si votre fichier audio a été créé avec l’une des méthodes décrites ci-dessus, l’option Suivre Tempo apparaît dans la zone des paramètres Région. 2 Activez l’option Suivre Tempo dans la zone Paramètre de région. Tous les fichiers audio qui suivent le tempo du morceau et la première signature de tonalité sont indiqués par les symboles suivants dans Logic : Remarque : suivre Tempo est en fait une opération de tempo de fichier audio et non une fonction de région, mais elle a été intégrée à la zone Paramètre de région par commodité. Elle est synchronisée pour toutes les régions qui utilisent le même fichier audio. Suivre le tempo et les boucles Apple Loops L’option Suivre Tempo ne crée pas de boucle Apple Loop ! Rappel : les boucles Apple Loops suivent les changements d’accords ; si vous enregistrez un solo sur un arrangement constitué de boucles Apple Loops avec des changements de transposition dans le temps, vous pouvez activer Suivre Tempo pour votre solo, mais les doubles transpositions qui auront lieu ne vous plairont pas… Pour créer une boucle Apple Loop, utilisez l’une des options suivantes :  Choisissez Région > Ajouter à la bibliothèque de boucles Apple Loops dans la fenêtre Arrangement. Cette méthode définit les éléments transitoires basés sur les informations de tempo du morceau.28 Chapitre 3 Utilisation de l’audio  Choisissez Audio > “Ouvrir dans l’utilitaire de boucle Apple” dans la fenêtre Arrangement. Cette fonctionnalité vous permet de définir manuellement les éléments transitoires, indépendamment du tempo du morceau. Consultez la section “Création de boucles Apple Loops” à la page 54 pour plus d’informations sur la création de boucles Apple Loops. La zone Paramètre de région des boucles Apple Loops avec boucle (et non les boucles one-shot) offre également l’option Suivre Tempo. Si cette option est désactivée, la boucle Apple Loop ne suit pas le tempo et la tonalité du morceau. La désactivation de l’option Suivre Tempo pour une boucle Apple Loop avec boucle (et non une boucle one-shot) convertit la boucle Apple Loop en un fichier audio “standard”. Création plus rapide des vues d’ensemble La boîte de dialogue Création de vues d’ensemble comporte une option supplémentaire qui accélère la création des vues d’ensemble. Cette option rend la création de vues d’ensemble aussi rapide que la création de vues d’ensemble “au premier plan” dans Logic 6 (au prix du ralentissement des autres opérations, mais l’interaction avec l’utilisateur n’est pas totalement bloquée). Logic mémorise l’état de l’option “Calcul de vue d’ensemble plus rapide”. Renommer les fichiers stéréo séparés Vous pouvez désormais renommer indépendamment les fichiers stéréo déconnectés. Avertissement : si vous renommez un seul fichier d’une paire de fichiers stéréo séparés déconnectés, il n’est pas possible de reconnecter le fichier stéréo fractionné déconnecté. 4 29 4 Utilisation des fenêtres du mixeur Logic Express 7.2 vous permet de basculer entre les bandes de canaux en envoyant des messages de changement de programme MIDI. Il vous permet également d’échanger l’état de contournement des logements d’insertion avec une valeur de contrôleur. Le chapitre qui suit décrit toutes les améliorations apportées au mixage et au bounce depuis Logic Express 7. Il s’agit notamment de la prise en charge des objets ReWire stéréo, de l’outil Main dans les bandes de canaux des fenêtres Mixeur de pistes et Arrangement, ainsi que des améliorations des fenêtres Balance Surround et Bounce. Utilisation des performances de bande de canal Vous pouvez désormais basculer entre les réglages de bande de canal en envoyant des messages de changement de programme MIDI. Cela vous permet de sélectionner vos “sons” favoris (constitués d’un réglage de bande de canal pouvant contenir un instrument logiciel et des modules d’effets) en appuyant sur un bouton de votre clavier MIDI. Cette fonctionnalité est appelée Performances de bande de canal. Important : seuls les messages de changement de programme envoyés sur le canal MIDI 1 basculeront entre les performances de bande de canal. Tous les messages de changement de programme envoyés sur d’autres canaux MIDI sont transférés vers les instruments Audio Units, si nécessaire. Les performances de bande de canal peuvent être utilisées pour tous les types d’objets audio. Elles sont enregistrées dans le sous-dossier Performances (dans ~/Bibliothèque/ Application Support/Logic/Channel Strip Settings/nom de l’objet audio). Les noms des performances commencent par le numéro de changement de programme correspondant (par exemple : 001Piano, 045FlangeGuitar, 111ArcoCelloHall). Il existe 128 performances (correspondant à 128 événements de changement de programme disponibles).30 Chapitre 4 Utilisation des fenêtres du mixeur Pour créer un réglage de performance : 1 Configurez une bande de canal que vous souhaitez rendre disponible en tant que performance (en ouvrant un réglage de bande de canal dans la bibliothèque d’origine en en apportant les modifications en fonction de vos besoins, par exemple). 2 Ouvrez le menu des réglages de bande de canal en cliquant sur le mot Insérer sur n’importe quelle bande, puis choisissez “Enregistrer en tant que performance”. 3 Dans la zone de dialogue qui s’ouvre, entrez un nom pour la performance, choisissez un numéro de changement de programme, puis cliquez sur OK. Vous pouvez également définir le numéro de changement de programme en l’envoyant à partir de votre contrôleur MIDI. Remarque : par défaut, la zone de dialogue suggère d’utiliser le numéro de changement de programme le plus petit inutilisé. Une alerte vous informe de toute tentative d’insérer un numéro de changement de programme déjà affecté. Cliquez sur Écraser si vous souhaitez remplacer la performance existante affectée à ce numéro de changement de programme. Chapitre 4 Utilisation des fenêtres du mixeur 31 Dès lors qu’un objet audio reçoit un message de changement de programme sur le canal MIDI 1 correspondant à un numéro de performance affecté, il charge cette performance. Remarque : si une valeur de changement de programme non affectée est envoyée, la bande de canal ignore le message et le réglage de bande actuellement chargé reste en place. Tous les réglages de performance enregistrés apparaissent dans le dossier Performances du menu de réglages de bande de canal. Sélection multiple de bandes de canaux La fonction Sélection multiple des bandes (dans les fenêtres du mixeur) a été améliorée : le fait de cliquer sur un arrière-plan de voie (sans maintenir la touche Maj enfoncée) vous permet également de sélectionner d’autres voies en les faisant glisser (en arrière-plan).32 Chapitre 4 Utilisation des fenêtres du mixeur Automatisation de l’état de contournement Logic Express 7.2 vous permet de modifier l’état de contournement des logements “Insertion d’objets audio” à l’aide d’une valeur de contrôleur unique : il s’agit de la valeur de contrôleur 64. L’ajout de cette fonctionnalité entraîne les comportements suivants pour les contrô- leurs 56 à 60 :  Une valeur de 0 désactive le contournement.  Les valeurs 1 à 63 et 65 à 127 activent le contournement.  L’utilisation répétée de la valeur 64 bascule entre les deux états de contournement. Cela vous permet de basculer l’état de contournement des logements Insertion 1 à 5 via un bouton unique, affecté aux contrôleurs 56 à 60, avec l’envoi de la valeur 64. (Les versions antérieures nécessitaient l’envoi de deux valeurs différentes : une pour activer et une pour désactiver l’état de contournement.) Le tableau suivant répertorie le numéro de contrôleur utilisé pour modifier l’état Contournement du logement Insertion correspondant. Cette fonctionnalité peut s’avérer particulièrement utile si vous utilisez une surface de contrôle n’offrant pas de commentaires. Imaginez la situation suivante : vous appuyez sur le bouton de votre surface de contrôle, en envoyant une valeur qui désactive l’état de contournement d’un logement d’insertion. L’état de contournement de cette insertion est réactivé (activé, avec la souris) dans Logic. Votre surface de contrôle ne reflète pas cette modification si elle ne prend pas en charge les commentaires, ce qui fait que rien ne se passe lorsque vous appuyez sur le bouton approprié de votre surface de contrôle. Cette nouvelle fonctionnalité vous permet d’utiliser un bouton unique pour basculer l’état de contournement, indépendamment de l’état (activé/désactivé) du contournement. Remarque : cette fonctionnalité s’applique également aux boutons Silence et Solo : si le contrôleur 9 envoie la valeur 64, l’état du bouton Silence est modifié ; si le contrô- leur 3 envoie la valeur 64, l’état du bouton Solo est défini sur activé/désactivé, en fonction de l’état actuel du bouton Solo. Insertion n˚ CC n˚ 1 56 2 57 3 58 4 59 5 60Chapitre 4 Utilisation des fenêtres du mixeur 33 Prise en charge des objets ReWire stéréo Logic Express 7.2 prend en charge les objets ReWire stéréo. Cela vous permet d’affecter des flux ReWire stéréo à un objet audio unique et de configurer l’objet audio en stéréo. Remarque : ReWire est un système de Propellerhead Software qui vous permet d’échanger des flux audio en temps réel entre deux applications audio. Vous pouvez par exemple utiliser ReWire pour envoyer les données audio du logiciel Reason de Propellerhead vers Logic. Vous trouverez davantage d’informations sur ReWire dans le Guide de référence de Logic Pro 7. Pour utiliser des objets ReWire stéréo dans Logic Pro 7.2 : 1 Démarrez Logic, puis démarrez votre application ReWire. Logic affiche les retours audio des applications connectées à ReWire en tant que canaux d’objets audio. 2 Sélectionnez l’objet audio souhaité dans l’environnement, puis choisissez le canal ReWire dans le menu Canal de la zone Paramètre d’objet. Si vous choisissez un canal ReWire stéréo, l’objet audio affiche le bouton Mono/Stéréo. 3 Cliquez sur ce bouton afin de configurer l’objet audio en tant que stéréo. Le bouton affiche deux cercles liés, indiquant qu’il s’agit d’un objet stéréo. Vous pouvez insérer des modules stéréo, comme dans les pistes audio stéréo normales. Le VU-mètre se divise en deux zones discrètes, avec contrôle de balance.34 Chapitre 4 Utilisation des fenêtres du mixeur Remarque : Logic peut uniquement fonctionner en tant qu’application hôte ReWire, ce qui signifie que vous pouvez envoyer l’audio vers Logic, mais que vous ne pouvez pas envoyer l’audio de Logic vers une autre application ReWired. Outil Main dans le mixeur de pistes et bande de canal de l’Arrangement L’outil Main du Mixeur de pistes est utilisé pour déplacer et copier des modules entre bandes. Pour déplacer un module entre deux logements d’insertion : 1 Cliquez sur l’outil Main dans la boîte à outils Mixeur de pistes. 2 Sélectionnez le libellé du module (source) et faites-le glisser vers le logement cible souhaité. Au cours de l’opération glisser/déposer, la destination potentielle s’affiche sous forme de rectangle orange (logement vide) ou de ligne orange (lors du positionnement d’un effet entre deux logements d’insertion, voir ci-dessous). L’appui sur Option au cours du glissement copie le module, plutôt que de le déplacer. Vous pouvez également utiliser l’outil Main dans la bande de canal de la fenêtre Arrangement en appuyant sur Commande (ou en cliquant avec le bouton droit) lorsque le curseur passe sur le logement Instrument ou Insertion. Remarque : l’outil Main est le deuxième outil par défaut dans le Mixeur de pistes. Le fait d’appuyer sur la touche Commande lorsque vous cliquez vous permet de basculer de l’outil Pointeur à l’outil Main. Cela vous permet de déplacer des modules en les faisant glisser tout en maintenant la touche Commande enfoncée, ou de les copier en les faisant glisser tout en maintenant les touches Option et Commande enfoncées. Si vous faites glisser une étiquette de module sur un logement de module utilisé dans la même bande de canal, les modules sont permutés. Lors du glissement entre diffé- rentes bandes de canaux, le module existant est remplacé. Positionnement d’effets entre des logements d’insertion utilisés Si vous déposez un effet entre deux logements d’insertion utilisés, l’effet est inséré dans un nouveau logement entre les deux logements utilisés. Les effets sous le point d’insertion sont décalés d’un logement vers le bas.Chapitre 4 Utilisation des fenêtres du mixeur 35 Si l’emplacement source de l’effet se situe au-dessus de l’emplacement de destination, tous les modules entre les emplacements source et destination sont décalés d’une position vers le haut. Si l’emplacement source du module se situe au-dessous de l’emplacement de destination, tous les modules entre les emplacements source et destination sont décalés d’une position vers le bas. Remarque : si les 5 logements d’insertion sont utilisés, vous ne pouvez pas placer d’effets entre les logements d’insertion. Améliorations du bouncing Les fonctionnalités de Bounce de Logic ont été améliorées dans les domaines suivants depuis la sortie de Logic Express 7 :  Les options bounce de AAC sont désormais disponibles dans une fenêtre Réglages audio unique.  Le menu Périphérique de la zone de dialogue Bounce vous permet de choisir entre les graveurs de CD reconnus connectés à votre système.  Les valeurs par défaut des positions de début et de fin du bounce prennent en compte une plage de sélection plus large. Fenêtre Réglages audio AAC rationalisée Les options bounce d’AAC (Advanced Audio Coding) sont désormais disponibles dans une fenêtre Réglages audio unique. Remarque : AAC offre un encodage audio haute qualité, bien adapté aux applications de diffusion Internet, numérique et sans fil. Pour accéder à la fenêtre Réglages audio d’AAC : 1 Choisissez Fichier > Bounce dans la barre des menus principale (ou utilisez le raccourci clavier de l’option Bounce).36 Chapitre 4 Utilisation des fenêtres du mixeur 2 Dans la zone de dialogue Bounce, activez l’option AAC, choisissez un nom de fichier et une destination, puis cliquez sur Bounce. La fenêtre Réglages audio AAC offre les réglages suivants :  Format : affiche le codec de compression sélectionné.  Canaux : vous permet de choisir entre un fichier de sortie mono ou stéréo.  Fréquence : un certain nombre de fréquences d’échantillonnage prédéfinies sont disponibles dans ce menu local, allant de 8000 Hz à 48 000 Hz. L’option Recommandé sélectionne une fréquence basée sur les choix effectués dans les réglages avancés.  Afficher les réglages avancés : cochez cette case pour afficher davantage de réglages AAC dans la zone inférieure.  Qualité (convertisseur de fréquence d’échantillonnage) : définit la qualité de la conversion de fréquence d’échantillonnage. La réduction de la qualité accélère le processus de conversion, au détriment de la qualité audio. Conservez la valeur Optimale chaque fois que cela est possible.  Format de débit : vous pouvez choisir entre un débit constant ou variable : l’encodage à débit variable (VBR, Variable Bit Rate) compresse davantage les passages plus simples que ceux qui sont plus riches d’un point de vue harmonique. Tous les lecteurs AAC ne peuvent pas décoder les données AAC encodées au format VBR. C’est la raison pour laquelle cette option est définie par défaut sur un débit constant.  Débit cible : définit le débit de l’exportation AAC. Plus le nombre de kilobits par seconde est élevé, meilleure est la qualité audio.Chapitre 4 Utilisation des fenêtres du mixeur 37  Priorité : permet de lier le débit et la fréquence d’échantillonnage. Si vous définissez l’option Priorité sur Fréquence d’échantillonnage, les débits cibles disponibles dépendent de la fréquence d’échantillonnage sélectionnée. Si vous définissez l’option Priorité sur Débit, les options disponibles dans le menu Fréquence d’échantillonnage dépendent du débit sélectionné.  Qualité (Encodeur AAC) : définit la qualité du flux encodé au format AAC. La réduction de la qualité accélère le processus de conversion, au détriment de la qualité audio. Définissez la qualité sur Optimale chaque fois que cela est possible. Choix du graveur de CD La zone de dialogue Bounce de Logic Express offre un menu Périphérique dans les options Graver, qui vous permet de choisir parmi les graveurs de CD reconnus qui sont connectés à votre système. Valeurs par défaut des positions de début et de fin Les valeurs par défaut des champs Position de départ et Position de fin dans la boîte de dialogue Bounce tiennent également compte des sélections effectuées dans la fenêtre Arrangement. Cela signifie que les valeurs par défaut des positions de départ et de fin sont définies de la façon suivante :  Si la fonction Cycle est engagée, elles sont définies selon les positions du délimiteur.  Si une sélection (d’une ou plusieurs régions) est effectuée dans la fenêtre Arrangement, elle est définie sur la zone sélectionnée.  Si aucune des conditions ci-dessus n’est vraie, les valeurs des positions de départ et de fin englobent l’ensemble du morceau Logic. 5 39 5 Importation de fichiers L’importation des données de fichiers MIDI a été améliorée depuis Logic Express 7. Ces améliorations facilitent l’importation de données MIDI basées sur les événements dans Logic Express. Importation de fichiers MIDI L’ouverture et l’importation de fichiers MIDI se comportaient de façon similaire dans les versions antérieures de Logic. Les commandes Importer et Ouvrir chargeaient toutes les données (y compris les informations globales, telles que les événements de tempo) dans un nouveau morceau. Ce n’est pas forcément le comportement attendu pour une “importation” : en général, une importation charge uniquement les données des régions MIDI (notes, contrôleur, SysEx, courbure de tonalité, événements méta spécifiques) dans un morceau ouvert. Ce comportement d’importation était disponible dans les versions antérieures de Logic : lorsque vous faisiez glisser un fichier MIDI du Finder vers la fenê- tre Arrangement, seules les données de la région MIDI étaient chargées. La commande de menu Importation MIDI de Logic Express 7 entraîne une importation “réelle”. Pour importer un fichier MIDI, effectuez l’une des opérations suivantes : m Choisissez Fichier > Importer dans la barre des menus principale (ou utilisez le raccourci clavier de l’option Importer), puis sélectionnez le fichier MIDI souhaité dans la zone de sélection de fichier. Remarque : vous pouvez uniquement importer des fichiers MIDI si un morceau “cible” est déjà ouvert. Si aucun morceau n’est ouvert, l’élément Fichier > Importer est grisé. Le fichier MIDI est placé à la position SPL, arrondie aux barres. m Faites glisser le fichier MIDI du Finder vers la fenêtre Arrangement. La position de la souris (lorsque le bouton est relâché) détermine la position, arrondie à la mesure la plus proche, et la destination de la première piste du fichier importé.40 Chapitre 5 Importation de fichiers Les deux méthodes chargent uniquement les données de la région MIDI (notes, contrôleur, courbure de tonalité, SysEx, certains événements méta), alors que les données globales (telles que les événements de tempo, les signatures, les accords, les noms des pistes, le début SMPTE, etc.) sont ignorées. Si vous souhaitez charger toutes les informations contenues dans un fichier MIDI, vous devez l’ouvrir. Pour ouvrir un fichier MIDI : 1 Choisissez Fichier > Ouvrir dans la barre des menus principale (ou utilisez le raccourci clavier de l’option Ouvrir), puis sélectionnez le fichier MIDI souhaité dans la zone de sélection de fichier. Si un morceau est chargé, une zone de dialogue vous demande si vous souhaitez créer un nouvel environnement ou copier l’environnement actuel du fichier MIDI. 2 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Cliquez sur Copier afin de répliquer l’environnement existant. Les pistes du fichier MIDI sont automatiquement affectées aux instruments appropriés.  Cliquez sur Nouveau pour charger l’environnement du modèle de morceau par défaut (ce modèle est basé sur les choix effectués lorsque vous avez exécuté l’Assistant réglages de Logic). Le fichier MIDI est chargé en tant que nouveau morceau contenant tous les événements MIDI, y compris les positions temporelles et les affectations de canaux, les noms des pistes individuelles, les noms et positions des marqueurs, les changements de tempo et les marques de copyright.6 41 6 Prise en charge des surfaces de contrôle La vaste prise en charge des surfaces de contrôle a encore été améliorée depuis Logic Express 7. La prise en charge d’un certain nombre de surfaces de contrôle a été ajoutée, et plusieurs fonctionnalités essentielles en termes de simplicité d’utilisation et d’affectation ont été améliorées. Cela concerne notamment la barre de contrôle de piste et les fonctions de répétition de touches. Prise en charge de surfaces de contrôle supplémentaires Pour actualiser la prise en charge des surfaces de contrôle, les surfaces suivantes sont désormais directement reconnues par Logic :  M-Audio iControl  Tascam US-2400  Tascam FW-1082  Frontier TranzPort  JL Cooper CS-32  JL Cooper FaderMaster 4/100  Korg microKONTROL  Korg KONTROL49 Remarque : pour plus d’informations sur les surfaces de contrôle individuelles, reportez-vous au document Prise en charge des surfaces de contrôle disponible dans le dossier Documentation du DVD d’installation de Logic Express 7.2. 42 Chapitre 6 Prise en charge des surfaces de contrôle Utilisation de la barre de contrôle des pistes Lorsqu’une surface de contrôle est connectée à Logic Express 7.2, la barre de contrôle de piste s’affiche dans la fenêtre Arrangement. Cette barre indique les pistes faisant actuellement l’objet d’un accès par votre surface de contrôle. Cette barre est disponible pour tous les périphériques de surface de contrôle connectés à votre système. Vous pouvez affecter une couleur différente à la barre de contrôle Piste de chaque surface de contrôle. La couleur de la barre est définie dans la zone de paramètres Périphérique. Pour changer la couleur de la barre de contrôle Piste : 1 Choisissez Logic > Préférences > Surfaces de contrôle > Réglages pour ouvrir la fenêtre de configuration des surfaces de contrôle. 2 Cliquez sur l’icône de surface de contrôle appropriée. La zone Paramètre de périphérique apparaît, affichant l’option Couleur. 3 Cliquez sur l’option Couleur. Une palette de couleurs est lancée, vous permettant de choisir ou de créer la couleur souhaitée.Chapitre 6 Prise en charge des surfaces de contrôle 43 Nouvelle fonction de répétition de touche Logic Express 7.2 offre des modules de surface de contrôle mis à jour qui prennent en charge la fonction de répétition de touches (si cela est utile et applicable au périphérique). Lorsque cette fonction est activée, la fonction de raccourci clavier déclenchée par une affectation de contrôleur est exécutée de manière répétée aussi longtemps que le bouton ou l’interrupteur est maintenu enfoncé. Le curseur “Fréquence de répétition de touche”, défini dans les préférences Clavier & souris de Mac OS X, détermine la rapidité avec laquelle Logic répète l’assignation. La durée pendant laquelle le bouton/contrôleur doit être maintenu avant répétition de l’assignation est définie via le curseur “Fréquence de répétition de touche” avant répétition des préférences Clavier & souris. Exemple : le raccourci clavier de Logic Express 7.2 destiné aux boutons de Zoom du module Logic Control prend en charge la fonction de répétition de touches. Il vous suffit de maintenir le bouton de zoom avant enfoncé pour que Logic effectue un zoom avant continu, jusqu’à ce que le bouton soit relâché. Ce comportement est similaire au comportement des raccourcis clavier de zoom. Dans les versions antérieures, vous deviez appuyer de manière répétée sur les boutons Zoom (Logic Control) pour effectuer un zoom avant ou arrière de plus d’un niveau. Arrêt intermédiaire à la valeur par défaut Le fait d’appuyer sur le bouton Option de la surface de contrôle pendant la modification d’un paramètre assigné à un encodeur rotatif permet d’accéder au mode “Contrôleur relatif”. Dans ce mode, un tour vers la droite permet de régler l’encodeur sur sa valeur maximale. Un tour vers la gauche permet de régler l’encodeur sur sa valeur minimale. Logic Express 7.2 améliore ce mode: il s’arrête désormais également à la valeur par défaut de l’encodeur. Exemple : lorsque le bouton Pan se trouve à gauche du centre, le fait de faire tourner l’encodeur vers la droite (avec le bouton Option appuyé) initialise le paramètre à sa position centrale (valeur par défaut), et un autre mouvement vers la droite définit la position la plus à droite (valeur maximale).44 Chapitre 6 Prise en charge des surfaces de contrôle Affichage des boîtes de dialogue modales Toutes les zones de dialogue modales (à l’exception des zones de sélection de fichiers) sont désormais affichées sur des surfaces de contrôle comportant des affichages de texte LCD. Tous les champs de texte sont affichés dans la ligne supérieure de l’affichage (si le périphérique est concerné). Si le texte de la boîte de dialogue ne tient pas dans la ligne supérieure de l’écran LCD, il commence à défiler après trois secondes. Vous pouvez faire défiler le texte manuellement avec le contrôle approprié (reportez-vous aux tables d’affectation dans la documentation de prise en charge des surfaces de contrôle). Le défilement de texte manuel désactive le défilement automatique.  S’il y a un bouton Entrée ou OK sur la surface de contrôle, il déclenche le bouton par défaut de la boîte de dialogue, le cas échéant.  S’il y a un bouton Annuler ou Quitter sur la surface de contrôle, il déclenche le bouton libellé Annuler ou Interrompre, le cas échéant.  Tous les boutons (boutons poussoirs, notamment Entrée/par défaut et Annuler, ainsi que les cases à cocher et boutons radio, mais pas les boutons instantanés) sont affichés dans la ligne inférieure de l’affichage (si le périphérique est concerné). Appuyer sur un bouton de surface de contrôle sous l’affichage déclenche le bouton/ la fonction approprié(e) dans la zone de dialogue, le cas échéant. Après l’utilisation du bouton Entrer/Annuler dans la surface de contrôle (ou via la souris), la boîte de dialogue disparaît et tous les contrôles et tous les affichages reviennent à leur état/mode précédent. Prise en charge du mode Mackie Control Les unités Logic Control, Logic Control XT, Mackie Control Universal et Mackie Control Extender (tous avec la version 1.02 ou ultérieure du programme interne) ne nécessitent plus de passer en mode Logic Control pour être reconnus par Logic. Si vous utilisez des logiciels qui nécessitent le mode Mackie Control : 1 Revenez au mode Mackie Control. Les détails se trouvent dans la documentation de la surface de contrôle. 2 Supprimez la surface de contrôle Logic Control dans la fenêtre Réglage des surfaces de contrôle. 3 Mettez la surface de contrôle sous tension. Elle est automatiquement installée en tant que Mackie Control. La fonctionnalité des deux modes (Mackie/Logic Control) est identique. Remarque : si vous n’utilisez pas de logiciel nécessitant le mode Mackie Control, il n’est pas nécessaire de changer quoi que ce soit.Chapitre 6 Prise en charge des surfaces de contrôle 45 Améliorations de l’éditeur d’assignations de contrôleur La vue simple (Easy View) de la fenêtre Controller Assignments (affectations du contrô- leur) a été simplifiée. La zone Control Name (nom de contrôle) a été supprimée, car la vue simple est généralement employée pour les surfaces de contrôles non gérées (comme les contrôleurs de votre clavier principal ou certains faders MIDI). Le paramètre Piste vous permet de choisir entre sélectionné (valeur par défaut en cas de création d’assignations sur la piste sélectionnée) et un numéro de piste précis (si vous souhaitez configurer vos contrôles comme surface de mixage). Le bouton Learn Message a été renommé Learn Mode (car vous pouvez créer plusieurs affectations quand il est activé). Les affectations créées pour un module spécifique ne sont actives si celui-ci réside sur la piste indiquée. Ceci vous permet d’utiliser les mêmes messages de contrôleur pour des modules différents (par exemple, contrôle de la fréquence de coupure de ES1, ES2 ou EXS24 par le même bouton) selon l’instrument logiciel inséré sur la piste sélectionnée. Vos affectations sont enregistrées comme préférences, ce qui les rend disponibles dans tous les morceaux.7 47 7 Utilisation de boucles Apple Loops La prise en charge des boucles Apple Loops dans Logic Express apporte à votre palette d’outils de création musicale tout un éventail d’options flexibles. Ce chapitre traite de leur utilisation dans Logic Express et contient des informations sur la création des boucles Apple Loops ainsi que d’autres éléments qui vous aideront à tirer le meilleur parti des options disponibles. Logic Express est livré avec un certain nombre de boucles Apple Loops, tout comme GarageBand. Les boucles Apple Loops sont des fichiers audio au format AIFF contenant des données audio PCM. Elles peuvent être utilisées dans n’importe quelle application audio prenant en charge les fichiers AIFF. En comparaison avec les boucles audio “standard”, les boucles Apple Loops présentent un avantage significatif : elles peuvent contenir des informations complémentaires que Logic Express utilise pour différents besoins, notamment le décalage automatique du temps et de la tonalité, l’indexation ou encore la recherche. Les balises de métadonnées et les marqueurs transitoires sont deux types de données importants pouvant être inclus dans les boucles Apple Loops. Logic Express utilise des balises de métadonnées pour localiser les fichiers lors de l’utilisation des fonctionnalités de recherche du navigateur de boucles. Les marqueurs transitoires indiquent où se produisent les temps dans le fichier. Logic Express utilise ces informations, conjointement avec les balises de métadonnées, pour faire correspondre le tempo et la tonalité du fichier à ceux du morceau, ce qui permet de garantir la meilleure qualité de lecture possible.48 Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops Boucles Apple Loops vertes et bleues Il existe deux types de boucles Apple Loops : ceux présentant une icône d’onde sonore bleue et d’autres avec une icône de note verte (ces icônes s’affichent dans le navigateur de boucles). Les deux contiennent des données audio PCM non compressées et les deux peuvent contenir des informations complémentaires pour l’étirement du temps, la transposition, l’indexation et la recherche. Les boucles Apple Loops vertes et bleues peuvent être ajoutées aux pistes audio. Elles se présentent comme des régions audio normales, mais peuvent facilement être identifiées par le symbole Apple Loop dans le coin supérieur droit. Elles suivent la tonalité et le tempo des morceaux. Les boucles Apple Loops qui présentent l’icône verte peuvent également être placées sur les pistes Instrument Audio et MIDI. Sur ces pistes, ces fichiers peuvent être modifiés de la même façon que les autres régions MIDI, avec modification individuelle des notes. Autre aspect intéressant des boucles Apple Loops vertes, si vous les faites glisser vers une piste Instrument audio “vide” (avec une bande de canal vide), l’instrument, les effets et les réglages d’entrée correspondants sont insérés automatiquement. Ces instruments peuvent être lus de la même façon que les instruments audio Logic Express. Les boucles Apple Loops vertes contiennent toutes les informations des boucles Apple Loops bleues, mais également une région MIDI ainsi que les réglages des instruments logiciels et des modules. Les boucles Apple Loops vertes sont appelées SIAL (boucles Apple Loops au format instrument logiciel). Boucles Apple Loops vertes et bleues dans le navigateur de boucles Symbole Apple Loop Symbole Apple Loop mono stéréo Boucle Apple Loop verte placée sur une piste Instrument audioChapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops 49 Astuce : lorsque vous placez des SIAL sur des pistes audio, elles sont importées en tant que régions audio. Cela permet de réduire le traitement audio requis pour la lecture. Ajout de boucles Apple Loops Il existe plusieurs moyens d’ajouter des fichiers Apple Loop à un morceau Logic. Logic Express offre un navigateur de boucles spécial qui vous permet de rechercher les boucles Apple Loops en utilisant des mots-clés pour l’instrument, le genre, l’atmosphère et autres. Vous pouvez également importer des boucles Apple Loops de la même façon que les fichiers audio. Pour ajouter une boucle Apple Loop à un arrangement, effectuez l’une des opérations suivantes : m Ouvrez le navigateur de boucles en choisissant Audio > Navigateur de boucles (ou utilisez le raccourci clavier du navigateur de boucles). Sélectionnez le fichier Apple Loop souhaité, puis faites-le glisser vers la fenêtre Arrangement, à la position souhaitée. Vous trouverez davantage d’informations sur le navigateur de boucles dans la section “Utilisation du navigateur de boucles” à la page 50. m Faites glisser le fichier Apple Loop directement du Finder vers la fenêtre Arrangement. m Sélectionnez l’outil Crayon, puis cliquez sur la piste souhaitée dans la fenêtre Arrangement tout en maintenant la touche Maj enfoncée (ou choisissez Audio > “Importer fichier audio” dans la barres de menus ; vous pouvez également utiliser le raccourci clavier d’importation de fichier audio). Un navigateur de fichiers standard est lancé. Accédez au dossier dans lequel résident vos boucles Apple Loops (voir “Chemins des fichiers Apple Loop” à la page 72 et les informations sur le menu déroulant Gestion Jam Pack dans la section Navigateur de boucles). Lorsque vous ajoutez une boucle Apple Loop à une piste audio, elle est automatiquement mise en correspondance avec le tempo et la tonalité du morceau. Cette fonctionnalité vous permet de lire simultanément plusieurs boucles Apple Loops avec un résultat satisfaisant, même si elles présentent des tempos et des tonalités différents. Lorsque vous ajoutez une SIAL (boucle Apple Loop au format instrument logiciel) à une piste Instrument audio, elle s’affiche en tant que région MIDI. Si la bande de canal de la piste est vide, l’instrument logiciel, les effets et les paramètres correspondants sont également chargés. 50 Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops Utilisation du navigateur de boucles Le navigateur de boucles est conçu pour rendre intuitive et rapide la recherche des boucles Apple Loops. Vous pouvez rechercher des boucles en utilisant des mots-clés, effectuer des recherches de texte, afficher un aperçu des boucles, afficher des informations sur les boucles, ou encore limiter l’affichage aux boucles d’un Jam Pack ou d’une bibliothèque de boucles spécifique. Pour ouvrir le navigateur de boucles, effectuez l’une des opérations suivantes : m Choisissez Audio > Navigateur de boucles. m Utilisez le raccourci clavier du navigateur de boucles. L’interface du navigateur de boucles La vue par défaut du navigateur de boucles affiche une matrice de 54 boutons, avec chacune un nom de catégorie. Cliquez simplement sur les boutons souhaités dans la matrice afin de restreindre la recherche des boucles Apple Loops appropriées. Les boutons activés sont mis en surbrillance. Plusieurs catégories peuvent être sélectionnées, conjointement ou non avec les options des menus déroulants Gestion Jam Pack, Gamme et Signature. Boutons d’affichage Menu Gestion Jam Pack Champ Recherche Menu Signature Boutons Catégorie Liste des fichiers Apple Loops Affiche toutes les boucles Apple Loops correspondant aux critères de recherche définis Curseur de volume Menu Gamme Menu “Lecture dans”Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops 51 Les boutons Vue en haut à gauche basculent entre trois types de vue. Le premier bouton à partir de la gauche, avec les trois rectangles, bascule vers un menu de fichier de colonne Mac OS X standard, séparé hiérarchiquement en critères de recherche Tous, Par genre, Par instrument, Par atmosphère et Favoris. Le deuxième bouton à partir de la gauche (avec l’icône de note) bascule en mode Matrice “normal”, affichant les catégories musicales. Le troisième bouton à partir de la gauche (avec l’icône de cloche) bascule en mode Effets sonores, offrant des boutons de catégorie d’effets tels que Explosions, Foley ou Personnes. Vous pouvez remplacer une catégorie affichée via le menu contextuel qui s’ouvre lorsque vous cliquez avec la touche Contrôle enfoncée (ou lorsque vous cliquez avec le bouton droit) sur un bouton de catégorie. Vous pouvez choisir parmi :  Genre : ce sous-menu offre des catégories musicales, par exemple Rock/Blues et Électronique.  Instruments : les options Basse, FX, Voix et les options Textures et Jingles sont notamment disponibles.  Descripteurs : les options de ce sous-menu couvrent les “atmosphères” des boucles Apple Loops et incluent Triste, Détendu, Groove, etc. Le navigateur de boucles affiche toutes les boucles indexées du système. Lorsqu’un grand nombre de boucles Apple Loops est installé sur votre système, l’administration peut devenir difficile. Pour simplifier les choses, le navigateur de boucles offre des outils avancés de gestion des boucles. Le menu déroulant Gestion Jam Pack vous permet de limiter l’affichage des boucles à un Jam Pack spécifique ou à tout autre dossier. Les Jam Packs sont des ensembles professionnels de boucles Apple Loop propres à un genre ou à un instrument, proposés par Apple. Sélectionnez simplement l’option souhaitée dans le menu Gestion de Jam Pack. Vous pouvez choisir parmi les options suivantes :  Tout afficher : choisissez cette option par défaut pour afficher toutes les boucles Apple Loops de votre système. Elle est très pratique si vous ne parvenez pas à localiser une boucle dont vous savez qu’elle est installée et indexée sur votre système, mais dont vous ne savez pas à quel Jam Pack elle appartient.  Mes Loops : choisissez cette option pour afficher toutes les boucles Apple Loops dans les dossiers ~/Bibliothèque/Audio/Apple Loops et ~/Bibliothèque/Application Support/GarageBand (~ indique le nom d’utilisateur).  GarageBand : choisissez cette option pour afficher toutes les boucles Apple Loops installées avec GarageBand.52 Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops  Jam Pack x : choisissez cette option pour afficher toutes les boucles Apple Loops d’un Jam Pack spécifique.  Fournisseur x : choisissez cette option pour afficher toutes les boucles Apple Loops d’un fournisseur indépendant en particulier. Le menu déroulant Gamme offre les options Quelconque, Mineure, Majeure, Aucun et Valable pour les deux. L’utilisation de ces options limite la recherche des boucles Apple Loops au type de gamme sélectionné, dans la catégorie choisie. Par exemple, si les catégories Country, Acoustique et Détendu sont sélectionnées, vous voyez une vingtaine de fichiers correspondant à vos choix. La sélection de l’option Gamme mineure réduit cette liste à dix boucles Apple Loops, ce qui accélère l’écoute et la sélection. Le menu déroulant Signature effectue une tâche similaire au menu Gamme, mais il limite les recherches aux boucles Apple Loops correspondant à la signature temporelle sélectionnée. Le champ Recherche est utilisé pour rechercher les boucles Apple Loops par nom ou par nom partiel :  Tapez le terme de recherche souhaité, puis appuyez sur la touche Retour. Tous les fichiers qui satisfont à votre terme de recherche s’affichent dans le navigateur de fichiers en bas de la fenêtre.  Le bouton Annuler à droite (qui apparaît dès que du texte est saisi) efface le texte entré. Il efface également l’historique de recherche. Le menu local Lecture dans détermine la tonalité de lecture de la boucle Apple Loop sélectionnée. Les choix sont les suivants : Tonalité de morceau, Note d’origine et “Entre do et si”. Le curseur Volume ajuste le niveau de lecture du fichier sélectionné dans la fenêtre Navigateur de boucles. La liste en bas de la fenêtre affiche toutes les boucles Apple Loops qui correspondent aux critères définis avec les paramètres décrits ci-dessus.  Le fait de cliquer sur des titres de colonne entraîne le tri de la liste de résultats par Nom, Correspondance, Tempo, Tonalité, etc.  Le fait de cliquer sur la flèche de n’importe quel titre de colonne sélectionné trie la liste par ordre alphabétique croissant ou décroissant, par pourcentage de correspondance, par tempo, par tonalité, par temps ou dans un ordre favori.  Les colonnes peuvent être redimensionnées en faisant glisser les lignes verticales entre les titres de colonnes. Bouton AnnulerChapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops 53  La sélection de n’importe quelle entrée de la liste de fichiers commence automatiquement la lecture. Vous pouvez arrêter la lecture en cliquant sur l’icône représentant un haut-parleur dans la colonne de gauche.  La colonne Fav (Favoris) affiche une case à cocher pour chaque boucle affichée. Cochez simplement cette case pour ajouter la boucle à la catégorie Favoris (pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Utilisation des favoris” à la page 54). Ajout de boucles Apple Loops au navigateur de boucles Logic Express doit indexer les boucles Apple Loops avant de les afficher dans le navigateur de boucles. Les boucles peuvent résider dans n’importe quel répertoire, mais vous devez indiquer à Logic Express à quel endroit les trouver. Pour ajouter des boucles Apple Loops au navigateur de boucles : 1 Ouvrez une fenêtre Finder à côté de Logic Express. 2 Accédez au dossier contenant les boucles Apple Loops. 3 Sélectionnez les boucles Apple Loops dans le dossier et faites-les glisser dans le navigateur de boucles. Les boucles sont ajoutées à la bibliothèque Apple Loops et sont indexées. Lorsque ce processus est terminé, les boucles sont disponibles directement dans le navigateur de boucles. Si vous faites glisser une boucle unique vers le navigateur de boucles, la boucle est copiée vers ~/Bibliothèque/Audio/Apple Loops/User Loops/SingleFiles. Si vous faites glisser un dossier de boucles situé sur le même lecteur et dans la même partition que le navigateur de boucles, les boucles sont conservées à leur emplacement actuel et un alias du dossier est créé dans ~/Bibliothèque/Audio/Apple Loops/ User Loops. Si les boucles se trouvent sur un autre lecteur ou une autre partition, vous êtes invité à préciser si vous souhaitez les copier dans la bibliothèque de boucles ou les indexer à leur emplacement actuel (les boucles ajoutées à partir de supports optiques sont toujours copiées).  Si vous choisissez de les copier, le dossier contenant les boucles est copié vers ~/Bibliothèque/Audio/Apple Loops/User Loops/.  Si vous choisissez de les indexer à leur emplacement actuel, un alias vers le dossier est créé dans ~/Bibliothèque/Audio/Apple Loops/User Loops/. 54 Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops Boucles Acid Loops dans le navigateur de boucles Le navigateur de boucles affiche également les boucles Acid Loops. À la différence des boucles Apple Loops, les boucles Acid Loops ne contiennent pas de balises. Dans les boucles Acid Loops, ces informations sont dérivées de la structure des dossiers environnants (en particulier, des noms de dossiers) qui doit obéir à certaines normes. Cela signifie qu’il n’est pas possible de faire glisser un fichier Acid Loop vers le navigateur. De fait, vous devez faire glisser tout le CD (ou tout le dossier) contenant les boucles Acid vers le navigateur de boucles. Utilisation des favoris La colonne Fav (Favoris) de la liste en bas du navigateur de boucles offre une case à cocher pour chaque boucle affichée. Cochez simplement cette case afin d’ajouter la boucle à la catégorie Favoris. Cet utilitaire est idéal pour compiler un ensemble de boucles Apple Loops que vous utilisez régulièrement. En tant que producteur de musique pour danser, vous créez souvent des morceaux commençant par des boucles de batterie. Vous pouvez par exemple avoir un modèle “quatre sur la piste”, des huitièmes et des seizièmes, des motifs à deux ou quatre temps, etc., et utiliser ces boucles favorites comme kit de construction groove, au moins pour l’arrangement shell. Ces boucles peuvent facilement être remplacées ou ajoutées à votre projet, mais l’utilisation de favoris peut constituer un bon point de départ pour nombre de vos morceaux. Création de boucles Apple Loops Vous pouvez créer une boucle Apple Loop à partir d’un enregistrement audio existant, car les boucles Apple Loops permettent l’étirement et la transposition automatiques du temps sur les autres formats de fichier audio.Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops 55 Vous pouvez enregistrer les régions Audio et Instrument audio en tant que boucles Apple Loops dans Logic. Les éléments transitoires définis sont basés sur les informations de tempo du morceau. Pour plus d’informations sur cette méthode, reportez-vous à la section suivante. Vous pouvez également utiliser l’Utilitaire de boucles Apple Loops pour créer des boucles Apple Loops à partir de régions audio. L’Utilitaire de boucles Apple Loops est un complément de Logic Express qui vous permet de gérer les balises de métadonnées et les éléments transitoires dans les fichiers audio. L’Utilitaire de boucles Apple Loops offre des fonctions sophistiquées d’édition de balises pour les fichiers audio. Vous pouvez par exemple définir les éléments transitoires manuellement, indépendamment du tempo du morceau. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Création de boucles Apple Loops dans l’Utilitaire de boucles Apple Loops” à la page 58. Remarque : l’Utilitaire de boucles Apple Loops ne vous autorise pas à créer des boucles de type SIAL. Quel outil utiliser, et quand l’utiliser ? Comme indiqué précédemment, Logic Express offre des fonctionnalités de création de boucles Apple Loops ; l’Utilitaire de boucles Apple Loops séparé vous permet également de créer vos propres boucles Apple Loops. La décision est relativement simple :  Pour créer une boucle Apple Loop à partir d’un fichier audio correspondant au tempo du morceau, utilisez les utilitaires de création Apple Loop disponibles dans Logic Express.  Pour créer une boucle Apple Loop au format instrument logiciel (ou SIAL), employez les utilitaires de création de boucles Apple Loop disponibles dans Logic Express.  Pour créer une boucle Apple Loop dite “sans boucle” à partir d’un fichier audio ne correspondant pas au tempo du morceau, employez les utilitaires de création de boucle Apple Loop disponibles dans Logic Express. Les boucles Apple Loops dites “sans boucle” (ou boucles one-shot) ne suivent pas le tempo et la tonalité du morceau. Cela s’avère utile si vous souhaitez ajouter à la bibliothèque de boucles des sons discrets, non musicaux (tels que des effets sonores), qui ne doivent pas être modifiés par le tempo et les propriétés de clé.  Si vous souhaitez créer une boucle Apple Loop avec boucle à partir d’un fichier audio ne correspondant pas au tempo du morceau, employez l’Utilitaire de boucles Apple Loops. Lisez la section suivante si vous souhaitez créer des boucles Apple Loops dans Logic. La section “Création de boucles Apple Loops dans l’Utilitaire de boucles Apple Loops” se trouve la page 58.56 Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops Création de boucles Apple Loops dans Logic Lorsque vous enregistrez une région en tant que boucle Apple Loop dans Logic Express, la région est ajoutée à la bibliothèque de boucles et apparaît dans le navigateur de boucles, ce qui permet son utilisation dans d’autres morceaux. Les informations de tempo du morceau sont utilisées pour baliser les éléments transitoires des boucles Apple Loops créées par l’utilisateur. Le fonctionnement de cette fonction est optimal si vos fichiers audio correspondent avec précision au tempo du morceau. Remarque : les boucles Apple Loops créées par l’utilisateur se comportent exactement de la même façon que les boucles Apple Loops fournies avec Logic, GarageBand et Jam Packs : elles suivent le tempo du morceau et correspondent à la clé du morceau (telle que définie par la signature de clé originale). Pour créer une boucle Apple Loop dans Logic : 1 Sélectionnez la région Audio ou Instrument audio dans la fenêtre Arrangement. 2 Choisissez Région > Ajouter à la bibliothèque de boucles Apple Loops dans le menu local Arrangement. 3 Dans la zone de dialogue Ajouter séquence à la bibliothèque Apple Loops :  Tapez un nom pour la boucle, choisissez la gamme, le genre, la catégorie d’instrument, le nom de l’instrument et les descriptions d’atmosphère appropriées (afin de simplifier les recherches).  Définissez le type de fichier, qui peut être One-shot ou En boucle. Si la longueur du fichier audio n’est pas ajustée précisément afin de contenir un nombre de barres entières, l’option One-shot est sélectionnée automatiquement et les boutons de type de fichier sont grisés. Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops 57 Remarque : les one-shots ne suivent pas le tempo et la clé du morceau. Cela s’avère utile si vous souhaitez ajouter à la bibliothèque de boucles des sons discrets, non musicaux (tels que des effets sonores), qui ne doivent pas être modifiés par le tempo et les propriétés de clé. Ces types de boucles contiennent toujours des balises de métadonnées, ce qui simplifie la recherche et la classification dans le navigateur de boucles. 4 Cliquez sur Créer. La boucle est ajoutée au Navigateur de boucles. Elle est stockée dans le ~/Bibliothè- que/Audio/Apple Loops/User Loops/SingleFiles. Vous pouvez la retrouver en utilisant les boutons de mot-clé, les menus ou en tapant le nom dans le champ Rechercher. Si vous faites glisser la boucle dans la fenêtre Arrangement, le symbole de boucle Apple Loops s’affiche en regard du nom du fichier. Étant donné que les one-shots sont traités comme des fichiers audio normaux, le symbole de séquence stéréo ou mono standard s’affiche en regard du nom du fichier (plutôt que le symbole de boucle Apple Loops). Si vous souhaitez créer une boucle Apple Loop avec boucle à partir d’un fichier audio ne correspondant pas au tempo du morceau, employez l’Utilitaire de boucles Apple Loops. L’Utilitaire de boucles Apple Loops vous permet de définir la longueur souhaitée de la boucle, quel que soit le tempo du morceau, en définissant manuellement la balise Nombre de temps et Signature. Notez que l’utilitaire fonctionne uniquement avec Régions audio, et non avec les régions MIDI sur les pistes Instrument audio. Pour plus d’informations sur l’Utilitaire de boucles Apple Loops, consultez la section “Création de boucles Apple Loops dans l’Utilitaire de boucles Apple Loops” à la page 58. Vous pouvez également ajuster le tempo du morceau à la longueur du fichier. Logic Express offre une fonction automatique qui fait correspondre la longueur d’une région Audio à la longueur musicale prévue. La longueur de la région reste constante, mais le tempo du séquenceur varie automatiquement, avec la lecture de la région à la longueur souhaitée. Pour ajuster le tempo du morceau à un fichier audio : 1 Créez une région audio qui s’étend sur le fichier audio complet. 2 Construisez un cycle dans la règle de mesure de la barre Arrangement. Définissez la longueur afin qu’elle corresponde à la longueur musicale souhaitée de la région. Exemple : si la région audio a une longueur d’une mesure, définissez un cycle d’une mesure. 3 Effectuez l’une des opérations suivantes :58 Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops  Choisissez Options > Tempo > “Ajuster Tempo par taille de région et locators” dans la barre des menus principale.  Utilisez le raccourci clavier de “Ajuster Tempo par taille de région et locators” (affectation par défaut : Commande + T). Le tempo est recalculé, la région (et le fichier audio référencé) correspond au tempo du morceau. Envoi d’effets dans les boucles Apple Loops au format instrument logiciel (SIAL) Si vous créez une boucle SIAL à partir d’une région sur une piste d’instrument audio qui utilise des effets d’envoi vers bus, puis que vous faites glisser la boucle enregistrée vers une autre piste Instrument audio (vide), la nouvelle boucle est différente de la région source originale. Cela tient au fait que les envois d’effets dans la piste d’origine ne sont pas enregistrés avec la boucle. Logic Express n’affecte pas automatiquement d’effets aux bus, car cela risquerait d’interférer avec les configurations de bus que vous avez déjà définies dans votre morceau. Les effets qui sont insérés directement sur le canal Instrument audio seront en revanche rappelés automatiquement si vous faites glisser la boucle vers la fenêtre Arrangement à partir du navigateur de boucles. Vous pouvez utiliser l’une des options suivantes afin de vous assurer que les boucles créées à partir des régions Instrument audio seront semblables aux régions d’origine :  Faites glisser la boucle SIAL (dont l’original a été affecté aux envois de bus) vers une piste audio plutôt que vers une piste Instrument audio. Lorsque vous créez une boucle Instrument audio, le fichier audio lu inclut le traitement du bus. Celui-ci est semblable à l’original.  Lors de la création d’une boucle à partir d’une région Instrument audio, insérez tous les effets nécessaires pour reproduire le son désiré directement dans la bande de canal de l’instrument. Cela permet une recréation fidèle de tous les éléments sonores lorsque vous ajoutez par la suite la boucle à une piste Instrument audio.  Lors de l’utilisation de boucles SIAL, configurez manuellement les envois et les effets de bus requis pour reproduire le son de la région d’origine. Création de boucles Apple Loops dans l’Utilitaire de boucles Apple Loops L’Utilitaire de boucles Apple Loops fournit des fonctions sophistiquées pour la création de boucles Apple Loops à partir de régions audio. Il vous permet de détecter les éléments transitoires présents dans un fichier audio et d’ajouter des marqueurs pour des éléments transitoires supplémentaires. Vous pouvez également déplacer ces marqueurs vers de nouveaux emplacements.Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops 59 Vous pouvez ajouter et modifier des balises de métadonnées ; vous pouvez également baliser plusieurs fichiers, un processus connu sous le nom de balisage par lot. L’Utilitaire de boucles Apple Loops peut lire les fichiers AIFF et WAV. Si vous enregistrez les modifications, le fichier est automatiquement enregistré en tant que fichier AIFF. Pour créer une boucle Apple Loop dans l’Utilitaire de boucles Apple Loops : 1 Sélectionnez une région audio dans la fenêtre Arrangement. 2 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Choisissez Audio > “Ouvrir dans l’utilitaire de boucle Apple” dans le menu Audio de la fenêtre locale.  Utilisez le raccourci clavier de l’option “Ouvrir dans l’utilitaire de boucle Apple”. Si la longueur du fichier audio ne correspond pas aux temps, la zone de dialogue suivante s’affiche : La longueur erronée a deux causes possibles :  L’enregistrement audio a été effectué sur le tempo du morceau mais n’a pas été coupé correctement. Dans ce cas, vous pouvez réduire la longueur de l’enregistrement, via la zone de dialogue.  La boucle utilise un tempo différent. Dans ce cas, vous pouvez régler la longueur de la boucle audio dans le champ Longueur de boucle et cliquez sur Utiliser longueur définie.60 Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops L’interface de l’Utilitaire de boucles Apple Loops La fenêtre Utilitaire de boucles Apple Loops comporte les sous-fenêtres Balises et Éléments transitoires. Le bas de la fenêtre inclut un ensemble de contrôles de lecture et de boutons de gestion des fichiers. L’Utilitaire de boucles Apple Loops comprend également un volet Ressources, situé à droite de la fenêtre principale, dans lequel vous pouvez gérer les fichiers ouverts. Contrôles de lecture Volet RessourcesChapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops 61 Sous-fenêtre Balises La sous-fenêtre Balises est divisée en quatre zones. Dans trois des sections, modifiez diffé- rents types de balises. Dans la quatrième zone, vous affichez des informations (qui ne peuvent pas être modifiées dans l’Utilitaire de boucles Apple Loops), telles que la longueur et l’emplacement du fichier. Plus vous incluez d’informations de métadonnées (balises) dans vos fichiers, plus les recherches sont précises dans le navigateur de boucles. Balises de propriétés Logic Express utilise les réglages des balises de propriétés Nombre de temps, Tonalité et Signature, conjointement avec les marqueurs transitoires, pour optimiser la lecture de la boucle Apple Loop. Leur modification affecte le rendu de la boucle lors de la lecture. Les autres balises de propriétés peuvent être utilisées pour inclure des informations complémentaires, mais n’affectent pas la lecture. Le champ Nombre de temps vous permet d’indiquer le nombre correct de temps dans un fichier. Ce nombre contrôle la façon dont Logic Express fait correspondre le tempo d’une boucle à celui du morceau. Lorsque vous ouvrez une région audio dans l’Utilitaire de boucles Apple Loops pour la première fois, Logic Express envoie les informations suivantes vers cet Utilitaire :  Le tempo du morceau.  La longueur du fichier audio en temps.62 Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops Si le tempo du fichier audio correspond à celui du morceau et que sa longueur correspond à un nombre entier de temps (ou que vous avez saisi la longueur correcte dans la zone de dialogue “Ouvrir le fichier audio dans Apple Loops Utility”), l’Utilitaire de boucles Apple Loops définit la valeur par défaut correcte pour le champ Nombre de temps. Remarque : si vous ouvrez un fichier audio directement dans l’Utilitaire de boucles Apple Loops, cette information n’est pas disponible. Dans ce cas, l’Utilitaire de boucles Apple Loops utilise différentes hypothèses pour définir la valeur Nombre de temps. Consultez le manuel concernant l’Utilitaire de boucles Apple Loops pour plus d’informations. La balise Type de fichier vous permet de définir le type de fichier, qui peut être Sans boucle ou Avec boucle. Les fichiers avec boucle sont mis en correspondance avec le tempo du morceau et, si la balise Tonalité est définie à une valeur autre que Aucune, avec la tonalité du morceau. Les fichiers sans boucle (ou boucles one-shot) ne suivent pas le tempo et la tonalité du morceau. Si vous les importez dans Logic, ils se comportent comme des fichiers audio “normaux”. Cela s’avère utile si vous souhaitez ajouter à la bibliothèque de boucles des sons discrets, non musicaux (tels que des effets sonores), qui ne doivent pas être modifiés par le tempo et les propriétés de clé. Les fichiers audio sans boucle contiennent toujours des balises de métadonnées, ce qui simplifie la recherche et la classification dans le navigateur de boucles. En général, vous balisez les fichiers avec des motifs rythmiques ou des passages musicaux destinés à la composition musicale et avec un arrangement de type “boucle”, ce qui permet à Logic Express de les faire correspondre au tempo du morceau et (pour les boucles musicales) à la tonalité du morceau. Les fichiers contenant des éléments non rythmiques, tels que les effets sonores et les doublages, destinés à une utilisation occasionnelle sur les pistes audio, doivent généralement être balisés comme étant sans boucle. Les commandes de balise de tonalité permettent de contrôler la manière dont Logic Express fait correspondre la tonalité d’une boucle au morceau. Lorsque vous importez la boucle dans Logic Express, ce dernier fait correspondre la tonalité de la boucle au le morceau en transposant la boucle dans le nombre requis de demi-tons. La boucle est transposée vers le haut ou vers le bas, dans la direction qui nécessite le moins de demi-tons. Exemple : si la tonalité du morceau est en do et que la balise Tonalité de la boucle est en ré, Logic Express transpose la boucle de deux demi-tons vers le haut (plutôt que de dix demi-tons vers le bas). Dans les deux cas, la boucle est mise en correspondance avec la tonalité du morceau. La tonalité de lecture globale des boucles Apple Loops est déterminée par la première signature de tonalité de la piste Signature (par défaut : do majeur).Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops 63 Aucune distinction n’est faite entre les tonalités majeures et mineures pour ces fonctions de transposition globale ; en fait, seule la note d’origine de la signature de tonalité initiale est importante pour la lecture des boucles Apple Loops et des régions MIDI. Par défaut, l’Utilitaire de boucles Apple Loops définit la balise Tonalité à partir des informations que fournit Logic Express dans la piste Signature. La balise Type de gamme identifie le type de gamme du fichier. Elle ne sert que de balise de recherche et n’a aucune incidence sur le son de la boucle. Le fait de modifier le type de gamme d’une boucle n’affecte pas la gamme de la boucle. Là encore, les informations fournies par Logic Express sont utilisées par défaut, via la piste Signature. La musique utilise différents types de gamme. Les principaux types sont les gammes majeures et mineures. Les boucles musicales de même tonalité (ayant la même note d’origine) mais de types de gamme différents ne donneront peut-être pas un bon résultat si elles sont jouées ensemble. Exemple : une boucle avec une progression d’accord de piano dans une tonalité en ré et une boucle avec une ligne de synthétiseur également dans une tonalité en ré peuvent ne pas donner un résultat optimal si le piano utilise la gamme ré majeur et que la ligne de synthétiseur utilise la gamme ré mineur. Le menu Type de gamme offre les options Majeur, Mineur, Valable pour les deux et Aucun. La dernière option convient aux morceaux avec percussions, sans hauteur tonale. Pour les boucles pouvant utiliser n’importe quelle gamme, il est préférable d’utiliser Valable pour les deux. La balise Signature fournit les informations suivantes sur une boucle : le nombre de temps de chaque mesure et la longueur des notes de la valeur de temps. Logic Express utilise le nombre de temps d’une mesure pour afficher les positions de mesure et de temps dans la règle de mesure. Cette valeur n’affecte pas la lecture. Si la valeur des temps n’est pas définie de manière correcte, la lecture est affectée. L’Utilitaire de boucles Apple Loops définit la balise Signature selon la valeur fournie par la piste Signature dans Logic. Si vous utilisez des boucles ayant une valeur de temps différente, ces boucles sont lues avec un tempo incorrect. Corrigez la balise Signature de sorte qu’elle indique correctement la valeur de temps. Les balises Auteur et Copyright permettent d’indiquer le nom de l’auteur d’une boucle et les informations sur les droits d’auteur. Le champ Commentaire affiche les éventuels commentaires sur le fichier. Ce champ est souvent utilisé pour indiquer un nom de fichier interne ou un code utilisé lors de la création d’une bibliothèque de boucles. Ces trois balises ne sont pas affichées dans le navigateur de boucles de Logic. Elles ne peuvent pas être utilisées pour rechercher des fichiers et permettent uniquement d’inclure des informations textuelles. Elles n’affectent pas le son des boucles. 64 Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops Balises de recherche Ces balises sont utilisées par la fonction Rechercher du navigateur de boucles et vous permettent de rechercher des fichiers correspondant à des critères spécifiques.  Menu local Genre : définit le type ou le style de musique pour lequel la boucle est appropriée. La liste des genres musicaux ne peut pas être modifiée.  Liste d’instruments : affiche les choix pour l’instrument de musique ou la catégorie d’instrument du fichier. Le fait de sélectionner une catégorie dans la colonne de gauche affiche une liste d’instruments/de sous-catégories dans la colonne de droite. Info du fichier Cette zone de la sous-fenêtre Balises inclut des lignes avec les informations Type, Longueur, Date de modification, Fréquence d’échantillonnage, Canaux, Tempo et Emplacement des fichiers. Ces informations sur les fichiers peuvent uniquement être affichées, mais pas modifiées dans l’Utilitaire de boucles Apple Loops. Descripteurs Le navigateur de boucles de Logic Express vous permet de rechercher des fichiers à l’aide de descripteurs. Les descripteurs sont des paires de mots-clés complémentaires qui décrivent l’atmosphère musicale ou le caractère du fichier. Chaque paire de mots-clés offre une ligne de boutons radio, vous permettant de choisir un mot-clé de la paire ou aucun. Balisage des fichiers Pour baliser un fichier, sélectionnez-le dans le volet Ressources, puis modifiez les balises du fichier dans l’onglet Balises. Vous pouvez modifier simultanément les balises de plusieurs fichiers. Pour cela, sélectionnez simplement les fichiers souhaités dans le volet Ressources, activez les cases des balises appropriées, apportez vos modifications, puis enregistrez. Remarque : si vous n’affectez pas de balises à une boucle, elle sera difficile à trouver dans le navigateur de boucles. Le navigateur de boucles affiche uniquement les boucles de sa liste de fichiers si une catégorie est choisie, ou si un nom est tapé dans le champ Rechercher. Par conséquent, si une boucle n’appartient à aucune catégorie, vous ne pouvez la rechercher qu’en tapant son nom dans le champ Rechercher.Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops 65 Sous-fenêtre Éléments transitoires Logic Express utilise des marqueurs transitoires, avec les balises Nombre de temps, Tonalité et Signature, pour traiter une boucle pendant la lecture. Vous pouvez ajouter et modifier des marqueurs transitoires dans la sous-fenêtre Éléments transitoires de l’Utilitaire de boucles Apple Loops. La sous-fenêtre Éléments transitoires contient un large affichage de forme d’onde, une règle de temps et une barre de défilement horizontale. Les marqueurs indiquent la position des éléments transitoires dans le fichier. En général, les éléments transitoires correspondent aux parties les plus larges (verticalement) d’une forme d’onde (autrement dit, les pics). Le menu local “Division d’éléments transitoires” et le curseur Sensibilité déterminent la position des marqueurs transitoires d’une boucle. Le menu “Division d’éléments transitoires” définit la valeur de temps utilisée par l’Utilitaire de boucles Apple Loops pour la détection d’éléments transitoires. Le curseur Sensibilité définit le degré de sensibilité pour la détection d’éléments transitoires. Lorsque vous augmentez la sensibilité de la détection d’éléments transitoires, l’Utilitaire de boucles Apple Loops considère les points de plus forte amplitude de la forme d’onde en tant qu’éléments transitoires, qu’ils se produisent ou non sur une valeur de temps.66 Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops Lorsque vous ouvrez un fichier dans l’Utilitaire de boucles Apple Loops, il recherche par défaut les éléments transitoires à chaque 16ème de note, en fonction des balises Tempo et Nombre de temps du fichier. Vous pouvez changer la valeur de temps utilisée pour la détection d’éléments transitoires via le menu local “Division d’éléments transitoires”. La plage va des notes complètes aux 1/64èmes de notes. L’affichage de forme d’onde dans la sous-fenêtre Éléments transitoires affiche les élé- ments transitoires détectés par l’Utilitaire de boucles Apple Loops et ceux insérés par l’utilisateur. Vous pouvez ajouter des éléments transitoires et déplacer les existants dans la sous-fenêtre Éléments transitoires. Pour afficher un fichier dans la sous-fenêtre Éléments transitoires : m Sélectionnez le fichier dans le volet Ressources, puis cliquez sur l’onglet Éléments transitoires. Remarque : la fenêtre Éléments transitoires ne peut afficher qu’un seul fichier à la fois. Si plusieurs fichiers sont sélectionnés, aucune forme d’onde ne s’affiche dans la fenêtre. Pour ajouter un nouvel élément transitoire : m Cliquez dans la zone plus sombre au-dessus de la règle de temps dans l’affichage de forme d’onde. Pour déplacer un marqueur transitoire : m Faites glisser le marqueur à l’aide de sa poignée dans la zone située au-dessus de la règle de temps. Pour supprimer un élément transitoire, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur la poignée de l’élément transitoire dans la zone située au-dessus de la règle de temps, puis appuyez sur la touche Suppr. m Faites glisser l’élément transitoire en dehors de la zone située au-dessus de la règle de temps. Dans la plupart des cas, vous pouvez trouver la position optimale des marqueurs transitoires en ajustant le menu “Division d’éléments transitoires” et le curseur Sensibilité. Vous ne devez modifier que quelques marqueurs individuellement. La position par défaut peut ne pas être précise dans certaines boucles, telles que les boucles avec du contenu musical présentant une forte distorsion ou des rythmes peu clairs. Ces boucles nécessitent généralement des modifications manuelles des marqueurs transitoires. Pour déterminer où placer les marqueurs, écoutez la boucle à son tempo et sa hauteur tonale d’origine. Ensuite, écoutez à un tempo et une hauteur tonale différents, afin de voir comment les changements de tempo affectent la lecture. Répétez cette procédure afin de voir comment les modifications des marqueurs affectent la lecture.Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops 67 Vous devez également garder à l’esprit les règles suivantes :  Chaque marqueur transitoire du fichier audio doit être libellé par un marqueur transitoire dans l’Utilitaire de boucles Apple Loops. Vous devez également ajouter un marqueur transitoire à tous les points présentant une importance musicale, notamment le début et la fin des notes, les changements de hauteur tonale ou les glissandos.  Au cours de la lecture, Logic Express accélère ou ralentit le tempo des boucles sans marqueurs transitoires. Si une boucle contient des notes soutenues ou des accords, vous devez également libeller ces périodes avec des marqueurs transitoires, en vous assurant qu’aucune période n’est supérieure à un quart sans marqueur.  Vous devez toujours tenter de respecter les règles ci-dessus en utilisant le moins de marqueurs possibles : des défauts peuvent se présenter aux points de transition entre les marqueurs (où le tempo est inchangé) et la zone entre les marqueurs (où le tempo est modifié). Volet Ressources Le volet Ressources répertorie les fichiers ouverts dans l’Utilitaire de boucles Apple Loops. Le volet contient une colonne Nom qui répertorie chaque fichier ouvert, ainsi qu’une colonne Modifications, qui indique les fichiers que vous avez modifiés. Le fait de cliquer sur un fichier dans le volet Ressources l’affiche dans la sous-fenêtre Balises ou Éléments transitoires. Le bouton Tout enregistrer enregistre tous les fichiers qui ont été modifiés.68 Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops Contrôles de lecture et de gestion des fichiers Le bas de la fenêtre Utilitaire de boucles Apple Loops contient un ensemble de contrô- les de lecture, qui vous permettent d’écouter le fichier sélectionné. Ces contrôles n’affectent pas les balises du fichier.  Bouton Aller au début : démarre la lecture à partir du début du fichier sélectionné.  Bouton Lecture : lit le fichier sélectionné.  Bouton Arrêter : arrête la lecture du fichier sélectionné.  Menu local Tonalité : transpose le fichier sélectionné dans une nouvelle tonalité pour la lecture.  Curseur Tempo : définit le tempo de lecture du fichier sélectionné.  Curseur Volume : définit le volume de lecture du fichier sélectionné. Remarque : lorsque plusieurs fichiers sont sélectionnés dans le volet Ressources, les contrôles de lecture ne sont pas disponibles. Vous ne pouvez pas lire plus d’un fichier à la fois dans cette fenêtre. Il y a deux autres boutons en bas de la fenêtre : le bouton Ressources et le bouton Enregistrer.  Bouton Ressources : affiche et masque le volet Ressources.  Bouton Enregistrer : enregistre vos modifications dans le(s) fichier(s) actuellement sélectionné(s) dans le volet Ressources. Conversion de fichiers ReCycle en boucles Apple Loops Logic Express vous permet de convertir des fichiers ReCycle en boucles Apple Loops. Pour importer des fichiers ReCycle uniques en tant que boucles Apple Loops : 1 Démarrez une importation ReCycle en utilisant les mêmes options que pour les fichiers audio :  Choisissez Audio > Importer fichier audio (ou utilisez le raccourci clavier d’importation de fichier audio). Vous pouvez également cliquer sur une piste audio avec le Crayon en maintenant la touche Maj enfoncée (ou cliquer avec l’outil Pointeur en maintenant les touches Commande + Maj enfoncées). Sélectionnez la boucle ReCycle souhaitée dans la zone de sélection de fichier.  Faites glisser la boucle ReCycle du Finder sur une piste audio. Bouton Aller au début Bouton Lecture Bouton Arrêter Curseur de volume Menu Tonalité Curseur TempoChapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops 69 2 Choisissez simplement l’option “Rendre en tant que boucle Apple Loop” dans le menu Fixe de la boîte de dialogue Import fichier ReCycle. La boucle ReCycle est convertie en boucle Apple Loop (les points de tranche sont convertis en positions transitoires) et copiée dans le dossier ~/Bibliothèque/Audio/ Apple Loops/User Loops/Single Files. La boucle Apple Loop est ajoutée à votre morceau Logic. Pistes globales et boucles Apple Loops Vous pouvez utiliser les pistes globales pour modifier des événements globaux tels que le tempo, la signature et la tonalité pendant un morceau. La section qui suit décrit la façon dont ces modifications dans les pistes globales affectent la lecture des boucles Apple Loops. Pour des informations détaillées sur les pistes globales, lisez le chapitre “Pistes globales” dans le Guide de référence de Logic Express 7. Piste Tempo Les boucles Apple Loops s’adaptent automatiquement au tempo de cette piste. Piste Signature Les boucles Apple Loops peuvent contenir des informations sur la tonalité originale et peuvent être transposées automatiquement. Elles sont lues à la tonalité par défaut du morceau, qui est définie par le premier événement de signature de tonalité. Aucune distinction n’est faite entre les tonalités majeures et mineures pour ces fonctions de transposition globale ; en fait, seule la racine de la signature de tonalité initiale est importante pour la lecture des boucles Apple Loops et des régions MIDI. La tonalité de lecture globale des boucles Apple Loops est déterminée par la première signature de tonalité de la piste Signature (par défaut : do majeur). 70 Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops Conversion de boucles Apple Loops en fichiers audio Lorsque vous convertissez une boucle Apple Loop en fichier audio, il se peut que le fichier résultant ne soit pas lu au tempo et aux réglages de tonalité actuels du morceau. Le nouveau fichier audio est alors lu avec le tempo et la tonalité d’origine de la bouche Apple Loop. Cela se produit lorsque vous sélectionnez une boucle Apple Loop et que vous choisissez Audio > “Convertir Régions en Fichiers Audio Individuels” dans le menu Arrangement, et que vous remplacez le paramètre Format de fichier “Type de fichier original” dans la fenêtre suivante par “Onde” ou “SDII”. Cela crée une copie du fichier Apple Loop original, mais sans les balises d’élément transitoire et de catégorie. L’absence de ces balises limite la lecture des fichiers au tempo et à la tonalité de la boucle Apple Loop d’origine, et non au tempo et à la tonalité du morceau. Si vous souhaitez convertir une région Apple Loop en fichier audio qui utilise les réglages de tempo et de tonalité du morceau, sélectionnez la ou les boucles, puis choisissez Fichier > Exporter > Région comme fichier audio. Prenez soin de cocher la case “Ajouter les fichiers résultants à la fenêtre Audio” afin d’utiliser le nouveau fichier dans le morceau actuel. La boucle Apple Loop est ainsi exportée en tant que nouveau fichier audio avec tout le traitement d’effet de module de la piste/du canal sur lequel réside la boucle Apple Loop. Pour exporter la boucle Apple Loop sans ces effets, contournez-les avant d’exporter la région. Pour contourner un module, cliquez sur Insérer Slot tout en appuyant sur la touche Option. Notez que, bien que ce fichier soit lu au tempo et à la tonalité actuels du morceau, il ne peut pas suivre les changements de tempo ou de tonalité suivants comme les autres boucles Apple Loops ; ces fichiers sont fixes avec le tempo et la tonalité du morceau lors de l’exportation du fichier. Astuce : si vous activez l’option Suivre Tempo pour le fichier audio, il suit le tempo du morceau et la première signature de tonalité définie dans les pistes globales. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Utilisation de la fonction Suivre Tempo” à la page 26.Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops 71 Boucles Apple Loops et fréquences d’échantillonnage La méthode utilisée pour convertir la fréquence d’échantillonnage des fichiers audio s’applique également aux boucles Apple Loops. Cette méthode de conversion des échantillons inclut également la correction des positions transitoires. Pour convertir la fréquence d’échantillonnage d’une boucle Apple Loop : 1 Sélectionnez la boucle Apple Loop souhaitée dans la fenêtre Audio. 2 Choisissez Fichier audio > Copier/Convertir Fichier(s) dans le menu de la fenêtre Audio. 3 Choisissez la fréquence d’échantillonnage souhaitée (et tous les autres réglages de conversion de fichier) dans la zone de dialogue suivante, sélectionnez l’emplacement du dossier, puis cliquez sur Enregistrer. Si l’option “Ajouter les fichiers résultants à la fenêtre Audio” est activée, la boucle Apple Loop avec fréquence d’échantillonnage convertie est automatiquement ajoutée au morceau. Elle suit les changements de tempo et de tonalité du morceau (sous réserve que la balise Tonalité ait été définie dans la boucle d’origine). Remarque : si une nouvelle boucle Apple Loop est créée, elle devra être indexée afin d’être visible dans le navigateur de boucles. Les boucles peuvent résider dans n’importe quel répertoire, mais vous devez indiquer à Logic Express à quel endroit les trouver. Vous n’aurez probablement pas besoin de convertir les boucles Apple Loops aussi souvent que les fichiers audio standard lors de l’utilisation de Logic, car les boucles Apple Loops offrent un avantage majeur : si vous changez la fréquence d’échantillonnage d’un morceau en choisissant Audio > Fréquence d’échantillonnage > … dans la barre des menus principale, toutes les boucles Apple Loops actuellement utilisées par votre morceau sont automatiquement converties vers la nouvelle fréquence d’échantillonnage sélectionnée. Fondu de boucles Apple Loops Les boucles Apple Loops ne prennent pas en charge les fondus, ce qui signifie que vous ne pouvez pas leur affecter directement un fondu. Dans la mesure où vous ne pouvez pas appliquer de fondus à une boucle Apple Loop, aucun paramètre de fondu ne s’affiche dans la zone Paramètre de région lorsqu’une boucle Apple Loop est sélectionnée. Si vous souhaitez parvenir à un effet de fondu, vous devez exporter la boucle Apple Loop (choisissez Fichier > Exporter > “Région comme fichier audio” dans la fenêtre Arrangement). Importez ce fichier dans la fenêtre Arrangement et appliquez-y le fondu.72 Chapitre 7 Utilisation de boucles Apple Loops Chemins des fichiers Apple Loop Les chemins utilisés pour l’installation des boucles Apple Loop dans Logic Express 7.2 sont les suivants : /Bibliothèque/Audio/Apple Loops Utilisé pour les bibliothèques Apple Loops fournies avec Logic Express 7.2. Ce dossier est également utilisé pour les versions GarageBand ultérieures à 2.0 et les bibliothè- ques Jam Pack supplémentaires (ultérieures au volume 4). ~/Bibliothèque/Audio/Apple Loops/User Loops Utilisé pour les boucles Apple Loops créées par l’utilisateur. /Bibliothèque/Application Support/GarageBand Utilisé pour toutes les bibliothèques de boucles Apple Loops publiées avant Logic Express 7.1 (y compris les bibliothèques fournies avec Logic Express 7 et GarageBand 1, ainsi que les volumes des bibliothèques Jam Pack 1 à 3). ~/Bibliothèque/Application Support/GarageBand Utilisé pour toutes les boucles Apple Loops créées avec Logic Express 7, Logic Express 7.0.1 ou n’importe quelle version de GarageBand 1. Remarque : combinées à l’option “Copier dans la bibliothèque”, les boucles Apple Loops glissées du Finder vers la fenêtre du navigateur de boucles copient les boucles Apple Loops à cet endroit. Vous pouvez bien sûr conserver des copies des boucles Apple Loops dans leur emplacement d’origine dans le Finder.8 73 8 Chemins d’accès aux fichiers mis à jour L’emplacement de tous les fichiers (préférences, réglages de modules, etc.) associés à Logic Express a changé. À la différence des versions précédentes, Logic Express 7 ne stocke pas les fichiers associés dans le dossier du programme. Logic Express 7 est conforme aux normes Mac OS X : Fichiers préinstallés Tous les fichiers préinstallés résident dans le domaine local : NomDisqueDur commençant généralement par : / (comme préfixe de chemin d’accès). Fichiers créés par l’utilisateur/modifiables Tous les fichiers pouvant être écrits directement par l’utilisateur résident dans le domaine de l’utilisateur : NomDisqueDur/Users/VotreNomUtilisateur. Cette chaîne commence généralement par : ~/ Préférences Tous les fichiers de préférences sont installés dans : ~/Bibliothèque/Preferences/Logic Le fichier de préférences principal s’appelle : com.apple.logic.express D’autres fichiers provenant des Préférences de Logic Express se trouvent également dans ce dossier. Modèles de morceaux Logic Express recherche le dossier “Song Templates” dans le dossier suivant : ~/Bibliothèque/Application Support/Logic. Logic Express recherche ensuite le morceau “Autoload” ou “Autoload.lso” dans le dossier suivant : /Bibliothèque/Application Support/Logic.74 Chapitre 8 Chemins d’accès aux fichiers mis à jour Réglages de modules Logic Express recherche un dossier dont le nom correspond au module (c’est-à-dire, le dossier “NomDuModule/”) dans les dossiers suivants, selon l’ordre indiqué :  ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/Plug-In Settings Ce chemin d’accès comporte toujours des réglages utilisateur ou modifiés. Ces réglages apparaissent toujours au début du menu local Settings (réglages) dans les fenê- tres de module. La commande Enregistrer réglage sous utilise ce niveau par défaut. L’option Save Setting (enregistrer le réglage) ne fonctionne que pour les réglages situés à ce niveau supérieur (autrement, l’option Save Setting as est sélectionnée).  /Bibliothèque/Application Support/Logic/Plug-In Settings Les réglages d’origine sont installés ici. Si Logic Express 7.2 trouve également des réglages dans l’un des autres emplacements, ceux-ci apparaissent aussi dans le sous-dossier Factory du menu Settings (Réglages).  /Applications/Logic 6 Series/Plug-In Settings Les fichiers de réglages de Logic 6 Series résident toujours à cet endroit. Si Logic Express trouve également des réglages dans l’un des autres emplacements, ces réglages apparaissent aussi dans le sous-dossier “Logic 6 Series” du menu Réglages. Nous vous recommandons de déplacer les anciens réglages utilisateur de cet emplacement vers le nouveau (~/Bibliothèque/Application Support/Logic/Plug-In Settings). Pour cela, choisissez la technique de glisser-déposer dans le Finder ou, dans Logic, chargez les réglages et enregistrez-les au nouvel emplacement (correspondant à l’emplacement proposé par défaut dans les zones de dialogue Save (enregistrer) et Save as (enregistrer sous). Réglages par défaut De même que les versions précédentes, Logic Express vous permet d’utiliser le fichier de réglages par défaut chargé automatiquement à l’ouverture d’un module. Ce fichier doit s’appeler #default.pst et se trouve dans : ~/Bibliothèque/Application Support/ Logic/Plug-In Settings/NomDuModule. Il s’agit de l’emplacement où vous pouvez enregistrer votre réglage par défaut. Il suffit d’enregistrer un paramètre sous le nom #default.pst. Si la recherche est infructueuse, Logic Express la poursuit dans /Bibliothèque/Application Support/Logic/Plug-In Settings/NomDuModule/, puis dans /Applications/Logic 6 Series/Plug-In Settings/NomDuModule.Chapitre 8 Chemins d’accès aux fichiers mis à jour 75 Instruments GarageBand Logic Express recherche les instruments GarageBand dans le dossier : “Plug-In Settings/NomDuModule” des répertoires suivants, selon l’ordre indiqué :  ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/Plug-In Settings/NomDuModule Les réglages définis ou modifiés par l’utilisateur sont enregistrés ici.  /Bibliothèque/Application Support/GarageBand/Plug-In Settings/NomDuModule Ce chemin d’accès mène aux réglages d’origine. Réglages de bande de canal Logic Express recherche le dossier “Channel Strip Settings” dans les dossiers suivants, selon l’ordre indiqué :  ~/Bibliothèque/Application Support/Logic Ce chemin d’accès mène aux réglages de bande de canal définis ou modifiés par l’utilisateur.  /Bibliothèque/Application Support/Logic Les réglages d’origine sont stockés ici. Logic Express recherche également des objets audio d’instruments et de pistes dans le dossier suivant : /Bibliothèque/Application Support/GarageBand/Instrument Library/ Track Settings. Instruments EXSP Logic Express recherche le dossier “Sampler Instruments” dans les dossiers suivants, selon l’ordre indiqué :  ~/Bibliothèque/Application Support/Logic Les instruments définis ou modifiés par l’utilisateur sont enregistrés ici.  /Bibliothèque/Application Support/Logic Les fichiers d’origine des instruments EXS sont installés ici.  /Applications/Logic 6 Series Les fichiers des instruments EXS de la série Logic 6 sont toujours enregistrés à cet endroit.  …/NomMorceauOuProjet Comme dans les versions précédentes, Logic Express recherche également des instruments EXS dans le dossier de projet ou de morceau. Logic Express recherche également dans le dossier : /Bibliothèque/Application Support/GarageBand/Instrument Library/Sampler. 76 Chapitre 8 Chemins d’accès aux fichiers mis à jour Conversion d’échantillon EXSP Voici les emplacements par défaut des échantillons convertis de formats différents :  ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/AKAI Samples Pour les échantillons convertis à partir du format AKAI.  ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/DLS-Giga Samples Pour les échantillons convertis à partir du format GigaSampler/GigaStudio.  ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/SoundFont Samples Pour les échantillons convertis à partir du format SoundFont. Icônes utilisateur Logic Express recherche les icônes de pistes définissables par l’utilisateur dans le dossier suivant : ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/Images/Icons. Les icônes utilisateur restent au format .png. Le nom de fichier doit commencer par xxx (xxx étant un numéro de 1 à 3 positions). Les icônes par défaut numérotées sont remplacées par vos icônes personnelles. Plug-ins de surface de contrôle Les modules de surface de contrôle sont installés (et recherchés) dans le lot d’applications. Vous pouvez installer des modules de surface de contrôle dans : ~/Bibliothèque/Application Support/MIDI Device Plug-ins. Tuning Tables Logic Express recherche le dossier “Tuning Tables” dans le dossier suivant : /Bibliothèque/Application Support/Logic. Répertoires par défaut Logic Express utilise les répertoires par défaut suivants :  ~/Music/Logic : pour les morceaux Logic Express (Ouvrir/Enregistrer/ Enregistrer sous).  ~/Movies : pour les fichiers de film (Ouvrir).  ~/Pictures : pour l’outil Caméra dans l’éditeur de partitions (Enregistrer fichier bitmap sous).9 77 9 Améliorations des modules Le chapitre suivant décrit les améliorations de modules effectuées depuis la version Logic Express 7. Ces informations remplacent celles du “Guide de référence des modules de Logic Express 7”. Il comprend les sections suivantes :  Utilisation du gestionnaire AU  Utilisation de la compensation de retard de module  Améliorations des instruments  Améliorations des effets Utilisation du gestionnaire AU Logic Express utilise l’outil de validation AU d’Apple pour garantir que seuls les modules Audio Units totalement compatibles avec la spécification Audio Units sont utilisés dans Logic. Cela permet de limiter les problèmes provoqués par les modules Audio Units tiers lors de l’exécution de Logic. Le processus de validation a lieu automatiquement lorsque vous lancez Logic Express. Vous pouvez voir les résultats de l’analyse pour tous les modules Audio Units du Gestionnaire AU de Logic. Pour ouvrir le Gestionnaire AU, effectuez l’une des opérations suivantes : m Choisissez Préférences > “Lancement de Logic AU Manager” dans la barre des menus principale. m Utilisez le raccourci clavier de l’option “Lancement de Logic AU Manager”.78 Chapitre 9 Améliorations des modules Remarque : Logic Express se ferme automatiquement avant le lancement de Logic AU Manager. Il redémarre automatiquement une fois que vous avez quitté AU Manager. Les résultats du test s’affichent dans la colonne Compatibilité. Les plug-ins Audio Units qui ont échoué peuvent être activés, mais sachez qu’ils peuvent poser problème. L’utilisation de modules non validés risque de fausser les résultats des tests d’autres modules analysés ou de provoquer des arrêts inopinés de Logic, voire des pertes de données (fichiers de morceau détruits). Nous vous conseillons donc vivement de vous rendre sur le site Web du fabricant pour y télécharger les mises à jour des modules Audio Units qui n’ont pas pu être validés. Logic AU Manager permet également de désactiver les modules Audio Units que vous ne souhaitez pas utiliser dans Logic, même s’ils réussissent le test. Pour désactiver un plug-in, il suffit de désélectionner la case à cocher correspondante dans la colonne Utilisé. Pour enregistrer votre sélection de plug-ins Audio Units, cliquez sur OK. Cliquez sur le bouton “Initialiser et tout re-scanner” pour effectuer un autre test de validation après avoir installé les modules/mises à jour ou déplacé les composants dans Finder, Logic ou AU Manager étant ouvert. Vous pouvez aussi réanalyser chaque plug-in dont vous avez installé une mise à jour. Des versions mises à jour de plug-ins sont testées automatiquement au lancement suivant de Logic. Elles sont aussi activées automatiquement lorsqu’elles sont validées par le processus d’analyse. Remarque : si vous appuyez sur les touches Maj + Contrôle lors du lancement de Logic, le mode AU Safe Mode (mode sans échec) est alors utilisé. Seuls les modules admis par le test de validation seront disponibles ; les plug-ins activés manuellement dont le test de validation a échoué ne seront pas disponibles.Chapitre 9 Améliorations des modules 79 Utilisation de la compensation de retard de module Logic Express inclut la compensation de retard de module pour les instruments, les pistes, les bus, les auxiliaires, les sorties et les objets ReWire. Un menu local se trouvant dans la sous-fenêtre Logic > Préférences > Audio > Général vous permet d’activer la compensation de retard de module pour :  Les pistes audio et les instruments  Tout (piste audio, instrument, bus, auxiliaire, ReWire et objets Sortie) À propos de la compensation de retard de module Certains modules d’effets introduisent un retard : cela signifie que l’effet nécessite un peu de temps pour traiter l’audio qu’il reçoit, et par conséquent, la sortie du module subit un léger retard. Cela se produit avec tous les effets dynamiques comportant des paramètres lookahead, par exemple. Logic offre la compensation de retard de module pour tous les canaux : si cette fonction est activée, Logic compense le retard introduit par les modules, ce qui permet de garantir que l’audio acheminée via ces modules est synchronisée avec le reste de l’audio. Logic permet cela en calculant la quantité de retard provoquée par les modules et en retardant les flux audio de la quantité appropriée (ou en décalant les pistes d’instruments et audio vers l’avant dans le temps). La méthode de compensation dépend du type de canal dans lequel est inséré le module induisant le retard.  Si des modules induisant un retard sont insérés dans des canaux de bus, auxiliaire, ReWire et sortie, Logic retarde tous les autres flux audio de la quantité appropriée.  Si des modules induisant un retard sont insérés dans des canaux audio et instruments audio, Logic décale automatiquement ces pistes vers l’avant dans le temps. L’avantage de cette méthode est que les autres canaux (ne contenant pas de modules induisant un retard) n’ont pas besoin d’être retardés. 80 Chapitre 9 Améliorations des modules Exemple : imaginons un morceau simple avec quelques pistes de basse, de guitare, de voix et de batterie. La piste basse est lue via un objet audio contenant un module introduisant un retard de 100 ms. Toutes les pistes de guitare sont acheminées vers un objet bus contenant plusieurs modules insérés. La latence combinée introduite par ces modules est de 300 millisecondes (ms). La voix est acheminée via un autre objet bus comportant un ensemble de modules introduisant une latence de 150 ms. Les pistes de batterie sont acheminées vers les sorties principales, sans être routées via des modules. Si les retards n’étaient pas compensés, les pistes de batterie seraient lues 300 ms après les pistes de guitare. La piste de basse serait lue 200 ms avant la piste de guitare, mais 100 ms après la batterie. La voix serait lue 150 ms avant la piste de guitare, mais 150 ms après la batterie et 50 ms après la basse. Inutile de préciser que ce ne serait pas idéal. Avec la compensation de retard de module définie sur Tout, Logic décale la piste de basse de 100 ms vers l’avant, afin de synchroniser les pistes basse et batterie. Logic retarde ensuite de 300 ms les deux flux de l’objet Sortie, afin de les aligner avec les pistes de guitare. L’objet bus vers lequel est envoyée la voix est également retardé de 150 ms, afin de l’aligner avec les flux batterie et guitare. Les calculs précis requis pour chaque flux sont gérés automatiquement. Limitations de la compensation de retard de module La compensation de retard de module fonctionne de manière transparente au cours de la lecture et du mixage. Le retard créé pour compenser les modules induisant un retard dans les canaux bus, sortie et auxiliaire peut être appliqué aux flux non retardés avant leur lecture. Les pistes instrument et audio (contenant des modules induisant un retard) peuvent également être décalés vers l’avant avant le début de la lecture. Il existe cependant certaines limitations si vous utilisez la compensation de retard de module avec des pistes en live. Le décalage des pistes audio et instrument préenregistrées vers l’avant est possible lors de la lecture de l’audio en live. Ainsi, l’enregistrement alors que la compensation de retard de module est définie sur instruments et pistes fonctionne correctement, tant que vous ne tentez pas d’enregistrer via des modules induisant un retard : une piste en live ne peut pas être décalée vers l’avant. Retarder un flux en live afin de le synchroniser avec d’autres canaux audio retardés n’est pas possible. Cela pourrait entraîner des problèmes si vous décidiez de procéder à d’autres enregistrements après avoir défini la compensation de retard de module sur Tout et après avoir inséré des modules induisant un retard dans les auxiliaires, les bus et les sorties. Si Logic doit retarder les flux afin de compenser les retards de module, vous allez écouter les flux audio retardés pendant l’enregistrement. Par conséquent, votre enregistrement sera retardé du nombre d’échantillons dont les flux audio ont été retardés. Chapitre 9 Améliorations des modules 81 Pour ces mêmes raisons, vous pouvez être confronté à un retard supérieur lors de la lecture de pistes d’instruments audio en live lorsque la compensation de retard de module est définie sur Tout. Résolution des problèmes de retard Pour éviter ces problèmes potentiels, essayez d’effectuer l’enregistrement audio et instrument audio avant d’insérer les modules induisant un retard. Si vous avez besoin d’enregistrer une piste audio ou instrument audio après la configuration d’un routage de signal induisant un retard, la procédure suivante vous aidera à éviter les problèmes. Pour enregistrer après la configuration d’un routage de signal induisant un retard : 1 Basculez le réglage de compensation de retard de module Tout vers “Pistes audio et instruments” dans la sous-fenêtre Logic > Préférences > Général > Audio. Remarque : vous pouvez utiliser le raccourci clavier de l’option “Activer/désactiver la compensation de retard de module : tout/pistes et instruments” afin de basculer le réglage de compensation de retard entre “Tout” et “Pistes audio et instruments”. La méthode de compensation de retard de module “Pistes audio et instruments” décale vers l’avant les pistes contenant des modules induisant un retard, de sorte que les pistes audio et instruments audio contenant des modules induisant un retard soient synchronisées avec les pistes non retardées. Il n’existe qu’une seule exception : les pistes en live ne peuvent pas être décalées vers l’avant. L’étape suivante consiste à éliminer le retard induit par les modules dans la piste d’enregistrement. 2 Contournez les éventuels modules induisant un retard sur la piste d’enregistrement en cliquant sur les logements d’insertion correspondants tout en appuyant sur la touche Option. En mode de compensation de retard de module “Pistes audio et instruments”, le contournement des modules élimine le retard créé. Le retard induit par les modules dans les pistes audio et instrument audio est compensé. La dernière chose à faire est de contourner le retard introduit par les modules sur les bus, les auxiliaires et les sorties. 3 Contournez les modules induisant un retard sur les bus, les auxiliaires et les sorties afin d’éliminer la latence. À ce stade, tous les flux audio sont synchronisés, ce qui vous permet de poursuivre avec l’enregistrement. Lorsque vous avez terminé l’enregistrement, réactivez tous les modules induisant un retard et basculez le réglage de compensation de retard sur Tout.82 Chapitre 9 Améliorations des modules Remarque : en mode Tout, le contournement des modules sur les bus, les auxiliaires et les sorties n’élimine pas le retard créé. Vous devez supprimer totalement ces modules des logements Insertion afin d’éliminer la latence. Si vous enregistrez de l’audio, une autre stratégie consiste à désactiver la case Contrôle logiciel dans la sous-fenêtre Logic > Préférences > Audio > Gestionnaires. Cela nécessite le contrôle de votre enregistrement via un mixeur externe. Lorsque Logic n’offre pas le contrôle logiciel de l’audio entrant, il peut positionner correctement les enregistrements audio, même lorsque la compensation de retard complet est active. Bien entendu, vous ne pouvez pas utiliser le contrôle externe lors de l’enregistrement d’instruments audio. Remarque : dans la mesure où Logic n’a aucun contrôle direct sur les sorties audio des périphériques externes, la compensation de retard de module ne peut pas fonctionner pour les pistes MIDI qui déclenchent des modules audio externes. Si vous activez la compensation de retard de module complète et que vous insérez des modules induisant un retard, les signaux MIDI externes sont désynchronisés avec les flux audio retardés. Ajustement des paramètres des modules avec la molette de la souris Vous pouvez utiliser la molette de la souris pour ajuster les paramètres de module Logic dans Logic Express. Pour ajuster les paramètres des modules avec la molette de la souris : 1 Positionnez le curseur de la souris sur le paramètre de module Logic souhaité. 2 Cliquez et faites tourner la molette de la souris. Prise en charge des modules Générateur Audio Units Logic Express prend en charge le type de module Générateur Audio Units. Comme son nom l’indique, ce type de module Audio Units génère des signaux audio. Contrairement aux instruments Audio Units, ils ne nécessitent cependant pas de signaux MIDI. Tous les modules Générateur Audio Units installés sur votre système se trouvent dans le menu Mono/Stéréo/Multicanal > Générateurs de l’instrument AU. Cela signifie que vous pouvez choisir parmi trois types différents de modules Audio Units (sous réserve que vous disposiez de modules appropriés installés sur votre système) dans le menu Instrument :  Générateurs AUChapitre 9 Améliorations des modules 83  Effets contrôlés par MIDI AU : étant donné que ces effets peuvent être contrôlés via MIDI, ils sont insérés dans le logement Instrument des objets instrument audio. Le signal audio que vous souhaitez traiter est ensuite sélectionné via le menu Side Chain du module.  Instruments AU EXSP24 mkII Les informations qui suivent complètent la section EXSP24 mkll du Guide de référence des modules de Logic Express 7. Vel Offset parameter (Paramètre de décalage de vélocité) Le paramètre Vel Offset (décalage de vélocité), que vous retrouverez vers la partie supé- rieure gauche de l’interface d’EXSP24mkII, permet de décaler la valeur de la vélocité des notes MIDI de ±127. Cela permet de limiter ou d’étendre la réponse dynamique d’EXSP24 mkII s’appliquant aux événements de notes entrantes. Paramètres de courbe temporelle Les curseurs Courbe temporelle s’appliquent aux enveloppes filtre et volume ; le curseur de gauche peut être utilisé pour dimensionner (raccourcir ou allonger) les intervalles des deux enveloppes. Notez que la position C3 est le point central ; la longueur des intervalles de toutes les zones affectées aux touches au-dessus de C3 peut être réduite avec ce curseur. Tous les intervalles des zones affectées aux touches sous C3 peuvent être allongés. Le curseur Courbe (attaque) détermine la forme de l’attaque de l’enveloppe.84 Chapitre 9 Améliorations des modules Instruments GarageBand Deux instruments GarageBand 2 supplémentaires sont inclus dans Logic Express. Ces instruments s’appuient sur un échantillon Hybride de base pour le premier, et sur des synthétiseurs Métamorphose hybride pour le deuxième. Ces deux synthétiseurs sont limités a quelques paramètres puissants qui restent pourtant simples d’usage, en plus des options courantes d’ADSR, de cutoff et de résonance. Testez ces contrôles afin de découvrir la simplicité avec laquelle vous pouvez créer des sons spectaculaires. D’un point de vue des notes, vous retrouverez les menus locaux Onde vous permettant de choisir l’ensemble d’échantillons servant à générer le son de base du synthétiseur. Chaque “onde” dans le synthétiseur Métamorphose hybride s’appuie sur deux couches d’échantillon. La commande Métamorphose effectue un fondu enchaîné entre ces deux couches. L’enveloppe Métamorphose vous permet de contrôler la forme du son dans sa durée. Par exemple, si vous définissez le paramètre Métamorphose sur B et son enveloppe Métamorphose sur “De A en B”, la forme de l’onde du son se modifie de la valeur A à la valeur B selon les réglages d’enveloppe ADSR. Remarque : si vous réglez le paramètre Métamorphose sur A et l’enveloppe Métamorphose sur “De A en B”, certains réglages ADSR n’entraîneront aucun son. Chapitre 9 Améliorations des modules 85 Dans un tel cas, vous pourriez obtenir des résultats des plus intéressants en utilisant le contrôle de modulation afin de faire décaler la valeur du paramètre Métamorphose lors de représentations en direct. Dans le synthétiseur Hybride de base, utilisez les curseurs concernant la Molette pour vibrato et la Molette pour Cutoff afin de déterminer les paramètres propres au contrôle de modulation. Amplificateur de basse Le module Amplificateur de basse simule le son de divers amplificateurs de basse couramment utilisés. Vous pouvez traiter les signaux de guitare basse directement dans Logic et reproduire le son des systèmes d’amplification de guitare basse haute qualité. Vous pouvez également utiliser Amplificateur de basse pour la création de sons expérimentaux. Vous pouvez utiliser librement le module sur d’autres instruments, en fonction de vos besoins, en appliquant le caractère sonore d’un amplificateur de basse à une partie vocale ou percussion, par exemple. Neuf modèles d’amplificateur sont accessibles via le menu local Modèle, en haut de l’interface de l’Amplificateur de basse :  American Basic : modèle américain d’amplificateur de basse des années 70, équipé de huit haut-parleurs 10’’. Bien adapté aux enregistrements blues et rock.  American Deep : basé sur le modèle d’amplificateur American Basic, avec une forte accentuation des fréquences intermédiaires basses (à partir de 500 Hz). Bien adapté aux enregistrements reggae et pop.  American Bright : basé sur le réglage American Basic, ce réglage accentue fortement les fréquences intermédiaires hautes (à partir de 4,5 kHz).86 Chapitre 9 Améliorations des modules  American Scoop : basé sur le modèle d’amplificateur American Basic, le réglage American Scoop combine les caractéristiques de fréquence d’American Deep et American Bright, avec accentuation des fréquences intermédiaires basses (à partir de 500 Hz) et des fréquences intermédiaires hautes (à partir de 4,5 kHz). Bien adapté aux enregistrements funk et fusion.  New American Basic : modèle d’amplificateur de basse américain des années 80, bien adapté aux enregistrements blues et rock.  New American Bright : basé sur le modèle New American Basic, ce réglage accentue fortement la plage de fréquence au-delà de 2 kHz. Bien adapté aux enregistrements rock et heavy métal.  Top Class DI Warm : Simulation DI réputée, bien adaptée aux enregistrements reggae et pop. Les fréquences intermédiaires, dans la plage de fréquences large entre 500 et 5000 Hz, sont réduites.  Top Class DI Deep : basé sur le modèle Top Class DI Warm, ce réglage est bien adapté aux enregistrements funk et fusion : sa plage de fréquences intermédiaire est la plus forte autour de 700 Hz.  Top Class DI Mid : basé sur le modèle Top Class DI Warm, ce réglage n’accentue aucune fréquence, mais comporte une plage de fréquences plus ou moins linéaire. Il est adapté aux enregistrements blues, rock et jazz. En haut de la section des curseurs, vous trouverez le contrôle de prégain, utilisé pour définir le niveau de préamplification du signal d’entrée. Directement sous ce curseur, vous trouverez les contrôles Faible, Moyen et Élevé. Utilisez ces curseurs pour ajuster les niveaux de basse, de fréquences intermédiaires et d’aigus en fonction de vos besoins. Le contrôle Fréquence intermédiaire supplémentaire vous permet d’ajuster la fréquence centrale de la bande intermédiaire entre 200 Hz et 3000 Hz. Le curseur Niveau de sortie sert de contrôle de niveau final pour la sortie Amplificateur de basse.Chapitre 9 Améliorations des modules 87 Nouveau module Ducker La mise à jour Logic Express 7.2 comprend le nouveau module Ducker (dans le sous-menu Logic > Dynamique). Important : pour des raisons techniques, le module Ducker peut uniquement être inséré dans les objets Sortie et Bus. Le ducking est une technique courante utilisée dans la diffusion radio et télévision : lorsque le présentateur parle pendant la musique, le niveau de la musique est automatiquement réduit. Une fois l’annonce terminée, la musique reprend automatiquement son niveau de volume original. Le module Ducker offre un moyen simple d’effectuer ce processus. Il permet même de réduire le niveau musical avant que le présentateur ne parle (même s’il en résulte un léger retard). Pour utiliser le module Ducker : 1 Insérez le module Ducker dans un objet Sortie audio ou Bus. 2 Affectez à un bus toutes les sorties de piste concernées par la réduction dynamique du volume de mixage. 3 Sélectionnez le bus qui transporte le signal de ducking (vocal) via le menu Side Chain du module Ducker. Remarque : contrairement à tous les autres modules de Side Chain, le Side Chain du module Ducker est mixé avec le signal de sortie après passage par le module. Cela permet de garantir que le signal Side Chain de ducking (doublage) est entendu en sortie. 4 Ajustez les paramètres du module Ducker. Le module Ducker offre les paramètres suivants :  Intensité : définit la quantité de réduction du volume (de la piste musicale, qui constitue en effet le signal de sortie). 88 Chapitre 9 Améliorations des modules  Seuil : détermine le niveau le plus faible qu’un signal Side Chain doit atteindre avant de commencer à réduire le niveau de sortie (mixage musical) de la quantité définie avec le curseur Intensité. Si le niveau du signal Side Chain n’atteint pas le seuil, le volume de la piste (mixage musical) n’est pas affecté.  Attaque : contrôle la rapidité à laquelle le volume est réduit. Si vous souhaitez un fondu du signal (mixage musical), définissez ce curseur à une valeur élevée. Cette valeur contrôle également si le volume est réduit ou non avant que le seuil ne soit atteint (plus cela se produit tôt, plus le retard introduit est important). Il convient de noter que cela ne fonctionne que si le signal de ducking n’est pas “live” (autrement dit, le signal de ducking doit être un enregistrement existant) : Logic doit analyser le signal avant sa lecture, afin d’anticiper l’instant où le ducking commence.  Maintien : détermine la durée pendant laquelle le volume de la piste (mixage musical) est réduit. Ce contrôle évite l’effet de cliquetis pouvant être provoqué par un niveau de Side Chain évoluant rapidement. Si le niveau de Side Chain dépasse très légèrement le seuil, plutôt que de le dépasser clairement ou de rester en deçà, configurez le paramètre Maintien sur une valeur élevée afin de compenser les réductions rapides du volume.  Libération : contrôle la vitesse à laquelle le volume revient au niveau d’origine. Utilisez une valeur élevée si vous souhaitez que le mixage musical augmente lentement après l’annonce. Nouveau module Speech Enhancer Logic Express 7.2 comprend le nouveau module Speech Enhancer. Ce module est conçu pour améliorer les enregistrements vocaux effectués avec le microphone interne de votre ordinateur (le cas échéant). Il combine la réduction du bruit, la remodélisation avancée de la fréquence du microphone et la compression multibande. Chapitre 9 Améliorations des modules 89 Le module offre les contrôles suivants :  Réduction du bruit : la valeur de ce curseur vous permet d’évaluer le seuil de bruit de votre enregistrement et donc la quantité de bruit à éliminer. Les réglages vers 100 dB permettent de conserver davantage de bruit. Les réglages vers 0 dB suppriment davantage de bruit de fond, mais en augmentant les défauts.  Bouton Correction du micro et menu Modèle de micro : activez ce bouton afin d’amé- liorer la réponse en fréquence des enregistrements audio effectués avec votre microphone intégré, en créant l’impression qu’un microphone haute qualité a été utilisé. Choisissez le modèle approprié dans le menu Modèle de micro. Vous pouvez utiliser le module Mic Enhancer avec d’autres microphones, mais les modèles de correction ne sont fournis que pour les micros Macintosh intégrés. Si un microphone non Macintosh est utilisé, le résultat sera meilleur si l’option Correction du micro est désactivée.  Bouton et menu Amélioration de la voix : l’activation de ce bouton active la compression multibande du modeleur de micro. Vous pouvez choisir parmi trois réglages de compression, afin de rendre la voix enregistrée plus audible et intelligible. Utilisez le réglage offrant les meilleurs résultats dans votre situation. Effet Améliorer le contrôle du temps Le module Améliorer le contrôle du temps améliore de façon non destructrice le contrôle du temps des enregistrements audio. Il offre deux paramètres : le contrôle Intensité détermine la quantité d’amélioration de contrôle du temps. Les éléments transitoires audio qui ne tombent pas sur les divisions de grille (déterminées par la valeur choisie dans le menu Grille) sont corrigées. Le menu local Grille vous permet de choisir entre différentes divisions de grille. Comme décrit ci-dessous, les divisions de grille servent de points de référence pour le processus de correction de contrôle du temps. Le module Améliorer le contrôle du temps est conçu pour “resserrer” la lecture (de l’audio enregistrée) dans une production. Il peut être utilisé sur différents documents et fonctionne en temps réel. À l’évidence, ce type de quantification en temps réel présente certaines limitations. Il ne fonctionne pas bien sur les enregistrements qui ont été lus avec trop de décalage par rapport aux temps. Il en va de même pour les pistes de percussion très complexes, à plusieurs couches. Il offre des améliorations sensibles de contrôle du temps sur les séquences mélodiques et de percussion relativement étroites, jouées en huitième ou en quart de note. Si une grande quantité de correction temporelle est requise et que les éléments transitoires sont trop décalées, vous pouvez constater un certain nombre de défauts audio ; tachez donc de trouver le juste équilibre entre qualité sonore et amélioration du contrôle du temps.90 Chapitre 9 Améliorations des modules Important : pour des raisons techniques, le module Améliorer le contrôle du temps fonctionne uniquement sur les pistes audio et doit être inséré dans le logement d’insertion supérieur. Astuce pour les triolets, essayez le réglage de note 1/12 pour les triolets de notes d’un huitième. Effet Vocal Transformer Le module Vocal Transformer (Transformateur vocal) vous permet de manipuler des pistes vocales de différentes façons. Si vous souhaitez transposer la tonalité d’une ligne vocale, ou convertir une piste vocale en voix “Mickey Mouse”, vous opterez pour le module Vocal Transformer. Le menu des réglages de la fenêtre de ce module vous permet de choisir entre deux préréglages. Avec les deux curseurs sous le menu, vous pouvez modifier les préréglages et créer vos propres réglages. Le curseur Tonalité transpose les tonalités jusqu’à deux octaves vers le haut ou vers le bas. Les ajustements sont effectués par demi-tons. Le paramètre Formant décale les formants, tout en préservant la tonalité ou en la modifiant de manière indépendante. Si vous affectez à ce paramètre des valeurs positives, la voix ressemble à celle de Mickey Mouse. Si vous modifiez le paramètre vers le bas, vous pouvez obtenir des effets semblables à ceux de Darth Vader dans Star Wars.Chapitre 9 Améliorations des modules 91 Effet Enhance Pitch Logic Express inclut le nouvel effet Enhance Pitch, qui corrige de manière non destructrice l’accord des enregistrements audio. Le curseur de réponse détermine la vitesse à laquelle l’enregistrement audio atteint la hauteur tonale corrigée visée. Si la réponse est trop lente, la hauteur tonale du signal de sortie ne sera pas modifiée assez rapidement. La réponse des modifications de hauteur tonale est indiquée en millisecondes. Le réglage optimal de ce paramètre dépend du tempo, du vibrato et de la qualité de la prestation originale. Les boutons Gamme vous permettent de définir la grille de quantification de la hauteur tonale. Les notes de l’enregistrement audio sont rapprochées de la hauteur tonale définie dans la grille. Le réglage de Gamme par défaut est Chromatique. Si ce réglage est activé, le module Enhance Pitch rapproche les notes de la hauteur tonale la plus proche sur la gamme chromatique (12 notes). Si vous choisissez la gamme Majeure ou Mineure, le menu Origine vous permet de définir la note d’origine de la gamme. Important : le module Enhance Pitch peut uniquement produire des résultats précis sur les enregistrements audio monophoniques (note unique). Curseur de mixage de Platinum Verb et Tape Delay L’interface utilisateur de “Platinum Verb” et “Tape Delay” a été améliorée : les curseurs Sec et Mouillé ont été déplacés de la vue 001/011 vers la vue Éditeur, remplaçant ainsi le curseur Mixage (qui est toujours disponible en mode 001/011). 92 Chapitre 9 Améliorations des modules Prise en charge des instruments Audio Units multicanaux Logic Express 7.2 prend en charge jusqu’à 32 sorties mono provenant d’instruments Audio Units à plusieurs sorties (les versions antérieures de Logic prenaient en charge 16 canaux mono). Pour accéder aux sorties individuelles d’un instrument audio : m Cliquez sur le logement Instrument de l’objet Instrument audio et choisissez l’instrument Audio Units souhaité dans le sous-menu Multicanal du menu Module. Les deux premières sorties de l’instrument multisortie sont lues en tant que paire sté- réo par le canal d’instrument dans lequel le module est inséré. Les sorties supplémentaires font l’objet d’un accès via Objets Aux. Conversion des modules Audio Units EVP73, EXSP24 et ET1 Le chargement de morceaux existants contenant une instance de module EVP73 (AU) est converti pour utiliser le piano électrique GarageBand (si le module Audio Units est indisponible). Le chargement de morceaux existants contenant une instance de module EXSP24 (AU) est converti pour utiliser le lecteur EXS24 interne (si le module Audio Units est indisponible). Le chargement de morceaux existants contenant une instance de module ETI (AU) est converti pour utiliser le module Tuner interne (si le module Audio Units est indisponible). 93 Corrections apportées à la documentation Logic Express 7 La section suivante évoque un certain nombre de corrections apportées au manuel concernant des fonctionnalités modifiées après rédaction de la documentation ou des corrections d’informations auparavant incorrectes. Gel des pistes utilisant des effets via un carte DSP Le Guide de référence de Logic Express 7 indique de manière erronée que vous ne pouvez pas geler les pistes qui utilisent des effets basés sur une carte DSP. Cette fonctionnalité est en fait prévue. Ouverture de fenêtre fixe de module Le Guide de référence de Logic Express 7 indique que le fait de double-cliquer sur un emplacement d’insertion tout en maintenant la touche Maj enfoncée permet d’ouvrir une fenêtre de module non flottante. Cette information s’avère inexacte. Le raccourci pour accéder à cette fenêtre est un double-clic tout en maintenant les touches Contrôle + Option enfoncées. Exportation de morceaux Logic 4.8 Le Guide de référence de Logic Express 7 mentionne la possibilité d’exporter des morceaux au format Logic 4.8. Ceci n’est pas possible directement de Logic Express 7 mais vous pouvez cependant utiliser Logic 6.4.3 pour ouvrir un morceau au format Logic Express 7, puis utiliser la fonction d’exportation au format Logic 4.8 disponible dans ladite version 6.4.3 de Logic. Avertissement : il est important de noter que des données (telles que l’automatisation) sont perdues lors de l’exportation d’un morceau au format Logic 4.8. Objets d’entrée dans Logic Express Les objets d’entrée audio décrits dans le Guide de référence de Logic Express 7 n’existent pas dans l’application. Vélocité de note par Hyper Draw dans Logic Express La fonctionnalité Hyper Draw pour la vélocité de note, décrite dans le Guide de référence Logic Express 7 aux pages 236 et 348, n’existe pas dans l’application. Boutons Préparer pour l’enregistrement dans Logic Express Les boutons Préparer pour l’enregistrement pour un instrument audio et pour les pistes MIDI décris dans le guide Logic Express 7 Guide de référence n’existent pas dans l’application. Mac OS X Server Administration du Serveur EnchaÓnement 5.0 QuickTime Pour la version 10.3 de Mac OS X Server ou ultÈrieureApple Computer Inc. © 2003 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Le propriétaire ou l’utilisateur autorisé d’une copie valide du logiciel Serveur Enchaînement QuickTime peut reproduire cette publication à des fins d’apprentissage de l’utilisation de ce logiciel. Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite ou transmise à des fins commerciales, telles que la vente de copies ou la fourniture de services d’assistance payants. Tous les efforts ont été déployés pour garantir la précision des informations contenues dans ce manuel. Apple Computer, Inc. n’est pas responsable des erreurs d’impression ou de frappe. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation de ce logo à des fins commerciales via le clavier (Option-1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple, AirPort, AppleScript, FireWire, iMac, iMovie, iTunes, Mac, le logo Mac, Macintosh, Mac OS, PowerBook, Power Mac, QuickTime et Xserve sont des marques d’Apple Computer, Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder est une marque d’Apple Computer, Inc. Adobe et PostScript sont des marques d’Adobe Systems Incorporated. PowerPC est une marque d’International Business Machines Corporation, utilisée sous licence. Remarque : Apple améliore continuellement les performances et le design de ses produits. Il se peut que certaines illustrations de ce manuel soient légèrement différentes de votre version du logiciel. F022-1324 3 1 Table des matières Préface 7 Bienvenue dans le serveur Enchaînement QuickTime 8 Nouveautés du serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) pour Mac OS X Server version 10.3 10 La suite de produits QuickTime 11 Informations supplémentaires Chapitre 1 13 Vue d’ensemble de l’enchaînement QuickTime 13 Qu’est-ce que l’enchaînement ? 14 Comparaison entre diffusion en direct et diffusion à la demande 14 Comparaison entre le téléchargement progressif (HTTP) et le téléchargement par enchaînement (RTP/RTSP) 14 Enchaînement Lecture instantanée 15 Configuration simplifiée pour la vidéo en direct 16 Comment recevoir des flux de données multimédias 16 Comparaison entre multidiffusion et monodiffusion 18 Relais Chapitre 2 19 Configuration de votre serveur Enchaînement QuickTime 19 Configurations matérielle et logicielle requises pour l’enchaînement QuickTime 19 Configuration requise pour l’ordinateur de visualisation 20 Configuration requise pour la diffusion en direct 20 Considérations relatives à la bande passante 21 Configuration de votre serveur d’enchaînement 21 Test de votre configuration 22 Accès aux données multimédias diffusées par votre serveur Chapitre 3 23 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime 24 Utilisation de l’application basée sur le Web pour gérer l’enchaînement QuickTime 25 Utilisation d’Admin Serveur pour gérer l’enchaînement QuickTime 25 Démarrage ou arrêt du service d’enchaînement 25 Modification du nombre maximum de connexions d’enchaînement 25 Modification du débit d’enchaînement maximum 26 Changement du répertoire réservé aux flux de données multimédias4 Table des matières 26 Association de l’ordinateur d’administration du serveur d’enchaînement à une adresse IP 27 Hébergement de flux provenant de plusieurs répertoires multimédias d’utilisateur 27 Configuration de flux de relais 28 Modification des réglages d’historique d’Enchaînement QuickTime 28 Sécurité et accès 29 Diffusion de flux à travers des coupe-feu via le port 80 29 Enchaînement à travers des coupe-feu ou des réseaux avec traduction d’adresses 30 Changement du mot de passe requis pour envoyer un flux de diffusion MP3 30 Utilisation de la monodiffusion automatique (annonce) à l’aide de QTSS sur un ordinateur distinct Chapitre 4 31 Gestion de vos données multimédias 31 Vue d’ensemble de QTSS Publisher 32 À propos des listes de lecture et des indications 33 Connexion à Mac OS X Server 33 Téléchargement de données multimédias de QTSS Publisher vers un serveur Enchaînement QuickTime 33 Préparation du contenu pour sa distribution sur le Web 33 Préparation des données multimédias préenregistrées pour la diffusion 34 Amélioration des performances des films à indications exportés à partir de QuickTime Player 34 Création et gestion de listes de lecture 35 Création et modification des annotations de films 36 Changement de l’image fixe d’un film intégré à une page Web 36 Transmission de votre contenu 36 Mise en ligne du contenu pour l’enchaînement ou le téléchargement 36 Démarrage et arrêt de listes de lecture 37 Conversion du contenu en page Web Chapitre 5 39 Dépannage 39 Utilisation de fichiers d’historique pour surveiller la diffusion de listes de lecture 39 Les fichiers multimédias ne sont pas diffusés correctement 40 Les utilisateurs ne peuvent pas se connecter à votre diffusion 40 Les utilisateurs reçoivent des messages d’erreur lors de la diffusion de donnéesTable des matières 5 Chapitre 6 43 Exemple de configuration 43 Enchaînement de présentations, en direct et à la demande 45 Configuration 53 Création d’une page Web pour simplifier l’accès 53 Prise de vue de la présentation en direct 54 Archivage de la présentation en direct Glossaire 57 Index 65 7 Préface Bienvenue dans le serveur Enchaînement QuickTime Découvrez les nouveautés de cette version du serveur Enchaînement QuickTime, ainsi que la suite de produits QuickTime. La suite de services de Mac OS X Server version 10.3 (“Panther”) comprend Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) version 5.0. QTSS est préinstallé sur le matériel serveur Apple. En termes de conception et de configuration, QTSS est semblable à Apache, le logiciel serveur Web populaire également inclus avec Mac OS X Server. Si vous êtes expérimenté dans l’utilisation d’Apache, QTSS vous semblera familier. Si vous avez précédemment administré un serveur Enchaînement QuickTime à l’aide de l’application basée sur le Web, à savoir Admin Web, vous pouvez continuer ainsi. Admin Web est utile pour administrer un serveur d’enchaînement à distance ou à partir d’ordinateurs non Mac. Pour plus d’informations, consultez la section “Utilisation de l’application basée sur le Web pour gérer l’enchaînement QuickTime” à la page 24. Admin Serveur pour Mac OS X Server version 10.3 comporte une interface conviviale permettant d’effectuer les opérations que vous réalisiez avec Admin Web.8 Préface Bienvenue dans le serveur Enchaînement QuickTime Nouveautés du serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) pour Mac OS X Server version 10.3 Intégré à Mac OS X Server version 10.3, QTSS version 5 constitue la nouvelle génération du puissant serveur d’enchaînement Apple, conforme aux normes standard. Mettant l’accent sur la simplicité d’utilisation et l’intégration à Mac OS X Server, cette version de QTSS apporte un certain nombre d’améliorations : • Nouvelle administration serveur L’administration QTSS a été remaniée et est désormais intégrée à Admin Serveur Mac OS X. Vous pouvez personnaliser les réglages du serveur d’enchaînement, notamment la liaison de QTSS à une adresse IP spécifique, la surveillance de l’activité du serveur, la configuration de relais et l’affichage des fichiers d’historique, avec la même interface que les autres services Mac OS X Server. L’application basée sur le Web est toujours disponible pour l’administration de QTSS. Vous pouvez exécuter Admin Serveur sur Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure, ou sur n’importe quel ordinateur Mac qui exécute Mac OS X version 10.3 ou ultérieure. Pour plus d’informations sur l’installation de logiciels d’administration sur un poste de travail, consultez le guide de premiers contacts Mac OS X Server pour la version 10.3 ou ultérieure. Vous pouvez utiliser Mac OS X Server version 10.3 pour la surveillance d’ordinateurs qui exécutent Mac OS X version 10.2 ou ultérieure. • Enchaînement depuis le répertoire de départ QTSS gère désormais l’enchaînement de films à partir du répertoire de départ des utilisateurs. Les utilisateurs peuvent diffuser leurs propres films en plaçant des fichiers à indications dans le dossier Sites/ Enchaînement de leur répertoire de départ ; le public peut accéder aux films via une URL de la forme rtsp://monserveur/~utilisateur/film.mov. Les administrateurs système n’ont plus besoin de placer les fichiers d’utilisateur dans le répertoire de données principal ; les films sont prêts pour l’enchaînement dès qu’ils sont copiés. Avec la prise en charge du répertoire de départ, vous pouvez également implémenter l’enchaînement basé sur les comptes, afin de spécifier l’espace disque utilisé pour les dossiers d’enchaînement locaux (via le Gestionnaire de groupe de travail). • QuickTime Streaming Server Publisher Utilisez cette nouvelle application simple à utiliser pour gérer toutes vos données multimédias QuickTime, à la fois pour l’enchaînement et le téléchargement progressif, sur Mac OS X Server version 10.3. La possibilité d’exécuter l’application soit localement sur le serveur, soit à distance à partir de n’importe quel ordinateur Mac exécutant Mac OS X version 10.2 ou ultérieure, permet à QTSS Publisher de répondre aux besoins des webmasters et des créateurs de contenu. QTSS Publisher vous permet de : • Télécharger des données multimédias vers Mac OS X Server “Panther”. • Préparer du contenu en vue de sa diffusion par enchaînement. QTSS Publisher applique automatiquement des pistes d’indication aux films qui en sont dépourvus, afin de garantir la fiabilité de vos flux. • Intégrer des données multimédias à une page Web. QTSS Publisher génère du code HTML que vous pouvez copier et coller dans une page Web existante.Préface Bienvenue dans le serveur Enchaînement QuickTime 9 • Annoter des films. Ajouter le titre approprié, le générique et les informations de copyright à vos données. • Générer des pages Web. QTSS fournit des modèles que vous pouvez utiliser pour convertir votre contenu en pages Web. • Créer des listes de lecture. Créez des listes de lecture MP3, MP4 et de film côté serveur par simple glisser-déposer. L’interface, semblable à celle d’iTunes, vous permet de transformer facilement votre serveur d’enchaînement en station de radio sur Internet ou d’offrir au public une présentation en direct simulé à partir de films QuickTime préenregistrés. • Mettre à jour des listes de lecture en direct. Ajoutez des données multimédias ou réorganisez les éléments d’une liste de lecture sans interrompre la diffusion vers votre public. Les autres fonctionnalités de QTSS sont les suivantes : • Enchaînement MPEG-4 natif Diffusez des fichiers MPEG-4 à indications, compatibles aux normes ISO, vers n’importe quel lecteur MPEG-4 ISO, sans conversion préalable en fichiers .mov. • Enchaînement audio MP3 Créez votre propre station de radio sur Internet. Vous pouvez distribuer des fichiers MP3 standard à l’aide de protocoles compatibles Icecast via http. Créez une liste de lecture de fichiers MP3 et distribuez-les vers des clients MP3 tels qu’iTunes, SoundJam et WinAmp pour une expérience de direct simulé. • Protection contre les coupures La technologie Apple de protection contre les coupures, ensemble de fonctionnalités de qualité de service, tire parti de l’excès de bande passante disponible pour mettre les données en mémoire cache localement sur le client. • Lecture instantanée Les utilisateurs équipés d’une connexion haut débit, qui visualisent un flux de données vidéo à l’aide de QuickTime 6 ou ultérieur, bénéficient de la fonction de lecture instantanée. Cette fonction améliore la mise des données en mémoire tampon et réduit considérablement la durée de cette opération. La lecture instantanée permet également aux utilisateurs équipés d’une connexion haut débit d’utiliser le curseur de durée pour faire défiler un flux de données à la demande en avant ou en arrière, la lecture étant mise à jour instantanément. • Authentification Deux types d’authentification, à savoir Digest et Basic, vous permettent de contrôler l’accès aux données multimédias protégées. • Listes de lecture côté serveur Vous pouvez diffuser un ensemble de fichiers multimédias comme s’il s’agissait d’une diffusion en direct. Cela peut s’avérer idéal pour la création et la gestion d’une station de radio ou de télévision virtuelle. • Gestion des relais Vous pouvez facilement configurer plusieurs couches de serveurs afin de diffuser des flux de données vers un nombre quasi illimité de clients.10 Préface Bienvenue dans le serveur Enchaînement QuickTime La suite de produits QuickTime La suite de produits QuickTime est unique en ce sens qu’elle inclut tous les logiciels dont vous avez besoin pour produire, transmettre et recevoir des flux de données. Chaque produit est entièrement conçu pour une compatibilité maximale avec tous les autres composants de la suite. La suite QuickTime est constituée des produits suivants : • QuickTime Player L’application gratuite QuickTime Player est une application simple à utiliser destinée à lire, manipuler ou visualiser des fichiers vidéo, audio, de réalité virtuelle (VR) ou graphiques compatibles avec QuickTime. • QuickTime Pro La puissante version “pro” de QuickTime Player offre de nombreuses fonctions de création multimédia. Vous pouvez créer des diaporamas, coder des séquences vidéo et audio complexes, éditer des pistes de films, créer des pistes d’indication, créer des présentations et assembler des centaines de types de données multimédias différents en un seul fichier de film. • Serveur Enchaînement QuickTime Inclus avec Mac OS X Server, le logiciel Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) vous permet de diffuser des données multimédias en temps réel ou à la demande via Internet, sans avoir à payer de licence par flux. Les utilisateurs voient les données dès qu’elles parviennent à l’ordinateur ; ils n’ont pas à attendre le téléchargement des fichiers. • Darwin Streaming Server Cette version open-source gratuite de Serveur Enchaînement QuickTime gère des plates-formes d’entreprise populaires telles que Linux, Solaris, Windows NT/2000 et Windows Server 2003. Elle peut être téléchargée au format source ou binaire et peut être utilisée avec d’autres plates-formes en modifiant quelques fichiers source propres aux plates-formes. • QuickTime Broadcaster QuickTime Broadcaster vous permet de produire une émission en direct, à laquelle toute personne équipée d’une connexion à Internet pourra assister. Associant la puissance de QuickTime et la simplicité d’utilisation légendaire d’Apple, QuickTime Broadcaster est inclus avec Mac OS X Server (et peut également être téléchargé gratuitement à partir du site Web d’Apple). QuickTime Broadcaster gère la plupart des codecs gérés par QuickTime.Préface Bienvenue dans le serveur Enchaînement QuickTime 11 Informations supplémentaires Il existe d’autres ressources sur l’enchaînement QuickTime, notamment des cours, des listes de diffusion et des foires aux questions (FAQ). Pour plus d’informations, consultez le site Web QTSS, à l’adresse http://www.apple.com/quicktime/qtss • La page des produit QTSS contient les informations les plus récentes sur les principales fonctionnalités, les téléchargements récents et la configuration minimale requise, ainsi que des liens vers d’autres pages de support : http://www.apple.com/quicktime/products/qtss/ • La page de support AppleCare de Mac OS X Server propose des liens vers de nombreux articles utiles de la base de connaissances Knowledge Base, concernant tous les services fournis avec Mac OS X Server, y compris QTSS et Apache. Elle contient également des liens vers les fichiers PDF du guide de premiers contacts Mac OS X Server pour la version 10.3 ou ultérieure et du guide de l’administrateur de Mac OS X Server : http://www.info.apple.com/usen/macosxserver • Le cours d’enchaînement QuickTime examine en détail Serveur Enchaînement QuickTime en expliquant aux administrateurs système et aux auteurs QuickTime les détails de la diffusion en temps réel. Pour plus d’informations, consultez la section Ressources de la page Serveur Enchaînement QuickTime : http://www.apple.com/quicktime/products/qtss/ • Le best-seller “QuickTime for the Web” constitue un excellent guide pratique. Cet ouvrage de la série Apple QuickTime Developer Series explique comment intégrer à un site Web de la vidéo, du son enregistré, des animations Flash, des séquences de réalité virtuelle, des séquences MIDI, du texte, des images fixes, des flux en direct, des jeux et de l’interactivité utilisateur. Le CD-ROM d’accompagnement inclut QuickTime Pro et un ensemble complet d’outils de développement pour Windows et Macintosh. Publié par Morgan Kaufmann, ce best-seller est proposé avec d’autres ouvrages très utiles sur le site Web de formation QuickTime (en anglais) : http://www.apple.com/quicktime/tools_tips/books.html • La zone des forums de discussion Apple du site Web de support AppleCare permet la discussion sur les problèmes relatifs à Serveur Enchaînement QuickTime. Accédez à la section Mac OS X Server, puis à Serveur Enchaînement QuickTime. Vous pouvez publier des messages et consulter les messages des autres utilisateurs inscrits : http://discussions.info.apple.com/ (en anglais) • Apple héberge de nombreuses listes de diffusion, notamment à l’intention des utilisateurs et développeurs du serveur d’enchaînement. Très fréquentées par les ingénieurs Apple, ces listes constituent d’excellentes sources d’informations pour les utilisateurs débutants et confirmés. Pour vous abonner, cliquez sur “Lists hosted on this site”, puis sur “streaming-server users” ou “streaming-server developers” et inscrivez-vous. Vous pouvez également effectuer une recherche dans les archives de ces deux listes : http://lists.apple.com (en anglais) • Le site Web des services QuickTime répertorie les fournisseurs de services d’enchaînement : http://www.apple.com/quicktime/tools_tips/services/12 Préface Bienvenue dans le serveur Enchaînement QuickTime • Si vous êtes un utilisateur expérimenté, vous pouvez consulter les documents RFC (Request for Comments) concernant les normes RTP et RTSP en consultant le site Web IETF (Internet Engineering Task Force) : http://www.ietf.org/rfc/rfc1889.txt (RTP) http://www.ietf.org/rfc/rfc2326.txt (RTSP) • Le site Web de source publique permet l’accès au code source de DSS (Darwin Streaming Server) et aux informations destinées aux développeurs. Prenez soin de lire les FAQ proposées sur cette page : http://developer.apple.com/darwin/projects/streaming/ (en anglais)1 13 1 Vue d’ensemble de l’enchaînement QuickTime Pour pouvoir configurer votre serveur Enchaînement QuickTime, il est important de comprendre ce qu’est l’enchaînement. Qu’est-ce que l’enchaînement ? L’enchaînement est la distribution de contenu multimédia, tel que les films et les présentations vidéo, sur un réseau en direct. Un ordinateur (serveur d’enchaînement) envoie les données multimédias à un autre ordinateur (client), lequel lit les données au fur et à mesure de leur réception. Avec l’enchaînement, aucun fichier n’est téléchargé sur le disque dur de l’ordinateur destinataire. Vous pouvez enchaîner l’envoi des données selon différents débits, d’une simple connexion par modem à une connexion à haut débit. De la même façon que vous avez besoin d’un serveur Web pour héberger un site Web, l’envoi de flux de données via Internet ou un réseau local nécessite un serveur d’enchaînement qui transmet les flux audio et vidéo à la demande. Lorsque les destinataires sont peu nombreux, le même ordinateur peut exécuter le logiciel de serveur Web, le logiciel de serveur de courrier et le logiciel de serveur d’enchaînement. En revanche, si les destinataires sont plus nombreux, un ou plusieurs ordinateurs sont généralement dédiés aux serveurs d’enchaînement. Lorsqu’un utilisateur demande un flux (à l’aide d’un logiciel client tel que QuickTime Player), la demande est gérée à l’aide du protocole RTSP (Real-Time Streaming Protocol). Les flux sont envoyés à l’aide du protocole RTP (Real-Time Transport Protocol). Un serveur d’enchaînement peut soit créer des flux à partir de séquences QuickTime stockées sur disque dur, soit transmettre des flux en direct auxquels il a accès. Le logiciel QTSS (QuickTime Streaming Server) vous permet de diffuser : • des émissions en direct, • de la vidéo à la demande, • des listes de lecture de contenu préenregistré.14 Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’enchaînement QuickTime Comparaison entre diffusion en direct et diffusion à la demande Les flux en temps réel sont transmis de deux façons : en direct et à la demande. Le serveur Enchaînement QuickTime utilise les deux modes. Les événements en direct tels que les concerts, les discours et les présentations sont généralement diffusés via Internet au moment même où ils se déroulent, à l’aide de logiciels de diffusion tels que QuickTime Broadcaster. Ces logiciels de diffusion codent une source en direct, telle que la vidéo provenant d’une caméra, en temps réel et envoient le flux résultant vers le serveur. Le serveur envoie (ou “sert”) alors le flux en direct aux clients. Quel que soit l’instant où un utilisateur se connecte au flux, tout le monde voit la même portion de flux au même moment. Vous pouvez simuler une expérience en direct à l’aide de contenus enregistrés, en diffusant à partir d’une source archivée (telle qu’un magnétophone) ou en créant des listes de lecture sur le serveur. Avec la distribution à la demande, d’un film ou d’un discours archivé par exemple, chaque client lit le flux depuis le début, de sorte que personne “n’arrive en retard”. Aucun logiciel de diffusion n’est requis pour la distribution à la demande. Comparaison entre le téléchargement progressif (HTTP) et le téléchargement par enchaînement (RTP/RTSP) Le téléchargement progressif (parfois appelé “Démarrage rapide”) est une méthode qui consiste à distribuer un film via Internet de sorte que sa lecture puisse commencer avant que le fichier ne soit complètement téléchargé. Avec le téléchargement progressif, toutes les données requises pour lire un film se trouvent en début de fichier, de sorte que QuickTime peut commencer la lecture du film dès que la première partie du fichier a été transférée. Contrairement à l’enchaînement, qui permet de visualiser des films sans télécharger aucun fichier, les films à démarrage rapide sont réellement téléchargés sur l’ordinateur destinataire. Un tel film peut être autonome, auquel cas toutes les données sont stockées dans le film proprement dit, ou inclure des pointeurs faisant référence à des données situées sur Internet. Vous pouvez visualiser les films à téléchargement progressif dans un navigateur Web, à l’aide du plug-in QuickTime, ou dans QuickTime Player. Vous pouvez créer des films à téléchargement progressif pour des spectateurs ayant des vitesses de connexion variables (appelées “films de référence”) et un film par enchaînement pour les spectateurs utilisant les connexions les plus rapides. Enchaînement Lecture instantanée Les utilisateurs qui regardent un flux vidéo à l’aide de QuickTime 6 ou ultérieur peuvent bénéficier de la fonctionnalité Lecture instantanée. Cette dernière constitue un progrès dans la technologie Apple de protection contre les coupures, qui permet de réduire considérablement les temps de mise en mémoire tampon, procurant ainsi une expérience de visualisation instantanée. Les utilisateurs peuvent faire défiler la vidéo en cliquant, comme si elle se trouvait sur leur disque dur.Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’enchaînement QuickTime 15 Les utilisateurs doivent disposer d’une connexion à large bande pour bénéficier de l’enchaînement Lecture instantanée. La réactivité de l’enchaînement Lecture instantanée dépend du débit du contenu. Elle peut également être affectée par le codec utilisé. Configuration simplifiée pour la vidéo en direct La figure ci-dessous illustre une configuration d’enchaînement vidéo et audio en direct. (La plupart des caméras vidéo disposent d’un microphone intégré.) Vous pouvez diffuser les séquences audio en utilisant uniquement un microphone, une table de mixage et tout autre équipement audio approprié. Un ordinateur PowerBook G4 équipé du logiciel QuickTime Broadcaster capture et code des données vidéo et audio. Le signal codé est envoyé via un réseau IP (Internet Protocol) vers un serveur qui exécute le logiciel QTSS (QuickTime Streaming Server). QTSS sur l’ordinateur serveur envoie le signal, via Internet ou un réseau local, aux ordinateurs client qui demandent le flux à l’aide de QuickTime Player. Il est possible également d’exécuter QuickTime Broadcaster et QTSS sur le même ordinateur. En revanche, si vous diffusez auprès d’un public important (plus de 100 personnes), Apple recommande d’exécuter QuickTime Broadcaster et QTSS sur des ordinateurs distincts. Diffuseur Serveur d'enchaînement16 Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’enchaînement QuickTime Comment recevoir des flux de données multimédias Lorsque vous regardez et écoutez des transmissions aériennes ou par câble, à la télévision ou à la radio, les longueurs d’onde utilisées sont dédiées à cette transmission. Ces transmissions sont le plus souvent non compressées et consomment de grandes quantités de bande passante. Ce n’est pas un problème, car elles ne doivent pas partager la bande de fréquence utilisée. Lorsque vous envoyez ces mêmes données via Internet, la bande passante utilisée n’est plus dédiée uniquement à ce flux de transmission. Les données doivent alors partager une bande passante extrêmement limitée avec des milliers, voire des millions d’autres transmissions transitant via Internet. Par conséquent, les données multimédias sont codées et compressées avant d’être transmises via Internet. Les fichiers qui en résultent sont enregistrés dans un emplacement spécifique et le logiciel serveur d’enchaînement, tel que QTSS, envoie les données multimédias via Internet aux ordinateurs client. Les utilisateurs Macintosh et Windows peuvent visualiser les flux de données multimédias à l’aide de QuickTime Player (disponible gratuitement sur le site Web Apple) ou de toute autre application gérant les fichiers QuickTime ou MPEG-4. Vous pouvez également configurer des flux que les utilisateurs peuvent visualiser à partir d’un navigateur Web (le plug-in QuickTime doit être installé). Lorsqu’un utilisateur commence la lecture de flux de données multimédias dans une page Web, le plug-in QuickTime envoie une demande au serveur d’enchaînement et ce dernier répond en envoyant le contenu multimédia à l’ordinateur client. Vous devez spécifier dans la page Web le contenu à envoyer au client : un film QuickTime situé dans un répertoire spécifié, une diffusion en direct ou une liste de lecture stockée sur le serveur d’enchaînement. Comparaison entre multidiffusion et monodiffusion Le serveur Enchaînement QuickTime gère le transport réseau multidiffusion et monodiffusion pour la distribution des flux de données multimédias.Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’enchaînement QuickTime 17 Lors d’une multidiffusion, un seul flux est partagé par les clients (voir illustration cidessous). Chaque client “se branche” sur le flux comme une radio se branche sur une émission FM. Cette technique réduit l’encombrement sur le réseau, mais nécessite un réseau qui soit a accès à la dorsale de multidiffusion (“Mbone”) pour le contenu distribué via Internet, soit permet la multidiffusion de contenu distribué en réseau privé restreint. En monodiffusion, chaque client lance son propre flux, entraînant la génération de nombreuses connexions un à un entre le client et le serveur (voir illustration ci-dessous). Une multitude de clients connectés en monodiffusion à un flux au sein d’un réseau local peuvent entraîner un trafic réseau important. Cette technique est cependant la plus fiable pour la distribution via Internet, car aucune gestion de mode de transport particulier n’est nécessaire. Multidiffusion Diffusion individuelle18 Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’enchaînement QuickTime Relais Un relais reçoit un flux entrant puis le transfère à un ou plusieurs serveurs d’enchaînement. Les relais permettent de réduire la consommation de bande passante Internet et sont utiles diffuser vers de nombreux spectateurs situés dans des emplacements différents. Une entreprise peut par exemple diffuser la présentation d’un PDG en la relayant du siège social vers les succursales. La présentation du PDG est capturée en direct avec une caméra vidéo. Les données audio et vidéo de la caméra sont codées à l’aide de QuickTime Broadcaster sur un ordinateur Mac OS X. Un ordinateur Mac OS X Server équipé du logiciel QTSS relaye la diffusion via Internet vers les ordinateurs destinataires qui servent les succursales de l’entreprise. Les employés utilisent des ordinateurs client pour se brancher sur les ordinateurs destinataires afin de regarder la présentation du PDG. Avec QTSS, il n’est pas nécessaire de configurer les ordinateurs destinataires ; ces derniers reçoivent automatiquement la diffusion transférée par l’ordinateur relais. Pour des informations détaillées sur la configuration des relais, consultez la section “Configuration de flux de relais” à la page 27. Destination Source Destination Clients Clients Relais Siège de l'entreprise Succursales Internet2 19 2 Configuration de votre serveur Enchaînement QuickTime L’objectif de ce chapitre est de vous permettre de configurer et d’utiliser rapidement votre serveur Enchaînement QuickTime. Les instructions de ce chapitre supposent que vous avez déjà installé Mac OS X Server “Panther” et procédé à sa configuration élémentaire initiale. Pour savoir comment configurer Mac OS X Server, consultez le document intitulé “Premiers contacts Mac OS X Server pour la version 10.3 ou ultérieure” (inclus sur le CD-ROM d’installation de Mac OS X Server et téléchargeable à l’adresse www.apple.com/server/documentation). Configurations matérielle et logicielle requises pour l’enchaînement QuickTime La configuration requise pour le serveur Enchaînement QuickTime est indiquée dans le guide de premiers contacts Mac OS X Server pour la version 10.3 ou ultérieure. Configuration requise pour l’ordinateur de visualisation Tout ordinateur sur lequel est installé QuickTime 4 ou ultérieur peut afficher les données multimédias envoyées par le serveur d’enchaînement. Pour un résultat optimal, Apple recommande QuickTime 6 ou ultérieur. QuickTime 6 et une connexion Internet haut débit sont nécessaires pour bénéficier de la fonctionnalité Lecture instantanée avec QTSS 4.1 ou ultérieur. Tout lecteur MPEG-4 compatible ISO permet de visualiser des fichiers MPEG-4. Il est possible d’écouter des flux de listes de lecture MP3 à l’aide d’iTunes ou de tout autre lecteur compatible de flux MP3, tel que WinAmp. Vous pouvez télécharger le logiciel QuickTime Player à partir du site Web QuickTime à l’adresse http://www.apple.com/quicktime20 Chapitre 2 Configuration de votre serveur Enchaînement QuickTime Configuration requise pour la diffusion en direct Pour diffuser du contenu en direct, vous pouvez utiliser QuickTime Broadcaster, inclus et installé avec Mac OS X Server. Pour plus d’informations, notamment sur la configuration, consultez la page Web Apple QuickTime Broadcaster (http://www.apple.com/quicktime/products/broadcaster/) et l’aide en ligne de QuickTime Broadcaster. Vous avez besoin du matériel suivant pour diffuser des données audio ou vidéo en direct : • Matériel source pour les données audio, vidéo ou les deux, par exemple un magnétoscope, un caméscope et un microphone. • Un ordinateur équipé de QuickTime Broadcaster ou de tout autre logiciel de diffusion (PowerPC G4 recommandé pour la diffusion MPEG-4), ainsi qu’une carte de capture vidéo ou audio. Remarque : QuickTime Broadcaster gère la capture vidéo à partir de la plupart des sources à technologie FireWire (notamment les caméscopes numériques (DV), certaines webcams et les boîtiers de conversion DV) pour un processus de diffusion simple et rapide avec des résultats de qualité professionnelle. • 128 Mo de RAM (256 Mo recommandé pour une diffusion professionnelle) • QuickTime 6 ou ultérieur Considérations relatives à la bande passante Il n’est généralement pas souhaitable de connecter un serveur d’enchaînement à Internet ou à un réseau local via un modem DSL (Digital Subscriber Line) ou câble. Le serveur serait en effet très limité par la bande passante relativement faible de ces modems pour le téléchargement de données vers le serveur. Dans certains cas, l’utilisation d’un serveur sur une connexion DSL peut entraîner la rupture d’un contrat de service. Consultez votre fournisseur de services DSL ou câble avant de configurer le serveur. Lors de la création de flux RTSP (Real-Time Transport Protocol), vous obtiendrez les meilleures performances si les flux ne dépassent pas 75% de la bande passante client prévue. Par exemple, n’utilisez pas un débit supérieur à 21 kilobits par seconde (Kbps) pour une connexion par modem à 28 Kbps. Pour une connexion classique par modem 56 K, ne dépassez pas 40 Kbps. Pour une connexion client T1 (1500 Kbps), n’utilisez pas un débit supérieur à 1125 Kbps.Chapitre 2 Configuration de votre serveur Enchaînement QuickTime 21 Configuration de votre serveur d’enchaînement Cette section explique comment configurer le serveur d’enchaînement, tester votre configuration et accéder aux données multimédias diffusées par votre serveur. Pour configurer votre serveur d’enchaînement : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Dans la liste Ordinateurs et services, sélectionnez l’ordinateur que vous souhaitez configurer comme serveur Enchaînement QuickTime et assurez-vous que vous pouvez voir tous ses services (cliquez sur le triangle en regard de l’ordinateur si tel n’est pas le cas). 3 Dans la liste Ordinateurs et services, cliquez sur Enchaînement QuickTime. 4 Cliquez sur Démarrer le service. Test de votre configuration Des échantillons de films QuickTime sont fournis avec QTSS dans le dossier par défaut des films, ce qui vous permet de tester la configuration du serveur. Ces échantillons peuvent être visualisés à partir d’un ordinateur client, à l’aide de QuickTime Player. Remarque : l’échantillon de fichier .mp3 inclus est uniquement destiné à la diffusion d’une liste de lecture MP3. Il ne s’agit pas d’un film QuickTime à indications et il ne peut pas être diffusé à la demande via RTSP. Pour plus d’informations sur la préparation de données pré-enregistrées (MP3 ou autres) à diffuser en direct simulé, consultez la section “Préparation des données multimédias préenregistrées pour la diffusion” à la page 33. Pour tester la configuration de votre serveur en visualisant un échantillon de film : 1 Sur un autre ordinateur, ouvrez QuickTime Player. 2 Cliquez sur Fichier > Ouvrir l’URL dans le nouveau lecteur. 3 Tapez l’URL suivante : rtsp://nom_hôte/sample_300kbit.mov où nom_hôte est le nom d’hôte ou l’adresse IP du serveur Enchaînement QuickTime. Sélectionnez le film avec le débit approprié en fonction de votre bande passante. 4 Cliquez sur OK. QuickTime Player se connecte au serveur et lit le film dans une nouvelle fenêtre. Si vous voyez le message “Fichier introuvable” : Assurez-vous d’abord que l’URL a été saisie correctement, en tenant compte des restrictions en termes de majuscules et de minuscules.22 Chapitre 2 Configuration de votre serveur Enchaînement QuickTime Si votre serveur d’enchaînement est un serveur multi-adressage (s’il héberge également un serveur Web par exemple), il se peut que vous deviez spécifier une autre adresse IP pour l’enchaînement. Un serveur Web utilise automatiquement le port 80 ; avec certaines configurations de client QuickTime, QTSS utilise également le port 80. Vous pouvez choisir ou ajouter une adresse IP pour le serveur d’enchaînement dans le volet Enchaînement QuickTime d’Admin Serveur. Cliquez sur Réglages, sur Associations IP, puis cochez la case Association correspondant à l’adresse IP souhaitée. La configuration initiale de votre logiciel serveur d’enchaînement est terminée. Les réglages complémentaires dépendent de votre matériel et de vos logiciels, de vos connexions réseau, du nombre prévu de spectateurs, ainsi que du type de données que vous souhaitez diffuser. Pour plus d’informations sur la détermination de ces réglages et sur l’utilisation du serveur d’enchaînement, consultez le chapitre 3, “Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime”, le chapitre 6, “Exemple de configuration” et les ressources présentées la page 11. Accès aux données multimédias diffusées par votre serveur Pour lire les flux de données multimédias, les utilisateurs doivent être équipés de QuickTime 4 ou ultérieur (ou d’un lecteur MP4). Voici les instructions à fournir aux utilisateurs qui souhaitent visualiser les flux multimédias diffusés par votre serveur. Pour visualiser des flux de données multimédias : 1 Ouvrez QuickTime Player. 2 Cliquez sur Fichier > Ouvrir l’URL. 3 Tapez l’URL du fichier multimédia. Par exemple : rtsp://monserveur.com/monfichier où monserveur.com est le nom DNS de l’ordinateur QTSS et monfichier est le nom du film ou du fichier multimédia. Cette URL suppose que le film ou le fichier multimédia se trouve au niveau supérieur du répertoire multimédia. Pour les films qui se trouvent dans des sous-dossiers du répertoire, ajoutez le dossier concerné au nom de chemin. Par exemple : rtsp://monserveur.com/mondossier/monfichier.mov Si vous souhaitez que les utilisateurs visualisent les flux de données multimédias à l’aide d’un navigateur Web, vous devez configurer une page Web pour afficher les données multimédias (voir “Conversion du contenu en page Web” à la page 37) et fournir aux utilisateurs l’URL de cette page. Il n’est pas recommandé de taper une URL RTSP directement dans le champ d’adresse du navigateur Web, car certains navigateurs ne comprennent pas le terme “rtsp”).3 23 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime Ce chapitre contient des informations sur la diffusion de flux de données à travers des coupe-feu, la configuration de relais et l’administration à distance d’un serveur Enchaînement QuickTime. Pour configurer et gérer Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS), vous devez utiliser l’application Admin Serveur, installée avec Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure. Cette application offre une interface utilisateur graphique standard pour toutes les plates-formes compatibles et vous permet d’administrer le serveur d’enchaînement localement ou à distance. Admin Serveur vous permet de modifier les réglages généraux, de surveiller les utilisateurs connectés, de visualiser les fichiers d’historique, de gérer l’utilisation de la bande passante et de relayer des flux d’un serveur à un autre.24 Chapitre 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime Voici une brève description des cinq volets d’Enchaînement QuickTime : • Vue d’ensemble : fournit un aperçu de l’activité actuelle du serveur. • Historiques : affiche les historiques d’erreurs pour permettre le dépannage, ainsi que les historiques d’accès qui contiennent des informations telles que le nombre et les heures d’accès à un fichier multimédia. • Connexions : fournit des informations sur les utilisateurs connectés et les relais actifs. • Graphiques : affiche un graphique du nombre moyen d’utilisateurs connectés ou du débit en fonction du temps (heures ou jours). • Réglages : permet de spécifier les réglages du serveur, de lier QTSS à des adresses IP spécifiques (si l’ordinateur serveur est de type multi-adressage), d’activer des relais et de modifier les réglages d’historiques. L’application QuickTime Streaming Server Publisher est également fournie avec QTSS et permet d’automatiser le processus de préparation et de diffusion des flux de films. Son interface conviviale facilite la publication sur le Web de flux de contenu exempts d’erreurs. Vous pouvez utiliser QTSS Publisher pour créer des listes de lecture, insérer automatiquement des indications dans des séquences ou intégrer facilement des films dans un site Web. Pour plus d’informations sur QTSS Publisher, consultez le chapitre 4, “Gestion de vos données multimédias”, à la page 31. Utilisation de l’application basée sur le Web pour gérer l’enchaînement QuickTime Si vous avez précédemment administré un serveur Enchaînement QuickTime à l’aide de l’application basée sur le Web, à savoir Admin Web, vous pouvez poursuivre de cette manière. Admin Web est utile pour administrer un serveur d’enchaînement à distance ou à partir d’ordinateurs non Mac. Pour utiliser Admin Web : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Cliquez sur Accès. 4 Sélectionnez “Activer l’administration basée sur le Web”. 5 Cliquez sur Enregistrer. Pour plus d’informations sur l’utilisation d’Admin Web, consultez le guide de l’administration QTSS/Darwin Streaming Server, disponible à l’adresse http://developer.apple.com/fr/darwinChapitre 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime 25 Remarque : si vous avez utilisé l’application basée sur le Web, à savoir Admin Web, pour administrer un serveur Enchaînement QuickTime, vous trouverez les fonctionnalités d’administration dans l’application Admin Serveur de Mac OS X. Utilisez QTSS Publisher pour créer des listes de lecture et préparer et organiser les fichiers multimédias. Utilisation d’Admin Serveur pour gérer l’enchaînement QuickTime Cette section contient des instructions pour les tâches telles que le démarrage et l’arrêt de l’enchaînement, la configuration d’un serveur multi-adressage et la modification de réglages tels que le nombre maximum de connexions et le débit maximum autorisé. Démarrage ou arrêt du service d’enchaînement Vous pouvez démarrer ou arrêter le service d’enchaînement à partir du volet Enchaînement QuickTime d’Admin Serveur. Pour démarrer ou arrêter le service d’enchaînement : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Dans la liste Ordinateurs et services, cliquez sur Enchaînement QuickTime pour le serveur. 3 En haut de la fenêtre, cliquez sur Démarrer le service ou sur Arrêter le service. Modification du nombre maximum de connexions d’enchaînement Lorsque le nombre maximum de connexions spécifié est atteint, un message indiquant que le serveur est occupé ou que la bande passante est insuffisante (erreur 453) est affiché pour les utilisateurs qui tentent de se connecter. Pour modifier le nombre maximum de connexions : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Tapez un nombre dans le champ Nombre de connexions max. 4 Cliquez sur Enregistrer. Modification du débit d’enchaînement maximum Si le débit maximal est atteint, personne d’autre ne peut se connecter. Les utilisateurs qui tentent de se connecter reçoivent un message indiquant que le serveur est occupé (erreur 453). Pour modifier le débit maximal : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services.26 Chapitre 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime 2 Cliquez sur Réglages. 3 Tapez un nombre dans le champ Débit maximal. 4 Cliquez sur Enregistrer. Vous pouvez spécifier des valeurs en mégabits par seconde (Mbps) ou kilobits par seconde (Kbps) dans le menu local. Changement du répertoire réservé aux flux de données multimédias Serveur Enchaînement QuickTime comporte un répertoire multimédia principal (/Bibliothèque/QuickTimeStreaming/Movies). Vous pouvez spécifier un autre répertoire pour vos flux de données multimédias (pour transférer le répertoire vers un autre disque dur par exemple). Pour spécifier un autre répertoire multimédia : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Tapez un nom de chemin dans le champ Répertoire Média ou cliquez sur le bouton en regard du champ afin de choisir un dossier. 4 Cliquez sur Enregistrer. Association de l’ordinateur d’administration du serveur d’enchaînement à une adresse IP Si votre ordinateur d’administration du serveur d’enchaînement est multi-adressage (si vous hébergez également un serveur Web par exemple), vous pouvez indiquer l’adresse IP à associer à QTSS. Pour spécifier une adresse IP : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime. 2 Cliquez sur Réglages, puis sur Associations IP. 3 Cochez la case Association pour l’adresse IP souhaitée. 4 Cliquez sur Enregistrer. Vous pouvez choisir d’associer QTSS à toutes les adresses IP répertoriées ou uniquement aux adresses sélectionnées.Chapitre 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime 27 Hébergement de flux provenant de plusieurs répertoires multimédias d’utilisateur Serveur Enchaînement QuickTime ne peut comporter qu’un seul répertoire multimédia principal. Cependant, en activant la prise en charge des répertoires de départ, les utilisateurs peuvent diffuser des fichiers ou des listes de lecture à la demande, à partir de leur répertoire de départ. Pour configurer QTSS afin qu’il diffuse des films provenant des répertoires de départ des utilisateurs : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime. 2 Cliquez sur Réglages, puis sur Accès. 3 Sélectionnez “Activer la diffusion depuis le répertoire de départ”. 4 Cliquez sur Enregistrer. 5 Demandez aux utilisateurs de placer leurs films QuickTime dans le dossier créé dans leur répertoire de départ (//Sites/Streaming). Pour visualiser un film dans un répertoire privé, tapez l’URL suivante : rtsp://nom_hôte.com/~utilisateur1/exemple.mov Remarque : pour diffuser un flux en direct à partir d’un répertoire autre que le répertoire multimédia, vous devez créer un fichier qtaccess. Pour plus d’informations, consultez le guide d’administration du serveur d’enchaînement QuickTime, disponible à l’adresse http://developer.apple.com/fr/darwin Configuration de flux de relais Vous devez utiliser des relais pour accepter un flux provenant d’un serveur d’enchaînement et le transférer, ou le “relayer”, vers un autre serveur d’enchaînement. Chaque relais est constitué d’une source et d’une ou plusieurs destinations. Pour configurer un relais : 1 Dans le volet Réglages du service Enchaînement QuickTime, cliquez sur Relais. 2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) en regard de la liste Relais. 3 Tapez un nom pour le relais dans le champ Nom du relais. 4 Choisissez une option dans le menu local Type de relais. L’option Demander une diffusion entrante ordonne au serveur d’enchaînement d’envoyer à l’ordinateur source une demande pour le flux entrant avant qu’il ne soit relayé. Vous pouvez utiliser cette fonctionnalité pour relayer une diffusion en direct (à partir d’un autre serveur) ou pour demander un fichier stocké et le convertir en un flux sortant en direct. L’option UDP non annoncé ordonne au serveur d’envoyer le flux immédiatement.28 Chapitre 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime L’option UDP annoncé ordonne au serveur d’attendre le flux entrant, puis de le relayer. Les relais configurés pour attendre des flux annoncés ne peuvent accepter que les flux multimédias utilisant le protocole d’annonce RTSP. 5 Dans le champ IP source, tapez le nom d’hôte DNS ou l’adresse IP de l’ordinateur source. 6 Dans le champ Chemin, tapez le nom du chemin d’accès au flux. 7 Si l’ordinateur source requiert l’authentification des diffusions automatiques, tapez un nom d’utilisateur et un mot de passe. 8 Assurez-vous que l’option Activer le relais est sélectionnée et cliquez sur le bouton Précédent. 9 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) en regard de la liste Destinations. 10 Tapez les informations demandées et cliquez sur le bouton Précédent. 11 Répétez les étapes 9 et 10 pour chaque destination, puis cliquez sur Enregistrer. Pour activer ou désactiver un relais, cochez ou décochez la case Activer en regard du relais dans la liste. Pour supprimer un relais, sélectionnez-le, puis cliquez sur le bouton Supprimer (–). Modification des réglages d’historique d’Enchaînement QuickTime Vous pouvez spécifier que chaque historique soit réinitialisé après un certain nombre de jours. Pour modifier les réglages d’historique : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Cliquez sur Consignation. L’historique des accès est mis à jour uniquement lorsque les connexions client sont interrompues. Un client connecté au moment d’une panne de courant ou d’une défaillance du serveur n’est pas consigné et n’apparaît pas dans l’historique des accès lorsque le serveur est relancé. Les fichiers d’historique sont stockés dans le répertoire /Bibliothèque/QuickTimeStreaming/Logs/. Sécurité et accès Il existe un certain niveau de sécurité inhérent à l’enchaînement en temps réel, dans la mesure où le contenu n’est transmis que si le client en a besoin et où aucun fichier n’est conservé, mais d’autres problèmes de sécurité peuvent néanmoins se présenter.Chapitre 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime 29 Pour plus d’informations sur la création de comptes d’utilisateur QTSS, consultez le guide de l’administrateur QTSS/Darwin Streaming Server (à l’adresse http://developer.apple.com/fr/darwin/) ou le guide d’administration des lignes de commande de Mac OS X Server version 10.3 (à l’adresse www.apple.com/server/ documentation). Diffusion de flux à travers des coupe-feu via le port 80 Si vous configurez un serveur d’enchaînement sur Internet et que vous supposez que certains de vos clients sont protégés par des coupe-feu autorisant uniquement le trafic Web, activez l’enchaînement sur le port 80. Avec cette option, le serveur d’enchaînement accepte les connexions sur le port 80 (port par défaut du trafic Web) et les clients QuickTime peuvent se connecter à votre serveur d’enchaînement même s’ils se trouvent derrière un coupe-feu n’autorisant que le trafic Web. Si vous activez l’enchaînement sur le port 80, veillez à désactiver tout serveur Web possédant la même adresse IP, afin d’éviter les conflits avec votre serveur d’enchaînement. Pour diffuser des flux QuickTime via le port HTTP 80 : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Cliquez sur Associations IP. 4 Sélectionnez l’option “Activer la diffusion sur le port 80”. Important : si vous activez la diffusion sur le port 80, assurez-vous que votre serveur n’exécute pas également un serveur Web tel qu’Apache. L’exécution de QTSS et d’un serveur Web avec enchaînement sur le port 80 peut provoquer un conflit de port entraînant le comportement anormal de l’un ou des deux serveurs. Enchaînement à travers des coupe-feu ou des réseaux avec traduction d’adresses Le serveur d’enchaînement envoie les données à l’aide de paquets UDP (User Datagram Protocol). Les coupe-feu conçus pour protéger les informations d’un réseau bloquent souvent les paquets UDP. Les ordinateurs client situés derrière un coupe-feu qui bloque les paquets UDP ne peuvent recevoir les flux de données multimédias. Cependant, le serveur d’enchaînement autorise également la diffusion via des connexions HTTP, ce qui permet la visualisation des données multimédias, même à travers des coupe-feu configurés de manière très restrictive. Certains ordinateurs client situés sur des réseaux qui utilisent la traduction d’adresses peuvent également s’avérer incapables de recevoir des paquets UDP, mais ils peuvent recevoir les données multimédias qui ne sont pas diffusées via des connexions HTTP. 30 Chapitre 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime Si les utilisateurs rencontrent des problèmes pour visualiser les données multimédias à travers un coupe-feu ou sur un réseau qui utilise la traduction d’adresses, ils doivent procéder à la mise à niveau de leur logiciel client avec QuickTime 5 ou une version ultérieure. Si les problèmes persistent, leur administrateur réseau doit leur fournir les réglages appropriés pour le serveur proxy d’enchaînement et le transport de diffusion sur leur ordinateur. Les administrateurs réseau peuvent également configurer leur logiciel coupe-feu afin d’autoriser les diffusions RTP et RTSP. Changement du mot de passe requis pour envoyer un flux de diffusion MP3 La diffusion de données MP3 vers un autre serveur nécessite une authentification. Pour changer le mot de passe de diffusion MP3 : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages, puis sur Accès. 3 Tapez un nouveau mot de passe dans la zone Mot de passe de diffusion MP3. 4 Cliquez sur Enregistrer. Utilisation de la monodiffusion automatique (annonce) à l’aide de QTSS sur un ordinateur distinct Vous pouvez diffuser des données multimédias à partir de QuickTime Broadcaster vers QTSS (QuickTime Streaming Server), exécuté sur un ordinateur distinct, à l’aide de la méthode de transmission Monodiffusion automatique (Annonce). Pour cela, vous devez créer un nom d’utilisateur et un mot de passe de diffusion sur le serveur d’enchaînement. Pour créer un nom d’utilisateur et un mot de passe de diffusion sur le serveur d’enchaînement : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages, puis sur Accès. 3 Cochez la case “Accepter les diffusions entrantes”. 4 Cliquez sur Définir le mot de passe et tapez le nom et le mot de passe. 5 Cliquez sur Enregistrer.4 31 4 Gestion de vos données multimédias Ce chapitre contient des informations sur l’utilisation de la nouvelle application QuickTime Streaming Server Publisher pour préparer, organiser et télécharger vers le serveur des données multimédias en vue de leur diffusion. L’application QuickTime Streaming Server Publisher, fournie avec Mac OS X Server version 10.3 (ou ultérieure), facilite la préparation et la diffusion de films sur Internet. Les utilisateurs qui ne sont pas administrateur du serveur peuvent soit installer QTSS Publisher à partir du CD des outils d’administration fourni avec Mac OS X Server, soit copier simplement l’application à partir d’un serveur. QTSS Publisher se trouve dans le répertoire /Applications/Server. Important : vous pouvez utiliser QTSS Publisher soit localement sur un ordinateur qui exécute Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure, soit à distance sur un ordinateur qui exécute Mac OS X version 10.2 ou ultérieure. Lorsque vous ouvrez QTSS Publisher, vous devez taper un nom d’utilisateur et un mot de passe pour un compte d’utilisateur Mac OS X Server (version 10.3 ou ultérieure). Vue d’ensemble de QTSS Publisher QTSS Publisher, nouvelle application à utiliser avec Serveur Enchaînement QuickTime, vous permet de gérer toutes vos données multimédias QuickTime sur Mac OS X Server, du téléchargement vers le serveur à la diffusion. Si vous utilisiez précédemment l’application basée sur le Web, à savoir Admin Web, pour créer des listes de lecture MP3 et de films, vous pouvez désormais utiliser l’interface de QTSS Publisher, plus semblable à une interface Mac, pour créer notamment des listes de lecture. QTSS Publisher permet de : • Télécharger des données multimédias vers le serveur. • Préparer les données multimédias pour l’enchaînement ou le téléchargement progressif. • Créer des listes de lecture MP3, MP4 et de films. • Créer des pages Web contenant des données multimédias QuickTime.32 Chapitre 4 Gestion de vos données multimédias À propos des listes de lecture et des indications QTSS Publisher contient une bibliothèque de données multimédias et une bibliothèque MP3. Vous pouvez ajouter des fichiers à ces bibliothèques, afin de les préparer pour l’enchaînement ou de les utiliser pour créer des listes de lecture. Une liste de lecture est un ensemble de fichiers multimédias (films QuickTime, fichiers MPEG-4 ou pistes audio MP3) que vous sélectionnez et organisez. Vous pouvez créer une “station de radio” virtuelle ou une diffusion vidéo en direct simulé, en créant une liste de lecture (ou une série de listes de lecture) à partir de données multimédias QuickTime, de fichiers MPEG-4 ou de fichiers MP3 préenregistrés. Les listes de lecture diffusent les données multimédias vers le serveur d’enchaînement, lequel envoie ces données aux spectateurs qui les demandent, dans l’ordre que vous avez défini (aléatoire ou séquentiel). Bien que les données soient préenregistrées, elles apparaissent aux spectateurs comme une émission en direct ; ils voient tous les mêmes données lorsqu’ils se se branchent sur l’émission. Pour qu’un film puisse être diffusé (fichier .mov ou .MP4), il doit contenir des indications. Les pistes d’indications contiennent les informations dont le serveur d’enchaînement a besoin pour diffuser correctement les données multimédias ; elles permettent au serveur de diffuser des films QuickTime sans devoir comprendre les types ou les codecs de données multimédias QuickTime. QTSS Publisher ajoute automatiquement des pistes d’indications aux éléments d’une liste de lecture, en fonction des besoins. Les listes de lecture MP3 ne nécessitent pas d’indications. La commande Présentation bascule entre le mode Liste et le mode Exploration. Cliquez sur Données afin d’afficher le contenu disponible. Glissez les fichiers multimédias dans la bibliothèque afin de les télécharger vers le serveur. Cliquez sur Réglages pour mettre le contenu à la disposition des utilisateurs et spécifier des options. Les bibliothèques contiennent tous les fichiers du serveur. Cliquez sur Liens afin de placer votre contenu dans des pages Web.Chapitre 4 Gestion de vos données multimédias 33 Remarque : lorsque vous utilisez QuickTime Player pour exporter un film comme film à indications, QuickTime ajoute automatiquement toutes les pistes d’indications nécessaires. Connexion à Mac OS X Server Lorsque vous ouvrez QTSS Publisher, vous devez fournir un nom d’utilisateur et un mot de passe pour un compte d’utilisateur Mac OS X Server (version 10.3 ou ultérieure). Les utilisateurs locaux peuvent se connecter si la diffusion depuis les répertoires de départ a été activée pour eux (voir “Hébergement de flux provenant de plusieurs répertoires multimédias d’utilisateur” à la page 27). Si la tentative de connexion échoue, assurez-vous que le serveur auquel vous tentez de vous connecter est en service. Assurez-vous également que le port 311 n’est pas désactivé par votre coupe-feu. Téléchargement de données multimédias de QTSS Publisher vers un serveur Enchaînement QuickTime Les fichiers que vous glissez dans la bibliothèque de données de QTSS Publisher sont automatiquement téléchargés vers le serveur auquel vous êtes connecté. Les données multimédias ne sont pas accessibles au public tant que vous ne les avez pas rendues disponibles (voir “Mise en ligne du contenu pour l’enchaînement ou le téléchargement” à la page 36). Vous pouvez utiliser QTSS Publisher comme zone de stockage temporaire pour préparer le contenu en vue de sa distribution sur le Web. Préparation du contenu pour sa distribution sur le Web Après avoir téléchargé le contenu vers le serveur (en le glissant dans la bibliothèque de données de QTSS Publisher) et avant de le mettre à la disposition du public, il peut s’avérer nécessaire de préparer vos fichiers en vue de leur distribution via Internet. Cette section décrit ce processus. Préparation des données multimédias préenregistrées pour la diffusion Lorsqu’elles sont préparées correctement, les données multimédias préenregistrées peuvent être lues sous forme de flux en direct simulé dans une liste de lecture. Vous pouvez lire les fichiers audio MP3 via une liste de lecture MP3 et les écouter à l’aide d’iTunes ou de tout autre lecteur MP3 compatible. Pour préparer les données multimédias préenregistrées en vue de leur diffusion dans une liste de lecture : 1 Assurez-vous que chaque film de la liste de lecture présente le même nombre et les mêmes types de pistes et que tous les fichiers multimédias contiennent des types de données compatibles.34 Chapitre 4 Gestion de vos données multimédias Toutes les pistes audio, par exemple, doivent utiliser le même codage, la même fréquence d’échantillonnage, le même taux de compression et le même débit. Toutes les pistes vidéo doivent également utiliser le même codage, le même taux de compression, le même débit et la même taille de trame. Les fichiers MP3 doivent utiliser la même fréquence d’échantillonnage. 2 Formatez les données multimédias de chaque fichier de la même manière. Pour une liste de lecture de films, assurez-vous que chaque fichier multimédia est un film QuickTime ou MPEG-4 à indications. (Si vous placez vos fichiers dans la bibliothèque de données de QTSS Publisher, les indications sont insérées automatiquement.) N’affectez pas d’indications aux fichiers MP3 lors de la préparation d’une liste de lecture MP3. 3 Ouvrez QTSS Publisher (dans le répertoire /Applications/Server), cliquez sur Données (si cette option n’est pas déjà sélectionnée), puis glissez les fichiers multimédias dans la bibliothèque de données QTSS. Important : la gestion des flux MP3 par QTSS est destinée aux flux en direct compatibles Shoutcast/Icecast (tels que ceux créés par une liste de lecture de diffusion) ou aux flux en direct d’autres diffuseurs MP3 en direct compatibles. Pour diffuser un fichier MP3 individuel à la demande (plutôt qu’en direct), sélectionnez l’option “Données disponibles pour le téléchargement” dans le volet Réglages URL de QTSS Publisher. Amélioration des performances des films à indications exportés à partir de QuickTime Player Lorsque vous exportez un film à indications à partir de QuickTime Player, vous pouvez compresser la vidéo et le son soit à l’aide du codeur de données utiles RTP natif, soit à l’aide du codeur de données utiles QuickTime générique. Pour sélectionner QuickTime, cliquez sur Options dans la zone de dialogue d’exportation de QuickTime Player, puis cliquez sur Réglages d’indic. de piste. En général, le codage natif des données utiles est préférable. Consultez le fabricant de votre codec pour des instructions de codage spécifiques. Réfléchissez bien avant de choisir entre les codeurs natif et QuickTime. Création et gestion de listes de lecture QTSS Publisher vous permet de créer et de gérer facilement des listes de lecture pour les diffusions vidéo ou audio. Création d’une liste de lecture de données multimédias pour l’enchaînement Vous pouvez créer une liste de lecture de films QuickTime, de fichiers MPEG-4 ou de pistes audio MP3. Pour créer une liste de lecture : 1 Assurez-vous que les fichiers multimédias que vous avez préparés se trouvent dans le dossier de bibliothèque approprié (MP3 ou Movie) de QTSS Publisher. Vous pouvez placer les fichiers dans QTSS Publisher en les glissant dedans.Chapitre 4 Gestion de vos données multimédias 35 2 Dans QTSS Publisher, cliquez sur Nouvelle liste de lecture. 3 Sélectionnez Liste de lecture MP3 ou Liste de lecture des données. 4 Tapez un nom pour la liste de lecture. Une fois que vous avez saisi le nom, QTSS Publisher crée un nom d’URL (que vous pouvez modifier si vous le souhaitez). La liste de lecture et les noms d’URL doivent être uniques ; deux diffusions ne peuvent pas utiliser le même nom. 5 Cliquez sur Créer une liste de lecture. 6 Glissez des éléments de la liste de la bibliothèque (en haut) dans Contenu de la liste de lecture. Modification d’une liste de lecture Pour modifier l’ordre des éléments d’une liste de lecture, faites-les glisser. Pour supprimer un élément d’une liste de lecture, sélectionnez-le, puis cliquez sur Supprimer. Pour ajouter des éléments à une liste de lecture, double-cliquez sur la liste, puis cliquez sur Ajouter des éléments. Vous pouvez également modifier des réglages tels que le nom, le genre et le mode de lecture de la liste. Pour modifier les réglages d’une liste de lecture : m Dans QTSS Publisher, sélectionnez une liste de lecture et cliquez sur Réglages (ou double-cliquez sur la liste de lecture). Remarque : vous pouvez modifier le contenu d’une liste de lecture sans devoir l’arrêter puis la redémarrer ; elle est mise à jour automatiquement. Vous pouvez modifier les réglages d’une liste de lecture (par exemple, le fait que la liste soit lue de façon aléatoire ou séquentielle) pendant sa diffusion, mais vous devez l’arrêter puis la redémarrer pour appliquer les nouveaux réglages. Modification de la pondération d’une piste dans une liste de lecture Vous pouvez “pondérer” une piste afin de régler la fréquence à laquelle elle est lue. Les pistes dotées d’une valeur de pondération plus élevée sont lues plus souvent que les pistes à valeur de pondération plus faible (lorsque l’option Aléatoire pondéré est sélectionnée dans le menu local Mode lecture du volet Liste de lecture). Pour modifier la pondération d’une piste : 1 Dans QTSS Publisher, sélectionnez la piste. 2 Réglez le curseur Pondération sur une position comprise entre 0 et 10. Création et modification des annotations de films Vous pouvez ajouter des annotations à un film afin d’indiquer le format d’origine, l’auteur et les acteurs. Si vous placez par exemple le nom complet d’un film dans les annotations, il apparaît en tant que titre dans la fenêtre QuickTime Player.36 Chapitre 4 Gestion de vos données multimédias Pour annoter un film : 1 Dans QTSS Publisher, sélectionnez un film et cliquez sur Réglages (ou double-cliquez sur le film). 2 Cochez la case correspondant à l’annotation que vous souhaitez inclure, puis tapez l’annotation dans le champ de texte. Changement de l’image fixe d’un film intégré à une page Web Lorsque vous utilisez QTSS Publisher pour intégrer un film à une page Web, vous pouvez choisir une image personnalisée qui sera affichée jusqu’à ce que la lecture du film commence. (Autrement dit, vous pouvez sélectionner une autre image en plus de l’affiche du film.) Pour sélectionner une image fixe destinée à représenter un film : 1 Dans QTSS Publisher, sélectionnez un film et cliquez sur Réglages du lien. 2 Faites glisser un fichier à partir du Finder ou cliquez sur Choisir. 3 Cliquez sur Appliquer. Vous pouvez également taper une légende qui apparaîtra sous l’image. Transmission de votre contenu Une fois que vous avez préparé et organisé vos données, QTSS Publisher facilite leur mise en ligne via Internet, par téléchargement progressif ou par enchaînement. Mise en ligne du contenu pour l’enchaînement ou le téléchargement Le contenu de la bibliothèque de données de QTSS Publisher est automatiquement téléchargé vers le serveur, mais il n’est pas disponible pour la diffusion à la demande tant que vous ne l’avez pas spécifié (sauf si vous lancez une liste de lecture). Pour rendre le contenu disponible publiquement : 1 Sélectionnez l’élément et cliquez sur Réglages (ou double-cliquez sur l’élément). 2 Cliquez sur URL (si cette option n’est pas déjà sélectionnée). 3 Cochez l’une des cases Accès utilisateur ou les deux. Démarrage et arrêt de listes de lecture Le volet Réglages de QTSS Publisher vous permet de démarrer ou d’arrêter la diffusion de listes de lecture. Pour démarrer ou arrêter la diffusion d’une liste de lecture : 1 Dans QTSS Publisher, sélectionnez la liste de lecture et cliquez sur Réglages (ou doublecliquez sur la liste de lecture). 2 Dans le volet Liste de lecture, cliquez sur le bouton Démarrer ou Arrêter.Chapitre 4 Gestion de vos données multimédias 37 Utilisez le menu local Mode lecture pour spécifier la façon dont la liste de lecture doit être lue. • Séquentiel diffuse les données multimédias dans l’ordre où elles apparaissent dans le fichier de la liste de lecture. • Séquentiel en boucle diffuse les données multimédias dans l’ordre où elles apparaissent dans le fichier de la liste de lecture. Une fois que le dernier fichier multimédia a été lu, la liste de lecture est répétée dans le même ordre. • Aléatoire pondéré diffuse les données multimédias de façon aléatoire, selon les valeur de pondération spécifiées pour déterminer la fréquence de lecture de chaque élément. Plus la pondération est élevée, plus la fréquence de lecture de l’élément est élevée. Vous pouvez spécifier le nombre d’éléments à diffuser avant la répétition d’un élément. Conversion du contenu en page Web Dans QTSS Publisher, vous pouvez facilement convertir une liste de lecture (ou n’importe quel fichier multimédia que vous proposez en diffusion ou en téléchargement) en une page Web, en la sélectionnant puis en cliquant sur Créer une page Web. Plusieurs modèles de page Web sont fournis (voir l’échantillon ci-après). Lorsque QTSS Publisher a terminé la création de la page Web, cette dernière s’ouvre dans Safari. Les utilisateurs peuvent accéder à la page Web en tapant l’URL dans leur navigateur. Vous pouvez modifier l’URL dans le volet Liens. QTSS Publisher génère également du code HTML que vous pouvez glisser dans votre éditeur de page Web afin de créer des liens vers des données multimédias. Pour accéder au code, sélectionnez les éléments et cliquez sur Liens, sélectionnez le lien, puis cliquez sur HTML. Vous pouvez également spécifier certains réglages pour choisir, par exemple, si le flux doit être lu dès le chargement de la page Web ou seulement lorsque l’utilisateur clique sur l’affiche, ou encore si le film doit s’ouvrir dans une fenêtre QuickTime Player.38 Chapitre 4 Gestion de vos données multimédias Pour modifier les réglages relatifs au contenu intégré à une page Web : 1 Dans QTSS Publisher, sélectionnez un film ou une liste de lecture et cliquez sur URL. 2 Cliquez sur Réglages du lien.5 39 5 Dépannage Ce chapitre contient des informations sur les opérations à effectuer si vous rencontrez des problèmes lors de la diffusion de données. Utilisation de fichiers d’historique pour surveiller la diffusion de listes de lecture Si vous activez la consignation, vous pouvez utiliser le fichier d’historique pour résoudre les problèmes qui se produisent au cours d’une diffusion. • Si les données de la liste de lecture ne sont pas diffusées, examinez Admin Serveur Enchaînement pour vous assurer que le serveur d’enchaînement est en cours d’exécution. • Si le serveur d’enchaînement est en cours d’exécution, assurez-vous qu’un processus nommé PlaylistBroadcaster est exécuté sur l’ordinateur serveur. Si tel est le cas, arrêtez la diffusion, supprimez du répertoire de données du serveur d’enchaînement le fichier SDP relatif à la diffusion, puis redémarrez cette dernière. Un nouveau fichier SDP est généré lorsque vous redémarrez la diffusion. Les fichiers multimédias ne sont pas diffusés correctement • Essayez de diffuser un échantillon de film afin de déterminer si le serveur y parvient. Des échantillons sont fournis avec le serveur. Si le serveur diffuse l’échantillon, le problème provient peut-être de la préparation de votre fichier de film. Recréez le film. Si l’échantillon n’est pas diffusé, le problème provient peut-être de l’ordinateur serveur ou du réseau. • Vérifiez l’activité du serveur d’enchaînement et, si nécessaire, réduisez le nombre maximal de connexions ou le débit. • Si le problème se produit sur un ordinateur client, assurez-vous que l’utilisateur dispose des réglages Proxy d’enchaînement et Transport d’enchaînement appropriés. L’administrateur du réseau de l’ordinateur client doit pouvoir fournir les réglages corrects.40 Chapitre 5 Dépannage • Assurez-vous que le logiciel client gère le format de fichier diffusé. • Vérifiez la structure de l’URL. • Vérifiez la liste de lecture. Si vous avez créé une liste de lecture en boucle contenant des fichiers MPEG-1 QuickTime à indications, les clients QuickTime risquent de rencontrer des problèmes pour visualiser le flux. Les utilisateurs ne peuvent pas se connecter à votre diffusion • Assurez-vous que QuickTime 4 (ou une version ultérieure) est installé sur l’ordinateur client. Si les utilisateurs se connectent via un navigateur Web, assurez-vous que le plug-in QuickTime 4 est installé correctement. • Assurez-vous que les utilisateurs disposent de l’URL correcte. • Si les utilisateurs tentent de se connecter à votre diffusion via HTTP, veillez à désactiver tout serveur Web susceptible de provoquer un conflit avec votre serveur d’enchaînement. Par ailleurs, assurez-vous que l’enchaînement sur le port 80 est activé dans le volet Réglages généraux d’Admin Serveur Enchaînement. Les utilisateurs reçoivent des messages d’erreur lors de la diffusion de données Voici la signification des messages : Code d’erreur 401 : l’utilisateur a tenté d’accéder à un fichier protégé. La mise à niveau vers QuickTime 5 ou une version ultérieure peut s’avérer nécessaire. Code d’erreur 404 : le serveur ne peut pas localiser l’URL saisie par l’utilisateur. Assurezvous que les utilisateurs saisissent l’URL appropriée pour la diffusion. Demandez aux utilisateurs de ne pas essayer de visualiser les données en tapant directement l’URL RTSP dans le champ d’adresse d’un navigateur Web. Les URL RTSP sont utilisées uniquement avec la commande Ouvrir l’URL de QuickTime Player. Code d’erreur 415 : le fichier de film ne comporte pas d’indications ou dispose d’une ressource compressée. Vous devez réaffecter des indications au film à l’aide de la version Pro de QuickTime Player. Vous pouvez également essayer de diffuser de façon native des fichiers MP3 à la demande (c’est-à-dire sous forme de téléchargement HTTP). La gestion QTSS des flux MP3 concerne les flux en direct compatibles shoutcast/icecast (tels que ceux créés par une liste de lecture MP3) ou les flux en direct d’autres diffuseurs compatibles de flux MP3 en direct. Pour diffuser des fichiers MP3 individuels à la demande (plutôt que sous forme de flux en direct), hébergez simplement ces fichiers sur un serveur Web.Chapitre 5 Dépannage 41 Code d’erreur 453 : le serveur est trop occupé pour que les utilisateurs puissent visualiser le flux. Les utilisateurs doivent réessayer plus tard. Vous pouvez augmenter le nombre maximal de connexions dans le volet Réglages généraux d’Admin Serveur Enchaînement. Code d’erreur 454 : la connexion au serveur a été interrompue. Les utilisateurs doivent relancer la visualisation du flux. Vérifiez si le serveur se trouve derrière un coupe-feu ou si le client utilise un logiciel de traduction d’adresses réseau (NAT). Consultez “Diffusion de flux à travers des coupe-feu via le port 80” à la page 29 et “Enchaînement à travers des coupe-feu ou des réseaux avec traduction d’adresses” à la page 29. Code d’erreur –5420 : le serveur n’est peut-être pas en cours d’exécution. Vérifiez-le puis redémarrez-le si nécessaire. Vérifiez si le serveur se trouve derrière un coupe-feu ou si le client utilise un logiciel de traduction d’adresses réseau (NAT). Consultez les sections “Diffusion de flux à travers des coupe-feu via le port 80” à la page 29 et “Enchaînement à travers des coupe-feu ou des réseaux avec traduction d’adresses” à la page 29.6 43 6 Exemple de configuration Ce chapitre décrit les principaux composants requis pour une configuration générique de diffusion sur le Web, ainsi que la façon dont ils sont interconnectés. Les instructions d’installation ci-après conviennent à un environnement d’enseignement tel qu’un campus universitaire. Cet exemple peut néanmoins être facilement adapté à de nombreuses utilisations, notamment : • L’enseignement à distance • Les communications d’entreprise à l’intention des employés, clients, fournisseurs ou actionnaires • Un concert ou une présentation ponctuels • La diffusion dans une crèche à l’intention des parents Enchaînement de présentations, en direct et à la demande Cet exemple illustre la façon dont l’administrateur réseau d’une université peut configurer un serveur d’enchaînement et d’autres composants pour diffuser des présentations, en direct et à la demande, à l’intention des étudiants qui utilisent des ordinateurs connectés au réseau du campus et à Internet.44 Chapitre 6 Exemple de configuration Une telle configuration permet aux étudiants qui n’ont pas pu assister à un cours de le suivre en ligne. Elle permet également aux étudiants de revoir ultérieurement une partie du cours en visualisant une version archivée sur leur ordinateur. La configuration de cet exemple, illustrée ci-dessus, présente les fonctionnalités suivantes : • Un réseau local existant doté de connexions Ethernet aux salles de cours et aux amphithéâtres à partir desquels les présentations en direct doivent être diffusées. • Un caméscope numérique (DV) et un microphone installés dans une salle de cours ou un amphithéâtre pour convertir la présentation en direct au format numérique. Le caméscope effectue un enregistrement DV haute qualité de la présentation et fournit le signal numérique qui sera codé pour la diffusion en direct. • Le caméscope numérique DV est connecté par l’intermédiaire d’un port FireWire à un ordinateur portable qui exécute QuickTime Broadcaster, lequel code la présentation en direct numérisée et transmet le signal via une connexion Ethernet au serveur d’enchaînement sur le réseau du campus. • Le serveur d’enchaînement est un serveur Xserve monté en rack fonctionnant en mode “headless” (c’est-à-dire sans moniteur ni clavier). Le serveur exécute Mac OS X Server avec QTSS (QuickTime Streaming Server) configuré pour transmettre la présentation codée en direct sous forme de flux monodiffusion vers chaque ordinateur client (sur le réseau du campus ou sur Internet) qui se connecte à la diffusion. Le serveur Xserve est livré avec Mac OS X Server et QTSS préinstallés. Diffuseur Serveur d'enchaînement Clients sur Internet Clients sur réseau local InternetChapitre 6 Exemple de configuration 45 • Tout type d’ordinateur sur lequel est installé QuickTime Player ou tout autre logiciel compatible MPEG-4, peut accéder au serveur d’enchaînement Xserve via le réseau du campus. D’autres ordinateurs client peuvent accéder au serveur d’enchaînement via Internet. • L’ordinateur portable de diffusion qui exécute iMovie est utilisé pour produire des versions à la demande haute qualité de la présentation en direct une fois cette dernière terminée. La présentation numérisée enregistrée est transférée, via la connexion FireWire, du caméscope DV vers l’ordinateur afin d’y être compressée. Remarque : QuickTime Broadcaster peut être configuré pour enregistrer sur disque le flux en direct codé en vue de son archivage. Pour un résultat optimal, il est cependant préférable que la séquence soit codée séparément. • L’ordinateur portable de diffusion est également utilisé pour contrôler le serveur Xserve à distance via l’application Admin Serveur (ou via Admin Web, l’application d’administration QTSS basée sur le Web). Remarque : l’ordinateur portable peut également être connecté sans fil au réseau local via une borne d’accès AirPort pour une portabilité accrue. La borne d’accès AirPort est compatible avec la norme 802.11 et fonctionne avec QTSS. Sa bande passante de 11 mégabits par seconde (Mbps) est largement suffisante pour notre exemple de configuration, tant que d’autres clients n’imposent pas de charge importante sur la même borne d’accès. Configuration Les étapes ci-après montrent comment configurer le serveur Enchaînement QuickTime et les autres composants requis pour la diffusion en direct et à la demande dans notre environnement universitaire hypothétique. Étape 1 : Préparation des lieux Une salle de cours standard n’offre pas un environnement de diffusion et d’enregistrement comparable à celui d’un studio professionnel de télévision ou d’enregistrement. Les mesures suivantes permettent d’obtenir des résultats satisfaisants : • Rendez-vous dans la salle ou l’amphithéâtre que vous souhaitez utiliser pour l’enchaînement en direct, fermez les portes et essayez de détecter tout bruit qui risque d’interférer avec une diffusion. Si vous remarquez du bruit provenant d’une pièce, d’une salle de jeu vidéo, du trafic dans la rue ou de toute autre source et que vous ne pouvez pas l’éliminer, trouvez une autre pièce. • S’il n’y a pas de problème de bruit, placez-vous au centre de la pièce, tapez dans vos mains ou criez, et déterminez la présence éventuelle d’un écho. La présence d’un écho risque de nuire à la qualité sonore de la diffusion en direct. Vous pouvez réduire ou supprimer l’écho en posant d’épais rideaux sur les murs nus ou en disposant des panneaux acoustiques en damier sur chaque mur.46 Chapitre 6 Exemple de configuration • Examinez ensuite les sols et les meubles. Les sols recouverts de tapis et les chaises rembourrées constituent un environnement idéal. Le pupitre doit être recouvert d’un tissu ou d’une surface rembourrée pour éviter tout bruit provoqué, par exemple, par un verre que l’orateur pose sur la surface. • Les fenêtres peuvent provoquer des problèmes d’éclairage. Pour un meilleur contrôle, vous devez pouvoir tirer les stores et compléter l’éclairage de la pièce par un kit d’éclairage portatif pouvant être rapidement installé. Étape 2 : Préparation du réseau Vérifiez que la pièce où doit avoir lieu la diffusion est équipée d’une connexion Ethernet. Si nécessaire, installez, réparez ou remplacez les câbles et les connecteurs à l’aide de composants de haute qualité. N’oubliez pas que l’enchaînement, surtout en direct, peut solliciter fortement les ressources réseau, en particulier la bande passante disponible. Pour vous assurer que le réseau peut gérer la charge supplémentaire, il peut être nécessaire d’effectuer l’une ou l’ensemble des opérations suivantes : • Déterminez la capacité du réseau existant et calculez le trafic supplémentaire prévisible qui sera généré par la diffusion en direct et à la demande. • Tracez la carte des segments de bande passante de votre réseau, en indiquant la capacité entre tous les points. • Déterminez les applications utilisées dans votre réseau, leur mode d’utilisation, l’emplacement où elles sont hébergées, ainsi que la bande passante qu’elles utilisent normalement pendant les périodes de forte utilisation et de faible utilisation. • En fonction de la configuration et de la capacité de votre réseau, sélectionnez l’emplacement approprié pour installer votre serveur d’enchaînement, en évitant les goulets d’étranglement potentiels. • Si nécessaire, augmentez la capacité du réseau (ajout de lignes T1, routeurs, commutateurs, etc.) afin de gérer le nombre maximum prévu de spectateurs simultanés en direct, en plus du trafic réseau maximal habituel. N’oubliez pas qu’un réseau local typique fournit en interne une bande passante de 10 à 100 Mbps. À l’inverse, une ligne T1, fréquemment utilisée pour la connexion à Internet, fournit seulement une bande passante d’environ 1,5 Mbps. Les lignes T1 fonctionnent correctement avec les protocoles HTTP et FTP, car les demandes sont alors brèves ou peu urgentes, tandis que l’enchaînement est beaucoup plus exigeant. Ce dernier ne souffre aucun ralentissement : pour garantir la diffusion, les données doivent être transférées au moins aussi rapidement que le débit original. Dans cet exemple, nous supposons un maximum de 10 spectateurs simultanés, pour moitié via le réseau local et pour moitié via Internet, et un débit d’environ 256 Kbps pour chaque flux de monodiffusion. La bande passante maximale complémentaire requise est alors d’environ 3,2 à 3,3 Mbps. Cette estimation inclut une marge complémentaire de 25 à 30 pour cent pour l’encombrement réseau non planifié et les pics de transmission de flux susceptibles de survenir pour diverses raisons.Chapitre 6 Exemple de configuration 47 Étape 3 : Configuration de votre serveur d’enchaînement Un ordinateur administrateur doit être configuré avant que vous puissiez configurer et gérer votre serveur d’enchaînement si, comme dans cet exemple, le serveur d’enchaînement est exécuté en mode “headless”. Pour plus d’informations sur la configuration d’un ordinateur administrateur, consultez le guide de premiers contacts Mac OS X Server pour la version 10.3 ou ultérieure (inclus sur le CD-ROM de Mac OS X Server). Pour configurer et gérer QTSS, vous devez utiliser l’application Admin Serveur, installée avec Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure. Après la configuration de Mac OS X Server, vous pouvez également utiliser l’application d’administration basée sur le Web, à savoir Admin Web, pour administrer QTSS à distance à partir de n’importe quel ordinateur connecté directement au réseau local ou à Internet. Dans cet exemple, nous supposons que l’ordinateur portable de diffusion du système d’enchaînement illustré est également utilisé à cet effet. Bien que le serveur Xserve soit livré avec Mac OS X Server et QTSS préinstallés, ces logiciels doivent être configurés pour le réseau particulier auquel ils sont ajoutés et pour les utilisations spécifiques pour lesquelles ils sont prévus. Pour plus d’informations sur la configuration de Mac OS X Server, consultez le guide de premiers contacts inclus sur le CD-ROM de Mac OS X Server. Voici quelques-unes des questions auxquelles il est nécessaire de répondre lors de la configuration d’un serveur d’enchaînement : L’ordinateur serveur peut-il être dédié uniquement à l’enchaînement ? Il est préférable que votre serveur d’enchaînement ne soit pas également chargé du service Web, du service de courrier ou de tout autre service. Notre exemple concerne un serveur d’enchaînement dédié. Quelle est la quantité de mémoire vive (RAM) nécessaire ? La quantité minimale de mémoire requise pour exécuter QTSS est de 128 mégaoctets (Mo). Prévoyez environ 256 Mo de RAM pour chaque tranche de 50 Mo de débit prévu. Cette configuration suppose 256 Mo de RAM. Quelle est la quantité d’espace disque requise ? Les fichiers vidéo peuvent être très volumineux. Une présentation d’une heure avec indications, codée à 300 Kbps (non optimisée pour un serveur), nécessite environ 135 Mo d’espace sur disque dur. Un disque dur de 60 Go peut ainsi stocker plus de 400 présentations à ce format. Remarque : voici une formule pour calculer la taille des fichiers d’enchaînement : débitEnBits / 8 bits * duréeEnSecondes = taille du fichier Exemple pour un flux d’une heure à 300 Kbps : 300 000 / 8 bits * 3 600 = 135 000 000 octets = 135 Mo48 Chapitre 6 Exemple de configuration De nombreux réseaux locaux incluent des systèmes de stockage RAID (Redundant Array of Independent Disks) qui procurent des quantités beaucoup plus importantes d’espace disque. Si vous stockez les fichiers d’enchaînement ailleurs que dans l’emplacement QTSS par défaut (à savoir /Bibliothèque/QuickTimeStreaming/Movies), vous devrez saisir le chemin dans le volet Réglages d’Enchaînement QuickTime, dans Admin Serveur (voir “Changement du répertoire réservé aux flux de données multimédias” à la page 26). Placez tout fichier SDP (Session Description Protocol) faisant référence à des diffusions Web en direct dans le même emplacement, afin qu’ils puissent être reconnus par QTSS. Dans cet exemple, tous les fichiers d’enchaînement archivés et les fichiers de référence SDP résident dans le dossier Movies par défaut sur le serveur d’enchaînement. Le serveur d’enchaînement est-il équipé d’une carte réseau appropriée ? La carte réseau est un composant essentiel de votre serveur d’enchaînement, dans la mesure où elle permet la connectivité Ethernet entre le serveur et votre public. Une carte Ethernet doit fournir un débit minimum de 100 mégaoctets (environ 0,9 gigabits) par seconde. Où sera placé le serveur d’enchaînement sur le réseau ? Un coupe-feu sera-t-il utilisé ? Le serveur d’enchaînement doit se trouver dans un emplacement accessible par les utilisateurs (les étudiants, dans notre exemple) qui se connectent à la fois via le réseau local et via Internet. Il doit également être protégé par un coupe-feu contre l’accès non autorisé au serveur et aux fichiers multimédias archivés. Mac OS X Server inclut le service Coupe-feu IP, qui analyse les paquets IP entrants et les rejette ou les accepte en fonction d’un ensemble de filtres que vous créez. Pour plus d’informations sur la configuration de ce service, consultez le guide d’administration des services réseau. Des ports spécifiques doivent être ouverts dans le coupe-feu pour autoriser les demandes RTSP (Real-Time Streaming Protocol) provenant des utilisateurs, les séquences vidéo et audio codées provenant du diffuseur, ainsi que les flux sortants transmis aux clients via le réseau local et Internet. Le tableau ci-après répertorie les ports utilisés par Serveur Enchaînement QuickTime pour les demandes entrantes et sortantes. Ports Demandes Ports utilisés pour communiquer avec le client 554, 7070 TCP ou 80 TCP Ports utilisés pour envoyer les données 6970-6999 UDP ou 80 TCP Ports utilisés pour recevoir la diffusion 10000-65635 UDP Ports utilisés par le serveur pour émettre la diffusion 554 RTSP 7070 TCP ou 80 TCPChapitre 6 Exemple de configuration 49 Dans cet exemple de configuration, nous supposons que les étudiants qui se connectent au serveur d’enchaînement via Internet ne se trouvent pas derrière leur propre coupe-feu. Dans ce cas, nous n’activons pas l’enchaînement sur le port 80, port généralement destiné au transport du trafic Internet HTTP et autorisé par la plupart des coupe-feu. Si certains clients se trouvent derrière des coupe-feu, il peut être préférable d’activer l’enchaînement sur le port 80 pour que ces clients puissent accéder aux flux. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Diffusion de flux à travers des coupe-feu via le port 80” à la page 29. Sera-t-il nécessaire de configurer un compte d’utilisateur broadcaster sur le serveur d’enchaînement ? Dans cet exemple de configuration, il est nécessaire de créer un nom d’utilisateur et un mot de passe de diffusion, car le logiciel de codage et QTSS résident sur des ordinateurs distincts. La création d’un utilisateur de diffusion permet la création sur le serveur d’un fichier SDP (Session Description Protocol) qui fournit des informations sur le format, l’heure et l’auteur d’un flux diffusé en direct. Une fois spécifiés, le nom d’utilisateur et le mot de passe sont saisis via QuickTime Broadcaster. Pour des instructions sur la création ou la modification du nom d’utilisateur et du mot de passe de diffusion, consultez la section “Utilisation de la monodiffusion automatique (annonce) à l’aide de QTSS sur un ordinateur distinct” à la page 30. Vous devrez utiliser le compte d’administrateur précédemment configuré. Les utilisateurs nécessiteront-ils une authentification pour accéder aux présentations en direct ou archivées ? Dans notre exemple de configuration, aucune authentification n’est nécessaire. Cependant, si vous souhaitez limiter l’accès à vos flux, vous devrez définir des noms d’utilisateur et des mots de passe d’enchaînement individuels ou de groupe. Pour plus d’informations sur la configuration et la gestion de ce type de compte, consultez les rubriques appropriées de la section “Sécurité et accès” à la page 28. Port par défaut généralement utilisé par les diffuseurs MP3 8000 TCP Port utilisé pour la gestion à distance de QTSS à l’aide d’Admin Serveur 687 TCP Port utilisé pour la gestion à distance de QTSS à l’aide d’Admin Web 1220 TCP Ports Demandes50 Chapitre 6 Exemple de configuration Étape 4 : Configuration pour une diffusion Web en direct Pour notre exemple de configuration, les éléments suivants sont requis : • Un caméscope numérique DV de bonne qualité • Un microphone placé près de l’orateur (sur un pied ou accroché à sa chemise) et connecté à l’entrée audio du caméscope via un câble audio de bonne qualité • Un trépied robuste sur lequel le caméscope sera monté. • Kit d’éclairage portatif Le caméscope est le premier maillon Le caméscope est un élément essentiel car il constitue le premier maillon de la chaîne du signal vidéo. Deux éléments principaux déterminent la qualité d’image d’un caméscope numérique DV : • La qualité de la lentille. Plus la qualité de la lentille est élevée, meilleure est l’image. • Le mécanisme de capture d’image. Les caméscopes numériques DV utilisent des capteurs CCD (Charge-Coupled Devices) pour convertir l’image en signaux électroniques. Le nombre et la taille des capteurs CCD affectent la qualité de l’image. Le zoom optique offre une qualité supérieure à celle du zoom numérique, mais l’utilisation du zoom doit être évitée ou réduite au minimum lors d’une présentation diffusée en direct afin d’éviter toute dégradation du flux. Les caméscopes numériques bas de gamme utilisent un capteur CCD unique pour capturer toute l’image, tandis que les caméscopes haut de gamme utilisent trois capteurs CCD distincts pour balayer le contenu rouge, bleu et vert de l’image, permettant ainsi une qualité supérieure. La taille des capteurs CCD varie de 1/4 à 2/3 de pouce ; les capteurs CCD de plus grande taille offrent une meilleure résolution. Voici d’autres fonctionnalités intéressantes : • Vous devez pouvoir modifier les réglages automatiques du caméscope. • Il est recommandé d’utiliser un microphone séparé pouvant être branché sur le caméscope afin d’obtenir une prise de son optimale. Le microphone intégré du caméscope est inadapté à la plupart des situations. • Le caméscope doit accepter les connecteurs XLR professionnels (plutôt que les connecteurs mini-jack 1/8 de pouce). Il doit également comporter une prise jack de casque d’écoute, permettant de contrôler l’entrée audio. • Enfin, une sortie FireWire permet le transfert numérique et la capture automatisée, ce qui permettra de gagner du temps par la suite. Parlez près du microphone Le microphone constitue le premier maillon de la chaîne du signal audio et est donc également très important. Les microphones dynamiques constituent un bon choix global et vous pouvez en trouver pour environ 100 $ (87 euros).Chapitre 6 Exemple de configuration 51 Le meilleur moyen d’améliorer la qualité audio lorsque l’acoustique de la pièce est de mauvaise qualité consiste à placer le microphone le plus près possible de la personne qui parle. Utilisez un petit micro-cravate attaché à la chemise de l’orateur, juste sous la bouche, ou un microphone à main. Dans le cas d’une conférence à plusieurs intervenants, utilisez plusieurs microphones, si possible fixés sur des pieds solides, ainsi qu’une petite table de mixage. Connectez la sortie stéréo mixée de la table de mixage à l’entrée ligne du caméscope. Si vous utilisez une table de mixage ou un microphone externe, assurez-vous que tous les connecteurs sont fermement branchés, afin de garantir la fiabilité du signal audio. Connectez un casque à la sortie casque du caméscope afin de vous assurer que vous pouvez entendre le signal audio et qu’il ne présente aucune distorsion. Un trépied est essentiel Il est important d’utiliser un caméscope sur trépied lors d’une présentation en direct et d’éviter les panoramiques, inclinaisons, zooms et autres mouvements de caméra. Tout déplacement du caméscope, ne serait-ce que d’un degré, entraîne le changement de chaque pixel de l’image, augmentant ainsi la difficulté de codage du flux. Une scène simple à coder devient soudainement beaucoup plus complexe. Le trépied doit être léger, tout en offrant un support stable pour le poids du caméscope. Procurez-vous un kit d’éclairage simple L’éclairage est un vaste sujet qui n’entre pas dans le cadre de ce guide, mais voici cependant quelques suggestions. Même un caméscope de haute qualité donnera des résultats médiocres si l’éclairage est inadapté. Il est peu probable que l’éclairage standard d’une salle de classe soit adapté à la prise de vue d’une présentation en direct. Il est recommandé d’ajouter au moins un éclairage d’arrière-plan afin de faire ressortir l’orateur. Un kit d’éclairage portatif à trois points, ainsi qu’un ou deux réflecteurs si vous prévoyez des prises de vue extérieures, peuvent améliorer considérablement les résultats. Étape 5 : Configuration du diffuseur Dans cet exemple, QuickTime Broadcaster est installé sur un ordinateur portable. Ce logiciel de codage est inclus sur le CD-ROM de Mac OS X Server et peut également être téléchargé gratuitement à partir du site Web QuickTime Broadcaster à l’adresse http://www.apple.com/quicktime/products/broadcaster/ Pour installer QuickTime Broadcaster, double-cliquez sur le fichier d’installation (QuickTimeBroadcaster.pkg) et suivez les instructions à l’écran. Une fois le logiciel de codage installé, connectez le caméscope au portable via le port FireWire, allumez le caméscope et voyez s’il est reconnu par QuickTime Broadcaster. 1 Ouvrez QuickTime Broadcaster et cliquez sur Afficher les détails.52 Chapitre 6 Exemple de configuration 2 Cliquez sur Vidéo et sélectionnez une source vidéo dans le menu local Source. Si le caméscope est reconnu, il apparaît dans le menu Source. Les réglages vidéo doivent être actifs également (non estompés). Si le caméscope n’apparaît pas dans le menu Source, quittez QuickTime Broadcaster, assurez-vous que le caméscope est connecté et sous tension, puis ouvrez de nouveau QuickTime Broadcaster. Si votre caméscope n’apparaît toujours pas, consultez le site Web de QuickTime ou le site Apple Knowledge Base pour en savoir plus sur la compatibilité et les autres problèmes. En cas de diffusion vers QTSS situé sur un autre ordinateur, comme dans notre exemple, il est recommandé d’utiliser la méthode de transmission Monodiffusion automatique (Annonce). Elle est simple à configurer. 1 Dans QuickTime Broadcaster, cliquez sur Afficher les détails, sur Réseau, puis choisissez Monodiffusion automatique (Annonce) dans le menu local Transmission. 2 Dans le volet Réseau, tapez l’adresse IP ou le nom d’hôte du serveur destinataire (Xserve dans cet exemple), un nom pour le fichier diffusé, le nom d’utilisateur et le mot de passe de l’utilisateur de diffusion créé à l’étape 3, ainsi que la durée de mise en mémoire tampon (ou acceptez la valeur par défaut). Remarque : la durée de mise en mémoire tampon fixe le nombre de secondes pendant lesquelles QuickTime place la diffusion en mémoire tampon avant la lecture. Pour les connexions haut débit, QuickTime Player 6 (ou ultérieur) remplit la mémoire tampon plus rapidement que le temps réel, ce qui permet la visualisation en mode “Lecture instantanée”. 3 Cliquez sur Diffusion et démarrez QTSS (s’il n’est pas déjà en cours d’exécution) en sélectionnant l’ordinateur dans Admin Serveur, en cliquant sur Enchaînement QuickTime, puis en cliquant sur Démarrer le service. Pour déterminer si le flux en direct peut être visualisé sur un client, ouvrez QuickTime Player sur l’un des ordinateurs client et effectuez les opérations suivantes : 1 Cliquez sur Fichier > Ouvrir l’URL dans le nouveau lecteur. 2 Tapez l’URL RTSP (Real-Time Streaming Protocol) affichée dans la section Emplacement de la fenêtre QuickTime Broadcaster (par exemple, rtsp://monserveur.com/monflux.sdp). Remarque : l’URL reconnaît les majuscules et minuscules et doit être saisie exactement comme dans la fenêtre QuickTime Broadcaster. La lecture du flux en direct doit alors commencer dans QuickTime Player.Chapitre 6 Exemple de configuration 53 Étape 6 : Test de votre configuration La dernière étape consiste à tester la configuration. Ce test doit être le plus réaliste possible. • Configurez votre équipement tel qu’il sera utilisé pour la présentation réelle, si possible dans le même lieu. • Demandez à un collègue de jouer le rôle du présentateur, ou mieux, demandez au présentateur de participer au test, afin d’en faire une “répétition”. • Vérifiez l’image vidéo et le son. • Vérifiez si les clients du réseau local et d’Internet peuvent se connecter au flux en direct. • Ajustez si nécessaire la position du caméscope et du microphone, ainsi que l’éclairage, et résolvez les autres problèmes éventuels. Création d’une page Web pour simplifier l’accès L’accès à partir d’une page Web permet d’éviter aux étudiants d’avoir à mémoriser l’URL RTSP ainsi que le nom du serveur d’enchaînement et des fichiers SDP. Dans notre exemple, la page Web peut être ajoutée au site Web de l’université, mais elle peut également résider sur n’importe quel serveur Web. Les étudiants peuvent accéder à la présentation en direct (ainsi qu’aux archives) en cliquant sur les liens dans leur navigateur. Pour savoir comment créer une page Web contenant des liens vers les données diffusées, consultez la section “Conversion du contenu en page Web” à la page 37. Prise de vue de la présentation en direct Si tout le travail préparatoire a été effectué selon la procédure décrite ci-dessus et que l’équipement et les connexions ont été testés, la prise de vue devrait être simple. Voici quelques conseils qui permettront d’éviter les problèmes survenant pendant l’événement : • Le jour de la diffusion en direct de l’événement, installez votre matériel suffisamment tôt, afin de pouvoir vérifier une nouvelle fois que tous les composants fonctionnent comme prévu. • Si un public est présent, faites-leur savoir à l’avance que vous allez diffuser la présentation en direct sur le Web et sollicitez leur coopération. • Fixez bien tous les câbles au sol de façon à limiter les risques de trébuchement. • Recherchez les sources potentielles de bruit et prenez si possible les mesures appropriées.54 Chapitre 6 Exemple de configuration Archivage de la présentation en direct Dans notre exemple, l’application iMovie, fournie avec Mac OS X, est installée sur l’ordinateur portable. Cette application permet d’importer les données numériques enregistrées depuis la bande, puis de coder et d’archiver les présentations. Pour archiver une présentation en direct, commencez par importer les données numériques enregistrées : 1 Connectez le caméscope numérique DV à l’ordinateur portable via le port FireWire et mettez-le sous tension. 2 Insérez la bande contenant la séquence vidéo à archiver et passez en mode VTR. 3 Sur l’ordinateur portable, ouvrez iMovie et réglez le commutateur de mode situé sous le moniteur iMovie sur le mode Caméra (faites glisser le curseur bleu vers l’icône représentant un caméscope). 4 Utilisez les commandes de lecture afin d’afficher une partie de la bande dans le moniteur iMovie. Si la lecture de la bande ne démarre pas, vérifiez les connexions et assurez-vous que le caméscope est sous tension. 5 Rembobinez la bande jusqu’à quelques secondes avant le point où vous souhaitez démarrer l’importation. 6 Cliquez sur Lire sous le moniteur iMovie. 7 Cliquez sur Importer dès que vous voyez le point de la présentation à partir duquel vous souhaitez commencer l’importation. 8 Cliquez de nouveau sur Importer lorsque vous souhaitez arrêter l’importation. 9 Pour éviter que certaines séquences soient incluses dans votre présentation archivée, vous pouvez éditer cette dernière plus tard à l’aide d’iMovie. Important : surveillez l’espace disponible sur disque dur pendant l’importation des données vidéo et la création de votre film iMovie. Une minute de vidéo numérique utilise environ 220 Mo d’espace disque, de sorte qu’une présentation d’une heure peut utiliser plus de 13 gigaoctets d’espace disque. La barre d’état Espace libre, située sous le clip, montre à tout moment la quantité d’espace disque disponible pendant le processus d’importation. Utilisez ensuite iMovie pour compresser et coder les données vidéo pour l’enchaînement : 1 Dans iMovie, choisissez Fichier > Exporter le film. 2 Sélectionnez Vers QuickTime dans le menu local Exporter le film. 3 Sélectionnez un format de film dans le menu local Formats. Vous pouvez soit choisir l’un des formats QuickTime optimisés pour différentes utilisations, soit choisir Expert, une option qui offre des réglages QuickTime personnalisés tels que Vidéo MPEG-4.Chapitre 6 Exemple de configuration 55 4 Cliquez sur Exporter. 5 Attribuez un nom à votre film, sélectionnez une destination pour le fichier, puis cliquez sur Enregistrer. Le temps nécessaire à l’enregistrement du film dépend de sa longueur et du format choisi. Remarque : il est recommandé d’enregistrer plusieurs fichiers d’enchaînement, chacun compressé pour une vitesse de connexion différente. Vous pouvez par exemple choisir des réglages de compression plus faibles pour les clients du réseau du campus et des réglages de compression plus élevés pour les clients qui se connectent via Internet. 6 Une fois que vous avez enregistré le ou les fichiers codés, assurez-vous que chaque fichier est diffusé correctement. 57 Glossaire Glossaire Ce glossaire définit les termes et abréviations que vous pouvez rencontrer en utilisant l’aide en ligne ou Administration QTSS. administrateur Utilisateur disposant d’autorisations d’administration de serveur ou de domaine de répertoires. Les administrateurs sont toujours membres du groupe “admin” prédéfini. Adresse IP Adresse numérique unique qui identifie un ordinateur sur Internet. adresse IP statique Adresse IP affectée de manière permanente à un ordinateur ou un périphérique. AppleScript Langage de pilotage par script dont la syntaxe est semblable à celle de l’anglais, utilisé pour écrire des fichiers de script permettant le contrôle de votre ordinateur. AppleScript fait partie du système d’exploitation Mac et est donc inclus sur chaque ordinateur Macintosh. autorisations Réglages qui définissent le type d’accès aux éléments partagés dont bénéficient les utilisateurs. Vous pouvez attribuer quatre types d’autorisations d’accès à un point de partage, un dossier ou un fichier :lecture/écriture, lecture seule, écriture seule et aucune (pas d’accès). AVI (Audio Visual Interleave) Format de fichier vidéo Windows. bande passante Capacité d’une connexion réseau, mesurée en bits ou octets par seconde, à transporter des données. bit Unité d’information, dont la valeur peut être 0 ou 1. client Logiciel ou ordinateur situé côté utilisateur, servant à afficher les données diffusées. codec Technologie de compression et de décompression de données. Les codecs peuvent être implémentés dans le logiciel, le matériel ou une combinaison des deux. 58 Glossaire compression temporelle Compression d’images effectuée entre les trames d’une séquence. Cette technique de compression tire parti de la redondance entre trames adjacentes d’une séquence, pour réduire la quantité de données requises pour représenter avec précision chaque trame de la séquence. Les séquences soumises à une compression temporelle contiennent généralement des images clé placées à intervalles réguliers. connecteur XLR Connecteur audio à trois broches, qui peut être utilisé avec des câbles équilibrés à trois fils, ce qui permet d’éliminer les interférences électromagnétiques. couche Mécanisme d’affectation de priorités aux pistes d’un film ou de chevauchement de sprites. Lorsque QuickTime lit un film, il affiche les images en fonction de leur couche ; les images dont le numéro de couche est inférieur sont affichées au-dessus, celles dont le numéro de couche est supérieur peuvent être masquées par les premières. coupe-feu Logiciel destiné à protéger les applications réseau exécutées sur votre serveur. Le service de coupe-feu IP, qui fait partie du logiciel Mac OS X Server, analyse les paquets IP entrants et rejette ou accepte ces paquets en fonction d’un ensemble de filtres que vous créez. débit Vitesse à laquelle les bits sont transmis sur un réseau, généralement exprimée en bits par seconde. débit de données Quantité d’informations transmises par seconde. diffusion Processus de transmission d’une copie de flux de données sur l’ensemble d’un réseau. diffusion annoncée Méthode, telle que Monodiffusion automatique (Annonce), permettant à un diffuseur de négocier avec un serveur l’acceptation d’une diffusion. diffusion Web Diffusion de séquences vidéo ou audio en direct sur Internet. DNS (Domain Name System) Base de données distribuée qui fait correspondre des adresses IP à des noms de domaines. Un serveur DNS, appelé également “serveur de noms”, conserve une liste des noms et des adresses IP associées à chaque nom. DSL (Digital Subscriber Line) Technologie de transmission de données à haut débit fonctionnant sur les lignes téléphoniques. DV (Digital Video) Format numérique d’enregistrement sur bandes, utilisant une compression d’environ 5:1 pour générer une qualité Betacam sur une cassette de très petite taille. enchaînement Distribution en temps réel de données vidéo ou audio via un réseau, sous forme d’un flux de paquets plutôt que par téléchargement d’un fichier unique. Glossaire 59 FAI (Fournisseur d’accès à Internet) Entreprise qui commercialise un accès à Internet et propose généralement l’hébergement Web d’applications de commerce électronique et de services de courrier. fichier d’accès Fichier texte nommé qtaccess et contenant des informations sur les utilisateurs et les groupes autorisés à visualiser les données multimédias du répertoire dans lequel le fichier d’accès est stocké. fichier M3U Métafichier audio créé à l’aide d’un éditeur de texte et enregistré sur un serveur Web. Le fichier dirige le navigateur Web de l’utilisateur vers une liste de lecture MP3 résidant sur le même serveur Web et ouvre le lecteur MP3 de l’utilisateur. film Structure de données temporelles gérée par QuickTime. Un film QuickTime peut contenir du son, de la vidéo, des animations ou une combinaison de ces différents types de données. Un film QuickTime contient une ou plusieurs pistes, chacune représentant un flux de données unique du film. film de référence Fichier .mov créé à l’aide d’un utilitaire tel que MakeRefMovie, disponible gratuitement auprès d’Apple pour les ordinateurs Macintosh et Windows. Le fichier contient l’emplacement d’un fichier multimédia d’enchaînement et peut également contenir l’emplacement de plusieurs fichiers d’enchaînement. Un fichier de référence inclus sous forme de lien dans une page Web, par exemple, peut diriger un lecteur client vers la présentation à la demande codée en fonction de sa vitesse de connexion particulière. FireWire Technologie matérielle pour l’échange de données avec des périphériques, définie par la norme IEEE 1394. flux réfléchi Diffusion en direct distribuée en tant que flux monodiffusion. Les listes de lecture de film et MP4 génèrent également des flux réfléchis. flux relayé Flux transmis d’un serveur à un ou plusieurs autres serveurs. Les relais peuvent également être utilisés pour générer un flux multidiffusion. QTSS ne gère pas le relais des flux MP3. fréquence d’échantillonnage Nombre d’échantillons par seconde utilisé pour les données audio. Plus la fréquence est élevée, meilleure est la qualité audio. fréquence d’images clé Fréquence à laquelle les images clé sont placées dans des séquences de données temporellement compressées. FTP (File Transfer Protocol) Protocole permettant aux ordinateurs de transférer des fichiers sur un réseau. Les clients FTP dont le système d’exploitation gère le protocole FTP peuvent se connecter à un serveur de fichiers et télécharger des fichiers, en fonction des autorisations d’accès dont ils bénéficient. La plupart des navigateurs Internet et bon nombre d’applications gratuites (“freeware”) peuvent être utilisés pour accéder à un serveur FTP.60 Glossaire HTML (Hypertext Markup Language) Ensemble de symboles ou de codes insérés dans un fichier à afficher par un navigateur Web. Le balisage indique au navigateur Web comment afficher les mots et images d’une page Web pour l’utilisateur. HTTP (Hypertext Transfer Protocol) Protocole client/serveur utilisé pour le World Wide Web. Le protocole HTTP permet à un navigateur Web d’accéder à un serveur Web et de demander des documents multimédias créés en code HTML. IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers, Inc.) Organisation dédiée à la promotion de normes dans le domaine de l’ingénierie informatique et électrique. image clé Échantillon provenant d’une séquence d’échantillons temporellement compressés, dont les informations sont indépendantes des autres échantillons de la séquence. Les images clé sont placées dans des séquences temporellement compressées, selon une fréquence déterminée par la fréquence d’images clé. indications Processus qui crée une piste pour chaque piste de données diffusable du fichier, afin d’indiquer au serveur Enchaînement QuickTime comment et quand diffuser chaque trame de données. Le processus d’insertion d’indications effectue à l’avance les calculs nécessaires, ce qui permet à QTSS de diffuser un plus grand nombre de flux. Il permet également l’utilisation de nouveaux codecs sans qu’il soit nécessaire de mettre le serveur à niveau. IP (Internet Protocol) Également appelé IPv4. Méthode utilisée conjointement avec le protocole TCP (Transmission Control Protocol) pour envoyer des données d’un ordinateur à un autre via un réseau local ou via Internet. Le protocole IP distribue les paquets de données, tandis que le protocole TCP effectue le suivi des paquets. JavaScript Langage de pilotage par script utilisé pour ajouter une certaine interactivité aux pages Web. LAN (réseau local) Réseau établi au sein d’un même bâtiment, par opposition à un réseau étendu (WAN) qui relie des installations géographiquement disséminées. Lecture instantanée Avancée dans la technologie Apple de protection contre les coupures, permettant de réduire considérablement les temps d’attente ou de mise en mémoire tampon, afin d’obtenir une expérience de visualisation instantanée pour la diffusion de flux vidéo à travers des connexions haut débit. liste de lecture Ensemble de fichiers multimédias du dossier de données QTSS, dont la lecture s’effectue de manière séquentielle ou aléatoire. Mac OS X Version la plus récente du système d’exploitation Apple. Mac OS X associe la fiabilité d’UNIX à la simplicité d’utilisation de Macintosh. Glossaire 61 Mac OS X Server Plate-forme de serveur puissante capable de gérer, sans préparation préalable, les clients Mac, Windows, UNIX et Linux et qui offre une suite de services réseau et de groupe de travail évolutifs, ainsi que des outils de gestion avancés. MBONE (dorsale de multidiffusion) Réseau virtuel gérant la multidiffusion IP. Un réseau MBONE utilise le même support physique qu’Internet, mais est conçu pour réassembler les paquets de données de multidiffusion afin qu’ils aient l’aspect de paquets de données de diffusion individuelle. MIDI (Musical Instrument Digital Interface) Format standard pour l’envoi d’instructions à un synthétiseur musical. monodiffusion Forme d’enchaînement de type 1 à 1. Si le protocole RTSP est utilisé, l’utilisateur peut se déplacer librement d’un point à un autre dans un film à la demande. Monodiffusion automatique (Annonce) Méthode de distribution d’une diffusion sur un serveur d’enchaînement, dans laquelle un fichier SDP est automatiquement copié et tenu à jour sur le serveur. Un mot de passe et un nom d’utilisateur de diffusion doivent être créés avant le démarrage d’une telle diffusion. Monodiffusion manuelle Méthode de transmission en direct d’un flux de données vers un client QuickTime Player unique ou vers un ordinateur qui exécute QTSS. Un fichier SDP est généralement créé par l’application de diffusion et doit ensuite être envoyé manuellement au spectateur ou au serveur d’enchaînement. mov Extension de fichier des films QuickTime d’Apple, utilisée pour nommer à la fois les fichiers de redirection de film et les fichiers multimédias QuickTime proprement dits. MP3 (MPEG layer 3) Format populaire de compression de musique. MPEG-4 Norme ISO basée sur le format de fichier QuickTime et qui définit des formats de compression et des fichiers multimédias. multi-adressage Capacité à gérer plusieurs connexions réseau. Lorsque plusieurs connexions sont disponibles, Mac OS X sélectionne la meilleure connexion en fonction de l’ordre indiqué dans les préférences réseau. multidiffusion Forme efficace d’enchaînement, de type 1 à n. Les utilisateurs peuvent se joindre à une multidiffusion ou la quitter, mais ils ne peuvent pas interagir avec elle. NAT (Network Address Translation) Méthode de connexion de plusieurs ordinateurs à Internet (ou à tout autre réseau IP) à l’aide d’une adresse IP unique. NAT convertit les adresses IP que vous attribuez aux ordinateurs de votre réseau privé interne en une adresse IP légitime unique pour les communications Internet. octet Huit bits.62 Glossaire open-source Terme désignant le développement coopératif de logiciels par la communauté Internet. Le principe de base consiste à impliquer le plus grand nombre possible de personnes dans l’écriture et le débogage du code, en publiant le code source et en encourageant la constitution d’une large communauté de développeurs qui peuvent proposer des modifications et des améliorations. ordinateur administrateur Ordinateur Mac OS X sur lequel vous avez installé les applications d’administration du serveur à partir du CD Admin de Mac OS X Server. paquet Unité d’informations constituée d’un en-tête, d’informations, d’un élément de détection d’erreurs et d’enregistrements complémentaires. QTSS utilise des paquets TCP, UDP et IP pour communiquer avec les clients. piste Structure de données QuickTime qui représente un flux de données unique dans un film QuickTime. Un film peut contenir une ou plusieurs pistes. Chaque piste est indépendante des autres pistes du film et représente son propre flux de données. piste de modification Piste d’un film qui modifie les données ou la présentation d’autres pistes. Par exemple, une piste “tween” est une piste de modification. piste tween Piste qui modifie l’affichage d’autres pistes. pixel Point unique d’une image, dotée d’une couleur et d’une valeur de luminosité données. plug-in de navigateur Logiciels que vous intégrez à un navigateur afin de permettre l’affichage de formats de données spécifiques. point de montage Chaîne utilisée pour identifier un flux en direct, lequel peut être un flux de film relayé, un flux de film non relayé ou un flux MP3. Les points de montage qui décrivent les flux de film en direct se terminent toujours par une extension .sdp. Port Sorte de fente virtuelle de boîte aux lettres. Un serveur utilise des numéros de port pour déterminer l’application qui doit recevoir les paquets de données. Les coupefeu utilisent les numéros de port pour déterminer si les paquets de données sont ou non autorisés à traverser un réseau local. Le terme “port” fait généralement référence à un port TCP ou UDP. protocole Ensemble de règles qui détermine la façon dont les données sont échangées entre deux applications. QTSS (serveur Enchaînement QuickTime) Technologie permettant de diffuser des données en temps réel sur Internet. QuickTime Ensemble d’extensions système Macintosh ou bibliothèque de liens dynamiques Windows gérant la composition et la lecture de films.Glossaire 63 QuickTime Player Application incluse dans le logiciel système QuickTime et permettant la lecture des films QuickTime. QuickTime Pro Version de QuickTime Player dotée de fonctionnalités avancées, de montage essentiellement. RAID (Redundant Array of Independent Disks) Batterie de disques durs permettant soit d’accélérer la vitesse des entrées/sorties disque, soit de mettre les données en miroir pour la redondance, soit d’obtenir ces deux avantages. Les utilisateurs peuvent accéder au système RAID comme s’il s’agissait d’un disque unique, bien que celui-ci puisse être divisé en plusieurs partitions. RTP (Real-Time Transport Protocol) Protocole de transport réseau “point à point” adapté aux applications qui transmettent des données en temps réel (audio, vidéo ou simulation) par l’intermédiaire de services de réseau en multi ou en monodiffusion. RTSP (Real Time Streaming Protocol) Protocole de couche applicative servant à contrôler la transmission des données ayant des propriétés de temps réel. Ce protocole RTSP propose une structure extensible qui permet de transmettre les données en temps réel sous contrôle et sur demande, des données audio ou vidéo par exemple. Les sources de données peuvent inclure aussi bien des données en temps réel que des clips enregistrés. SDP (Session Description Protocol) Fichier texte utilisé avec le serveur Enchaînement QuickTime, qui fournit des informations sur le format, l’heure et l’auteur d’une diffusion en direct et transmet à l’ordinateur de l’utilisateur les instructions de connexion. serveur proxy Serveur placé entre une application client, telle qu’un navigateur Web, et un serveur réel. Le serveur proxy intercepte toutes les requêtes destinées au serveur réel pour vérifier s’il ne peut y répondre lui-même. Si ce n’est pas le cas, il fait suivre la requête au serveur réel. SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) Protocole utilisé pour envoyer et transférer le courrier. Sa capacité à placer les messages entrants en file d’attente est limitée ; il n’est donc généralement utilisé que pour envoyer les messages, POP ou IMAP étant utilisés pour les recevoir. sous-réseau IP Partie d’un réseau IP, qui peut être un segment de réseau physiquement indépendant, partageant une adresse réseau avec d’autres parties du réseau et identifiée par un numéro de sous-réseau. sprite Image animée gérée par QuickTime. Une telle image est définie une seule fois, puis elle est animée par des commandes qui en modifient la position ou l’apparence. SSL (Secure Sockets Layer) Protocole Internet permettant d’envoyer sur Internet des informations cryptées et authentifiées.64 Glossaire TCP (Transmission Control Protocol) Méthode utilisée avec le protocole IP (Internet Protocol) pour envoyer, via Internet, des données sous forme d’unités de messages entre ordinateurs. Le protocole IP se charge de gérer le transfert des données, alors que le protocole TCP effectue le suivi individuel des unités de données (appelées “paquets”). Chaque message est fractionné en plusieurs unités afin d’assurer un routage efficace via Internet. téléchargement progressif Données d’un film “poussées” vers le client via le protocole HTTP. Le film peut être visualisé par l’utilisateur pendant le transfert. Il ne s’agit pas d’une forme de diffusion de flux de données. trame Image unique d’un film ou d’une séquence d’images. TTL (time-to-live) Durée spécifiée pendant laquelle les informations DNS sont stockées dans la mémoire cache. Lorsqu’une paire nom de domaine/adresse IP se trouve en mémoire cache depuis plus longtemps que la durée TTL spécifiée, l’entrée est supprimée du cache du serveur de noms (mais pas du serveur DNS principal). UDP (User Datagram Protocol) Méthode de communication utilisant le protocole IP pour envoyer une unité de données (appelée datagramme) d’un ordinateur à un autre sur un réseau. Les applications réseau qui ont de toutes petites unités de données à échanger peuvent utiliser le protocole UDP à la place du protocole TCP. URL (Uniform Resource Locator) Adresse d’un ordinateur, d’un fichier ou d’une ressource accessible sur un réseau local ou sur Internet. L’adresse URL se compose du nom du protocole utilisé pour accéder à la ressource, du nom de domaine qui identifie un ordinateur spécifique sur Internet et de la description hiérarchique de l’emplacement du fichier sur l’ordinateur. utilisateur de diffusion Utilisateur ayant l’autorisation de diffuser vers le serveur d’enchaînement. Le nom d’utilisateur et le mot de passe de diffusion sont définis dans le volet Réglages généraux d’Admin Serveur Enchaînement et sont utilisés conjointement avec les diffusions annoncées. Il n’est pas nécessaire de créer un utilisateur de diffusion pour les diffusions UDP. VBR (débit variable) Méthode de compression de données qui tire parti des changements de débit des données. vitesse de défilement Dans un film, il s’agit du nombre d’images par seconde. wav Format Windows de fichier audio. XML Langage de balisage extensible, semblable au HTML, mais plus formel et plus souple. 65 Index Index A administration des serveurs d'enchaînement. Voir application d'administration du serveur d'enchaînement Admin Web 7, 24 adresses IP association 26 ordinateur source 28 Annonce (monodiffusion automatique) 30, 52 archivage des présentations en direct 54–55 articles de la base de connaissances Knowledge Base 11 audio enchaînement 15 enchaînement audio MP3 9 en direct 15 audio en direct configuration pour l'enchaînement 15 configuration requise 20 authentification accès aux données diffusées 49 fonctionnalités 9 B bande passante considérations 20 enchaînement en direct 16, 46 réseaux 46 borne d'accès AirPort 45 Broadcaster. Voir QuickTime Broadcaster C caméras vidéo 18 caméras vidéo 18 caméscope numérique DV diffusions Web en direct 50–51 enchaînement de présentations 44 QuickTime Broadcaster 51 caméscopes DV. Voir caméscope numérique DV trépied 50, 51 capteurs CCD (Charge-Coupled Devices) 50 cartes Ethernet 48 cartes réseau 48 casque 51 CCD (Charge-Coupled Devices) 50 codecs 32 codes d'erreur 40 codeur de données utiles RTP 34 compte d'utilisateur Broadcaster 30, 49 comptes d'utilisateur Broadcaster 30 diffusion 49 configuration de la diffusion sur le Web 43–55 configuration matérielle requise 20, 47–48 connecteurs XLR 50 connexions débits 20 diffusion 40 DSL 20 Ethernet 46, 48 haut débit 19 HTTP 29, 40 interruption 41 large bande 15 modem câble 20 nombre maximum 25, 39, 41 sans fil 45 connexions Ethernet 46, 48 connexions haut débit 19 connexions HTTP 29, 40 connexions large bande 15 connexions sans fil 45 consignation, activation 39 conversations en direct 18 coupe-feu 29, 48 cours d'enchaînement QuickTime 11 D Darwin Streaming Server (DSS) QuickTime Broadcaster et 15 débits 20 dépannage 39–41 Voir aussi erreurs66 Index fichiers multimédias 39–40 listes de lecture 39 diffusion en direct 20 configuration réseau 46 spectateurs simultanés 46 diffusion MP3 40 diffusions configuration générique de la diffusion sur le Web 43–55 connexion impossible 40 connexion via HTTP 40 données multimédias préenregistrées 32, 33–34 en direct 20 listes de lecture 32, 36 relayées 18 diffusions MP3 30 diffusions relayées 18 diffusion sur le Web en direct 43–55 Digital Subscriber Line (DSL) 20 distribution, à la demande 14 distribution, en direct 14 distribution à la demande 14 distribution en direct 14 données enchaînement Lecture instantanée 14 données diffusées erreurs 40–41 données multimédias 16, 31–39 considérations relatives à la bande passante 20 diffusion. Voir données multimédias diffusées envoi via Internet 16 préenregistrées 32, 33–34 visualisation à partir d'un ordinateur client 22 données multimédias préenregistrées 33–34 DSL (Digital Subscriber Line) 20 DSS (Darwin Streaming Server) administration. Voir application d'administration du serveur d'enchaînement code source 12 configuration 20–22 description 10 disponibilité 7 support 12 version 4 9 version 4.1 9 E enchaînement codecs 32 en direct. Voir enchaînement en direct en temps réel 14 lecture instantanée 9, 14, 19 MP3 40 MPEG-4 9 processus pour 16–18 sur le port 80 29 vue d'ensemble 13–15 enchaînement de présentations 43–55 enchaînement en direct audio 15 choix de l'environnement 45–46 exemple 43–55 vidéo 15 enchaînement en temps réel 14 enchaînement Lecture instantanée 19 enchaînement MPEG-4 9 enchaînement QuickTime Voir enchaînement erreur 453 25 erreurs Voir aussi dépannage liste 40–41 pendant la diffusion de données 40–41 serveur occupé 25 espace disque 47, 48, 54 événements en direct 14 exportation d'éléments films QuickTime à indications 32 extension .mp3 21 F fichiers MP3 21, 40 MPEG-1 40 MPEG-4 9, 19 SDP. Voir fichiers SDP fichiers d'enchaînement 47 fichiers de film 40 fichiers MP3 21, 34, 40 fichiers MPEG-1 40 fichiers MPEG-1 à indications 40 fichiers MPEG-4 9, 19 fichiers multimédias diffusion incorrecte 39–40 types de données 33 URL 22 fichiers SDP listes de lecture 39 objectif 49 fichiers Session Description Protocol. Voir fichiers SDP fichiers vidéo 47 films QuickTime. Voir films QuickTime films à indications 32 erreurs 40 exportation de films QuickTime 32 performances 34 films QuickTime Voir aussi films67 Index échantillon 21 exportation comme films à indications 34 flux de données multimédias relais 18 visualisation à partir d'un ordinateur client 22 flux de listes de lecture MP3 19 flux RTP 20 fournisseurs de services d'enchaînement 11 H historique des accès 28 historique des listes de lecture 39 historiques accès 28 listes de lecture 39 réinitialisation 28 I IETF (Internet Engineering Task Force) 12 iMovie 54 compression/codage des séquences numériques 54 présentations en direct 45 indications fichiers MP3 34 Internet, envoi de données multimédias via 16 Internet Engineering Task Force (IETF) 12 iTunes 19 K kit d'éclairage 50, 51 L lecteur MPEG-4 19 lecteurs MPEG-4 19 QuickTime. Voir QuickTime Player lignes T1 46 listes de lecture 32, 35–39 arrêt 36 côté serveur 9 création 34 démarrage 36 description 32 diffusion de données multimédias préenregistrées 32 en boucle 40 film 34 MP3. Voir listes de lecture MP3 MPEG-4 34 noms 35 préparation de données multimédias préenregistrées 34 problèmes 39 listes de lecture côté serveur 9 listes de lecture de films 34 Voir aussi listes de lecture listes de lecture en boucle 40 listes de lecture MP3 Voir aussi listes de lecture création 34 écoute 19 listes de lecture MPEG-4 34 logiciel client QuickTime 19 logiciel de diffusion 14 logiciels requis 19–20, 47 M Mac OS X Server page de support AppleCare 11 ressources 11 Mbone (dorsale de multidiffusion) 17 mémoire 47 microphone 50 mode “Aléatoire pondéré” 37 modems câble 20 mode “Séquentiel” 37 mode “Séquentiel en boucle” 37 monodiffusion 16–17 Monodiffusion automatique (Annonce) 30, 52 mots de passe compte d'utilisateur broadcaster 30, 49 diffusions MP3 30 multi-adressage 22, 24, 26 multidiffusion 16–17 N navigateurs. Voir navigateurs Web navigateurs Web plug-in QuickTime 16 visualisation de flux de données multimédias 22 nom d'hôte DNS 28 norme RTP 12 norme RTSP 12 O ordinateurs adresse IP 28 client. Voir ordinateurs client source 28 ordinateurs client accès aux serveurs d'enchaînement 45 comparaison du transport multidiffusion et monodiffusion 16–17 configuration requise 19 données multimédias envoyées à 16 visualisation de flux de données multimédias 22 visualisation de flux en direct 5268 Index P page des produit QTSS 11 pages Web accès à la diffusion Web via 53 lecture de flux de données multimédias 16 paquets IP 48 paquets UDP 29 performances films à indications 34 pistes, indication 32 plug-in QuickTime 16, 40 port 80, enchaînement 29 ports Firewire 44 utilisés par QTSS/DSS 48 ports Firewire 44 présentations, enchaînement 43–55 prise jack de casque d'écoute 50 problèmes. Voir dépannage problèmes d'éclairage 46, 51 processus PlaylistBroadcaster 39 Q QTSS (QuickTime Streaming Server) administration. Voir application d'administration du serveur d'enchaînement configuration 20, 22, 49 configuration requise 47–48 QuickTime Broadcaster et 15 répertoires multimédias multiples 27 Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) Voir aussi serveurs d'enchaînement QuickTime Broadcaster capture vidéo 20 configuration 20, 51–52 configuration audio/vidéo en direct 15 configuration requise 20 description 10 disponibilité 20, 51 enchaînement de présentations 44 présentations en direct 45 QTSS/DSS et 15 site Web 20, 51 “QuickTime for the Web” 11 QuickTime Player affichage de flux de données multimédias 16 description 10 visualisation de données multimédias à partir des clients 22 visualisation de films 21 QuickTime Pro description 10 inclus avec “QuickTime for the Web” 11 R RAM 47 Real-Time Streaming Protocol. Voir RTSP Real-Time Transport Protocol. Voir RTP réglage Demander une diffusion entrante 27 réglage “Débit maximal” 25 réglage “Mode lecture” 37 réglage “Nom” 35 réglage “Nombre de connexions max.” 25 réglages du proxy d'enchaînement 39 réglages du transport d'enchaînement 39 relais flux de données multimédias 18 gestion 9 utilisations pour 18 répertoires multimédias liens symboliques 27 multiples 27 réseaux bande passante 46 capacité 46 préparation pour la diffusion en direct 46 traduction d'adresses 29 résolution 50 ressources 11–12 RTP (Real-Time Transport Protocol) 12, 13 RTSP (Real-Time Streaming Protocol) 12, 13 S Secure Sockets Layer. Voir SSL sécurité 28–30 coupe-feu 29 enchaînement sur le port 80 29 mots de passe. Voir mots de passe réseaux avec traduction d'adresses 29 segments de bande passante 46 Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) configuration 47 description 10 disponibilité 7 support 11 version 4 9 version 4.1 9 serveurs Apache 7 connexion interrompue 41 exécution interrompue 41 occupés 25, 41 Xserve 44 serveurs d'enchaînement Voir aussi DSS (Darwin Streaming Server); Serveur Enchaînement QuickTime; serveurs configuration 19–22, 47–49 configuration requise 47–48 considérations 47–4969 Index listes de diffusion 11 restriction de l'accès 49 test de la configuration 21 vue d'ensemble 13 serveurs Web 7 serveur Web Apache 7 serveur Xserve 44 service coupe-feu IP 48 sites Web Darwin Streaming Server 12 Internet Engineering Task Force 12 norme RTP 12 norme RTSP 12 page de support AppleCare de Mac OS X Server 11 QuickTime Broadcaster 20, 51 Serveur Enchaînement QuickTime 11 services QuickTime 11 site de formation QuickTime 11 support AppleCare 11 site Web de formation QuickTime 11 site Web des services QuickTime 11 sortie Firewire 50 suite de produits QuickTime 7 support AppleCare 11 systèmes de stockage RAID 48 systèmes Windows 16 T technologie Apple de protection contre les coupures 14 technologie de protection contre les coupures 9, 14 technologie Firewire 20 téléchargements HTTP 40 traduction d'adresses 29 trafic HTTP 49 trépied 50, 51 U URL fichiers multimédias 22 localisation impossible 40 RTSP 22 User Datagram Protocol. Voir UDP utilisateurs diffusion 30 impossible de se connecter à la diffusion 40 répertoires multimédias multiples 27 V vidéo capture 20 enchaînement 15 vidéo en direct archivage 54–55 configuration pour l'enchaînement 15 configuration requise 20 prise de vue 53 W WinAmp 19 Mac OS X Server Administration des technologies Web Pour la version 10.3 ou ultÈrieureApple Computer Inc. © 2003 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Le propriétaire ou l’utilisateur autorisé d’une copie valide du logiciel Mac OS X Server peut reproduire cette publication pour les besoins de l’apprentissage de l’utilisation de ce logiciel. Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite ou transmise à des fins commerciales, telles que la vente de copies de cette publication ou la fourniture de services de support payants. Tous les efforts ont été déployés afin de garantir la précision des informations de ce manuel. Apple Computer, Inc. n’est pas responsable des erreurs d’impression ou des erreurs typographiques. L’utilisation de ce logo à des fins commerciales via le clavier (Option-1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple, Mac, Mac OS, Macintosh et Sherlock sont des marques d’Apple Computer, Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Adobe et PostScript sont des marques d’Adobe Systems Incorporated. Java et tous les logos et marques dérivés de Java sont des marques ou des marques déposées de Sun Microsystems, Inc., aux États-Unis et dans d’autres pays. Netscape Navigator est une marque de Netscape Communications Corporation. UNIX est une marque déposée aux États-Unis et dans d’autres pays, sous licence exclusive de X/Open Company Ltd. Remarque : Apple améliore continuellement les performances et le design de ses produits. Il se peut que certaines illustrations de ce manuel soient légèrement différentes de votre version du logiciel. F022-1327 3 1 Table des matières Chapitre 1 7 Vue d’ensemble des technologies Web 8 Principaux composants Web 8 Serveur Web Apache 8 WebDAV 8 Prise en charge CGI 9 Prise en charge SSL 9 Contenu dynamique avec SSI (Server-Side Includes) 9 Cache frontal 9 Avant de commencer 9 Configuration de votre serveur Web 9 Assurer la sécurité des transactions 10 Configuration de sites Web 10 Hébergement de plusieurs sites Web 10 À quoi sert WebDAV 12 Description de MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) Chapitre 2 15 Gestion des technologies Web 15 Première configuration du serveur Web 17 Utilisation d’Admin Serveur pour la gestion de votre serveur Web 17 Démarrage et arrêt du service Web 18 Modification des mappages MIME et des gestionnaires de contenu 19 Gestion des connexions 19 Configuration des connexions simultanées pour le serveur Web 20 Configuration de connexions persistantes pour le serveur Web 20 Configuration d’un intervalle de délai de connexion 22 Configuration de la mise en cache proxy 23 Blocage du placement de certains sites Web dans la mémoire cache de votre serveur Web 23 Utilisation de SSL (Secure Sockets Layer) 23 À propos de SSL 24 Utilisation de WebDAV 24 Utilisation de Tomcat 25 Affichage de l’état d’un service Web4 Table des matières 25 Vue d’ensemble du service Web 25 Modules de service Web en cours d’utilisation 26 Affichage des historiques d’activité du service Web Chapitre 3 27 Gestion des sites Web 27 Utilisation d’Admin Serveur pour gérer les sites Web 27 Configuration du dossier Documents d’un site Web 28 Activation d’un site Web sur un serveur 29 Modification du dossier Web par défaut d’un site 29 Configuration de la page par défaut d’un site Web 30 Changement du port d’accès d’un site Web 30 Amélioration des performances des sites Web statiques (mémoire cache de performances) 30 Conséquences de l’utilisation de la mémoire cache de performances du service Web 31 Activation des historiques des accès et des erreurs d’un site Web 32 Configuration de listes de répertoires pour un site Web 33 Création d’index pour la recherche de contenu dans un site Web 34 Connexion à votre site Web 34 Activation de WebDAV sur des sites Web 35 Configuration de l’accès pour les sites utilisant WebDAV 36 Autorisations des fichiers et des dossiers de contenu Web et WebDAV 37 Activation de l’authentification Digest WebDAV intégrée 37 Conflit entre WebDAV et la mémoire cache de performances Web 37 Activation d’un script CGI (Common Gateway Interface) 38 Activation de SSI (Server Side Includes) 39 Affichage des réglages d’un site Web 39 Configuration des réponses du serveur aux types MIME et aux gestionnaires de contenu 40 Activation de SSL 41 Configuration de l’historique SSL pour un site Web 41 Activation de PHP 42 Contenu utilisateur sur les sites Web 42 Configuration du service Web 42 Contenu par défaut 43 Accès au contenu WebTable des matières 5 Chapitre 4 45 WebMail 45 Notions élémentaires de WebMail 45 Utilisateurs de WebMail 46 WebMail et votre serveur de courrier 46 Protocoles WebMail 47 Activation de WebMail 47 Configuration de WebMail Chapitre 5 51 SSL (Secure Sockets Layer) 51 Configuration de SSL 51 Génération d’une requête CSR (Certificate Signing Request) pour votre serveur. 52 Acquisition d’un certificat de site Web 53 Installation du certificat sur votre serveur 53 Activation de SSL pour le Site 54 Le mot de passe SSL du serveur Web n’est pas accepté lorsqu’il est saisi manuellement Chapitre 6 55 Utilisation d’applications open-source 55 Apache 56 Emplacement des principaux fichiers Apache 56 Modification des fichiers de configuration Apache 57 Démarrage et arrêt du service Web à l’aide du script apachectl 58 Activation de l’enregistrement Apache via Rendezvous 62 Expérimentation avec Apache 2 63 JBoss 64 Sauvegarde et restauration des configurations JBoss 65 Tomcat 66 MySQL 66 Installation de MySQL Chapitre 7 69 Installation et affichage des modules Web 69 Modules Apache 69 Modules spécifiques à Macintosh 70 mod_macbinary_apple 70 mod_sherlock_apple 70 mod_auth_apple 70 mod_hfs_apple 70 mod_digest_apple 70 mod_rendezvous_apple 71 Modules Open-Source 71 Tomcat 71 PHP : Hypertext Preprocessor 71 mod_perl6 Table des matières Chapitre 8 73 Résolution de problèmes 73 Les utilisateurs ne parviennent pas à se connecter à un site Web sur votre serveur 74 Un module Web ne fonctionne pas comme prévu 74 Un script CGI ne fonctionne pas Chapitre 9 75 Où trouver des informations supplémentaires Glossaire 77 Index 811 7 1 Vue d’ensemble des technologies Web Familiarisez-vous avec les technologies Web et leurs principaux composants avant de configurer vos services et sites. Les technologies Web de Mac OS X Server offrent une solution de serveur Internet intégrée. Également appelées service Web dans ce guide, elles sont faciles à configurer et à administrer ; il n’est pas nécessaire d’être un administrateur Web expérimenté pour installer plusieurs sites Web et pour configurer et surveiller un serveur Web. Les technologies Web de Mac OS X Server utilisent le serveur Apache. Ce serveur Web HTTP open-source répond aux requêtes concernant les pages Web HTML stockées sur votre site. Les logiciels libres ou open-source autorisent quiconque à consulter et éditer le code source afin d’y apporter modifications et améliorations. Cela a contribué à populariser Apache, qui est aujourd’hui le serveur Web le plus utilisé sur Internet. Les administrateurs Web peuvent utiliser Server Admin pour administrer les technologies Web sans connaissance préalable des réglages avancés ni des fichiers de configuration. Les administrateurs Web spécialistes d’Apache peuvent choisir d’administrer les technologies Web à l’aide des fonctions avancées d’Apache. En outre, les technologies Web de Mac OS X Server incluent un cache frontal qui améliore les performances des sites Web utilisant des pages HTML statiques. Grâce à ce cache, le serveur accède systématiquement aux donnés statiques chaque fois que cela est requis. Le service Web gère également le protocole WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning). Avec WebDAV, vos utilisateurs client peuvent consulter des pages Web, apporter des modifications, puis vérifier le résultat en temps réel. En outre, l’ensemble des commandes élaborées de WebDAV permet aux ordinateurs client fonctionnant sous Mac OS X d’utiliser un serveur Web compatible WebDAV de la même façon qu’un serveur de fichiers.8 Chapitre 1 Vue d’ensemble des technologies Web Dans la mesure où le service Web de Mac OS X Server utilise le serveur Apache, vous pouvez ajouter des fonctionnalités avancées à l’aide de modules Apache, dont la gestion du protocole SOAP (Simple Object Access Protocol), de Java et de langages CGI tels que Python. Principaux composants Web Les technologies Web de Mac OS X Server sont constituées de divers composants essentiels, qui offrent un environnement serveur souple et évolutif. Serveur Web Apache Apache est un serveur Web HTTP open-source que les administrateurs peuvent configurer avec l’application Server Admin. Apache présente une structure modulaire et le jeu de modules activé par défaut s’adapte à la plupart des utilisations. Server Admin peut contrôler quelques modules facultatifs. Les utilisateurs Apache expérimentés peuvent ajouter ou supprimer des modules, et modifier le code du serveur. Pour plus d’informations sur les modules, consultez “Modules Apache” à la page 69. Apache version 1.3 est installé dans Mac OS X Server. Apache version 2 est fourni avec le logiciel serveur à des fins d’évaluation ; il se trouve dans le répertoire /opt/apache2/. WebDAV WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) est particulièrement utile pour la mise à jour de contenu sur un site Web. Les utilisateurs qui disposent d’un accès WebDAV au serveur peuvent ouvrir les fichiers, apporter des modifications ou effectuer des ajouts, puis enregistrer ces modifications. Vous pouvez également utiliser la fonctionnalité de gestion des royaumes de WebDAV afin de contrôler l’accès à tout ou partie du contenu d’un site Web. Prise en charge CGI CGI (Common Gateway Interface) représente l’interface de communication entre le serveur et les clients. Par exemple, les scripts CGI permettent aux utilisateurs de commander un produit sur un site Web ou d’envoyer des réponses à des demandes d’informations. Vous pouvez écrire les scripts CGI dans n’importe quel langage, notamment Perl et Python. Le dossier /Library/WebServer/CGI-Executables est l’emplacement par défaut des scripts CGI.Chapitre 1 Vue d’ensemble des technologies Web 9 Prise en charge SSL Le service Web prend en charge le protocole SSL (Secure Sockets Layer), permettant le cryptage des informations échangées entre le client et le serveur. SSL utilise un certificat numérique qui permet de certifier l’identité de son propriétaire au serveur et d’établir un échange sécurisé et crypté des informations. Contenu dynamique avec SSI (Server-Side Includes) SSI (Server-Side Includes) permet d’utiliser le même contenu sur plusieurs pages d’un site. Il peut également indiquer au serveur d’exécuter un script ou d’insérer des données spécifiques dans une page. Cette fonctionnalité facilite énormément la mise à jour du contenu, car vous ne modifiez les informations qu’en un seul emplacement et la commande SSI met à jour ces informations sur plusieurs pages. Cache frontal Le serveur Web inclut un cache qui améliore les performances des sites Web affichant des pages statiques. Le contenu statique reste dans le cache après son utilisation, de sorte que le serveur peut rapidement extraire ce contenu lorsqu’il est demandé une nouvelle fois. Avant de commencer Cette section contient les informations nécessaires à une première installation de votre serveur Web. Il est conseillé de lire ce chapitre même si vous êtes un administrateur Web expérimenté, car certaines fonctionnalités et certains comportements peuvent être différents de ce à quoi vous vous attendez. Configuration de votre serveur Web Vous pouvez utiliser Server Admin pour installer et configurer la plupart des fonctionnalités de votre serveur Web. Si vous êtes un administrateur Apache expérimenté et que vous avez besoin de fonctionnalités du serveur Web Apache qui ne sont pas incluses dans Server Admin, vous pouvez modifier les fichiers de configuration appropriés. Sachez toutefois qu’Apple ne procure toutefois pas l’assistance technique en cas de modification des fichiers de configuration Apache. Si vous décidez de modifier un fichier, veillez à effectuer dans un premier temps une copie de sauvegarde. Utilisez cette copie en cas de problème. Pour plus d’informations sur les modules Apache, consultez le site Web Apache Software Foundation à l’adresse http://www.apache.org. Assurer la sécurité des transactions Pour assurer la sécurité des transactions sur votre serveur, configurez la protection SSL (Secure Sockets Layer). SSL permet d’envoyer sur Internet des informations cryptées et authentifiées. Si vous souhaitez autoriser l’utilisation de cartes de crédit sur votre site Web, vous pouvez utiliser SSL pour protéger les informations qui transitent par votre site.10 Chapitre 1 Vue d’ensemble des technologies Web Pour obtenir des instructions sur la manière de configurer des transactions sécurisées, consultez le chapitre 5, “SSL (Secure Sockets Layer)”, à la page 51. Configuration de sites Web Pour héberger un site Web, vous devez : • Enregistrer votre nom de domaine auprès d’une autorité compétente • Créer un dossier pour votre site Web sur le serveur • Créer une page par défaut dans le dossier, que les utilisateurs pourront visualiser une fois connectés à celle-ci • Vérifier que le service DNS est correctement configuré si vous souhaitez que les clients accèdent à votre site Web par l’intermédiaire de son nom Une fois prêt à publier ou à activer votre site, vous pouvez utiliser Server Admin. Le volet Sites de la fenêtre Réglages permet d’ajouter un site et de sélectionner un ensemble de réglages pour chacun des sites hébergés. Pour plus de détails, consultez le chapitre 3, “Gestion des sites Web”, à la page 27. Hébergement de plusieurs sites Web Vous pouvez héberger simultanément plusieurs sites Web sur votre serveur Web. Selon le mode de configuration de vos sites, il se peut qu’ils possèdent les mêmes nom de domaine, adresse IP ou port. En revanche, la combinaison d’un nom de domaine, d’une adresse IP et d’un port doit être unique pour chacun des sites. Vos noms de domaines doivent être enregistrés auprès d’une autorité compétente, telle que InterNIC. À défaut, le site Web associé au domaine ne sera pas visible sur Internet. Chaque nouvelle inscription est payante. Si vous configurez des sites Web avec plusieurs noms de domaine et une seule adresse IP, les anciens navigateurs ne prenant pas en charge HTTP 1.1 ou une version ultérieure (c’est-à-dire ceux n’incluant pas l’en-tête de requête “Host”) ne peuvent pas accéder à vos sites. Ce problème n’affecte que les logiciels antérieurs à 1997 et ne concerne pas les navigateurs modernes. Si vous pensez que vos utilisateurs utilisent d’anciens logiciels de navigateurs, configurez vos sites à l’aide d’un nom de domaine par adresse IP. À quoi sert WebDAV Si vous utilisez WebDAV pour la création dynamique de contenu sur votre site Web, vous devez créer des royaumes et définir des autorisations d’accès pour les utilisateurs. Chaque site que vous hébergez peut être divisé en plusieurs royaumes, disposant chacun de ses propres utilisateurs et groupes ayant soit des autorisations de navigation ou de création.Chapitre 1 Vue d’ensemble des technologies Web 11 Définition de royaumes Lorsque vous définissez un royaume, généralement sous forme de dossier (ou de répertoire), les autorisations d’accès définies pour le royaume s’appliquent à l’ensemble du contenu de ce répertoire. Si un nouveau royaume est défini pour l’un des dossiers du royaume existant, seules les autorisations du nouveau royaume s’appliqueront à ce dossier et à son contenu. Pour obtenir plus d’informations sur la création de royaumes et la définition d’autorisations d’accès, consultez la section “Configuration de l’accès pour les sites utilisant WebDAV” à la page 35. Définition d’autorisations WebDAV Le processus Apache qui s’exécute sur le serveur doit avoir accès aux fichiers et aux dossiers du site Web. Pour ce faire, Mac OS X Server installe un utilisateur nommé “www” et un groupe nommé “www” dans la liste Utilisateurs et groupes du serveur. Les processus Apache qui fournissent les pages Web fonctionnent comme utilisateur “www” et membres du groupe “www”. Vous devez attribuer au groupe “www” l’accès en lecture aux fichiers des sites Web afin que le serveur puisse envoyer ces fichiers aux navigateurs lorsque des utilisateurs se connectent aux sites. Si vous utilisez WebDAV, l’utilisateur “www” et le groupe “www” requièrent tous deux l’accès en écriture aux fichiers et dossiers des sites Web. L’utilisateur et le groupe “www” doivent en outre pouvoir écrire dans le répertoire /var/run/davlocks. Comprendre la sécurité WebDAV WebDAV autorise les utilisateurs à mettre à jour les fichiers d’un site Web en ligne. Lorsque le protocole WebDAV est activé, le serveur Web doit disposer d’un accès en écriture aux fichiers et dossiers du site que les utilisateurs sont en train de mettre à jour. Cette situation engendre des risques importants lorsque d’autres sites sont en cours d’exécution sur le serveur, car les responsables d’un site sont alors en mesure d’en modifier d’autres. Vous pouvez éviter ce problème en définissant avec soin les autorisations d’accès aux fichiers du site via le module Partage de l’application Gestionnaire de groupe de travail. Mac OS X Server utilise un groupe prédéfini nommé “www”, lequel contient les processus Apache. Vous devez accorder au groupe “www” l’accès en lecture et en écriture aux fichiers du site Web. Vous devez également attribuer l’autorisation Lecture et écriture à l’administrateur du site Web (propriétaire) et Aucun accès à Tous. Si vous êtes préoccupé par la sécurité de votre site Web, vous pouvez choisir de désactiver WebDAV et d’utiliser plutôt le service de fichiers Apple ou le service FTP pour modifier le contenu d’un site Web.12 Chapitre 1 Vue d’ensemble des technologies Web Description de MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) est une norme Internet permettant de spécifier le logiciel nécessaire lorsqu’un navigateur Web demande un certain type de fichier. Vous pouvez définir la réponse du serveur Web en fonction de l’extension du fichier. Vos choix dépendent en partie des modules que vous avez installés sur votre serveur Web. Pour chaque association d’une extension de fichier et de la réponse correspondante, on parle de mappage MIME. Extensions MIME Une extension décrit le type de données d’un fichier. Vous trouverez ci-dessous quelques exemples : • txt pour les fichiers texte • cgi pour les fichiers Common Gateway Interface • gif pour les fichiers GIF (graphiques) • php pour les fichiers PHP : Hypertext Preprocessor (scripts HTML intégrés) utilisé pour WebMail, etc. • tiff pour les fichiers TIFF (graphiques) Mac OS X Server comprend un ensemble d’extensions MIME par défaut. Cet ensemble inclut toutes les extensions du fichier mime.types distribuées avec Apache, ainsi que quelques ajouts. Si une extension dont vous avez besoin n’est pas répertoriée ou ne présente pas le comportement souhaité, utilisez Server Admin pour ajouter l’extension à l’ensemble d’extensions ou pour modifier son comportement. Remarque : n’ajoutez ni ne modifiez d’extensions MIME en éditant les fichiers de configuration. Réponses du serveur Web (gestionnaires de contenu) Lorsqu’un fichier est demandé, le serveur Web traite celui-ci en fonction de la réponse spécifiée pour ce type de fichier . Les réponses, également appelées gestionnaires de contenu, peuvent être une action ou un mappage MIME. Voici quelques-unes des réponses possibles : • Renvoyer le fichier comme type MIME (saisissez le mappage que vous souhaitez renvoyer) • Send-as-is (envoyer le fichier tel quel) • Script cgi (exécuter un script CGI de votre choix) • Fichier imap (générer un message électronique IMAP) • Mac-binary (télécharger un fichier compressé au format MacBinary) Les mappages MIME sont divisés en deux sous-champs séparés par une barre oblique, par exemple text/plain. Mac OS X Server inclut une liste de mappages MIME par défaut. Vous pouvez les modifier et en ajouter d’autres.Chapitre 1 Vue d’ensemble des technologies Web 13 Lorsque vous spécifiez un type MIME comme réponse, le serveur identifie le type de données sollicitées et envoie la réponse spécifiée. Ainsi, si le navigateur demande un fichier avec l’extension “jpg” et que le mappage MIME correspondant est image/jpeg, le serveur sait qu’il doit envoyer un fichier image au format JPEG. La seule tâche du serveur consiste à servir les données sollicitées. Le traitement des opérations est différent. Si vous avez associé une opération à une extension, votre serveur exécute un programme ou un script, et le résultat est transféré sur le navigateur à l’origine de la requête. Par exemple, si un navigateur demande un fichier avec l’extension “cgi” et que la réponse associée est l’action cgi-script, le serveur exécute le script et envoie les données résultantes au navigateur. 2 15 2 Gestion des technologies Web Utilisez Admin Serveur pour la configuration initiale des technologies Web et pour gérer les réglages et les composants Web. Si vous êtes familiarisé avec les serveurs Web et leur contenu, vous pouvez utiliser cette procédure simplifiée pour démarrer le serveur Web. Si vous souhaitez des instructions plus détaillées, consultez les rubriques similaires dans “Utilisation d’Admin Serveur pour la gestion de votre serveur Web” à la page 17 et le chapitre 3, “Gestion des sites Web”, à la page 27. Première configuration du serveur Web Étape 1 : Configuration du dossier Documents Lors de l’installation du logiciel serveur, un dossier nommé Documents est configuré automatiquement dans le répertoire WebServer. Vous pouvez placer dans ce dossier tous les éléments que vous souhaitez rendre disponibles via un site Web. Vous pouvez créer des sous-dossiers dans le dossier Documents pour organiser les informations. Il se trouve dans le répertoire /Library/WebServer/Documents. En outre, chaque utilisateur référencé possède un dossier Sites dans son propre répertoire d’accueil. Tout graphique ou page HTML stocké(e) dans le dossier Sites de l’utilisateur peut être affiché via l’URL serveur.exemple.com/~nom_utilisateur/. Étape 2 : Création d’une page par défaut La page par défaut s’affiche chaque fois que des utilisateurs se connectent à votre site Web. Lors de la première installation du logiciel, le fichier index.html du dossier Documents constitue la page par défaut. Remplacez ce fichier par la page d’accueil de votre site Web et appelez-le index.html. Si vous souhaitez attribuer un autre nom à ce fichier, prenez soin d’ajouter ce nom à la liste des fichiers d’index par défaut et de le déplacer au début de la liste dans le volet Général de la fenêtre des réglages du site de Server Admin. Voir “Configuration de la page par défaut d’un site Web” à la page 29 pour les instructions relatives à la spécification des noms des fichiers d’index par défaut.16 Chapitre 2 Gestion des technologies Web Pour plus d’informations sur l’ensemble des réglages d’un site Web, consultez le chapitre 3, “Gestion des sites Web”, à la page 27. Étape 3 : Attribution d’autorisations pour un site Web Les processus Apache qui fournissent les pages Web doivent disposer d’un accès en lecture aux fichiers, ainsi que d’un accès en lecture/exécution aux dossiers. Dans le cas des dossiers, un accès en exécution signifie la possibilité de lire les noms des fichiers et des dossiers contenus dans ce dossier particulier. Ces processus Apache s’exécutent en tant qu’utilisateur www, un utilisateur spécial créé pour Apache lors de l’installation de Mac OS X Server. L’utilisateur www est membre du groupe www. Ainsi, pour que le processus Apache puisse accéder au contenu du site Web, les fichiers et les dossiers doivent être lisibles par l’utilisateur www. Vous devez donc attribuer au groupe “www” au moins l’accès en lecture seule aux fichiers de votre site Web, de sorte qu’il puisse envoyer ces fichiers aux navigateurs lorsque les utilisateurs se connectent au site. Voici comment procéder : • Rendez les fichiers et les dossiers lisibles par tous, indépendamment de leur appartenance à un utilisateur ou à un groupe. • Faites de l’utilisateur “www” le possesseur des fichiers et des dossiers et assurez-vous que ces derniers sont lisibles par le possesseur. • Faites du groupe “www” le possesseur des fichiers et des dossiers et assurez-vous que ces derniers sont lisibles par le groupe. Pour plus d’informations sur l’attribution d’autorisations, consultez le guide d’administration des services de fichiers. Étape 4 : Configuration de votre serveur Web La configuration par défaut fonctionne pour la plupart des serveurs Web qui hébergent un site Web unique, mais vous pouvez configurer l’ensemble des fonctionnalités élémentaires du service Web et des sites Web via Server Admin. Pour les options de configuration plus avancées, consultez le chapitre 6, “Utilisation d’applications opensource”, à la page 55. Pour héberger les sites Web des utilisateurs, vous devez configurer au moins un site Web. Pour configurer un site : 1 Ouvrez Server Admin. 2 Cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 3 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 4 Dans le volet Sites, cliquez sur le bouton Activé correspondant au site à activer. 5 Double-cliquez sur le nom du site et sélectionnez les options de configuration souhaitées pour le site.Chapitre 2 Gestion des technologies Web 17 Pour plus d’informations sur ces réglages, consultez “Utilisation d’Admin Serveur pour la gestion de votre serveur Web” à la page 17 et le chapitre 3, “Gestion des sites Web”, à la page 27. Étape 5 : Démarrage du service Web 1 Ouvrez Server Admin et cliquez sur Web dans la liste située sous le nom du serveur. 2 Cliquez sur Démarrer le service dans la barre d’outils. Important : utilisez toujours Server Admin pour démarrer et arrêter le serveur Web. Vous pouvez le démarrer à partir de la ligne de commande, mais Server Admin n’affichera pas le changement d’état pendant plusieurs secondes. Server Admin constitue la méthode préférée pour démarrer et arrêter le serveur Web, ainsi que pour modifier les réglages correspondants. Étape 6 : Connexion à votre site Web Pour vous assurer du bon fonctionnement du site Web, ouvrez votre navigateur et tentez de vous connecter au site Web via Internet. Si votre site ne fonctionne pas correctement, consultez le chapitre 8, “Résolution de problèmes”, à la page 73. Utilisation d’Admin Serveur pour la gestion de votre serveur Web L’application Server Admin permet de définir et de modifier la plupart des options de votre serveur Web. Pour accéder à la fenêtre des réglages Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. Remarque : cliquez sur l’un des cinq boutons du haut afin d’afficher les réglages dans ce volet. 3 Apportez les modifications souhaitées aux réglages. 4 Cliquez sur Enregistrer. Le serveur redémarre lorsque vous enregistrez vos modifications. Démarrage et arrêt du service Web Vous démarrez et arrêtez le service Web à partir de l’application Server Admin. Pour démarrer ou arrêter le service Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Démarrer le service ou Arrêter le service dans la barre d’outils. Si vous arrêtez le service Web, les utilisateurs connectés à un site Web hébergé sur votre serveur seront immédiatement déconnectés.18 Chapitre 2 Gestion des technologies Web Important : utilisez toujours Server Admin pour démarrer et arrêter le serveur Web. Vous pouvez le démarrer à partir de la ligne de commande, mais Server Admin n’affichera pas le changement d’état pendant plusieurs secondes. Server Admin constitue la méthode préférée pour démarrer et arrêter le serveur Web, ainsi que pour modifier les réglages correspondants. Démarrage automatique du service Web Le service Web est configuré pour démarrer automatiquement lorsque le serveur démarre (s’il était en cours d’exécution avant l’arrêt). Cela permet de garantir la disponibilité de vos sites Web en cas de panne de courant ou de défaillance quelconque du serveur. Lorsque vous démarrez le service Web dans la barre d’outils Server Admin, le service démarre automatiquement chaque fois que le serveur redémarre. Si vous désactivez le service Web et que vous redémarrez le serveur, vous devez réactiver le service Web. Modification des mappages MIME et des gestionnaires de contenu MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) est une norme standard Internet servant à décrire le contenu d’un fichier. Le volet Types MIME permet de configurer le mode de réponse du serveur lorsqu’un navigateur demande certains types de fichier. Pour plus d’informations sur les types MIME et les mappages de types MIME, consultez la section “Description de MIME (Multipurpose Internet Mail Extension)” à la page 12. Les gestionnaires de contenu sont des programmes Java utilisés pour gérer les différentes combinaisons type/sous-type MIME, telles que text/plain et text/richtext. Le serveur inclut le type MIME dans sa réponse à un navigateur afin de décrire les informations envoyées. Le navigateur peut ensuite utiliser sa liste de préférences MIME afin de déterminer comment gérer les informations. Le type MIME par défaut du serveur est text/html et indique qu’un fichier contient du texte HTML. Le serveur Web est configuré pour gérer les types MIME et les gestionnaires de contenu les plus courants. Vous pouvez ajouter, modifier ou supprimer des mappages MIME et de gestionnaire de contenu. Dans l’application Server Admin, ces fichiers s’affichent dans deux listes : Types MIME et Gestionnaires de contenu. Vous pouvez modifier des éléments dans chaque liste et ajouter ou supprimer des éléments. Pour ajouter ou modifier un mappage de MIME ou de gestionnaire de contenu : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons.Chapitre 2 Gestion des technologies Web 19 3 Dans le volet Types MIME, cliquez sur le bouton Ajouter sous la liste appropriée afin d’ajouter un mappage, ou sélectionnez un mappage et cliquez sur le bouton Supprimer ou Modifier (si vous choisissez Supprimer, vous avez terminé). 4 Dans la nouvelle feuille qui apparaît, effectuez l’une des opérations suivantes : • Pour un nouveau type MIME, saisissez chaque partie du nom (en les séparant par des barres obliques), sélectionnez le suffixe et tapez son nom, utilisez le bouton Ajouter pour ajouter les suffixes souhaités, puis cliquez sur OK. • Pour un nouveau gestionnaire de contenu, tapez un nom pour le gestionnaire, sélectionnez l’extension et tapez son nom, utilisez le bouton Ajouter pour ajouter les extensions souhaitées, puis cliquez sur OK. • Pour modifier un type MIME ou un gestionnaire de contenu, modifiez son nom en fonction de vos besoins, sélectionnez l’extension et modifiez-la si nécessaire, ajoutez les suffixes souhaités à l’aide du bouton Ajouter, puis cliquez sur OK. 5 Cliquez sur Enregistrer. Si vous ajoutez ou modifiez un gestionnaire comportant un script CGI (Common Gateway Interface), prenez soin d’activer l’exécution CGI pour votre site dans le volet Options de la fenêtre Réglages/Sites. Gestion des connexions Vous pouvez limiter la période pendant laquelle les utilisateurs sont connectés au serveur. En outre, il est possible de spécifier le nombre de connexions simultanées aux sites Web sur le serveur. Configuration des connexions simultanées pour le serveur Web Vous pouvez spécifier le nombre de connexions simultanées à votre serveur Web. Lorsque le nombre maximal de connexions est atteint, les nouvelles requêtes reçoivent un message indiquant que le serveur est occupé. Les connexions simultanées sont des connexions du client HTTP se déroulant au cours d’un intervalle de temps commun. Les navigateurs demandent souvent simultanément plusieurs parties d’une page Web ; chacune de ces demandes représente une connexion. Un nombre élevé de connexions simultanées est donc possible si le site comporte des pages contenant de multiples éléments et si de nombreux utilisateurs tentent de se connecter au serveur simultanément. Pour définir le nombre maximal de connexions à votre serveur Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web pour sélectionner le serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Général, tapez un nombre dans le champ “Maximum de connexions simultanées”.20 Chapitre 2 Gestion des technologies Web Le nombre maximum de connexions simultanées est compris entre 1 et 2048. La valeur maximale par défaut est de 500, mais vous pouvez configurer une valeur différente, en tenant compte des performances souhaitées de votre serveur. 4 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Configuration de connexions persistantes pour le serveur Web Vous pouvez configurer votre serveur Web pour répondre à plusieurs demandes provenant d’un ordinateur client sans avoir à fermer chaque fois la connexion. L’ouverture et la fermeture répétées des connexions s’avèrent peu efficaces et diminuent les performances. La plupart des navigateurs demandent une connexion persistante au serveur et ce dernier maintient la connexion ouverte jusqu’à ce qu’elle soit fermée par le navigateur. Cela signifie que le navigateur utilise une connexion même lorsqu’aucune information n’est transférée. Vous pouvez autoriser davantage de connexions persistantes (et ainsi éviter l’envoi d’un message Serveur occupé aux autres utilisateurs) en augmentant le nombre de connexions persistantes autorisées. Pour définir le nombre de connexions persistantes : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Général, tapez un nombre dans le champ “Maximum de connexions persistantes”. Le nombre maximal de connexions persistantes est compris entre 1 et 2048. La valeur par défaut de 500 offre de meilleures performances. 4 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Configuration d’un intervalle de délai de connexion Vous pouvez spécifier une période au bout de laquelle le serveur supprimera une connexion inactive. Pour définir l’intervalle de délai de connexion : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Général, tapez un nombre dans le champ “Délai de connexion” afin de spécifier la durée pouvant s’écouler entre deux demandes avant déconnexion de la session par le serveur Web. Le délai de connexion est compris entre 0 et 9999 secondes.Chapitre 2 Gestion des technologies Web 21 4 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Configuration de la mise en cache proxy Un serveur proxy permet aux utilisateurs de rechercher des fichiers fréquemment utilisés sur un serveur local. Vous pouvez utiliser un serveur proxy pour accélérer les délais de réponse et réduire le trafic sur le réseau. Le proxy conserve les derniers fichiers ouverts en mémoire cache sur votre serveur Web. Les navigateurs de votre réseau vérifient la présence des fichiers en mémoire cache avant de les rechercher sur des serveurs distants. Pour tirer parti de cette fonctionnalité, les ordinateurs client doivent désigner votre serveur Web comme serveur proxy dans les préférences de leur navigateur. Si vous souhaitez configurer un proxy Web, prenez soin de créer et d’activer un site Web pour le proxy. Vous pouvez désactiver la consignation sur le site du proxy ou configurer le site pour qu’il enregistre son historique d’accès dans un fichier distinct des historiques d’accès de vos autres sites. Le site ne doit pas nécessairement utiliser le port 80, bien que préférable pour la configuration des clients Web, car les navigateurs utilisent ce port par défaut. Pour configurer un serveur proxy : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Proxy, cliquez sur Activer le proxy. 4 Configurez la taille maximale de la mémoire cache. Lorsque la taille de la mémoire cache atteint cette valeur, les fichiers les plus anciens sont supprimés du dossier cache. 5 Tapez le nom du chemin correspondant au dossier du cache dans le champ “Dossier cache”. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Parcourir afin de rechercher le dossier à utiliser. Si vous administrez un serveur distant, le service de fichiers doit s’exécuter sur le serveur distant pour permettre l’utilisation du bouton Parcourir. Si vous modifiez l’emplacement par défaut du dossier, vous devrez sélectionner le nouveau dossier dans le Finder, choisir Fichier > Lire les informations, puis nommer le possesseur et le groupe “www”. 6 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre.22 Chapitre 2 Gestion des technologies Web Remarque : si le proxy est activé, n’importe quel site du serveur peut être utilisé en tant que proxy. Blocage du placement de certains sites Web dans la mémoire cache de votre serveur Web Si votre serveur Web est configuré pour servir de proxy, vous pouvez interdire la mise en mémoire cache de certains sites Web inacceptables. Important : pour tirer parti de cette fonctionnalité, les ordinateurs client doivent désigner votre serveur Web comme serveur proxy dans les préférences de leur navigateur. Vous pouvez importer une liste de sites Web en les faisant glisser vers la liste des sites. Cette liste doit être un fichier texte avec les noms d’hôte séparés par des virgules ou des tabulations (également appelé chaînes csv et tsv). Assurez-vous que la dernière entrée du fichier se termine par un retour chariot/une nouvelle ligne ; à défaut, elle sera ignorée. Pour bloquer des sites Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web pour le serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Proxy, cliquez sur Activer le proxy. 4 Effectuez l’une des opérations suivantes : • Cliquez sur le bouton Ajouter, tapez l’URL du site Web que vous souhaitez bloquer dans le champ Ajouter, puis cliquez sur Ajouter. • Faites glisser une liste de sites Web (fichier texte au format séparé par des virgules ou des tabulations) vers le champ “Hôtes bloqués”. 5 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Utilisation de SSL (Secure Sockets Layer) SSL (Secure Sockets Layer) garantit la sécurité pour un site et pour ses utilisateurs via l’authentification du serveur, le cryptage des informations et la préservation de l’intégrité des messages. À propos de SSL Le protocole SSL a été développé par Netscape et utilise la technologie d’authentification et de cryptage de RAS Data Security, Inc. Pour plus d’informations sur le protocole SSL, consultez les sites suivants : • www.netscape.com/eng/ssl3/draft302.txt • http://developer.netscape.com/misc/developer/conference/proceedings/cs2/ index.htmlChapitre 2 Gestion des technologies Web 23 Le protocole SSL est placé entre les protocoles des applications (par exemple HTTP) et TCP/IP. Cela signifie que lorsque SSL fonctionne sur le serveur et dans le logiciel du client, toutes les informations sont cryptées avant leur envoi. Le serveur Web Apache de Mac OS X Server prend en charge SSLv2, SSLv3 et TLSv1. Vous trouverez davantage d’informations sur les versions de ces protocoles sur le site www.modssl.org. Le serveur Apache de Mac OS X Server utilise une combinaison clé publique/clé privée pour protéger les informations. Un navigateur crypte les informations à l’aide d’une clé publique fournie par le serveur. Seul le serveur possède une clé privée permettant de décrypter ces informations. Lorsque le protocole SSL est mis en œuvre sur un serveur, un navigateur s’y connecte à l’aide du préfixe https plutôt que http, dans l’URL. Le “s” indique que le serveur est sécurisé. Lorsqu’un navigateur engage une connexion avec un serveur protégé par le protocole SSL, il se connecte à un port spécifique (443) et envoie un message qui décrit le code de cryptage qu’il reconnaît. Le serveur répond avec son code le plus puissant, puis le navigateur et le serveur continuent d’échanger des messages jusqu’à ce que le serveur détermine le code de cryptage le plus puissant pouvant être interprété à la fois par le navigateur et par lui-même. Le serveur envoie ensuite son certificat (le serveur Web Apache utilise un certificat ISO X.509) au navigateur ; ce certificat identifie le serveur et l’utilise pour créer une clé de cryptage qui sera utilisée par le navigateur. À ce stade, une connexion sécurisée a été établie et le navigateur et le serveur peuvent échanger des informations cryptées. Utilisation de WebDAV WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) permet d’apporter des modifications aux sites Web alors qu’ils sont en cours d’exécution. WebDAV est activé pour des sites individuels et vous devez également attribuer des autorisations d’accès pour les sites et les dossiers Web. Pour plus de détails, consultez la section “Activation de WebDAV sur des sites Web” à la page 34 . Utilisation de Tomcat Tomcat ajoute les fonctionnalités de servlet Java et JSP (JavaServer Pages) à Mac OS X Server. Les servlets Java sont des applications de type Java qui s’exécutent sur votre serveur, contrairement aux applets Java qui s’exécutent sur l’ordinateur de l’utilisateur. JavaServer Pages permet d’incorporer des servlets Java dans vos pages HTML.24 Chapitre 2 Gestion des technologies Web Vous pouvez configurer le démarrage automatique de Tomcat à chaque démarrage du serveur. Cela permet d’assurer le démarrage du module Tomcat en cas de panne de courant ou de défaillance inopinée du serveur. Vous pouvez utiliser Admin Serveur ou l’outil de ligne de commande afin d’activer le module Tomcat. Voir “Tomcat” à la page 65 pour plus d’informations sur Tomcat et sur son utilisation avec votre serveur Web. Affichage de l’état d’un service Web Dans Server Admin, vous pouvez déterminer l’état actuel du serveur Apache ainsi que les modules serveur actifs. Vue d’ensemble du service Web La vue d’ensemble de Server Admin synthétise l’activité du serveur. Pour afficher la vue d’ensemble de l’état du service Web : 1 Ouvrez Server Admin. 2 Cliquez sur Vue d’ensemble dans la barre de boutons. Le champ Messages d’état Démarrage/Arrêt affiche une synthèse de l’activité du serveur, ainsi que la date et l’heure de démarrage du serveur. Vous pouvez également afficher les historiques d’activité pour chaque site de votre serveur. Pour plus de détails, consultez la rubrique “Affichage des réglages d’un site Web” à la page 39. Modules de service Web en cours d’utilisation Vous pouvez afficher la liste des modules en cours d’utilisation sur le serveur, ainsi que les modules disponibles mais non utilisés. Pour déterminer quels modules sont activés : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Modules, faites défiler l’affichage afin de voir l’ensemble des modules en cours d’utilisation ou disponibles dans le serveur. Chapitre 2 Gestion des technologies Web 25 Affichage des historiques d’activité du service Web Le service Web de Mac OS X Server utilise le format d’historique Apache standard, de sorte que vous pouvez également utiliser n’importe quel outil tiers d’analyse d’historique pour interpréter les données. Pour afficher les fichiers d’historique : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Historiques dans la barre de boutons. 3 Sélectionnez dans la liste l’historique que vous souhaitez afficher. Vous pouvez activer un historique d’accès et un historique des erreurs pour chaque site du serveur. Pour plus de détails, consultez la rubrique “Activation des historiques des accès et des erreurs d’un site Web” à la page 31.3 27 3 Gestion des sites Web Utilisez l’application Admin Serveur pour configurer et gérer les principaux composants du service Web. Vous pouvez administrer les sites Web de votre serveur via Server Admin, une application qui permet de définir les réglages, de spécifier les dossiers et les chemins, d’activer différentes options et d’afficher l’état des sites. Utilisation d’Admin Serveur pour gérer les sites Web Le volet Sites dans Server Admin répertorie les sites Web et fournit des informations générales sur chaque site. La sous-fenêtre Sites permet d’ajouter de nouveaux sites ou de modifier les réglages des sites présents. Pour accéder à la sous-fenêtre Sites : m Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité, cliquez sur Réglages dans la barre de boutons, puis cliquez sur Sites. Le volet affiche la liste des sites sur le serveur. m Pour modifier un site, double-cliquez sur son nom. Configuration du dossier Documents d’un site Web Pour rendre les fichiers disponibles via un site Web, placez les fichiers dans le dossier Documents du site. Pour organiser les informations, créez des dossiers à l’intérieur du dossier Documents. Le dossier se trouve dans le répertoire /Library/WebServer/Documents/. En outre, chaque utilisateur référencé possède un dossier Sites dans son propre répertoire d’accueil. Tous les graphiques ou pages HTML qui s’y trouvent seront affichés via l’URL suivante : http://serveur.exemple.com/~nom/.28 Chapitre 3 Gestion des sites Web Pour configurer le dossier Documents de votre site Web : 1 Ouvrez le dossier Documents sur votre serveur Web. Si vous n’avez pas modifié l’emplacement du dossier Documents, il se trouve dans le répertoire suivant : /Library/WebServer/Documents/. 2 Remplacez le fichier index.html par la page principale de votre site Web. Assurez-vous que le nom de votre page principale correspond au nom du document par défaut défini sous l’onglet Général de la fenêtre Réglages du site. Consultez “Configuration de la page par défaut d’un site Web” à la page 29 pour plus d’informations. 3 Copiez dans le dossier Documents les fichiers qui devront être disponibles sur votre site Web. Activation d’un site Web sur un serveur Pour pouvoir activer un site Web, vous devez créer le contenu du site et en configurer les dossiers. Pour activer un site Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter un nouveau site, ou sur le bouton Activé du site que vous souhaitez activer. Si le site est déjà répertorié, l’opération est terminée. 4 Dans le volet Général, tapez le nom DNS entièrement qualifié de votre site Web dans l e champ Nom. 5 Tapez l’adresse IP et le numéro de port (tout numéro jusqu’à 8 999) du site. Le numéro de port par défaut est 80. Vérifiez si ce numéro n’est pas utilisé par un autre service sur le serveur. Important : afin de mettre votre site Web en ligne sur le serveur, vous devez lui attribuer un nom, une adresse IP et un numéro de port uniques. Pour plus d’informations, consultez la section “Hébergement de plusieurs sites Web” à la page 10. 6 Tapez le chemin d’accès au dossier configuré pour ce site Web. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Parcourir afin de rechercher le dossier à utiliser. 7 Tapez le nom de fichier de votre document par défaut (il s’agit de la première page que les utilisateurs voient en accédant à votre site). 8 Appliquez d’autres réglages au site et cliquez sur Enregistrer. 9 Cliquez sur le bouton Précédent dans la partie supérieure droite de la fenêtre d’édition. 10 Cliquez sur la case Activé en regard du nom du site dans le volet Sites.Chapitre 3 Gestion des sites Web 29 11 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Modification du dossier Web par défaut d’un site Le dossier Web par défaut d’un site est utilisé en tant que racine du site. En d’autres termes, il constitue le premier niveau de la structure de répertoire du site. Pour modifier le dossier Web par défaut d’un site hébergé sur votre serveur : 1 Connectez-vous au serveur à administrer. 2 Faites glisser le contenu de votre dossier Web précédent vers le nouveau dossier Web. 3 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur où réside le site Web. 4 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 5 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 6 Tapez le chemin du dossier Web dans le champ Dossier Web ou cliquez sur le bouton Parcourir et recherchez l’emplacement du nouveau dossier Web (en cas d’accès à distance à ce serveur, le service de fichiers doit être activé ; consultez le guide d’administration des services de fichiers pour en savoir plus). 7 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Configuration de la page par défaut d’un site Web La page par défaut apparaît lorsqu’un utilisateur se connecte à votre site Web. Pour cela, spécifiez un répertoire ou un nom d’hôte plutôt qu’un nom de fichier. Il est possible d’utiliser plusieurs pages par défaut pour un site (appelées fichier d’index par défaut dans Admin Serveur). Si plusieurs fichiers d’index sont répertoriés pour un site, le serveur Web affiche le premier fichier de la liste présent dans le dossier du site. Pour définir la page Web par défaut : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Général, cliquez sur le bouton Ajouter et tapez un nom dans le champ “Fichiers d’index par défaut”. N’utilisez aucun espace dans le nom. Ce nom de fichier doit se trouver dans le dossier du site Web. 5 Pour que le serveur affiche un fichier en tant que page par défaut, faites-le en haut de la liste. 6 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre.30 Chapitre 3 Gestion des sites Web Remarque : si vous prévoyez d’utiliser une seule page d’index pour un site, vous pouvez conserver le fichier index.html comme fichier d’index par défaut et modifier le contenu du fichier existant dans /Library/WebServer/Documents. Changement du port d’accès d’un site Web Par défaut, le serveur utilise le port 80 pour les connexions aux sites Web sur votre serveur. Vous pouvez être amené à changer le port utilisé pour un site Web particulier, par exemple si vous souhaitez configurer un serveur de diffusion sur le port 80. Assurez-vous que le numéro choisi n’entre pas en conflit ceux utilisés sur le serveur (pour FTP, le service de fichiers Apple, SMTP, etc.). Si vous changez le numéro de port d’un site Web, vous devez modifier toutes les adresses URL qui renvoient au serveur Web afin d’y inclure le nouveau numéro de port. Pour configurer le port d’un site Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Général, tapez le numéro du port dans le champ Port. 5 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Amélioration des performances des sites Web statiques (mémoire cache de performances) Si vos sites Web contiennent des fichiers HTML statiques et que vous prévoyez de très nombreuses connexions à vos pages, vous pouvez activer la mémoire cache de performances pour améliorer les performances du serveur. Elle est activée par défaut. Vous devez désactiver la mémoire cache performances dans les cas suivants : • Vous ne prévoyez pas d’utilisation intensive de votre site Web. • La plupart des pages de votre site Web sont générées dynamiquement. Conséquences de l’utilisation de la mémoire cache de performances du service Web La mémoire cache de performances du service Web est activée par défaut et améliore de manière significative les performances de la plupart des sites Web. Les sites qui tirent le meilleur parti de le mémoire cache de performances contiennent essentiellement des informations statiques pouvant tenir entièrement dans la mémoire RAM. Le contenu du site Web est stocké dans la mémoire RAM du système et les clients peuvent y accéder très rapidement.Chapitre 3 Gestion des sites Web 31 L’activation de la mémoire cache de performances n’entraîne pas systématiquement une amélioration des performances. Par exemple, lorsque la quantité de contenu Web statique dépasse la quantité de mémoire RAM physique du serveur, l’utilisation d’une mémoire cache de performances augmente la permutation, entraînant une dégradation des performances. De plus, lorsque le serveur exécute d’autres services nécessitant de la mémoire physique, tels que AFP, la mémoire cache de performances peut s’avérer moins efficace, voire affecter de manière négative les performances de ces autres services. Pour activer ou désactiver la mémoire cache de performances pour votre serveur Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Options, cliquez sur Cache performances afin de modifier son état. 5 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Vous pouvez également améliorer les performances du serveur en désactivant l’historique des accès. Activation des historiques des accès et des erreurs d’un site Web Vous pouvez configurer des historiques des erreurs et des accès pour des sites Web individuels que vous hébergez sur votre serveur. Cependant, en activant les historiques, vous risquez de ralentir les performances du serveur. Pour activer les historiques des accès et des erreurs d’un site Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Consignation, cochez la case Activer l’historique des accès afin d’activer cet historique. 5 Définissez la fréquence selon laquelle les historiques doivent être archivés en cliquant sur la case à cocher et en tapant un nombre de jours. 6 Tapez le chemin du dossier dans lequel vous souhaitez enregistrer les historiques. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Parcourir afin de localiser le dossier à utiliser.32 Chapitre 3 Gestion des sites Web Si vous administrez un serveur distant, le service de fichiers doit s’exécuter sur ce serveur pour permettre l’utilisation du bouton Parcourir. 7 Sélectionnez un format d’historique dans le menu local Format. 8 Modifiez la chaîne de format, si nécessaire. 9 Tapez l’archive, l’emplacement et le niveau pour l’historique des erreurs. 10 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Description du nouveau format de l’historique des accès du service Web Dans la version 10.3 de Mac OS X Server, la mémoire cache de performances Web n’empêche pas l’enregistrement de l’adresse IP d’un client distant dans l’historique des accès. Le processus de la mémoire cache de performances Web ajoute désormais un en-tête HTTP nommé “PC-Remote-Addr”, contenant l’adresse IP du client, avant de transmettre une requête au serveur Web Apache. Lorsque la mémoire cache de performances est désactivée, la chaîne de format standard de l’historique dans la directive CustomLog du fichier httpd.conf reste identique à celle des versions antérieures : %h %l %u %t “%r” %>s %b Lorsque la mémoire cache de performances est activée (par défaut), l’élément “%h” extrait l’adresse IP de l’ordinateur local. Pour permettre l’extraction de l’adresse IP du client distant, la chaîne de format de l’historique doit être modifiée de la façon suivante : %{PC-Remote-Addr}i %l %u %t “%r” %>s %b Lorsque vous utilisez l’application Server Admin pour activer et désactiver la mémoire cache des performances Web de chaque site (hôte virtuel), la directive CustomLog du fichier httpd.conf de chaque site est ajustée automatiquement afin que les historiques des accès contiennent toujours l’adresse correcte du client distant. Configuration de listes de répertoires pour un site Web Lorsque des utilisateurs spécifient l’URL d’un répertoire, vous pouvez afficher une page Web par défaut (par exemple index.html) ou la liste du contenu du répertoire. Vous pouvez afficher une liste de dossiers. Pour configurer les listes de répertoires, vous devez activer l’indexation pour le site Web. Remarque : les listes de contenus de dossiers ne sont affichées que si les documents par défaut sont introuvables.Chapitre 3 Gestion des sites Web 33 Pour activer l’indexation d’un site Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Options, sélectionnez Liste des dossiers. 5 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Création d’index pour la recherche de contenu dans un site Web La version 10.3 de Mac OS X Server continue de prendre en charge le module Apache mod_sherlock_apple, lequel permet aux navigateurs Web de rechercher du contenu dans votre site Web. Comme dans les versions précédentes du serveur, vous devez générer un index avant toute recherche de contenu. Dans les versions antérieures du serveur, les index de contenu devaient être créés dans Sherlock. Vous pouvez désormais les créer à l’aide du Finder. Sélectionnez le dossier contenant les fichiers à indexer, puis cliquez sur Fichier > Lire les informations. Cliquez sur Content Index, puis sur Index Now. Vous pouvez supprimer un index en cliquant sur le bouton Delete Index dans la fenêtre Infos. En outre, de nouvelles contraintes limitent la création des fichiers d’index. Pour créer un index, vous devez être le possesseur du dossier et posséder tous les fichiers devant être indexés dans ce dossier. Dans le cas du contenu du dossier /Library/WebServer/ Documents, le dossier et tous les fichiers qu’il contient appartiennent à root. Même si le dossier et les fichiers peuvent être écrits par les membres du groupe admin, vous devez être connecté en tant que root pour créer un index de contenu. La création d’un index à distance ou sur un serveur Headless est effectuée par l’intermédiaire d’un outil de ligne de commande nommé indexfolder. Consultez les “pages man” pour plus d’informations sur l’utilisation de cet outil. Le fonctionnement de l’outil indexfolder varie en fonction de la fenêtre de connexion. Si personne ne s’est connecté dans la fenêtre de connexion, l’outil doit être exécuté en tant que root. Si un administrateur est connecté, l’outil doit être exécuté sous le nom de cet administrateur. Dans le cas contraire, l’outil échoue et affiche les messages d’avertissement ci-dessous : kCGErrorIllegalArgument : initCGDisplayState: cannot map display interlocks. kCGErrorIllegalArgument : CGSNewConnection cannot get connection port. Que l’indexation du contenu soit effectuée via le Finder ou l’outil indexfolder, un dossier nommé “.FBCIndex” est créé dans le dossier à indexer ou dans l’un de ses dossiers parent.34 Chapitre 3 Gestion des sites Web Connexion à votre site Web Une fois votre site Web configuré, il est judicieux de l’afficher dans un navigateur Web afin de vérifier que tout s’affiche comme prévu. Pour vous assurer qu’un site Web fonctionne correctement : 1 Ouvrez un navigateur Web et tapez l’adresse Web de votre serveur. Vous pouvez utiliser soit l’adresse IP, soit le nom du domaine du serveur. 2 Tapez le numéro du port si vous n’utilisez pas le port par défaut. 3 Si vous avez limité l’accès à des utilisateurs particuliers, tapez un nom d’utilisateur et un mot de passe valides. Activation de WebDAV sur des sites Web WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) permet d’apporter des modifications aux sites Web alors qu’ils sont en cours d’exécution. Si vous activez WebDAV, vous devez également affecter des autorisations d’accès aux sites et aux dossiers Web. Pour activer WebDAV pour un site : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Options, sélectionnez WebDAV et cliquez sur Enregistrer. 5 Cliquez sur Royaumes. Double-cliquez sur un royaume pour l’éditer ou cliquez sur le bouton Ajouter afin de créer un royaume. Le royaume est la partie du site Web accessible par l’utilisateur. 6 Tapez le nom qui s’affichera lorsque les utilisateurs se connectent. Le nom par défaut du royaume est “sans_titre”. 7 Si vous souhaitez activer l’authentification Digest pour le royaume, sélectionnez Digest dans le menu local Autorisation. L’autorisation élémentaire est activée par défaut. 8 Tapez le chemin vers l’emplacement dans le site Web auquel vous souhaitez limiter l’accès, puis cliquez sur OK. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Parcourir afin de localiser le dossier à utiliser. Si vous administrez un serveur distant, le service de fichiers doit s’exécuter sur le serveur distant pour permettre l’utilisation du bouton Parcourir. 9 Cliquez sur Enregistrer.Chapitre 3 Gestion des sites Web 35 Le service Web redémarre. Remarque : si vous avez désactivé le module WebDAV dans le volet Modules d’Admin Serveur, vous devez le réactiver pour que l’option WebDAV prenne effet pour un site. Cela est vrai même si l’option WebDAV est cochée dans le volet Options du site. Consultez “Modules Apache” à la page 69 pour plus d’informations sur l’activation de modules. Configuration de l’accès pour les sites utilisant WebDAV Vous pouvez créer des royaumes afin de sécuriser les sites Web. Les royaumes sont des emplacements, à l’intérieur d’un site, que les utilisateurs peuvent visualiser ou modifier lorsque WebDAV est activé. Quand vous définissez un royaume, vous pouvez attribuer aux utilisateurs des autorisations d’exploration et de création sur celui-ci. Pour ajouter des utilisateurs et des groupes à un royaume : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Royaumes, sélectionnez le royaume que vous souhaitez modifier. Si aucun nom de royaume n’est répertorié, créez-en un à l’aide des instructions de la section “Activation de WebDAV sur des sites Web” à la page 34. 5 Pour définir l’accès pour tous les utilisateurs, effectuez l’une des opérations suivantes : • Si vous souhaitez que tous les utilisateurs puissent explorer ou créer du contenu, sélectionnez Peut explorer ou Peut créer pour Tous. Lorsque vous sélectionnez des autorisations pour Tous, les options suivantes sont disponibles : Explorer permet à tous les utilisateurs ayant accès à ce royaume de le voir. Vous pouvez ajouter des utilisateurs et groupes à la liste Utilisateur ou Groupe pour qu’ils puissent accéder à la création. Explorer et Créer permet à tous les utilisateurs ayant accès à ce royaume de le voir et d’y apporter des modifications. • Si vous souhaitez autoriser l’accès à des utilisateurs spécifiques (et non à tous les utilisateurs), ne sélectionnez pas Peut explorer ou Peut créer pour Tous. 6 Pour spécifier l’accès pour les utilisateurs et groupes individuels, cliquez sur Utilisateurs et groupes afin d’ouvrir un tiroir qui répertorie les utilisateurs et les groupes. 7 Cliquez sur Utilisateurs ou Groupes dans la barre de boutons du tiroir afin d’afficher la liste souhaitée. 8 Faites glisser le nom des utilisateurs vers le champ Utilisateurs ou le nom des groupes vers le champ Groupes.36 Chapitre 3 Gestion des sites Web Remarque : vous pouvez également utiliser le bouton Ajouter (+) pour ouvrir une feuille, dans laquelle vous tapez un nom d’utilisateur ou de groupe et vous sélectionnez les options d’accès. 9 Sélectionnez Peut explorer et Peut créer pour chaque utilisateur et groupe souhaité. 10 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Utilisez le volet Royaumes pour supprimer un utilisateur ou un groupe en sélectionnant son nom et en cliquant sur le bouton Supprimer (–). Autorisations des fichiers et des dossiers de contenu Web et WebDAV Mac OS X Server impose les contraintes suivantes sur les fichiers et dossiers de contenu Web (lesquels se trouvent par défaut dans le répertoire /Library/WebServer/ Documents) : • Pour des raisons de sécurité, les fichiers et dossiers de contenu Web ne doivent pas autoriser d’accès en écriture par tout le monde. • Les fichiers et dossiers de contenu Web appartiennent par défaut à l’utilisateur root et au groupe admin ; ils peuvent donc être modifiés par n’importe quel administrateur, mais pas par l’utilisateur ou le groupe “www”. • Pour permettre l’utilisation de WebDAV, les fichiers de contenu Web doivent autoriser la lecture et l’écriture par l’utilisateur ou le groupe “www” et les dossiers doivent être accessibles en lecture, écriture et exécution par l’utilisateur ou le groupe “www”. • Si vous devez modifier des fichiers et dossiers de contenu Web alors que vous êtes connecté en tant qu’administrateur, il est nécessaire qu’ils puissent être modifiés par l’administrateur. Si vous souhaitez utiliser WebDAV, vous devez l’activer dans Server Admin et remplacer manuellement l’appartenance des fichiers ou dossiers de contenu Web par l’utilisateur et le groupe “www”. Si vous utilisez WebDAV et que vous souhaitez apporter des modifications aux fichiers ou dossiers de contenu Web en étant connecté en tant qu’administrateur, vous devez remplacer par “admin” les autorisations sur les fichiers et dossiers de contenu Web, apporter vos modifications, puis rétablir les autorisations sur “www”. Pour ajouter des sites à votre serveur Web lors de l’utilisation de WebDAV : 1 Remplacez par admin les autorisations de groupe du dossier contenant vos sites Web (l’emplacement par défaut du dossier est le suivant : /Library/Webserver/Documents). 2 Ajoutez le nouveau dossier au site. 3 Rétablissez sur “www” les autorisations de groupe du dossier contenant vos sites Web.Chapitre 3 Gestion des sites Web 37 Activation de l’authentification Digest WebDAV intégrée Vous pouvez activer l’authentification Digest pour les royaumes WebDAV dans le volet Royaumes d’Admin Serveur. Pour plus de détails, consultez la rubrique “Configuration de l’accès pour les sites utilisant WebDAV” à la page 35. Conflit entre WebDAV et la mémoire cache de performances Web Si vous activez à la fois WebDAV et la mémoire cache de performances Web sur un ou plusieurs hôtes virtuels (sites), les clients WebDAV risquent de rencontrer des problèmes s’ils tentent de télécharger plusieurs fichiers dans le Finder ; le téléchargement peut même échouer. Pour éviter ce problème, désactivez le cache de performances Web pour les hôtes virtuels avec WebDAV activé. Consultez la section “Amélioration des performances des sites Web statiques (mémoire cache de performances)” à la page 30 pour plus d’informations sur la mémoire cache de performances. Activation d’un script CGI (Common Gateway Interface) Les scripts (ou programmes) CGI (Common Gateway Interface) échangent des informations entre votre site Web et les applications qui fournissent différents services pour le site. • Si un script CGI est destiné à n’être utilisé que par un seul site, installez-le dans le dossier Documents du site. Le nom du script CGI doit se terminer par l’extension “.cgi.” • Si un script CGI doit être utilisé par tous les sites sur le serveur, installez-le dans le dossier /Library/WebServer/CGI-Executables. Dans ce cas, les clients doivent inclure /cgi-bin/ dans l’adresse URL du site. Par exemple, http://www.exemple.com/ cgi-bin/test-cgi. • Vérifiez que les autorisations d’accès du fichier CGI rendent possible son exécution par l’utilisateur “www”. Du fait que le fichier CGI n’appartient généralement pas au Web, le fichier peut être exécuté par quiconque. Pour activer un script CGI pour un site Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Options, sélectionnez Exécution CGI. 5 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre.38 Chapitre 3 Gestion des sites Web Activation de SSI (Server Side Includes) L’activation de SSI (Server Side Includes) permet le partage d’un morceau de code HTML ou d’autres informations par différentes pages Web de votre site. Les SSI peuvent également fonctionner comme des CGI et exécuter des commandes ou des scripts sur le serveur. Remarque : l’activation de SSI nécessite la modification des fichiers de configuration UNIX à l’aide de l’application Terminal. Pour activer SSI, vous devez être familiarisé avec la saisie de commandes UNIX et l’utilisation d’un éditeur de texte UNIX. Pour activer SSI : 1 Dans l’application Terminal, utilisez la commande sudo avec un éditeur de texte pour procéder à la modification en tant que superutilisateur (root) : 2 Ajoutez la ligne suivante à chaque hôte virtuel (“Virtual Host”) pour lequel vous souhaitez activer SSI : Options Includes Chaque site se trouve dans un fichier distinct du répertoire /etc/httpd/sites/. Pour activer SSI pour tous les hôtes virtuels, ajoutez la ligne en dehors de n’importe quel bloc “virtual host”. 3 Dans Server Admin pour le serveur souhaité, cliquez sur Réglages dans la barre de boutons. 4 Dans le volet Sites, double-cliquez sur l’un des sites d’hôte virtuel. 5 Dans le volet Général, ajoutez index.shtml à l’ensemble des fichiers d’index par défaut de ce site. Répétez cette procédure pour chaque site d’hôte virtuel utilisant SSI. Consultez la section “Configuration de la page par défaut d’un site Web” à la page 29 pour plus d’informations. Par défaut, le fichier /etc/httpd/httpd.conf géré par Server Admin contient les deux lignes suivantes : AddHandler server-parsed shtml AddType text/html shtml Vous pouvez ajouter des types MIME dans Server Admin à partir du volet Types MIME. Les modifications prennent effet lorsque vous redémarrez le service Web.Chapitre 3 Gestion des sites Web 39 Affichage des réglages d’un site Web Vous pouvez utiliser le volet Sites de Server Admin pour afficher la liste de vos sites Web. Le volet Site indique : • Si un site est activé • Le nom DNS et l’adresse IP du site • Le port en cours d’utilisation pour le site Double-cliquez dans le volet Sites pour ouvrir la fenêtre des détails du site, dans laquelle vous pouvez consulter ou modifier les réglages du site. Configuration des réponses du serveur aux types MIME et aux gestionnaires de contenu MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) est une norme Internet permettant de spécifier le logiciel nécessaire au navigateur Web demande un fichier présentant des caractéristiques particulières. Les gestionnaires de contenu sont semblables et utilisent également des extensions pour déterminer la façon dont un fichier est géré. Une extension de fichier décrit le type de données contenues dans ce fichier. Chaque extension, avec la réponse associée, est appelé mappage MIME ou mappage de gestionnaire de contenu. Pour plus d’informations, consultez la section “Description de MIME (Multipurpose Internet Mail Extension)” à la page 12. Pour définir la réponse du serveur pour un type MIME ou un gestionnaire de contenu : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Types MIME ou Gestionnaires de contenu, cliquez sur le bouton Ajouter ou sélectionnez dans la liste l’élément à modifier, puis cliquez sur le bouton Modifier. 4 Si nécessaire, tapez un nom pour un nouveau type MIME ou gestionnaire de contenu, puis tapez l’extension de fichier associé à ce mappage dans le champ Suffixes. Si vous utilisez l’extension cgi, assurez-vous d’avoir activé l’exécution CGI pour le site Web. 5 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre.40 Chapitre 3 Gestion des sites Web Activation de SSL Pour activer la protection SSL (Secure Sockets Layer) pour un site Web, vous devez obtenir les certificats appropriés. Pour plus de détails, consultez la section “SSL (Secure Sockets Layer)” à la page 51. Une fois que vous avez obtenu un certificat, vous pouvez configurer SSL pour un site. Pour configurer SSL pour un site Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Sécurité, sélectionnez Activer SSL (Secure Sockets Layer). 5 Tapez un mot de passe dans le champ Phrase code. 6 Tapez l’emplacement du fichier d’historique SSL dans le champ Fichier d’historique SSL. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Parcourir afin de localiser le dossier à utiliser. Si vous administrez un serveur distant, le service de fichiers doit s’exécuter sur le serveur distant pour permettre l’utilisation du bouton Parcourir. 7 Tapez l’emplacement de chaque fichier de certificat dans le champ approprié (si nécessaire) ou utilisez le bouton Parcourir pour sélectionner l’emplacement. 8 Cliquez sur le bouton Modifier pour les champs Fichier de certificat, Fichier de clé et Fichier CA, puis collez le contenu du certificat ou de la clé approprié(e) dans le champ de texte correspondant. Cliquez sur OK chaque fois que vous collez du texte. 9 Cliquez sur Enregistrer. 10 Cliquez sur Arrêter le service, patientez un moment, puis cliquez sur Démarrer le service.Chapitre 3 Gestion des sites Web 41 Configuration de l’historique SSL pour un site Web Si vous utilisez SSL (Secure Sockets Layer) sur votre serveur Web, vous pouvez configurer un fichier pour consigner les transactions et erreurs SSL. Pour configurer un historique SSL : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web pour le serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, double-cliquez sur le site à modifier. 4 Dans le volet Sécurité, assurez-vous que la case Activer SSL (Secure Sockets Layer) est cochée, puis tapez dans le champ Fichier d’historique SSL le chemin du dossier dans lequel vous souhaitez conserver l’historique SSL. Vous pouvez également utiliser le bouton Parcourir pour accéder au dossier. 5 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Activation de PHP PHP (PHP : Hypertext Preprocessor) est un langage de script intégré au code HTML, utilisé pour créer des pages Web dynamiques. PHP apporte des fonctions similaires à celles des scripts CGI, mais gère toute une variété de formats de base de données et peut communiquer à travers des réseaux via de nombreux protocoles. Les bibliothèques PHP sont incluses dans Mac OS X Server, mais sont désactivées par défaut. Pour obtenir plus d’information sur le langage PHP, consultez la section “Installation et affichage des modules Web” à la page 69. Pour activer PHP : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web pour le serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Modules, faites défiler jusqu’à php4_module dans la liste des modules, puis cliquez sur Activé pour le module, si nécessaire. 4 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre.42 Chapitre 3 Gestion des sites Web Contenu utilisateur sur les sites Web Le client Mac OS X dispose d’une fonctionnalité de partage Web personnel, laquelle permet à un utilisateur de placer du contenu dans le dossier Sites de son répertoire de départ afin de le rendre visible sur le Web. Mac OS X Server offre des fonctionnalités de service Web beaucoup plus étendues, notamment une forme de partage Web personnel, mais il existe des différences importantes entre le client Mac OS X et Mac OS X Server. Configuration du service Web Par défaut, sur Mac OS X Server : • Le service Web ignore les fichiers contenus dans le dossier /etc/httpd/users/. • Le Gestionnaire de groupe de travail n’apporte aucune modification à la configuration du service Web. • L’affichage de la liste des dossiers n’est pas activé pour les utilisateurs. Toutes les listes de dossiers du service Web utilisent la directive Apache FancyIndexing, qui rend les listes de dossiers plus lisibles. Dans Server Admin, le volet Sites/Options de chaque site comporte une case à cocher nommée Liste des dossiers. Ce réglage permet l’affichage des listes des dossiers d’un hôte virtuel spécifique via l’ajout d’un indicateur “+Indexes” à la directive Apache Options pour cet hôte virtuel. Si les listes de dossiers ne sont pas activées explicitement pour chaque site (hôte virtuel), les index de fichiers ne sont pas affichés. Les réglages propres à un site ne s’appliquent pas à l’extérieur du site ; par conséquent, les réglages du site ne s’appliquent pas aux répertoires de départ des utilisateurs. Pour que les utilisateurs bénéficient de la fonctionnalité d’indexation des dossiers dans leur répertoire de départ, vous devez ajouter les directives appropriées aux fichiers de configuration Apache. Pour un utilisateur spécifique, ajoutez les directives suivantes dans le bloc du fichier httpd.conf : Options Indexes MultiViews AllowOverride None Order allow,deny Allow from all Contenu par défaut Le contenu par défaut du dossier Sites de l’utilisateur est un fichier index.html avec quelques images. Il est important de noter que ce fichier index.html comporte du texte qui décrit la fonctionnalité de partage Web personnel du client Mac OS X. L’utilisateur doit remplacer ce fichier index.html par un fichier adapté au contenu de son dossier Sites. Chapitre 3 Gestion des sites Web 43 Accès au contenu Web Une fois le répertoire de départ créé, le contenu du dossier Sites dans le répertoire de départ de l’utilisateur est visible chaque fois que le service Web s’exécute. Si votre serveur se nomme exemple.com et que le nom abrégé de l’utilisateur est “refuser”, le contenu du dossier Sites est accessible via l’URL http://exemple.com/~refuser. Si l’utilisateur possède plusieurs noms abrégés, chacun peut également être utilisé après le tilde pour accéder à ce même contenu. Si l’utilisateur a placé un fichier de contenu nommé foo.html dans son dossier Sites, ce fichier doit être disponible à l’adresse http://exemple.com/~refuser/foo.html. Si l’utilisateur a placé plusieurs fichiers de contenu dans son dossier Sites et qu’il ne peut pas modifier le fichier index.html pour inclure des liens vers ces fichiers, il peut tirer parti de la fonctionnalité d’indexation automatique des dossiers, décrite précédemment. Si le réglage “Activer les listes de dossier” est activé, une liste d’index des noms de fichiers est visible par les navigateurs via l’URL http://exemple.com/ ~refuser. Les réglages d’indexation s’appliquent également aux sous-dossiers du dossier Sites de l’utilisateur. Si l’utilisateur ajoute un sous-dossier de contenu nommé Exemple au dossier Sites et qu’un fichier nommé index.html est présent dans le dossier Exemple, ou que l’indexation des dossiers est activée pour le site de cet utilisateur, le dossier est disponible pour les navigateurs à l’adresse http://exemple.com/~refuser/Exemple. Le module mod_hfs_apple protège le contenu Web contre la prise en compte des différences entre majuscules et minuscules dans le système de fichiers HFS Mac OS X Server 10.3 présente une nouvelle fonctionnalité qui permet la distinction des majuscules et des minuscules pour les noms des fichiers HFS. Cette nouvelle fonctionnalité signifie que la protection complémentaire offerte par mod_hfs_apple (abordée plus haut) n’est pas nécessaire. Le format de volume étendu HFS couramment utilisé avec Mac OS X Server préserve la casse des noms de fichiers, mais ne distingue pas un fichier ou un dossier nommé “Exemple” d’un autre nommé “eXeMpLe”. Sans mod_hfs_apple, cela pourrait représenter un problème potentiel lorsque le contenu Web réside sur un tel volume et que vous tentez de limiter l’accès à tout ou partie du contenu Web à l’aide de royaumes de sécurité. Si vous configurez un royaume de sécurité nécessitant des navigateurs pour utiliser un nom et un mot de passe pour l’accès en lecture seule au contenu d’un dossier nommé “Protege”, les navigateurs doivent s’authentifier pour accéder aux URL suivantes : http://exemple.com/Protege http://exemple.com/Protege/secret44 Chapitre 3 Gestion des sites Web http://exemple.com/Protege/secret En revanche, l’authentification ne serait pas nécessaire avec les URL suivantes : http://exemple.com/Protege http://exemple.com/Protege/secret http://exemple.com/Protege/secret Fort heureusement, mod_hfs_apple empêche ces tentatives de contourner le royaume de sécurité et ce module est activé par défaut. Remarque : mod_hfs_apple opère sur les dossiers ; il N’est PAS destiné à empêcher l’accès à des fichiers individuels. Un fichier nommé “secret” est accessible via le nom “seCREt”. Il s’agit d’un comportement correct qui n’autorise pas le contournement des royaumes de sécurité. En raison du message d’avertissement qui s’affiche dans l’historique des erreurs du service Web pour le module mod_hfs_apple, des questions ont été posées sur la fonction de ce module. Les messages d’avertissement n’indiquent pas de problème relatif au fonctionnement de mod_hfs_apple. Vous pouvez vérifier que mod_hfs_apple fonctionne correctement en créant un royaume de sécurité et en tentant de le contourner avec une variante de l’URL réelle. L’accès vous sera refusé et votre tentative sera consignée dans l’historique des erreurs du service Web. Les messages de ce type peuvent s’afficher : [Wed Jul 31 10:29:16 2002] [error] [client 17.221.41.31] Mis-cased URI: /Library/WebServer/ Documents/PrOTecTED/secret, wants: /Library/WebServer/Documents/Protected/.4 45 4 WebMail Activez WebMail pour les sites Web de votre serveur afin de permettre l’accès aux opérations de messagerie élémentaires par l’intermédiaire d’une connexion Web. WebMail ajoute des fonctions de messagerie élémentaires à votre site Web. Si votre service Web héberge plusieurs sites Web, WebMail peut fournir l’accès au service de courrier sur l’un de ces sites ou sur tous les sites. Le service de courrier sera le même sur tous les sites. Notions élémentaires de WebMail Le logiciel WebMail est inclus dans Mac OS X Server, mais il est désactivé par défaut. Le logiciel WebMail repose sur SquirrelMail (version 1.4.1), un ensemble de scripts opensource exécutés par le serveur Apache. Pour plus d’informations sur SquirrelMail, consultez le site Web www.squirrelmail.org. Utilisateurs de WebMail Si vous activez WebMail, un utilisateur de navigateur Web peut : • Rédiger des messages et les envoyer • Recevoir des messages • Répondre aux messages reçus ou les faire suivre • Gérer une signature qui sera automatiquement ajoutée à la fin de chaque message envoyé • Créer, supprimer et renommer des dossiers, puis transférer les messages d’un dossier à l’autre • Joindre des fichiers aux messages sortants • Récupérer les fichiers joints aux messages entrants • Gérer un carnet d’adresses privé • Définir les préférences de WebMail, y compris les couleurs utilisées dans le navigateur Web46 Chapitre 4 WebMail Pour utiliser votre service WebMail, un utilisateur doit posséder un compte sur votre serveur de courrier. Pour proposer WebMail sur vos sites Web, vous devez avoir configuré un serveur de courrier. Les utilisateurs accèdent à la page WebMail de votre site Web en ajoutant /WebMail à l’adresse URL de votre site. Par exemple, http://monsite.exemple.com/WebMail/. Les utilisateurs accèdent à WebMail à l’aide des nom et mot de passe qu’ils utilisent pour la connexion au service de courrier normal. WebMail ne dispose pas de son propre système d’authentification. Pour plus d’informations sur les utilisateurs du service de courrier, consultez le guide d’administration de ce service. Lorsque les utilisateurs se connectent à WebMail, leur mot de passe est envoyé en clair (sans cryptage) sur Internet, sauf si le site Web a été configuré pour utiliser le protocole SSL. Pour obtenir des instructions sur la configuration de SSL, consultez la section “Activation de SSL” à la page 40. Les utilisateurs de WebMail peuvent consulter le manuel utilisateur de SquirrelMail à l’adresse www.squirrelmail.org/wiki/UserManual. WebMail et votre serveur de courrier Le service de courrier de WebMail est en fait fourni par votre serveur de courrier. WebMail ne fait que fournir l’accès au service de courrier via un navigateur Web. Il ne peut fournir le service de courrier sans la présence d’un serveur de courrier. WebMail utilise le service de courrier de Mac OS X Server par défaut. Si vous êtes familiarisé avec l’application Terminal et les outils de ligne de commandes UNIX, vous pouvez désigner un autre serveur de courrier. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Configuration de WebMail” à la page 47. Protocoles WebMail WebMail utilise les protocoles de courrier standard et nécessite que ces derniers soient gérés par votre serveur de courrier. Ces protocoles sont les suivants : • Protocole IMAP (Internet Message Access Protocol) pour la récupération du courrier entrant • Protocole SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) pour l’échange du courrier avec d’autres serveurs de courrier (envoi du courrier sortant et réception du courrier entrant) WebMail ne gère pas la récupération du courrier entrant via le protocole POP (Post Office Protocol), même si votre serveur de courrier gère ce protocole.Chapitre 4 WebMail 47 Activation de WebMail Vous pouvez activer WebMail pour le(s) site(s) Web hébergé(s) par votre serveur Web. Les modifications prennent effet au redémarrage du service Web. Pour activer WebMail pour un site : 1 Assurez-vous que votre service de courrier est activé et configuré pour fournir le service IMAP et SMTP. 2 Assurez-vous que le service de courrier IMAP est activé dans les comptes des utilisateurs auxquels vous souhaitez donner l’accès à WebMail. Pour plus d’informations sur les réglages du courrier dans les comptes d’utilisateur, consultez le guide de gestion des utilisateurs. 3 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 4 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 5 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 6 Dans le volet Options, sélectionnez WebMail. 7 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Configuration de WebMail Après avoir activé WebMail pour offrir des fonctions élémentaires de courrier sur votre site Web, vous pouvez modifier certains réglages afin d’intégrer WebMail à votre site. Pour cela, modifiez le fichier de configuration /etc/squirrelmail/config/config.php ou utilisez l’application Terminal pour exécuter un script de configuration interactif avec des autorisations root. Dans les deux cas, vous modifiez en fait les réglages de SquirrelMail, logiciel open-source qui fournit le service WebMail au serveur Web Apache de Mac OS X Server. SquirrelMail, et donc WebMail, offre différentes options que vous pouvez configurer pour intégrer WebMail à votre site. Ces options et leurs réglages par défaut sont les suivants : • Organization Name (nom de l’organisation) s’affiche sur la page principale de WebMail lorsqu’un utilisateur se connecte. Le nom par défaut est “Mac OS X Server WebMail”. • Organization Logo (logo de l’organisation) spécifie le chemin d’accès relatif ou absolu d’un fichier image. 48 Chapitre 4 WebMail • Organization Title (titre de l’organisation) s’affiche comme titre de la fenêtre du navigateur Web lors de la consultation d’une page WebMail. Le nom par défaut est “Mac OS X Server WebMail”. • Trash Folder (dossier Corbeille) est le nom du dossier IMAP dans lequel le service de courrier place les messages supprimés par l’utilisateur. Le nom par défaut est “Deleted Messages”. • Sent Folder (dossier des éléments envoyés) est le nom du dossier IMAP dans lequel le service de courrier place les messages après les avoir envoyés. Le nom par défaut est “Sent Messages”. • Draft Folder (dossier Brouillon) est le nom du dossier IMAP dans lequel le service de courrier place les messages de brouillon de l’utilisateur. Le nom par défaut est “Drafts”. Vous pouvez configurer ces réglages et bien d’autres, tels que le serveur de courrier désigné pour fournir le service de courrier à WebMail, en exécutant un script Perl interactif dans le Terminal, à l’aide d’autorisations “root”. Le script lit les valeurs d’origine à partir du fichier config.php, puis il y écrit les nouvelles valeurs. Important : si vous utilisez le script de configuration interactif pour modifier les réglages de SquirrelMail, vous devez également utiliser le script pour saisir le nom de domaine de votre serveur. À défaut, WebMail ne pourra pas envoyer les messages. Les réglages de configuration de WebMail s’appliquent à tous les sites Web hébergés par votre service Web. Pour configurer les options élémentaires de WebMail : 1 Dans l’application Terminal, tapez la commande suivante et appuyez sur Entrée : sudo /etc/squirrelmail/config/conf.pl 2 Suivez les instructions qui s’affichent dans la fenêtre Terminal pour modifier les réglages de SquirrelMail en fonction de vos besoins. 3 Remplacez le nom de domaine par celui de votre serveur, tel que exemple.com. Le nom de domaine est le premier élément du menu Réglages du serveur du script SquirrelMail. Ce script lit les valeurs d’origine à partir du fichier config.php, puis il y écrit les nouvelles valeurs. Si vous ne saisissez pas correctement le nom de domaine réel du serveur, le script interactif remplace la valeur d’origine, à savoir getenv(SERVER_NAME), par la même valeur entre apostrophes. La valeur obtenue ne fonctionne plus en tant qu’appel de fonction pour extraire le nom de domaine ; par conséquent, WebMail ne peut pas envoyer de messages.Chapitre 4 WebMail 49 Les changements de configuration de WebMail ne nécessitent pas le redémarrage du service Web, sauf si les utilisateurs sont connectés à WebMail. Pour personnaliser davantage l’apparence (par exemple pour conférer une apparence particulière à chacun de vos sites Web), vous devez savoir écrire des scripts PHP. Vous devez en outre être familiarisé avec l’architecture des modules SquirrelMail et être capable d’écrire vos modules SquirrelMail.5 51 5 SSL (Secure Sockets Layer) Utilisez le protocole SSL (Secure Sockets Layer) pour sécuriser les transactions et crypter les communications des utilisateurs des sites Web de votre serveur. Pour garantir la sécurité des transactions sur votre serveur, par exemple pour autoriser les utilisateurs à acheter des articles sur un site Web, configurez la protection SSL (Secure Sockets Layer). SSL permet d’envoyer sur Internet des informations cryptées et authentifiées. Ainsi, si vous souhaitez autoriser l’utilisation de cartes bancaires via un site Web, utilisez le protocole SSL pour protéger les informations qui transitent par ce site. Configuration de SSL Lorsque vous générez une requête de signature de certificat (CSR), le fournisseur de certificats vous envoie un certificat à installer sur votre serveur. Il peut également vous envoyer un certificat CA (ca.crt). L’installation de ce fichier est facultative. Les certificats CA se trouvent habituellement dans les applications clientes comme Internet Explorer et permettent à ces applications de vérifier que le certificat du serveur a été délivré par le fournisseur autorisé. Les certificats CA peuvent toutefois faire l’objet de modification ou encore arriver à expiration, de sorte que certaines applications clientes risquent de ne pas être actualisées. Génération d’une requête CSR (Certificate Signing Request) pour votre serveur. La requête CSR est un fichier contenant des informations nécessaires à la configuration du certificat de votre serveur. Pour générer une requête CSR pour votre serveur : 1 Connectez-vous à votre serveur en utilisant le mot de passe root et ouvrez l’application Terminal. 2 À l’invite, tapez les commandes ci-dessous et appuyez sur la touche Entrée à la fin de chacune d’elles :52 Chapitre 5 SSL (Secure Sockets Layer) cd dd if=/dev/randon of=rand.dat bs=1m count=1 openssl genrsa -rand rand.dat -des 1024 > key.pem 3 À l’invite suivante, tapez une phrase d’accès, puis appuyez sur la touche Retour. La phrase d’accès que vous créez débloque la clé de certificat du serveur. Utilisez cette phrase d’accès pour activer le protocole SSL sur votre serveur Web. 4 S’il n’existe pas encore sur votre serveur, créez un répertoire à l’emplacement /etc/ httpd/ssl.key. Effectuez une copie du fichier key.pem (créé à l’étape 2) et renommez-le server.key. Copiez ensuite server.key sur le répertoire ssl.key. 5 À l’invite, tapez la commande ci-dessous et appuyez sur Entrée : openssl req -new -key key.pem -out csr.pem Un fichier nommé csr.pem est généré dans votre répertoire de départ. 6 À l’invite, tapez les informations suivantes : • Pays : le pays où se trouve votre organisation. • Province : le nom complet de votre province. • Localité : la ville dans laquelle se trouve votre organisation. • Nom de l’organisation : l’organisation pour laquelle votre nom de domaine est enregistré. • Section organisationnelle : il s’agit en général d’un nom de département ou d’une unité similaire. • Nom courant de votre serveur Web : le nom DNS, tel que serveur.apple.com. • Adresse électronique : l’adresse à laquelle vous souhaitez recevoir le certificat. Le fichier csr.pem est généré à partir des informations que vous avez saisies. 7 À l’invite, tapez ce qui suit, puis appuyez sur Entrée : cat csr.pem La commande cat permet de répertorier le contenu du fichier créé à l’étape 5 (csr.pem). Vous devriez alors visualiser la phrase “Begin Certificate Request” (Entamer la requête de certificat), suivie d’un message crypté. Le message se termine avec l’expression “End Certificate Request” (Mettre fin à la requête de certificat). Cela correspond à votre requête de signature de certificat (CSR). Acquisition d’un certificat de site Web Vous devez acquérir un certificat pour chaque site Web auprès d’une autorité compétente. Lors de l’acquisition de votre certificat, il est important de tenir compte des éléments suivants : • Vous devez fournir un nom de domaine InterNIC enregistré dans votre entreprise.Chapitre 5 SSL (Secure Sockets Layer) 53 • Si l’on vous demande de choisir un vendeur de logiciels, sélectionnez Apache Freeware avec SSLeay. • Comme vous avez déjà généré une requête CSR, ouvrez votre fichier CSR (à l’invite) à l’aide d’un éditeur de texte. Ensuite, copiez et collez le contenu du fichier CSR dans le champ approprié sur le site Web du fournisseur de certificats. • Vous disposez d’un certificat SSL pour chaque adresse IP de votre serveur. Dans la mesure où les certificats sont coûteux et doivent être renouvelés chaque année, vous pouvez acheter un certificat pour un nom d’hôte et utiliser l’URL avec le nom d’hôte suivi du nom de domaine, afin d’éviter de devoir acheter plusieurs certificats. Par exemple, si votre nom de domaine est mywidgets.com, vous pouvez acheter un certificat pour le nom d’hôte “buy” et les clients se connecteront via l’URL https:// buy.mywidgets.com. • Le format de certificat par défaut de SSLeay/OpenSSL est PEM, qui est en fait le format DER (Base64) avec une ligne d’en-tête et une ligne de pied de page. Pour plus d’informations sur le format de certificat, consultez le site www.modssl.org. Au terme de la procédure, vous recevez un message de courrier électronique contenant un identifiant sécurisé “Secure Server ID”. Il s’agit de votre certificat de serveur. Après réception du certificat, enregistrez-le sur le disque dur de votre serveur Web sous la forme d’un fichier nommé server.crt. Important : prenez soin de sauvegarder une copie du message ou du fichier de certificat. Installation du certificat sur votre serveur Vous pouvez utiliser Admin Serveur ou l’outil de ligne de commande pour attribuer les certificats à un site. Pour en savoir plus sur l’utilisation d’Admin Serveur dans ce cadre, consultez la section “Activation de SSL” à la page 40. Pour installer un certificat SSL à l’aide de l’outil de ligne de commande dans l’application Terminal : 1 Connectez-vous à votre serveur en tant qu’administrateur ou superutilisateur (également appelé “root”). 2 S’il n’existe pas sur votre serveur, créez un répertoire en utilisant ce nom : /etc/httpd/ssl.crt 3 Copiez server.crt (le fichier contenant votre identifiant de serveur sécurisé) sur le répertoire ssl.crt. Activation de SSL pour le Site 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons.54 Chapitre 5 SSL (Secure Sockets Layer) 3 Dans le volet Sites, double-cliquez sur le site sur lequel vous prévoyez d’utiliser le certificat. 4 Dans le volet Sécurité, sélectionnez Activer le protocole SSL. 5 Tapez le mot de passe de votre CSR dans le champ Phrase code. 6 Définissez l’emplacement du fichier d’historique dans lequel seront enregistrées les transactions SSL. 7 Cliquez sur le bouton Modifier et collez le texte de votre fichier de certificat (celui que vous avez obtenu auprès de l’autorité compétente) dans le champ Fichier de certificat. 8 Cliquez sur le bouton Modifier et collez le texte de votre fichier de clé (le fichier key.pem que vous avez configuré précédemment) dans le champ Fichier de clé. 9 Cliquez sur le bouton Modifier et collez le texte du fichier ca.crt dans le champ Fichier CA. Il s’agit d’un fichier facultatif que vous avez éventuellement reçu du fournisseur de certificat. 10 Cliquez sur Enregistrer. 11 Arrêtez, puis redémarrez le service Web. Le mot de passe SSL du serveur Web n’est pas accepté lorsqu’il est saisi manuellement Admin Serveur permet d’activer SSL avec ou sans enregistrement du mot de passe SSL. Si vous n’avez pas enregistré la phrase codée avec les données du certificat SSL, le serveur vous invite à saisir cette phrase lors du redémarrage, mais il n’accepte pas les phrases codée saisies manuellement. Utilisez le volet Sécurité du site dans Admin Serveur pour enregistrer la phrase codée avec les données du certificat SSL.6 55 6 Utilisation d’applications opensource Familiarisez-vous avec les applications open-source utilisées par Mac OS X Server pour administrer et fournir les services Web. Plusieurs applications open-source fournissent des fonctionnalités essentielles de service Web. Ces applications sont les suivantes : • Serveur Web Apache • Serveur d’applications JBoss • Conteneur de servlet Tomcat • Base de données MySQL Apache Apache est le serveur Web http fourni avec Mac OS X Server. Vous pouvez utiliser l’application Server Admin pour gérer la plupart des opérations du serveur, mais dans certains cas, vous pouvez être amené à ajouter ou à modifier des éléments du serveur Apache open-source. Dans ce cas, vous devez modifier les fichiers de configuration Apache ainsi que modifier ou ajouter des modules.56 Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source Emplacement des principaux fichiers Apache Les fichiers de configuration et emplacements Apache ont été simplifiés dans Mac OS X Server 10.3. Les emplacements des principaux fichiers sont les suivants : • Le fichier de configuration Apache du service Web se trouve dans le répertoire /etc/httpd/. • Les fichiers de configuration du site se trouvent dans le répertoire /etc/httpd/sites. • L’historique des erreurs Apache, très utile pour diagnostiquer les problèmes relatifs au fichier de configuration, se trouve dans le répertoire /var/log/httpd/ (avec un lien symbolique permettant d’afficher le répertoire en tant que /Library/Logs/WebServer/). • Les hôtes virtuels provisoirement désactivés se trouvent dans le répertoire /etc/ httpd/’sites_disabled/. Remarque : tous les fichiers du répertoire /etc/httpd/sites/ sont lus et traités par Apache lors d’un redémarrage matériel ou logiciel. Chaque fois que vous enregistrez des modifications, le serveur procède à un redémarrage logiciel. Si vous modifiez un fichier à l’aide d’un éditeur de texte qui crée une copie temporaire ou de sauvegarde, le redémarrage du serveur peut échouer en raison de la présence de deux fichiers portant des noms presque identiques. Pour éviter ce problème, supprimez les fichiers temporaires ou de sauvegarde créés par modification des fichiers dans ce dossier. Modification des fichiers de configuration Apache Vous pouvez modifier les fichiers de configuration Apache si vous devez travailler avec des fonctionnalités du serveur Web Apache qui ne sont pas intégrées à Server Admin. Pour modifier les fichiers de configuration, vous devez être un administrateur Apache expérimenté et être familiarisé avec les outils d’édition de texte. Prenez soin de créer une copie du fichier de configuration original avant de le modifier. Le fichier de configuration httpd.conf gère toutes les directives contrôlées par l’application Server Admin. Vous pouvez modifier ce fichier dès lors que vous suivez les conventions en place (ainsi que les commentaires de ce fichier). Celui-ci comporte également une directive pour inclure le répertoire sites/. Dans ce répertoire se trouvent tous les hôtes virtuels de ce serveur. Les fichiers sont nommés avec l’identificateur unique de l’hôte virtuel (par exemple, 10.201.42.7410_80_17.221.43.127_www.exemple.com.conf). Vous pouvez désactiver des sites spécifiques en les déplaçant vers le répertoire sites_disabled, puis en redémarrant le service Web. Vous pouvez également modifier les fichiers du site dès lors que vous respectez les conventions dans le fichier.Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source 57 Un fichier masqué présent dans le dossier sites_disabled se nomme “default_default.conf”. Ce fichier est utilisé en tant que modèle pour tous les nouveaux hôtes virtuels créés dans Server Admin. Un administrateur peut modifier le fichier de modèle pour le personnaliser, en prenant soin de suivre les conventions établies dans le fichier. Pour plus d’informations sur Apache et ses modules, consultez la section “Modules Apache” à la page 69. Démarrage et arrêt du service Web à l’aide du script apachectl Le moyen par défaut de démarrer et d’arrêter Apache sur Mac OS X Server consiste à utiliser le module Web de Server Admin. Si vous souhaitez utiliser le script apachectl pour démarrer et arrêter le service Web plutôt que d’utiliser Server Admin, tenez compte des éléments suivants : • La mémoire cache de performances Web est activée par défaut. Lorsque le service Web démarre, le processus principal du service Web (httpd) et un processus webperfcache démarrent. Ce dernier fournit du contenu statique à partir d’une mémoire cache et transmet les demandes à httpd si nécessaire. Le script apachectl fourni avec Mac OS X Server n’a pas connaissance de webperfcache. Par conséquent, si vous n’avez pas désactivé la mémoire cache de performances, vous devez également utiliser le script webperfcachectl pour démarrer et arrêter webperfcache. • Le script apachectl n’augmente pas la limite des processus logiciels au-delà de la valeur par défaut de 100. Server Admin augmente cette limite lorsqu’il démarre Apache. Si votre serveur Web reçoit beaucoup de trafic et repose sur des scripts CGI, l’exécution du service Web peut échouer une fois la limite du nombre de processus logiciels atteinte. • Le script apachectl ne démarre pas Apache automatiquement au redémarrage du serveur. Description du script apachectl et de la limite du nombre de processus logiciels pour le service Web Lorsque Apache est démarré avec le script apachectl, la limite du nombre de processus logiciels est de 100, soit la limite par défaut. Lorsque vous utilisez des scripts CGI, il se peut que cette limite ne soit pas suffisante. Dans ce cas, vous pouvez démarrer le service Web via Admin Serveur, ce qui a pour effet de définir sur 2048 la limite du nombre de processus logiciels. Vous pouvez également taper “ulimit -u 2048” avant d’utiliser apachectl.58 Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source Activation de l’enregistrement Apache via Rendezvous Depuis la version 10.2.4 de Mac OS X et Mac OS X Server, le service Web Apache 1.3 préinstallé peut enregistrer des sites via Rendezvous. Cette fonctionnalité, qui permet aux navigateurs compatibles avec Rendezvous (tels que Safari) de trouver les sites par leur nom, est mise en œuvre à l’aide d’un nouveau module Apache, à savoir mod_rendezvous_apple. Ce module est différent du module mod_rendezvous fourni par un tiers. Apache Rendezvous n’est pas pris en charge sur le service Web Apache 2 préinstallé. Le module mod-rendezvous_apple permet aux administrateurs de contrôler la façon dont les sites Web sont enregistrés avec Rendezvous. Le module mod_rendezvous_apple est désactivé par défaut sur Mac OS X Server. Pour activer mod_rendezvous_apple sur Mac OS X Server : m Pour activer le module, utilisez le volet Modules dans Server Admin. Pour configurer mod_rendezvous_apple sur Mac OS X Server : m Pour une consignation supplémentaire, laquelle peut s’avérer utile en cas de problème, recherchez la directive LogLevel dans le fichier httpd.conf et remplacez-la par un réglage plus détaillé, tel que “info.” Remarque : chaque fois que des utilisateurs sont ajoutés, redémarrez le service Web afin que leurs sites soient enregistrés. Comme toujours, suivez les règles ajoutées par Apple sous forme de commentaires dans les fichiers de configuration. Ces règles expliquent les procédures servant à modifier de façon sûre ces fichiers. Notez que le répertoire de départ d’un utilisateur, qui inclut un dossier Sites, peut être absent si l’administrateur a ajouté l’utilisateur sans créer de répertoire de départ pour cet utilisateur. Il existe différentes façons de créer un répertoire de départ, par exemple via l’ajout du répertoire de départ à l’application Gestionnaire de groupe de travail ou l’utilisation de la ligne de commande createhomedir pour créer le répertoire. Voici une description complète des directives de configuration Apache prises en charge par le module mod_rendezvous_apple. Directive RegisterDefaultSite • Syntaxe : RegisterMachine [port | main] • Par défaut : pas d’enregistrement si la directive est absente. Le port prend par défaut la valeur 80. • Contexte : server config • Compatibilité : Apache 1.3.x ; Mac OS X et Mac OS X Server uniquement • Module : mod_rendezvous_apple Cette directive contrôle la façon dont le nom de l’ordinateur est enregistré sur le site par défaut avec Rendezvous.Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source 59 La directive RegisterDefaultSite entraîne l’enregistrement du site Web par défaut sous le nom de l’ordinateur, comme indiqué dans le volet Partage de Préférences Système. Un numéro de port peut être spécifié, ou le mot-clé “main” ; dans le deuxième cas, le numéro de port du “serveur principal” est utilisé (en dehors de tout hôte virtuel). Sous Mac OS X Server, n’indiquez pas “main”, car tous les sites visibles depuis l’extérieur sont des hôtes virtuels et le serveur principal est utilisé exclusivement pour l’état. Si l’argument est omis, le port 80 est utilisé. Si la directive est absente, le nom de l’ordinateur n’est pas enregistré. Détails relatifs à Rendezvous : cette directive entraîne l’appel de la fonction d’enregistrement, avec une chaîne vide comme nom (Rendezvous utilise ainsi le nom de l’ordinateur), “_http._tcp” comme type de service (indiquant un serveur Web) et une chaîne vide en tant que paramètre TXT (indiquant le site Web par défaut). Directive RegisterUserSite • Syntaxe : RegisterUserSite nom_utilisateur | all-users | customized users [ formatNomEnregistrement [port | main] • Par défaut : pas d’enregistrement si la directive est absente ; le nom d’enregistrement est par défaut le nom long. Le port prend par défaut la valeur 80 et l’hôte la valeur “local” • Contexte : server config • Compatibilité : Apache 1.3.x ; Mac OS X et Mac OS X Server uniquement • Module : mod_rendezvous_apple Cette directive RegisterUserSite entraîne l’enregistrement du site Web par défaut des utilisateurs spécifiés. Le premier argument obligatoire est soit le nom d’un utilisateur, soit le mot-clé “allusers” ou “customized-users”. Le mot-clé “all-users” entraîne la prise en considération de tous les utilisateurs du répertoire hosts pour l’enregistrement. Celui-ci a lieu si l’utilisateur n’est pas un utilisateur système (ID utilisateur > 100), avec un répertoire de site Web activé comme spécifié dans la directive UserDir, et uniquement si ce répertoire est accessible par l’hôte local. Un montage peut s’avérer nécessaire si le répertoire de départ de l’utilisateur est distant ; si le répertoire de départ n’est pas disponible, le site utilisateur n’est pas enregistré. Le mot-clé “customized-users” limite l’enregistrement aux utilisateurs dont le fichier index.html présent dans le répertoire de leur site Web est différent de celui dans le modèle utilisateur standard. Autrement dit, il tente dans la mesure du possible de limiter l’enregistrement aux utilisateurs ayant personnalisé leurs sites Web.60 Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source Le deuxième argument facultatif détermine la forme du nom sous lequel le site utilisateur est enregistré. Celui-ci peut prendre la forme d’une chaîne de format, semblable à la directive LogFormat. Certaines directives de la chaîne de format sont remplacées par des valeurs : %l - nom long de l’utilisateur, tel que Joe User %n - nom abrégé de l’utilisateur, tel que juser %u - ID de l’utilisateur, tel que 1234 %t - titre HTML du fichier d’index de l’utilisateur (déterminé par la directive DirectoryIndex ; il s’agit par défaut de index.html) dans le dossier du site par défaut de l’utilisateur (déterminé par la directive UserDir ; il s’agit de Sites par défaut). Pour le partage Web personnel Mac OS X, le titre par défaut d’une page Web non personnalisée est “Mac OS X Personal Web Sharing”. %c - nom de l’ordinateur, tel qu’il est défini dans le panneau Sharing Preference La valeur par défaut est %l, c’est-à-dire le nom long. Le deuxième argument doit être indiqué si le troisième argument facultatif est souhaité. Le troisième argument facultatif peut être utilisé pour spécifier un numéro de port sous lequel le service HTTP doit être enregistré, ou le mot-clé “main” ; dans ce dernier cas, le numéro de port du “serveur principal” est utilisé (en dehors de tout hôte virtuel). Dans le cas de Mac OS X Server, ne spécifiez pas “main” pour le port, car tous les sites visibles depuis l’extérieur sont des hôtes virtuels et le serveur principal est utilisé exclusivement pour l’état. Si l’argument port est omis, le port 80 est utilisé. Si la directive est absente, aucun enregistrement de site utilisateur n’est effectué. Cette directive n’est pas traitée si le module mod_userdir n’est pas chargé. Les directives UserDir et DirectoryIndex doivent précéder la directive RegisterUserSite dans le fichier de configuration Apache. Détails relatifs à Rendezvous : cette directive entraîne l’appel de la fonction d’enregistrement, avec une chaîne telle que “Joe User” comme nom, “_http_tcp” comme type de service (indiquant un serveur Web), une valeur telle que “path=/~juser/ ” en tant que paramètre TXT (lequel, après expansion par mod_userdir, indique le site Web par défaut de l’utilisateur), ainsi que le port approprié. Directive RegisterResource • Syntaxe : RegisterResource chemin [port | main] • Par défaut : pas d’enregistrement si la directive est absente. Le port prend par défaut la valeur 80 • Contexte : server config • Compatibilité : Apache 1.3.x ; Mac OS X et Mac OS X Server uniquement • Module : mod_rendezvous_appleChapitre 6 Utilisation d’applications open-source 61 La directive RegisterResource entraîne l’enregistrement du chemin de ressource spécifié sous le nom indiqué. Le troisième argument facultatif peut être utilisé pour spécifier un numéro de port, ou le mot-clé “main” ; dans ce dernier cas, le numéro de port du “serveur principal” est utilisé (en dehors de tout hôte virtuel). Sous Mac OS X Server, n’indiquez pas “main”, car tous les sites visibles depuis l’extérieur sont des hôtes virtuels et le serveur principal est utilisé exclusivement pour l’état. Si le troisième argument est omis, le port 80 est utilisé. Détails relatifs à Rendezvous : cette directive entraîne l’appel de la fonction d’enregistrement, avec le nom spécifié, “_http._tcp” comme type de service (indiquant un serveur Web), “path=/specifiedpath” comme paramètre TXT, ainsi que le port approprié. Utilisation d’Apache Axis Vous pouvez utiliser Apache Axis en écrivant des applications Web qui utilisent les bibliothèques Axis, puis en déployant les applications dans Tomcat ou JBoss. Contrairement à JBoss et Tomcat, Axis n’est généralement pas utilisé en tant que serveur d’applications. Mac OS X Server version 10.3 inclut une version préinstallée d’Apache Axis (1.1), qui opère conjointement avec la version Tomcat 4.1.24-LE préinstallée. Apache Axis est une mise en œuvre du protocole SOAP (Simple Object Access Protocol). Vous en saurez plus sur SOAP à l’adresse http://www.w3.org/TR/SOAP/. Vous trouverez davantage d’informations sur Axis à l’adresse http://ws.apache.org/axis/. Les bibliothèques Axis se trouvent dans le répertoire /System/Library/Axis. Par défaut, Apple installe un exemple d’application Web Axis dans Tomcat. L’application Web connue sous le nom d’axis se trouve dans le répertoire /Library/Tomcat/webapps/axis. Une fois que vous avez activé Tomcat via la section Serveur d’applications d’Admin Serveur, vous pouvez valider la version préinstallée d’Apache Axis en explorant l’URL : http://exemple.com:9006/axis/ Remplacez “exemple.com” dans l’URL ci-dessus par votre nom d’hôte. Notez le port Tomcat non standard. La première fois que vous expérimentez la version préinstallée d’Axis en explorant l’URL http://exemple.com:9006/axis/ et en sélectionnant le lien “Validate the local installation’s configuration”, vous devez vous attendre à voir s’afficher les messages d’erreur suivants : • Avertissement : could not find class javax.mail.internet.MimeMessage from file mail.jar Attachments will not work Voir http://java.sun.com/products/javamail/62 Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source • Avertissement : could not find class org.apache.xml.security.Init from file xmlsec.jar XML Security is not supported Voir http://xml.apache.org/security/ Suivez les instructions des messages d’erreur si vous avez besoin de ces composants facultatifs. Consultez le guide de l’utilisateur Axis sur le site Web Apache Axis pour en savoir plus sur l’utilisation d’Axis dans vos applications Web. Expérimentation avec Apache 2 La version 10.3 de Mac OS X Server inclut Apache 2 à des fins d’évaluation, en plus de la version opérationnelle Apache 1.3. Par défaut, Apache 2 est désactivé et toutes les opérations Server Admin fonctionnent correctement avec Apache 1. Si vous souhaitez expérimenter Apache 2, tenez compte des éléments suivants : • Il est installé dans un emplacement distinct du système de fichiers : /opt/apache2. • Il n’est pas connecté à Server Admin. • Il fournit les pages Web à partir de /opt/apache2/htdocs. • Sa configuration se trouve dans le fichier /opt/apache2/conf/httpd.conf. Apple a modifié ce fichier en le configurant pour exécuter les processus httpd sous l’utilisateur et le groupe “www”. Si vous activez WebDAV avec Apache 2, bien que vos clients WebDAV utilisant la version 10.1 de Mac OS X ou Mac OS X Server peuvent monter les volumes WebDAV Apache2, ils ne peuvent pas y accéder en écriture, mais uniquement en lecture. Les clients WebDAV qui utilisent la version 10.2 ne rencontreront pas ce problème. • Il est contrôlé par sa propre version du script apachectl ; ainsi, pour le démarrer, tapez “sudo /opt/apache2/bin/apachectl start”. • Bien qu’il soit possible d’exécuter les deux versions d’Apache, vous devez être vigilant. Assurez-vous que les deux versions ne tentent pas d’écouter sur le même port. Les deux sont configurées pour écouter sur le port 80 ; par conséquent, vous pouvez soit éditer le fichier /opt/apache2/conf/httpd.conf afin de modifier la directive Listen, soit utiliser la section Web d’Admin Serveur pour affecter au port de tous vos hôtes virtuels une valeur différente de 80. Notez également que si la mémoire cache de performances Web est activée, il se peut que ce soit le processus qui écoute sur le port 80.Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source 63 JBoss JBoss est un serveur d’applications open-source conçu pour les applications J2EE ; il s’exécute sous Java 1.4.1. JBoss est un serveur d’applications Java complet et très répandu. Il offre une pile technologique J2EE (Java 2Platform Enterprise Edition) complète, avec des fonctionnalités telles que : • Un conteneur EJB (Enterprise JavaBean) • JMX (Java Management Extensions) • JCA (Java Connector Architecture) Par défaut, JBoss utilise Tomcat comme conteneur Web, mais vous pouvez utiliser d’autres conteneurs Web si vous le souhaitez, tels que Jetty. Vous pouvez utiliser la section Serveur d’applications d’Admin Server et les outils de ligne de commande de l’application Terminal pour administrer JBoss. Admin Serveur s’intègre au processus Watchdog afin de s’assurer de la disponibilité permanente de JBoss une fois ce dernier démarré. Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour démarrer l’une des configurations JBoss disponibles, arrêter JBoss, puis afficher les fichiers d’historique. Deux outils Web, destinés à être utilisés avec JBoss, sont également inclus avec Mac OS X Server, l’un pour la gestion et la configuration du serveur JBoss, l’autre pour le déploiement des applications existantes. Les deux outils se trouvent dans le répertoire /Library/JBoss/Application. Pour plus d’informations sur JBoss, J2EE et les outils, consultez les guides suivants : • Le guide d’administration du serveur d’applications Java, qui explique comment déployer et gérer les applications J2EE à l’aide de JBoss dans Mac OS X Server. • Le guide des applications d’entreprise Java, qui explique comment développer des applications J2EE. Ces deux guides sont disponibles dans les publications destinées aux développeurs Apple. Des informations complémentaires sur ces technologies Java sont disponibles en ligne. • Pour JBoss, consultez le site www.jboss.org/. • Pour J2EE, consultez le site java.sun.com/j2ee/. Pour ouvrir l’outil de gestion JBoss : m Dans Server Admin, cliquez sur Serveur d’applications dans la liste correspondant au serveur souhaité. Pour démarrer ou arrêter JBoss : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Serveur d’applications dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons.64 Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source 3 Sélectionnez l’une des options JBoss. Ne sélectionnez pas Tomcat uniquement. 4 Cliquez sur Démarrer le service ou sur Arrêter le service. JBoss est préconfiguré pour utiliser une configuration locale. JBoss étant activé, vous pouvez utiliser l’outil de gestion pour configurer votre serveur. Pour plus d’informations sur la configuration de JBoss et l’utilisation des outils de ligne de commande correspondants, consultez le guide d’administration du serveur d’applications Java, qui explique comment déployer et gérer les applications J2EE à l’aide de JBoss dans Mac OS X Server. Ce guide est disponible avec les publications Apple destinées aux développeurs. Pour modifier la configuration JBoss utilisée : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Serveur d’applications dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Effectuez l’une des opérations suivantes : • Cliquez sur Charger la configuration distante et tapez l’emplacement d’un serveur NetBoot JBoss. • Cliquez sur Utiliser la configuration locale et choisissez une configuration dans le menu contextuel. Pour administrer JBoss : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Serveur d’applications. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Cliquez sur Gérer JBoss. Remarque : l’outil de gestion de JBoss doit être en cours d’exécution. Vous pouvez utiliser l’application Terminal pour le définir en tant qu’élément de démarrage. 4 Apportez les modifications souhaitées dans la console de gestion. Sauvegarde et restauration des configurations JBoss Vous pouvez utiliser la section Serveur d’applications d’Admin Serveur pour sauvegarder et restaurer les configurations JBoss. Pour sauvegarder ou restaurer une configuration JBoss : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Serveur d’applications dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre de boutons située au bas de la fenêtre. 3 Cliquez sur Sauvegarde en haut de la fenêtre. 4 Cliquez sur Sauvegarder ou sur Restaurer et accédez à l’emplacement dans lequel vous souhaitez stocker (ou avez stocké) les configurations. La configuration en cours est sauvegardée.Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source 65 Tomcat Tomcat est le conteneur de servlet open-source utilisé comme mise en œuvre de référence officielle des technologies Java Servlet et JavaServer Pages. Les spécifications Java Servlet et JavaServer Pages sont développées par Sun via le processus Java Community Process. La version de production actuelle est Tomcat 4.1.x et met en œuvre les spécifications Java Servlet 2.3 et JavaServer Pages 1.2. Vous trouverez davantage d’informations en consultant les sources suivantes : • Pour les spécifications Java Servlet, consultez java.sun.com/products/servlets • Pour les spécifications Java ServerPages, consultez java.sun.com/products/jsp Dans Mac OS X Server 10.3, vous pouvez administrer Tomcat via la section Serveur d’applications d’Admin Serveur. Une fois Tomcat démarré, son cycle de vie est géré par Admin Serveur, ce qui permet de garantir que Tomcat démarre automatiquement après une panne de courant ou après un arrêt du serveur pour une raison quelconque. Pour plus d’informations sur Tomcat et la documentation relative à ce logiciel, consultez le site http://jakarta.apache.org/tomcat/. Pour plus d’informations sur les servlets Java que vous pouvez utiliser sur votre serveur, consultez les sites suivants : • http://java.sun.com/products/servlet/ • http://java.sun.com/products/jsp/ Pour utiliser Tomcat, vous devez d’abord l’activer. Vous pouvez utiliser Admin Serveur ou l’outil de ligne de commande pour démarrer Tomcat. Pour démarrer Tomcat via Admin Serveur : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Serveur d’applications dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Cliquez sur Tomcat uniquement. 4 Cliquez sur Démarrer le service. Pour démarrer Tomcat dans le Terminal : 1 Ouvrez l’application Terminal. 2 Tapez les commandes suivantes : cd /Library/Tomcat/bin ./catalina.sh start Pour vérifier que Tomcat est en cours d’exécution, utilisez un navigateur pour accéder au port 9006 de votre site Web en tapant l’URL de votre site, suivie de :9006. Si Tomcat est en cours d’exécution, cette URL affiche la page d’accueil de Tomcat.66 Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source MySQL MySQL offre une solution de gestion de base de données relationnelle pour votre serveur Web. Grâce à ce logiciel open-source, vous pouvez lier les données provenant de bases de données ou de tables différentes et fournir les informations sur votre site Web. L’application Gestionnaire MySQL simplifie la configuration de la base de données MySQL sur Mac OS X Server. Vous pouvez utiliser Gestionnaire MySQL pour initialiser la base de données MySQL et pour démarrer et arrêter le service MySQL. MySQL est préinstallé sur Mac OS X Server, avec les différents fichiers aux emplacements appropriés. Il est recommandé, le moment venu, d’effectuer la mise à niveau de MySQL. Vous pouvez installer la nouvelle version dans /usr/local/mysql, mais le Gestionnaire MySQL n’aura pas connaissance de la nouvelle version de MySQL et continuera de contrôler la version préinstallée. Si vous installez une version plus récente de MySQL, utilisez le Gestionnaire MySQL pour arrêter la version préinstallée, puis démarrez la nouvelle version via le fichier de configuration. Installation de MySQL Mac OS X Server version 10.3 inclut la version la plus récente de MySQL, à savoir la version 4.0.14. Dans la mesure où il est préinstallé, vous ne le trouverez pas dans le répertoire /usr/local/mysql. En effet, ses différents composants sont répartis dans le système de fichiers, selon les conventions UNIX standard, avec les fichiers exécutables dans les répertoires /usr/sbin et /usr/bin, les pages “man” dans /usr/share/man et les autres éléments dans /usr/share/mysql. Lors de son installation, la base de données MySQL se trouve dans le répertoire /var/mysql. Une nouvelle version de MySQL sera publiée ultérieurement sur http:// www.mysql.com. Vous pourrez alors télécharger la source et la construire vous-même (si les paquets développeur sont installés), ou télécharger la distribution binaire appropriée et l’installer vous-même, en suivant les instructions fournies sur ce site Web. Par défaut, ces installations résident dans le répertoire /usr/local/mysql/. Par conséquent, si vous installez votre version de MySQL, vous disposerez de deux versions de MySQL sur votre système. Cela n’est pas un problème dès lors que vous ne tentez pas d’exécuter les deux versions. Prenez simplement soin de faire précéder du chemin complet les commandes destinées à la nouvelle version (commençant par /usr/local/ mysql), ou assurez-vous que la variable de chemin de votre shell est configurée pour rechercher d’abord dans votre répertoire local. L’application Gestionnaire MySQL fonctionne uniquement avec la version préinstallée de MySQL ; elle ne fonctionne pas si MySQL est installé ailleurs. Les chemins des différents composants préinstallés de MySQL sont stockés dans le fichier plist suivant : /Applications/Server/MySQL Manager.app/Contents/Resources/tool_strings.Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source 67 Si vous procédez à une mise à jour à partir de Mac OS X Server 10.x et que vous utilisez MySQL Mac OS X Server version 10.3 contient une nouvelle version de MySQL. Les versions antérieures du serveur contiennent MySQL 3.23.x ; la version installée actuellement est la version 4.0.14, c’est-à-dire la version de production la plus récente. Cette version est celle qui est recommandée par mysql.com. Vos bases de données MySQL 3.23.x doivent fonctionner correctement avec la nouvelle version de MySQL, mais il est judicieux de les sauvegarder avant la mise à jour. Lors de l’utilisation de MySQL 4.0.14, vous pouvez utiliser plusieurs commandes avec vos anciennes bases de données pour supprimer la dépendance par rapport au format de table ISAM, lequel est devenu obsolète. • Utilisez mysql_fix_privilege_tables pour activer les nouvelles fonctionnalités d’autorisation de sécurité. • Utilisez mysql_convert_table_format (si toutes les tables existantes sont au format ISAM ou MyISAM) ou utilisez ALTER TABLE nom_table TYPE+MyISAM sur toutes les tables ISAM pour ne plus utiliser le format de table ISAM obsolète. Consultez les instructions fournies sur le site Web MySQL à l’adresse www.mysql.com/ doc/en/Upgrading-from-3.23.html avant d’utiliser ces commandes. Pour plus d’informations sur MySQL, consultez le site www.mysql.com.7 69 7 Installation et affichage des modules Web Familiarisez-vous avec les modules qui offrent les fonctionnalités et contrôles essentiels du service Web. Le serveur Web Apache inclut une série de modules qui contrôlent le fonctionnement du serveur. En outre, Mac OS X Server offre certains modules avec des fonctions spécialisées pour le Macintosh. Modules Apache Les modules s’intègrent au logiciel du serveur Web Apache et ajoutent des fonctionnalités à votre site Web. Apache est fourni avec certains modules standards. Vous pouvez également acquérir des modules chez des fournisseurs de logiciels ou encore les télécharger à partir d’Internet. Vous trouverez des informations sur les modules Apache disponibles sur le site Web www.apache.org/docs/mod. Pour utiliser les modules Apache : • Pour afficher la liste des modules Web installés sur votre serveur, dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité, cliquez sur Réglages dans la barre de boutons, puis cliquez sur Modules. • Pour activer un module, cochez la case Activé en regard de son nom, puis cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre automatiquement. • Pour installer un module, suivez les instructions qui l’accompagnent. Le serveur Web charge les modules à partir du répertoire /usr/libexec/httpd/. Modules spécifiques à Macintosh Le service Web dans Mac OS X Server installe certains modules spécifiques à Macintosh. Ces modules sont décrits dans le chapitre présent.70 Chapitre 7 Installation et affichage des modules Web mod_macbinary_apple Ce module assemble sous forme de paquet les fichiers au format MacBinary, ce qui permet aux fichiers Macintosh d’être téléchargés directement à partir de votre site Web. Un utilisateur peut télécharger un fichier MacBinary à l’aide d’un navigateur Web standard en ajoutant “.bin” à l’URL utilisée pour accéder au fichier. mod_sherlock_apple Ce module permet à Apache d’effectuer des recherches par pertinence sur le site Web à l’aide de Sherlock. Une fois que vous avez indexé votre site à l’aide du Finder, vous pouvez proposer un champ de recherche pour permettre aux utilisateurs d’effectuer des recherches sur votre site Web. m Pour indexer le contenu d’un dossier, cliquez sur Lire les informations dans le menu Fichier. Remarque : vous devez être connecté en tant qu’utilisateur “root” pour que l’index soit copié dans le répertoire Web afin de pouvoir être consulté par un navigateur. Les clients doivent ajouter “.sherlock” à l’adresse URL de votre site Web pour accéder à une page leur permettant d’effectuer des recherches sur votre site. Par exemple, http:// www.exemple.com/.sherlock. mod_auth_apple Ce module permet à un site Web d’authentifier les utilisateurs en les recherchant dans les domaines du service de répertoire faisant partie de la stratégie de recherche du serveur. Lorsque l’authentification est activée, les visiteurs d’un site Web sont invités à fournir un nom d’utilisateur et un mot de passe pour accéder aux informations disponibles sur ce site. mod_hfs_apple Pour ce module, les utilisateurs doivent taper les URL des volumes HFS en respectant la casse (minuscules ou majuscules). Ce module procure davantage de sécurité aux volumes non sensibles à la casse. S’il existe une restriction pour un volume, les utilisateurs reçoivent un message les informant que l’URL est introuvable. mod_digest_apple Le nouveau module mod_digest_apple permet l’authentification Digest pour un royaume WebDAV. mod_rendezvous_apple Le nouveau module mod_rendezvous_apple permet aux administrateurs de contrôler la façon dont les sites Web sont enregistrés via Rendezvous. Pour plus d’informations, consultez la section “Activation de l’enregistrement Apache via Rendezvous” à la page 58.Chapitre 7 Installation et affichage des modules Web 71 Modules Open-Source Mac OS X Server comprennent les modules open-source suivants :Tomcat, PHP : Hypertext Preprocessor et mod_perl. Tomcat Le module Tomcat, qui utilise des scripts de type Java, constitue la mise en œuvre de référence officielle de deux technologies complémentaires développées dans le cadre du programme “Java Community Process”. Pour plus d’informations sur Tomcat, consultez la section “Tomcat” à la page 65. Pour utiliser Tomcat, vous devez d’abord l’activer. Pour démarrer Tomcat, utilisez la section Serveur d’applications d’Admin Serveur. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Tomcat” à la page 65. PHP : Hypertext Preprocessor PHP permet de gérer le contenu Web dynamique à l’aide d’un langage de script côté serveur intégré à HTML, semblable au langage C. Les développeurs Web intègrent du code PHP dans le code HTML, permettant aux programmeurs d’intégrer une logique dynamique directement dans un script en HTML plutôt que d’écrire un programme générant du langage HTML. PHP fournit la capacité CGI et gère un grand nombre de bases de données. Contrairement au script Java client, le code PHP est exécuté sur le serveur. PHP est également utilisé pour implanté WebMail sur Mac OS X Server. Pour plus d’informations sur ce module, consultez le site www.php.net. mod_perl Ce module intègre l’interpréteur Perl complet au serveur Web, ce qui permet aux scripts CGI Perl de s’exécuter sans modification. Grâce à cette intégration, les codes fonctionnent plus rapidement et consomment moins de ressources système. Pour plus d’informations sur ce module, consultez le site perl.apache.org.8 73 8 Résolution de problèmes Si vous rencontrez un problème avec le service Web ou l’un de ses composants, consultez les astuces et stratégies proposées dans ce chapitre. Il est possible que vous rencontriez de temps en temps un problème lors de la configuration ou de la gestion des services Web. Certaines situations pouvant entraîner des problèmes pour l’administration du service Web ou pour les connexions clientes sont décrites dans ce chapitre. Les utilisateurs ne parviennent pas à se connecter à un site Web sur votre serveur Essayez les stratégies suivantes pour découvrir le problème : • Assurez-vous que le service Web est activé et que le site est en ligne. • Examinez la fenêtre Vue d’ensemble du service Web pour vérifier que le serveur fonctionne. • Vérifiez l’accès à Apache et les historiques d’erreur. Si vous n’êtes pas certain de la signification des messages, vous trouverez des explications sur le site Web à l’adresse www.apache.org. • Assurez-vous que les utilisateurs saisissent l’URL appropriée pour se connecter au serveur Web. • Assurez-vous que le dossier correct est sélectionné comme dossier Web par défaut. Assurez-vous que le fichier HTML correct est sélectionné comme page par défaut. • Si votre site Web est limité à des utilisateurs spécifiques, assurez-vous que ces utilisateurs disposent d’autorisations d’accès pour votre site Web. • Assurez-vous que les ordinateurs des utilisateurs sont correctement configurés pour TCP/IP. Si les réglages TCP/IP sont corrects, utilisez un utilitaire de test “ping” pour vérifier vos connexions réseau. • Vérifiez s’il ne s’agit pas d’un problème DNS. Essayez d’utiliser l’adresse IP du serveur au lieu de son nom DNS pour vous connecter. • Assurez-vous que l’entrée de votre serveur DNS est correcte en ce qui concerne l’adresse IP et le nom de domaine du site Web.74 Chapitre 8 Résolution de problèmes Un module Web ne fonctionne pas comme prévu • Examinez l’historique des erreurs dans Server Admin afin de déterminer pourquoi le module ne fonctionne pas correctement. • Si ce module était fourni avec le serveur Web, consultez la documentation d’Apache sur ce module et assurez-vous que le fonctionnement de ce dernier est conforme à vos attentes. • Si vous avez installé ce module, consultez la documentation fournie avec le module Web afin de vous assurer qu’il est correctement installé et compatible avec votre logiciel de serveur. Pour plus d’informations sur les modules Apache pris en charge pour Mac OS X Server, consultez le chapitre 7, “Installation et affichage des modules Web”, à la page 69 et le site Web Apache à l’adresse www.apache.org/docs/mod/. Un script CGI ne fonctionne pas • Vérifiez les autorisations du fichier CGI pour vous assurer qu’il s’agit d’un script CGI exécutable par www. Si ce n’est pas le cas, le script CGI ne peut fonctionner sur votre serveur, même si vous avez activé l’exécution de scripts CGI dans Server Admin.9 75 9 Où trouver des informations supplémentaires Pour obtenir des informations sur les fichiers de configuration et d’autres aspects du service Web Apache, consultez les ouvrages suivants : • Apache : The Definitive Guide, 3ème édition, de Ben Laurie et Peter Laurie (édité par O’Reilly & Associates, 2002) • Programmation CGI avec Perl, 2ème édition, de Scott Guelick, Shishir Gundavaram et Gunther Birznieks (O’Reilly & Associates, 2000) • Java Enterprise in a Nutshell, 2ème edition, de William Crawfod, Jim Farley et David Flanagan (O’Reilly & Associates, 2002) • Gestion et utilisation de MySQL, 2ème édition, de George Reese, Randy Jay Yarger, Tim King et Hugh E. Williams (O’Reilly & Associates, 2002) • Web Performance Tuning, 2ème édition, de Patrick Killelea (O’Reilly & Associates, 2002) • Web Security, Privacy & Commerce, 2ème édition, de Simson Garfinkel et Gene Spafford (O’Reilly & Associates, 2001) • Writing Apache Modules with Perl and C, de Lincoln Stein et Doug MacEachern (édité par O’Reilly & Associates, 1999) • Pour plus d’informations sur Apache, consultez le site Web d’Apache : www.apache.org • Pour une liste complète des méthodes utilisées par les clients WebDAV, consultez les documents RFC 2518. Les documents RFC donnent un aperçu d’un protocole ou service qui peut s’avérer utile pour les administrateurs débutants ainsi que des informations techniques plus détaillées pour les experts. Vous pouvez rechercher les documents RFC par numéro sur le site Web : http://www.faqs.org/rfcs/ (en anglais) 77 Glossaire Glossaire adresse IP Adresse numérique unique qui identifie un ordinateur sur Internet. Apache Serveur HTTP open-source intégré à Mac OS X Server. Vous trouverez des informations détaillées sur Apache à l’adresse www.apache.org. CGI (Common Gateway Interface) Script ou programme permettant d’ajouter des fonctions dynamiques à un site Web. Un script CGI transmet les informations entre un site Web et une application offrant un service au site. Par exemple, si un utilisateur remplit un formulaire sur le site, un script CGI peut envoyer le message à une application qui traite les données et renvoie une réponse à l’utilisateur. HTML (Hypertext Markup Language) Ensemble de symboles ou de codes insérés dans un fichier à afficher par un navigateur Web. Le balisage indique au navigateur Web comment afficher les mots et images d’une page Web pour l’utilisateur. HTTP (Hypertext Transfer Protocol) Protocole client/serveur pour le Web. Le protocole HTTP offre un moyen pour un navigateur Web d’accéder à un serveur Web et de demander des documents multimédia créés en HTML. IP (Internet Protocol) Également appelé IPv4. Méthode utilisée conjointement avec le protocole TCP (Transmission Control Protocol) pour envoyer des données d’un ordinateur à un autre via un réseau local ou Internet. Le protocole IP envoie les paquets de données, tandis que le protocole TCP se charge du suivi de ces paquets. JavaScript Langage de script utilisé pour ajouter une certaine interactivité aux pages Web. JBoss Serveur d’applications Java complet offrant la prise en charge des applications J2EE (Java 2 Platform Enterprise Edition). Mac OS X Server Puissante plate-forme serveur prenant en charge les clients Mac, Windows, UNIX et Linux de façon native et offrant un ensemble de services réseau et de groupe de travail évolutifs, ainsi que des outils avancés de gestion à distance. MySQL Outil open-source de gestion de base de données relationnelle pour les serveurs Web.78 Glossaire nom abrégé Abréviation du nom d’un utilisateur. Le nom abrégé est utilisé par Mac OS X pour les répertoires de départ, l’authentification et les adresses électroniques. nom d’utilisateur Nom complet d’un utilisateur, appelé parfois nom “réel” de l’utilisateur. Voir aussi nom abrégé. open-source Terme pour le développement coopératif de logiciels par la communauté Internet. Le principe de base consiste à impliquer autant de personnes que possible dans l’écriture et le débogage du code, via la publication du code source, afin d’encourager la formation d’une large communauté de développeurs qui peuvent proposer des modifications et des améliorations. PHP (PHP : Hypertext Preprocessor) Langage de script intégré au code HTML et utilisé pour créer des pages Web dynamiques. port Sorte d’emplacement de messagerie virtuel. Un serveur utilise des numéros de port pour déterminer quelle application doit recevoir les paquets de données. Les coupe-feu utilisent des numéros de port pour déterminer si les paquets de données sont autorisés ou non à transiter par un réseau local. Le terme “port” fait généralement référence à un port TCP ou UDP. possesseur Personne qui a créé un fichier ou un dossier et qui, dès lors, peut attribuer aux autres utilisateurs des autorisations d’accès à ces éléments. Le possesseur d’un élément dispose automatiquement des autorisations de lecture et d’écriture pour cet élément. Le possesseur d’un élément peut également en transférer la propriété à un autre utilisateur. protocole Ensemble de règles qui déterminent la façon dont les données sont échangées entre deux applications. royaume Voir royaume WebDAV. royaume WebDAV Région d’un site Web, généralement un dossier ou un répertoire, réservé aux utilisateurs et groupes WebDAV. Secure Sockets Layer (SSl) Protocole Internet permettant d’envoyer sur Internet des informations cryptées et authentifiées. serveur d’applications Logiciel qui exécute et gère d’autres applications, généralement des applications Web, accessibles par l’intermédiaire d’un navigateur Web. Les applications gérées résident sur le même ordinateur que le serveur d’applications. serveur proxy Serveur placé entre une application cliente, telle qu’un navigateur Web, et un serveur réel. Le serveur proxy intercepte toutes les requêtes destinées au serveur réel pour vérifier s’il ne peut y répondre lui-même. Si ce n’est pas le cas, il fait suivre la requête au serveur réel.Glossaire 79 TCP (Transmission Control Protocol) Méthode utilisée avec le protocole IP (Internet Protocol) pour envoyer, via Internet, des données sous forme d’unités de messages entre ordinateurs. Le protocole IP se charge de gérer la distribution proprement dite des données, tandis que le protocole TCP effectue le suivi individuel des unités de données (appelées “paquets”). Chaque message est fractionné en plusieurs unités afin d’assurer un routage efficace via Internet. Tomcat Mise en œuvre de référence officielle de Java Servlet 2.2 et JavaServer Pages 1.1, deux technologies complémentaires développées dans le cadre du programme “Java Community Process”. tous Tout utilisateur pouvant se connecter à un serveur de fichiers : utilisateur enregistré ou invité, utilisateur FTP anonyme ou visiteur d’un site Web. URL (Uniform Resource Locator) Adresse d’un ordinateur, d’un fichier ou d’une ressource accessible sur un réseau local ou sur Internet. L’adresse URL se compose du nom du protocole utilisé pour accéder à la ressource, du nom de domaine qui identifie un ordinateur spécifique sur Internet et de la description hiérarchique de l’emplacement du fichier sur l’ordinateur. WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) Environnement de création en ligne permettant aux utilisateurs client d’extraire des pages Web d’un site, de les modifier, puis de les replacer sur le site sans que ce dernier ne cesse de fonctionner.81 Index Index A Admin Serveur 27 affichage de l'état du service Web 25 affichage des historiques du service Web 26 configuration du serveur Web 9 démarrage de Tomcat 25 démarrage ou arrêt du service Web 17 fichier mime_macosxserver.conf 38 modification des mappages MIME 18 SSL, activation 53 autorisations d'accès configuration pour WebDAV 10, 11 sites Web 11, 16 C cache. Voir cache de proxy cache proxy activation 22 certificat CA 51 CGI (Common Gateway Interface) 8 CSR (Certificate Signing Request) 51–52 D dépannage service Web 73–74 dossier Documents 15 dossiers dossier Documents 15 F fichier de certificat 51–53 G Gestionnaire MySQL 66 H historiques accès 31 erreurs 31 service Web 26 SSL 40 J Java JSP (JavaServer Pages) avec Tomcat 24 servlet (avec Tomcat) 24 Tomcat et 24 M MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) 13 description 12 extensions 12 mappage 12 mappages 18 réponse du serveur, configuration 39 réponses du serveur Web 12 types 18 volet Types 18 module Apache 8, 9, 33, 58, 67, 69 module mod_auth_apple 70 module mod_hfs_apple 70 module mod_macbinary_apple 70 module mod_perl 71 module mod_sherlock_apple 70 module MySQL 66 modules libres 67, 71 modules spécifiques à Macintosh 69 modules Web 67, 69 open-source 71 spécifiques à Mac 69 module Tomcat 71 démarrage 24 Java et 24 JSP (JavaServer Pages) 24 servlet Java 24 Multipurpose Internet Mail Extension. Voir MIME N navigateurs Web 10 P pages Web par défaut 15 Perl82 Index mod_perl 71 PHP (PHP Hypertext Preprocessor) 71 activation 41 module Apache 71 PHP Hypertext Preprocessor (PHP) Voir PHP (PHP Hypertext Preprocessor) programmes CGI problèmes 74 proxy 22 blocage de sites Web 23 R réglages service Web 17 types MIME 18 ressources service Web 75 royaumes, WebDAV 10, 11 S scripts Voir scripts CGI scripts CGI activation 37 installation 37 résolution des problèmes 74 Secure Sockets Layer (SSL) Voir SSL (Secure Sockets Layer) sécurité sites Web 11 WebDAV 11 Server-Side Includes Voir SSI serveurs activation de SSL sur 53–54 serveurs proxy 22, 23, 41 serveur Web Apache 9 serveurs Internet. Voir les serveurs Web serveurs proxy 23 serveurs Web certificat 52–53 serveur Web Apache 9 serveur Web Apache 8, 69 configuration 9 service Web 7 arrêt 17 autorisations des sites Web 16 configuration 9, 15, 16, 17 configuration de sites Web 10 connexions persistantes 20 démarrage 17 description 7 dossier Documents 15 historiques, affichage 26 limitation des connexions simultanées 19 MySQL 66 page par défaut 15 plus d'informations 75 problèmes 74 réglages pour 17 résolution des problèmes 73 ressources 75 SSL, activation 23–41 surveillance 25, 26 Tomcat 24 transactions sécurisées 9, 51–54 WebDAV 24 WebMail, gestion 47–49 sites Web 27–42 activation 28 amélioration des performances 30 attribution d'autorisations 16 autorisations d'accès 11 configuration 10 configuration de SSL 40 configuration du port d'accès 30 connexion à 17 dossier Documents 27 dossier Web par défaut 29 hébergement 10, 16 historiques 31 informations sur 27 liste de répertoires 32 MIME, configuration 39 page par défaut 15, 29 problèmes de connexion 73 résolution des problèmes 73–74 sécurité 11 surveillance 39 SQL 66 SquirrelMail Voir WebMail SSI (Server-Side Includes) 9 activation 38 SSL (Secure Sockets Layer) 9 activation 53 certificat de site Web 52 configuration 40, 51 demande de signature de certificat (CSR) 51 description 9 T technologies Web à propos des 7 préparation de la configuration 7–13 W Web-based Distributed Authoring and Versioning (WebDAV)Voir WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) 883 Index activation 24, 34 configuration 24 configuration de l'accès 35–36 définition d'autorisations d'accès 10, 11 définition de royaumes 10 description 7, 10 sécurité 11 WebMail activation 47 à propos de 45 configuration 47–49 connexion 46 protocoles 46 restrictions relatives à la sécurité 46 serveur de courrier et 46 SquirrelMail 45 Congratulations, you and your Mac Pro were made for each other.finder Finder Browse your files like you browse your music with Cover Flow. Mac Help Mail Manage all your email accounts in one place. Mac Help mail iCal and Address Book Keep your schedule and your contacts in sync. Mac Help isync Say hello to your Mac Pro www.apple.com/macproMac OS X Leopard www.apple.com/macosx iLife ’09 www.apple.com/ilife Time Machine Automatically back up and restore your files. Mac Help Spotlight Find anything on your Mac. Mac Help time machine spotlight Safari Experience the web with the fastest browser in the world. Mac Help safari Quick Look Instantly preview your files. Mac Help quick look iPhoto Organize and search your photos by faces, places, or events. iPhoto Help photos iMovie Make a greatlooking movie in minutes or edit your masterpiece. iMovie Help movie GarageBand Learn to play. Start a jam session. Record and mix your own song. GarageBand Help record iWeb Create custom websites and publish them anywhere with a click. iWeb Help website iPhoto Organize and search your photos by faces, places, or events. iPhoto Help photos iMovie Make a greatlooking movie in minutes or edit your masterpiece. iMovie Help movie GarageBand Learn to play. Start a jam session. Record and mix your own song. GarageBand Help record iWeb Create custom websites and publish them anywhere with a click. iWeb Help websiteContents 5 Contents Chapter 1: Ready, Set Up, Go 11 Setting Up Your Mac Pro 19 Putting Your Mac Pro to Sleep or Shutting It Down Chapter 2: Life with Your Mac Pro 22 Basic Features on the Front of Your Mac Pro 24 Features of Your Apple Keyboard 26 Ports and Connectors on the Back of Your Mac Pro 28 More Ports and Connectors on the Back 30 Internal Expansion Options 32 Getting Answers Chapter 3: Making a Good Thing Better 37 Opening the Mac Pro 41 Installing Memory 59 Installing Internal Storage Devices 69 Adding PCI Express Cards 74 Replacing the Internal Backup Battery6 Contents Chapter 4: Problem, Meet Solution 78 Problems with Your Mac Pro 81 Problems with Software 82 Keeping Your Software Up to Date 82 Problems with AirPort Wireless Communication 83 Problems with Your Display 86 Problems with Your Internet Connection 89 Using Apple Hardware Test 90 Reinstalling the Software That Came with Your Mac Pro 91 Maximizing Ethernet Performance 92 Learning More, Service, and Support 94 Locating Your Serial Number Chapter 5: What’s Under the Hood 96 Specifications Chapter 6: Last, but Not Least 106 Important Safety Information 107 General Maintenance 109 Understanding Ergonomics 112 Apple and the Environment 113 Regulatory Compliance InformationContents 7 Looking for Something? 120 Index1 1 Ready, Set Up, Go www.apple.com/macpro Mac Help Migration Assistant10 Chapter 1 Ready, Set Up, Go Your Mac Pro features the latest computer technology, including advanced multicore processor technology, high-speed memory, PCI Express graphics and expansion slots, and internal storage, all in an anodized aluminum chassis with easy access to internal components. Make sure you look over the information in Chapter 2, “Life with Your Mac Pro,” to find out about the new features of this Mac Pro. Many answers to questions can be found on your Mac Pro in Mac Help. For information about Mac Help, see “Getting Answers” on page 32. WARNING: To avoid injury, read all the installation instructions (and the safety information starting on page 106) carefully before you first use your Mac Pro.Chapter 1 Ready, Set Up, Go 11 Setting Up Your Mac Pro Your Mac Pro is designed so that you can set it up quickly and start using it right away. Follow the steps on the next few pages to get started. Step 1: Position your Mac Pro and display. Pick up your Mac Pro by both of its handles using correct lifting techniques. Use correct lifting techniques when positioning your display as well. Position your Mac Pro and display so that:  They are each on a sturdy, flat surface  The power cable connectors don’t press against a wall or other object  The airflow in front of, behind, and below your Mac Pro and the display is not obstructed  The computer’s optical drive trays have space to open in front The only way to shut off power completely to your Mac Pro and display is to disconnect their power plugs from the power source. Make sure the power cords for your Mac Pro and display are within easy reach so that you can unplug them.12 Chapter 1 Ready, Set Up, Go Step 2: Plug in the power cord. Plug the power cord completely into the recessed power cord socket on the back of your Mac Pro and plug the other end into a grounded outlet or a grounded power strip. Power cord socket Power cord plugChapter 1 Ready, Set Up, Go 13 Step 3: Connect the display. Connect your display as shown in the illustration below. Depending on the display, you may have one or more cables to connect. Check the instructions that came with the display for additional setup information. Display cable Display ports USB port14 Chapter 1 Ready, Set Up, Go You can connect displays with Mini DisplayPort or Digital Visual Interface (DVI) connectors to the display ports on the back of your Mac Pro. The DVI port is a dual-link port, so you can connect a 30-inch Apple Cinema HD Display. You can also connect displays that have an Apple Display Connector (ADC) or a video graphics array (VGA) connector using one of the following adapters:  To connect a VGA display to the DVI port or the Mini DisplayPort, use the Apple DVI to VGA Display Adapter or the Apple Mini DisplayPort to VGA Adapter (both available separately).  To connect an ADC display to the DVI port, use an Apple DVI to ADC Display Adapter (available separately). Display adapters and other accessories for your Mac Pro are sold separately at www.apple.com/store. DVI display port Mini DisplayPortChapter 1 Ready, Set Up, Go 15 Step 4: Connect an Ethernet cable. To access the Internet or a network, connect one end of an Ethernet cable to either of the gigabit Ethernet ports on the back of your Mac Pro. Connect the other end to a cable modem, DSL modem, or Ethernet network. To use a dial-up connection, you need the external Apple USB Modem, available from the online Apple Store at www.apple.com/store or from an Apple Authorized Reseller. Plug the Apple USB Modem into a USB port on your Mac Pro, and then use a phone cord (not included) to connect the modem to a phone jack. Gigabit Ethernet ports16 Chapter 1 Ready, Set Up, Go Step 5: Connect the USB cable from your keyboard and mouse. Connect the keyboard cable to one of the USB (d) ports on your Mac Pro or on the display. Plug the mouse cable into a USB port on the keyboard. Keyboard Mouse Plug the mouse into a USB port on the keyboardChapter 1 Ready, Set Up, Go 17 If the keyboard cable isn’t long enough, use the keyboard extension cable that came with your Mac Pro. If you purchased an Apple Wireless Keyboard or Mouse, follow the instructions that came with the keyboard and mouse to set them up. Step 6: Turn on your Mac Pro. Press the power (®) button on the front of your Mac Pro to turn it on. If your display must be turned on separately, turn it on by pressing its power button. Step 7: Configure your Mac Pro with Setup Assistant. The first time you turn on your Mac Pro, Setup Assistant starts. Setup Assistant helps you enter your Internet and email information and set up a user account on your Mac Pro. If you already have a Mac, Setup Assistant can help you automatically transfer user accounts, files, applications, and other information from your previous Mac using a FireWire, Ethernet, or wireless connection. If you don’t intend to keep or use your other Mac, it’s best to deauthorize it from playing music, videos, or audiobooks that you’ve purchased from the iTunes Store. Deauthorizing a computer prevents any songs, videos, or audiobooks you’ve purchased from being played by someone else and frees up another authorization for use. For information about deauthorizing, choose iTunes Help from the Help menu in iTunes. Apple keyboard extension cable18 Chapter 1 Ready, Set Up, Go If you don’t use Setup Assistant to transfer information when you first start up, you can do it later using Migration Assistant. Go to the Applications folder, open Utilities, and double-click Migration Assistant. Step 8: Customize Your Desktop and Set Your Preferences. You can easily make your desktop look the way you want using System Preferences. Choose Apple () > System Preferences from the menu bar or click the System Preferences icon in the Dock. System Preferences is your command center for most settings on your Mac Pro. For more information, open Mac Help and search for “System Preferences” or for the specific preference you want to change. Need Help Setting Up? If you don’t see anything on your screen or you think your Mac Pro didn’t start up properly, check the following:  Is your Mac Pro plugged into a power source? If it’s plugged into a power strip, is the power strip turned on?  Is the power cord securely plugged into the back of your Mac Pro?  Are the keyboard and display cables connected correctly?  Are the brightness and contrast of the display adjusted correctly? If the display has brightness controls, adjust them. If the display has a power button, make sure the display is turned on.  If you still don’t see anything on your screen, restart your Mac Pro. Press and hold the power (®) button on your Mac Pro for 5 or 6 seconds, until it turns off. Press the power (®) button again to restart.Chapter 1 Ready, Set Up, Go 19  If you see a blinking question mark on the screen or a series of flashes from the status light, see Chapter 4, “Problem, Meet Solution,” on page 77. Putting Your Mac Pro to Sleep or Shutting It Down When you finish working, you can put your Mac Pro to sleep or shut it down. Putting Your Mac Pro to Sleep If you’ll be away from your Mac Pro for only a short time, put it to sleep. When your Mac Pro is in sleep, the display’s screen is dark. You can quickly wake your Mac Pro from sleep and bypass the startup process. To put your Mac Pro to sleep quickly, do one of the following:  Choose Apple () > Sleep from the menu bar.  Press the power (®) button on the front of your Mac Pro.  Press the Control and Eject keys, and then click Sleep in the dialogue box that appears.  Choose Apple () > System Preferences, click Energy Saver, and set a sleep timer. To wake your Mac Pro from sleep, do one of the following:  Press any key on the keyboard.  Click the mouse.  Press the power (®) button on the front of your Mac Pro. When your Mac Pro wakes from sleep, your applications, documents, and computer settings are exactly as you left them. 20 Chapter 1 Ready, Set Up, Go Shutting Down Your Mac Pro If you won’t be using your Mac Pro for an extended period, shut it down. To turn off your Mac Pro, do one of the following:  Choose Apple () > Shut Down.  Press the Control and Eject keys, and then click Shut Down in the dialogue box that appears. NOTICE: Do not turn off your Mac Pro by turning off the switch on a power strip or by unplugging your Mac Pro’s power plug (unless you can’t turn off your Mac Pro any other way). Your files or system software could be damaged if your Mac Pro is not shut down properly. NOTICE: Shut down your Mac Pro before moving it. Moving your computer while the hard disk is spinning can damage the hard disk, causing loss of data or the inability to start up from the hard disk.2 2 Life with Your Mac Pro www.apple.com/macpro Mac Help ports22 Chapter 2 Life with Your Mac Pro Basic Features on the Front of Your Mac Pro Optical drive Headphone jack Status light f ® Power button FireWire 800 ports (2) Second optical drive (optional) USB 2.0 ports (2)Chapter 2 Life with Your Mac Pro 23 Optical drive Your Mac Pro has a DVD±R DL/DVD±RW/CD-RW SuperDrive, which can read CD-ROM, photo CD, audio, and DVD discs. It can write music, documents, and other files to CD-R, CD-RW, DVD±R, DVD±RW, and DVD±R Double Layer (DL) discs. To open the drive, press the Media Eject (C) key on your Apple Keyboard. If your Mac Pro has a second optical drive, press the Option and Media Eject (C) keys to open it. ® Power button Press this button to turn on your Mac Pro, put it to sleep, or wake it from sleep. To restart, press and hold this button for 5 or 6 seconds until your Mac Pro turns off, and, then press it again to turn it on. H Two FireWire 800 ports Connect high-speed external devices, such as FireWire digital video (DV) cameras, scanners, and external hard disk drives. You can connect and disconnect FireWire devices without restarting. Each port supports data rates up to 800 Mbit/s. d Two USB 2.0 ports Connect an iPod, iPhone, mouse, keyboard, printer, disk drive, digital camera, joystick, external USB modem, and more. You can also connect USB 1.1 devices. Your display may also have USB ports. f Headphone jack Connect headphones, including Apple Earphones with Remote and Mic, through the headphone minijack. Status light A white light indicates your Mac Pro is on; a pulsing light indicates it’s in sleep.24 Chapter 2 Life with Your Mac Pro Features of Your Apple Keyboard Escape Decrease brightness Increase brightness Exposé Dashboard Caps Lock Fast Forward Mute Volume Down Volume Up Media Eject Function Play/Pause Rewind USB port (both sides)Chapter 2 Life with Your Mac Pro 25 Escape (esc) key Press the Escape (esc) and Command (x) keys simultaneously to open Front Row. Press the Escape (esc) key to exit Front Row. Brightness keys (F1, F2) Increase ( ) or decrease ( ) the brightness of your Apple display. Exposé key (F3) Open Exposé for quick access to all your open windows. Dashboard key (F4) Open Dashboard to access your widgets. — Mute key (F10) Mute the sound coming from the built-in speaker, headphone jack, or audio ports. - Volume keys (F11, F12) Increase (-) or decrease (–) the volume of sound coming from the built-in speaker, headphone jack, or audio ports. C Media Eject key Press and hold the Media Eject (C) key to remove a disc. Function (fn) key Hold down to activate customized actions assigned to the function keys (F1 to F19). To learn about customizing function keys, choose Help > Mac Help from the menu bar and search for “function keys.” ’ Media keys (F7, F8, F9) Rewind ( ), play or pause (’), or fast-forward ( ) a song, movie, or slideshow. Caps Lock key Press the Caps Lock key to engage caps lock so you can type capital letters. d Two USB 2.0 ports Connect a mouse and sync your iPhone, iPod, or digital camera. 26 Chapter 2 Life with Your Mac Pro Ports and Connectors on the Back of Your Mac Pro Power socket Locking latch USB 2.0 ports (3) FireWire 800 ports (2) G d ¥ H Gigabit Ethernet ports (2)Chapter 2 Life with Your Mac Pro 27 Power socket Connect the power cord that came with your Mac Pro. Don’t use ordinary power or extension cords. ¥ Locking latch Lift the latch to open the side panel and access the internal components in your Mac Pro. If you are working inside your Mac Pro and the latch is down, the optical and hard drives are locked in place. You can attach a security lock (available separately) to the latch to prevent access and secure the internal components. You can also attach a security cable to the latch or through the handles and feet to protect your Mac Pro. d Three USB 2.0 ports Connect an iPod, iPhone, mouse, keyboard, printer, disk drive, digital camera, joystick, external USB modem, and more. You can also connect USB 1.1 devices. Your display may also have USB ports. H Two FireWire 800 ports Connect high-speed external devices, such as FireWire digital video (DV) cameras, scanners, and external hard disk drives. You can connect and disconnect FireWire devices without restarting. Each port supports data rates up to 800 Mbit/s. G Dual Gigabit Ethernet ports with jumbo frame support Connect to a high-speed Ethernet network, a DSL or cable modem, or another computer. The Ethernet port automatically detects Ethernet devices and doesn’t require an Ethernet crossover cable. You can access the Internet or network resources such as printers and servers, and share information over the network using a CAT 5e cable.28 Chapter 2 Life with Your Mac Pro More Ports and Connectors on the Back PCI Express expansion slots Mini DisplayPort - , Optical digital audio out port Analog audio line-in port Analog audio line-out port Optical digital audio in port DVI display port £ £Chapter 2 Life with Your Mac Pro 29 PCI Express expansion slots (3) Expand your Mac Pro by installing up to three Peripheral Component Interconnect (PCI) Express cards in the covered slots labeled 2, 3, and 4. £ Mini DisplayPort Connect a display that uses a Mini DisplayPort connector, such as the Apple LED Cinema Display. Display adapters for your Mac Pro are available from the online Apple Store at www.apple.com/store. £ DVI display port (dual-link) Connect a display that uses a Digital Visual Interface (DVI) connector, such as the 20-, 23-, or 30-inch Apple Cinema Display, to the DVI display port. Display adapters for your Mac Pro are available from the online Apple Store at www.apple.com/store. Optical digital audio in and audio out ports Connect to decks, receivers, digital instruments, and surround-sound speaker systems using standard TOSLINK cables or fiber-optic cables with a 3.5 mm plastic or nylon optical plug. You can transfer stereo or encoded audio using the S/PDIF (Sony/Philips Digital Interface) protocol and TOSLINK cables. , Analog audio line-in port Connect self-powered microphones, MP3 and CD players, and other devices with analog capability. - Analog audio line-out port Connect self-powered analog speakers and other devices with analog capability. 30 Chapter 2 Life with Your Mac Pro Internal Expansion Options Hard disk drive carriers (4) Optical drive carrier Slot 1: Double-wide PCI Express graphics (graphics card installed) Memory slots (4 or 8 slots depending on model) Slots 2–4: PCI Express BatteryChapter 2 Life with Your Mac Pro 31 Optical drives Your Mac Pro comes with one or two DVD±R DL/DVD±RW/CD-RW SuperDrives in the optical drive carrier. To replace an optical drive, see “Replacing the Optical Drive” on page 63. Hard disk drive Your Mac Pro comes with up to four hard disk drives installed in the drive carriers. To install or replace the hard disk drives, see “Installing Internal Storage Devices” on page 59. PCI Express slots Your Mac Pro has three PCI Express expansion slots. To install PCI cards in slots 2 through 4 to expand the capabilities of your Mac Pro, see “Adding PCI Express Cards” on page 69. Battery Your Mac Pro uses an internal backup battery. If your Mac Pro has trouble starting up, or if the system date and time are frequently incorrect, you may need to replace the battery. See “Replacing the Internal Backup Battery” on page 74. Double-wide PCI Express graphics slot Connect up to two displays to the graphics card in the PCI Express graphics slot (slot 1). You can replace the card in this slot and install additional graphics cards in PCI slots 2 through 4. See “Adding PCI Express Cards” on page 69. Memory slots Your Mac Pro has four or eight memory expansion slots, depending on the model. To add more memory, install PC3-8500, 1066 MHz, DDR3 SDRAM UDIMMs in the memory slots. See “Installing Memory” on page 41 for information about the type of memory used in your Mac Pro.32 Chapter 2 Life with Your Mac Pro Getting Answers Much more information about using your Mac Pro is available in Mac Help and on the Internet at www.apple.com/support/macpro. To open Mac Help: 1 Click the Finder icon in the Dock (the bar of icons along the edge of the screen). 2 Click the Help menu in the menu bar and do one of the following: a Type a question or term in the Search field, and choose a topic from the list of results or choose Show All Results to see all topics. b Choose Mac Help to open the Mac Help window, where you can browse topics or type a search question. More Information For more information about using your Mac Pro, see the following: To learn about See Installing drives, memory, expansion cards, or a battery Chapter 3, “Making a Good Thing Better,” on page 35. Troubleshooting your Mac Pro if you have a problem Chapter 4, “Problem, Meet Solution,” on page 77. Finding service and support for your Mac Pro “Learning More, Service, and Support” on page 92. Or the Mac Pro Support website at www.apple.com/support/macpro. Using Mac OS X The Mac OS X website at www.apple.com/macosx. Or search for “Mac OS X” in Mac Help. Moving from a PC to a Mac “Why you’ll love a Mac” at www.apple.com/getamac/whymac.Chapter 2 Life with Your Mac Pro 33 Using iLife applications The iLife website at www.apple.com/ilife. Or open an iLife application, open Help, and then type a question. Changing System Preferences System Preferences by choosing Apple (K) > System Preferences. Or search for “system preferences” in Mac Help. Using your mouse or keyboard System Preferences and choose Keyboard & Mouse. Or open Mac Help and search for “mouse” or “keyboard.” Using AirPort Extreme wireless technology The AirPort Support page at www.apple.com/support/airport. Or open Mac Help and search for “AirPort.” Using Bluetooth® wireless technology The Bluetooth Support page at www.apple.com/support/ bluetooth. Or open Mac Help and search for “Bluetooth”. Connecting a printer Mac Help and search for “printing.” FireWire and USB connections Mac Help and search for “FireWire” or “USB.” Connecting to the Internet Mac Help and search for “Internet.” Using a display Mac Help and search for “display port.” Front Row Mac Help and search for “Front Row.” Burning a CD or DVD Mac Help and search for “burn disc.” Mac Pro specifications Chapter 5, “What’s Under the Hood,” on page 95. Or the Mac Pro specifications page at www.apple.com/macpro/specs.html. Or open System Profiler by choosing Apple (K) > About This Mac from the menu bar, and then click More Info. Apple news, free downloads, and online catalogs The Apple site at www.apple.com. Instructions, technical support, and product manuals The Apple Support site at www.apple.com/support. To learn about See3 3 Making a Good Thing Better www.apple.com/store Mac Help RAM36 Chapter 3 Making a Good Thing Better Use the information in this chapter to customize and expand your Mac Pro to fit your needs. You can find information about important procedures in the following sections:  “Opening the Mac Pro” on page 37  “Installing Memory” on page 41  “Installing Internal Storage Devices” on page 59  “Adding PCI Express Cards” on page 69  “Replacing the Internal Backup Battery” on page 74 NOTICE: Apple recommends that you have an Apple-certified technician install memory, PCI Express cards, and internal storage devices. To contact an Apple Authorized Service Provider or Apple for service, see “Learning More, Service, and Support” on page 92. If you install these items yourself, you risk damaging your equipment, and such damage is not covered by the limited warranty on your computer. See an Apple Authorized Reseller or Apple Authorized Service Provider for additional information about this or any other warranty question.Chapter 3 Making a Good Thing Better 37 Opening the Mac Pro 1 Before you open your Mac Pro, shut it down by choosing Apple () > Shut Down. 2 Wait 5 to 10 minutes to allow the internal components of your Mac Pro to cool. NOTICE: Always shut down your Mac Pro before opening it to avoid damaging its internal components or the components you want to install. Do not open your Mac Pro or attempt to install items inside it while it is on. WARNING: Let your Mac Pro cool down before you touch the internal components, which may be very hot.38 Chapter 3 Making a Good Thing Better 3 Touch the metal on the outside of your Mac Pro to discharge any static electricity. NOTICE: Always discharge static before you touch parts or install components inside your Mac Pro. To avoid generating static, don’t walk around the room until you finish installing the cards, memory, or internal storage device and replace the side panel. Touch the metal case to discharge static.Chapter 3 Making a Good Thing Better 39 4 Unplug all the cables and the power cord from your Mac Pro. 5 Hold the side panel and lift the latch on the back. NOTICE: To avoid damaging internal components or the components you want to install, always unplug your Mac Pro. Don’t attempt to install items while it’s plugged in.40 Chapter 3 Making a Good Thing Better 6 Remove the side panel by pulling the top away from your Mac Pro and lifting up. Important: When you remove the side panel, hold it securely.Chapter 3 Making a Good Thing Better 41 Installing Memory Your Mac Pro comes with 3 or 6 GB of memory, installed as 1 GB unbuffered dual inline memory modules (UDIMMs). All installed UDIMMs must meet these specifications:  PC3-8500, 1066 MHz, DDR3 SDRAM UDIMMs  Error-correcting code (ECC)  72-bit wide, 240-pin ECC modules  36 ICs maximum per ECC UDIMM When purchasing DIMMs for use in Mac computers, make sure that the memory vendor conforms to the Joint Electron Device Engineering Council (JEDEC) specification. Check with your memory vendor to ensure that the DIMMs support the correct timing modes and that the Serial Presence Detect (SPD) feature has been programmed properly, as described in the JEDEC specification. To check the compatibility of your DIMMs, see the Macintosh Products Guide on Apple’s website at www.apple.com/guide. NOTICE: Apple recommends that you use Apple-approved DIMMs. DIMMs from older Mac computers cannot be used in your Mac Pro. You can purchase Apple-branded memory online from the Apple Store at www.apple.com/store.42 Chapter 3 Making a Good Thing Better Before you install memory, determine whether you have a quad- or 8-core Mac Pro by removing the side panel following the instructions on page 37, and looking inside:  A quad-core Mac Pro has one processor and four memory slots. You can install 1 GB or 2 GB DIMMs for a total of up to 8 GB of memory. See “Installing Memory in a QuadCore Mac Pro” on page 43.  An 8-core Mac Pro has two processors and eight memory slots. You can install 1 GB, 2 GB, or 4 GB DIMMs for a total of up to 32 GB of memory. See “Installing Memory in an 8-Core Mac Pro” on page 52. Quad-core 8-coreChapter 3 Making a Good Thing Better 43 You can also determine which Mac Pro you have by choosing Apple () > About This Mac from the menu bar. Click More Info, choose Hardware from the Contents list, and then find Number Of CPUs in Hardware Overview. A quad-core Mac Pro has one CPU and an 8-core Mac Pro has two CPUs. Installing Memory in a Quad-Core Mac Pro The quad-core Mac Pro has four memory slots, and comes with at least three 1 GB DIMMs installed. You can replace or install additional 1 GB or 2 GB DIMMs for a total of up to 8 GB of memory. It’s important that DIMMs installed in your Mac Pro are of equal specification. Use the instructions that follow to install DIMMs in a quad-core Mac Pro. To install memory: 1 Shut down your Mac Pro, open it, and remove the side panel, following the instructions on page 37. WARNING: Let your Mac Pro cool down for 5 to 10 minutes before you remove the processor tray or touch the internal components. The processor tray and components may be very hot.44 Chapter 3 Making a Good Thing Better 2 Push the latches on the processor tray until they partially open. LatchesChapter 3 Making a Good Thing Better 45 3 Pull the latches until they open all the way and release the processor tray.46 Chapter 3 Making a Good Thing Better 4 Remove the processor tray and lay it on a soft, clean cloth on the desk or work surface, to protect the tray and avoid scratching the work surface. Processor trayChapter 3 Making a Good Thing Better 47 If you install equal-size DIMMs (all 1 GB or all 2 GB) in your Mac Pro, Apple recommends that you fill the slots in the order listed in the table. Note: If you install different-size DIMMs in your Mac Pro, follow the order in the table. If the DIMM configuration you install doesn’t provide optimized performance, the Memory Slot Utility appears onscreen and recommends an improved configuration. To use the utility again, go to /System/Library/CoreServices/Memory Slot Utility. If you have Fill these slots Two DIMMs 1 and 2 Three DIMMs 1, 2, and 3 Four DIMMs 1, 2, 3, and 4 (all) Slot 4 Slot 3 Slot 2 Slot 148 Chapter 3 Making a Good Thing Better 5 Open the ejectors on DIMM slots 1, 2, and 3 and push them out to the sides. Then remove the DIMMs from the slots. 6 Install the DIMMs by aligning them in the DIMM slots and pushing both ends of the DIMM down until the tabs are vertical and the ejectors snap into place. NOTICE: To avoid damaging the DIMM, hold it by the corners and don’t touch the gold connectors or other components. Connectors Notch EjectorsChapter 3 Making a Good Thing Better 49 7 Reinstall the processor tray, pushing it in until the latches are at a 45-degree angle. 8 Push the latches all the way in to close them and seat the processor tray. Processor tray Latch50 Chapter 3 Making a Good Thing Better 9 Replace the side panel. Important: When you replace the side panel, make sure the latch is up. Hold the side panel securely so it stays in place as you push the latch down. Place the side panel in the slot and then push to close. NOTICE: Always replace the side panel after installing components. Your Mac Pro doesn’t operate properly without the side panel in place.Chapter 3 Making a Good Thing Better 51 10 Hold the side panel against your Mac Pro and push the latch down to secure the side panel. 11 You can attach a lock or cable through the metal loop to secure your Mac Pro. Flip the lock tab down before you close the latch.52 Chapter 3 Making a Good Thing Better Installing Memory in an 8-Core Mac Pro The 8-core Mac Pro has eight memory slots, and, in most configurations, comes with at least six 1 GB DIMMs installed. You can install 1 GB, 2 GB, or 4 GB DIMMs, for a total of up to 32 GB of memory. It’s important that DIMMs installed in your Mac Pro are of equal specification. Use the instructions that follow to install DIMMs in an 8-core Mac Pro. To install memory in an 8-core Mac Pro: 1 Shut down your Mac Pro, open it, and remove the side panel, following the instructions on page 37. WARNING: Let your Mac Pro cool down for 5 to 10 minutes before you remove the processor tray or touch the internal components. The processor tray and components may be very hot.Chapter 3 Making a Good Thing Better 53 2 Push the latches on the processor tray until they partially open. Latches54 Chapter 3 Making a Good Thing Better 3 Pull the latches until they open all the way and release the processor tray.Chapter 3 Making a Good Thing Better 55 4 Remove the processor tray and lay it on a soft, clean cloth on the desk or work surface to protect the tray and avoid scratching the work surface. Processor tray56 Chapter 3 Making a Good Thing Better If you install equal-size DIMMs (all 1, 2, or 4 GB) in your Mac Pro, Apple recommends that you fill the slots in the order listed in the table. If you have Fill these slots Two DIMMs 1 and 2 Three DIMMs 1, 2, and 3 Four DIMMs 1, 2, and 5, 6 Six DIMMs 1, 2, 3, and 5, 6, 7 Eight DIMMs 1, 2, 3, 4, and 5, 6, 7, 8 (all) Slot 4 Slot 3 Slot 2 Slot 1 Slot 5 Slot 6 Slot 7 Slot 8Chapter 3 Making a Good Thing Better 57 Note: If you install different-size DIMMs in your Mac Pro, follow the order in the table. If the DIMM configuration you install doesn’t provide optimized performance, the Memory Slot Utility appears onscreen and recommends an improved configuration. To use the utility again, go to /System/Library/CoreServices/Memory Slot Utility. 5 Install the DIMMs by aligning them in the DIMM slots and pushing both ends of the DIMM down until the tabs are vertical and the ejectors snap into place. NOTICE: To avoid damaging the DIMM, hold it by the corners and don’t touch the gold connectors or other components. Connectors Notch Ejectors58 Chapter 3 Making a Good Thing Better 6 Reinstall the processor tray, pushing it in until the latches are at a 45-degree angle. 7 Push the latches all the way in to close them and seat the processor tray. 8 Replace the side panel following the instructions on page 50. NOTICE: Always replace the side panel after installing components. Your Mac Pro doesn’t operate properly without the side panel in place. Processor tray LatchChapter 3 Making a Good Thing Better 59 Installing Internal Storage Devices Your Mac Pro has room for six internal drives: two optical drives and four hard disk drives. In most configurations, a single hard disk drive occupies the first hard drive bay and an optical drive is located in the top optical drive bay. You can add up to three 3.5-inch cable-free Serial ATA (SATA) hard disk drives to the empty hard drive bays or up to four Serial Attached SCSI (SAS) drives. The drives must meet these specifications:  Type: SAS or SATA 3 Gb/s  Width: 3.9 inches (102 mm)  Depth: 5.7 inches (147 mm)  Height: 1.0 inch (25.4 mm) Note: To install SAS drives in your Mac Pro, you must also install the optional Mac Pro RAID Card. For more information about requirements or devices supported, visit an Apple Authorized Reseller, the Apple Store at www.apple.com/store, or the Mac Pro Support site at www.apple.com/support/macpro. Installing SAS or SATA 3 Gb/s Hard Disk Drives Your Mac Pro can accommodate up to four internal 1-inch-high SATA or SAS 3 Gb/s hard disk drives in the hard drive bays. If your Mac Pro comes with a single drive installed, it’s in the first bay. You can install drives in the second, third, and fourth hard drive bays.60 Chapter 3 Making a Good Thing Better To install a hard disk drive: 1 Open your Mac Pro and remove the side panel following the instructions that begin on page 37. 2 Lift the latch to unlock the hard drive carriers. Note: When the latch is down, the carriers are locked in the drive bays and can’t be removed. 3 Pull the hard drive carrier out of the drive bay. Hard drive carrierChapter 3 Making a Good Thing Better 61 4 Position the carrier over the hard disk drive with the connectors at the rear. 5 Use the four screws on the carrier to attach the hard disk drive to the carrier. NOTICE: Hold the drive by its sides. To avoid damaging the drive, don't touch the printed circuit board. Connectors62 Chapter 3 Making a Good Thing Better 6 Lift the latch and slide the carrier over the guides and into the drive bay until it’s touching the hard drive connectors and is seated in the bay. 7 Replace the side panel following the instructions on page 50. NOTICE: Always replace the side panel after installing components. Your Mac Pro doesn’t operate properly without the side panel in place. Hard drive connectorsChapter 3 Making a Good Thing Better 63 Replacing the Optical Drive Your Mac Pro comes with one or two SuperDrives installed in the optical drive bays. Follow these instructions to replace your optical drive. Important: Contact your drive manufacturer or consult the manufacturer’s website to determine if your drive is set to cable select mode. Before installation, set the drive to cable select mode if the manufacturer hasn’t already done so. To replace the optical drive: 1 Open your Mac Pro and remove the side panel following the instructions that begin on page 37. 2 Lift the latch to unlock the optical drive carriers. Note: When the latch is down, the drives and carriers are locked in the drive bays and can’t be removed.64 Chapter 3 Making a Good Thing Better 3 Pull the optical drive carrier halfway out of the optical drive bay.Chapter 3 Making a Good Thing Better 65 4 Disconnect the cable from the optical drive and remove the carrier from the optical drive bay. NOTICE: When you install or replace optical drives, use the original Apple cables that came with your Mac Pro.66 Chapter 3 Making a Good Thing Better 5 Remove the optical drive from the carrier by unscrewing the four attachment screws. 6 Use the four screws from the original optical drive to attach the replacement drive to the carrier. Chapter 3 Making a Good Thing Better 67 7 Slide the optical drive and carrier over the guides halfway into the drive bay. 8 Attach the cable to the back of the drive. Cable middle connector Cable end connector68 Chapter 3 Making a Good Thing Better 9 Lift the latch and then slide the optical drive carrier into the drive bay, pushing it into place. 10 Replace the side panel following the instructions on page 50. NOTICE: Always replace the side panel after installing components. Your Mac Pro doesn’t operate properly without the side panel in place.Chapter 3 Making a Good Thing Better 69 Adding PCI Express Cards You can expand the capabilities of your Mac Pro by installing cards in the Peripheral Component Interconnect (PCI) Express slots. Your Mac Pro has one double-wide PCI Express graphics slot and three PCI Express expansion slots, for a total of four slots. These slots accommodate PCI Express graphics cards and expansion cards. About PCI Express Cards Your Mac Pro comes with a high-performance PCI Express graphics card, which contains the graphics processor unit (GPU) and provides the computer’s display ports. The graphics card is installed in slot 1. You can install additional PCI Express graphics and expansion cards. Before installing a card, check its specifications to make sure it can operate in your Mac Pro:  Slots 1 and 2 are x16, PCI Express 2.0 slots  Slots 3 and 4 are x4, PCI Express 2.0 slots All four slots support 16-lane cards. Important: Combined maximum power consumption for all four PCI Express slots must not exceed 300 watts (W).70 Chapter 3 Making a Good Thing Better To install a PCI Express card: 1 Open your Mac Pro and remove the side panel following the instructions that begin on page 37. 2 Unscrew the captive screws in the PCI bracket and remove the bracket. 3 Remove the port access cover from the slot in which you plan to install the card. WARNING: To avoid damaging internal components or the components you want to install, always turn off and then unplug your Mac Pro. Do not attempt to install items while it is plugged in. Let your Mac Pro cool down for 5 to 10 minutes before you touch the internal components, which may be very hot. Port access cover PCI bracketChapter 3 Making a Good Thing Better 71 4 Press the button on the PCI slider and move the slider to the left, which moves the retention bar. 5 Remove your new card from its static-proof bag and hold it by its corners. Don’t touch the gold connector or the components on the card. Did You Know?—Installing a Full-Length PCI Card It may be easier to install a PCI card if you remove the hard disk drives and carriers (see page 59), and remove adjacent cards. Make sure the end of the card goes in the appropriate card guide before aligning the card with the PCI slot and completing the installation. PCI slider Button Retention bar72 Chapter 3 Making a Good Thing Better 6 Align the card’s connector with the expansion slot and press the card into the slot. 7 Press the card gently but firmly until the connector is fully inserted. Press only on the bare areas of the card to avoid damaging the components. Don’t rock the card from side to side or force it. If you meet resistance, check the connector and slot for damage or obstructions, and then try inserting the card again. 8 Pull the card gently to see if it is properly connected. If it stays in place and its gold connectors are barely visible, the card is connected. 9 Move the PCI slider to the right to secure the card. PCI slider Hook on card Retention bar PCI Express slotChapter 3 Making a Good Thing Better 73 10 Replace the PCI bracket under the brace and tighten the screws to secure the card. 11 Replace the side panel following the instructions on page 50. NOTICE: If you remove a card and don’t install a replacement, place a port access cover over the empty slot to keep foreign objects out of the enclosure. An uncovered slot affects the airflow that cools the internal components and may cause damage. NOTICE: Always replace the side panel after installing components. Your Mac Pro doesn’t operate properly without the side panel in place. Brace PCI bracket74 Chapter 3 Making a Good Thing Better Replacing the Internal Backup Battery Your Mac Pro uses a BR 2032 Lithium battery that preserves settings, such as the date and time, when your Mac Pro is off. If you notice intermittent problems when your Mac Pro starts up or changes in the date and time settings, replace the battery. Important: Dispose of the old battery according to your local environmental laws. To replace the battery: 1 Open your Mac Pro and remove the side panel, following the instructions on page 37. 2 Remove any PCI Express cards that block access to the battery. See “Adding PCI Express Cards” on page 69 for instructions. 3 Remove the old battery from the holder. WARNING: Installing the battery incorrectly may cause an explosion. Use only the same type of battery or an equivalent recommended by the manufacturer of the original.Chapter 3 Making a Good Thing Better 75 4 Insert the new battery in the holder with the positive (+) side facing up. 5 Replace the PCI Express cards that you removed (see page 69). 6 Replace the side panel and push the latch down to secure it.4 4 Problem, Meet Solution www.apple.com/support Mac Help help78 Chapter 4 Problem, Meet Solution Occasionally you may have problems while working with your Mac Pro. Read on for troubleshooting tips to try when you have a problem. You can also find more troubleshooting information in Mac Help or on the Mac Pro Service & Support website at www.apple.com/support/macpro. If you experience a problem working with your Mac Pro, there is usually a simple and quick solution. If you encounter a problem, try to make a note of what you did before the problem occurred. This can help you narrow down the possible causes of the problem and then find the answers you need. Things to note include:  The applications you were using when the problem occurred. Problems that occur only with a specific application may indicate that the application is not compatible with the Mac OS version installed on your computer.  Any software that you recently installed.  Any new hardware (such as memory, graphics or PCI Express cards, hard disk drives) you installed or peripheral that you connected Problems with Your Mac Pro If your Mac Pro won’t respond or turn on, you have trouble ejecting a disk, or the status light is flashing, try the steps in this section. If the computer won’t respond or the pointer won’t move First, make sure the mouse and keyboard are connected by unplugging and then plugging in the connectors, and make sure they are firmly seated.Chapter 4 Problem, Meet Solution 79 Then try to cancel what the computer is doing.  Press the Command (x) and Q keys at the same time to try to quit the current application.  Press the Command (x) and period keys at the same time. If a dialog appears, click Cancel.  Choose Apple () > Force Quit and select the application you want to quit. You can also force quit by pressing the Esc, Option, and Command (x) keys at the same time. Restart your Mac Pro by choosing Apple () > Restart to be sure the problem is entirely cleared up. You can also restart by pressing the power (®) button for about 5 or 6 seconds until your Mac Pro shuts down. Press the power (®) button again to start up your Mac Pro.  If the problem occurs only when you use a particular program, check with the program’s manufacturer to see if it is compatible with your computer.  If the problem occurs frequently, choose Help > Mac Help and search for “problems. “ If the computer won’t turn on or start up  Make sure the power cord is connected to a working power source. The plug on the power cord must be completely inserted into the computer’s power socket and firmly seated.  If your computer still does not start up, try resetting the parameter random access memory (PRAM). Turn on the computer and immediately hold down the Command (x), Option, P, and R keys until you hear the startup sound a second time. Release the keys. Set your hard disk as the computer’s startup disk, by doing the following: 1 Choose Apple () > System Preferences. 2 Click Startup Disk.80 Chapter 4 Problem, Meet Solution 3 Select your hard disk. The PRAM is reset to the default values and your clock settings may need to be reset.  If your computer does not start up after resetting the PRAM, restart your computer while holding down the Option key to select your startup disk.  If this doesn’t work, restart your computer while holding down the Shift key. If you are unable to eject a disc A file on the disc may be in use. Quit applications that are open, and then try again. If that doesn’t work, choose Apple () > Restart and hold down either the mouse button or the Media Eject (C) key on your Apple Keyboard. If that doesn’t work: 1 Shut down the computer and remove the side panel (see the instructions on page 37). 2 Pull the optical drive carrier out of the optical drive bay (see page 64). 3 Carefully insert the end of a straightened paper clip into the small hole on the front of the optical drive. 4 Push firmly until the tray opens, remove the disc, and push the tray to close it. 5 Replace the optical drive carrier and the side panel (see page 68). If the status light flashes and the computer won’t start up  If you recently installed memory, a PCI expansion card, or another internal component, make sure that it is correctly installed and that it is compatible with your computer. See if removing it allows the computer to start up.  If the status light still flashes, determine the number of flashes to identify the problem:Chapter 4 Problem, Meet Solution 81  One short flash followed by a longer off period: No valid memory.  Three short flashes followed by a longer off period: Failed memory. Problems with Software When an application freezes or does not respond, Mac OS X provides a way to quit the application without restarting your computer. Quitting a frozen application may allow you to save your work in other open applications. To force an application to quit: 1 Press Command (x)-Option-Esc or choose Apple () > Force Quit from the menu bar. 2 Select the name of the application you want to quit in the Force Quit Applications dialogue. 3 Click Force Quit. The application quits, leaving all other applications open. If you have a problem with a software program  Use Software Update to ensure that you have the latest drivers, bug fixes, and other updates.  For problems with software from a manufacturer other than Apple, contact the manufacturer. If you have a problem using your computer or working with Mac OS X  Look in Mac Help (in the Help menu) for instructions and troubleshooting information.  For the latest troubleshooting information and software updates, go to the Apple Support website at www.apple.com/support.82 Chapter 4 Problem, Meet Solution Keeping Your Software Up to Date You can connect to the Internet and automatically download and install the latest free software versions, drivers, and other enhancements from Apple. When you are connected to the Internet, Software Update checks to see if any updates are available for your computer. You can set your Mac Pro to check for updates periodically, and then you can download and install updated software. To check for updated software: 1 Choose Apple () > Software Update. 2 Follow the onscreen instructions.  For more information, search for “Software Update” in Mac Help.  For the latest information about Mac OS X, go to the Mac OS X website at www.apple.com/macosx. Problems with AirPort Wireless Communication If you have a problem using AirPort wireless communication:  Use System Profiler to make sure you have an AirPort card installed in your Mac Pro. To open System Profiler, choose Apple () > About This Mac from the menu bar, and then click More Info. Choose Network from the Contents list, and then choose AirPort Card. If your Mac Pro doesn’t have an AirPort card, you’ll see “No information found.” If you would like an AirPort card installed in your Mac Pro, see page 92.  Make sure you have properly configured the software according to the instructions that came with your base station.Chapter 4 Problem, Meet Solution 83  Make sure the computer or network you are trying to connect to is running and has a wireless access point.  Make sure you are within antenna range of the other computer or the network’s access point. Nearby electronic devices or metal structures can interfere with wireless communication and reduce this range. Repositioning or rotating the computer may improve reception.  Make sure the side panel is closed (see page 50) and the PCI port access covers are in place (see page 73). Antenna reception is reduced when your Mac Pro is not closed properly.  Check the AirPort signal level. You may have up to four bars in the AirPort status icon in the menu bar.  See AirPort Help (choose Help > Mac Help, and then choose Library > AirPort Help from the menu bar). Also see the instructions that came with the wireless device for more information. Problems with Your Display NOTICE: If you have a problem with your Apple display and nothing in this manual solves it, contact an Apple Authorized Service Provider or Apple for assistance. If you attempt to repair the display yourself, any damage you may cause to the display will not be covered by the limited warranty on your display. Contact an Apple Authorized Reseller or Apple Authorized Service Provider for additional information about this or any other warranty question.84 Chapter 4 Problem, Meet Solution If no image appears on the screen  Make sure the computer is turned on, and if the display has a power button, make sure it is turned on.  Make sure the cables are connected properly to your computer and the display.  If your graphics card has an internal power cable, make sure it’s connected to the card and the logic board.  Make sure your computer is not in sleep. Press the power button or any key to see if the computer wakes.  Make sure the display brightness and contrast are set properly. Use the brightness keys on the Apple Keyboard. Some displays also have brightness and contrast controls on or under their front edge or on the side.  Reset the PRAM by restarting the computer while holding down the Command (x), Option, P, and R keys until you hear the startup sound a second time. Then start up using the software installation disc that came with your computer. If the screen image appears dim or flickers  Adjust the display brightness and contrast settings. Use the brightness keys on the Apple Keyboard. Some displays also have brightness and contrast controls on or under their front edge. Or you may be able to adjust brightness or contrast using the Displays pane of System Preferences.  Calibrate the display by choosing Apple () > System Preferences. Click Displays, select Color, and click Calibrate. For more information on color and your display, see Mac Help.Chapter 4 Problem, Meet Solution 85  The flickering may be caused by interference from a nearby power line, a fluorescent light, or an electrical device—for example, a radio, a microwave oven, or another computer. Try relocating nearby electrical devices or moving your computer and display. If no colors appear on the screen or the colors don’t look right  Make sure the display is connected firmly to the computer.  Open the Displays pane of System Preferences and make sure the display is set to display millions of colors. For more information about color and your display, see Mac Help.  Calibrate the display, as described on page 84. If after you change the screen resolution, desktop icons move Changing the screen resolution affects the display of information on your screen. The operating system may reposition icons when you change the screen resolution. If the screen freezes  Force the frozen application to quit. Hold down the Command and Option keys and press Esc. Then select the application in the list and click Force Quit.  If that doesn’t work, force the computer to restart by pressing the power (®) button for 5 or 6 seconds until your Mac Pro shuts down. Press the power (®) button again to start up your Mac Pro.86 Chapter 4 Problem, Meet Solution If your display has a light on the front and it’s flashing On some Apple flat panel displays, the power light displays a series of short flashes when an error is detected.  If you see a repeating sequence of three short flashes, the display is detecting input in the wrong video format. Make sure your display is compatible with your graphics card and that you’ve installed the correct display software, if your display came with installation software.  If you see a sequence of two short flashes and a long flash, the display is detecting a problem with a backlighting lamp. Contact an Apple Authorized Reseller or Apple Authorized Service Provider. Problems with Your Internet Connection If you have trouble with your Internet connection, you can try the steps in this section starting with Network Diagnostics. To use Network Diagnostics: 1 Choose Apple () > System Preferences. 2 Click Network and then click “Assist me” at the bottom of the page. 3 Click Diagnostics to open Network Diagnostics. 4 Follow the onscreen instructions. If Network Diagnostics can’t resolve the problem, there may be a problem with the Internet service provider (ISP) you are trying to connect to, with an external device you are using to connect to your ISP, or with the server you are trying to access. You can also try the steps in the following section.Chapter 4 Problem, Meet Solution 87 Cable Modem, DSL, and LAN Internet Connections Make sure all modem cables are fully plugged in, including the modem power cord, the cable from the modem to the computer, and the cable from the modem to the wall jack. Check the cables and power supplies for Ethernet hubs and routers. Turn the modem off and on to reset the modem hardware. Turn off your DSL or cable modem for a few minutes, and then turn it back on. Some ISPs recommend that you unplug the modem’s power cord. If your modem has a reset button, you can press it either before or after you turn the power off and on. PPPoE Connections If you are unable to connect to your Internet service provider using PPPoE, make sure you have entered the correct information in Network preferences. To enter PPPoE settings: 1 Choose Apple () > System Preferences. 2 Click Network. 3 Click Add (+) at the bottom of the network connection services list, and choose PPPoE from the Interface pop-up menu. 4 Choose an interface for the PPPoE service from the Ethernet pop-up menu. Choose Ethernet if you are connecting to a wired network, or AirPort if you are connecting to a wireless network. 5 Enter the information you received from your service provider, such as the account name, password, and PPPoE service name (if your service provider requires it). 6 Click Apply to make the settings active.88 Chapter 4 Problem, Meet Solution Network Connections Make sure the Ethernet cable is plugged into your computer and into the network. Check the cables and power supplies to your Ethernet hubs and routers. If you have two or more computers sharing an Internet connection, be sure that your network is set up properly. You need to know if your ISP provides only one IP address or if it provides multiple IP addresses, one for each computer. If only one IP address is used, then you must have a router capable of sharing the connection, also known as network address translation (NAT) or “IP masquerading.” For setup information, check the documentation provided with your router or ask the person who set up your network. You can use an AirPort Base Station to share one IP address among multiple computers. For information about using an AirPort Base Station, search for “AirPort” Mac Help or visit the AirPort support website at www.apple.com/support/airport. If you cannot resolve the issue using these steps, contact your ISP or network administrator.Chapter 4 Problem, Meet Solution 89 Using Apple Hardware Test If you suspect a problem with your Mac Pro hardware, use the Apple Hardware Test application to help determine if there’s a problem with one of the computer’s components, such as the memory or processor. To use Apple Hardware Test: 1 Disconnect all external devices from your Mac Pro, except the keyboard and mouse. If you have an Ethernet cable connected, disconnect it. 2 Restart your Mac Pro while holding down the D key. 3 When the Apple Hardware Test chooser screen appears, select the language you want to use. 4 Press the Return key or click the right arrow button. 5 When the Apple Hardware Test main screen appears (after about 45 seconds), follow the onscreen instructions. 6 If Apple Hardware Test detects a problem, it displays an error code. Make a note of the error code before pursuing support options. If Apple Hardware Test doesn’t detect a hardware failure, the problem may be software-related. If this procedure doesn’t work, you can insert the Applications Install DVD that came with your Mac Pro to use Apple Hardware Test. For more information, see the Apple Hardware Test Read Me file on the Applications Install DVD.90 Chapter 4 Problem, Meet Solution Reinstalling the Software That Came with Your Mac Pro Use the software installation discs that came with your Mac Pro to reinstall Mac OS X and any applications that came with your computer. You can choose “Archive and Install,” which saves your existing files and settings, or “Erase and Install,” which erases all your data. Important: Apple recommends that you back up the data on your hard disk before restoring software. Because the “Erase and Install” option erases your hard disk, you should back up your essential files before installing Mac OS X and other applications. Apple is not responsible for any lost data. Installing Mac OS X To install Mac OS X: 1 Back up your important files. 2 Insert the Mac OS X Install DVD that came with your computer. 3 Double-click Install Mac OS X. 4 Follow the onscreen instructions. Note: To restore Mac OS X on your computer to the original factory settings, click Options in the “Select a Destination” pane of the Installer, and then select “Erase and Install.” If you choose “Erase and Install,” you’ll see a message reminding you to use the Applications Install DVD to reinstall the bundled applications that came with your computer. 5 When the installation is complete, click Restart to restart your computer. 6 Follow the prompts in the Setup Assistant to set up your user account.Chapter 4 Problem, Meet Solution 91 Installing Applications If you reinstall Mac OS X on your computer and select the “Erase and Install” option, you must reinstall the applications that came with your computer, such as the iLife applications. To install the applications that came with your computer: 1 Back up your important files. 2 Insert the Applications Install DVD that came with your computer. 3 Double-click Install Bundled Software. 4 Follow the onscreen instructions. 5 When the installation is complete, click Close. Maximizing Ethernet Performance Your computer performs best when the Ethernet port to which it is connected is set to autonegotiate. Ask your network administrator to verify this setting. Important: If you experience connection problems on your network, make sure your network switch is set to autonegotiate, if possible. If a switch’s port is not autonegotiating, your computer detects the appropriate speed but defaults to halfduplex mode. If the switch’s port at the other end of the link is configured for fullduplex mode, a large number of late events can occur on the link. If it isn’t possible to set the switch to autonegotiate, then set the switch’s port to half-duplex. For more information, see the documentation that came with the Ethernet switch.92 Chapter 4 Problem, Meet Solution Note: If you connect your computer directly to a configurable Ethernet switch, have your network administrator disable the spanning tree protocol on that port. Otherwise your computer may duplicate the AppleTalk address of another computer on the same network and both network connections may become unreliable. Learning More, Service, and Support If your Mac Pro needs service, take it to an Apple Authorized Service Provider or contact Apple for service. You can find more information about your Mac Pro through online resources, onscreen help, System Profiler, or Apple Hardware Test. If you didn’t order AirPort wireless technology with your Mac Pro, contact an Apple Authorized Service Provider or an Apple Store to purchase it and have it installed. Online Resources For online service and support information, go to www.apple.com/support. Choose your country from the pop-up menu. You can search the AppleCare Knowledge Base, check for software updates, or get help from Apple’s discussion boards. Onscreen Help You can often find answers to your questions, as well as instructions and troubleshooting information, in Mac Help. Choose Help > Mac Help.Chapter 4 Problem, Meet Solution 93 System Profiler To get information about your computer, use System Profiler. System Profiler shows you which hardware and software is installed, the serial number and operating system version, how much memory is installed, and more. To open System Profiler, choose Apple () > About This Mac from the menu bar and then click More Info. Apple Hardware Test You can use Apple Hardware Test to diagnose hardware problems on your Mac Pro. For more information, see “Using Apple Hardware Test” on page 89. AppleCare Service and Support Your Mac Pro comes with 90 days of technical support and one year of hardware repair warranty coverage at an Apple Store retail location or an Apple-authorized repair center, such as Apple Authorized Service Provider (AASP). You can extend your coverage by purchasing the AppleCare Protection Plan. For information, visit www.apple.com/support/products or visit the website address for your country listed in the table. If you need assistance, AppleCare telephone support representatives can help you with installing and opening applications, and basic troubleshooting. Call the support center number nearest you (the first 90 days are complimentary). Have the purchase date and your Mac Pro serial number ready when you call.94 Chapter 4 Problem, Meet Solution Note: Your 90 days of complimentary telephone support begins on the date of purchase. Telephone fees may apply. Telephone numbers are subject to change, and local and national telephone rates may apply. A complete list is available on the web: Locating Your Serial Number Use any of these methods to find your Mac Pro serial number:  Choose Apple () from the menu bar and then choose About This Mac. Click the version number beneath the words “Mac OS X” to cycle through the Mac OS X version number, the build version, and the serial number.  Open System Profiler (in /Applications/Utilities/) and click Hardware.  Look on the configuration label, which is located on the back of your Mac Pro near the video ports. Country Phone Website United States 1-800-275-2273 www.apple.com/support Australia (61) 1-300-321-456 www.apple.com/au/support Canada (English) (French) 1-800-263-3394 www.apple.com/ca/support www.apple.com/ca/fr/support Ireland (353) 1850 946 191 www.apple.com/ie/support New Zealand 00800-7666-7666 www.apple.com/nz/support United Kingdom (44) 0870 876 0753 www.apple.com/uk/support www.apple.com/contact/phone_contacts.html5 5 What’s Under the Hood www.apple.com/macpro Mac Help System Profiler96 Chapter 5 What’s Under the Hood The technical specifications of your Mac Pro are included in this section. Specifications Use System Profiler to find detailed information about your Mac Pro, including the amount of installed memory, hard disk size, connected devices, and product serial number. To open System Profiler, choose Apple () > About This Mac from the menu bar, and then click More Info. Processor and Memory Specifications Processor  One or two Quad-Core Intel Xeon series processors  8 MB of shared L3 cache per processor Random-access memory (RAM)  Unbuffered dual inline memory modules (UDIMMs)  PC3-8500, 1066 MHz, DDR3 SDRAM UDIMMs  DIMM slots  Eight slots available in an 8-core Mac Pro  Four slots available in a quad-core Mac Pro  Error-correcting code (ECC)  72-bit wide, 240-pin ECC modules  36 ICs maximum per ECC UDIMM  Must conform to JEDEC specification (see page 41)  NonparityChapter 5 What’s Under the Hood 97 Graphics Card PCI Express 2.0 graphics card with a dual-link Digital Visual Interface (DVI) connector and a Mini DisplayPort connector. Video Display Modes For technical specifications for your display:  Apple displays: Go to www.apple.com/displays  Non-Apple displays: Go to www.apple.com/guide Storage  Four independent 3 Gb/s Serial ATA (SATA), cable-free, direct-attach 3.5-inch hard drive bays  Type: SATA 3 Gb/s  Width: 3.9 inches (102 mm)  Depth: 5.7 inches (147 mm)  Height: 1.0 inch (25.4 mm)  Four internal hard drive carriers98 Chapter 5 What’s Under the Hood PCI Express Expansion  Four full-length PCI Express expansion slots (slot 1 contains the graphics card)  Slots 1 and 2 are x16, PCI Express 2.0 slots  Slots 3 and 4 are x4, PCI Express 2.0 slots  All four slots can support 16-lane cards  300 W combined maximum for all PCI Express slots SuperDrive (DVD±R DL/DVD±RW/CD-RW) Specifications  Disc diameters supported: 12 cm and 8 cm Data formats  CD-ROM  CD-Audio  CD-R  CD-RW  CD-I  CD-I Bridge  CD Extended  CD Mixed Mode  Photo CD  Video CD  Enhanced CD  DVD-Video  DVD±RChapter 5 What’s Under the Hood 99  DVD±RW  DVD±R DL USB Specifications  Support for Universal Serial Bus (USB) 2.0 and 1.1  Seven external USB Type A ports  Two USB 2.0 ports on the front  Three USB 2.0 ports on the back  Two USB 2.0 ports on the Apple Keyboard  Each USB port (front and rear) is on a separate 480 megabit-per-second (Mbit/s) USB channel  500 milliamperes (mA) available for a total of 1.5 A on the rear and 1.0 A on the front FireWire Specifications  Four external FireWire ports: Two FireWire 800 ports (9-pin) on the front and two on the back  Data transfer speed: 100, 200, 400, and 800 Mbit/s Power  Output voltage: Approximately 12 V  Output power: Up to a maximum of 28 W for all 4 ports or 12 W for any one port100 Chapter 5 What’s Under the Hood Ethernet Specifications  IEEE 802.3 compliant  Maximum cable length: 328 feet (100 meters)  Protocols: Open Transport, AppleShare, AppleTalk, NetWare for Macintosh, TCP/IP  Connector: RJ-45 for 10Base-T, 100Base-TX, and 1000Base-T  Media, 10Base-T: Category (CAT) 3 or higher UTP on 2 pairs up to 100 m  Media, 100Base-TX: CAT 5e UTP on 2 pairs up to 100 m  Media, 1000Base-T: CAT 5e UTP on 4 pairs up to 100 m  Channel speeds: IEEE Autonegotiation of 10Base-T, 100Base-TX, and 1000Base-T Bluetooth 2.1+EDR Specifications  Wireless data rate: Up to 3 Mbit/s  Range: Up to 33 feet or 10 meters (data rates may vary depending on environmental conditions)  Frequency band: 2.4 gigahertz (GHz) AirPort Extreme Specifications (Optional)  Frequency band: 2.4 and 5 gigahertz (GHz)  Radio output power: 20 dBm (nominal) Compatibility  802.11a, b, g, and nChapter 5 What’s Under the Hood 101 Optical Digital Audio Specifications  Data format: Sony/Phillips Digital Interface (S/PDIF) protocol (IEC60958-3)  Connector type: TOSLINK optical (IEC60874-17)  Bits per sample: 16-bit, 20-bit, or 24-bit Optical digital audio out Based on a typical situation with playback of a 1 kHz, 0dBFS 24-bit sine wave, 44.1 kHz output sample rate, unless otherwise specified below.  Output sample rate: 44.1 kHz, 48 kHz, or 96 kHz  Signal-to-noise ratio: Greater than130 dB  Total harmonic distortion + noise: Less than -130 dB (0.00003 percent) Optical digital audio in Based on a typical situation with playback of a 1 kHz, 0dBFS 24-bit sine wave, unless otherwise specified below.  Input sample rate: 44.1 kHz, 48 kHz, or 96 kHz  Signal-to-noise ratio: Greater than130 dB  Total harmonic distortion + noise: Less than -130 dB (0.00003 percent) Analog Audio Specifications  Sample rate: 44.1 kHz, 48 kHz, or 96 kHz  Jack type: 1/8” mini  Bits per sample: 16-bit, 20-bit, or 24-bit  Frequency response: 20 Hz to 20 kHz, +0.5 dB/-3 dB 102 Chapter 5 What’s Under the Hood Analog audio out using the headphone jack (typical values) Based on a typical situation with playback of a 1 kHz, -3dBFS 24-bit sine wave, 44.1 kHz output sample rate into 150 ohms, unless otherwise specified below.  Output voltage: 1.3 volts (root mean square) (Vrms ) (+4.5 dBu)  Output impedance: 55 ohms  Output power: 53 milliwatts (mW) into 32 ohms  Signal-to-noise ratio: Greater than 90 dB  Total harmonic distortion + noise: Less than -70 dB (.03 percent)  Channel separation: Greater than 50 dB Analog audio line in (typical values) Based on a typical situation with playback of a 1 kHz, -3dBFS 24-bit sine wave, 44.1 kHz output sample rate, unless otherwise specified below.  Maximum input voltage: 2 Vrms (+8.2 dBu)  Input impedance: Greater than 17 kilohms  Signal-to-noise ratio: Greater than 90 dB  Total harmonic distortion + noise: Less than -85 dB (.006 percent)  Channel separation: Greater than 85 dB Analog audio line out (typical values) Based on a typical situation with playback of a 1 kHz, -3dBFS 24-bit sine wave, 44.1 kHz output sample rate into 100 kilohms, unless otherwise specified below.  Output voltage: 2 Vrms (+8.2 dBu)  Output impedance: 33 ohmsChapter 5 What’s Under the Hood 103  Signal-to-noise ratio: Greater than 90 dB  Total harmonic distortion + noise: Less than -85 dB (.006 percent)  Channel separation: Greater than 85 dB External microphone input using the headphone jack (typical values) Based on a typical situation with playback of a 1 kHz, 28 mVrms sine wave, 44.1 kHz input sample rate, 24-bit sampling, unless otherwise specified below.  Maximum input voltage: 39 mVrms (-26 dBu)  Input impedance: Greater than 1 kilohm  Signal-to-noise ratio: Greater than 60 dB  Total harmonic distortion + noise: Less than -60 dB (0.1 percent)  Frequency response: 100 Hz to 8.2 kHz, +0.5 dB/-3 dB Power Supply AC line input  Voltage ranges: 100–240 V alternating current (AC)  Current: Maximum of 12 A (low voltage range) or 6 A (high voltage range)  Frequency: 50–60 Hz single phase Power Requirements for Expansion Cards and Peripherals Expansion cards Combined maximum power consumption for all four PCI Express slots should not exceed 300 watts (W). USB devices Each of the computer’s built-in USB ports is allotted 500 mA. 104 Chapter 5 What’s Under the Hood FireWire devices The computer can provide up to 28 W total to the FireWire ports. System Clock and Battery Your computer has CMOS custom circuitry with a long-life battery. Battery Use a 3-volt, BR 2032 Lithium coin cell replacement battery (see “Replacing the Internal Backup Battery” on page 74). Dimensions and Operating Environment Dimensions  Weight: 39.9 lbs. (18.1 kg) The weight depends on the configuration. The weight above is for a basic configuration and may be greater if optional devices are installed.  Height: 20.1 inches (51.1 cm)  Width: 8.1 inches (20.6 cm)  Depth: 18.7 inches (47.5 cm) Operating environment  Operating temperature: 50° to 95° F (10° to 35° C)  Storage temperature: –40° to 116° F (–40° to 47° C)  Relative humidity: 5% to 95% (noncondensing)  Maximum altitude: 10,000 feet (3048 meters)6 6 Last, but Not Least www.apple.com/environment Mac Help ergonomics106 Chapter 6 Last, but Not Least This chapter provides important information about safety procedures, routine maintenance, and ergonomic considerations for using your Mac Pro and display. For your safety and that of your equipment, follow these rules for handling and cleaning your Mac Pro and for working more comfortably. Keep these instructions handy for reference by you and others. Important Safety Information The only way to disconnect power completely from your Mac Pro is to unplug the power cord from the main power supply. To disconnect your display completely, you must also unplug its power cable from the computer or power outlet. Make sure that at least one end of the device’s power cord is within easy reach so that you can unplug the computer or display when necessary. Always take the following precautions. Disconnect the power plug (by pulling the plug, not the cord), from your computer or display and disconnect the phone cord if any of the following conditions exist:  The power cord or plug becomes frayed or otherwise damaged  You spill something into the case NOTICE: Incorrect storage or use of your computer may void the manufacturer’s warranty. WARNING: Failure to follow these safety instructions could result in fire, electric shock, or other injury or damage.Chapter 6 Last, but Not Least 107  Your computer or display is exposed to rain or any other excess moisture  Your computer or display has been dropped or the case has been otherwise damaged  You suspect that your computer or display needs service or repair  You want to clean the computer or the case or screen of the display If you plan to store your computer for an extended period of time, remove the battery. For service or questions about your warranty, contact an Apple Authorized Service Provider or Apple. See “Learning More, Service, and Support” on page 92. General Maintenance If you need to clean the computer or display by doing more than wiping it down with a clean cloth, follow these instructions: 1 Turn off your computer and display. 2 Disconnect the computer power cable from the electrical outlet or power strip. If your display is connected to an outlet, disconnect it as well. 3 Disconnect the display’s cables from the computer. 4 Clean the display screen with soft, lint-free paper or cloth dampened with mild soap and water. WARNING: Do not spray liquid directly onto the display screen. Liquid could drip inside the display and cause electrical shock.108 Chapter 6 Last, but Not Least 5 Wipe the computer or display case surfaces lightly with a clean, soft cloth dampened with water. Protecting Your Optical Drive To keep your optical drive working properly:  Position your computer so that the drive tray doesn’t bump into anything when it opens.  Close the drive when you’re not using it.  Do not put anything on the drive tray when it is open.  Do not touch the optical drive lens with your fingers. Do not wipe the lens with a paper towel or other abrasive surface. If you need to clean the lens, see an Apple Authorized Service Provider for a lens cleaner.  Keep your computer away from any source of moisture. Laser Information for Optical Disc Drive For your safety, have the optical drive serviced only by an Apple Authorized Service Provider. NOTICE: Don’t use alcohol, aerosol sprays, solvents, or abrasives that might damage the finish on the case. WARNING: Making adjustments or performing procedures other than those specified in your equipment’s manual may result in hazardous radiation exposure. The optical disc drive in your computer contains a laser that is safe in normal use but that may be harmful to your eyes if disassembled.Chapter 6 Last, but Not Least 109 Maintaining Your Display To maintain your display and ensure its long life:  Do not press on the surface of the display screen.  Do not write on the screen or touch the screen with a sharp object.  If you will not be using your computer for a day or more, turn off the computer and, if the display has a power button, turn off the display. You can also use Energy Saver. Cleaning Your Apple Mouse You may need to clean your mouse from time to time to remove dirt and dust that has accumulated in the scroll ball area. Hold the mouse upside-down and roll the scroll ball vigorously using a clean, soft, lint-free cloth to help dislodge any particles that may interfere with proper scrolling. Understanding Ergonomics Here are some tips for setting up a healthy work environment. Keyboard When you use the keyboard, your shoulders should be relaxed. Your upper arm and forearm should form an approximate right angle, with your wrist and hand in roughly a straight line. Change hand positions often to avoid fatigue. Some computer users might develop discomfort in their hands, wrists, or arms after intensive work without breaks. If you begin to develop chronic pain or discomfort in your hands, wrists, or arms, consult a qualified health specialist.110 Chapter 6 Last, but Not Least Mouse Position the mouse at the same height as the keyboard and within a comfortable reach. Chair An adjustable chair that provides firm, comfortable support is best. Adjust the height of the chair so your thighs are horizontal and your feet are flat on the floor. The back of the chair should support your lower back (lumbar region). Follow the manufacturer’s instructions for adjusting the backrest to fit your body properly. You might have to raise your chair so that your forearms and hands are at the proper angle to the keyboard. If this makes it impossible to rest your feet flat on the floor, use a footrest with adjustable height and tilt to make up for any gap between the floor and your feet. Or you can lower the desktop to eliminate the need for a footrest. Another option is to use a desk with a keyboard tray that’s lower than the regular work surface. Display Arrange the display so that the top of the screen is slightly below eye level when you’re sitting at the keyboard. The best distance from your eyes to the screen is up to you, although most people seem to prefer 18 to 28 inches (45 to 70 cm).Chapter 6 Last, but Not Least 111 Position the display to minimize glare and reflections on the screen from overhead lights and nearby windows. If possible, use a tiltable display stand. The stand lets you set the display at the best angle for viewing, helping to reduce or eliminate glare from lighting sources you can’t move. More information about ergonomics is available on the web: Thighs tilted slightly Shoulders relaxed Screen positioned to avoid reflected glare Forearms and hands in a straight line Forearms level or tilted slightly Lower back supported Feet flat on the floor or on a footrest Top of the screen at or slightly below eye level (You may need to adjust the height of your display by raising or lowering your work surface) Clearance under work surface 18–28 in. (45–70 cm) www.apple.com/about/ergonomics112 Chapter 6 Last, but Not Least Avoid Hearing Damage Apple and the Environment Apple Inc. recognizes its responsibility to minimize the environmental impacts of its operations and products. More information is available on the web: WARNING: Permanent hearing loss may occur if earbuds or headphones are used at high volume. You can adapt over time to a higher volume of sound that may sound normal but can be damaging to your hearing. If you experience ringing in your ears or muffled speech, then stop listening and have your hearing checked. The louder the volume, the less time required before your hearing can be affected. Hearing experts suggest that to protect your hearing:  Limit the amount of time you use earbuds or headphones at high volume  Avoid turning up the volume to block out noisy surroundings  Turn the volume down if you can’t hear people speaking to you www.apple.com/environment113 Regulatory Compliance Information Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. L‘utilisation de ce dispositif est autorisée seulement aux conditions suivantes : (1) il ne doit pas produire de brouillage et (2) l’utilisateur du dispositif doit étre prêt à accepter tout brouillage radioélectrique reçu, même si ce brouillage est susceptible de compromettre le fonctionnement du dispositif. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the television or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the television or radio.  Move the computer farther away from the television or radio.  Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product has demonstrated EMC compliance under conditions that included the use of compliant peripheral devices and shielded cables between system components. It is important that you use compliant peripheral devices and shielded cables (including Ethernet network cables) between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. 114 Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Inc. Corporate Compliance 1 Infinite Loop, MS 26-A Cupertino, CA 95014-2084 Wireless Radio Use This device is restricted to indoor use due to its operation in the 5.15 to 5.25 GHz frequency range to reduce the potential for harmful interference to cochannel Mobile Satellite systems. Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the optional AirPort Card in this device is below the FCC and EU radio frequency exposure limits for uncontrolled equipment. This device should be operated with a minimum distance of at least 20 cm between the AirPort Card antennas and a person’s body and must not be co-located or operated with any other antenna or transmitter. FCC Bluetooth Wireless Compliance The antenna used with this transmitter must not be colocated or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant. Bluetooth Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la Class B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. This device complies with RSS 210 of Industry Canada. Europe–EU Declaration of Conformity See www.apple.com/euro/compliance. Korea Warning Statements Singapore Wireless Certification Taiwan Wireless Statements Taiwan Class B Statement115 VCCI Class B Statement Mouse Class 1 LED Information The Apple Mouse is a Class 1 LED product in accordance with IEC 60825-1 A1 A2. It also complies with the Canadian ICES-003 Class B Specification. External USB Modem Information When connecting your Mac Pro to the phone line using an external USB modem, refer to the telecommunications agency information in the documentation that came with your modem.116 ENERGY STAR® Compliance As an ENERGY STAR® partner, Apple has determined that standard configurations of this product meet the ENERGY STAR® guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR® program is a partnership with electronic equipment manufacturers to promote energy-efficient products. Reducing energy consumption of products saves money and helps conserve valuable resources. This computer is shipped with power management enabled with the computer set to sleep after 10 minutes of user inactivity. To wake your computer, click the mouse or trackpad button or press any key on the keyboard. For more information about ENERGY STAR® , visit: www.energystar.gov Disposal and Recycling Information This symbol indicates that your product must be disposed of properly according to local laws and regulations. When your product reaches its end of life, contact Apple or your local authorities to learn about recycling options. For information about Apple’s recycling program, go to www.apple.com/environment/recycling. Battery Disposal Information Dispose of batteries according to your local environmental laws and guidelines. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Taiwan:117 European Union—Disposal Information The symbol above means that according to local laws and regulations your product should be disposed of separately from household waste. When this product reaches its end of life, take it to a collection point designated by local authorities. Some collection points accept products for free. The separate collection and recycling of your product at the time of disposal will help conserve natural resources and ensure that it is recycled in a manner that protects human health and the environment.Looking for Something?120 Looking for Something? Index A adapter Apple Mini DisplayPort to VGA Adapter 14 DVI to ADC 14 DVI to VGA 14 AirPort Extreme about 33 specifications 100 analog audio line in 29 line out 29 specifications 101 AppleCare Service and Support 93 Apple Hardware Test 93 Apple Keyboard 25 applications force quit 79 freezing 81 Front Row 33 iLife 91 installing 91 problems 81 assistants Migration Assistant 18 Setup Assistant 17 audio specifications 101 B battery disposal 116 internal backup battery 31 replacing 74 specifications 104 blinking question mark 19 Bluetooth about 33 specifications 100 brightness keys 25 C CD-RW 98 chair 110 changing the desktop 18 System Preferences 18 cleaning computer 107 display 107 mouse 109 computer disposal 116 computer won’t turn on 79 connecting a keyboard 16 a mouse 16 dial-up modem 15 controls brightness 25 eject CD or DVD 25 Front Row 25 media 25 mute 25 volume 25 D Dashboard key 25 deauthorizing iTunes account 17 desktop, customizing 18 dial-up connection 15 dimensions 104 DIMMs installing 41, 42, 43, 52 location 31 specifications 96 discharging static 38 disconnect power 106 display 29, 97, 110 disposal of batteries 116Looking for Something? 121 computer 116 Dock 32 downloading software 82 DVD 98 DVI display port 29 E environmental impact 112 ergonomics 109 mouse 110 Escape key 25 Ethernet maximizing performance 91 ports 27 specifications 100 expansion cards 103 Exposé key 25 external USB modem 15, 23, 27 F F1 to F19 function keys 25 factory settings 90 Finder 32 FireWire connections 33 devices 104 ports 27 specifications 99 Force Quit 81, 85 Front Row application 33 key 25 frozen application 81 function (fn) key 25 G general maintenance 107 graphics card 97 H hand positions 109 hard disk drive 31, 59 headphone jack 23, 102 I iLife applications 33, 91 installing applications 90, 91 hard disk drives 59 Mac OS X 90 memory 41 PCI Express cards 69 SuperDrive 63 Internet problems 87 iTunes Store 17 J JEDEC specification 41, 96 K keyboard connecting 16 ergonomics 109 extender cable 17 features 24 function keys 25 wireless 17 keys brightness 25 Dashboard 25 Escape 25 Exposé 25 Front Row 25 function 25 media 25 Media Eject 25 Mute 25 volume 25 L latch 27, 51 M Mac Help 18, 32, 78 Mac OS X information about 32 installing 90 keeping up to date 82 maintenance 107 Media Eject key 25 media keys 25 memory installing 41 location 31 specifications 96122 Looking for Something? Migration Assistant 18 modem cable 27 DSL 27 external USB 15, 23, 27 mouse cleaning 109 connecting 16 ergonomics 110 USB connection 23, 27 wireless 17 Mute key 25 N network connections 88 diagnostics 86 no image on screen 84 O online resources 92 opening your Mac Pro 37 operating environment 104 optical digital audio ports 29 specifications 101 optical drive about 23, 31 installing 59 specifications 98 P PCI Express expansion slots 29, 31 graphics card 31 installing cards 69 specifications 103 peripherals 103 ports audio 29 display 14, 29 Ethernet 15, 27 FireWire 23, 27, 99 power 99 USB 16, 23, 27, 99 power button 17, 23 power cord 12 power requirements 103 power socket 27 power supply 103 problems See troubleshooting processor 96 Q question mark, blinking 19 R RAM installing 41 location 31 specifications 96 reinstalling software 90 reset the PRAM 79 S safety information 106 SAS drive 59 screen, setting brightness 25 screen freezes 85 Serial ATA drive 59 Serial Attached SCSI drive 59 serial number 94 service and support information 93 setting up 11 Setup Assistant 17 shutting off power 11, 20, 37 sleep 19, 23 software installation discs 90 updating 82 specifications AirPort Extreme 100 analog audio 102 audio 101 battery 104 Bluetooth 100 Ethernet 100 expansion cards 103 FireWire 99 graphics card 97 headphone jack 102Looking for Something? 123 JEDEC 41, 96 memory 96 optical digital audio 101 optical drive 98 PCI Express cards 103 peripherals 103 power supply 103 processor 96 SuperDrive 98 system clock 104 System Profiler 33, 96 static, discharging 38 status light 23, 80 stopping an application 81 SuperDrive about 23, 31 replacing 63 specifications 98 system clock 104 System Preferences customizing the desktop 18 Software Update 82 System Profiler 33, 82, 96 T telephone support 94 transferring information 17 troubleshooting AppleCare 93 applications 81 connecting to Internet 87 DSL modem 87 Force Quit 79 Internet connection 86 network connection 88 PPPoE connection 87 reinstalling Mac OS X 90 service and support information 93 status light flashes 80 using Apple Hardware Test 89 typing position 109 U unable to eject a disc 80 updating software 82 USB connections 33 devices 103 keyboard and mouse, connecting 16 ports 23, 27 specifications 99 user account setting up 17 transferring information 17 V video display modes 97 Volume keys 25 W wireless AirPort technology 33 Bluetooth technology 33 keyboard 17 mouse 17K Apple Inc. © 2009 Apple Inc. All rights reserved. Under the copyright laws, this manual may not be copied, in whole or in part, without the written consent of Apple. The Apple logo is a trademark of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. Use of the “keyboard” Apple logo (Option-Shift-K) for commercial purposes without the prior written consent of Apple may constitute trademark infringement and unfair competition in violation of federal and state laws. Every effort has been made to ensure that the information in this manual is accurate. Apple is not responsible for printing or clerical errors. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, the Apple logo, Apple Cinema Display, AirPort, AirPort Extreme, AppleShare, AppleTalk, Cover Flow, Exposé, FireWire, GarageBand, iCal, iLife, iMovie, iPhoto, iPod, iTunes, Keynote, Mac, Mac OS, Macintosh, Macintosh Products Guide, Safari, and SuperDrive are trademarks of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. Finder, the FireWire logo, iPhone, iWeb, Spotlight, and Time Machine are trademarks of Apple Inc. AppleCare, Apple Store, and iTunes Store are service marks of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. Intel, Intel Core, and Xeon are trademarks of Intel Corp. in the U.S. and other countries. The Bluetooth word mark and logos are owned by the Bluetooth SIG, Inc. and any use of such marks by Apple Inc. is under license. This product includes software developed by the University of California, Berkeley, FreeBSD, Inc., The NetBSD Foundation, Inc., and their respective contributors. ENERGY STAR® is a U.S. registered trademark. Other company and product names mentioned herein are trademarks of their respective companies. Mention of third-party products is for informational purposes only and constitutes neither an endorsement nor a recommendation. Apple assumes no responsibility with regard to the performance or use of these products. Manufactured under license from Dolby Laboratories. “Dolby,” “Pro Logic,” and the double-D symbol are trademarks of Dolby Laboratories. Confidential Unpublished Works, © 1992–1997 Dolby Laboratories, Inc. All rights reserved. The product described in this manual incorporates copyright protection technology that is protected by method claims of certain U.S. patents and other intellectual property rights owned by Macrovision Corporation and other rights owners. Use of this copyright protection technology must be authorized by Macrovision Corporation and is intended for home and other limited viewing uses only unless otherwise authorized by Macrovision Corporation. Reverse engineering or disassembly is prohibited. Apparatus Claims of U.S. Patent Nos. 4,631,603, 4,577,216, 4,819,098 and 4,907,093 licensed for limited viewing uses only. Simultaneously published in the United States and Canada. Numbers ’08 Guide de l’utilisateurK Apple Inc. © 2008 Apple Inc. Tous droits réservés. Ce manuel est soumis aux lois sur le droit d’auteur et ne peut être copié, totalement ou partiellement, sans le consentement écrit d’Apple. Vos droits concernant le logiciel sont régis par le contrat de licence qui l’accompagne. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation du logo Apple via le clavier (Option + 1) pour des motifs commerciaux sans l’autorisation écrite préalable d’Apple peut constituer une violation du droit des marques et une concurrence déloyale en violation des lois fédérales et nationales. Tous les efforts ont été déployés afin de garantir l’exactitude des informations de ce manuel. Apple n’est pas responsable des erreurs d’impression ou de rédaction. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AppleWorks, ColorSync, iMovie, iPhoto, iTunes, Keynote, Numbers, Pages, Mac, Mac OS, Quartz et QuickTime sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, iWeb, iWork, Safari et Spotlight sont des marques d’Apple Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. Adobe et Acrobat sont des marques ou des marques déposées d’Adobe Systems Incorporated, aux États-Unis et/ou dans d’autres pays. Les autres noms de sociétés et produits mentionnés dans ce document sont des marques de leurs propriétaires respectifs. La mention de produits tiers est indiquée à titre informatif exclusivement et ne constitue ni une approbation, ni une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité quant aux performances ou à l’utilisation de ces produits. F019-1277 06/2008 3 1 Table des matières Préface 16 Bienvenue dans le Guide de l’utilisateur de Numbers Chapitre 1 18 Techniques et outils de Numbers 18 Modèles de feuilles de calcul 20 La fenêtre Numbers 21 Aides pour la visualisation de feuilles de calcul 21 Zoom avant et zoom arrière 22 La sous-fenêtre Feuilles 23 Vue avant impression 23 Guides d’alignement 24 Sous-fenêtre Styles 24 La barre d’outils 26 La barre Format 26 La fenêtre Inspecteur 27 Outils de formule 28 Le Navigateur de média 29 La fenêtre Couleurs 29 Le panneau Police 29 La fenêtre Avertissements 30 Raccourcis clavier et menus contextuels Chapitre 2 31 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 31 Création, ouverture et importation de feuilles de calcul 31 Création d’une feuille de calcul 33 Importation d’un document 33 Ouverture d’une feuille de calcul 34 Enregistrement de feuilles de calcul 34 Enregistrement d’une feuille de calcul 35 Annulation de modifications 35 Enregistrement automatique d’une copie de sauvegarde d’une feuille de calcul 36 Enregistrement d’une feuille de calcul en tant que modèle 36 Enregistrement de termes de recherche applicables à une feuille de calcul4 Table des matières 37 Enregistrement d’une copie d’une feuille de calcul 37 Fermeture d’une feuille de calcul sans quitter Numbers 37 Utilisation de feuilles pour organiser une feuille de calcul 38 Visualisation de feuilles 39 Ajout et suppression de feuilles 39 Réorganisation de feuilles et de leur contenu 40 Renommer des feuilles 41 Division d’une feuille en pages 42 Définition du format de page d’une feuille de calcul 42 Utilisation d’en-têtes et de bas de page 43 Organisation d’objets sur la page 44 Réglage de l’orientation de la page 44 Réglage de l’ordre de pagination 44 Numérotation de pages 45 Réglage des marges de la page Chapitre 3 46 Utilisation de tableaux 46 À propos des tableaux 47 Utilisation de tableaux 47 Ajout d’un tableau 47 Utilisation des outils de tableau 50 Redimensionnement d’un tableau 51 Déplacement de tableaux 51 Attribution d’un nom à un tableau 52 Définition de tableaux réutilisables 53 Copie de tableaux entre des applications iWork 54 Sélection de tableaux et de leurs composants 54 Sélection d’un tableau 54 Sélection d’une cellule unique d’un tableau 56 Sélection d’un groupe de cellules de tableau 56 Sélection d’un rang ou d’une colonne 56 Sélection des bordures des cellules d’un tableau 58 Utilisation du contenu des cellules d’un tableau 58 Ajout et modification de valeurs de cellule 59 Utilisation de texte dans les cellules 60 Utilisation de nombres dans les cellules 61 Utilisation de dates dans les cellules 61 Affichage d’un contenu trop long pour la cellule 62 Mise en forme des valeurs de cellule 63 Utilisation du format numérique 64 Utilisation du format monétaire 65 Utilisation du format PourcentageTable des matières 5 67 Utilisation du format Date et heure 68 Utilisation du format Fraction 69 Utilisation du format Scientifique 69 Utilisation du format Texte 70 Utilisation d’une case et d’autres formats de contrôle 73 Contrôle des valeurs de cellule 74 Ajout d’images et de couleurs aux cellules 74 Remplissage automatique des cellules d’un tableau 75 Utilisation des rangs et des colonnes 75 Ajout de rangs 76 Ajout de colonnes 76 Redisposition des rangs et des colonnes 77 Suppression de rangs et de colonnes 77 Utilisation d’un rang ou d’une colonne d’en-tête de tableau 78 Utilisation d’un rang de pied de page 79 Options permettant de masquer des rangs et des colonnes 79 Redimensionnement de rangs et de colonnes 80 Alternance de couleurs des rangs 81 Utilisation des cellules d’un tableau 81 Fusion des cellules d’un tableau 81 Division des cellules d’un tableau 82 Mise en forme bords d’une cellule 83 Copie et déplacement de cellules 84 Ajout de commentaires 84 Réorganisation des tableaux 85 Tri des cellules d’un tableau 86 Filtrage des rangs Chapitre 4 87 Utilisation des styles de tableaux 87 Utilisation de styles applicables aux tableaux 88 Application de styles à des tableaux 88 Modification du style d’un tableau 88 Modification d’attributs d’un style de tableau 89 Copie et collage de styles de tableaux 89 Utilisation du style de tableau par défaut 90 Création de styles applicables aux tableaux 90 Renommer un style applicable aux tableaux 90 Suppression d’un style de tableau Chapitre 5 91 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 91 Utilisation des formules 92 Visite guidée de l’utilisation des formules6 Table des matières 94 Réalisation de calculs instantanés 95 Ajout d’une formule rapide 96 Calcul élémentaire avec des valeurs d’une même ligne 96 Calcul élémentaire avec des valeurs d’un même rang 96 Suppression d’une formule 97 Utilisation de l’Éditeur de formules 97 Ajout d’une nouvelle formule à l’aide de l’Éditeur de formules 98 Modification d’une formule à l’aide de l’Éditeur de formules 98 Utilisation de la barre des formules 99 Ajout d’une nouvelle formule à l’aide de la barre de formules 100 Modification d’une formule à l’aide de la barre de formules 100 Utilisation des références de cellules 100 Ajout de références de cellules à une formule 102 Copie ou déplacement des formules contenant des références de cellules 103 Application d’une formule aux cellules d’une colonne ou d’un rang en une seule fois 103 Gestion des erreurs et des avertissements 104 Utilisation des opérateurs 104 Calcul d’opérations arithmétiques 105 Explication des opérateurs arithmétiques 105 Explication des opérateurs de comparaison 106 Utilisation des fonctions Chapitre 6 108 Utilisation des graphiques 108 À propos des graphiques 111 Ajout d’un graphique 113 Modification d’un graphique 114 Modification de l’orientation du traçage 114 Modification des données tracées sur un graphique 114 Ajout de données à un graphique 115 Ajout de données à un graphique en provenance de plusieurs tableaux 115 Suppression de données d’un graphique 116 Remplacement d’une série de données 116 Suppression d’un graphique 116 Déplacement d’un graphique 117 Changement du type de graphique 118 Mise en forme des attributs généraux d’un graphique 118 Utilisation d’une légende 118 Utilisation d’un titre de graphique 119 Redimensionnement d’un graphique 119 Rotation de graphiques 120 Ajout d’étiquettes et de marques d’axe 120 Affichage des axes et des borduresTable des matières 7 121 Utilisation de titres des axes 121 Affichage des étiquettes de point de données 122 Mise en forme de l’axe des valeurs 123 Mise en place d’étiquettes, de quadrillage et de marques de graduation 124 Mise en forme des éléments d’une série de données 125 Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes 125 Ajout de texte descriptif à un graphique 126 Mise en forme de types de graphiques spécifiques 126 graphiques sectoriels 126 Sélection de portions individuelles dans un graphique sectoriel 126 Affichage du nom des séries dans un graphique sectoriel 127 Éloignement de portions individuelles du graphique 127 Ajout d’ombres aux graphiques sectoriels et aux portions 127 Réglage de l’opacité des graphiques sectoriels 128 Rotation de graphiques sectoriels 2D 128 Graphiques à barres et à colonnes 128 Réglage de l’espacement des graphiques à barres et à colonnes 129 Ajout d’ombres aux graphiques à barres et à colonnes 129 Réglage de l’opacité des graphiques à barres et à colonnes 130 Graphiques à couches et linéaires 131 Graphiques en nuage de points 132 graphiques 3D Chapitre 7 133 Utilisation de texte 133 Ajout de texte 133 Supprimer, copier et coller du texte 134 Sélection de texte 134 Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte 135 Utilisation de la barre des formats pour mettre en forme le texte 135 Utilisation du menu Format pour mettre en forme le texte 135 Application de l’attribut Gras ou Italique au texte à l’aide des menus 135 Encadrement de texte à l’aide des menus 136 Soulignement du texte à l’aide des menus 136 Modification de la taille du texte à l’aide des menus 136 Mise en indice ou en exposant du texte à l’aide des menus 137 Modification de la casse d’un texte à l’aide des menus 137 Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte 139 Simplification de l’utilisation du panneau Police 139 Changement de polices à l’aide du panneau Police 140 Modification du soulignement à l’aide du panneau Police 140 Ajout d’un attribut barré au texte à l’aide du panneau Police 140 Modification de la couleur du texte à l’aide du panneau Police8 Table des matières 141 Modification de la couleur d’arrière-plan d’un paragraphe à l’aide du panneau Police 141 Création d’ombres sur le texte à l’aide du panneau Police 141 Ajout d’accents et de caractères spéciaux 141 Ajout d’accents 142 Affichage des dispositions de clavier dans d’autres langues 143 Saisie des caractères spéciaux et des symboles 144 Utilisation de guillemets courbes 144 Utilisation des fonctionnalités typographiques avancées 145 Réglage du lissage des polices 145 Définition de l’alignement, de l’espacement et de la couleur du texte 146 Alignement horizontal du texte 147 Alignement vertical du texte 147 Réglage de l’interligne 149 Réglage de l’espacement avant et après un paragraphe 149 Réglage de l’espace entre les caractères 149 Modification de la couleur du texte 150 Définition de taquets de tabulation afin d’aligner le texte 151 Définition d’un nouveau taquet de tabulation 151 Modification d’un taquet de tabulation 152 Suppression d’un taquet de tabulation 152 Création de retraits 152 Définition de retraits pour les paragraphes 153 Modification de la marge intérieure du texte dans des objets 153 Définition de retraits pour les listes 153 Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures) 153 Génération automatique de listes 154 Utilisation des listes à puces 155 Utilisation des listes numérotées 156 Utilisation de listes ordonnées (Structures) 157 Utilisation de zones de texte et de figures pour faire ressortir le texte 157 Ajout de zones de texte 158 Présentation du texte en colonnes 159 Ajout de texte dans une forme 159 Mise en forme d’une zone de texte ou d’une figure 160 Utilisation de liens hypertexte 160 Lien vers une page Web 160 Lien vers un message électronique préadressé 161 Modification du texte d’un lien hypertexte 161 Insertion de numéros de page et d’autres valeurs variables 162 Substitution automatique de texteTable des matières 9 163 Insertion d’un espace insécable 163 Vérification de l’orthographe 163 Recherche des mots mal orthographiés 164 Utilisation des suggestions de correction orthographique 165 Recherche et remplacement de texte Chapitre 8 166 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 166 Sélection d’objets 167 Copie et duplication d’objets 167 Suppression d’objets 167 Déplacement d’objets 168 Déplacement d’un objet vers le premier plan ou vers l’arrière-plan 168 Alignementobjets 168 Alignement des objets les uns par rapport aux autres 169 Espacement uniforme des objets sur la page 169 Utilisation des guides d’alignement 170 Création de guides d’alignement 170 Définition de la position précise des objets 171 Modification des objets 171 Redimensionnement des objets 172 Retournement et rotation d’objets 172 Modification du style des bordures 173 Encadrement d’objets 174 Ajout d’ombres 176 Ajout d’un reflet 176 Ajustement de l’opacité 177 Regroupement et verrouillage d’objets 177 Regroupement et dissociation d’objets 178 Verrouillage et déverrouillage des objets 178 Remplissage des objets 178 Remplissage d’un objet en couleur 179 Utilisation de la fenêtre Couleurs 180 Remplissage d’un objet avec une image 182 Utilisation des figures 182 Ajout d’une figure prédessinée 182 Ajout d’une figure personnalisée 184 Figures modifiables 184 Manipulation des points d’une figure 185 Modification du tracé d’une courbe 185 Modification du tracé d’un segment droit 186 Conversion de points d’angle en points de courbe et vice-versa 186 Modification de figures prédessinées spécifiques10 Table des matières 186 Modification d’un rectangle aux coins arrondis 187 Modification de flèches simples et doubles 187 Modification d’une étoile 188 Modification d’un polygone 188 Utilisation des paramètres fictifs multimédias 189 Utilisation des images 189 Importation d’une image 189 Masquage (rognage) d’images 190 Rognage d’une image à l’aide du masque par défaut (de forme rectangulaire) 191 Masquer une image par une figure 191 Suppression du masque d’une image 191 Suppression de l’arrière-plan ou des éléments superflus d’une image 192 Modification de la luminosité, du contraste et des autres réglages d’une image 194 Utilisation de fichiers PDF en tant que graphismes 195 Utilisation du son et de séquences 195 Ajout d’un fichier son 196 Ajout d’un fichier de séquence 196 Réglage des options de lecture des fichiers multimédias Chapitre 9 198 Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un tableau 198 Utilisation des champs de Carnet d’adresses 199 Mappage des noms de colonne aux noms issus de champs du Carnet d’adresses 201 Ajout de données issues du Carnet d’adresses à un tableau existant 202 Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un nouveau tableau Chapitre 10 203 Partage de votre feuille de calcul Numbers 203 Impression d’une feuille 204 Choix d’options de disposition pour l’impression 205 Ajustement de la couleur d’impression avec ColorSync 206 Exportation vers d’autres formats de document 207 Envoi d’une feuille de calcul à iWeb Chapitre 11 208 Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers 208 Conception d’un modèle 208 Étape 1 : définissez des styles pour vos tableaux 209 Étape 2 : définissez des tableaux réutilisables 209 Étape 3 : définissez des tableaux par défaut, des zones de texte, des figures et des images 209 Définition d’attributs par défaut pour les graphiques 210 Définition d’attributs par défaut pour les zones de texte et les formes 210 Définition d’attributs par défaut pour les images importées 211 Étape 4 : créez le contenu de départ pour la feuille de calculTable des matières 11 211 Prédéfinition de tableaux et autres objets pour un modèle personnalisé 212 Création de paramètres fictifs multimédia dans un modèle personnalisé 212 Prédéfinition de feuilles destinées à un modèle personnalisé 213 Étape 5 : enregistrement d’un modèle personnalisé Chapitre 12 214 Dictionnaire des fonctions 214 À propos des fonctions 216 Fonctions date et heure 217 Fonctions financières 218 Fonctions logiques 219 Fonctions d’informations 219 Fonctions de référence 220 Fonctions numériques 221 Fonctions trigonométriques 222 Fonctions statistiques 224 Fonctions texte 225 Descriptions de fonctions 225 ABS 225 ACCRINT 226 ACCRINTM 227 ACOS 227 ACOSH 227 ADRESSE 228 ET 229 ZONES 229 ASIN 229 ASINH 230 ATAN 230 ATAN2 230 ATANH 231 ECART.MOYEN 231 MOYENNE 231 AVERAGEA 232 PLAFOND 233 CAR 233 CHOISIR 234 NETTOYER 234 CODE 235 COLONNE 235 COLONNES 235 COMBIN 236 CONCATENER12 Table des matières 236 INTERVALLE.CONFIANCE 237 COEFFICIENT.CORRELATION 238 COS 238 COSH 239 NB 239 NBVAL 240 NB.VIDE 241 NB.SI 241 COUPDAYBS 242 NB.JOURS.COUPON 243 NB.JOURS.COUPON.SUIV 244 NB.COUPONS 245 COVARIANCE 245 DATE 246 DATEDIF 247 JOUR 247 DB 248 AMORDEG 248 DEGRÉS 249 TAUX.ESCOMPTE 249 EURO 250 EDATE 250 PAIR 251 EXACT 251 EXP 251 FACT 252 FAUX 252 RECHERCHER 253 CTXT 253 PLANCHER 254 PRÉVISION 254 VALFUT 255 PGCD 255 RECHERCHEH 256 HEURE 257 LIEN_HYPERTEXTE 257 SI 258 INDEX 259 INDIRECT 259 ENT 259 ORDONNEE.ORIGINETable des matières 13 260 INTPER 261 TRI 261 ESTVIDE 262 ESTERREUR 262 ESTPAIR 263 ESTIMPAIR 263 ISPMT 264 GRANDE.VALEUR 264 PPCM 265 GAUCHE 265 NBCAR 265 LN 266 LOG 266 LOG10 266 RECHERCHE 267 MINUSCULE 267 CORRESPONDRE 268 MAX 269 MAXA 269 MÉDIANE 270 MILIEU 270 MIN 270 MINA 271 MINUTE 271 TRIM 271 MOD 272 MODE 273 MOIS 273 ARRONDI.AU.MULTIPLE 273 NON 274 MAINTENANT 274 NPM 275 VAN 275 IMPAIR 276 DÉCALAGE 276 OU 277 CENTILE 277 PI 278 REMBOUR 278 LOI.POISSON 279 PUISSANCE14 Table des matières 279 PRINCPER 280 PRIX 281 PRICEDISC 281 PRICEMAT 282 PROBABILITE 283 PRODUIT 283 NOM.PROPRE 284 VALACT 285 QUOTIENT 285 RADIANS 285 ALÉAT 286 ALÉAT.ENTRE 286 RANG 287 TAUX 288 REMPLACER 288 REPT 289 DROITE 289 ROMAIN 290 ARRONDI 290 ARRONDI.INF 291 ARRONDI.SUP 292 RENGÉE 292 RANGS 292 RRECHERCHER 293 SECONDE 293 SIGNE 293 SIN 294 SINH 294 AMORLIN 295 PENTE 295 PETIT 296 SQRT 296 STDEV 297 STDEVA 297 ECARTYPEP 298 STDEVPA 299 SUBSTITUE 299 SOMME 300 SOMME.SI 301 SOMMEPROD 301 SOMME.CARRÉSTable des matières 15 301 AMORANN 302 T 302 TAN 303 TANH 303 TEMPS 304 TEMPSVAL 304 AUJOURD’HUI 305 AJUSTER 305 VRAI 305 TRONQUE 306 SUPÉRIEUR 306 CNUM 306 VAR 307 VARA 308 VAR.P 308 VARPA 309 VDB 310 CONSV 311 LUNDI À VENDREDI 311 ANNÉE Index 312Préface 16 Bienvenue dans le Guide de l’utilisateur de Numbers Ce document PDF en couleur fournit des instructions complètes relatives à l’utilisation de Numbers. Avant de l’utiliser, vous pouvez consulter le guide d’initiation Numbers guide d’initiation dans le manuel Premiers contacts avec iWork ’08. Ce document vous permettra d’utiliser rapidement Numbers. Le manuel Premiers contacts avec iWork ’08 fournit également des ressources supplémentaires pour vous familiariser avec Numbers, comme par exemple une visite guidée des fonctions et des vidéos sur son utilisation. Si vous avez besoin d’instructions détaillées pour vous aider à effectuer certaines tâches particulières, vous les trouverez dans ce guide de l’utilisateur. La plupart des tâches décrites dans ce guide figurent également dans l’aide en ligne.Préface Bienvenue dans le Guide de l’utilisateur de Numbers 17 Le tableau ci-dessous vous indique où trouver les informations à l’intérieur de ce guide. L’Aide Numbers permet de trouver les informations requises en naviguant ou en effectuant une recherche. Pour obtenir des informations sur Reportez-vous au L’utilisation des outils et des fenêtres de Numbers pour créer et mettre en forme des feuilles de calcul chapitre 1, « Techniques et outils de Numbers » à la page 18 La création et l’enregistrement de feuilles de calcul Numbers, ainsi que la gestion des feuilles et des pages chapitre 2, « Utilisation d’une feuille de calcul Numbers » à la page 31 La création, l’organisation et la mise en forme des tableaux et des valeurs qu’ils contiennent chapitre 3, « Utilisation de tableaux » à la page 46 L’utilisation de styles pour modifier l’apparence de tableaux chapitre 4, « Utilisation des styles de tableaux » à la page 87 L’utilisation de formules et de fonctions pour effectuer des calculs dans les cellules chapitre 5, « Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux » à la page 91 La création de graphiques pour afficher graphiquement des données numériques dans un ou plusieurs tableaux chapitre 6, « Utilisation des graphiques » à la page 108 La mise en forme du texte dans une feuille de calcul Numbers chapitre 7, « Utilisation de texte » à la page 133 L’utilisation de graphiques, de figures, de son et d’autres élé- ments pour mettre en valeur une feuille de calcul chapitre 8, « Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets » à la page 166 L’affichage de données tirées du Carnet d’adresses dans des tableaux chapitre 9, « Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un tableau » à la page 198 L’impression et l’exportation de feuilles de calcul et de leur envoi à iWeb chapitre 10, « Partage de votre feuille de calcul Numbers » à la page 203 La création de modèles Numbers personnalisés chapitre 11, « Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers » à la page 208 L’utilisation de fonctions données dans les cellules d’un tableau chapitre 12, « Dictionnaire des fonctions » à la page 2141 18 1 Techniques et outils de Numbers Ce chapitre présente les fenêtres et outils qui permettent de manipuler des feuilles de calcul Numbers. Pour créer une feuille de calcul Numbers, vous devez tout d’abord sélectionner un modèle qui vous servira de point de départ. Modèles de feuilles de calcul Lorsque vous ouvrez l’application Numbers pour la première fois (en cliquant sur son icône dans le Dock ou en double-cliquant sur son icône dans le Finder), la fenêtre du sélecteur de modèles vous propose divers types de feuille de calcul.Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers 19 Sélectionnez le modèle qui correspond le mieux à vos besoins. Si vous souhaitez commencer avec une feuille de calcul vierge, sélectionnez le modèle Vierge. Après avoir sélectionné un modèle, cliquez sur Choisir pour travailler sur une nouvelle feuille de calcul s’appuyant sur ce modèle. Les modèles contiennent des feuilles et des tableaux prédéfinis, ainsi que d’autres éléments pour vous permettre de démarrer rapidement. Les feuilles servent à diviser des informations en groupes d’objets connexes. Par exemple, vous pouvez utiliser une feuille pour les données de 2006 et une autre pour celles de 2007. Les tableaux prédéfinis contiennent généralement du texte, des formules et des données exemple. Vous pouvez remplacer les données des tableaux prédéfinis par vos propres données et ajouter des colonnes et des rangées ou changer la mise en forme de ces tableaux. Vous pouvez également ajouter des feuilles et d’autres objets, tels que des graphiques, des images et du texte. Certains modèles comportent des commentaires explicatifs.20 Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers La fenêtre Numbers La fenêtre Numbers comporte des éléments qui permettent de développer et d’organiser votre feuille de calcul.  Ajoutez rapidement une nouvelle feuille en cliquant sur le bouton Feuille dans la barre d’outils. Après avoir ajouté des tableaux, des graphiques et divers objets à une feuille, y compris des graphiques importés, des séquences et du son, vous pouvez faire glisser des objets dans le canevas Numbers pour les repositionner.  Utilisez la sous-fenêtre Feuilles pour afficher la liste de tableaux et de graphiques de n’importe quelle feuille. Visualisez les résultats des calculs pour les valeurs dans les cellules sélectionnées et faites glisser les calculs dans les cellules. Le canevas de la feuille : créez et modifiez des tableaux, des graphiques et autres objets d’une feuille. La sous-fenêtre Feuilles : aperçu des tableaux et des graphiques placés sur les feuilles de votre feuille de calcul. La sous-fenêtre Styles : sélectionnez un style de tableau prédéfini pour mettre en forme rapidement un tableau. La barre Format : mettez rapidement en forme l’objet sélectionné. La barre d’outils : personnalisez-la de façon à y inclure les outils que vous utilisez le plus souvent. La barre Formule : créez et modifiez des formules dans les cellules.Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers 21  Appliquez des styles de tableau prédéfinis répertoriés dans la sous-fenêtre Styles pour modifier l’apparence d’un tableau sélectionné.  Utilisez la zone dans l’angle inférieur gauche pour effectuer des calculs instantanés sur des valeurs dans des cellules de tableau sélectionnées.  Utilisez les boutons de la barre d’outils pour ajouter rapidement tableaux, graphiques, zones de texte, fichiers mutimédia et autres objets. Par exemple, cliquez sur le bouton Tableaux dans la barre d’outils pour ajouter un nouveau tableau déjà mis en forme en fonction du modèle que vous utilisez. Tous les modèles contiennent plusieurs tableaux déjà mis en forme à votre disposition. Reportez-vous à la rubrique « La barre d’outils » à la page 24 pour en savoir plus sur la personnalisation de la barre d’outils par l’insertion des outils dont vous vous servez souvent.  Utilisez la barre Format pour mettre en forme rapidement un objet sélectionné.  Utilisez la barre Formule pour ajouter et modifier des formules dans des cellules d’un tableau. Aides pour la visualisation de feuilles de calcul Lorsque vous travaillez sur une feuille de calcul, il peut être utile d’effectuer un zoom avant ou arrière ou d’utiliser d’autres techniques d’affichage afin de mieux voir ce que vous faites. Zoom avant et zoom arrière Vous pouvez agrandir (zoom avant) ou réduire (zoom arrière) l’affichage d’une feuille de calcul. Il existe plusieurs façons d’effectuer un zoom avant ou un zoom arrière sur une feuille : m Sélectionnez Afficher > Zoom > niveau de zoom. m Choisissez un niveau d’agrandissement dans le menu local situé dans l’angle inférieur gauche du canevas. Lorsque vous affichez une feuille en vue avant impression, réduisez le zoom pour afficher simultanément plus de pages dans la fenêtre.22 Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers La sous-fenêtre Feuilles La sous-fenêtre Feuilles se trouve le long de l’angle supérieur gauche du canevas Numbers. Elle permet de visualiser et d’accéder rapidement aux tableaux et graphiques d’une feuille. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de feuilles pour organiser une feuille de calcul » à la page 37 pour plus d’informations. Cliquez ici pour afficher ou masquer les tableaux et les graphiques d’une feuille. Sélectionnez un tableau ou un graphique de la liste pour l’afficher dans la fenêtre. Cliquez ici pour ajouter une nouvelle feuille.Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers 23 Vue avant impression Lorsque vous souhaitez imprimer une feuille ou créer une version PDF de celle-ci, vous pouvez utiliser le mode Impression pour afficher sur plusieurs pages la disposition des objets d’une feuille. Voir « Division d’une feuille en pages » à la page 41 pour en savoir plus sur le mode Impression Guides d’alignement Lorsque vous déplacez des objets à l’intérieur d’une feuille de calcul, des guides d’alignement apparaissent automatiquement pour vous aider à positionner ces objets sur la page. Pour en savoir plus sur l’utilisation des guides d’alignement, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des guides d’alignement » à la page 169. Cliquez ici pour afficher ou masquer l’affichage Imprimer. Actionnez le curseur pour réduire ou agrandir tous les objets de la feuille. Zone de bas de page Zone d’en-tête Cliquez ici pour choisir un niveau de zoom sur les pages et afficher ainsi plus ou moins de pages à la fois. Cliquez ici pour afficher les pages en mode portrait (dans le sens de la hauteur). Cliquez ici pour afficher les pages en mode paysage (dans le sens de la longueur).24 Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers Sous-fenêtre Styles La sous-fenêtre Styles permet d’appliquer une mise en forme prédéfinie à des tableaux d’une feuille de calcul. Les styles de tableau définissent des attributs tels que la couleur, la taille du texte et la mise en forme de bordure applicables à des cellules d’un tableau. Pour appliquer un style de tableau, sélectionnez simplement le tableau et cliquez sur un style dans la sous-fenêtre Styles. Passez d’un tableau à un autre en un seul clic de souris. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de styles applicables aux tableaux » à la page 87 pour en savoir plus. La barre d’outils La barre d’outils Numbers permet d’effectuer en un seul clic un grand nombre de chacune des actions courantes lorsque vous travaillez dans Numbers. À mesure que vous découvrez quelles fonctionnalités vous utilisez le plus souvent, vous pouvez ajouter, supprimer et réorganiser les boutons de la barre d’outils afin de les adapter à votre façon de travailler. Pour savoir à quoi sert un bouton, placez le pointeur sur celui-ci.Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers 25 Le jeu par défaut de boutons de barre d’outils est illustré ci-dessous. Pour personnaliser la barre d’outils : 1 Choisissez Afficher > Personnaliser la barre d’outils. La feuille Personnaliser la barre d’outils apparaît. 2 Apportez les modifications souhaitées à la barre d’outils. Pour ajouter un élément à la barre d’outils, faites glisser son icône sur la barre d’outils qui se trouve en haut. Si vous reconfigurez fréquemment la barre d’outils, vous pouvez lui ajouter le bouton Personnaliser. Pour supprimer un élément de la barre d’outils, faites-le glisser hors de celle-ci. Pour restaurer le jeu de boutons par défaut, faites-le glisser sur la barre. Pour réduire la taille des icônes de la barre d’outils, sélectionnez Utiliser petites icônes. Pour afficher uniquement les icônes ou uniquement le texte, choisissez l’option correspondante dans le menu local Afficher. Pour réorganiser les éléments de la barre d’outils, faites-les glisser. 3 Cliquez sur Terminé lorsque vous avez fini. Il est possible d’effectuer certains types de personnalisation de la barre d’outils sans utiliser la feuille Personnaliser la barre d’outils :  Pour supprimer un élément de la barre d’outils, maintenez enfoncée la touche Commande tout en faisant glisser l’élément hors de la barre d’outils. Vous pouvez aussi cliquer sur l’élément tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisir Supprimer l’élément dans le menu contextuel.  Pour déplacer un élément, maintenez enfoncée la touche Commande tout en faisant glisser l’élément sur la barre d’outils. Pour afficher ou masquer la barre d’outils, choisissez Présentation > Afficher la barre d’outils, ou Présentation > Masquer la barre d’outils. Ajoutez une feuille. Ajoutez un tableau. Ajoutez une formule. Ajoutez un graphique, une zone de texte, une figure ou un commentaire. Triez et filtrez des rangées. Affichez ou masquez le mode Impression, des commentaires, Ouvrez la fenêtre de l’Inspecteur, le navigateur de média, la fenêtre Couleurs et le panneau Police.26 Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers La barre Format Utilisez la barre Format qui est affichée sous la barre d’outils pour modifier rapidement l’apparence des tableaux, des graphiques, du texte et autres éléments de votre feuille de calcul. Les commandes de la barre des formats changent en fonction de l’objet sélectionné. Pour savoir à quoi sert un contrôle de la barre Format, placez le pointeur sur celui-ci et une description de sa fonction apparaîtra. Voici à quoi ressemble la barre Format lorsque l’élément sélectionné est un tableau. Pour afficher et masquer la barre des formats : m Choisissez Présentation > Afficher la barre des formats, ou Présentation > Masquer la barre des formats. La fenêtre Inspecteur La plupart des éléments de votre feuille de calcul peuvent être mis en forme à l’aide des inspecteurs de Numbers. Chaque inspecteur concerne un aspect différent de la mise en forme. Par exemple, l’Inspecteur des cellules permet de mettre en forme des cellules et leurs valeurs. Placez le pointeur sur les boutons et autres contrôles des sous-fenêtres d’un inspecteur pour faire apparaître une description de leur fonction. Trier le texte à l’intérieur des cellules du tableau. Mettre en forme les bordures de cellule. Ajouter une couleur d’arrière-plan à une cellule. Mettre en forme les valeurs de cellule. Gérer les en-têtes et les bas de page. Afficher ou masquer le nom du tableau. Mettre en forme le texte à l’intérieur des cellules du tableau Les boutons en haut de la fenêtre Inspecteur ouvrent chacun des dix Inspecteurs : Document, Feuille, Tableau, Cellules, Graphismes, Mesures, Texte, Graphique, Lien et QuickTime.Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers 27 L’ouverture de plusieurs fenêtres d’inspecteurs simplifie la manipulation de votre feuille de calcul. Par exemple, si vous ouvrez l’Inspecteur des graphismes et l’Inspecteur des cellules, vous accédez ainsi à des options de mise en forme des images et de cellules. Voici différentes façons d’ouvrir une fenêtre Inspecteur : m Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur. m Choisissez Présentation > Afficher l’Inspecteur. m Pour ouvrir une autre fenêtre Inspecteur, appuyez sur la touche Option et maintenez-la enfoncée, puis cliquez sur un bouton Inspecteur. Après l’ouverture de la fenêtre Inspecteur, cliquez sur l’un des boutons en haut de la fenêtre pour afficher un autre inspecteur. Par exemple, si vous cliquez sur le deuxième bouton en partant de la gauche, l’Inspecteur des feuilles s’affiche. Outils de formule Ajoutez une formule à un tableau quand vous souhaitez afficher une valeur calculée dans une cellule. Numbers possède plusieurs outils pour la manipulation de formules insérées dans des cellules d’un tableau :  L’Éditeur de formules permet de créer et de modifier des formules. Ouvrez l’Éditeur de formules en sélectionnant une cellule d’un tableau et en tapant le signe égal (=). Vous pouvez également l’ouvrir en choisissant Éditeur de formules dans le menu local Fonction de la barre d’outils. Pour en savoir plus sur cet éditeur, consultez la rubrique « Utilisation de l’Éditeur de formules » à la page 97.  La barre des formules, toujours visible sous la barre des formats, permet également de créer et de modifier des formules. Pour déplacer l’Éditeur de formules, cliquez ici et faites-le glisser. Champ de texte Afficher ou modifier une formule. Bouton Annuler Annuler les modifications. Bouton Accepter Enregistrer les modifications. Champ de texte Afficher ou modifier une formule. Bouton Annuler Annuler les modifications. Bouton Accepter Enregistrer les modifications. Cliquer pour ouvrir le navigateur de fonctions.28 Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers Les instructions pour l’ajout et la modification de formules à l’aide de cet outil sont décrites dans la rubrique « Utilisation de la barre des formules » à la page 98.  L’utilisation du navigateur de fonctions est le moyen le plus rapide d’ajouter une fonction. Une fonction est une formule prédéfinie possédant un nom (comme SOMME et MOYENNE). Pour ouvrir le navigateur de fonctions, cliquez sur le bouton du navigateur de fonctions dans la barre des formules. La rubrique « Utilisation des fonctions » à la page 106 explique comment utiliser le navigateur de fonctions. Le Navigateur de média Le Navigateur de média permet d’accéder à tous les fichiers multimédias de votre photothèque iPhoto, de votre bibliothèque iTunes et de votre dossier Séquences. Vous pouvez faire glisser un élément du navigateur de média sur votre feuille de calcul ou dans le cadre d’image d’un inspecteur. Vous pouvez ouvrir le navigateur de média de plusieurs façons : m Cliquez sur Média dans la barre d’outils. m Choisissez Présentation > Afficher le navigateur de média. Cliquer pour ouvrir le navigateur de fonctions.Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers 29 La fenêtre Couleurs Le cadre Couleurs de Mac OS X permet de choisir la couleur du texte, des cellules d’un tableau, des bordures de cellules et d’autres objets. Bien que la barre des formats vous permette d’appliquer de nombreuses couleurs, la fenêtre Couleurs propose des options avancées de gestion des couleurs. Pour ouvrir la fenêtre Couleurs : m Dans la barre d’outils, cliquez sur Couleurs. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 179. Le panneau Police Vous pouvez modifier le style, la taille et d’autres options relatives aux polices à l’aide du panneau Police de Mac OS X, accessible depuis n’importe quelle application. Utilisez la barre des formats pour mettre rapidement en forme les polices, mais utilisez le panneau Police pour une mise en forme plus poussée. Pour ouvrir le panneau Police : m Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. Pour obtenir des informations plus détaillées sur l’utilisation du panneau Police et sur la modification de l’aspect du texte, reportez-vous à la rubrique « Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 137. La fenêtre Avertissements Lorsque vous importez un document dans Numbers ou exportez une feuille de calcul Numbers dans un autre format, il se peut que certains éléments ne soient pas transfé- rés comme prévu. La fenêtre Avertissements du document répertorie tous les problè- mes rencontrés. Si des problèmes surviennent, un message s’affichera et vous permettra de passer en revue les avertissements. Si vous choisissez de ne pas passer en revue ces avertissements, vous avez la possibilité de consulter la fenêtre Avertissements à tout moment en sélectionnant Présentation > Afficher les avertissements du document. Si un message d’avertissement vous indique qu’une police est absente, vous pouvez cliquer dessus puis sur Remplacer la police pour choisir une police de remplacement. Vous pouvez copier plusieurs avertissements en les sélectionnant dans la fenêtre Avertissements du document et en choisissant Édition > Copier. Vous pouvez alors coller le texte copié dans un message électronique, dans un fichier texte ou dans une autre fenêtre.30 Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers Raccourcis clavier et menus contextuels Vous pouvez utiliser le clavier pour exécuter nombre des commandes et tâches des menus de Numbers. Pour afficher la liste complète des raccourcis clavier, ouvrez Numbers et choisissez Aide > Raccourcis clavier. La plupart des objets possèdent également des menus contextuels comprenant des commandes utilisables sur ces objets. Les menus contextuels sont particulièrement utiles pour travailler sur les tableaux et les graphiques. Pour ouvrir un menu contextuel : m Appuyez sur la touche Contrôle en cliquant sur un objet.2 31 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers Ce chapitre décrit comment gérer les feuilles de calcul Numbers. Pour créer une feuille de calcul Numbers, vous pouvez ouvrir Numbers et choisir un modèle. Vous pouvez aussi importer un document créé dans une autre application telle que Microsoft Excel ou AppleWorks 6. Ce chapitre vous explique comment créer des feuilles de calcul Numbers et comment en ouvrir et en enregistrer. Ce chapitre reprend également les instructions pour l’utilisation des feuilles et la gestion de la disposition des versions imprimées ou PDF de feuilles Numbers. Création, ouverture et importation de feuilles de calcul Au moment de créer une feuille de calcul Numbers, choisissez un modèle pour lui donner sa mise en forme et son contenu de départ. Vous pouvez également créer une feuille de calcul Numbers en important un document créé dans une autre application, telle que Microsoft Excel ou AppleWorks. Création d’une feuille de calcul Pour créer une feuille de calcul Numbers, choisissez la mise en forme appropriée et les caractéristiques du contenu. Commencez à créer votre feuille de calcul à partir du modèle Vierge, ou bien sélectionnez un des nombreux modèles permettant entre autres de créer un plan financier, d’organiser une réunion, sans devoir faire tout le travail de conception. Parmi ces modèles, vous trouverez des tableaux, des graphiques prédéfinis, ainsi que des exemples de données qui vous permettront de commencer plus rapidement à travailler sur votre feuille de calcul.32 Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers Pour créer une feuille de calcul : 1 Ouvrez Numbers en cliquant sur son icône dans le Dock ou en double-cliquant sur son icône dans le Finder. Si Numbers est ouvert, sélectionnez Fichier > Nouveau dans le sélecteur de modèles. 2 Dans la fenêtre du sélecteur de modèles, sélectionnez une catégorie de modèles dans la colonne de gauche pour afficher les modèles correspondants, puis sélectionnez celui qui convient le mieux à la feuille de calcul que vous désirez créer. Si vous souhaitez commencer avec une feuille de calcul sans contenu prédéfini, sélectionnez Vierge. 3 Cliquez sur Choisir. Une nouvelle feuille de calcul s’ouvre à l’écran. Pour ouvrir un modèle vierge et ignorer la fenêtre du sélecteur de modèles lors de la création d’une feuille de calcul, sélectionnez « Ne plus afficher ce message ». Pour que le sélecteur de modèles réapparaisse lorsque vous créez une feuille de calcul, choisissez Numbers > Préférences, cliquez sur Général, puis sélectionnez « Pour les nouveaux documents : Afficher la zone de dialogue du sélecteur de modèles”. Vous pouvez également sélectionner Fichier > Nouveau dans le sélecteur de modèles. Vous pouvez également opter pour afficher un modèle particulier dans Numbers chaque fois que vous ouvrez Numbers ou créez une feuille de calcul. Choisissez Numbers > Préférences, cliquez sur Général, sélectionnez « Pour les nouveaux documents : utiliser le modèle : nom du modèle, puis cliquez sur Choisir. Sélectionnez le nom d’un modèle, puis cliquez sur Choisir.Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 33 Importation d’un document Vous pouvez créer une feuille de calcul Numbers en important un document élaboré dans Microsoft Excel ou AppleWorks 6. Numbers peut également importer des fichiers au format CSV (délimité par des virgules), au format délimité par des tabulations et au format OFX (Open Financial Exchange). À partir d’AppleWorks, vous pouvez importer uniquement des feuilles de calcul. Voici différentes manières d’importer un document : m Faites glisser le document sur l’icône de l’application Numbers. Une nouvelle feuille de calcul Numbers s’ouvre alors, affichant le contenu du document importé. m Choisissez Fichier > Ouvrir, sélectionnez le document, puis cliquez sur Ouvrir. m Vous pouvez importer rapidement des données du Carnet d’adresses pour créer des tableaux contenant des noms, des numéros de téléphone, des adresses et d’autres informations sur vos contacts. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des champs de Carnet d’adresses » à la page 198 pour en connaître les instructions. Si vous ne parvenez pas à importer un document, essayez de l’ouvrir dans une autre application et de l’enregistrer dans un format susceptible d’être lu par Numbers ou copiez et collez son contenu dans une feuille de calcul Numbers existante. Vous pouvez également exporter des feuilles de calcul Numbers en fichiers Microsoft Excel, PDF et CSV. Reportez-vous à la rubrique « Exportation vers d’autres formats de document » à la page 206 pour en savoir plus. Ouverture d’une feuille de calcul Il existe plusieurs manières d’ouvrir une feuille de calcul créée à l’aide de Numbers. Voici différentes manières d’ouvrir une feuille de calcul : m Pour ouvrir une feuille de calcul lorsque vous travaillez dans Numbers, choisissez Fichier > Ouvrir, sélectionnez la feuille de calcul, puis cliquez sur Ouvrir. m Pour ouvrir une feuille de calcul sur laquelle vous avez travaillé récemment, choisissez Fichier > Ouvrir un document récent, puis sélectionnez la feuille de calcul dans le sous-menu. m Pour ouvrir une feuille de calcul Numbers à partir du Finder, double-cliquez sur l’icône de la feuille de calcul ou faites-la glisser sur l’icône de l’application Numbers. Si un message vous indique qu’il manque une police ou un fichier, vous pouvez néanmoins toujours utiliser la feuille de calcul. Numbers permet de choisir des polices de remplacement pour les polices manquantes. Pour ajouter ces polices manquantes, quittez Numbers et ajoutez les polices qui se trouvent dans le dossier Polices (pour en savoir plus, consultez l’Aide Mac). Pour faire réapparaître les fichiers de séquence ou de son manquants, rajoutezles à la feuille de calcul.34 Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers Enregistrement de feuilles de calcul Lorsque vous créez une feuille de calcul Numbers, toutes les images sont enregistrées dans celle-ci pour qu’elles s’affichent correctement si la feuille de calcul est ouverte sur un autre ordinateur. Les polices ne sont cependant pas incluses dans le document. Si vous transférez une feuille de calcul Numbers à un autre ordinateur, assurez-vous que les polices qu’elle utilise ont été installées dans le dossier Polices de l’ordinateur de destination. Vous pouvez opter pour l’enregistrement des fichiers audio et de séquence dans une feuille de calcul Numbers. Dans le cas contraire, vous devrez aussi les transférer pour que la feuille de calcul s’affiche correctement sur un autre ordinateur. Enregistrement d’une feuille de calcul Il est judicieux d’enregistrer régulièrement la feuille de calcul pendant votre travail. Après son premier enregistrement, vous pouvez appuyer sur les touches Commande + S pour la réenregistrer en conservant les mêmes réglages. Pour enregistrer une feuille de calcul pour la première fois : 1 Choisissez Fichier > Enregistrer, ou appuyez sur Commande + S. 2 Dans le champ Enregistrer sous, saisissez le nom de la feuille de calcul. 3 Si le répertoire contenant vos fichiers n’est pas visible dans le menu local Où, cliquez sur le triangle d’affichage à droite du champ Enregistrer sous. 4 Choisissez l’emplacement où enregistrer la feuille de calcul. 5 Si une feuille de calcul doit être ouverte sur un autre ordinateur, cliquez sur Options avancées et définissez les options qui détermineront ce qui sera copié dans votre feuille de calcul. Copier l’audio et la vidéo dans le document : si vous cochez cette case, les fichiers audio et vidéo sont enregistrés avec la feuille de calcul, pour permettre la lecture des fichiers en cas d’ouverture de la feuille de calcul. Vous pouvez désactiver cette case afin de réduire la taille du fichier, mais dans ce cas les fichiers multimédias ne fonctionneront pas sur un autre ordinateur à moins que vous ne les transfériez également. Copier les images du modèle dans le document : si vous ne sélectionnez pas cette option et si vous ouvrez la feuille de calcul sur un ordinateur où Numbers n’est pas installé, l’apparence de la feuille peut être différente. 6 Cliquez sur Enregistrer. En général, vous pouvez enregistrer des feuilles de calcul Numbers uniquement sur les ordinateurs et serveurs fonctionnant sous Mac OS X. Numbers n’est pas compatible avec les ordinateurs Mac OS 9 et les serveurs Windows exécutant des services pour Macintosh. Si vous devez travailler sur un ordinateur Windows, essayez pour cela d’utiliser un logiciel de serveur AFP disponible pour Windows.Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 35 Si vous envisagez de partager la feuille de calcul avec des personnes dont l’ordinateur n’est pas équipé de Numbers, vous pouvez l’exporter afin de l’utiliser dans une autre application. Pour en savoir plus sur l’exportation de votre feuille de calcul dans d’autres formats de fichier, voir la rubrique « Exportation vers d’autres formats de document » à la page 206. Vous pouvez également envoyer une feuille de calcul à iWeb. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Envoi d’une feuille de calcul à iWeb » à la page 207. Annulation de modifications Si vous ne désirez pas enregistrer les modifications que vous avez effectuées dans la feuille de calcul depuis son ouverture ou depuis le dernier enregistrement, vous pouvez les annuler. Voici différentes manières d’annuler des modifications : m Pour annuler la toute dernière modification, choisissez Édition > Annuler. m Pour annuler plusieurs modifications, choisissez plusieurs fois de suite Édition > Annuler. Vous pouvez annuler toutes les modifications effectuées depuis l’ouverture de la feuille de calcul ou revenir à la dernière version enregistrée. m Pour réappliquer les modifications que vous avez annulées en utilisant Édition > Annuler, sélectionnez Édition > Rétablir autant de fois que vous le souhaitez. m Pour annuler toutes les modifications effectuées depuis le dernier enregistrement de votre feuille de calcul, choisissez Fichier > Revenir à la version enregistrée, puis cliquez sur Revenir. Enregistrement automatique d’une copie de sauvegarde d’une feuille de calcul Chaque fois que vous enregistrez une feuille de calcul, vous pouvez conserver une copie sans les modifications que vous avez effectuées depuis le dernier enregistrement du document. De cette façon, si vous changez d’avis, vous pouvez revenir à la copie de sauvegarde de la feuille de calcul. Voici différentes manières de créer et d’utiliser une version de sauvegarde : m Pour qu’une copie de sauvegarde s’effectue automatiquement pour une feuille de calcul, choisissez Numbers > Préférences, cliquez sur Général, puis sélectionnez « Créer une copie de sauvegarde de la version précédente à chaque enregistrement ». Lors de l’enregistrement suivant de votre feuille de calcul, une version de sauvegarde est alors créée au même emplacement, portant le préfixe de « copie de sauvegarde de » ajouté au nom du fichier d’origine. Une seule version (la dernière version enregistrée) est sauvegardée. Chaque fois que vous enregistrez la feuille de calcul, le fichier de sauvegarde est remplacé par un nouveau.36 Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers m Pour revenir à la dernière version enregistrée après avoir effectué des modifications sans les enregistrer, choisissez Fichier > Revenir à la version enregistrée. Les modifications de la feuille de calcul ouverte sont alors annulées. Enregistrement d’une feuille de calcul en tant que modèle Lorsque vous enregistrez une feuille de calcul en tant que modèle, il apparaît dans le sélecteur de modèles. Pour enregistrer une feuille de calcul en tant que modèle : m Choisissez Fichier > Enregistrer comme modèle. Reportez-vous à la rubrique « Conception d’un modèle » à la page 208 pour en savoir plus. Enregistrement de termes de recherche applicables à une feuille de calcul Vous pouvez stocker des informations telles que le nom de l’auteur et des mots-clés dans des feuilles Numbers, puis utiliser Spotlight pour localiser les feuilles de calcul contenant ces informations. Pour stocker des informations sur une feuille de calcul : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des documents. 2 Dans les champs de Spotlight , saisissez les informations (ou modifiez-les). Pour rechercher des feuilles de calcul contenant des informations Spotlight, cliquez sur l’icône de Spotlight dans l’angle supérieur droit de la barre des menus, puis saisissez les critères souhaités.Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 37 Enregistrement d’une copie d’une feuille de calcul Si vous souhaitez réaliser une copie de votre feuille de calcul (pour créer une copie de sauvegarde ou plusieurs versions, par exemple) vous pouvez enregistrer celle-ci sous un autre nom ou à un emplacement différent. (Vous pouvez également enregistrer automatiquement une version de sauvegarde, tel qu’il est décrit dans la rubrique « Enregistrement automatique d’une copie de sauvegarde d’une feuille de calcul ».) Pour enregistrer une copie d’une feuille de calcul : m Choisissez Fichier > Enregistrer sous, puis indiquez un nom et un emplacement. La feuille de calcul portant le nouveau nom reste ouverte. Pour travailler avec la version précédente, choisissez Fichier > Ouvrir document récent et choisissez la version précédente dans le sous-menu. Fermeture d’une feuille de calcul sans quitter Numbers Lorsque vous avez fini de travailler sur une feuille de calcul, vous pouvez la fermer sans quitter Numbers. Pour fermer la feuille de calcul active sans fermer l’application : m Sélectionnez Fichier > Fermer ou cliquez sur le bouton de fermeture dans le coin supérieur gauche de la fenêtre Numbers. Si vous avez effectué des modifications depuis le dernier enregistrement de votre feuille de calcul, Numbers vous invite à les enregistrer. Utilisation de feuilles pour organiser une feuille de calcul Comme les chapitres d’un livre, les feuilles permettent de diviser des informations en groupes plus gérables. Par exemple, vous pourriez être amené à placer des graphiques dans la même feuille que les tableaux dont ils affichent les valeurs. Vous pouvez également placer tous les tableaux dans une feuille et tous les graphiques dans une autre. Une feuille peut enfin vous servir à conserver les contacts professionnels et une autre serait réservée aux proches. 38 Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers Les feuilles d’un classeur, les tableaux et les graphiques de chaque feuille sont repré- sentés dans la sous-fenêtre Feuilles qui se trouve à gauche du canevas au-dessus de la sous-fenêtre des styles. Seuls les tableaux et les graphiques sont répertoriés pour chaque page même si votre feuille de calcul contient du texte, des images et d’autres objets. Il se peut que l’ordre des tableaux et des graphiques figurant dans la sous-fenêtre Feuilles ne corresponde pas à celui de ces éléments dans la feuille de calcul, comme indiqué à la rubrique « Réorganisation de feuilles et de leur contenu » à la page 39. Visualisation de feuilles La sous-fenêtre Feuilles dans la partie gauche de la fenêtre Numbers dresse la liste des feuilles de la feuille de calcul et celle des tableaux et des graphiques de chaque feuille. Il existe plusieurs manières d’afficher les tableaux et les graphiques d’une feuille : m Pour afficher ou masquer tous les tableaux et graphiques d’une feuille dans la sousfenêtre Feuilles, cliquez sur le triangle en regard de la feuille dans la sous-fenêtre. m Pour afficher le contenu d’une feuille, cliquez sur cette feuille dans la sous-fenêtre Feuilles. Lorsque vous travaillez sur un tableau ou un graphique d’une feuille de calcul, le tableau ou le graphique apparaît en surbrillance dans la sous-fenêtre Feuilles. Cliquez sur cette icône pour afficher ou masquer les tableaux et les graphiques d’une feuille. Cliquez ici pour ajouter une nouvelle feuille.Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 39 Ajout et suppression de feuilles Il existe plusieurs manières d’ajouter et de supprimer des feuilles. Il existe différentes manières de créer et de supprimer des feuilles : m Pour ajouter une nouvelle feuille, cliquez sur le bouton Feuille dans la barre d’outils. Vous pouvez également choisir Insérer > Feuille. Une nouvelle feuille contenant un tableau prédéfini est ajouté dans le bas de la sous-fenê- tre Feuilles. Vous pouvez déplacer la feuille en la faisant glisser sur son nouvel emplacement dans la sous-fenêtre Feuilles. m Pour ajouter une feuille correspondant à la copie d’une feuille du document, sélectionnez la feuille à copier, choisissez Édition > Copier, sélectionnez la feuille après laquelle vous souhaitez insérer la copie, puis choisissez Édition > Coller. m Pour supprimer une feuille et son contenu, sélectionnez-la dans la sous-fenêtre Feuilles et appuyez sur la touche Supprimer. Lorsque vous ajoutez une feuille, Numbers lui attribue un nom par défaut, mais vous pouvez modifier ce nom comme décrit à la rubrique « Renommer des feuilles » à la page 40. Réorganisation de feuilles et de leur contenu Dans la sous-fenêtre Feuilles, vous pouvez déplacer des feuilles et réorganiser leurs tableaux et graphiques. Vous pouvez également déplacer des tableaux et des graphiques d’une feuille à une autre. La réorganisation de tableaux et de graphiques dans la sous-fenêtre Feuilles n’affecte en rien leur emplacement dans une feuille. Dans une feuille de la sous-fenêtre Feuilles, par exemple, vous pouvez placer des graphiques en regard de tableaux dont ils sont dérivés ou ranger les tableaux dans l’ordre où vous souhaitez les traiter. À l’intérieur de la feuille même cependant, il peut s’avérer plus judicieux de présenter ces objets dans un ordre différent (par exemple, lorsque vous disposez votre feuille de calcul en vue de son impression).40 Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers Il existe plusieurs moyens de réorganiser des feuilles dans la sous-fenêtre Feuilles : m Pour déplacer une feuille, sélectionnez-la et faites-la glisser dans la sous-fenêtre. Les feuilles se déplacent alors afin de laisser de la place à votre insertion à mesure que vous faites glisser la souris. Vous pouvez également sélectionner plusieurs feuilles et les déplacer en tant que groupe. m Pour copier (ou couper) et coller des feuilles, sélectionnez-les, choisissez Édition > Couper ou Édition > Copier, sélectionnez la feuille après laquelle vous souhaitez placer les feuilles, puis choisissez Édition > Coller. m Pour déplacer des tableaux et des graphiques associés à une feuille, sélectionnez-les et faites-les glisser dans la feuille active ou vers une autre feuille. Vous pouvez également utiliser les actions couper/coller ou copier/coller pour déplacer des tableaux et des graphiques dans la sous-fenêtre. Pour déplacer un objet dans une feuille d’une feuille de calcul, sélectionnez-le et faitesle glisser ou effectuez un couper/coller ou un copier/coller. Pour placer des objets sur des pages spécifiques, suivez les instructions de la rubrique « Division d’une feuille en pages » à la page 41. Renommer des feuilles Les feuilles se distinguent les unes des autres par leur nom qui figurent dans la sousfenêtre Feuilles. Un nom est attribué par défaut à chaque feuille que vous ajoutez mais vous pouvez le remplacer par un nom plus évocateur. Il existe plusieurs façons de renommer une feuille : m Dans la sous-fenêtre Feuilles, double-cliquez sur le nom pour le modifier. m Dans l’inspecteur des feuilles, modifiez le nom au niveau du champ Nom. Vous pouvez également modifier les noms des tableaux et des graphiques d’une feuille. Pour obtenir des instructions, reportez-vous aux rubriques « Attribution d’un nom à un tableau » à la page 51 et « Utilisation d’un titre de graphique » à la page 118.Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 41 Division d’une feuille en pages En vue avant impression, vous pouvez afficher une feuille sous forme de pages individuelles, déplacer et redimensionner des objets jusqu’à obtenir la disposition souhaitée pour la version imprimée ou au format PDF de la feuille. Vous pouvez également ajouter des en-têtes, des bas de page, des numéros de page, entre autres. Il existe différentes manières d’afficher ou de masquer le mode Impression : m Dans la barre d’outils, cliquez sur Présentation, puis choisissez d’afficher ou de masquer la vue avant impression. m Sélectionnez Fichier > Afficher la vue avant impression, Présentation > Afficher la vue avant impression ou Présentation > Masquer la vue avant impression.. m Cliquez sur l’icône représentant une page à côté de la commande de zoom sur les pages, dans l’angle inférieur gauche du canevas. Cliquez ici pour afficher ou masquer l’affichage Imprimer. Actionner le curseur pour réduire ou agrandir tous les objets de la feuille. Zone de bas de page Zone d’en-tête Cliquez ici pour choisir un niveau de zoom sur les pages et afficher ainsi plus ou moins de pages à la fois. Cliquez ici pour afficher les pages en mode portrait (dans le sens de la hauteur). Cliquez ici pour afficher les pages en mode paysage (dans le sens de la longueur).42 Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers En mode Impression, le niveau de zoom que vous choisissez dans le menu local de la partie inférieure gauche détermine le nombre de pages visibles simultanément dans la fenêtre. Vous devez configurer les attributs des pages, tels que l’orientation et les marges des pages, séparément pour chaque feuille, à l’aide de l’Inspecteur des feuilles. Définition du format de page d’une feuille de calcul Avant de travailler en mode Impression, définissez la taille des pages correspondant au format de papier utilisé. Pour définir le format de page : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des documents. 2 Choisissez un format de page dans le menu local Taille du papier. Utilisation d’en-têtes et de bas de page Vous pouvez afficher le même texte sur plusieurs pages d’une feuille. Les informations récurrentes qui apparaissent en haut de la page sont appelées en-tête, et celles du bas, bas de page. Vous pouvez placer votre texte dans un en-tête ou un bas de page, et utiliser des champs de texte mis en forme. Les champs de texte formatés vous permettent d’insérer un texte qui sera automatiquement mis à jour. Par exemple, l’insertion du champ de la date affiche la date en cours chaque fois que vous ouvrez la feuille de calcul. De même, le champ des numéros de page s’actualise lorsque vous ajoutez ou supprimez des pages. Attribuer un nom à la feuille. Réduire ou agrandir tous les objets de la feuille. Définir l’orientation des pages et l’ordre de pagination. Définir les marges de la page. Indiquer le numéro de page de départ de la feuille.Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 43 Pour définir le contenu d’un en-tête ou d’un bas de page : 1 Dans la barre d’outils, cliquez sur Présentation, puis choisissez Affichage impression. 2 Pour afficher les en-têtes et les bas de page, placez le pointeur en haut ou en bas de la page. Vous pouvez aussi cliquer sur Présentation dans la barre d’outils, puis sélectionner Afficher la disposition. 3 Pour ajouter du texte dans un en-tête ou un bas de page, placez le point d’insertion dans l’en-tête ou le bas de page et insérez le texte. 4 Pour ajouter des numéros de page ou autres valeurs modifiables, reportez-vous à la rubrique « Insertion de numéros de page et d’autres valeurs variables » à la page 161. Organisation d’objets sur la page Redimensionnez des objets, déplacez-les dans une page ou d’une page à une autre ou affichez les longs tableaux sur plusieurs pages en mode Impression. Pour passer en mode Impression, cliquez sur Présentation, puis sélectionnez Affichage impression. Il existe différentes manières de disposer des objets sur les pages d’une feuille sélectionnée : m Pour ajuster la taille des objets de la feuille de façon à modifier le nombre de pages occupé, utilisez les commandes Echelle du contenu de l’Inspecteur des feuilles. Vous pouvez également faire glisser le curseur Echelle du contenu en bas à gauche du canevas pour redimensionner tous les éléments d’une feuille. m Pour redimensionner des objets individuellement, sélectionnez-les et faites glisser leurs poignées de sélection ou modifiez les valeurs du champ Taille dans l’Inspecteur des mesures. Pour redimensionner un tableau, reportez-vous à la rubrique « Redimensionnement d’un tableau » à la page 50. Pour redimensionner un graphique, reportez-vous à la rubrique « Redimensionnement d’un graphique » à la page 119. Pour redimensionner d’autres objets, reportez-vous à la rubrique « Redimensionnement des objets » à la page 171. m Sélectionnez « Répéter les en-têtes sur chaque page » de l’Inspecteur des tableaux pour configurer les rangs et les colonnes d’en-tête de façon qu’elles apparaissent sur chaque page si un tableau occupe plusieurs pages. Vous pouvez également sélectionner Tableau > Répéter les rangées d’en-tête ou Tableau > Répéter les colonnes d’en-tête.44 Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers Pour ne pas afficher les rangs ou les colonnes d’en-tête lorsqu’un tableau s’étend sur plusieurs pages, désactivez « Répéter les en-têtes sur chaque page » dans l’Inspecteur des tableaux, ou bien sélectionnez soit Tableau > Ne pas répéter les rangées d’en-tête, soit Tableau > Ne pas répéter la colonne d’en-tête. m Déplacez les objets de page en page en les faisant glisser ou par action de couper/coller. Réglage de l’orientation de la page Vous pouvez disposer les pages d’une feuille dans le sens de la hauteur (orientation portrait) ou dans le sens de la largeur (orientation paysage). Pour régler l’orientation de page d’une feuille : 1 Dans la barre d’outils, cliquez sur Présentation, puis choisissez Affichage impression. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des feuilles, puis cliquez sur le bouton d’orientation de page approprié dans la zone « Disposition de la page » de la sous-fenêtre. Vous pouvez également cliquer sur le bouton d’orientation de page situé en bas et à gauche du canevas. Réglage de l’ordre de pagination Vous pouvez ordonner les pages affichées en mode Page de gauche à droite ou du haut en bas lors de leur impression ou de la création d’un PDF. Pour régler l’ordre de pagination : m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des feuilles, puis cliquez sur le bouton d’orientation de page approprié (du haut vers le bas ou de gauche à droite) dans la zone « Disposition de la page » de la sous-fenêtre. Numérotation de pages Vous pouvez afficher le numéro des pages dans l’en-tête ou le bas de page. Pour numéroter les pages d’une feuille : 1 Sélectionnez la feuille. 2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Présentation, puis choisissez Affichage impression. 3 Dans la barre d’outils, cliquez sur Présentation, puis choisissez Afficher la disposition pour afficher les en-têtes et les bas de page. Pour afficher les en-têtes et les bas de page, placez le pointeur en haut ou en bas de la page. 4 Cliquez sur le premier en-tête ou bas de page pour ajouter un numéro de page d’après les instructions fournies à la rubrique « Insertion de numéros de page et d’autres valeurs variables » à la page 161.Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 45 5 Dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur, sur le bouton Inspecteur des feuilles, puis indiquez le numéro de départ de la page. Pour poursuivre la numérotation des pages à partir de la feuille sélectionnée précédemment, sélectionnez « Continuer à partir de la feuille précédente ». Pour lancer la numérotation des pages de la feuille à partir d’un numéro en particulier, utilisez le champ Démarrer à. Réglage des marges de la page En mode impression, chaque page de la feuille possède des marges (espace vierge entre le bord de la feuille et les bords du papier). Ces marges sont indiquées à l’écran par des lignes gris clair, visibles en présentation Disposition. Pour régler les marges de page d’une feuille : 1 Sélectionnez la feuille dans la sous-fenêtre Feuille. 2 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et sélectionnez « Afficher la vue avant impression » et Afficher la disposition. 3 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des feuilles. 4 Pour régler la distance entre les marges de disposition et les bordures gauche, droite, supérieure et inférieure d’une page, entrez des valeurs dans les champs Gauche, Droite, Haut et Bas. 5 Pour régler la distance entre un en-tête ou un bas de page et respectivement le bord supérieur ou le bord inférieur de la page, saisissez des valeurs dans les champs En-tête et Bas de page. Pour imprimer la feuille de calcul en utilisant la zone la plus grande possible, sélectionnez Utiliser les marges de l’imprimante. Tous les paramètres de marges spécifiés dans l’Inspecteur des feuilles seront ignorés lors de l’impression.3 46 3 Utilisation de tableaux Ce chapitre vous explique comment ajouter et mettre en forme des tableaux et des valeurs de cellule. D’autres chapitres contiennent des instructions qui se focalisent sur des aspects spécifiques des tableaux :  Pour savoir comment utiliser des styles pour mettre en forme des tableaux, reportez-vous au chapitre 4, « Utilisation des styles de tableaux » à la page 87.  Pour apprendre à utiliser des formules dans les cellules d’un tableau, reportez-vous au chapitre 5, « Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux » à la page 91.  Pour savoir comment afficher les valeurs d’un tableau dans un graphique, reportez-vous au chapitre 6, « Utilisation des graphiques » à la page 108. À propos des tableaux Les tableaux vous aident à organiser, analyser et présenter des données. Numbers offre un large éventail d’options permettant de créer et de mettre en forme des tableaux et de gérer des valeurs de différents types. Vous pouvez également utiliser des opérations spéciales telles que le tri ou le formatage conditionnel (technique permettant de contrôler automatiquement les valeurs d’une cellule).  La rubrique « Utilisation de tableaux » à la page 47 vous apprend à ajouter des tableaux, à les redimensionner, à les déplacer, à les nommer, etc.  La rubrique « Sélection de tableaux et de leurs composants » à la page 54 décrit comment sélectionner des tableaux, des colonnes et d’autres éléments de tableaux afin de travailler avec.  La rubrique « Utilisation du contenu des cellules d’un tableau » à la page 58 vous indique comment ajouter du texte, des chiffres, des dates, des images et tout autre contenu dans les cellules d’un tableau et vous explique comment contrôler automatiquement les valeurs d’une cellule.  La rubrique « Utilisation des rangs et des colonnes » à la page 75 traite de l’ajout de rangs et de colonnes, de leur redimensionnement, etc.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 47  La rubrique « Utilisation des cellules d’un tableau » à la page 81 contient des instructions relatives à la division, à la fusion, à la copie et au déplacement des cellules et vous indique comment mettre en forme les bordures des cellules.  La rubrique « Réorganisation des tableaux » à la page 84 décrit le tri et le filtrage des rangs. Utilisation de tableaux Vous disposez d’une grande variété de techniques permettant de créer des tableaux et d’en gérer les caractéristiques, la taille et l’emplacement. Ajout d’un tableau Même si la plupart des modèles contient un ou plusieurs tableaux prédéfinis, vous pouvez ajouter des tableaux à une feuille de calcul Numbers. Il existe plusieurs manières d’ajouter un tableau : m Cliquez sur Tableaux dans la barre d’outils et choisissez un tableau prédéfini dans le menu local. Vous pouvez ajouter vos propres tableaux prédéfinis au menu local. Reportez-vous à la rubrique « Définition de tableaux réutilisables » à la page 52 pour en connaître les instructions. m Sélectionnez Insérer > Tableau > tableau. m Pour créer un tableau à partir d’une ou de plusieurs cellules adjacentes d’un tableau, sélectionnez la ou les cellules, cliquez sur la sélection et, tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé, faites glisser la sélection vers la feuille. Pour conserver les valeurs dans les cellules sélectionnées du tableau d’origine, maintenez la touche Option enfoncée tout en faisant glisser la sélection. Consultez la rubrique « Sélection de tableaux et de leurs composants » à la page 54 pour en savoir plus sur les techniques de sélection des cellules. m Pour créer un tableau à partir d’une colonne ou d’un rang entier tiré d’un tableau, cliquez sur l’onglet de référence associé au rang ou à la colonne et, tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, faites glisser le rang ou la colonne vers la feuille puis relâ- chez le bouton de la souris. Pour conserver les valeurs sélectionnées dans la colonne ou le rang du tableau d’origine, maintenez la touche Option enfoncée tout en faisant glisser la sélection. Utilisation des outils de tableau Vous pouvez mettre en forme un tableau et ses colonnes, rangées, cellules à l’aide de divers outils Numbers.48 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Il existe plusieurs manières de gérer les caractéristiques d’un tableau : m Sélectionnez un tableau et mettez-le rapidement en forme à l’aide de la barre des formats. m L’inspecteur des tableaux permet d’accéder à des contrôles propres aux tableaux, notamment les champs servant à définir avec précision la largeur des colonnes et la hauteur des rangs. Pour ouvrir l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils et cliquez ensuite sur le bouton Inspecteur des tableaux. m Servez-vous de l’inspecteur des cellules pour mettre en forme des valeurs. Par exemple, vous pouvez afficher un symbole de devise dans les cellules contenant des valeurs monétaires. Vous pouvez également définir des réglages de mise en forme conditionnelle. Par exemple, une cellule peut prendre la couleur rouge lorsque sa valeur excède un certain chiffre. Trier le texte à l’intérieur des cellules du tableau. Mettre en forme les bordures de cellule. Ajouter une couleur d’arrière-plan à une cellule Mettre en forme les valeurs de cellule. Gérer les en-têtes et les bas de page. Afficher ou masquer le nom du tableau. Mettre en forme le texte à l’intérieur des cellules du tableau Attribuer un nom au tableau. Ajouter un rang d’en-tête, une colonne d’en-tête et un rang de bas de page. Fusionner ou diviser des cellules sélectionnées. Ajuster la taille des rangs et des colonnes. Régler les attributs des étiquettes, des marques de graduation, etc. Ajouter une couleur ou une image à une cellule. Modifier le comportement des touches Retour et de tabulation. Reportez-vous à la rubrique « Sélection d’une cellule unique d’un tableau » à la page 54 pour en savoir plus. Contrôler la visibilité des cellules d’en-tête dans des tableaux à plusieurs pages.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 49 Pour ouvrir l’inspecteur des cellules, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils et sur le bouton Inspecteur des cellules. m Utilisez des styles de tableaux pour affiner rapidement l’apparence des tableaux et leur attribuer une cohérence visuelle. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de styles applicables aux tableaux » à la page 87 pour obtenir plus d’informations. m Utilisez les onglets de référence et les poignées qui s’affichent lorsque vous sélectionnez une cellule de tableau pour réorganiser rapidement un tableau, sélectionner toutes les cellules d’un rang ou d’une colonne, ajouter ou supprimer des rangs et des colonnes, etc. Des onglets de référence servent également à l’élaboration de formules (pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des références de cellules » à la page 100). m Utilisez l’inspecteur des graphismes pour créer des effets visuels, par exemple pour appliquer des ombres. Pour ouvrir l’Inspecteur des graphismes, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. Définir le format d’affichage de valeurs issues des cellules sélectionnées. Cocher la case pour renvoyer le texte à la ligne dans les cellules sélectionnées. Utiliser les couleurs pour faire ressortir les cellules contenant les valeurs qui dépendent de vos règles. Faire glisser la poignée Tableau pour déplacer Vous pouvez utiliser la lettre des onglets pour faire référence aux colonnes. Cliquer sur la poignée Colonne pour ajouter une colonne. La faire glisser pour ajouter plusieurs colonnes. Vous pouvez utiliser le numéro des onglets pour faire référence aux rangs. Faire glisser la poignée Colonne et Rang vers le bas pour ajouter des rangs. La faire glisser vers la droite pour ajouter des colonnes. Cliquer sur la poignée Rang pour ajouter un rang. La faire glisser pour en ajouter plusieurs.50 Chapitre 3 Utilisation de tableaux m Pour accéder au menu contextuel, sélectionnez un tableau ou une ou plusieurs cellule(s) puis cliquez à nouveau tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée. Vous pouvez également utiliser les menus locaux de la colonne et les onglets de référence des rangs. m Utilisez l’éditeur de formules et la barre de formules pour ajouter et modifier les formules. Pour en savoir plus, reportez-vous aux rubriques « Utilisation de l’Éditeur de formules » à la page 97 et « Utilisation de la barre des formules » à la page 98. m Utilisez le Navigateur de formules pour ajouter et modifier des fonctions. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des fonctions » à la page 106 pour en savoir plus. Redimensionnement d’un tableau Vous pouvez agrandir ou réduire la taille d’un tableau en faisant glisser l’une de ses poignées de sélection ou à l’aide de l’Inspecteur des mesures. Vous pouvez également modifier la taille d’un tableau en redimensionnant ses colonnes et ses rangs. Il existe plusieurs manières de redimensionner un tableau sélectionné : m Faites glisser l’une des poignées de sélection carrés qui s’affiche lorsque vous sélectionnez un tableau. Reportez-vous à la rubrique « Sélection d’un tableau » à la page 54 pour en connaître les instructions. Pour conserver les proportions du tableau, maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous redimensionnez le tableau. Pour redimensionner le tableau à partir de son centre, maintenez la touche Option enfoncée pendant que vous le faites glisser. Pour redimensionner un tableau dans une direction, faites-glisser une poignée latérale au lieu d’une poignée d’angle.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 51 m Pour redimensionner avec des dimensions exactes, sélectionnez un tableau ou une cellule, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des mesures. Cette sous-fenêtre vous permet de spécifier de nouvelles valeurs pour la largeur et la hauteur et de modifier l’espace entre le tableau et les marges à l’aide des champs Position. m Si le tableau s’étend sur plus d’une page, vous devez utiliser l’Inspecteur des mesures pour le redimensionner. Pour redimensionner un tableau en réglant les dimensions des rangs et des colonnes, reportez-vous à la rubrique « Redimensionnement de rangs et de colonnes » à la page 79. Déplacement de tableaux Vous pouvez déplacer un tableau en le faisant glisser, ou vous pouvez le changer d’emplacement à l’aide de l’Inspecteur des mesures. Il existe plusieurs manières de déplacer un tableau : m Si le tableau n’est pas sélectionné, cliquez sur le bord du tableau et maintenez enfoncée le bouton de la souris, puis faites glisser le tableau. Si le tableau est sélectionné, faites-le glisser en maintenant enfoncée la poignée dans la partie supérieure gauche. m Maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous faites glisser le tableau afin d’imposer un mouvement horizontal, vertical ou à 45 degrés. m Pour déplacer plus précisément un tableau, cliquez sur une cellule, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures, puis utilisez les champs Position pour déplacer le tableau. m Pour copier un tableau et déplacer la copie, maintenez la touche Option enfoncée, cliquez et maintenez le bouton de la souris enfoncé sur le bord du tableau non sélectionné et faites glisser. Attribution d’un nom à un tableau Le nom de chaque tableau dans Numbers s’affiche dans la sous-fenêtre Feuilles et peut également s’afficher au-dessus du tableau. Le nom du tableau par défaut (Tableau 1, Tableau 2, etc.) peut être modifié, masqué ou mis en forme. En revanche, vous ne pouvez pas le déplacer ou le redimensionner. Il existe plusieurs manières d’utiliser les noms de tableau : m Vous pouvez modifier le nom dans la sous-fenêtre Feuilles ou dans le champ Nom de l’inspecteur des tableaux. Deux tableaux sur une même feuille ne peuvent pas avoir le même nom. m Pour afficher le nom du tableau sur la feuille, sélectionnez Nom dans la barre des formats ou dans l’Inspecteur des tableaux. Pour masquer le nom du tableau sur la feuille, décochez Nom.52 Chapitre 3 Utilisation de tableaux m Pour mettre en forme le nom, vérifiez que le tableau n’est pas sélectionné, sélectionnez Nom dans la barre des formats ou dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur le nom du tableau pour sélectionner la zone du nom dans la feuille et utilisez la barre des formats, le panneau Police ou la sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur du texte. m Pour accroître l’espacement entre le nom du tableau et le corps du tableau, sélectionnez Nom dans l’inspecteur des tableaux, cliquez sur le nom et modifiez la valeur Après le paragraphe dans l’inspecteur du texte. Définition de tableaux réutilisables Vous pouvez ajouter vos propres tableaux au menu de tableaux prédéfinis qui s’affiche lorsque vous cliquez sur Tableaux dans la barre d’outils ou sur Insérer > Tableau. Les tableaux réutilisables présentent le style et la géométrie de votre choix et peuvent contenir du texte d’en-tête, des formules, etc.). Pour définir un tableau réutilisable : 1 Sélectionnez un tableau. 2 Définissez un style de tableau. Celui-ci détermine la mise en forme des bordures, de l’arrière-plan et du texte des cellules du tableau. Une façon de définir le style du tableau consiste à suivre les instructions de la rubrique « Modification du style d’un tableau » à la page 88. Vous pouvez également utiliser le style du tableau par défaut qui s’applique lorsque vous ajoutez un tableau à la feuille de calcul créée à partir du tableau réutilisable (pour en savoir plus sur le style du tableau par défaut, reportez-vous à la rubrique « Utilisation du style de tableau par défaut » à la page 89). L’étape 7 vous indique comment utiliser cette option. 3 Définissez la géométrie du tableau. Pour redimensionner le tableau, reportez-vous aux rubriques « Redimensionnement d’un tableau » à la page 50 et « Redimensionnement de rangs et de colonnes » à la page 79. Pour définir des colonnes et des rangs, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des rangs et des colonnes » à la page 75. Pour diviser, fusionner ou redimensionner des cellules du tableau, reportez-vous à la rubrique « Division des cellules d’un tableau » à la page 81 ou « Fusion des cellules d’un tableau » à la page 81. 4 Ajoutez et mettez en forme tout contenu que vous souhaitez réutiliser. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation du contenu des cellules d’un tableau » à la page 58 pour en connaître les instructions. Toute formule que vous ajoutez ne doit faire référence qu’aux cellules de tableau que vous définissez. 5 Sélectionnez Format > Avancé > Capturer le tableau. 6 Attribuez un nom au tableau.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 53 7 Sélectionnez « Utiliser le style par défaut de ce document » pour que le tableau utilise le style par défaut appliqué lorsque vous ajoutez le tableau à la feuille de calcul. Autrement, le style du tableau utilisé est celui défini à l’étape 2. 8 Cliquez sur OK. Une copie du tableau réutilisable peut être ajoutée à l’actuelle feuille de calcul en la sélectionnant dans le menu de tableaux prédéfinis qui s’affiche lorsque vous cliquez sur Tableaux dans la barre d’outils ou sur Insérer > Tableau. Pour réorganiser, renommer ou supprimer des tableaux sur le menu, cliquez sur Format > Avancé > Gérer les tableaux. Double-cliquez sur un nom de tableau prédéfini pour le modifier. Sélectionnez un tableau et cliquez sur les boutons fléchés haut ou bas pour le déplacer à l’intérieur de la liste de tableaux. Pour supprimer un tableau, cliquez sur le bouton Supprimer (-). Cliquez sur Terminé lorsque vous avez fini. Les modifications apportées au tableau et au menu ne s’appliquent qu’à la feuille de calcul actuelle. Pour appliquer ces modifications à d’autres feuilles de calcul, enregistrez la feuille de calcul comme modèle (reportez-vous aux instructions de la rubrique « Conception d’un modèle » à la page 208). Copie de tableaux entre des applications iWork Vous pouvez copier un tableau d’une application iWork à l’autre. Le tableau conserve son apparence, ses données et d’autres attributs, mais certaines fonctionnalités dans Numbers ne sont pas prises en charge dans les autres applications :  Les rangs ou les colonnes masqués dans Numbers ne sont pas visibles dans les autres applications sauf si vous sélectionnez le tableau et que vous cliquez sur Format > Tableau > « Afficher toutes les rangées » ou sur « Afficher toutes les colonnes».  Les commentaires ajoutés aux cellules de tableau dans Numbers ne sont pas copiés. Pour copier un tableau d’une application iWork à l’autre : 1 Sélectionnez le tableau à copier, comme le décrit la rubrique « Sélection d’un tableau » à la page 54. 2 Cliquez sur Édition > Copier. 3 Dans l’autre application, définissez un point d’insertion pour le tableau copié, puis choisissez Édition > Coller.54 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Sélection de tableaux et de leurs composants Vous devez sélectionner les tableaux, les rangs, les colonnes, les cellules de tableau et les bordures de cellule de tableau avant de les utiliser. Sélection d’un tableau Lorsque vous sélectionnez un tableau, des poignées de sélection apparaissent sur les bords de celui-ci. Il existe plusieurs manières de sélectionner un tableau : m Si la cellule de tableau n’est pas sélectionnée, déplacez le pointeur de la souris vers le bord du tableau. Lorsque le pointeur se transforme en croix noire, cliquez pour sélectionner le tableau. m Si une cellule ou un segment de bordure est sélectionné, cliquez sur la poignée Tableau dans la partie supérieure gauche pour sélectionner le tableau. Vous pouvez également appuyer sur Commande + Retour. Sélection d’une cellule unique d’un tableau Lorsque vous sélectionnez une cellule, la bordure de cette cellule est mise en surbrillance. La sélection d’une cellule affiche également des tabulations de référence sur le haut et sur les côtés du tableau. Pour sélectionner une cellule unique d’un tableau : 1 Déplacez le pointeur sur la cellule. Le pointeur se transforme en croix blanche. 2 Cliquez sur la cellule. Chapitre 3 Utilisation de tableaux 55 Lorsqu’une cellule est sélectionnée, utilisez les touches Tab, Retour et les touches fléchées pour déplacer la sélection vers une cellule adjacente. Si vous sélectionnez « La touche Retour déplace la sélection vers la cellule suivante » dans les Options de tableau de l’Inspecteur des tableaux, vous pouvez modifier l’effet des touches Retour ou de tabulation. Pour sélectionner Si l’option « Touche Retour » est sélectionnée Si l’option « Touche Retour » n’est pas sélectionnée La cellule suivante sur la droite Appuyez sur la touche de tabulation. Si vous appuyez sur la touche Tab lorsque la dernière cellule d’une colonne est sélectionnée, une nouvelle colonne est ajoutée. Si vous ajoutez ou modifiez les données de la dernière colonne, appuyez deux fois sur la touche de tabulation pour ajouter une colonne. Appuyez sur la touche de tabulation. Si vous appuyez sur la touche de tabulation dans la dernière colonne, la première cellule du rang suivant est sélectionnée. Si vous appuyez sur la touche de tabulation dans la dernière cellule du tableau, un nouveau rang est ajouté. La cellule précédente Appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation. Appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation. Si vous appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation dans la première cellule, la dernière cellule est sélectionnée. La cellule suivante du dessous Appuyez sur la touche Flèche vers le bas ou sur Retour. Si vous avez utilisé la touche de tabulation pour naviguer entre les cellules, vous pouvez utiliser la touche Retour pour sélectionner la cellule suivante vers le bas à partir de la cellule dans laquelle vous avez commencé à utiliser la touche de tabulation. Si vous appuyez sur la touche Retour lorsque la dernière cellule d’un rang est sélectionnée, un nouveau rang est ajouté. Si vous ajoutez ou modifiez les données de la dernière cellule, appuyez deux fois sur la touche Retour pour ajouter un rang. Appuyez sur la touche Flèche vers le bas. La cellule suivante au dessus Appuyez sur la flèche Haut ou sur la combinaison de touches Maj + Retour. Appuyez sur la touche Flèche vers le haut.56 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Sélection d’un groupe de cellules de tableau Vous pouvez sélectionner plusieurs cellules, qu’elles soient adjacentes ou non. Il existe plusieurs manières de sélectionner un groupe de cellules : m Pour sélectionner des cellules de tableau adjacentes, sélectionnez une cellule unique, puis maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous sélectionnez les cellules adjacentes. Vous pouvez également cliquer sur une cellule, puis faire glisser le curseur sur plusieurs cellules tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé. m Pour sélectionner des cellules non adjacentes d’un tableau, maintenez la touche Commande enfoncée pendant que vous sélectionnez les cellules. Utilisez la touche Commande tout en cliquant sur la cellule d’un groupe pour la désélectionner. Sélection d’un rang ou d’une colonne Sélectionnez les rangs et les colonnes à l’aide des onglets de référence correspondants. Pour sélectionner un rang ou une colonne en entier : 1 Sélectionnez une cellule pour afficher les onglets de référence. 2 Pour sélectionner une colonne, cliquez sur l’onglet de référence correspondant (au-dessus de la colonne). Pour sélectionner un rang, cliquez sur l’onglet de référence correspondant (à gauche du rang). Sélection des bordures des cellules d’un tableau Sélectionnez les segments de bordure de la cellule lorsque vous souhaitez les mettre en forme. Un seul segment de bordure correspond à un seul côté d’une cellule. Un long segment de bordure comprend tous les segments de bordure adjacents. Un seul segment (horizontal) de bordure Un long segment (vertical) de bordure Un long segment (horizontal) de bordure Un seul segment (vertical) de bordureChapitre 3 Utilisation de tableaux 57 Il existe plusieurs manières de sélectionner des segments de bordure : m Pour sélectionner les segments de bordure en une seule étape, sélectionnez un tableau, un rang, une colonne ou une cellule. Cliquez sur le bouton Bordures dans la barre des formats et sélectionnez une option dans le menu local. Vous pouvez également cliquer sur les boutons Bordures de cellule de l’Inspecteur des tableaux pour sélectionner un segment d’un contour. m Pour sélectionner et désélectionner des segments en cliquant dessus dans un tableau, utilisez le mode de sélection de bordure. Sélectionnez « Autoriser la sélection de bordure » dans le menu local Bordures de la barre des formats ou sélectionnez Tableau > Autoriser la sélection de bordure, puis le tableau sur lequel vous voulez travailler. Le pointeur de la souris change de forme lorsqu’il passe sur un segment horizontal ou vertical. Le pointeur semble « chevaucher » le segment. Pour sélectionner un long segment, cliquez sur une bordure horizontale ou verticale d’une cellule. Pour ne sélectionner qu’un seul segment, cliquez de nouveau dessus. Cliquez pour passer de la sélection d’un seul segment à un long segment ou d’un long segment à un seul. Pour ajouter un seul ou long segment à la sélection, cliquez tout en maintenant enfoncée la touche Maj ou Commande. Pour désélectionner un seul segment, cliquez dessus tout en maintenant enfoncée la touche Maj ou Commande. Bouton Contours Le pointeur ressemble à ceci lorsqu’il passe au-dessus d’un segment horizontal. Le pointeur ressemble à ceci lorsqu’il passe au-dessus d’un segment vertical.58 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Pour arrêter d’utiliser le mode de sélection des bordures, sélectionnez « Ne pas autoriser la sélection de bordure » dans le menu local Bordures de la barre des formats ou sélectionnez Tableau > Ne pas autoriser la sélection de bordure . Utilisation du contenu des cellules d’un tableau Vous pouvez ajouter du texte, des chiffres et des dates dans les cellules d’un tableau, et vous pouvez mettre en forme les valeurs de ces cellules. Vous pouvez également ajouter des images et une couleur d’arrière-plan, ainsi que des cases à cocher, des curseurs et d’autres contrôles. De plus, la fonction de remplissage automatique vous permet d’utiliser le contenu d’une cellule pour ajouter automatiquement des valeurs aux cellules adjacentes. Ajout et modification de valeurs de cellule Vous pouvez ajouter, modifier et supprimer le contenu des cellules. Il existe plusieurs manières d’ajouter et de modifier les valeurs : m Si la cellule est vide, sélectionnez-la puis tapez une valeur. Reportez-vous à la rubrique « Sélection d’une cellule unique d’un tableau » à la page 54 pour savoir comment sélectionner les cellules. m Pour remplacer un contenu spécifique existant dans une cellule, sélectionnez la cellule et sélectionnez le contenu que vous souhaitez remplacer en double-cliquant dessus tout en appuyant sur la touche Maj, et sélectionnez plus de contenu si vous souhaitez en remplacer plus. Tapez du texte pour remplacer le contenu sélectionné. m Pour tout remplacer dans la cellule, sélectionnez cette dernière et procédez à la saisie. Si l’option « La touche Retour déplace sur la cellule suivante » n’est pas sélectionnée dans l’Inspecteur des tableaux, vous pouvez sélectionner la cellule, appuyer sur la touche Retour ou Entrée pour tout sélectionner dans la cellule et commencer à taper. m Pour insérer du contenu dans du contenu existant, sélectionnez la cellule, cliquez pour définir le point d’insertion et procédez à la saisie. m Pour supprimer le contenu des cellules, des rangs ou des colonnes d’un tableau, sélectionnez les cellules, les rangs ou les colonnes, puis appuyez sur la touche Suppr ou choisissez Édition > Supprimer. Pour supprimer le contenu, le remplissage d’arrière-plan et tous les réglages de style, choisissez Édition > Tout effacer. Le style par défaut est alors appliqué à la sélection. m Pour copier, coller et déplacer les valeurs de cellules, suivez les instructions de la rubrique « Copie et déplacement de cellules » à la page 83. m Pour ajouter des formules et des fonctions aux cellules, consultez les instructions des rubriques « Utilisation des formules » à la page 91 et « Utilisation des fonctions » à la page 106.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 59 Utilisation de texte dans les cellules Vous pouvez contrôler la mise en forme et l’alignement du texte dans les cellules d’un tableau. Vous pouvez également utiliser les fonctions Rechercher/Remplacer et le correcteur orthographique. Lorsque vous tapez du texte dans une cellule, Numbers suggère automatiquement du texte présent dans le tableau dont les premières lettres sont identiques à celle du texte que vous tapez actuellement. Vous pouvez sélectionner le texte suggéré s’il convient ou continuer à saisir votre texte tout en écrasant le texte suggéré. Voici quelques techniques pour utiliser du texte dans les cellules d’un tableau : m Pour insérer un saut de ligne, appuyez simultanément sur les touches Contrôle + Retour. m Pour insérer un saut de paragraphe lorsque la case « La touche Retour déplace le curseur vers la cellule suivante » dans les Options de tableau de l’Inspecteur des tableaux n’est pas sélectionnée, appuyez uniquement sur la touche Retour. Sinon, appuyez sur les touches Option + Retour. m Pour insérer une tabulation dans un tableau, appuyez simultanément sur la touche Option et sur la touche de tabulation. m Pour ajuster l’alignement du texte, utilisez les boutons d’alignement de la barre des formats. L’inspecteur du texte contient d’autres options de mise en forme du texte. Pour cela, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils et sur le bouton Inspecteur du texte. m Pour définir les attributs de police, utilisez les boutons de mise en forme du texte présents sur la barre des formats. Vous pouvez également utiliser le panneau Police (accessible en cliquant sur Polices dans la barre d’outils). m Pour vérifier l’orthographe, suivez les instructions de la rubrique « Vérification de l’orthographe » à la page 163. Aligner le texte à gauche, au centre et à droite ; justifier du texte ou aligner le texte à gauche et les nombres à droite. Aligner le texte en haut, au centre ou en bas des cellules. Sélectionner une police. Sélectionner un type de caractère. Sélectionner la taille de la police. Sélectionner la couleur du texte.60 Chapitre 3 Utilisation de tableaux m Pour effectuer une recherche et un remplacement éventuel de texte dans les cellules, suivez les instructions de la rubrique « Recherche et remplacement de texte » à la page 165. m Pour que Numbers n’interprète pas ce que vous tapez comme un nombre, utilisez le format texte. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation du format Texte » à la page 69 pour en savoir plus. Utilisation de nombres dans les cellules Certaines opérations du tableau, telles que les formules et les fonctions qui effectuent des opérations mathématiques, dépendent des cellules qui contiennent des valeurs numériques. Voici quelques techniques pour utiliser les nombres dans les cellules d’un tableau : m Dans une cellule numérique, vous devez utiliser uniquement des chiffres compris entre 0 et 9 ou un des caractères suivants : +, –, (, ), /, $, %, un point, %, E ou e. m Vous pouvez taper certains caractères (tels que %) dans une cellule, ou utiliser un format de cellule, tel que décrit à la rubrique « Mise en forme des valeurs de cellule » à la page 62. m Pour spécifier un nombre négatif, faites-le précéder du signe moins (–). Lorsque vous saisissez dans une cellule de tableau un nombre qui est trop long pour s’afficher en entier, Numbers le convertit :  Lorsqu’un nombre décimal ne tient pas dans une cellule, le nombre est arrondi. Par exemple, 1,77777777777777777777 devient ainsi 1,77777777777778.  Lorsqu’un nombre entier ne tient pas dans une cellule, celui-ci est affiché en notation scientifique. Par exemple, 77777777777777777777 devient ainsi 7,777778E+19. La notation scientifique consiste à présenter les nombres sous la forme d’un nombre décimal affecté d’un facteur multiplicateur qui est une puissance de 10. La valeur de cette puissance figure à la suite du symbole E. Si le nombre ainsi converti ne tient toujours pas dans la cellule, il est tronqué. Pour obtenir des suggestions, consultez la rubrique « Affichage d’un contenu trop long pour la cellule » à la page 61. Les instructions d’utilisation des formules et des fonctions dans les cellules d’un tableau se trouvent dans les rubriques « Utilisation des formules » à la page 91 et « Utilisation des fonctions » à la page 106.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 61 Utilisation de dates dans les cellules Sauf si une cellule est déjà au format date et heure, lorsque vous saisissez une valeur qui peut être interprétée comme une date ou une heure, Numbers peut modifier sa mise en forme. Par exemple, si vous saisissez 22/1/45 ou 22-1-45 dans une cellule automatiquement mise en forme, la valeur se transforme en 22 janvier 2045 lorsque vous passez à une autre cellule. Si vous saisissez une valeur d’année à deux chiffres supérieure ou égale à 50, Numbers lui ajoute le préfixe « 19 », dans les autres cas Numbers ajoute le préfixe « 20 ». De plus, si vous tapez 12 pm, la valeur devient 12:00 PM. Vous pouvez cependant modifier la valeur en cas de besoin. Pour en savoir plus sur le format de date et d’heure, consultez la rubrique « Utilisation du format Date et heure » à la page 67. Affichage d’un contenu trop long pour la cellule Lorsqu’une cellule est trop petite pour afficher tout son contenu :  Si la cellule contient un nombre ou une date, un indicateur contenant un signe plus (+) apparaît.  Pour les autres types de valeurs, aucun indicateur n’apparaît. Vous pouvez voir uniquement le contenu visible dans les limites de la cellule. Vous pouvez agrandir une cellule de façon à afficher plus de contenu et vous pouvez laisser les nombres et les dates déborder sur les cellules vides adjacentes. Il existe plusieurs manières de régler les problèmes liés au contenu trop volumineux pour tenir dans une cellule : m Pour permettre à une valeur numérique ou de date d’une cellule de s’étendre sur des cellules adjacentes, décochez « Ajuster le texte de la cellule » dans l’inspecteur des cellules. Si les cellules adjacentes sont vides, elles affichent le contenu qui déborde. Par contre, si elles contiennent des données, le surplus de contenu n’est pas affiché et l’indicateur de découpage apparaît. Pour ajuster le contenu au lieu de le laisser s’étendre sur les autres cellules, sélectionnez Inspecteur d’ajustement dans la barre des formats ou « Ajuster le texte de la cellule » dans l’inspecteur des cellules. Indicateur62 Chapitre 3 Utilisation de tableaux m Si des valeurs de cellules ne sont pas visibles parce que les colonnes ne sont pas assez larges, sélectionnez le bouton Adapter en face des contrôles Largeur de colonne dans l’inspecteur des tableaux pour afficher les valeurs en entier. Sélectionnez une cellule, une ou plusieurs colonnes ou le tableau, puis cliquez sur le bouton Adapter. Vous pouvez également redimensionner une colonne en faisant glisser la bordure droite de son onglet de référence ou en utilisant les commandes Largeur de colonne de l’Inspecteur des tableaux. m Si des valeurs de cellules ne sont pas visibles parce que des lignes ne sont pas assez larges, sélectionnez le bouton Adapter en face des contrôles Hauteur du rang dans l’inspecteur des tableaux pour afficher les valeurs en entier. Sélectionnez une cellule, un ou plusieurs rangs ou le tableau, puis cliquez sur le bouton Adapter. Lorsque le contenu d’un rang est ajouté ou supprimé, sa hauteur est automatiquement modifiée pour s’adapter à la hauteur du contenu. Vous pouvez également redimensionner un rang en cliquant sur la bordure inférieure de l’onglet de référence correspondant et en le faisant glisser vers le bas ou en utilisant les contrôles Hauteur du rang de l’inspecteur des tableaux. m Vous pouvez également redimensionner des colonnes et des rangs en fonction du contenu à l’aide des onglets de référence. Pour adapter la hauteur d’un rang au contenu le plus haut, double-cliquez sur la bordure inférieure de l’onglet de référence du rang. La largeur d’une colonne ne s’ajuste pas automatiquement lorsque vous modifiez le contenu. Pour adapter la largeur d’une colonne au contenu le plus large, double-cliquez sur la bordure droite de l’onglet de référence de la colonne. Mise en forme des valeurs de cellule Vous pouvez appliquer une mise en forme à une cellule afin que sa valeur s’affiche d’une manière particulière. Par exemple, vous pouvez mettre en forme les cellules qui contiennent des valeurs monétaires afin qu’un symbole monétaire (tel que $, £ ou ¥) apparaisse avant les nombres qu’elles contiennent. Vous pouvez également mettre en forme des cellules de sorte qu’elles contiennent des contrôles, par exemple des cases et des curseurs qui servent à ajouter ou modifier des valeurs de cellule. Lorsque vous utilisez un format de cellule, vous définissez uniquement les caractéristiques d’affichage d’une valeur. Dans les formules, c’est la valeur réelle qui est utilisée et non la valeur mise en forme. La seule exception a lieu lorsqu’il y a trop de chiffres après un point décimal, auquel cas le nombre est arrondi. Vous pouvez définir des formats de cellule à l’aide de la barre des formats ou le menu local Format de cellule de l’inspecteur des cellules. Pour afficher les valeurs de cellule au fur et à mesure que vous les tapez, sélectionnez Automatique ; sinon, choisissez l’élément qui applique la mise en forme souhaitée.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 63 Il existe plusieurs manières d’utiliser les formats de cellule : m Pour ajouter une valeur dans une cellule vide associée à un format, sélectionnez la cellule et saisissez une valeur. Le format est appliqué lorsque vous quittez la cellule. m Pour appliquer un format de cellule à une valeur existante, sélectionnez une ou plusieurs cellules contenant des valeurs. Utilisez l’Inspecteur des cellules ou la barre des formats pour définir le format d’une cellule. Le format que vous définissez est alors appliqué aux valeurs des cellules sélectionnées. m Pour afficher une valeur identique à celle que vous saisissez, sélectionnez la cellule et sélectionnez Automatique dans la barre des formats ou le menu local Format de cellule de l’Inspecteur des cellules. La valeur reste, mais la mise en forme est supprimée. m Si vous supprimez une valeur d’une cellule associée à un format, celui-ci n’est pas supprimé. Pour supprimer la mise en forme, sélectionnez Automatique dans la barre des formats ou le menu local Format de cellule de l’Inspecteur des cellules. m Une fois le format d’une cellule défini, vous pouvez l’associer à plusieurs cellules grâce au remplissage automatique. Reportez-vous à la rubrique « Remplissage automatique des cellules d’un tableau » à la page 74 pour en connaître les instructions. Utilisation du format numérique Utilisez le format numérique pour mettre en forme l’affichage du nombre de chiffres après la virgule, des séparateurs de milliers et des valeurs négatives. Pour définir un format de nombre qui affiche deux chiffres après la virgule, mais pas de séparateur des milliers ni de signe moins devant les nombres négatifs, sélectionnez des cellules et cliquez sur le bouton Format des nombres dans la barre des formats. Cliquez sur les boutons « Diminuer le nombre de décimales » et « Augmenter le nombre de décimales » à droite du bouton Format des nombres pour changer le nombre de décimales. Utilisez l’inspecteur des cellules pour accéder à d’autres contrôles du format des nombres. Bouton Format des nombres Bouton « Augmenter le nombre de décimales » Bouton « Diminuer le nombre de décimales »64 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Pour définir un format de nombre à l’aide de l’inspecteur des cellules : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des cellules. 3 Choisissez Nombre dans le menu local Format de cellule. 4 Pour spécifier le nombre de chiffres après la virgule à afficher, utilisez le champ Décimales. Si une valeur contient plus de chiffres après la virgule que le nombre que vous avez spécifié, la valeur affichée est arrondie et non pas tronquée. Par exemple, si une cellule est mise en forme pour afficher deux chiffres après la virgule, la valeur 3.456 est affichée sous la forme 3.46 et non pas 3.45. 5 Pour spécifier l’affichage des valeurs négatives, choisissez une option du menu local adjacent au champ Décimales. 6 Pour spécifier s’il faut utiliser un séparateur de milliers, sélectionnez Séparateur de milliers. Utilisation du format monétaire Utilisez le format monétaire pour mettre en forme l’affichage des valeurs monétaires. Pour définir un format de devise qui affiche deux chiffres après la virgule, un séparateur des milliers et un signe moins devant les nombres négatifs, sélectionnez une ou plusieurs cellules et cliquez sur le bouton Format de devise dans la barre des formats. Cliquez sur les boutons « Diminuer le nombre de décimales » et « Augmenter le nombre de décimales » à droite du bouton Format des nombres pour changer le nombre de décimales. Utilisez l’inspecteur des cellules pour accéder à d’autres contrôles du format de devise. Bouton Format de devise Bouton « Augmenter le nombre de décimales » Bouton « Diminuer le nombre de décimales »Chapitre 3 Utilisation de tableaux 65 Pour définir un format de devise à l’aide de l’inspecteur des cellules : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des cellules. 3 Choisissez Monnaie dans le menu local Format de cellule. 4 Pour spécifier un symbole monétaire, choisissez une option dans le menu local Symbole. Vous pouvez afficher la liste complète des options à l’aide du menu local Symbole en cliquant sur Numbers > Préférences puis en sélectionnant « Afficher la liste complète des devises dans l’inspecteur des cellules » dans la sous-fenêtre Général. 5 Pour spécifier le nombre de chiffres après la virgule à afficher, utilisez le champ Décimales. Si une valeur contient plus de chiffres après la virgule que le nombre que vous avez spécifié, la valeur affichée est arrondie et non pas tronquée. Par exemple, si une cellule est mise en forme pour afficher deux chiffres après la virgule, la valeur 3.456 est affichée sous la forme 3.46 et non pas 3.45. 6 Pour spécifier l’affichage des valeurs négatives, choisissez une option du menu local adjacent au champ Décimales. 7 Pour spécifier s’il faut utiliser un séparateur de milliers, sélectionnez Séparateur de milliers. 8 Pour faire apparaître la devise au bord de la cellule, sélectionnez Style de comptabilité. Utilisation du format Pourcentage Utilisez le format Pourcentage pour afficher des valeurs numériques suivies du symbole %. Si la valeur est utilisée dans une formule, sa forme décimale est utilisée. Par exemple, une valeur qui affiche 3% est utilisée sous la forme 0.03 dans une formule. Si vous tapez 3% dans une cellule automatiquement mise en forme et appliquez ensuite la mise en forme Pourcentage à la cellule, la valeur affichée est 3%. Cependant, si vous tapez 3 dans une cellule automatiquement mise en forme et appliquez ensuite la mise en forme Pourcentage à la cellule, la valeur affichée est 300%.66 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Pour définir un format de pourcentage qui affiche deux chiffres après la virgule, un séparateur des milliers et un signe moins devant les nombres négatifs, sélectionnez une ou plusieurs cellules et cliquez sur le bouton Format de pourcentage dans la barre des formats. Cliquez sur les boutons « Diminuer le nombre de décimales » et « Augmenter le nombre de décimales » à droite du bouton Format des nombres pour changer le nombre de décimales. Utilisez l’inspecteur des cellules pour accéder à d’autres contrôles du format de pourcentage. Pour définir un format de pourcentage à l’aide de l’inspecteur des cellules : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des cellules. 3 Choisissez Pourcentage dans le menu local Format de cellule. 4 Pour spécifier le nombre de chiffres après la virgule à afficher, utilisez le champ Décimales. Si une valeur contient plus de chiffres après la virgule que le nombre que vous avez spécifié, la valeur affichée est arrondie et non pas tronquée. Par exemple, si une cellule est mise en forme pour afficher deux chiffres après la virgule, la valeur 3.456 est affichée sous la forme 3.46 et non pas 3.45. 5 Pour spécifier l’affichage des valeurs négatives, choisissez une option du menu local adjacent au champ Décimales. 6 Pour spécifier s’il faut utiliser un séparateur de milliers, sélectionnez Séparateur de milliers. Si la cellule que vous mettez en forme contient déjà une valeur, la valeur est considérée comme un nombre décimal et convertie en pourcentage. Par exemple, 3 devient 300%. Bouton Format de pourcentage Bouton « Augmenter le nombre de décimales » Bouton « Diminuer le nombre de décimales »Chapitre 3 Utilisation de tableaux 67 Utilisation du format Date et heure Utilisez le format Date et heure pour afficher des valeurs de date et/ou d’heure. Pour définir un format de date et d’heure, cliquez sur le bouton « Autres formats de cellule » de la barre des formats, sélectionnez des cellules, cliquez sur Date et heure dans le menu local et sélectionnez une option dans le sous-menu. Utilisez l’inspecteur des cellules pour accéder à d’autres contrôles du format de date et d’heure. Pour définir un format de date et d’heure à l’aide de l’inspecteur des cellules : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des cellules. 3 Sélectionnez Date et heure dans le menu local Format de cellule. 4 Pour spécifier la mise en forme de la date, choisissez un format dans le menu local Date. 5 Pour spécifier la mise en forme de l’heure, choisissez un format dans le menu local Heure. Bouton « Autres formats de cellule » Sélectionnez Plus pour appliquer le format de date et d’heure par défaut du modèle et ouvrir l’Inspecteur des cellules.68 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Utilisation du format Fraction Utilisez le format Fraction pour contrôler l’affichage de valeurs inférieures à 1. Par exemple, 27.5 s’affiche sous la forme 27 1/2 lorsque le format est défini sur Moitiés et sous la forme 27 4/8 lorsque le format est défini sur Huitièmes. Pour définir un format fractionnaire, sélectionnez une ou plusieurs cellules, sélectionnez Fractions dans le menu local « Autres formats de cellules » de la barre des formats. Sélectionnez ensuite un format dans le sous-menu. Vous pouvez également utiliser l’Inspecteur des cellules. Pour définir un format fractionnaire pour des cellules sélectionnées à l’aide de l’Inspecteur des cellules : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des cellules. 3 Choisissez Fraction dans le menu local Format de cellule. 4 Choisissez un format d’affichage dans le menu local Précision. Bouton « Autres formats de cellule »Chapitre 3 Utilisation de tableaux 69 Utilisation du format Scientifique Le format de notation scientifique permet de présenter les nombres sous la forme d’un nombre décimal affecté d’un facteur multiplicateur qui est une puissance de 10. La valeur de cette puissance figure à la suite du symbole E. Par exemple, la valeur 5,00 en format scientifique est affichée sous la forme 5,00E0. De même, la valeur 12345 s’affiche comme 1,2345E4. Pour définir un format scientifique qui affiche deux décimales, sélectionnez une ou plusieurs cellules, puis Scientifique dans le bouton « Autres formats de cellules » de la barre des formats. Utilisez l’inspecteur des cellules pour définir un autre nombre de décimales. Pour définir un format scientifique pour une ou plusieurs cellules à l’aide de l’Inspecteur des cellules : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des cellules. 3 Choisissez Scientifique dans le menu local Format de cellule. 4 Pour spécifier le nombre de décimales à afficher, utilisez le champ Décimales. Utilisation du format Texte Utilisez le format Texte lorsque vous souhaitez que l’intégralité du contenu d’une cellule soit traitée comme du texte, même s’il s’agit d’un nombre. Bouton « Autres formats de cellule »70 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Voici quelques façons de définir un format de texte pour une ou plusieurs cellules sélectionnées : m Cliquez sur le bouton « Autres formats de cellules » de la barre des formats et sélectionnez Texte. m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des cellules et sélectionnez Texte sans le menu local Format de cellule. Utilisation d’une case et d’autres formats de contrôle Vous pouvez ajouter à une cellule une case, un curseur, une flèche de défilement ou un menu local :  Une case est destinée aux cellules dont la valeur indique deux états, par exemple activé ou désactivé ou encore oui ou non.  Un curseur permet de modifier rapidement dans une grande échelle les nombres et de voir les effets de tels changements dans d’autres cellules du tableau ou dans un graphique.  Une flèche de défilement permet d’augmenter ou de diminuer un nombre par incréments spécifiques.  Un menu local permet de prédéfinir les valeurs qu’une cellule peut contenir. Lorsqu’une cellule est mise en forme pour utiliser une case à cocher ou un menu local, vous pouvez ajouter ou modifier le contenu d’une cellule uniquement en utilisant le contrôle. Les cellules qui utilisent un curseur ou une flèche de défilement vous permettent de saisir une valeur ou d’utiliser le contrôle ; lorsque vous cliquez en dehors de la cellule, la valeur change en fonction des réglages effectués lorsque vous définissez le curseur et la flèche de défilement. Bouton « Autres formats de cellule »Chapitre 3 Utilisation de tableaux 71 Il existe plusieurs manières d’ajouter des contrôles à des cellules : m Pour ajouter une case, sélectionnez la ou les cellules. Cliquez sur le bouton Case dans la barre des formats. Des cases non cochées sont ajoutées aux cellules sélectionnées. Vous pouvez également cliquer sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des cellules. Sélectionnez Case dans le menu local Format de cellule et l’état initial (Coché ou Non coché). m Pour ajouter un curseur, cliquez sur le bouton « Autres formats de cellule » de la barre des formats, puis sélectionnez Curseur dans le menu local. Un curseur avec les réglages par défaut, et visible dans l’Inspecteur des cellules, est alors créé. Vous pouvez également ouvrir l’Inspecteur des cellules et sélectionner Curseur dans le menu local Format de cellule. Bouton Case Bouton « Autres formats de cellule »72 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Dans l’Inspecteur des cellules, vous pouvez modifier les réglages par défaut : Minimum et Maximum : indiquent la valeur de cellule la plus faible et la plus élevée. Incrément : indique de combien la valeur de la cellule augmente ou diminue lorsque vous déplacez le curseur (ou appuyez sur les touches fléchées) d’un incrément. Position : permet de positionner le curseur à droite ou en bas de la cellule. Afficher comme : applique un format de nombre, de devise, de pourcentage ou scientifique aux valeurs de cellule. Décimales : spécifie le nombre de décimales à afficher. m Pour ajouter un menu local, cliquez sur le bouton Autres formats de cellule de la barre des formats, puis sélectionnez Menu local dans le menu local pour créer un menu local avec les réglages par défaut. Vous pouvez également ouvrir l’Inspecteur des cellules et sélectionner Menu local dans le menu local Format de cellule. Dans l’Inspecteur des cellules, modifiez les entrées de paramètre fictif de la liste, sélectionnez-les et tapez une autre valeur. Pour ajouter un élément à la liste, cliquez sur le signe + et tapez l’élément. Si vous tapez un nombre, il est traité comme un nombre pas comme du texte. Cliquez sur le signe - pour supprimer un élément. m Pour ajouter une flèche de défilement, cliquez sur le bouton Autres formats de cellule de la barre des formats, puis sélectionnez Flèche de défilement dans le menu local pour créer une flèche de défilement avec les réglages par défaut. Vous pouvez également ouvrir l’Inspecteur des cellules et sélectionner Flèche de défilement dans le menu local Format de cellule. Dans l’Inspecteur des cellules, modifiez les réglages par défaut si vous le souhaitez : Minimum et Maximum : indiquent la valeur de cellule la plus faible et la plus élevée. Incrément : indique de combien la valeur de cellule augmente ou diminue lorsque vous cliquez sur la flèche de défilement (ou appuyez sur les touches fléchées) une seule fois. Afficher comme : applique un format de nombre, de devise, de pourcentage ou scientifique aux valeurs de cellule. Décimales : spécifie le nombre de décimales à afficher.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 73 Contrôle des valeurs de cellule Numbers peut modifier la couleur de remplissage ou celle du texte d’une cellule si son contenu présente des conditions particulières. Vous pouvez définir des règles simples qui testent la condition, puis modifient la couleur du remplissage et/ou du texte si la condition est remplie. Par exemple, vous pouvez définir une règle qui applique la couleur bleue à une cellule si celle-ci contient une valeur spécifique et une autre règle qui applique la couleur verte à la cellule si celle-ci contient une autre valeur. Vous pouvez appliquer ce type de règle à une cellule unique ou à une plage de cellules. Les règles appliquées à plusieurs cellules déclenchent le changement de couleur si au moins une des cellules remplit la condition de la règle. Pour définir des règles : 1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils et cliquez sur le bouton Inspecteur des cellules. 3 Sélectionnez Format conditionnel, puis cliquez sur Afficher les règles. 4 Sélectionnez « Mettre les cellules en surbrillance en suivant les règles suivantes ». 5 Choisissez une condition dans le menu local « Choisir une règle ». Les conditions qui figurent dans la rubrique supérieure du menu effectuent les tests sur des valeurs numériques. Les conditions applicables aux valeurs de texte s’affichent dans la rubrique au centre de la liste ; les conditions de date se trouvent en bas. À noter que la condition Entre nécessite la saisie de deux nombres. Cette condition est remplie si l’un des deux nombres ou n’importe quel nombre se trouvant entre ces deux nombres apparaît dans la ou les cellule(s). 6 Fournissez les informations supplémentaires nécessaires pour définir une condition particulière à tester. 7 Sélectionnez Couleur de remplissage et/ou Couleur du texte, puis cliquez sur les cadres de couleur (consultez la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 179) pour définir les couleurs de l’arrière-plan et des valeurs à appliquer à la cellule si la condition est remplie. 8 Pour ajouter une règle, cliquez sur + et répétez les étapes 5 à 7. Si plusieurs règles sont définies pour une cellule et que le contenu de la cellule remplit les conditions de plusieurs règles, les couleurs associées à la règle la plus haute dans la liste des règles sont appliquées à la cellule. Pour cesser d’utiliser une règle, cliquez sur le bouton - pour supprimer la règle ou désé- lectionnez l’option Couleur de remplissage et Couleur du texte pour désactiver la règle. Pour ne plus utiliser une liste de règles, décochez « Mettre les cellules en surbrillance en suivant les règles suivantes ».74 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Ajout d’images et de couleurs aux cellules Vous pouvez ajouter des graphismes ou des couleurs à certaines cellules ou à l’ensemble du tableau. Pour ajouter une image ou une couleur à une cellule de tableau : 1 Sélectionnez la cellule. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’Inspecteur des tableaux. 3 Pour ajouter une image, choisissez Remplissage image dans le menu local Arrière-plan. Reportez-vous à la rubrique « Remplissage d’un objet avec une image » à la page 180 pour en connaître les instructions. 4 Pour ajouter une couleur d’arrière-plan, choisissez Remplissage couleur ou Remplissage dégradé dans le menu local Arrière-plan. Reportez-vous à la rubrique « Remplissage d’un objet en couleur » à la page 178 pour obtenir plus d’informations. Remplissage automatique des cellules d’un tableau Le remplissage automatique vous permet d’utiliser le contenu d’une ou de plusieurs cellules pour ajouter automatiquement des valeurs aux cellules adjacentes. Voici quelques moyens de remplir automatiquement des cellules : m Pour coller le contenu et le remplissage d’une cellule dans des cellules adjacentes, sélectionnez la cellule, puis faites glisser la poignée dans l’angle inférieur droit vers les cellules dans lesquelles vous souhaitez coller le contenu. Vous pouvez la faire glisser vers la droite pour ajouter des valeurs sur le même rang ou vers le bas pour ajouter des valeurs aux cellules adjacentes de la même colonne. Toutes les données ou formules ou tous les formats de cellule ou remplissages associés à la cellule sont collés, mais pas les commentaires. Si la cellule sélectionnée ne contient aucune donnée, le remplissage automatique efface toutes les données des cellules cible. m Vous pouvez également ajouter des valeurs aux cellules en fonction des modèles de valeurs. Par exemple, si une cellule contient le nom d’un jour de la semaine ou d’un mois, vous pouvez sélectionner la cellule puis la faire glisser vers la droite ou vers le bas pour ajouter le jour ou le mois suivant dans la cellule adjacente. Pour créer de nouvelles valeurs en fonction de caractéristiques numériques, sélectionnez deux cellules ou plus avant de les faire glisser. Par exemple, si les deux cellules sélectionnées contiennent les valeurs 1 et 2, les valeurs 3 et 4 sont ajoutées lorsque vous faites glisser le curseur sur les deux cellules adjacentes. De même, si les deux cellules sélectionnées contiennent les valeurs 1 et 4, les valeurs 7 et 10 sont ajoutées lorsque vous faites glisser le curseur sur les deux cellules adjacentes (les valeurs sont incrémentées de 3). Le remplissage automatique ne définit aucune relation entre les cellules du groupe. Une fois le remplissage automatique effectué, vous pouvez modifier les cellules individuellement. Chapitre 3 Utilisation de tableaux 75 Utilisation des rangs et des colonnes Vous pouvez rapidement ajouter et supprimer des rangs et des colonnes, créer un rang ou une colonne d’en-tête ou rang de pied de page, et bien plus encore. Lorsque vous insérez, supprimez, redimensionnez, cachez ou affichez des rangées ou colonnes d’un tableau, les autres objets de la feuille de calcul peuvent être déplacés pour éviter le chevauchement ou maintenir une position relative des objets. Pour éviter ces mouvements automatiques des objets, choisissez Numbers > Préférences et dans la sous-fenêtre Générales, décochez « Déplacer les objets automatiquement lors du redimensionnement des tableaux ». Ajout de rangs Vous pouvez ajouter des rangs dans un tableau ou à la fin d’un tableau. Si le tableau contient un rang de pied de page, les rangs ajoutés au bas du tableau sont placés audessus du rang de pied de page. Voici différentes manières d’ajouter des rangs : m Pour ajouter un rang, placez le pointeur sur l’onglet de référence d’un rang pour afficher la flèche du menu et cliquez dessus. Sélectionnez ensuite « Insérer un rang au-dessus » ou « Insérer un rang en dessous » dans le menu local. Ces commandes sont également disponibles dans le menu Tableau. m Pour ajouter un rang à la fin du tableau, appuyez sur la touche Retour lorsque la dernière cellule est sélectionnée. Appuyez deux fois sur la touche Retour si vous venez d’ajouter ou de modifier la valeur de la cellule. Si l’option « La touche Retour déplace sur la cellule suivante » des Options du tableau de l’Inspecteur des tableaux n’est pas sélectionnée, appuyez sur la touche Tab à partir de la dernière cellule du rang. m Pour ajouter un ou plusieurs rangs à la fin du tableau, vous pouvez utiliser la poignée Rang située dans la partie inférieure gauche, qui devient visible lorsque vous sélectionnez une cellule. Pour ajouter un rang à la fin du tableau, cliquez une fois sur la poignée Rang. Pour ajouter plusieurs rangs à la fin du tableau, faites glisser vers le bas la poignée Rang ou Colonne et Rang (située dans la partie inférieure droite). Pour ajouter simultanément des rangs et des colonnes, faites glisser la poignée Colonne et Rang en diagonale. m Vous pouvez diviser les cellules en deux rangs égaux. La rubrique « Division des cellules d’un tableau » à la page 81 vous indique la procédure à suivre.76 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Ajout de colonnes Vous pouvez ajouter des colonnes à un tableau. Voici différentes manières d’ajouter des colonnes : m Pour ajouter une colonne, placez le pointeur sur l’onglet de référence d’une colonne pour afficher la flèche de menu. Cliquez sur la flèche et sélectionnez « Insérer une colonne avant » ou « Insérer une colonne après » dans le menu local. Ces commandes sont également disponibles dans le menu Tableau. m Vous pouvez ajouter une colonne à droite du tableau en appuyant sur la touche de tabulation si l’option « La touche Retour déplace sur la cellule suivante » dans Options du tableau est sélectionnée dans l’inspecteur des tableaux. Appuyez une fois sur la touche Tab après avoir sélectionné la dernière cellule. Appuyez deux fois sur la touche de tabulation si vous venez d’ajouter ou de modifier la valeur de la cellule. m Pour ajouter une ou plusieurs colonnes à droite d’un tableau, vous pouvez utiliser la poignée Colonne dans la partie supérieure droite, qui devient visible lorsque vous sélectionnez une cellule. Pour ajouter une colonne à droite du tableau, cliquez une fois sur la poignée Colonne. Pour ajouter plusieurs colonnes à droite du tableau, faites glisser vers la droite la poignée Colonne ou Colonne et Rang (située dans la partie inférieure droite). Pour ajouter simultanément des rangs et des colonnes, faites glisser la poignée Colonne et Rang en diagonale. m Vous pouvez diviser les cellules en deux colonnes égales. La rubrique « Division des cellules d’un tableau » à la page 81 vous indique la procédure à suivre. Redisposition des rangs et des colonnes À l’aide d’un onglet de référence de rang ou de colonne, vous pouvez déplacer ou copier le rang ou la colonne ailleurs dans le même tableau ou dans un autre. Voici différentes manières de redisposer des rangs et des colonnes : m Pour déplacer une colonne ou un rang ailleurs dans le même tableau ou dans un autre, cliquez sur l’onglet de référence de la colonne ou du rang, puis cliquez et faites glisser l’onglet de référence. Relâchez le bouton gauche de la souris à l’endroit où vous souhaitez insérer la colonne ou le rang lorsque la ligne en gras est mise en surbrillance. m Pour insérer une copie d’un rang ou d’une colonne ailleurs dans le tableau ou dans un autre, cliquez sur l’onglet de référence, cliquez de nouveau et faites glisser la colonne ou le rang où vous le souhaitez tout en maintenant enfoncés la touche Option et l’onglet de référence.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 77 Vous pouvez également copier ou déplacer une seule cellule ou un groupe de cellules adjacentes dans un même tableau ou dans un autre. Reportez-vous à la rubrique « Copie et déplacement de cellules » pour en connaître les instructions. Suppression de rangs et de colonnes Il existe plusieurs techniques pour supprimer un ou plusieurs rangs ou colonnes d’un tableau. Voici différentes manières de supprimer des rangs ou des colonnes : m Sélectionnez les rangs ou les colonnes, ou encore une des cellules de la colonne ou du rang, puis choisissez Tableau > Supprimer le rang, ou Tableau > Supprimer la colonne. m Pour supprimer un rang ou une colonne, placez le pointeur sur l’onglet de référence du rang ou de la colonne pour afficher la flèche de menu et sélectionnez Supprimer le rang ou Supprimer la colonne dans le menu local. m Pour supprimer plusieurs rangs ou colonnes adjacentes, sélectionnez-les, et cliquez sur « Supprimer les rangées sélectionnées » ou sur « Supprimer les colonnes sélectionnées » dans le menu local d’un onglet de référence d’une colonne ou d’un rang sélectionné. m Faites glisser la poignée Rang située dans la partie inférieure gauche ou la poignée Colonne dans la partie inférieure droite pour supprimer des rangs vides. Pour supprimer des rangs non vides, faites-les glisser tout en maintenant enfoncée la touche Option. m Pour supprimer des colonnes vides, faites glisser vers l’intérieur la poignée Colonne située dans la partie supérieure droite. Pour supprimer des colonnes non vides, faites-les glisser tout en maintenant enfoncée la touche Option. Utilisation d’un rang ou d’une colonne d’en-tête de tableau Utilisez les rangs et les colonnes d’en-tête pour identifier les données des rangs et des colonnes. Les rangs et les colonnes d’en-tête sont mis en forme de telle sorte qu’ils se distinguent des autres rangs et colonnes. Un rang d’en-tête correspond à la cellule supé- rieure de chaque colonne. Une colonne d’en-tête correspond à la cellule la plus à gauche de chaque rang. Les rangs et les colonnes d’en-tête sont placés au début du tableau et sur chaque page si le tableau contient plusieurs pages. Si un tableau s’étend sur plusieurs pages, la modification du texte ou de l’aspect du rang ou de la colonne d’en-tête à un endroit entraîne la même modification dans l’ensemble du tableau. Vous ne pouvez pas fractionner un rang d’en-tête ou un bas de page en plusieurs rangs ou des colonnes d’en-tête en plusieurs colonnes.78 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Voici différentes manières d’ajouter ou de supprimer un rang ou une colonne d’en-tête : m Sélectionnez le tableau et cliquez sur le bouton En-tête dans la barre des formats. Si le tableau ne contient pas de rang ou de colonne d’en-tête, un est ajouté. Si le tableau contient un rang ou une colonne d’en-tête, il est supprimé. m Sélectionnez le tableau. Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, sur le bouton Inspecteur des tableaux, puis sur le bouton « En-têtes et bas de page » qui convient. m Sélectionnez le tableau et une des options suivantes dans le menu Tableau : Insérer un rang d’en-tête, Supprimer le rang d’en-tête, Insérer une colonne d’en-tête ou Supprimer la colonne d’en-tête. m Si un tableau s’étend sur plusieurs pages et que vous souhaitez répéter les en-têtes au début de chaque page, sélectionnez « Répéter les cellules d’en-tête sur chaque page » dans les Options de tableau de l’Inspecteur des tableaux. Les cellules se trouvant dans un rang ou un en-tête de colonne sont appelées cellules d’entête. Les cellules d’en-tête jouent un rôle important car elles facilitent la lecture et la création de formules dans des cellules de tableau. Pour en savoir plus, reportez-vous aux rubriques « Utilisation des références de cellules » à la page 100 et « Application d’une formule aux cellules d’une colonne ou d’un rang en une seule fois » à la page 103. Utilisation d’un rang de pied de page Utilisez un rang de pied de page pour attirer l’attention sur le dernier rang d’un tableau. Un rang de pied de page peut contenir les mêmes données que n’importe quel autre rang, mais sa mise en forme lui confère davantage d’impact visuel. Voici différentes manières d’ajouter ou de supprimer un rang de pied de page : m Sélectionnez le tableau et cliquez sur le bouton Pied de page dans la barre des formats. Si le tableau ne contient aucun rang de bas de page, un lui est ajouté. Si le tableau contient un rang de bas de page, il est supprimé. Ajouter un rang de colonne. Ajouter un rang d’en-tête. Ajouter un rang de bas de page.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 79 m Sélectionnez le tableau. Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, sur le bouton Inspecteur des tableaux, puis sur le bouton « En-têtes et bas de page » qui convient. Si le tableau ne contient aucun rang de bas de page, un lui est ajouté. Si le tableau contient un rang de bas de page, il est supprimé. m Sélectionnez le tableau et « Insérer une rangée de bas de page » ou « Supprimer la rangée de pied de page » dans le menu Tableau. Options permettant de masquer des rangs et des colonnes Vous pouvez masquer au lieu de supprimer certains rangs ou colonnes que vous ne souhaitez ni afficher ni utiliser. Une colonne ou un rang masqué ne peut être mis en forme, fusionné, divisé ou modifié. Cependant, cela n’a aucun effet sur les formules qui utilisent une cellule masquée. Pour masquer un rang ou une colonne : m Sélectionnez Masquer la rangée ou Masquer la colonne dans le menu local de l’onglet de référence. Pour afficher des rangs et des colonnes masquées, sélectionnez Tableau > « Afficher toutes les rangées » ou Tableau > « Afficher toutes les colonnes ». Les colonnes ou les rangs masqués dans les tableaux dans Numbers ne sont pas visibles lorsque vous copiez les tableaux dans d’autres applications d’iWork ’08. Pour afficher tous les rangs masqués, sélectionnez le tableau, puis choisissez Format > Tableau > Afficher tous les rangs ou Afficher toutes les colonnes. Redimensionnement de rangs et de colonnes Redimensionnez tous les rangs et les colonnes afin qu’ils aient la même taille, ou redimensionnez uniquement des rangs et des colonnes en particulier. Voici différentes manières de redimensionner des rangs et des colonnes : m Pour que tous les rangs soient de la même taille, sélectionnez le tableau, puis choisissez Tableau > « Répartir les rangs uniformément ». m Pour que toutes les colonnes soient de la même taille, choisissez Tableau > « Répartir les colonnes uniformément ». m Pour redimensionner un seul rang, faites glisser vers le haut ou le bas la bordure inférieure de l’onglet de référence du rang. Vous pouvez également sélectionner le rang et utiliser le champ Hauteur du rang de l’Inspecteur des tableaux. m Pour redimensionner une colonne, faites glisser vers la droite ou la gauche la bordure droite de l’onglet de référence de la colonne. Vous pouvez également sélectionner une cellule et utiliser le champ Largeur de colonne de l’Inspecteur des tableaux.80 Chapitre 3 Utilisation de tableaux m Pour que plusieurs rangs soient de la même taille, sélectionnez une ou plusieurs cellules dans les rangs et sélectionnez Tableau > « Répartir les rangs uniformément ». Les rangs peuvent ne pas être adjacents. Vous pouvez également faire glisser vers le haut ou le bas la bordure inférieure de l’onglet de référence d’un rang ou utiliser le champ Hauteur du rang dans l’inspecteur des tableaux. m Pour que plusieurs colonnes soient de la même taille, sélectionnez une ou plusieurs cellules dans les colonnes et sélectionnez Tableau > « Répartir les colonnes uniformé- ment ». Les colonnes peuvent ne pas être adjacentes. Vous pouvez également faire glisser vers la gauche ou la droite la bordure droite de l’onglet de référence d’une colonne, ou utiliser le champ Largeur de colonne dans l’inspecteur des tableaux. m Pour réduire un rang ou une colonne pour éliminer l’espace non utilisé par les valeurs de cellule, sélectionnez une cellule et cliquez sur les boutons Adapter de l’inspecteur des tableaux. Si le contenu de la cellule est tronqué après l’avoir redimensionnée, reportez-vous à la rubrique « Affichage d’un contenu trop long pour la cellule » à la page 61. Alternance de couleurs des rangs Alternez la couleur d’arrière-plan d’un rang sur deux afin de conférer au tableau un effet de bandes. Pour alterner les couleurs des rangs : 1 Sélectionnez le tableau. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils puis cliquez sur le bouton Inspecteur des tableaux. 3 Sélectionnez Alternance de la couleur de rang. 4 Cliquez sur le cadre de couleurs adjacent pour ouvrir la fenêtre Couleurs, puis sélectionnez une couleur pour les rangs alternés. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 179 pour en connaître les instructions. 5 Pour modifier les propriétés de remplissage des autres rangs, utilisez les contrôles Arrière-plan de l’Inspecteur des tableaux. Reportez-vous à la rubrique « Remplissage d’un objet en couleur » à la page 178 pour en connaître les instructions.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 81 Utilisation des cellules d’un tableau Vous pouvez diviser et fusionner des cellules d’un tableau, les redimensionner, leur appliquer une mise en forme, les masquer, ajouter des commentaires et plus encore. Fusion des cellules d’un tableau La fusion des cellules d’un tableau consiste à combiner des cellules adjacentes en une seule cellule, éliminant ainsi les bordures afin qu’elles se comportent comme une cellule unique. Pour fusionner les cellules d’un tableau : 1 Sélectionnez un groupe de deux cellules adjacentes ou plus. Le groupe de cellules sélectionné doit former un rectangle ; sélectionnez uniquement des cellules de corps ou d’en-tête. 2 Sélectionnez Tableau > Fusionner les cellules. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Fusionner de l’inspecteur des tableaux. La fusion horizontale de cellules adjacentes ne contenant que du texte ou un mélange de texte, de nombres, de valeurs mises en forme et de formules, revient à joindre le contenu de toutes les cellules d’origine en texte séparé par des tabulations. De même, la fusion verticale de cellules adjacentes ne contenant que du texte ou un mélange de texte, de nombres, des valeurs mises en forme et de formules, revient à joindre le contenu de toutes les cellules d’origine en texte séparé par un retour chariot. Lors de la fusion de cellules de colonne, l’arrière-plan des cellules reprend l’image ou la couleur de la cellule la plus en haut. Lors de la fusion de cellules de rang, l’arrière-plan des cellules reprend l’image ou la couleur de la cellule la plus à gauche. Lorsqu’une cellule contenant du texte, un nombre, une formule ou un format de cellule est fusionnée avec une cellule vide, la nouvelle cellule conserve le contenu de la cellule non vide. Lorsqu’une cellule contenant un format de nombre est fusionnée avec une cellule vide, la nouvelle cellule conserve également le format de nombre. Division des cellules d’un tableau La division de cellules scinde chaque cellule sélectionnée en deux parts égales, horizontalement (rangs) ou verticalement (colonnes). Les deux nouvelles cellules présentent des couleurs ou images d’arrière-plan identiques. Tout texte présent dans la cellule d’origine reste dans la cellule la plus en haut ou la plus à gauche.82 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Pour fusionner des cellules horizontalement ou verticalement : 1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules du tableau. Pour diviser une colonne ou un rang entier, sélectionnez toutes les cellules de la colonne ou du rang. 2 Pour diviser des cellules en rangs, choisissez Tableau > Diviser en rangées. Pour diviser des cellules en colonnes, choisissez Tableau > Diviser en colonnes. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Diviser de l’inspecteur des tableaux. 3 Pour créer des unités de plus en plus petites, répétez les étapes 1 et 2 pour diviser les cellules. Pour réunir les cellules divisées, fusionnez-les tel que décrit à la rubrique « Fusion des cellules d’un tableau » à la page 81. Mise en forme bords d’une cellule Vous pouvez modifier l’épaisseur et la couleur des bordures des cellules d’un tableau. Vous pouvez également masquer la bordure de n’importe quelle cellule. Pour mettre en forme les bordures de cellule de tableau : 1 Sélectionnez les segments de bordure de cellule à mettre en forme. Reportez-vous à la rubrique « Sélection des bordures des cellules d’un tableau » à la page 56 pour en connaître les instructions. 2 Utilisez les contrôles de la barre des formats ou de l’inspecteur des tableaux. Menu local Trait : permet de choisir un style de trait. Sélectionnez Aucun pour masquer les bordures. Épaisseur de ligne : permet de contrôler l’épaisseur du trait. Source de couleur : permet de choisir une couleur de trait. Cliquer pour choisir un style de trait. Cliquer pour choisir une épaisseur de ligne. Cliquer pour choisir une couleur de trait.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 83 Lorsque vous cliquez sur le cadre de couleurs dans la barre des formats, un tableau de couleurs s’affiche. Cliquez sur une couleur pour la sélectionner ou cliquez sur Afficher les couleurs pour ouvrir la fenêtre Couleurs qui contient d’autres couleurs. Lorsque vous cliquez sur le cadre de couleurs de l’Inspecteur des tableaux, la fenêtre Couleurs apparaît. La rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 179 contient les instructions d’utilisation de cet outil. Copie et déplacement de cellules Pour déplacer ou copier des cellules de tableau, vous pouvez utiliser les commandes ou les faire glisser. Voici différentes manières de copier et de déplacer des cellules : m Pour déplacer des cellules dans un tableau ou vers un autre tableau, sélectionnez une cellule ou des cellules adjacentes, puis cliquez et faites glisser la sélection par sa bordure jusqu’à ce que les cellules de destination soient sélectionnées. Toutes les valeurs des cellules de destination sont remplacées. m Pour copier des cellules dans un tableau ou dans un autre, faites glisser les cellules sélectionnées tout en maintenant la touche Option enfoncée. Toutes les valeurs des cellules de destination sont remplacées. Vous pouvez copier des cellules en les sélectionnant puis en choisissant Édition > Copier; il suffit alors de sélectionner les cellules de destination et de choisir Édition > Coller. m Pour insérer des cellules copiées sans écraser les cellules de destination, sélectionnez Insérer > Colonnes copiées ou Insérer > Rangs copiés après avoir sélectionné les cellules de destination. Colonnes copiées : ajoute de nouvelles colonnes pour recevoir les cellules copiées. Rangs copiés : ajoute de nouveaux rangs pour recevoir les cellules copiées. Lorsqu’une valeur de cellule est remplacée, tout commentaire associé à la cellule l’est également.84 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Pour savoir comment copier et déplacer des rangs et des colonnes à l’aide des onglets de référence, reportez-vous à la rubrique « Redisposition des rangs et des colonnes » à la page 76. Reportez-vous à la rubrique « Copie ou déplacement des formules contenant des réfé- rences de cellules » à la page 102 pour en savoir plus sur les techniques permettant de dupliquer ou de déplacer une cellule contenant une formule. Ajout de commentaires Utilisez des commentaires pour préciser des informations sur des cellules du tableau. Il existe différentes manières de travailler avec les commentaires : m Pour ajouter un commentaire à une cellule, sélectionnez-la et cliquez sur Commentaire dans la barre d’outils. Tapez le commentaire dans le champ correspondant. m Pour déplacer un commentaire, faites-le glisser. m Pour masquer tous les commentaires, sélectionnez Présentation > Masquer les commentaires. Un marqueur jaune s’affiche chaque fois qu’une cellule de tableau contient un commentaire. Pour masquer un commentaire, cliquez sur le signe - dans la partie supérieure droite du champ de commentaire. m Pour afficher un commentaire masqué, cliquez sur le marqueur correspondant. Pour afficher tous les commentaires, sélectionnez Présentation > Afficher les commentaires. m Pour supprimer un commentaire, cliquez sur la croix X dans la partie supérieure droite du champ de commentaire. m Pour afficher les commentaires à l’impression d’une feuille, affichez les commentaires à imprimer et sélectionnez Fichier > Imprimer la feuille. Réorganisation des tableaux Vous pouvez vous servir des options de tri et de filtrage pour réorganiser les données dans les tableaux.  Tri : permet de classer les valeurs de certaines ou toutes les cellules par ordre croissant ou décroissant. Les rangs contenant les cellules choisies pour le classement sont alors réorganisés.  Filtrage : permet de masquer des rangs d’un tableau qui ne contiennent pas les valeurs que vous spécifiez.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 85 Tri des cellules d’un tableau Vous avez la possibilité de classer la totalité ou une partie des valeurs d’une colonne par ordre croissant ou décroissant. Les rangs contenant les cellules choisies pour le classement sont alors réorganisés. Les cellules d’en-tête sont exclues de ce classement. Voici différentes manières d’opérer un tri : m Pour trier toutes les cellules d’une colonne, sélectionnez « Trier en ordre croissant » ou « Trier en ordre décroissant » dans le menu local de l’onglet de référence de la colonne. Vous pouvez également cliquer sur Trier et filtrer dans la barre d’outils ou sélectionnez « Afficher le panneau Trier et filtrer » dans le menu local d’un onglet de référence. Utilisez les menus locaux sous Trier pour sélectionner une colonne et un ordre de tri. m Pour retrier les valeurs après les avoir modifiées, cliquez sur Rafraîchir dans le panneau Trier et filtrer. m Pour ne trier que certaines cellules d’une colonne, sélectionnez les cellules, ouvrez le panneau Trier et filtrer, sélectionnez un ordre de tri et cliquez sur Rafraîchir. m Pour trier toutes les cellules d’une colonne et retrier les résultats en tenant compte des valeurs d’une autre colonne, ouvrez le panneau Trier et filtrer, sélectionnez une colonne et un ordre de tri dans les menus locaux Trier, cliquez sur le signe +, sélectionnez une autre colonne et un ordre de tri puis cliquez sur Rafraîchir. Pour ajouter des critères de tri, cliquez sur le signe + pour définir chaque critère que vous souhaitez ajouter. Le tableau suivant décrit de quelle manière les différents types de données sont classés, par ordre croissant ou décroissant. Type de données Ordre croissant Ordre décroissant Texte aA–zZ Zz–Aa Dates Année (la moins récente en premier), puis Mois (Janvier en premier) et Jour (1-31) Année (la plus récente en premier), puis Mois (Décembre en premier) et Jour (3-11) Nombres –2, –1, 0, 1, etc. 1, 0, –1, –2, etc. Cellules ne contenant que du texte, combinées avec d’autres ne contenant que des nombres –2, –1, 0, 1, etc., puis aA–zZ Zz–Aa, puis 1, 0, –1, –2, etc. Cellules contenant un mélange de texte et de nombres Valeurs commençant par les nombres en premier (1z, 1Z, a1, A1) Valeurs commençant par du texte en premier (A1, a1, 1A, 1z) Cellules vides En bas de la liste En bas de la liste Booléen (VRAI/FAUX) Au-dessous du texte et au-dessus d’une cellule vide Au-dessus des valeurs texte86 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Filtrage des rangs Vous pouvez masquer des rangs d’un tableau qui ne contiennent pas les valeurs spécifiées. Pour spécifier les critères des rangs que vous souhaitez afficher : 1 Sélectionnez le tableau. 2 Cliquez sur Trier et filtrer dans la barre d’outils ou sélectionnez « Afficher le panneau Trier et filtrer » dans le menu local d’un onglet de référence. 3 Sélectionnez « Afficher les rangées qui correspondent à ceci » puis la colonne dont vous souhaitez utiliser les valeurs pour créer les critères de filtre. 4 Utilisez les autres contrôles pour définir la valeur de colonne des rangs à afficher. 5 Pour ajouter des critères de filtre, cliquez sur le signe + pour définir chaque critère que vous souhaitez ajouter. Si vous sélectionnez « parmi les premières n valeurs » ou « parmi les dernières n valeurs », toutes les valeurs correspondant aux n valeurs supérieures ou inférieures s’affichent, ce qui peut ainsi donner plus de valeurs que n. Si les critères de filtre masquent un nouveau rang vide, vous ne pourrez pas ajouter de nouveaux rangs tant que vous n’aurez pas redéfini le filtre. Pour ne plus filtrer les rangs du tableau, décochez « Afficher les rangées qui correspondent à ceci ».4 87 4 Utilisation des styles de tableaux Ce chapitre explique comment utiliser des styles de tableaux pour gérer rapidement l’apparence des tableaux et leur attribuer une cohérence visuelle. Il peut s’avérer judicieux d’utiliser des caractéristiques visuelles distinctes pour les diffé- rents tableaux inclus dans votre feuille de calcul Numbers. Par exemple, vous pouvez utiliser un arrière-plan et une bordure bleus pour un tableau contenant des entrées et des hypothèses, et un arrière-plan et une bordure gris pour un tableau contenant des résultats de calcul. Le moyen le plus simple de modifier l’apparence d’un tableau est de lui appliquer un style applicable aux tableaux. Les styles de tableaux garantissent la cohérence de la mise en forme de ces éléments. Les modèles Numbers comportent un certain nombre de styles prêts à l’emploi. Vous pouvez aussi modifier les styles des modèles ou créer vos propres styles. Utilisation de styles applicables aux tableaux Un style de tableau correspond à une mise en forme prédéfinie applicable à un tableau d’un simple clic de souris. Un style de tableau prédéfinit les attributs suivants :  l’arrière-plan du tableau (sous forme de couleur ou d’image) et son opacité ;  les traits, la couleur et l’opacité des bordures des cellules de corps, ainsi que les bordures extérieures du rang et de la colonne d’en-tête et du rang de bas de page ;  l’arrière-plan (sous forme de couleur ou d’image, ainsi que l’opacité) et les attributs du texte des cellules constituant le tableau, y compris les cellules d’en-tête et de bas de page.88 Chapitre 4 Utilisation des styles de tableaux Application de styles à des tableaux Après avoir appliqué un style à un tableau, vous pouvez modifier la mise en forme définie par ce style. Cette modification est connue sous le nom de substitution. Si vous appliquez ensuite un autre style au tableau, vous pouvez conserver ou supprimer les substitutions que vous avez ainsi effectuées. Il existe plusieurs manières d’appliquer un style à un tableau : m Pour remplacer un style de tableau et supprimer les substitutions effectuées, sélectionnez le tableau, cliquez sur la flèche à droite du style à appliquer, puis sélectionnez Effacer et appliquer le style. Vous pouvez également sélectionner Format > Appliquer à nouveau le style de tableau. m Pour remplacer un style appliqué à un tableau mais conserver les substitutions effectuées, sélectionnez le tableau, puis cliquez sur le nom d’un style dans la sous-fenêtre Styles située à gauche de la fenêtre. Vous pouvez également sélectionner un tableau, cliquer sur la flè- che à droite du style à appliquer, puis sélectionner « Effacer et appliquer le style ». Vous pouvez également faire glisser le nom d’un style depuis la sous-fenêtre Styles sur un tableau. Il n’est pas nécessaire de sélectionner le tableau dans ce cas. m Pour remplacer le style de tous les tableaux d’une feuille mais conserver les substitutions, faites glisser le nom d’un style depuis la sous-fenêtre Styles sur l’icône représentant une feuille dans la sous-fenêtre Feuilles. Modification du style d’un tableau Dans la plupart des cas, vous pouvez changer l’apparence d’un tableau en y appliquant un autre style. Vous pouvez également redéfinir des attributs du style affecté au tableau ou copier/coller le style pour modifier le style d’un tableau. Modification d’attributs d’un style de tableau Vous pouvez modifier l’apparence d’un tableau en agissant sur les attributs de son style. Il existe plusieurs manières de modifier des attributs du style d’un tableau : m Pour modifier la couleur d’arrière-plan d’un tableau, des cellules d’en-tête ou des cellules de corps, sélectionnez le tableau ou les cellules et cliquez sur le cadre Remplir de la barre des formats. Vous pouvez utiliser les commandes « Arrière-plan de cellule » de l’Inspecteur des tableaux pour apporter d’autres modifications à la sélection. Reportez-vous aux rubriques « Remplissage d’un objet avec une image » à la page 180 et « Remplissage d’un objet en couleur » à la page 178 pour en savoir plus sur ces commandes. Pour modifier l’opacité de l’arrière-plan, utilisez les commandes Opacité de l’Inspecteur des graphismes. Reportez-vous à la rubrique « Ajustement de l’opacité » à la page 176 pour en connaître les instructions.Chapitre 4 Utilisation des styles de tableaux 89 m Pour modifier le trait et la couleur des bordures de cellules d’un tableau, suivez les instructions indiquées dans la rubrique « Mise en forme bords d’une cellule » à la page 82. m Pour mettre en forme le texte d’une ou plusieurs cellules, sélectionnez-les. Pour modifier la couleur, l’alignement et l’espacement du texte dans une cellule, utilisez la barre des formats de l’Inspecteur du texte (pour ouvrir ce dernier, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur du texte). Pour modifier des attributs applicables aux polices, utilisez le panneau Police (accessible en cliquant sur Polices dans la barre d’outils). Si vous souhaitez utiliser les modifications permettant de redéfinir le style de tableau et les appliquer à l’ensemble de la feuille de calcul, cliquez sur la flèche à droite du style, puis choisissez « Redéfinir le style à partir du tableau ». Tous les tableaux de la feuille de calcul qui utilisent le style sont alors actualisés pour refléter les modifications que vous avez apportées, mais les substitutions restent néanmoins intactes. Vous pouvez également créer un style utilisant les modifications que vous avez effectuées, en cliquant sur la flèche à droite du style, puis en choisissant « Créer un nouveau style ». Copie et collage de styles de tableaux Vous pouvez modifier l’apparence d’un tableau par copier/coller de styles de tableaux et de cellules. Voici différentes manières de copier et de coller des styles de tableaux : m Pour copier le style d’une cellule, sélectionnez-la et sélectionnez Format > Copier le style. m Pour appliquer un style de cellule copié à d’autres cellules, sélectionnez ces cellules et choisissez Format > Coller le style. m Pour coller un tableau copié utilisant le style de tableau par défaut de la feuille de calcul, choisissez Édition > Coller et appliquer le style actuel. Utilisation du style de tableau par défaut Chaque feuille de calcul possède un style, applicable aux tableaux, désigné sous le nom de style de tableau par défaut. Il s’agit du style appliqué par défaut aux nouveaux tableaux. Pour changer le style par défaut des tableaux : m Cliquez sur la flèche à droite du style que vous voulez utiliser comme style par défaut et sélectionnez « Définir comme style par défaut pour les nouveaux tableaux ». Pour exploiter le style de tableau par défaut applicable à un tableau réutilisable, suivez les instructions de la rubrique « Définition de tableaux réutilisables » à la page 52.90 Chapitre 4 Utilisation des styles de tableaux Création de styles applicables aux tableaux Vous pouvez créer un style de tableau en modifiant la mise en forme d’un tableau et en enregistrant celle-ci comme style de tableau. Pour créer un style applicable aux tableaux : 1 Suivez les instructions de la rubrique « Modification d’attributs d’un style de tableau » à la page 88 pour appliquer les effets visuels souhaités. 2 Sélectionnez le tableau, cliquez sur la flèche à droite du style souhaité dans la sous-fenêtre Styles, puis choisissez « Créer un nouveau style ». 3 Attribuez un nom unique à chaque nouveau style, puis cliquez sur OK. Le nouveau style de tableau, qui apparaît à présent dans la sous-fenêtre Styles, peut être appliqué à n’importe quel tableau de votre feuille de calcul. Pour que le nouveau style soit disponible dans d’autres feuilles de calcul, créez un modèle à partir de cette feuille. Voir « Conception d’un modèle » à la page 208 pour en savoir plus. Renommer un style applicable aux tableaux Vous pouvez changer le nom d’un style applicable à des tableaux. Pour renommer un style applicable aux tableaux : 1 Cliquez sur la flèche à droite du style dans la sous-fenêtre Styles. 2 Choisissez Renommer le style. 3 Modifiez le nom du style en vous assurant qu’il est unique dans la feuille de calcul. 4 Appuyez sur Retour. Suppression d’un style de tableau Si vous supprimez un style de tableau utilisé dans une feuille de calcul, vous devez en choisir un autre pour le remplacer. Pour supprimer un style : 1 Cliquez sur la flèche à droite du style dans la sous-fenêtre Styles. 2 Choisissez Supprimer le style. 3 Si le style que vous souhaitez supprimer est utilisé dans la feuille de calcul active, choisissez un style pour le remplacer, puis cliquez sur OK.5 91 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux Ce chapitre vous explique comment effectuer des calculs dans les cellules des tableaux à l’aide de formules et de fonctions. Pour obtenir des instructions sur l’ajout et la mise en forme des tableaux, ainsi que des données qu’ils contiennent, reportez-vous au chapitre 3, « Utilisation de tableaux » à la page 46. Pour obtenir des informations détaillées sur chaque fonction, reportez-vous au chapitre 12, « Dictionnaire des fonctions » à la page 214. Utilisation des formules Une formule est une expression mathématique utilisant des opérations pour déterminer une valeur. Vous pouvez ajouter une formule à la cellule d’un tableau afin d’afficher une valeur dérivée des valeurs d’autres cellules. Par exemple, vous pouvez ajouter une formule à la cellule située au bas d’une colonne ajoutant les nombres se trouvant dans les autres cellules de la colonne. Si une des valeurs de la colonne change, le total dans la cellule du bas change alors automatiquement. Les formules permettent d’obtenir des valeurs grâce à un calcul effectué à l’aide d’opé- rateurs et de fonctions.  Les opérateurs effectuent les opérations arithmétiques de base telles que l’addition (+) et la multiplication (*) Voici une formule qui additionne des valeurs : =A2 + 16. A2 est une référence à une cellule ; la deuxième de la première colonne. La valeur 16 est une constante car il s’agit d’une valeur particulière qui n’utilise aucun opérateur et aucune fonction. La valeur de la cellule A2 est ajoutée à la valeur 16. La somme apparaît dans la cellule qui contient la formule. Les formules commencent toujours par le signe égal (=). Pour simplifier, le signal égal est omis dans les exemples de l’ensemble de la documentation Numbers.  Tandis que les fonctions sont des opérations nommées et prédéfinies, telles que SOMME et MOYENNE.92 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux Pour utiliser une fonction, vous devez lui attribuer un nom puis indiquer, entre parenthèses à la suite de ce nom, les arguments dont elle a besoin. Les arguments précisent les données que la fonction doit utiliser lorsqu’elle effectue les opérations qui lui sont prévues. Voici une formule qui additionne les valeurs de neuf cellules adjacentes de la première colonne : SOMME(A2:A10). Dans ce cas, nous rencontrons un seul argument, à savoir « A2:A10 ». Le symbole deux-points indique que la formule utilise les valeurs des cellules A2 à A10 incluses. Il n’est pas nécessaire d’en savoir plus pour être en mesure d’utiliser des formules dans des tableaux. Les modèles (tels que Comparateur de prêts et Calcul d’hypothèque) et les outils d’édition de formules (tels que l’éditeur de formules et la barre des formules) simplifient l’utilisation des formules de base. Visite guidée de l’utilisation des formules Passer en revue les formules intégrées au modèle Facture constitue une bonne introduction à l’utilisation de formules dans Numbers. 1 Créez une feuille de calcul Numbers en utilisant le modèle Facture. Ouvrez Numbers ; dans le sélecteur de modèles, cliquez sur Affaires, sélectionnez Facture et cliquez sur Choisir. Le tableau Facture dans ce modèle utilise des formules pour calculer les valeurs de la colonne Coût. 2 Double-cliquez sur la valeur en dollars située en haut de la colonne Coût. L’Éditeur de formules s’ouvre alors, mettant en évidence que cette valeur est le résultat d’une formule. Une formule dans chaque cellule de la colonne Coût actualise les valeurs Coût lorsque les valeurs d’autres cellules changent. La formule multiplie la valeur de la cellule Quantité et celle de la cellule Prix à l’unité du rang. L’astérisque (*) est l’opérateur de multiplication.Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 93 Les noms dans le rang d’en-tête (Quantité et Prix à l’unité) sont utilisés dans la formule pour faire référence à deux cellules. L’utilisation du texte de l’en-tête pour faire réfé- rence aux cellules rend les formules plus lisibles. Mais vous pouvez également utiliser les lettres et les nombres des onglets de référence comme nous le verrons à l’étape 4. 3 Si la valeur d’une des cellules de la colonne Quantité ou Prix à l’unité change, la formule associée à Prix met à jour la valeur qui y est affichée. Pour le constater, tapez une valeur dans les cellules Quantité et Prix à l’unité dans un rang au choix et observez l’actualisation de la valeur de la cellule Coût adjacente. 4 Double-cliquez sur la cellule de la colonne Coût dans le rang contenant Sous-total. Dans cette formule, deux cellules sont identifiées en utilisant les identificateurs des onglets de référence. Lorsque vous utilisez ces identificateurs pour identifier une cellule dans une formule, spécifiez d’abord la lettre de la colonne, puis le numéro du rang. La notation utilisée pour faire référence à une cellule est appelée une référence de cellule. Comme nous l’avons vu, vous pouvez créer une référence de cellule en utilisant un texte d’en-tête ou en utilisant un identificateur de l’onglet de référence. 5 La formule Sous-total utilise une fonction nommée SOMME. Une fonction est une opération prédéfinie. La fonction SOMME ajoute les valeurs spécifiées entre parenthèses. Dans cet exemple, la fonction SOMME ajoute les valeurs des cellules D2 à D9. Le signe deux points (:) est une manière raccourcie de faire référence à une plage de cellules. 6 Les valeurs de la colonne Coût sont mises en forme pour être affichées en utilisant un format de cellule (devise). Les colonnes sont référencées alphabétiquement. Les rangs, eux, sont référencés par des valeurs numériques. La cellule D2 se trouve à l’intersection de la colonne D et du rang 2.94 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux Pour voir les réglages de format des cellules, fermez d’abord l’Éditeur de formules en clichant en dehors du tableau. Cliquez ensuite sur le tableau, puis sur n’importe quelle cellule de la colonne Coût. Cliquez ensuite sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des cellules. Pour en savoir plus sur les options d’affichage des valeurs dans les cellules d’un tableau, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des valeurs de cellule » à la page 62. Réalisation de calculs instantanés Les résultats des calculs les plus courants utilisant la valeur d’au moins deux cellules sélectionnées s’affichent dans la partie inférieure gauche de la fenêtre Numbers. Pour réaliser des calculs instantanés : 1 Sélectionnez au moins deux cellules du tableau. Elles peuvent ne pas être adjacentes. Le résultat des calculs des valeurs de ces cellules s’affiche instantanément dans la partie inférieure gauche de la fenêtre. Somme : somme des valeurs numériques se trouvant dans les cellules sélectionnées. Moy : moyenne des valeurs numériques se trouvant dans les cellules sélectionnées. Min : le plus petit nombre parmi les cellules sélectionnées. Max : plus grand nombre parmi les cellules sélectionnées. Compte : total des valeurs numériques et des valeurs de date et d’heure se trouvant dans les cellules sélectionnées. Dans cet exemple, un signe $ est affiché devant les nombres des cellules. Les nombres sont exprimés sur deux décimales. Les résultats dans la partie inférieure gauche sont calculés à partir des valeurs des deux cellules sélectionnées.Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 95 Les cellules vides et les cellules qui contiennent d’autres types de valeurs ne sont pas utilisées dans les calculs. 2 Pour réaliser une autre série de calculs instantanés, sélectionnez d’autres cellules. Si un calcul particulier s’avère très utile et que vous souhaitez l’intégrer dans un tableau, vous pouvez l’ajouter comme formule dans une cellule vide du tableau. Il suffit de faire glisser vers une cellule vide la somme, la moyenne ou tout autre élément se trouvant dans la partie inférieure gauche de la fenêtre. La cellule vide peut ne pas se trouver dans le même tableau que celui où se trouvent les cellules servant aux calculs. Ajout d’une formule rapide Un moyen simple de réaliser un calcul élémentaire à partir de valeurs se trouvant dans des cellules adjacentes consiste à ajouter une formule rapide via le menu local visible lorsque vous cliquez sur Fonction dans la barre d’outils. Voici des opérations que vous pouvez effectuer en utilisant le menu local : m Choisissez une des options suivantes pour effectuer des calculs utilisant les valeurs des cellules sélectionnées. Les cellules vides et les cellules qui contiennent des valeurs non mentionnées sont ignorées. Somme : calcule la somme des valeurs numériques des cellules. Moyenne : calcule la moyenne arithmétique des valeurs des cellules. Minimum : détermine la plus petite valeur des cellules. Maximum : détermine la plus grande valeur des cellules. Compte : détermine le total des nombres ou des valeurs de date ou d’heure dans les cellules. Produit : multiplie toutes les valeurs numériques des cellules. m Sélectionnez Autres fonctions pour ouvrir le navigateur de fonctions. Pour en savoir plus sur cet outil, consultez la rubrique « Utilisation des fonctions » à la page 106. m Sélectionnez Éditeur de formules pour ouvrir cet outil. Vous trouverez les instructions d’utilisation dans la rubrique « Utilisation de l’Éditeur de formules » à la page 97.96 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux Calcul élémentaire avec des valeurs d’une même ligne À l’aide du menu local du bouton Fonction de la barre d’outils, il est facile de réaliser des calculs élémentaires à partir de valeurs adjacentes d’une même colonne et d’en afficher les résultats. Voici plusieurs façons d’effectuer des calculs élémentaires à partir de valeurs se trouvant dans une même colonne : m Pour utiliser les valeurs de cellules adjacentes, sélectionnez les cellules, cliquez sur Fonction dans la barre d’outils et sélectionnez une formule de calcul dans le menu local. Numbers place la formule et son résultat dans la première cellule vide rencontrée en dessous de celles sélectionnées. S’il n’existe aucune cellule vide, Numbers ajoute une ligne pour conserver le résultat. m Pour utiliser toutes les valeurs d’une colonne, cliquez sur la cellule d’en-tête de colonne ou sur l’onglet de référence, puis sur Fonction dans la barre d’outils, et sélectionnez enfin une formule de calcul dans le menu local. Numbers place cette formule et son résultat sur un rang de bas de page. Si ce rang n’existe pas, Numbers en ajoute un. Calcul élémentaire avec des valeurs d’un même rang À l’aide du menu local du bouton Fonction de la barre d’outils, il est facile de réaliser des calculs élémentaires à partir de valeurs adjacentes d’un même rang et d’en afficher les résultats. Voici plusieurs façons d’effectuer des calculs élémentaires à partir de valeurs se trouvant sur un même rang : m Pour utiliser les valeurs de cellules adjacentes, sélectionnez les cellules, cliquez sur Fonction dans la barre d’outils et sélectionnez une formule de calcul dans le menu local. Numbers place la formule et son résultat dans la première cellule vide rencontrée à droite de celles sélectionnées. S’il n’existe aucune cellule vide, Numbers ajoute une colonne pour conserver le résultat. m Pour utiliser toutes les valeurs d’un rang, cliquez sur la cellule d’en-tête de rang ou sur l’onglet de référence, puis sur Fonction dans la barre d’outils, et sélectionnez enfin une formule de calcul dans le menu local. Numbers place cette formule et son résultat dans une nouvelle colonne. Suppression d’une formule Si vous ne voulez plus utiliser une formule associée à une cellule, vous pouvez la supprimer rapidement. Pour supprimer une formule d’une cellule : 1 Sélectionnez la cellule. 2 Appuyez ensuite sur la touche Suppr.Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 97 Utilisation de l’Éditeur de formules L’Éditeur de formules vous permet de créer et de modifier des formules. Vous pouvez ouvrir l’Éditeur de formules de plusieurs façons : m Sélectionnez une cellule du tableau, puis saisissez le signe égal (=). m Double-cliquez sur une cellule du tableau contenant une formule. m Cliquez sur Fonction dans la barre d’outils et sélectionnez Éditeur de formules dans le menu local. Lorsqu’il s’ouvre, l’Éditeur de formules apparaît au-dessus de la cellule sélectionnée. Pour le déplacer, placez le curseur sur le côté gauche de l’Éditeur de formules jusqu’à ce qu’il prenne la forme d’une main, puis cliquez et faites glisser. Lorsque vous sélectionnez une cellule contenant une formule, ses arguments apparaissent en couleur et la formule s’affiche dans la barre des formules qui sert également à modifier des formules. Pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la barre des formules » à la page 98. Ajout d’une nouvelle formule à l’aide de l’Éditeur de formules Pour créer une formule, utilisez l’Éditeur de formules. Pour ajouter une nouvelle formule à l’aide de l’Éditeur de formules : 1 Sélectionnez la cellule dans laquelle vous voulez afficher le résultat de la formule. 2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=). 3 Utilisez le champ de texte pour spécifier la formule en veillant à ce que le signe égal soit le premier caractère utilisé. Pour connaître les techniques qui permettent d’inclure des références de cellules dans les formules, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des références de cellules » à la page 100. Pour en savoir plus sur l’utilisation des opérateurs dans les formules, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des opérateurs » à la page 104. Pour savoir comment insérer une fonction dans une formule, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des fonctions » à la page 106. Pour déplacer l’Éditeur de formules, cliquez ici et faites-le glisser. Champ de texte Afficher ou modifier une formule. Bouton Annuler Annuler les modifications. Bouton Accepter Enregistrer les modifications.98 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 4 Pour enregistrer les modifications, appuyez sur Retour, appuyez sur Entrée ou cliquez sur le bouton Accepter de l’Éditeur de formules. Vous pouvez aussi cliquer à l’extérieur du tableau. Pour fermer l’Éditeur de formules et annuler les modifications, appuyez sur la touche Échap ou cliquez sur le bouton Annuler de l’Éditeur de formules. Modification d’une formule à l’aide de l’Éditeur de formules Pour modifier une formule, vous pouvez utiliser l’Éditeur de formules. Pour modifier une formule : 1 Double-cliquez sur une cellule du tableau contenant une formule. L’Éditeur de formules s’ouvre, la formule apparaît dans le champ de texte et ses arguments sont mis en surbrillance de couleur. 2 Effectuez les modifications nécessaires. Vous pouvez utiliser les touches fléchées pour déplacer le point d’insertion dans le champ de texte. 3 Pour enregistrer les modifications, appuyez sur Retour, appuyez sur Entrée ou cliquez sur le bouton Accepter de l’Éditeur de formules. Vous pouvez aussi cliquer à l’extérieur du tableau. Pour fermer l’Éditeur de formules et annuler les modifications, appuyez sur la touche Échap ou cliquez sur le bouton Annuler de l’Éditeur de formules. Utilisation de la barre des formules La barre des formules, située sous la barre des formats, permet de créer ou de modifier la formule de la cellule sélectionnée. Si vous cliquez sur une cellule de formule sélectionnée, l’éditeur de formules s’ouvre où vous pouvez modifier la formule au lieu d’utiliser la barre des formules. Reportez-vous à la rubrique « Modification d’une formule à l’aide de l’Éditeur de formules » à la page 98 pour en savoir plus. Champ de texte Afficher ou modifier une formule. Bouton Annuler Annuler les modifications. Bouton Accepter Enregistrer les modifications. Cliquer pour ouvrir le navigateur de fonctions.Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 99 Ajout d’une nouvelle formule à l’aide de la barre de formules Pour créer une formule, utilisez la barre de formules. Pour ajouter une nouvelle formule à l’aide de la barre de formules : 1 Sélectionnez la cellule dans laquelle vous voulez afficher le résultat de la formule. 2 Cliquez dans le champ de texte de la barre des formules pour y saisir la formule. Vérifiez que le signe égal (=) est le premier caractère de la formule. Pour connaître les techniques qui permettent d’inclure des références de cellules dans les formules, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des références de cellules » à la page 100. Pour en savoir plus sur l’utilisation des opérateurs dans les formules, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des opérateurs » à la page 104. Pour savoir comment insérer une fonction dans une formule, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des fonctions » à la page 106. 3 Pour enregistrer les modifications, appuyez sur Retour ou Entrée, ou cliquez sur le bouton Accepter de la barre de formules. Pour annuler les modifications, appuyez sur Échap ou cliquez sur le bouton Annuler de la barre des formules.100 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux Modification d’une formule à l’aide de la barre de formules Pour modifier une formule, vous pouvez utiliser la barre de formules. Pour modifier une formule : 1 Sélectionnez une cellule du tableau contenant une formule. La formule s’affiche dans le champ de texte de la barre de formules et ses arguments s’affichent en couleur. 2 Cliquez dans la barre des formules et effectuez les modifications nécessaires. Vous pouvez utiliser les touches fléchées pour déplacer le point d’insertion dans le champ de texte. 3 Pour enregistrer les modifications, appuyez sur Retour ou Entrée, ou cliquez sur le bouton Accepter de la barre de formules. Pour annuler les modifications, appuyez sur Échap ou cliquez sur le bouton Annuler de la barre des formules. Utilisation des références de cellules Vous pouvez utiliser les références de cellules pour identifier des cellules particulières à l’intérieur des formules. Par exemple, si vous ajoutez une formule permettant de calculer la moyenne des valeurs de deux cellules, vous pouvez identifier ces cellules à l’aide de références de cellules. Les cellules peuvent se trouver dans n’importe quel tableau du document que celle avec la formule. Vous pouvez créer des références de cellules à l’aide des lettres et des numéros qui figurent sur les onglets de référence ou à l’aide du nom des cellules d’en-tête :  Si votre tableau comprend à la fois un rang d’en-tête et une colonne d’en-tête, vous pouvez identifier une cellule à l’aide du nom de la colonne suivi du nom du rang. Par exemple, si une colonne est intitulée 2006 et un rang a pour en-tête Nombre d’élè- ves inscrits, la cellule se trouvant à l’intersection de cette colonne et de ce rang peut être désignée comme Nombre d’élèves inscrits 2006.  Vous pouvez vous servir des lettres et des numéros des onglets de référence pour identifier une cellule particulière. Il vous suffit de spécifier la lettre de la colonne puis le numéro du rang. Par exemple, C55 fait référence au cinquante-cinquième rang de la troisième colonne. Ajout de références de cellules à une formule Pour insérer une référence à une cellule, vous pouvez cliquer sur une cellule ou sur un onglet de référence, ou sélectionner une plage de cellules lorsque le point d’insertion se trouve dans le champ de texte de l’éditeur de formules ou de la barre de formules. Vous pouvez également insérer une référence à une cellule en la saisissant à l’aide du clavier. Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 101 Lorsque vous insérez une référence de cellule en sélectionnant des cellules ou des onglets de référence, Numbers ajoute des références de cellules qui utilisent le nom des cellules d’en-tête si l’option « Utiliser le nom des cellules d’en-tête comme référence » est sélectionnée dans la sous-fenêtre Général des préférences de Numbers. Lorsque vous saisissez une référence de cellule comprenant le nom d’une cellule d’entête, d’un tableau ou d’une feuille, Numbers propose une liste de suggestions au fur et à mesure des caractères saisis. Vous pouvez sélectionner une suggestion de la liste ou continuer à taper au clavier. Voici plusieurs façons d’ajouter une référence de cellule au point d’insertion dans le champ de texte : m Pour créer une référence à une cellule particulière à l’aide de la souris, cliquez sur la cellule en question. Vous pouvez aussi saisir la référence à cette cellule particulière à l’aide du clavier. Pour ce faire, tapez la lettre de la colonne suivie du numéro du rang (A4) tels qu’ils apparaissent dans les onglets de référence ou tapez le nom de la colonne suivi du nom du rang (2006 Nombre d’élèves inscrits). Si l’autre tableau se trouve dans une autre feuille, cliquez sur celle-ci dans la sous-fenêtre Feuilles avant de sélectionner la cellule. Pour faire référence à une cellule d’un autre tableau, reprenez le nom du tableau suivi de deux-points répétés deux fois (::) et de l’identifiant de la cellule (Tableau 2::B5). Pour faire référence à une cellule d’une autre feuille, utilisez d’abord le nom de la feuille (Feuille 2::Tableau 2::Inscription au cours 2006) si le nom du tableau n’est pas unique dans la feuille de calcul. m Pour ajouter une référence à une liste de cellules précises, cliquez sur chacune d’entre elles. Si les références sont des arguments d’une fonction, Numbers insère automatiquement une virgule (,) entre les références, que vous pouvez remplacer par un autre caractère le cas échéant. Par exemple, si vous vous trouvez sur un emplacement dans lequel le séparateur décimal est une virgule, vous pouvez séparer les différentes réfé- rences de cellules avec un point-virgule au lieu d’une virgule. m Pour ajouter une référence à une plage de cellules adjacentes, faites glisser le curseur sur les cellules que vous souhaitez ajouter. Vous pouvez également taper ou cliquer sur la première cellule, taper le caractère deuxpoints, puis taper ou cliquer sur la dernière cellule. Par exemple, B2:B5 fait référence à quatre cellules de la deuxième colonne. B2:C3 fait référence à deux cellules de la deuxième colonne et à deux cellules de la troisième colonne.102 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux m Pour faire référence à toutes les cellules d’une colonne, cliquez sur l’onglet de référence de la colonne ou sur sa cellule d’en-tête, le cas échéant. Vous pouvez saisir la référence en tapant la lettre de la colonne (C ou C:C) ou son nom si elle comprend une cellule d’en-tête. Par exemple, SOMME(B) ou SOMME(B:B) additionne toutes les valeurs des cellules de la deuxième colonne. m Pour faire référence à toutes les cellules d’un rang, cliquez sur l’onglet de référence du rang en question ou sur sa cellule d’en-tête, le cas échéant. Vous pouvez saisir la référence en tapant le numéro du rang (1:1) ou son nom si elle comprend une cellule d’en-tête. Par exemple, SOMME(1:1) additionne toutes les valeurs qui se trouvent dans les cellules du premier rang. Copie ou déplacement des formules contenant des références de cellules Vous pouvez copier ou déplacer une formule contenant des références de cellules sans que ces dernières ne deviennent non valides. Voici quelques techniques permettant de déplacer des formules : m Pour placer une formule dans une autre cellule, faites glisser la cellule dans laquelle elle se trouve jusque sur la cellule de destination souhaitée. Si le tableau est grand et que vous souhaitez déplacer la formule dans une cellule non visible à l’écran, sélectionnez la cellule d’origine, cliquez sur Édition > Signaler pour être déplacé, sélectionnez la cellule de destination et cliquez sur Édition > Déplacer. Par exemple, si la formule =A1 se trouve dans la cellule D1 et que vous souhaitez déplacer cette formule dans la cellule X1, sélectionnez D1, cliquez sur Édition > Signaler pour être déplacé, puis sélectionnez X1 et cliquez sur Édition > Déplacer. La formule =A1 s’affiche désormais dans la cellule X1. m Pour déplacer une cellule à laquelle une formule fait référence, déplacez la cellule en la faisant glisser ou cliquez sur Édition > Signaler pour être déplacé, puis sur Édition > Déplacer. Par exemple, si la formule =A1 se trouve dans la cellule D1 et que vous souhaitez déplacer la cellule A1 à la cellule D95, sélectionnez A1, cliquez sur Édition > Signaler pour être déplacé, puis sélectionnez D95 et cliquez sur Édition > Déplacer. La formule dans D1 devient =D95. m Pour coller une copie d’une formule dans une autre cellule et utiliser les mêmes réfé- rences de cellules dans les deux formules, ajoutez le symbole du dollar ($) devant les identifiants de colonne et de rang (=$A$1). Cette technique permet de créer ce que l’on appelle une référence de cellule absolue. Par exemple, si la formule =A1 apparaît dans la cellule D1 et que vous souhaitez en coller une copie dans la cellule E1, changez la formule en =$A$1, puis sélectionnez la cellule D1, copiez cette dernière et collez la copie dans la cellule E1. La formule $A$1 est copiée dans la cellule E1. Si vous ne modifiez pas la formule avant de la copier de telle sorte qu’elle utilise une référence de cellule absolue, elle apparaîtra dans la cellule E1 sous la forme =B1.Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 103 Application d’une formule aux cellules d’une colonne ou d’un rang en une seule fois Lorsqu’un tableau dispose de cellules d’en-tête, vous pouvez les utiliser pour appliquer rapidement une formule à toutes les cellules d’un rang ou d’une colonne. Les valeurs des cellules sont recalculées d’après la formule. Cette formule est appelée formule d’en-tête. Pour appliquer une formule d’en-tête aux cellules d’une colonne ou d’un rang : 1 Sélectionnez la cellule d’en-tête de la colonne ou du rang. 2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=). 3 Saisissez la formule que vous souhaitez appliquer à chacune des cellules de la colonne ou du rang. Par exemple, pour attribuer aux cellules de la colonne C des valeurs cinq fois plus grandes que celles des cellules correspondantes de la colonne B, la formule à utiliser serait B*5 ou B:B*5. La formule est dupliquée dans toutes les cellules de la colonne ou du rang. Dans cet exemple, la cellule C4 contiendrait la valeur calculée à l’aide de la formule B4*5. 4 Cliquez sur le bouton Accepter ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée pour enregistrer la formule. Gestion des erreurs et des avertissements Si une formule figurant dans une cellule de tableau est incomplète, contient des références de cellules non valides ou est incorrecte, ou bien si une opération d’importation entraîne une erreur dans une cellule, Numbers affiche une icône dans la cellule concernée. Un triangle bleu dans la partie supérieure gauche d’une cellule affiche des alertes. Un triangle rouge au milieu d’une cellule indique une erreur provoquée par une formule. Pour afficher les messages des avertissements et des erreurs : m Cliquez sur l’icône. Un message récapitule chaque erreur et chaque avertissement associés à la cellule. Pour que Numbers affiche une alerte lorsqu’une cellule référencée dans une formule est vide, cliquez sur Numbers > Préférences et sélectionnez « Afficher les avertissements lorsque les formules référent à des cellules vides » dans la sous-fenêtre Général.104 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux Utilisation des opérateurs L’utilisation d’opérateurs dans les formules permet d’effectuer des opérations arithmé- tiques et de comparer des valeurs :  Les opérateurs arithmétiques effectuent des opérations arithmétiques, telles que l’addition ou la soustraction, et donnent des résultats numériques.  Les opérateurs de comparaison comparent deux valeurs et donnent uniquement la valeur VRAI ou FAUX. Calcul d’opérations arithmétiques Pour créer une formule réalisant une opération arithmétique, vous devez utiliser des opérateurs arithmétiques. Par exemple, pour ajouter trois valeurs d’une colonne, vous pourriez créer une formule du type suivant : A2 + A3 + A5. Voici un récapitulatif des opérateurs arithmétiques. Pour obtenir plus d’informations sur les opérateurs arithmétiques que Numbers prend en charge, reportez-vous à la rubrique « Explication des opérateurs arithmétiques » à la page 105. Pour ajouter une formule arithmétique à une cellule : 1 Sélectionnez une cellule vide destinée à afficher les résultats de la formule. 2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=). 3 Saisissez la formule dans le champ de texte après le signe égal. Par exemple, pour saisir la formule A3 * B5 + B6, dans le champ texte après le signe égal, vous pouvez cliquer sur la cellule A3 ou taper « A3 », puis taper * (l’opérateur de multiplication), cliquer sur B5 ou taper « B5 », et enfin cliquer sur B6 (si vous ne saisissez pas d’opérateur avant de cliquer, Numbers ajoute automatiquement le signe plus (+)) lorsque vous ne spécifiez pas d’argument pour la fonction. 4 Cliquez sur le bouton Accepter ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée pour enregistrer la formule. Pour effectuer cette opération Utilisez cet opérateur arithmétique Par exemple Somme de deux valeurs + A2 + B2 Soustraction de deux valeurs – A2 - B2 Multiplication de deux valeurs * A2 * B2 Division d’une valeur par une autre / A2 / B2Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 105 Explication des opérateurs arithmétiques Les opérateurs arithmétiques utilisés dans les formules des cellules d’un tableau permettent d’effectuer des opérations arithmétiques et d’obtenir des résultats numériques. Les opérateurs arithmétiques sont les suivants (les exemples supposent que la cellule A2 contient la valeur 20 et que la cellule B2 contient la valeur 2) : m L’opérateur + permet d’additionner deux valeurs. Par exemple, A2 + B2 donne 22. m L’opérateur – permet de calculer la différence entre deux valeurs. Par exemple, A2 – B2 donne 18. m L’opérateur * permet d’obtenir le produit de deux valeurs. Par exemple, A2 * B2 donne 40. m L’opérateur / permet d’obtenir le résultat de la division d’une valeur par une autre. Par exemple, A2/B2 donne 10. m L’opérateur ^ permet d’obtenir le résultat de l’élévation d’une valeur à la puissance d’une autre valeur. Par exemple, A2 ^ B2 donne 400. m L’opérateur % permet d’obtenir le résultat de la division d’une valeur par 100. Par exemple, A2% renvoie la valeur 0.2 affichée sous la forme 20%. Si la référence à une cellule pointe sur une cellule vide, 0 correspond à la valeur utilisée. Si la référence à une cellule pointe sur une cellule contenant la valeur FAUX, 0 est là aussi la valeur utilisée. Si la cellule contient VRAI, 1 est la valeur utilisée dans ce cas. Par exemple, VRAI + 1 renvoie 2. L’utilisation d’une chaîne de caractères contenant un opérateur arithmétique renvoie une erreur. Par exemple, 3 + « bonjour » n’est pas une opération arithmétique correcte. Explication des opérateurs de comparaison Les opérateurs de comparaison comparent deux valeurs et donnent la valeur VRAI ou FAUX. Les opérateurs de comparaison sont les suivants (les exemples supposent que la cellule A2 contient la valeur 20 et que la cellule B2 contient la valeur 2) : m L’opérateur = donne VRAI si deux valeurs sont égales. Par exemple, A2 = B2 donne FAUX. m L’opérateur <> donne VRAI si deux valeurs ne sont pas égales. Par exemple, A2<>B2 donne VRAI. m L’opérateur > donne VRAI si la première valeur est supérieure à la seconde. Par exemple, A2 > B2 donne VRAI.106 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux m L’opérateur < donne VRAI si la première valeur est inférieure à la seconde. Par exemple, A2 < B2 donne FAUX. m L’opérateur >= donne VRAI si la première valeur est supérieure ou égale à la seconde. Par exemple, A2 >= B2 donne VRAI. m L’opérateur <= donne VRAI si la première valeur est inférieure ou égale à la seconde. Par exemple, A2 <= B2 donne FAUX. Les chaînes de caractères sont considérées comme supérieures aux nombres. Par exemple, « bonjour » > 5 donne VRAI. VRAI et FAUX peuvent être comparés mutuellement mais ne peuvent pas être comparés avec des nombres ou des chaînes de caractères. VRAI > FAUX et FAUX < VRAI car VRAI est interprété comme 1 et FAUX comme 0. VRAI = 1 renvoie FAUX et VRAI = « Texte » renvoie FAUX. Utilisation des fonctions Une fonction est une opération prédéfinie à laquelle on a attribué un nom (par exemple, SOMME ou MOYENNE) et dont on peut se servir pour effectuer un calcul dans une cellule de tableau. Il existe plusieurs familles de fonctions, qui vont des fonctions financières qui permettent de calculer des taux d’intérêt, des valeurs d’investissement, etc. aux fonctions statistiques qui permettent de calculer des moyennes, des probabilités, des écarts types, etc. Pour tout savoir sur l’intégralité des fonctions, y compris sur les arguments à spécifier pour indiquer aux fonctions les données à utiliser dans les calculs, reportez-vous à la rubrique « À propos des fonctions » à la page 214. Vous pouvez saisir une fonction dans le champ de texte de l’Editeur de formules ou la barre de formules, mais la méthode la plus rapide pour ajouter une fonction à une formule consiste à utiliser le navigateur de fonctions. Pour ajouter une fonction à l’aide du Navigateur de fonctions : 1 Sélectionnez la cellule dans laquelle vous souhaitez ajouter une fonction. 2 Ouvrez l’Éditeur de formules et cliquez dans le champ de texte à l’endroit où vous souhaitez insérer la fonction. Vous pouvez également cliquer dans le champ de texte de la barre des formules. Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 107 3 Cliquez sur le bouton Navigateur de fonctions dans la barre de formules ou cliquez sur Insérer > Fonction. Le navigateur de fonctions s’ouvre alors. 4 Sélectionnez une fonction. Pour trouver une fonction, faites défiler la liste située sur la droite. Si vous le souhaitez, vous avez la possibilité de subdiviser cette liste en sélectionnant une catégorie de fonction sur la gauche. Vous pouvez aussi rechercher une fonction particulière dans la caté- gorie de fonction sélectionnée à l’aide du champ de recherche qui se trouve en haut à droite. 5 Cliquez sur Insérer. Numbers insère la fonction dans le champ texte, suivie d’un ou de plusieurs paramètres fictifs d’argument entre parenthèses. 6 À l’aide de l’éditeur de formules ou de la barre de formules, remplacez chacun des paramètres fictifs par une référence de cellule ou une autre valeur, ou apportez d’autres modifications à la formule si nécessaire. 6 108 6 Utilisation des graphiques Vous pouvez convertir les données du tableau en graphiques attrayants. Ce chapitre décrit le mode de création et de mise en forme des graphiques. Numbers fournit des outils permettant de créer des graphiques attrayants pour présenter une partie ou la totalité des données sous forme de tableaux. Par défaut, l’apparence des graphiques correspond au modèle que vous utilisez, mais vous pouvez ajuster les couleurs, textures, ombres, étiquettes et autres réglages pour souligner divers éléments du graphique. À propos des graphiques Vous pouvez convertir en graphiques les données de plusieurs tableaux. Les graphiques peuvent révéler des tendances ou des relations qui ne sont pas évidentes à voir lorsque les données sont affichées sous forme de rangs et de colonnes. Un graphique est associé aux données des tableaux sur lesquels il repose. Si vous modifiez les données d’un tableau, le graphique se met à jour automatiquement. Vous avez le choix entre de nombreux types de graphiques pour la présentation de vos données, notamment des graphiques sectoriels, linéaires, à barres, à colonnes, à couches et en nuage de points. Des versions 2D et 3D sont disponibles pour la plupart des graphiques. Par exemple, une entreprise peut utiliser un tableau pour calculer le nombre d’employés travaillant dans la Région 1 et la Région 2 chaque année. Ce type de tableau comporterait deux rangs (un pour la Région 1 et un autre pour la Région 2) et quatre colonnes (une pour chaque année de 2007 à 2010).Chapitre 6 Utilisation des graphiques 109 Il existe plusieurs façons de représenter sous forme de graphique les données dans ce tableau. Dans un graphique à barres, par exemple :  Vous pouvez représenter le nombre de salariés de 2007 travaillant dans la Région 1 et dans la Région 1 par des barres côte à côte, suivies de paires de barres représentant chacune des années 2008, 2009 et 2010. Si un tel graphique existait, il comporterait deux séries de données et quatre jeux de données. Les régions 1 et 2 sont appelées séries de données ; chaque région est représentée par une série de valeurs. La valeur des données (connues sous le nom de points de données) de chaque région sont représentées par des barres regroupées côte à côte sur le graphique ; chaque groupe est appelé jeu de données (2007 est un jeu de données, 2008 en est un autre, etc.).  Autre possibilité : vous pouvez modifier l’orientation du graphique de sorte que les points de données soient regroupés par région plutôt que par année. Dans ce cas, les années sont des séries de données et les régions des jeux de données. Le graphique à barres contiendrait alors deux groupes de barres, une pour la Région 1 et l’autre pour la Région 2. Les jeux de données contiennent un point de données (une barre) de chacune des séries de données. Ces quatre barres représentent une série de données. La légende du graphique désigne les deux séries de données. Ces deux barres représentent une série de données. Les jeux de données contiennent un point de données (une barre) de chacune des quatre séries de données.110 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Lorsque vous sélectionnez un graphique, les cellules qu’il contient sont mises en surbrillance dans le tableau associé. En outre, des carrés de couleur situés près des colonnes et des rangs du tableau indiquent quelle couleur représente chaque série de données dans le graphique. Un bouton dans la partie supérieure gauche du tableau permet de permuter les colonnes et les rangs comme séries de données. Vous pouvez également cliquer sur un élément de la série de données dans le graphique pour mettre en surbrillance les données correspondantes dans le graphique et le tableau sous-jacent. Cliquez sur ce bouton pour modifier l’orientation du graphique. Ces carrés indiquent la couleur qui représente chaque série de données. Lorsque le bouton ressemble à ceci, les séries de données s’affichent en colonnes. Cliquez sur ce bouton pour afficher les séries de données en rangs. Lorsque le bouton ressemble à ceci, les séries de données s’affichent en rangs. Cliquez sur ce bouton pour afficher les séries de données en colonnes. Sélectionnez barre pour afficher en surbrillance les barres du graphique de la même série de données, ainsi que les valeurs associées dans le tableau sousjacent.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 111 Les séries de données sont représentées différemment selon le type de graphique :  Dans les graphiques à colonnes et les graphiques à barres, une série de données est représentée par une série de barres dotée du même remplissage (couleur ou texture).  Dans un graphique linéaire (également appelé graphe), une série de données est représentée par une seule ligne.  Dans un graphique à couches, une série de données est représentée par une couche.  Dans un graphique sectoriel, un seul jeu de données (le premier point de données de chaque série) est représenté sur le graphique.  Dans un graphique en nuage de points, deux colonnes de données sont utilisées pour placer les points représentant les valeurs d’une seule série de données. Chaque paire de valeurs détermine ainsi la position de chaque point de données. Ajout d’un graphique Vous pouvez ajouter un graphique représentant toutes les données dans un tableau ou uniquement les données des cellules sélectionnées d’un ou plusieurs tableaux. Lorsque vous ajoutez un graphique, Numbers définit l’étiquette des axes et les séries de données par défaut. Vous pouvez néanmoins modifier les séries ou les étiquettes :  En général, si un tableau forme un carré ou que la largeur du tableau est plus grande que sa hauteur, les rangs représentent les séries de données par défaut. Si ce n’est pas le cas, les colonnes représentent les séries de données par défaut. Pour modifier l’orientation des séries de données, sélectionnez le graphique et cliquez sur le bouton de la série de données, situé dans la partie supérieure gauche du tableau correspondant.  Si un tableau contient des en-têtes de rang ou des cellules, Numbers crée des étiquettes par défaut pour les axes à partir de leur contenu. En l’absence de cellules pour les en-têtes, Numbers utilise le texte de la première colonne ou du premier rang pour créer les étiquettes destinées aux axes. Dans le cas contraire, le texte réservé au paramètre fictif sert à désigner les étiquettes. Les étiquettes de série identifient les éléments de séries de données (par exemple, les différentes barres) du graphique.112 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Les Étiquettes de catégorie identifient les jeux de données (par exemple, les groupes de barres) du graphique. Vous pouvez afficher ou masquer, modifier, déplacer, réorienter et mettre en forme l’étiquette des axes comme décrit dans la rubrique « Ajout d’étiquettes et de marques d’axe » à la page 120. Voici différentes manières d’ajouter un graphique : m Pour ajouter un graphique à partir d’un tableau, sélectionnez le tableau, cliquez sur Graphiques dans la barre d’outils et sélectionnez un type de graphique dans le menu local. Les valeurs du tableau sont tracées dans le graphique. Si le tableau est vide, le graphique reste vierge jusqu’à ce que vous ajoutiez des valeurs dans les cellules du tableau. Étiquettes de catégorie Étiquettes de série Dans le menu local, les graphiques 2D se trouvent à gauche et les graphiques 3D à droite.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 113 m Pour ajouter un graphique basé sur une plage de cellules adjacentes d’un tableau, cliquez sur une cellule et faites glisser le curseur sur d’autres cellules ; vous pouvez également sélectionnez une seule cellule puis maintenir enfoncée la touche Maj pour sélectionner des cellules. Cliquez ensuite sur Graphiques dans la barre d’outils et sélectionnez un type de graphique. m Pour ajouter un graphique à partir de cellules non adjacentes, sélectionnez les cellules du tableau tout en maintenant enfoncée la touche Commande. Cliquez ensuite sur Graphiques dans la barre d’outils et sélectionnez un type de graphique. m Pour ajouter un graphique à partir des données de plusieurs tableaux, créez un graphique en sélectionnant un tableau ou les cellules du tableau. Sélectionnez ensuite le graphique et cliquez sur ou faites glisser les cellules d’un autre tableau tout en maintenant la touche Commande enfoncée pour ajouter les données correspondantes au graphique. m Pour ajouter un graphique et un tableau associé contenant des valeurs de paramètre fictif, vérifiez que rien n’est sélectionné, cliquez sur Graphiques dans la barre d’outils et sélectionnez un type de graphique. m Pour ajouter un graphique en nuage de points, reportez-vous à la rubrique « Graphiques en nuage de points » à la page 131. m Pour tracer un graphique, cliquez sur Graphiques dans la barre d’outils tout en maintenant enfoncée la touche Option. Sélectionnez un type de graphique. Le pointeur de la souris se transforme en croix. Faites ensuite glisser le pointeur sur la surface de dessin pour obtenir la taille de graphique souhaitée. Pour conserver les proportions d’un graphique, maintenez la touche Maj enfoncée lors du redimensionnement. Modification d’un graphique Vous pouvez modifier les données tracées sur un graphique, l’orientation du traçage pour passer des séries de données aux jeux de données, le type de graphique, déplacer les séries de données, etc. 114 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Modification de l’orientation du traçage Le bouton dans la partie supérieure gauche du tableau permet de choisir entre l’affichage des données en colonnes ou en rangs. Pour modifier l’orientation du traçage : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Cliquez sur le bouton de série de données. Modification des données tracées sur un graphique Lorsque vous modifiez les données des cellules d’un tableau associé à un graphique, ce dernier s’actualise automatiquement. Vous pouvez également ajouter ou supprimer des données d’un graphique sans modifier pour autant le tableau associé. Ajout de données à un graphique Vous pouvez ajouter les données de cellules adjacentes ou non adjacentes aux cellules déjà tracées. Vous pouvez également ajouter des données à une nouvelle colonne ou un nouveau rang. Il existe différentes manières d’ajouter des données à un graphique : m Pour ajouter des données de cellules non adjacentes aux cellules déjà tracées, sélectionnez le graphique et cliquez sur ou faites glisser les cellules du tableau tout en maintenant enfoncée la touche Commande. m Pour ajouter des données de cellules adjacentes aux cellules déjà tracées, sélectionnez le graphique et cliquez sur les cellules du tableau tout en maintenant enfoncée la touche Maj. Cliquez sur ce bouton pour modifier l’orientation du graphique. Le bouton ressemble à ceci lorsque les séries de données s’affichent en colonnes.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 115 m Pour ajouter des cellules adjacentes aux valeurs déjà tracées, sélectionnez le graphique. Dans le tableau, faites glisser vers la droite ou vers le bas la commande circulaire située dans la partie inférieure droite de la plage de données. Si le graphique est un graphique en nuage de points, l’opération qui consiste à faire glisser la commande circulaire ne permet d’ajouter qu’un nombre pair de rangs ou de colonnes. m Pour ajouter des cellules à partir d’un nouveau rang ou d’une nouvelle colonne, sélectionnez le tableau et insérez le rang ou la colonne entre les cellules déjà tracées. Lorsque vous ajoutez des données aux nouvelles cellules, les données sont tracées sur le graphique. Ajout de données à un graphique en provenance de plusieurs tableaux Vous pouvez ajouter à un graphique des données provenant de cellules de plusieurs tableaux. Pour ajouter des données de graphique dans plusieurs tableaux : 1 Créez un graphique à partir des données d’un tableau. 2 Sélectionnez des cellules dans un autre tableau. 3 Faites glisser les cellules sélectionnées dans le graphique. Elles sont ajoutées en tant que nouvelle série de données. Pour afficher ou modifier les données source du graphique, cliquez sur une série de données dans le graphique pour afficher le tableau et les cellules d’origine. Suppression de données d’un graphique Vous pouvez soit supprimer uniquement les valeurs d’un graphique sans toucher à celles du tableau associé, soit supprimer à la fois les valeurs d’un graphique et du tableau associé. Il existe différentes manières de supprimer des données d’un graphique : m Pour supprimer un point de données, sélectionnez le tableau puis la cellule contenant la valeur à supprimer et appuyez sur la touche Suppr. La valeur est supprimée du tableau et du graphique. Si vous supprimez une colonne ou une ligne faisant partie de deux colonnes ou de lignes d’un graphique en nuage de points, le point de données à deux valeurs associé est également supprimé du graphique. m Pour supprimer plusieurs cellules, sélectionnez le tableau puis, tout en maintenant enfoncée la touche Maj ou Commande, sélectionnez les cellules à supprimer et appuyez sur la touche Suppr. Les valeurs sont supprimées du tableau et du graphique. m Pour réduire la plage de cellules adjacentes dont les valeurs sont tracées, sélectionnez le graphique. Dans le tableau, faites glisser vers la gauche ou vers le haut la commande circulaire située dans la partie inférieure droite de la plage de données. Les cellules désélectionnées ne sont plus représentées dans le graphique mais les valeurs sont conservées dans le tableau.116 Chapitre 6 Utilisation des graphiques m Pour supprimer une série de données, cliquez sur le graphique et sélectionnez un élé- ment dans la série ou cliquez sur l’étiquette de la série dans le tableau, puis appuyez sur la touche Suppr. Les valeurs sont supprimées du graphique mais pas du tableau. m Pour supprimer un jeu de données, cliquez sur le graphique, sélectionnez l’étiquette de catégorie dans le tableau et appuyez sur la touche Suppr. Les valeurs sont supprimées du graphique mais pas du tableau. Si aucune étiquette n’est associée à la catégorie dans le tableau, cliquez sur le bouton de série de données dans le tableau pour convertir la catégorie en série, sélectionnez la série contenant les données à supprimer et appuyez sur la touche Suppr. Remplacement d’une série de données Vous pouvez remplacer le rang ou la colonne sur lequel ou laquelle repose la série de données par un autre rang ou une autre colonne. Pour remplacer une série de données : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Sélectionnez la série à déplacer soit en cliquant sur la série de données dans le graphique, soit en cliquant sur l’étiquette de série de données dans le tableau. 3 Faites glisser la série de données dans le tableau vers le rang ou la colonne pour remplacer les données qu’il ou elle contient. Suppression d’un graphique Vous pouvez supprimer un graphique en supprimant le ou les tableaux associés, ou supprimer uniquement le graphique. Voici différentes manières de supprimer un graphique : m Pour supprimer le graphique et non le ou les tableaux associés, sélectionnez-le et appuyez sur la touche Suppr. m Pour supprimer le graphique mais aussi le ou les tableaux associés, sélectionnez les tableaux en question et appuyez sur la touche Suppr. Déplacement d’un graphique Vous pouvez déplacer un graphique à l’intérieur d’une feuille de calcul par glisser-déposer ou couper-coller. Ses liens avec les cellules associées sont conservés. Voici différentes manières de déplacer un graphique : m Pour déplacer un graphique à l’intérieur de la même feuille de calcul, sélectionnez-le et faites-le glisser. m Pour déplacer un graphique vers une autre feuille de calcul, sélectionnez-le dans la barre latérale et faites-le glisser vers la nouvelle feuille de calcul. Vous pouvez également sélectionner et couper le graphique (Commande + X), puis sélectionner l’autre feuille de calcul et le coller (Commande + V). Vous pouvez définir avec plus de précision la position du graphique sur la feuille en le faisant simplement glisser.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 117 Changement du type de graphique Vous pouvez changer de type de graphique à votre guise. Pour remplacer un graphique par un autre type : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis choisissez un autre type de graphique dans le menu local qui apparaît lorsque vous cliquez sur l’icône du graphique en haut à gauche. Si vous passez à un graphique sectoriel, le premier point de données de chaque série est représenté sous forme de portion. Reportez-vous à la rubrique « graphiques sectoriels » à la page 126. Si vous passez à un graphique en nuage de points, deux valeurs sont nécessaires pour chaque point. Si le graphique est basé sur un nombre impair de rangs ou de colonnes, le dernier rang (ou la dernière colonne) n’est pas traité. Reportez-vous à la rubrique « Graphiques en nuage de points » à la page 131. Si vous changez le graphique en un graphique à barres, à colonnes, à couches ou linéaire, chaque série du nouveau graphique correspond à un rang ou une colonne dans le tableau. Si vous passez à la version 3D d’un graphique, l’Inspecteur des graphiques fournit des commandes permettant de gérer la profondeur de l’objet, le style d’éclairage, etc. Reportez-vous à la rubrique « graphiques 3D » à la page 132. La mise en forme appliquée au graphique que vous modifiez peut ne pas s’appliquer au nouveau graphique. Par exemple, l’attribut de remplissage couleur des éléments de point de données (barres, portions, etc.) possède une valeur par défaut différente pour chaque type de graphique. Si vous avez modifié la couleur de remplissage d’une colonne puis changé le graphique en graphique à barres, la modification du remplissage n’est alors pas conservée.  Selon le type de graphique, les attributs enclins à changer si vous passez d’un type de graphique à un autre sont les étiquettes de valeurs affichées, la position de ces étiquettes, le style de texte, le trait, l’ombre et le remplissage des séries, le symbole des points de données ainsi que le remplissage de ces derniers.  Les graphiques en barres ou en colonnes simples ou empilées partagent leurs attributs à l’exception de la position des étiquettes de valeur. Les graphiques en barres ou en colonnes possèdent cependant des remplissages distincts.  Les ombres des graphiques 3D sont partagées entre les types de graphiques. Si vous changez le type d’un graphique par un autre partageant certains des attributs, ces derniers sont alors conservés. Les attributs partagés regroupent les axes, les quadrillages, les marques de graduation, les étiquettes des axes, l’affichage de la valeur minimale, le format des nombres, les bordures, les rotations d’objets, les ombres ainsi que le style d’éclairage 3D. Vous en saurez plus à propos de ces attributs tout au long du reste de ce chapitre.118 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Mise en forme des attributs généraux d’un graphique Vous pouvez redimensionner et repositionner des graphiques et des légendes. Vous pouvez ajouter un titre au graphique. Vous pouvez mettre en forme les éléments des graphiques (polices, textures, couleurs, étiquettes des axes et des points de données, ainsi que marques de graduation). Vous pouvez ajuster l’angle et le style d’éclairage des graphiques 3D. Utilisation d’une légende La légende du graphique décrit la signification des couleurs utilisées pour traiter les points de données dans chaque série de données. Vous pouvez afficher ou masquer la légende d’un graphique et la repositionner. Voici différentes manières d’utiliser une légende de graphique : m Pour afficher la légende, sélectionnez le graphique puis sélectionnez Afficher la légende dans l’Inspecteur des graphiques. m Pour modifier les étiquettes dans la légende, modifiez les étiquettes de série dans le tableau associé ou sélectionnez la légende et modifiez le texte directement dans la légende. m Pour mettre en forme le texte de la légende, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 125. m Pour masquer la légende, sélectionnez le graphique puis désélectionnez Afficher la légende dans l’Inspecteur des graphiques. Vous pouvez également sélectionner la légende et appuyer sur la touche Suppr. m Pour déplacer la légende, sélectionnez-la et faites-la glisser. Utilisation d’un titre de graphique Vous pouvez ajouter un titre au graphique. Celui-ci peut être mis en forme. Voici différentes manières d’utiliser un titre de graphique : m Pour ajouter un titre, sélectionnez le graphique puis choisissez Afficher le titre dans l’Inspecteur des graphiques. Remplacez le texte du paramètre fictif par votre titre. m Pour mettre en forme le texte d’un titre, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 125. m Pour masquer le titre, sélectionnez le graphique puis désactivez l’option Afficher le titre dans l’Inspecteur des graphiques.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 119 Redimensionnement d’un graphique Vous pouvez augmenter ou réduire la taille d’un graphique en faisant glisser l’une de ses poignées de sélection ou en utilisant l’inspecteur des mesures. Voici différentes manières de redimensionner un graphique : m Sélectionnez le graphique, puis faites glisser une poignée de sélection. m Pour préserver les proportions d’un graphique, maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous faites glisser le graphique pour le redimensionner. m Pour redimensionner un graphique dans un sens, faites glisser une poignée latérale au lieu d’une poignée d’angle. m Pour redimensionner en spécifiant des dimensions exactes, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures puis sur Mesures. Cette sousfenêtre vous permet de spécifier une nouvelle largeur, hauteur et un angle de rotation, et également de modifier la distance entre le graphique et les marges. Rotation de graphiques Il existe plusieurs techniques de rotation pour les graphiques 2D. Vous ne pouvez pas faire pivoter (ou retourner) les graphiques 3D. Si un graphique 3D est regroupé avec des graphiques 2D, vous pouvez faire pivoter le groupe mais sachez que seuls les graphiques 2D pivoteront. Voici différentes manières de faire pivoter des graphiques 2D : m Sélectionnez le graphique, maintenez enfoncée la touche Commande et déplacez le pointeur vers une poignée de sélection jusqu’à ce qu’elle se transforme en flèche double courbe, puis faites glisser la poignée. m Pour faire pivoter un graphique par incréments de 45 degrés, appuyez sur les touches Maj et Commande tout en faisant glisser une poignée de sélection. m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures puis faites glisser la molette de rotation ou utilisez les commandes d’angle pour définir l’angle du graphique. Les graphiques sectoriels peuvent également être pivotés par le biais de l’Inspecteur des graphiques (reportez-vous à la « Rotation de graphiques sectoriels 2D » à la page 128).120 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Ajout d’étiquettes et de marques d’axe Utilisez la sous-fenêtre Axes de l’Inspecteur des graphiques pour mettre en forme le quadrillage et l’aspect général des axes du graphique. La plupart des graphiques possèdent deux axes (X et Y). Selon le type de graphique, les points de données sont tracés sur l’un des axes et les jeux de données sont regroupés sur l’autre axe. L’axe des points de données est appelé axe des valeurs et celui des jeux de données axe des catégories. Affichage des axes et des bordures Vous pouvez afficher tous les éléments suivants d’un graphique : l’axe X, l’axe Y et les bordures du graphique. Pour afficher les axes et les bordures : 1 Sélectionnez un graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Axes. 3 Choisissez un ou plusieurs éléments dans le menu local Axes et bordures pour les sélectionner. Un élément sélectionné comporte en face une coche ; choisissez de nouveau l’élément afin de le désélectionner. Pour mettre en forme la couleur et le trait des bordures, sélectionnez le graphique et utilisez les commandes de style de trait de la barre de mise en forme. Régler les attributs des étiquettes, des marques de graduation, etc. Sélectionner des unités pour les valeurs du graphique. Afficher ou masquer les axes et les bordures des graphiques (pour les graphiques 2D uniquement). Définir la plage des valeurs qui apparaissent sur le quadrillage du graphique. Sélectionner le style du trait. Sélectionner la largeur du trait. Sélectionner la couleur du trait.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 121 Utilisation de titres des axes Vous pouvez ajouter un titre sur l’axe des X et sur l’axe des Y d’un graphique. Celui-ci peut être mis en forme. Voici différentes manières d’utiliser un titre d’axe : m Pour ajouter le titre d’un axe, sélectionnez le graphique, puis l’option « Afficher les titres de catégorie » dans le menu local Axe des X ou « Afficher les titres de valeur » dans le menu local Axe des Y de la sous-fenêtre Axes de l’inspecteur des graphiques. Remplacez le texte du paramètre fictif par votre titre. m Pour mettre en forme le texte d’un titre, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 125. m Pour masquer le titre d’un axe, sélectionnez le graphique, puis décochez l’option « Afficher les titres de catégorie » dans le menu local Axe des X ou « Afficher les titres de valeur » dans le menu local Axe des Y de la sous-fenêtre Axes de l’inspecteur des graphiques. Affichage des étiquettes de point de données Vous pouvez afficher les valeurs de point de données sur des colonnes, barres, portions de graphique sectoriel et autres éléments de graphiques 2D et 3D. Pour mettre en forme des étiquettes de point de données : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries. 3 Choisissez Afficher la valeur dans le menu local Réglages de point de données. Pour afficher la valeur en pourcentage ou la valeur logarithmique au lieu d’une valeur absolue, choisissez Pourcentage ou Logarithmique dans le menu local Axe des X ou Axe des Y de la sous-fenêtre Axes. Pour les graphiques sectoriels, choisissez « Afficher les valeurs des portions en % » dans le menu local « Réglages de pt de données » afin d’afficher les valeurs en pourcentages. Pour afficher le nom des séries de données d’une portion, choisissez « Afficher le nom des séries » dans le menu local Réglages de pt de données. 4 Sélectionnez un emplacement pour l’étiquette dans le menu local Réglages de pt de données (par exemple, Au milieu ou En bas à droite). 5 Spécifiez le nombre de décimales à afficher en saisissant un nombre dans le champ Décimales. 6 Pour mettre en forme les étiquettes de point de données, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 125.122 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Mise en forme de l’axe des valeurs Vous pouvez définir les valeurs et unités à afficher le long de l’axe des valeurs, c’est-à-dire l’axe le long duquel vous lisez les valeurs des points de données. Pour les graphiques à colonnes (barres verticales), les graphiques à lignes et les graphiques à couches, l’axe des Y est l’axe des valeurs. Pour les graphiques à barres horizontales, l’axe des X est l’axe des valeurs. Dans le cas des graphiques en nuage de points, les deux axes constituent des axes de valeurs. Les graphiques sectoriels ne comportent pas d’axe des valeurs. Pour en savoir plus sur la mise en forme de graphiques sectoriels, reportez-vous à la rubrique « graphiques sectoriels » à la page 126.) Pour mettre en forme l’axe des valeurs : 1 Sélectionnez un graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Axes. 3 Pour définir la valeur à l’origine du graphique, tapez un nombre dans le champ Minimum (sous Format de l’axe des valeurs). La valeur Minimum ne peut pas être supérieure à la valeur minimale de l’ensemble du jeu de données. 4 Pour définir le nombre le plus élevé qui s’affiche sur l’axe des valeurs, tapez un nombre dans le champ Maximum. La valeur Maximum ne peut pas être inférieure à la valeur maximale de l’ensemble du jeu de données. 5 Pour spécifier le nombre de marques sur l’axe entre les valeurs minimale et maximale, spécifiez un nombre dans le champ Intervalles. 6 Pour afficher la valeur de donnée minimale sur l’axe des valeurs, sélectionnez « Afficher les étiquettes de valeur » et « Afficher la valeur minimale » dans le menu local Axes des X, Axe des Y ou « Étiquettes, graduations, quadrillage » en fonction du graphique. 7 Pour spécifier des unités pour les valeurs de l’axe, saisissez-les sous Format des nombres dans le champ Préfixe ou Suffixe (ou choisissez un symbole dans les menus locaux). 8 Pour afficher des valeurs logarithmiques sur l’axe des valeurs, choisissez Logarithmique dans le menu local Axe des X ou Axe des Y, en fonction du graphique. Cette option est disponible uniquement pour les graphiques 2D à barres/colonnes qui ne sont pas empilés et pour les graphiques linéaires. Vous ne pouvez pas tracer de valeurs négatives sur l’axe logarithmique. 9 Pour afficher des valeurs en pourcentage sur l’axe des valeurs des graphiques empilés, sélectionnez Pourcentage dans le menu local Axe des X ou Axe des Y de la sous-fenêtre Axes. Pour les graphiques sectoriels, choisissez « Affi. val. des portions en % » dans le menu local Réglages de pt de données afin d’afficher les valeurs en pourcentages.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 123 Mise en place d’étiquettes, de quadrillage et de marques de graduation Les menus locaux Axe des X et Axe des Y (sous-fenêtre Axes de l’Inspecteur des graphiques) fournissent une série d’options permettant de placer des marques de graduation, des étiquettes et des quadrillages le long de l’axe des valeurs ou de l’axe des catégories. Les options de ces menus locaux varient selon le type de graphique que vous sélectionnez. Pour les graphiques à barres verticaux (graphiques à colonnes), les graphiques linéaires et les graphiques à couches, l’axe des Y correspond à l’axe des valeurs et celui des X à l’axe des catégories. Pour les graphiques à barres horizontales, l’axe des X est l’axe des valeurs. Dans le cas des graphiques en nuage de points, les deux axes constituent des axes de valeurs. En ce qui concerne les graphiques 3D, les axes des X et des Y sont les mêmes que pour leur version 2D. Pour mettre en forme les marques d’axe : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Axes. 3 Pour mettre en forme l’axe des X, choisissez une option dans le menu local Axe des X. Pour un graphique à colonnes, le menu se présente de la manière suivante : 4 Pour mettre en forme l’axe des Y, choisissez une option dans le menu local Axe des Y. Le menu se présente sous la forme suivante dans le cas d’un graphique à colonnes : Placer des marques de graduation sur l’axe des X. Afficher ou masquer le quadrillage de l’axe des X. Définir le sens du texte pour les étiquettes de l’axe des catégories. Afficher ou masquer les titres et les étiquettes de l’axe des catégories. Convertir les valeurs en valeurs logarithmiques. Placer des marques de graduation sur l’axe des Y. Afficher ou masquer le quadrillage de l’axe des Y. Afficher ou masquer les étiquettes de l’axe des valeurs. Convertir les valeurs en valeurs logarithmiques ou en pourcentages.124 Chapitre 6 Utilisation des graphiques 5 Pour modifier les étiquettes d’axe à partir des valeurs des rangs ou des colonnes d’en-tête, sélectionnez le tableau et modifiez les étiquettes. Pour que les étiquettes des axes ne soient pas les mêmes que les valeurs correspondant aux rangs ou aux colonnes d’en-tête, sélectionnez le graphique et modifiez les étiquettes. Modifier les cellules d’en-tête n’a plus d’effet sur les étiquettes d’axe une fois que vous avez modifié les étiquettes dans le graphique. Mise en forme des éléments d’une série de données Vous pouvez utiliser un ensemble complet d’effets visuels pour enrichir l’aspect des élé- ments composant les séries de données (par ex. barres, portions et formes de couches). Pour mettre en forme des éléments de séries de données : 1 Pour mettre en forme toutes les séries de données, sélectionnez le graphique. Pour mettre en forme les éléments d’une série de données individuelle, sélectionnez le graphique puis cliquez sur l’un des éléments de la série. Pour tous les types de graphiques, à l’exception des graphiques sectoriels, sélectionner un élément d’une série (une barre, par exemple) sélectionne automatiquement la série entière. Dans les graphiques sectoriels, vous sélectionnez des portions individuelles. 2 Pour remplir les éléments de série de données dans une couleur ou une texture choisie, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Couleurs des graphiques. Choisissez un type de remplissage (par exemple, parmi les texture de remplissage 3D) dans le premier menu local, puis une collection de remplissage (par exemple, Marbre ou Bois) dans le second. Pour remplir les éléments dans toutes les séries de données, cliquez sur Tout appliquer. Le premier remplissage est appliqué aux éléments de la première série, le deuxième remplissage à la deuxième série, ainsi de suite. Pour remplir des éléments dans une seule série de données, faites glisser le remplissage vers un élément (barre, colonne, etc.) de la série. 3 Pour régler l’opacité, le trait, l’ombre et autres attributs graphiques d’éléments de séries, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. Vous pouvez également utiliser la barre de mise en forme pour définir la couleur, l’opacité et l’ombre d’un graphique entier ou de certaines séries de données du graphique. 4 Pour régler les couleurs d’éléments de séries, reportez-vous à la rubrique « Remplissage d’un objet en couleur » à la page 178.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 125 5 Pour remplir des éléments de séries avec l’une de vos images, reportez-vous à la rubrique « Remplissage d’un objet avec une image » à la page 180. 6 Pour mettre en forme les étiquettes de point de données, reportez-vous à la rubrique « Affichage des étiquettes de point de données » à la page 121. Vous pourrez trouver des instructions relatives à la mise en forme de graphiques de types spécifiques dans la rubrique « Mise en forme de types de graphiques spécifiques » à la page 126. Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes Vous pouvez modifier la taille et l’apparence des titres de graphique et d’axe, des étiquettes d’axe, des étiquettes de point de données et des légendes. Pour mettre en forme le texte des étiquettes et des légendes : 1 Sélectionnez le texte à mettre en forme. Pour mettre en forme tous les titres et étiquettes de graphique, cliquez sur celui-ci pour le sélectionner. Si vous sélectionnez le texte pour une étiquette de point de données ou d’axe, tout le texte de ce type est également sélectionné. Vous devez modifier la police des légendes séparément. 2 Vous pouvez utiliser la barre des formats pour mettre rapidement en forme le style et le type de police. Utilisez le menu Format ou le panneau Police pour découvrir plus d’options de mise en forme. Pour obtenir des instructions, reportez-vous aux rubriques « Utilisation du menu Format pour mettre en forme le texte » à la page 135 et « Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 137. Ajout de texte descriptif à un graphique Vous pouvez ajouter un texte descriptif à un graphique, comme lorsque vous souhaitez fournir des informations de référence pour un point de données en particulier. Pour ajouter du texte : 1 Créez une zone de texte. Reportez-vous à la rubrique « Ajout de zones de texte » à la page 157 pour en connaître les instructions. 2 Faites-la glisser vers l’endroit souhaité sur le graphique. 3 Saisissez votre texte dans la zone correspondante. Vous pouvez éventuellement regrouper le graphique et la zone de texte de manière à ce que le texte reste proche du graphique. Cliquez en appuyant sur la touche Maj pour sélectionner à la fois le graphique et la zone de texte, puis choisissez Disposition > Grouper.126 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Mise en forme de types de graphiques spécifiques Plusieurs styles de graphiques proposent des options uniques pour la mise en forme de leurs éléments. graphiques sectoriels Pour les graphiques sectoriels, Numbers trace uniquement le premier point de données pour chaque série de données. Si les séries de données sont organisées en rangs, seule la première colonne est représentée ; si elles sont organisées en colonnes, seul le premier rang est représenté. Par conséquent, un graphique sectoriel représente un seul jeu de données et chaque portion représente un élément de ce jeu. Vous pouvez représenter n’importe quel jeu de données en le déplaçant vers le premier rang ou la première colonne. Vous pouvez mettre en forme un graphique sectoriel complet ou bien des portions individuelles de celui-ci. Sélection de portions individuelles dans un graphique sectoriel Si vous désirez mettre en forme une ou plusieurs portions, vous devez d’abord les sélectionner. Voici différentes manières de sélectionner des portions sur un graphique sectoriel sélectionné : m Pour sélectionner une seule portion, cliquez dessus. m Pour sélectionner toutes les portions, sélectionnez-en une et appuyez simultanément sur les touches Commande et A. m Pour sélectionner des portions non adjacentes, maintenez enfoncée la touche Commande tout en sélectionnant chaque portion. m Pour sélectionner un ensemble de portions adjacentes, sélectionnez la première portion puis maintenez la touche Maj enfoncée tout en sélectionnant la dernière portion. Affichage du nom des séries dans un graphique sectoriel Dans le cas des graphiques sectoriels, vous pouvez afficher le nom des séries. Pour afficher le nom des séries dans un graphique sectoriel : 1 Sélectionnez le graphique ou les portions individuelles. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries. 3 Choisissez « Afficher le nom des séries » dans le menu local « Étiquette de point de données ». 4 Choisissez À l’intérieur ou À l’extérieur dans le menu local Étiquette de point-image.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 127 Éloignement de portions individuelles du graphique Pour augmenter l’impact visuel des portions, vous pouvez les séparer du graphique. Vous pouvez ajouter un nom de série aux portions éloignées pour les faire ressortir davantage, tel que décrit dans la rubrique « Affichage des étiquettes de point de données » à la page 121. Voici différentes manières d’éloigner des portions de graphique individuelles : m Pour éloigner une portion du centre d’un graphique sectoriel 2D ou 3D, sélectionnez-la et faites-la glisser ou utilisez le réglage Éloigner dans la sous-fenêtre Séries de l’Inspecteur des graphiques. m Pour éloigner toutes les portions en partant du centre d’un graphique sectoriel 3D, sélectionnez le graphique avant d’utiliser le réglage Éloigner. Ajout d’ombres aux graphiques sectoriels et aux portions Vous pouvez placer des ombres sur des portions individuelles ou sur le graphique entier. L’application d’ombres aux portions individuelles donne l’impression que les portions se trouvent sur différentes couches. Lorsque vous ajoutez une ombre à la portion d’un graphique, il est judicieux de la séparer tout d’abord. Reportez-vous à la rubrique « Éloignement de portions individuelles du graphique, » ci-dessus, pour obtenir des instructions. Pour ajouter des ombres : 1 Sélectionnez le graphique ou les portions individuelles. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries. 3 Pour ajouter des ombres aux portions, choisissez Individuelle dans le menu local Ombre. Pour ajouter des ombres à l’ensemble du graphique, choisissez Groupée dans le menu local Ombre. 4 Pour définir des attributs d’ombre, utilisez l’Inspecteur des graphismes. Reportez-vous à la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 174 pour en connaître les instructions. Réglage de l’opacité des graphiques sectoriels Vous pouvez modifier l’opacité du graphique et d’éléments de graphique individuels, comme la légende. Reportez-vous à la rubrique « Ajustement de l’opacité » à la page 176 pour plus d’informations. Éloignez une portion en utilisant le curseur Éloigner et en lui attribuant un nom de série.128 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Rotation de graphiques sectoriels 2D Vous pouvez utiliser plusieurs techniques pour faire pivoter un graphique sectoriel 2D. Voici différentes manières de faire pivoter un graphique sectoriel : m Sélectionnez le graphique, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries, et enfin utilisez la molette Angle de rotation ou le champ correspondant. m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures puis faites glisser la molette de rotation ou utilisez les commandes d’angle pour définir l’angle du graphique. m Sélectionnez le graphique, maintenez enfoncée la touche Commande et déplacez le pointeur vers une poignée de sélection jusqu’à ce qu’elle se transforme en flèche double courbe, puis faites glisser la poignée. m Pour faire pivoter le graphique par incréments de 45 degrés, appuyez sur les touches Maj et Commande tout en faisant glisser une poignée de sélection ou la molette de rotation. Graphiques à barres et à colonnes Il est possible d’appliquer des ombres à une série de données spécifique ou à l’ensemble du graphique. Vous pouvez ajuster l’opacité du graphique dans son ensemble ou pour des séries individuelles (mais pas des barres individuelles). Vous pouvez également ajuster l’espacement entre les jeux de données ou entre des barres individuelles. Réglage de l’espacement des graphiques à barres et à colonnes Vous pouvez ajuster l’espace entre les différentes barres ou les jeux de données. Pour régler l’espacement : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries. Séparez les barres individuelles du graphique. Séparez les jeux de données du graphique. Ajoutez des ombres aux barres ou aux jeux de données.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 129 3 Pour changer l’espacement entre les barres, tapez une valeur (ou cliquez sur les flèches) dans le champ Espace entre les barres. Pour changer l’espace entre les jeux de données, spécifiez une valeur dans le champ « Espace entre les séries ». La valeur est le pourcentage de l’épaisseur des barres. Le fait de réduire l’espace entre les barres les rend plus épaisses. Vous pouvez également déplacer le pointeur près du bord d’une barre jusqu’à ce qu’il devienne une double flèche, puis le faire glisser afin de rendre les barres plus épaisses ou plus fines. Ajout d’ombres aux graphiques à barres et à colonnes Vous pouvez ajouter des ombres à chacune des barres du graphique ou à chaque groupe de barres. Si vous souhaitez ajouter des ombres à des barres individuelles, il est judicieux de les séparer auparavant. Reportez-vous à la rubrique « Réglage de l’espacement des graphiques à barres et à colonnes » à la page 128 pour en connaître les instructions. Pour ajouter des ombres : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur des graphiques, puis sur Séries. 3 Pour ajouter des ombres aux barres individuelles, choisissez Individuelle dans le menu local Ombre. Pour ajouter des ombres à chaque groupe de barres, choisissez Groupée dans le menu local Ombre. 4 Pour définir des attributs d’ombre, utilisez l’Inspecteur des graphismes. Reportez-vous à la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 174 pour en connaître les instructions. Réglage de l’opacité des graphiques à barres et à colonnes Vous pouvez modifier l’opacité du graphique et d’éléments de graphique individuels, comme la légende. Reportez-vous à la rubrique « Ajustement de l’opacité » à la page 176 pour plus d’informations.130 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Graphiques à couches et linéaires Dans le cas des graphiques à couches et des graphiques linéaires, vous pouvez repré- senter des points de données par des symboles (cercles, triangles, carrés et losanges). Voici différentes manières de mettre en forme des graphiques à couches et des graphiques linéaires : m Pour mettre en forme des symboles, sélectionnez une série de données (forme ou ligne de couche), cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries. Choisissez un symbole dans le menu local Symbole de point de données. Utilisez les options du menu local Remplissage du symbole pour appliquer de la couleur ou des images aux symboles. Pour obtenir des instructions, reportez-vous aux rubriques « Remplissage d’un objet avec une image » à la page 180 et « Remplissage d’un objet en couleur » à la page 178. m Pour définir la couleur de ligne sur les graphiques linéaires, sélectionnez une ligne, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes, puis utilisez les réglages de trait. Reportez-vous à la rubrique « Modification du style des bordures » à la page 172 pour obtenir des instructions. m Pour ajouter des ombres sur des graphiques à couches ou linéaires, sélectionnez une série de données (forme ou ligne de couche), cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes, puis utilisez les réglages d’ombre. Reportez-vous à la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 174 pour obtenir des instructions. Les points de données de cette série sont représentés par des triangles. Les points de données de cette série sont représentés par des cercles. Choisissez un symbole à utiliser pour les points de données. Remplissez les symboles des points de données avec de la couleur ou des images.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 131 Graphiques en nuage de points Sur les graphiques en nuage de points, les données s’affichent différemment des autres types de graphiques. Ils nécessitent au moins deux colonnes ou rangs de données pour tracer les points représentant les valeurs d’une série de données individuelle. Pour pouvoir afficher plusieurs séries de données, vous devez utiliser dans ce cas des paires de colonnes ou de rangs supplémentaires. Chaque paire de valeurs détermine ainsi la position de chaque point de données. La première valeur rencontrée dans la paire équivaut à l’axe des X du point. La seconde valeur rencontrée équivaut à l’axe des Y du point. Voici différentes manières d’utiliser un graphique en nuage de points : m Pour ajouter le graphique en nuage de points par défaut et un tableau associé contenant des données de paramètre fictif, vérifiez que rien n’est sélectionné, cliquez sur Graphiques dans la barre d’outils et sélectionnez le graphique en nuage de points. m Pour définir un tableau dont les données sont destinées à un graphique en nuage de points, utilisez deux colonnes ou deux rangs de données pour chaque série de données. Si les cellules sélectionnées lorsque vous ajoutez le graphique représentent un nombre impair de rangs ou de colonnes, la dernière colonne ou le dernier rang n’est pas tracée. m Pour mettre en forme un symbole pour une série de données, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des éléments d’une série de données » à la page 124. m Pour préciser les réglages s’appliquant aux axes, utilisez la sous-fenêtre Axes de l’Inspecteur des graphiques. Puisque les deux axes de graphiques en nuage de points possèdent des valeurs, les réglages de mise en forme des axes de valeurs s’appliquent aussi bien à l’axe des X qu’à celui des Y. Chaque axe peut néanmoins posséder son propre format de nombres. Reportez-vous à la rubrique « Mise en forme de l’axe des valeurs » à la page 122 pour obtenir des instructions.132 Chapitre 6 Utilisation des graphiques graphiques 3D Tous les types de graphiques, à l’exception des graphiques en nuage de points, peuvent être convertis en graphiques 3D. Voici les versions en 2D et 3D d’un graphique sectoriel. Et voici les versions en 2D et 3D d’un graphique linéaire. Pour définir les réglages de la scène 3D : 1 Sélectionnez un graphique 3D. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur l’Inspecteur des graphiques, puis sur Scène 3D. 3 Modifiez l’angle d’affichage du graphique, son style d’éclairage et sa profondeur à votre guise, à l’aide des commandes de Scène 3D. Flèches d’angle d’affichage : faites glisser une des flèches pour affiner l’angle. Cliquez sur la flèche verticale et faites-la glisser vers le haut ou vers le bas pour déplacer le graphique en conséquence. Cliquez sur la flèche horizontale et faites-la glisser vers la gauche ou vers la droite pour déplacer le graphique en conséquence. Pour déplacer le graphique dans les deux sens, cliquez à l’intersection des flèches et faites glisser. Style d’éclairage : sélectionnez un élément dans ce menu local afin d’ajuster l’effet d’éclairage. Profondeur de graphique : faites glisser ce réglage pour augmenter ou réduire la profondeur des éléments 3D.7 133 7 Utilisation de texte Ce chapitre vous permettra d’en savoir plus sur la définition et la modification de l’apparence du texte, y compris des listes. Dans les feuilles de calcul Numbers, vous pouvez placer du texte dans des zones de texte, des cellules et des figures. Ajout de texte Pour ajouter du texte, tapez-le dans une zone de texte, une figure ou une cellule d’un tableau.  À propos de l’ajout de texte dans une zone de texte ou une figure, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de zones de texte et de figures pour faire ressortir le texte » à la page 157.  Pour savoir comment ajouter du texte à des cellules de tableau, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de texte dans les cellules » à la page 59.  Pour ajouter du texte sous forme de liste, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures) » à la page 153. Supprimer, copier et coller du texte Le menu Édition contient des commandes qui vous aident à effectuer des opérations d’édition de texte. Voici différentes manières de modifier du texte : m Pour copier (ou couper) et coller du texte, sélectionnez le texte et choisissez Édition > Copier ou Édition > Couper. Cliquez à l’endroit où vous souhaitez coller le texte. Pour que le texte copié conserve la mise en forme du style, choisissez Édition > Coller. Cliquez sur Édition > Coller le style et l’appliquer afin de modifier la mise en forme du texte collé afin qu’elle corresponde à la mise en forme du texte situé autour. m Pour supprimer du texte, sélectionnez le texte et choisissez Édition > Supprimer ou appuyez sur la touche Suppr.134 Chapitre 7 Utilisation de texte Si vous supprimez du texte par accident, choisissez Édition > Annuler pour le restaurer. Lorsque vous utilisez la commande Copier ou Couper, le texte sélectionné est placé dans une zone d’attente nommée Presse-papiers, dans laquelle il reste jusqu’à ce que vous sélectionniez à nouveau la commande Copier ou Couper ou que vous éteigniez votre ordinateur. Le Presse-papiers ne conserve qu’une seule opération de copie ou de coupe à la fois. Sélection de texte Avant de mettre en forme ou d’effectuer toute autre opération sur du texte, vous devez sélectionner le texte que vous souhaitez utiliser. Il est possible de sélectionner du texte de différentes manières : m Pour sélectionner un ou plusieurs caractères, cliquez devant le premier caractère, et faites glisser le curseur sur les caractères que vous souhaitez sélectionner. m Pour sélectionner un mot, double-cliquez dessus. m Pour sélectionner un paragraphe, cliquez rapidement trois fois dessus. m Pour sélectionner des blocs de texte, cliquez au début du bloc de texte, puis cliquez à la fin d’un autre bloc de texte, tout en maintenant la touche Maj enfoncée. m Pour effectuer une sélection depuis le point d’insertion jusqu’au début du paragraphe, appuyez sur la touche Flèche vers le haut tout en maintenant les touches Maj et Option enfoncées. m Pour effectuer une sélection depuis le point d’insertion jusqu’à la fin du paragraphe, appuyez sur la touche Flèche vers le bas tout en maintenant les touches Maj et Option enfoncées. m Pour étendre la sélection d’un caractère à la fois, appuyez sur la touche Flèche gauche ou Flèche droite tout en maintenant la touche Maj enfoncée. m Pour étendre la sélection d’une ligne à la fois, appuyez sur la touche Flèche vers le haut ou Flèche vers le bas tout en maintenant la touche Maj enfoncée. m Pour sélectionner plusieurs mots ou blocs de texte qui ne sont pas adjacents, sélectionnez la première portion de texte souhaitée, puis sélectionnez d’autres portions de texte tout en maintenant la touche Commande enfoncée. Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte Vous pouvez notamment modifier la police, la couleur et le style du texte grâce au menu Format, le panneau Police et la barre des formats. Le menu Format et le panneau Police sont les premiers outils de mise en forme du texte des cellules. La barre des formats est pratique pour mettre en forme le texte contenu dans des zones de texte et des figures. Chapitre 7 Utilisation de texte 135 Utilisation de la barre des formats pour mettre en forme le texte Avec la barre des formats, vous pouvez modifier rapidement et facilement la taille et l’aspect du texte d’une zone de texte, d’une figure ou d’un commentaire. Lorsque vous avez sélectionné une zone de texte, une figure ou un commentaire, vous pouvez modifier le style et la taille de la police, la couleur du texte ou afficher le texte en caractères gras, italiques ou soulignés, aligner le texte, définir l’interligne et disposer le texte en colonnes. Utilisation du menu Format pour mettre en forme le texte Les options du sous-menu Police du menu Format vous offrent un contrôle de base de la taille et de l’apparence du texte. Application de l’attribut Gras ou Italique au texte à l’aide des menus Vous pouvez mettre les caractères en gras ou en italique. Pour mettre un texte en gras ou en italique : 1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez mettre en gras ou en italique, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte. 2 Choisissez Format > Police > Gras. Ou choisissez Format > Police > Italique. Certaines polices comportent plusieurs styles gras et italique. Pour choisir parmi plusieurs styles gras et italique, utilisez le panneau Police. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 137. Encadrement de texte à l’aide des menus Vous pouvez modifier le texte afin qu’il apparaisse avec un contour bien défini. Pour créer du texte encadré : 1 Sélectionnez le texte auquel vous souhaitez appliquer un contour, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte. 2 Choisissez Format > Police > Structure. Il se peut que le texte présentant un contour dans Numbers n’ait pas le même aspect si vous ouvrez la feuille de calcul dans une autre application. Si vous envisagez de partager une feuille de calcul contenant du texte avec un contour avec des personnes qui ne disposent pas de Numbers, exportez la feuille de calcul au format PDF puis partagez le fichier obtenu. Changer de type de caractère, de style et de taille Définir la couleur du texte. Afficher le texte en caractères gras, italiques ou soulignés Aligner le texte Définir l’interligne Diviser le texte en colonnes.136 Chapitre 7 Utilisation de texte Soulignement du texte à l’aide des menus Vous pouvez souligner du texte, puis mettre en forme le soulignement afin d’en modifier le style ou la couleur. Pour souligner du texte : 1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez souligner, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte. 2 Choisissez Format > Police > Souligner. Pour modifier le style ou la couleur du soulignement, cliquez sur Polices dans la barre d’outils et utilisez le bouton Texte souligné dans le panneau Police. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 137. Modification de la taille du texte à l’aide des menus Vous pouvez changer la taille du texte (en points) pour le rendre plus grand ou plus petit. Pour changer la taille du texte : 1 Sélectionnez le texte à redimensionner. 2 Pour changer la taille du texte par incréments de 1 point, choisissez Format > Police > Plus grand. Ou choisissez Format > Police > Plus petit. Vous pouvez également ajouter les icônes Plus grand et Plus petit à la barre d’outils. Pour ce faire, choisissez Présentation > Personnaliser la barre d’outils et faites glisser les icônes sur la barre d’outils, puis cliquez sur Fin. Pour spécifier une taille précise pour le texte sélectionné, cliquez sur Polices dans la barre d’outils et utilisez les contrôles Taille du panneau Police. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 137. Mise en indice ou en exposant du texte à l’aide des menus Vous pouvez lever ou abaisser le texte par rapport à sa ligne de base. Pour mettre le texte en indice ou en exposant : 1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez lever ou abaisser, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte. 2 Pour créer un indice ou un exposant dont la taille de police est inférieure à celle du texte qu’il accompagne, choisissez Format > Police > Ligne de base > Indice. Ou choisissez Format > Police > Ligne de base > Exposant. 3 Pour élever ou abaisser le texte sans réduire la taille de la police, choisissez Élever ou Abaisser dans le sous-menu Ligne de base. 4 Pour restaurer le texte à la même ligne de base que celle du corps de texte, choisissez Valeur par défaut dans le sous-menu Ligne de base.Chapitre 7 Utilisation de texte 137 Vous pouvez également ajouter les icônes Indice et Exposant à la barre d’outils. Pour ce faire, choisissez Présentation > Personnaliser la barre d’outils et faites glisser les icônes sur la barre d’outils, puis cliquez sur Terminé. Modification de la casse d’un texte à l’aide des menus Vous pouvez rapidement faire passer des blocs de texte en majuscules ou en minuscules, ou transformer un texte en titre. Pour changer la casse d’un texte : 1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez modifier, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte. 2 Choisissez Format > Police > Majuscules puis sélectionnez une option dans le sous-menu. Choisissez Tout en majuscule pour que le texte passe en majuscules. Choisissez Petites majuscules pour que le texte passe en petites majuscules avec des lettres plus grandes pour les capitales. Choisissez Titre pour transformer un texte en titre, ce qui met la première lettre de chaque mot en majuscule. Choisissez Aucun pour revenir à la capitalisation d’origine. Les caractères en majuscules comme le premier mot de chaque phrase restent en majuscules mais toutes les autres lettres passent en minuscules. Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte Le panneau Police de Mac OS X vous permet d’accéder à toutes les polices installées sur votre ordinateur. Il offre un aperçu des caractéristiques disponibles (telles que gras et italique) ainsi que de la taille de chaque police. Les boutons du panneau Police permettent de souligner ou de barrer le texte, d’ajouter de la couleur et des ombres au texte. Vous pouvez même modifier la couleur de la page d’arrière-plan dans le panneau Police. Pour en savoir plus sur l’installation des polices, la création et la gestion de collections de polices, ou la résolution de problèmes liés aux polices, consultez l’Aide Mac.138 Chapitre 7 Utilisation de texte Pour ouvrir le panneau Police : m Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. Vous pouvez modifier l’apparence de n’importe quel texte d’une feuille de calcul en le sélectionnant, puis en activant des options dans le panneau Police. Lorsque vous appliquez des changements de mise en forme dans le panneau Police, le texte sélectionné change immédiatement, ce qui vous permet de tester différentes options de mise en forme et de voir rapidement celui qui convient le mieux. Voici un récapitulatif des effets des menus locaux sur le texte, de gauche à droite :  Le menu local Texte souligné vous permet de choisir un style de soulignement (trait simple ou double, par exemple).  Le menu local Texte barré vous permet de sélectionner un style de barrage du texte (trait simple ou double, par exemple).  Le menu local Couleur du texte permet d’appliquer une couleur au texte.  Le menu local Couleur du document permet d’appliquer une couleur au fond d’un paragraphe.  Le bouton Ombre du texte applique une ombre au texte sélectionné.  Les commandes « Opacité de l’ombre », « Flou de l’ombre », « Décalage de l’ombre » et « Angle de l’ombre » contrôlent l’apparence de l’ombre. Si les boutons d’effets de texte n’apparaissent pas, choisissez Afficher les effets dans le menu local Action situé dans l’angle inférieur gauche du panneau Police. Prévisualiser le type de caractère sélectionné (pour cela, il peut être nécessaire de cliquer sur Afficher un aperçu dans le menu Action). Sélectionner un type de caractère à appliquer au texte sélectionné dans votre document. Sélectionner une taille de police à appliquer au texte sélectionné dans votre document. Menu Action Créer des effets intéressants à l’aide de ces menus locaux Rechercher une police en tapant un nom dans le champ de recherche. Appliquer une ombre au texte sélectionné Modifier l’ombre à l’aide des contrôles Opacité, Flou, Décalage et AngleChapitre 7 Utilisation de texte 139 Simplification de l’utilisation du panneau Police Si vous utilisez fréquemment le panneau Police, différentes techniques vous permettent de gagner du temps. Voici quelques conseils d’utilisation du panneau Police : m Pour localiser rapidement les polices que vous utilisez le plus souvent, placez-les dans des collections de polices. Cliquez sur le bouton Ajout (+) pour créer une collection de polices, puis faites glisser un type de caractère vers la nouvelle collection. m Pour faciliter le changement fréquent de police, il suffit de laisser le panneau Police ouvert. S’il occupe trop d’espace à l’écran, vous pouvez le réduire en faisant glisser le contrôle de redimensionnement (dans l’angle inférieur droit du panneau), de sorte que seuls les familles et styles de police de la collection sélectionnée soient visibles. Pour fermer le panneau, cliquez à nouveau sur le bouton Polices ou sur le bouton de fermeture situé dans l’angle supérieur gauche du panneau Police. Changement de polices à l’aide du panneau Police Le panneau Police vous permet de contrôler complètement les polices. Utilisez les contrô- les de taille et les réglages typographiques pour personnaliser l’apparence de votre texte. Pour modifier la police du texte sélectionné : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Dans le panneau Police, sélectionnez un style de police dans la colonne Famille, puis sélectionnez le style dans la colonne Style. Si vous ne voyez pas toutes les familles de police installées sur l’ordinateur, sélectionnez Toutes les polices dans la colonne Collections ou tapez le nom de la police recherchée dans le champ de recherche en bas du panneau Police. Un aperçu de la police sélectionnée apparaît dans la sous-fenêtre d’aperçu en haut du panneau Police. Si la sous-fenêtre d’aperçu ne s’affiche pas, choisissez Afficher l’aperçu dans le menu local Action dans le coin inférieur gauche du panneau Police. 3 Réglez la taille de la police à l’aide du curseur ou d’autres commandes contrôlant la taille. 4 Ajustez les réglages de typographie de la police sélectionnée en choisissant Typographie dans le menu local Action. Dans la fenêtre Typographie, cliquez sur les triangles d’affichage afin de visualiser et de sélectionner les différents effets typographiques disponibles pour la police sélectionnée. Les effets typographiques disponibles dépendent de la police. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des fonctionnalités typographiques avancées » à la page 144 pour obtenir plus d’informations.140 Chapitre 7 Utilisation de texte Modification du soulignement à l’aide du panneau Police Vous pouvez utiliser le panneau Police pour changer l’apparence des soulignements. Pour modifier le soulignement du texte sélectionné : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le bouton Soulignement de texte dans le panneau Police (premier bouton à gauche) et choisissez Simple ou Double dans le menu local. 3 Pour changer la couleur de soulignement, choisissez Couleur dans le menu local Soulignement de texte, puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Ajout d’un attribut barré au texte à l’aide du panneau Police Vous pouvez ajouter l’attribut barré au texte et utiliser une couleur de ligne différente de celle du texte. Pour ajouter un attribut barré au texte sélectionné : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le bouton Texte barré dans le panneau Police (deuxième bouton à partir de la gauche), puis choisissez Aucun, Simple ou Double dans le menu local. Une ligne simple ou double barre le texte sélectionné de la même couleur que celui-ci. 3 Pour changer la couleur des lignes barrées, choisissez Couleur dans le menu local Texte barré, puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. La ligne barrée prend la couleur sélectionnée dans la fenêtre Couleurs, mais le texte conserve sa couleur d’origine. Modification de la couleur du texte à l’aide du panneau Police Les modifications apportées à la couleur du texte dans le panneau Police remplacent celles apportées dans l’Inspecteur du texte, et inversement. (Pour en savoir plus sur la modification de la couleur du texte à l’aide de l’Inspecteur du texte, reportez-vous à la rubrique « Modification de la couleur du texte » à la page 149.) Pour modifier la couleur du texte sélectionné : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le bouton Couleur du texte dans le panneau Police (troisième bouton à partir de la gauche), puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 179 pour en connaître les instructions.Chapitre 7 Utilisation de texte 141 Modification de la couleur d’arrière-plan d’un paragraphe à l’aide du panneau Police Le panneau Police vous permet d’ajouter une couleur derrière un paragraphe. Pour modifier la couleur d’arrière-plan d’un paragraphe sélectionné : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le bouton Couleur du document dans le panneau Police (quatrième bouton à partir de la gauche), puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 179 pour en connaître les instructions. Création d’ombres sur le texte à l’aide du panneau Police Le panneau Police vous permet de créer et de mettre en forme des ombres sur le texte. Pour ajouter des ombres au texte sélectionné : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le bouton Ombre du texte dans le panneau Police (cinquième bouton à partir de la gauche). 3 Faites glisser le curseur Opacité de l’ombre (premier curseur à gauche) vers la droite afin de rendre l’ombre plus foncée. 4 Faites glisser le curseur Flou de l’ombre (curseur du milieu) vers la droite afin de rendre l’ombre plus floue. 5 Faites glisser le curseur Décalage de l’ombre (troisième curseur) vers la droite afin de séparer l’ombre du texte. 6 Faites tourner la molette Angle de l’ombre afin de définir la direction de l’ombre. Vous pouvez également définir les ombres du texte dans l’Inspecteur des graphismes, comme décrit dans la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 174. Ajout d’accents et de caractères spéciaux Si vous devez taper des caractères avec des accents, des symboles mathématiques, des flèches ou d’autres caractères spéciaux, vous pouvez utiliser la sous-fenêtre des préférences internationales ou la palette de caractères. Vous pouvez également voir où se trouvent les caractères sur les claviers utilisés dans d’autres langues en utilisant le Visualiseur de clavier (vous pouvez par exemple voir la disposition des touches d’un clavier italien). Tous ces outils sont intégrés à Mac OS X. Ajout d’accents Vous pouvez utiliser le Visualiseur de clavier des Préférences Système pour ajouter des accents aux caractères.142 Chapitre 7 Utilisation de texte Pour ajouter des accents : 1 Choisissez Pomme > Préférences Système et cliquez sur International. 2 Cliquez sur Menu Saisie, puis sélectionnez la case en regard de Visualiseur de clavier. 3 Choisissez Afficher le Visualiseur de clavier dans le menu Saisie à droite de la barre de menus (celle qui ressemble à un drapeau ou à un symbole alphabétique). Le Visualiseur de clavier affiche les caractères du clavier. (Si vous avez sélectionné une disposition du clavier différente ou une méthode de saisie différente pour le clavier dans le menu Saisie, les caractères de la disposition du clavier sélectionnée s’affichent.) Par exemple, si vous choisissez Américain dans le menu Saisie, vous voyez dans le Visualiseur de clavier les caractères qui s’affichent sur un clavier américain. 4 Pour mettre en surbrillance dans le Visualiseur de clavier les différents accents que vous pouvez taper, appuyez sur Option, ou sur les touches Option + Maj. Les touches accentuées sont entourées en blanc. En fonction du clavier, vous pouvez ne pas avoir à appuyer sur les touches de modification pour afficher les caractères accentués. 5 Placez le point d’insertion dans la feuille de calcul à l’endroit où vous souhaitez taper du texte. 6 Appuyez sur la touche de modification sur laquelle vous avez appuyé à l’étape 4 (Maj, Option, Option + Maj ou aucune) et appuyez sur la touche qui se trouve à la même position que l’accent affiché dans le Visualiseur de clavier. Relâchez ensuite la touche de modification et appuyez sur la touche correspondant au caractère que vous souhaitez accentuer. La touche accentuée modifie la touche que vous tapez ensuite. Par exemple, sur un clavier américain, pour afficher le caractère é, appuyez sur Option et sur E (la touche accentuée), puis appuyez sur E (la touche sur laquelle vous souhaitez que l’accent apparaisse). Affichage des dispositions de clavier dans d’autres langues Vous pouvez utiliser le Visualiseur de clavier des Préférences Système pour afficher l’emplacement des caractères sur des claviers utilisés pour d’autres langues. Des polices doivent être installées pour la langue que vous souhaitez voir dans le Visualiseur de clavier. Pour afficher les dispositions de clavier pour différentes langues : 1 Choisissez Pomme > Préférences Système et cliquez sur International. 2 Cliquez sur Menu Saisie, puis sélectionnez la case en regard de Visualiseur de clavier. 3 Pour afficher la disposition des caractères sur les claviers utilisés dans différents pays, sélectionnez la case Sur en regard de la disposition du clavier du pays ou de la méthode de saisieChapitre 7 Utilisation de texte 143 4 Choisissez Afficher le Visualiseur de clavier dans le menu Saisie à droite de la barre de menus (celle qui ressemble à un drapeau ou à un caractère alphabétique). Le Visualiseur de clavier affiche les caractères de la disposition du clavier ou de la méthode de saisie sélectionnée dans le menu Saisie. Par exemple, si vous choisissez Américain dans le menu Saisie, vous voyez dans le Visualiseur de clavier les caractères qui s’affichent sur un clavier américain. 5 Pour afficher la disposition du clavier d’un autre pays, choisissez-la dans le menu Saisie. Saisie des caractères spéciaux et des symboles À l’aide de la palette de caractères Mac OS X, vous pouvez insérer des caractères spé- ciaux, comme des symboles mathématiques, des lettres accentuées, des flèches et autres “dingbats,” et bien plus encore. Cette palette vous permet également de saisir des caractères japonais, de chinois traditionnel, de chinois simplifié, de coréen ainsi que d’autres langues. Pour insérer des caractères spéciaux ou des symboles : 1 Placez le point d’insertion à l’endroit où le caractère ou symbole spécial doit apparaître. 2 Choisissez Édition > Caractères spéciaux afin d’ouvrir la palette de caractères (ou choisissez Caractères dans le menu local Action dans le coin inférieur gauche du panneau Police). 3 Choisissez le type de caractère que vous souhaitez afficher dans le menu local Afficher, en haut de la palette de caractères. Si le menu local ne s’affiche pas, cliquez sur le bouton dans le coin supérieur droit de la fenêtre afin d’afficher la partie supérieure de la fenêtre. Cliquez de nouveau sur ce bouton afin de masquer la partie supérieure de la fenêtre. 4 Cliquez sur un élément de la liste de gauche afin de voir les caractères disponibles dans chaque catégorie. 5 Double-cliquez sur le caractère ou le symbole de droite que vous souhaitez insérer dans votre feuille de calcul, ou sélectionnez le caractère et cliquez sur Insérer. Si le caractère ou le symbole présente des variantes, celles-ci s’affichent en bas de la fenêtre lorsque vous cliquez sur le triangle Infos du caractère ou le triangle Variante de police en bas de la palette. Double-cliquez sur une variante pour l’insérer dans votre feuille de calcul. Si le caractère ne s’insère pas dans votre feuille de calcul, il se peut alors que Numbers ne le prenne pas en charge.144 Chapitre 7 Utilisation de texte Utilisation de guillemets courbes Les guillemets courbes sont des guillemets ouvrant et fermant incurvés ; le guillemet ouvrant est donc différent du guillemet fermant. Lorsque vous n’utilisez pas de guillemets courbes, les guillemets sont droits et identiques. Pour utiliser des guillemets courbes : m Choisissez Numbers > Préférences, cliquez sur Correction automatique, puis sélectionnez « Utiliser les guillemets courbes ». Utilisation des fonctionnalités typographiques avancées Certaines polices, telles que Zapfino et Hœfler, présentent des fonctions typographiques avancées, qui vous permettent de créer différents effets. Si vous utilisez une telle police, vous pouvez modifier de nombreux effets dans le sous-menu Police du menu Format. Par exemple, vous pouvez ajuster les éléments suivants :  Crénage : ajuste l’espacement entre les caractères.  Ligature : utilise ou évite les styles élaborés entre les lettres, au début ou à la fin des lignes combinant plusieurs caractères en un seul symbole graphique Dans le sous-menu Ligature, choisissez Valeur par défaut pour utiliser les réglages de ligature spécifiés dans la fenêtre Typographie pour la police que vous utilisez, choisissez Aucune pour désactiver les ligatures pour le texte sélectionné, ou choisissez Toutes pour activer des ligatures supplémentaires pour le texte sélectionné.  Interligne : relève ou abaisse le texte par rapport au texte qui l’entoure.  Majuscules : convertit tous les caractères en majuscules, en petites majuscules ou en lettres capitales initiales (style de titre). Des fonctions typographiques avancées sont disponibles dans la fenêtre Typographie. Pour ouvrir la fenêtre Typographie : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Dans le panneau Police, choisissez Typographie dans le menu local Action (dans le coin inférieur gauche). Guillemets courbes Guillemets droits Ligature non utilisée Ligature utiliséeChapitre 7 Utilisation de texte 145 Réglage du lissage des polices Si les polices apparaissent floues ou irrégulières à l’écran, vous pouvez modifier le style de lissage des polices ou changer la taille du texte à partir de laquelle Mac OS X commence à lisser les polices. Pour lisser les polices à l’écran : 1 Ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Apparence. 2 Choisissez un style de lissage de police dans le menu local en bas de la fenêtre. En fonction du type de votre écran, les différences entre les styles de lissage peuvent vous paraître très légères. 3 Si vous envisagez d’utiliser des polices de petite taille dans votre feuille de calcul, choisissez une taille de point dans le menu local « Désactiver le lissage du texte pour les polices de taille ». Lorsque le lissage de texte (ou « anticrénelage ») est activé, les polices les plus petites deviennent difficilement lisibles. Définition de l’alignement, de l’espacement et de la couleur du texte Les principaux outils de réglage de l’alignement, l’espacement et de la couleur sont l’inspecteur du texte et la barre des formats. Vous pouvez aligner horizontalement le texte (le centrer ou l’aligner à gauche, par exemple) grâce au menu Format. Les commandes de couleur, d’espacement et d’alignement sont également disponibles dans la barre des formats lorsque vous sélectionnez du texte dans un tableau. Lorsque le texte d’une zone de texte, d’un commentaire ou d’une figure est sélectionné, vous pouvez en définir la couleur, l’aligner et définir l’interligne. Lorsque vous travaillez sur le texte d’une cellule, vous pouvez utiliser la barre des formats pour aligner le texte horizontalement et verticalement dans la cellule. Changer de type de caractère, de style et de taille Définir la couleur du texte. Afficher le texte en caractères gras, italiques ou soulignés Aligner le texte Définir l’interligne Diviser le texte en colonnes. Aligner le texte horizontalement Aligner le texte verticalement146 Chapitre 7 Utilisation de texte La sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur du texte permet d’accéder à d’autres réglages d’alignement et d’interligne. Pour ouvrir la sous-fenêtre Texte de l’inspecteur du texte : m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Texte. Alignement horizontal du texte Vous pouvez modifier l’alignement du texte dans une colonne, une cellule, une zone de texte ou une figure pour aligner le texte sur la bordure gauche ou droite, le centrer ou l’aligner à gauche et à droite (justifié). Pour aligner le texte à gauche, au centre, à droite ou pour le justifier : 1 Sélectionnez le texte à modifier. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Texte. 3 Cliquez sur l’un des cinq boutons d’alignement horizontal situés à droite du cadre de couleurs. De gauche à droite, ces boutons entraînent les effets suivants. Le bouton Aligner à gauche place chaque ligne du texte le long de la marge gauche de l’objet. Le bouton Au centre fait coïncider le centre de chaque ligne du texte sur le centre de l’objet. Le bouton Aligner à droite place chaque ligne du texte le long de la marge droite de l’objet. Le bouton Justifier espace les caractères de chaque ligne afin que le texte se répartisse entre les marges gauche et droite de l’objet. Cliquez sur ce bouton pour modifier la couleur du texte sélectionné. Boutons d’alignement horizontal : cliquez sur ces boutons pour aligner le texte sélectionné à gauche, à droite, réparti à gauche et à droite ou placé au centre ou pour utiliser un alignement de cellule spécial. Boutons d’alignement vertical : cliquez sur ces boutons pour aligner le texte en haut, au centre ou en bas d’une zone de texte, d’une figure ou d’une cellule. Espacement des caractères et interligne : réglez l’espacement des caractères, des paragraphes et l’interligne du texte sélectionné. Faites glisser ce curseur pour régler l’espace entre le texte et les bordures intérieures des zones de texte, des cellules et des figures. Le bouton Inspecteur du texteChapitre 7 Utilisation de texte 147 Le bouton « Aligner automatiquement la cellule du tableau » place le texte à gauche et les nombres à droite dans une cellule. Les cinq boutons d’alignement horizontal sont également disponibles dans la barre des formats lorsqu’une cellule est sélectionnée. Les quatre premiers sont disponibles dans la barre des formats lorsque le texte d’une zone de texte, d’une figure ou d’un commentaire est sélectionné. Vous pouvez également aligner le texte horizontalement en sélectionnant Format > Texte > Aligner à gauche, Centré, Aligner à droite, Justifier, Aligner automatiquement la cellule du tableau. Si vous souhaitez appliquer un retrait à la première ligne de texte d’un paragraphe, ou pour savoir comment annuler un retrait, reportez-vous à la rubrique « Création de retraits » à la page 152. Alignement vertical du texte Vous pouvez modifier l’alignement des paragraphes dans une cellule de tableau, une zone de texte ou une figure afin que le texte soit aligné le long de la bordure du haut ou du bas ou centré entre les deux bords. Pour aligner du texte en haut, au centre ou en bas d’une zone de texte, d’une cellule de tableau ou d’une figure : 1 Sélectionnez la zone de texte, la cellule de tableau ou la figure dont vous souhaitez modifier l’alignement. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Texte. 3 Cliquez sur un des trois boutons d’alignement vertical sous Couleur et alignement pour aligner le texte en haut, au milieu ou en bas de la cellule, de la zone de texte ou de la figure. Les boutons d’alignement vertical sont également disponibles dans la barre des formats lorsque vous travaillez dans une cellule. Réglage de l’interligne Vous pouvez augmenter ou diminuer la distance entre les lignes du texte. Pour régler l’espacement : 1 Sélectionnez le texte à modifier. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Texte. 3 Déplacez le curseur Ligne vers la gauche pour diminuer l’interligne et vers la droite pour l’augmenter. Pour spécifier une valeur d’interligne précise, saisissez une valeur de point dans le champ Ligne ou cliquez sur la Flèche vers le haut ou vers le bas en regard du champ.148 Chapitre 7 Utilisation de texte 4 Choisissez une option d’interligne dans le menu local Espacement lignes qui apparaît lorsque vous cliquez sur le texte situé en dessous du champ Ligne. Interligne standard (Simple, Double, Multiple): l’interligne est proportionnel à la taille de la police. Utilisez cette option lorsque la distance relative entre les hampes montantes (parties des lettres situées au-dessus du haut de la ligne) et les hampes descendantes (parties situées sous le bas de la ligne) doivent rester fixe. L’interligne simple définit un interligne simple et l’espacement double définit un interligne double. L’option Multiple permet de définir des valeurs d’interligne inférieures à simple, comprises entre simple et double ou supérieures à double. Au moins : la distance d’une ligne à la suivante ne sera jamais inférieure à la valeur définie, mais elle peut être supérieure pour les polices plus grandes, afin d’empêcher les lignes qui se chevauchent. Utilisez cette option lorsque la distance entre les lignes doit rester fixe, mais le chevauchement n’est pas souhaitable si le texte s’agrandit. Exactement : la distance entre les lignes de base. Entre : la valeur définie accroît l’espace entre les lignes, et non leur hauteur. À l’inverse, l’interligne double augmente donc la hauteur de chaque ligne de deux fois. Il est également possible de régler l’interligne en utilisant le menu local Interligne de la barre des formats lorsque le texte est sélectionné dans une zone de texte, une figure ou un commentaire. Menu local Interligne : cliquez sur le texte sous le champ Ligne et choisissez un interligne. Champ Ligne : pour spécifier l’interligne du texte d’un paragraphe, tapez une valeur (ou cliquez sur les flèches). Cliquer pour modifier l’espace entre les lignes du texte.Chapitre 7 Utilisation de texte 149 Réglage de l’espacement avant et après un paragraphe Vous pouvez augmenter ou diminuer l’espacement avant et après les paragraphes. Pour ajuster la quantité d’espace avant ou après un paragraphe : 1 Sélectionnez les paragraphes à modifier. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Texte. 3 Faites glisser le curseur Avant le paragraphe ou Après le paragraphe. Vous pouvez également saisir une valeur spécifique (par exemple, 5 pt) dans les zones de texte. Si les valeurs des curseurs Avant le paragraphe et Après le paragraphe sont différentes pour des paragraphes adjacents, la valeur d’espacement la plus élevée est utilisée. Par exemple, si la valeur du curseur Avant le paragraphe du paragraphe actuel est de 12 points et que la valeur Après le paragraphe du paragraphe précédent est de 14 points, l’espace entre ces deux paragraphes sera de 14 points. L’espace avant un paragraphe ne s’applique pas au premier paragraphe d’une zone de texte, d’une figure ou d’une cellule d’un tableau. Pour définir l’espacement autour du texte dans des zones, des figures et des cellules de tableau, utilisez la commande Marge intérieure, décrite dans la rubrique « Modification de la marge intérieure du texte dans des objets » à la page 153. Réglage de l’espace entre les caractères Vous pouvez augmenter ou diminuer l’espace entre les caractères. Pour ajuster l’écart entre des caractères : 1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez modifier, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Texte. 3 Faites glisser le curseur Caractère ou spécifiez un nouveau pourcentage dans le champ Caractère. Vous pouvez également régler l’espace entre des caractères sélectionnés en choisissant Format > Police > Crénage et en sélectionnant une option dans le sous-menu. Modification de la couleur du texte Vous pouvez changer la couleur du texte à l’aide de la barre des formats, de l’Inspecteur du texte et du panneau Police. Les modifications que vous effectuez avec un de ces outils écrasent les changements de couleur effectués avec d’autres outils. Avant de changer la couleur du texte, sélectionnez le texte dont vous souhaitez modifier la couleur ou cliquez dans le texte pour placer le point d’insertion.150 Chapitre 7 Utilisation de texte Voici différentes façons de changer la couleur du texte : m Cliquez sur l’encrier Couleur du texte ou Couleur d’arrière-plan dans la barre des formats. Dans le tableau des couleurs qui apparaît, cliquez sur une couleur pour la sélectionner ou cliquez sur Afficher les couleurs pour ouvrir la fenêtre Couleurs qui contient d’autres couleurs. m Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur du texte, puis sur le cadre des couleurs Document. La fenêtre Couleurs s’ouvre. La rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 179 fournit des instructions sur l’utilisation de la fenêtre Couleurs. Définition de taquets de tabulation afin d’aligner le texte Vous pouvez aligner le texte à des points spécifiques en définissant des taquets de tabulation dans une zone de texte, une cellule de tableau ou une figure. Lorsque vous appuyez sur la touche de tabulation (ou simultanément sur les touches Option et Tab si vous travaillez dans une cellule de tableau), le point d’insertion (et tout texte à sa droite) se déplace vers le taquet de tabulation suivant ; le texte que vous saisissez commence alors à ce point. Vous pouvez définir rapidement des taquets de tabulation à l’aide des symboles de la règle horizontale. Vous voyez les symboles des taquets de tabulation existants sur la règle horizontale en cliquant sur Affichage dans la barre d’outils, en choisissant Afficher les règles, puis en sélectionnant du texte dans la page. Pour définir des taquets de tabulation dans des listes, consultez la rubrique « Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures) » à la page 153 pour plus d’informations sur la mise en retrait des éléments d’une liste. Des taquets tabulations bleus apparaissent sur la règle horizontale lorsque vous sélectionnez du texte avec des tabulations. Tabulation décimale Tabulation à droite Tabulation centrale Tabulation à gaucheChapitre 7 Utilisation de texte 151 Il existe différentes façons d’utiliser les règles : m Pour afficher ou masquer les règles, cliquez sur Affichage dans la barre d’outils, et choisissez Afficher les règles ou Masquer les règles. m Pour changer les unités de mesure des règles, choisissez Numbers > Préférences, cliquez sur Règles et choisissez un élément dans le menu local « Unités de la règle ». Définition d’un nouveau taquet de tabulation Vous pouvez utiliser la règle horizontale pour ajouter un taquet de tabulation. Pour créer un nouveau taquet : 1 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Afficher les règles. 2 Cliquez sur la règle horizontale pour placer le symbole de tabulation à l’endroit où vous souhaitez insérer un taquet. 3 Cliquez sur le symbole de tabulation en appuyant sur la touche Contrôle et choisissez une option dans le menu local. Tabulation gauche : aligne le bord gauche du texte avec le taquet. Tabulation centrée : place le centre du texte sur le taquet. Tabulation droite : aligne le bord droit du texte avec le taquet. Tabulation décimale : dans le cas des nombres, aligne le séparateur décimal (comme la virgule ou le point) sur le taquet de tabulation. Vous pouvez également double-cliquer plusieurs fois sur le symbole de tabulation dans la règle jusqu’à ce que le type de tabulation souhaité apparaisse. Modification d’un taquet de tabulation Vous pouvez modifier l’emplacement et le type de taquet de tabulation à l’aide de la règle horizontale. Pour modifier les taquets de tabulation : 1 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Afficher les règles. 2 Pour déplacer un taquet de tabulation, faites glisser son symbole bleu le long de la règle horizontale. 3 Pour changer le type de tabulation, cliquez tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée sur le symbole de tabulation et choisissez une option dans le menu local. Vous pouvez également double-cliquer plusieurs fois sur le symbole de tabulation dans la règle jusqu’à ce que le type de tabulation souhaité apparaisse. Choisissez parmi ces types de tabulation.152 Chapitre 7 Utilisation de texte Suppression d’un taquet de tabulation Vous pouvez supprimer rapidement un taquet de tabulation à l’aide de la règle horizontale. Pour supprimer un taquet de tabulation : 1 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Afficher les règles. 2 Faites glisser le symbole de tabulation en dehors de la règle horizontale. Création de retraits Vous pouvez modifier la quantité d’espace entre le texte et la bordure intérieure d’une zone de texte, d’une figure ou du commentaire d’une cellule. Définition de retraits pour les paragraphes Vous pouvez modifier le retrait d’un paragraphe en faisant glisser les contrôles de retrait sur la règle du texte. Pour définir des retraits à l’aide des règles : 1 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et sélectionnez Afficher les règles. 2 Pour changer le retrait de droite, faites glisser le symbole de retrait de droite (triangle bleu pointant vers le bas du côté droit de la règle horizontale) jusqu’à la position où vous souhaitez que le bord droit du paragraphe se termine. 3 Pour changer le retrait de gauche, faites glisser son symbole (triangle bleu pointant vers le bas du côté gauche de la règle) vers l’emplacement où le bord gauche du paragraphe doit commencer. Pour changer la marge gauche indépendamment du retrait gauche, maintenez enfoncée la touche Option lorsque vous faites glisser la souris. 4 Pour changer le retrait de la première ligne, faites glisser le retrait de première ligne (rectangle bleu) jusqu’à l’emplacement où la première ligne doit commencer. Si vous souhaitez que la première ligne reste alignée sur la marge de gauche, vérifiez que le rectangle est aligné avec le symbole de retrait de gauche. Si vous souhaitez créer un retrait suspendu, faites glisser le rectangle vers la gauche du symbole de retrait à gauche. Pour utiliser les réglages applicables aux règles à un autre endroit de votre feuille de calcul, sélectionnez Format > Texte > Copier la règle, puis Format > Texte > Coller la règle. Retrait de première ligne Retrait de droite Retrait de gaucheChapitre 7 Utilisation de texte 153 Modification de la marge intérieure du texte dans des objets Vous pouvez modifier l’espace entre le texte et la bordure intérieure d’une zone de texte, d’une figure ou d’une cellule de tableau. Cette mesure est appelée la marge intérieure. La quantité d’espace que vous indiquez est appliquée de manière uniforme autour du texte de chaque côté. Pour régler l’espacement entre le texte et la bordure intérieure de son objet : 1 Sélectionnez l’objet si celui-ci ne contient aucun point d’insertion. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Texte. 3 Faites glisser le curseur Marge intérieure vers la droite afin d’augmenter l’espace entre le texte et la bordure intérieure de l’objet, ou tapez un nombre dans la zone Marge intérieure et appuyez sur Retour. Vous pouvez aussi cliquer sur les flèches pour augmenter ou réduire l’espace. Définition de retraits pour les listes Utilisez l’inspecteur du texte pour définir le retrait des puces, des nombres et du texte qui les accompagne dans les listes à puce, les listes numérotées et les listes ordonnées. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures) » pour en savoir plus. Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures) Numbers fournit des styles de puces et de numérotation prédéfinis permettant de créer des listes simples ou ordonnées). Les listes à puces et numérotées sont de simples listes sans imbrication hiérarchique d’informations comme on le voit dans des structures. Génération automatique de listes Lorsque vous utilisez la fonction de génération automatique de liste, Numbers met automatiquement en forme une liste en fonction de ce que vous tapez. Pour utiliser cette fonction, choisissez d’abord Numbers > Préférences, cliquez sur Correction automatique, et assurezvous que l’option « Détection automatique de listes » est activée. Spécifiez la quantité d’espace souhaitée autour du texte dans une zone de texte, une figure ou une cellule de tableau.154 Chapitre 7 Utilisation de texte Voici différentes façons de générer des listes automatiquement : m Pour créer une liste à puces, appuyez sur Option-8 pour taper tapez une puce (•), un espace, du texte, puis appuyez sur Retour. m Pour créer des listes dont les symboles sont des astérisques (*) ou des tirets (-), tapez le symbole, un espace, du texte, puis appuyez sur Retour. m Pour créer une liste dont les symboles sont des numéros ou des lettres, tapez le numéro ou la lettre, un point, un espace, du texte, puis appuyez sur Retour. Vous pouvez utiliser n’importe quel format de caractère du menu local Style de numérotation de l’Inspecteur du texte. Pour accéder à ce menu, cliquez sur Puces dans l’inspecteur du texte et sur Numéros dans le menu local Puces et numérotation. m Pour terminer la liste, appuyez deux fois sur la touche Retour. Utilisation des listes à puces Même si vous pouvez utiliser la génération automatique de liste pour créer une liste à puces simple, l’Inspecteur du texte vous offre de nombreuses options de mise en forme des listes à puces. Pour en savoir plus sur la génération automatique de liste, reportezvous à la rubrique « Génération automatique de listes » à la page 153. Pour ajouter et mettre en forme une liste à puces à l’aide de l’Inspecteur du texte : 1 Placez le point d’insertion où vous souhaitez que la liste commence. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Puces. 3 Choisissez un style de puces dans le menu local Puces et numérotation. Pour utiliser un caractère tapé comme puce, choisissez Puces de texte, puis sélectionnez le caractère dans la liste ou tapez un nouveau caractère dans le champ. Pour utiliser une des puces d’image intégrées à Numbers, choisissez Puces d’image puis choisissez une image dans la liste déroulante. Pour utiliser votre propre image comme puce, choisissez Image personnalisée dans la zone de dialogue Ouvrir qui s’affiche. 4 Pour modifier la taille d’une puce d’image, spécifiez un pourcentage de la taille de l’image d’origine dans le champ Taille. Ou, cochez la case « Adapter au texte » et spécifiez le pourcentage de la taille du texte ; cette option permet de conserver les proportions image-texte des puces même si vous modifiez la police du texte par la suite. 5 Pour régler l’espace entre les puces et la marge gauche, utilisez le champ Retrait des puces. Pour régler l’espace entre les puces et le texte, utilisez le champ Retrait du texte. 6 Pour placer les puces plus haut ou plus bas par rapport au texte dans une zone de texte ou une figure, utilisez le champ Aligner.Chapitre 7 Utilisation de texte 155 Vous pouvez utiliser ces techniques pour ajouter et mettre en retrait les éléments à puces de votre liste :  Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait actuel, appuyez sur Retour.  Pour créer un paragraphe dissocié de la liste dans une rubrique, appuyez sur Retour tout en maintenant la touche Maj enfoncée.  Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait inférieur suivant, appuyez sur la touche de tabulation. Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait supérieur suivant, appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation. Vous pouvez également cliquer sur une puce et maintenir le bouton de la souris enfoncé, puis la faire glisser à droite, à gauche, en bas à droite ou encore en bas à gauche.  Pour retrouver le texte normal à la fin de votre liste, appuyez sur Retour, puis choisissez Pas de puces dans le menu local Puces et numérotation. Vous pouvez également régler le niveau de retrait. Utilisation des listes numérotées Même si vous pouvez utiliser la génération automatique de liste pour créer une liste numérotée simple, l’Inspecteur du texte vous offre de nombreuses options de mise en forme des listes numérotées. Pour plus d’informations sur la génération automatique de liste, consultez la rubrique « Génération automatique de listes » à la page 153. Pour ajouter et mettre en forme une liste numérotée : 1 Placez le point d’insertion où vous souhaitez que la liste commence. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Puces. 3 Choisissez Numéros dans le menu local Puces et numérotation, puis choisissez le style de numérotation souhaité dans le menu local juste en dessous. 4 Pour régler l’espace entre les numéros et la marge gauche, utilisez le champ Retrait des numéros. Pour régler l’espace entre les numéros et le texte, utilisez le champ Retrait du texte. Vous pouvez utiliser ces techniques pour ajouter et mettre en retrait les éléments de votre liste :  Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait actuel, appuyez sur Retour.  Pour créer un paragraphe non numéroté dans une rubrique, appuyez sur Retour tout en maintenant la touche Maj enfoncée.  Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait inférieur suivant, appuyez sur la touche de tabulation. Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait supé- rieur suivant, appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation. Vous pouvez également cliquer et maintenir enfoncé un nombre, puis le faire glisser à droite, à gauche, en bas à droite ou encore en bas à gauche.156 Chapitre 7 Utilisation de texte  Pour retrouver le texte normal à la fin de votre liste, appuyez sur Retour, puis choisissez Pas de puces dans le menu local Puces et numérotation. Vous pouvez également régler le niveau de retrait.  Pour ajouter un paragraphe existant à une liste numérotée, cliquez sur le paragraphe, choisissez un style de numérotation, puis cliquez sur « Continuer à partir de la précédente ».  Pour démarrer une nouvelle séquence numérotée dans une liste, cliquez sur « Commencer à » puis spécifiez le numéro à partir duquel vous souhaitez que la séquence commence. Si vous souhaitez que les éléments de votre liste comportent des sous-rubriques avec des titres (comme dans une description), utilisez une liste ordonnée plutôt qu’une liste numérotée. Utilisation de listes ordonnées (Structures) Les listes ordonnées (ou structures) offrent des styles de numérotation différents pour chaque niveau de retrait de la liste, ce qui vous permet de hiérarchiser vos informations. Par exemple :  Vous pouvez créer une structure à l’aide d’une séquence numérotée comparable à celle qui suit en partant du niveau le plus élevé vers les niveaux inférieurs : I, A, 1, a), (1), (a), i), (1) et (a).  Vous pouvez créer une structure de style plus administratif et formel, qui ajoute un numéro ou une lettre supplémentaire à chaque niveau inférieur : 1, 1.1, 1.1.1, et ainsi de suite. Vous pouvez ajouter et mettre en forme des listes ordonnées à l’aide de l’Inspecteur du texte. Pour ajouter et mettre en forme une liste ordonnée : 1 Placez le point d’insertion où vous souhaitez que la liste commence. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Puces. 3 Pour créer une liste de style légal, choisissez Numérotation progressive dans le menu local Puces et numérotation. Sinon, choisissez Numéros à la place. 4 Choisissez un style de numérotation dans le menu local qui se situe juste en dessous. 5 Pour régler l’espace entre les numéros et la marge gauche, utilisez le champ Retrait des numéros. Pour régler l’espace entre les numéros et le texte, utilisez le champ Retrait du texte.Chapitre 7 Utilisation de texte 157 Vous pouvez utiliser ces techniques pour ajouter et mettre en retrait les éléments de votre liste :  Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait actuel, appuyez sur Retour.  Pour créer un paragraphe non numéroté dans une rubrique, appuyez sur Retour tout en maintenant la touche Maj enfoncée.  Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait inférieur suivant, appuyez sur la touche de tabulation. Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait supé- rieur suivant, appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation. Pour naviguer parmi les niveaux, vous pouvez également cliquer et maintenir enfoncé un numéro, puis le faire glisser à droite, à gauche, en bas à droite ou encore en bas à gauche.  Pour retrouver le texte normal à la fin de votre liste, appuyez sur Retour, puis choisissez Pas de puces dans le menu local Puces et numérotation. Vous pouvez également régler le niveau de retrait.  Pour ajouter un paragraphe existant à une liste numérotée, cliquez sur le paragraphe, choisissez un style de numérotation, puis cliquez sur « Continuer à partir de la précédente ».  Pour démarrer une nouvelle séquence numérotée dans une liste, cliquez sur « Commencer à » puis spécifiez le numéro à partir duquel vous souhaitez que la séquence commence. Utilisation de zones de texte et de figures pour faire ressortir le texte Utilisez des zones de texte et des figures pour faire ressortir du texte. Ajout de zones de texte Vous pouvez ajouter une zone de texte sur une feuille et la placer là où vous le souhaitez en la faisant glisser. Pour créer une zone de texte : 1 Cliquez sur Zone de texte dans la barre d’outils (ou choisissez Insérer > Zone de texte). 2 Dans la zone qui s’affiche, double-cliquez sur le texte et saisissez votre texte. Automatiquement, les zones de texte s’étendent ou se réduisent pour s’adapter à la longueur du texte. 3 Après avoir saisi votre texte, cliquez en dehors de la zone de texte. Vous pouvez également appuyer simultanément sur les touches Commande et Retour pour arrêter les modifications et sélectionner la zone de texte. 4 Faites glisser les poignées de sélection dans la zone de texte pour modifier sa largeur. 5 Positionnez la zone de texte sur la feuille en la faisant glisser.158 Chapitre 7 Utilisation de texte Il n’est pas possible d’agrandir une zone de texte en la faisant glisser vers le haut ou vers le bas. Vous pouvez cependant forcer l’allongement de la zone dans le sens vertical en faisant glisser les poignées de sélection vers l’intérieur pour qu’elle soit plus étroite. Vous pouvez également tracer une zone de texte. Cliquez sur Zone de texte dans la barre d’outils tout en maintenant la touche Option enfoncée, puis faites glisser le pointeur sur la fenêtre de la feuille de calcul pour créer une zone de texte de la taille souhaitée. Pour plus d’informations sur la modification des zones de texte, consultez la rubrique « Mise en forme d’une zone de texte ou d’une figure » à la page 159. Présentation du texte en colonnes Vous pouvez organiser le texte d’une zone de texte ou figure rectangulaire en colonnes. Lorsque le texte a rempli une colonne, il s’étend dans la colonne suivante. Utilisez le menu local Colonnes de la barre de format pour répartir rapidement le texte sur 1 à 4 colonnes dans la zone de texte ou figure rectangulaire sélectionnée. Pour bénéficier de d’avantage d’options, utilisez l’Inspecteur de texte. Pour créer et formater des colonnes à l’aide de l’Inspecteur de texte : 1 Sélectionnez la zone de texte ou la forme rectangulaire dont vous souhaitez diviser le texte en colonnes. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Colonnes. 3 Pour indiquer le nombre de colonnes souhaité, utilisez le champ Colonnes. 4 Pour utiliser des colonnes de même largeur, sélectionnez « Largeur de colonne identique ». Pour configurer des colonnes de largeur différente, désactivez la case « Largeur de colonne identique », double-cliquez sur une valeur de colonne et saisissez une nouvelle largeur. 5 Pour modifier l’espace entre colonnes, double-cliquez sur une valeur de petit fond et modifiez-la.Chapitre 7 Utilisation de texte 159 Ajout de texte dans une forme Toutes les figures, à l’exception des lignes, peuvent contenir du texte. Pour ajouter du texte à une figure : 1 Placez une figure à l’emplacement souhaité sur la feuille. Pour en savoir plus sur l’ajout de figures, reportez-vous aux rubriques « Ajout d’une figure prédessinée » à la page 182 et « Ajout d’une figure personnalisée » à la page 182. 2 Double-cliquez sur la figure et tapez le texte souhaité. Si le texte s’étend au-delà de la bordure de la figure, un indicateur de découpage apparaît. 3 Pour redimensionner la figure, sélectionnez-la et faites glisser les poignées de sélection. Si le point d’insertion se trouve à l’intérieur de la figure, appuyez sur Commande + Retour afin de quitter le mode édition de texte et sélectionnez la figure. Vous pouvez mettre en forme du texte dans une figure. Vous avez également la possibilité de faire pivoter une figure tout en conservant le texte dans sa position horizontale. Après avoir fait pivoter la figure, sélectionnez Format > Figure > « Réinitialiser les poignées de l’objet et du texte ». 4 Pour ajouter du texte à une figure faisant partie d’un groupe, double-cliquez dans la zone de texte de n’importe quelle figure du groupe. Si vous redimensionnez le groupe, tout ce qui le compose est également redimensionné, à l’exception du texte. Bien évidemment, vous avez toujours la possibilité de sélectionner le texte et de changer sa taille de police. Reportez-vous à la rubrique « Regroupement et verrouillage d’objets » à la page 177pour obtenir des détails sur le regroupement d’objets. Mise en forme d’une zone de texte ou d’une figure Vous pouvez modifier l’espace entre le texte et la bordure intérieure d’une zone de texte, d’une figure ou d’une cellule de tableau. Reportez-vous à la rubrique « Modification de la marge intérieure du texte dans des objets » à la page 153 pour obtenir des instructions. Utilisez l’Inspecteur des graphismes et la barre de format pour mettre en forme les bordures, les ombres, l’opacité, le remplissage de couleur et autres options pour les zones de texte ou figures. Pour en savoir plus sur le réglage des propriétés d’un objet, reportez-vous aux rubriques « Modification des objets » à la page 171 et« Remplissage des objets » à la page 178. L’indicateur de découpage indique que le texte s’étend au-delà des bordures d’une figure.160 Chapitre 7 Utilisation de texte Utilisation de liens hypertexte Les liens hypertexte sont utilisés dans les feuilles de calcul affichées à l’écran, soit comme fichiers HTML, soit comme feuilles de calcul Numbers. Vous pouvez ajouter des liens hypertexte pour ouvrir un courrier électronique ou une page web sur Internet. Lien vers une page Web Vous pouvez ajouter un lien hypertexte qui ouvre une page web dans votre navigateur web par défaut. Pour ajouter un lien hypertexte qui ouvre une page web : 1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez convertir en lien. Si vous utilisez du texte qui commence par « www » ou « http », le texte se transforme automatiquement en lien hypertexte. Pour désactiver cette fonction, choisissez Numbers > Préférences, cliquez sur Correction automatique, puis désactivez la case « Détecter automatiquement les adresses électroniques et de page Web ». Ce réglage est propre à chaque ordinateur ; par conséquent, si la feuille de calcul est ouverte sur un ordinateur dont la configuration est différente, c’est le réglage de l’ordinateur qui est utilisé. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur de lien hypertexte, puis sélectionnez « Activer comme lien ». 3 Choisissez Page Web dans le menu local Relier à. 4 Tapez l’adresse de la page web dans le champ URL. Lien vers un message électronique préadressé Vous pouvez ajouter un lien hypertexte sur lequel vous pouvez cliquer pour créer un message électronique préadressé dans votre application de messagerie par défaut. Utilisez ce type de lien Pour accéder à Remarques Page Web Une page dans un navigateur Web Indiquez l’URL de la page que vous souhaitez ouvrir. Message électronique Un nouveau message électronique avec l’objet et le destinataire spécifiés Tapez l’adresse du destinataire et un objet. Taper l’URL vers laquelle le lien doit renvoyer. Le bouton Inspecteur de lien hypertexte Sélectionner pour désactiver tous les liens afin de les modifier facilement.Chapitre 7 Utilisation de texte 161 Pour ajouter un lien hypertexte vers un message électronique : 1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez convertir en lien. Si vous ajoutez une adresse électronique dans une feuille de calcul, le texte se transforme automatiquement en lien hypertexte. Pour désactiver cette fonction, sélectionnez Numbers > Préférences, cliquez sur Correction automatique, puis décochez la case « Détecter automatiquement les adresses électroniques et de page web ». Ce réglage est propre à chaque ordinateur ; par conséquent, si la feuille de calcul est ouverte sur un ordinateur dont la configuration est différente, c’est le réglage de l’ordinateur qui est utilisé. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur de lien hypertexte, puis sélectionnez « Activer comme lien ». 3 Choisissez Message électronique dans le menu local Relier à. 4 Tapez l’adresse électronique du destinataire dans le champ À. 5 Vous pouvez également spécifier l’objet du message dans le champ Objet. Modification du texte d’un lien hypertexte Vous pouvez modifier le texte d’un lien hypertexte de différentes manières. Voici différentes façons de modifier le texte d’un lien hypertexte : m Désactivez les liens hypertextes, modifiez le texte du lien hypertexte, puis réactivez les liens hypertextes. Activez et désactivez les liens hypertexte en cliquant sur Inspecteur dans la barre d’outils, sur le bouton Inspecteur des liens et en cochant la case « Désactiver tous les liens ». m Cliquez à côté du texte du lien, puis utilisez les touches de direction pour déplacer le point d’insertion dans le texte Insertion de numéros de page et d’autres valeurs variables Vous pouvez insérer des valeurs telles que des numéros de page, le nombre de pages et la date et l’heure dans une feuille de calcul à l’aide de champs de textes mis en forme que Numbers met automatiquement à jour lorsqu’ils sont modifiés. Ces valeurs sont le plus souvent insérées dans les en-têtes et bas de page (reportez-vous à la rubrique « Utilisation d’en-têtes et de bas de page » à la page 42), mais vous pouvez aussi insérer des champs de texte mis en forme à n’importe quel endroit de votre feuille de calcul. Tapez l’objet du message. Tapez l’adresse électronique du destinataire du message.162 Chapitre 7 Utilisation de texte Voici différentes façons d’insérer des champs de texte mis en forme : m Pour ajouter des numéros de page, placez le point d’insertion à l’endroit où le numéro de page doit apparaître, puis cliquez sur Insertion > Numéro de page. Pour changer la mise en forme des numéros de page, cliquez sur un numéro de page tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez un nouveau format de numéro. m Pour ajouter le nombre total de pages, placez le point d’insertion à l’endroit où le nombre total de pages doit apparaître, puis cliquez sur Insertion > Nombre de pages. Pour inclure le nombre total de pages à chaque numéro de page (comme « 2 sur 10 », par exemple), ajoutez un numéro de page , tapez « sur », puis choisissez Insertion > Nombre de pages. Pour changer la mise en forme des numéros de page, cliquez sur un numéro de page tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez un autre format de numéro. m Pour ajouter et mettre en forme la date et/ou l’heure, placez le point d’insertion à l’endroit où la valeur doit apparaître, puis choisissez Insertion > Date et heure. Pour changer le format de date et d’heure, cliquez sur la valeur de date et d’heure tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, sélectionnez « Modifier la date et l’heure », puis choisissez un format de date et d’heure dans le menu local. Pour que la feuille de calcul affiche toujours l’heure et la date du jour, sélectionnez « Automatiquement actualiser à l’ouverture ». Substitution automatique de texte Numbers peut être configuré de manière à reconnaître et remplacer certains éléments de texte par d’autres. Par exemple, si vous tapez l’article mal orthographié « dse », Numbers peut le remplacer automatiquement par « des ». Pour configurer la fonction de substitution automatique de texte : 1 Choisissez Numbers > Préférences. 2 Cliquez sur Correction automatique et définissez les réglages comme vous le souhaitez. Pour convertir automatiquement les guillemets droits simples ou doubles en guillemets courbes afin que les guillemets ouvrants et fermants soient différents, sélectionnez « Utiliser les guillemets courbes ». Pour être sûr que le premier mot d’une phrase commence bien par une majuscule, cochez Corriger les majuscules. Pour convertir automatiquement les lettres dans les suffixes numériques (comme 1er, 2ème, 3ème, etc.) en exposants, cochez la case « Suffixes numériques en exposant ». Pour faire en sorte que Numbers détecte automatiquement les adresses électroniques ou URL que vous saisissez, cochez Détecter automatiquement les adresses électroniques et de page Web. . Les URL et les adresses électroniques saisies se changent alors automatiquement en liens pour Mail ou Safari.Chapitre 7 Utilisation de texte 163 Pour utiliser la génération automatique de liste, sélectionnez Détection automatique des listes. Pour remplacer un ou plusieurs caractères par d’autres, cochez « Substitution de texte et de symbole ».” Utilisez ensuite les rangs du tableau pour définir et activer les substitutions comme vous le souhaitez. Par exemple, si vous tapez le symbole du copyright sous la forme (c), vous pouvez ordonner à Numbers de le convertir automatiquement en © en plaçant une marque dans la colonne Activé. Pour ajouter un rang au tableau et définir votre propre substitution, cliquez sur le bouton Ajouter (+). Pour supprimer un élément sélectionné, cliquez sur le bouton Supprimer (-). Après avoir indiqué les réglages de substitution, ces derniers s’appliquent à tout texte que vous modifiez ou ajoutez dans une feuille de calcul Numbers. Insertion d’un espace insécable Vous pouvez insérer un espace insécable entre des mots pour vous assurer qu’ils apparaîtront toujours sur la même ligne de texte. Pour insérer un espace insécable : m Appuyez sur la barre d’espace tout en maintenant la touche Option enfoncée. Vérification de l’orthographe Numbers peut détecter les fautes d’orthographe dans votre feuille de calcul et vous aider à trouver l’orthographe exacte de certains mots. Recherche des mots mal orthographiés Vous pouvez configurer le correcteur orthographique afin qu’il indique les erreurs lors de la saisie, ou vous pouvez à tout moment vérifier l’ensemble de la feuille de calcul ou du texte sélectionné. Les mots mal orthographiés sont soulignés en pointillés rouges. Voici différentes manières de trouver les mots mal orthographiés : m Pour vérifier l’orthographe en cours de saisie, choisissez Édition > Orthographe > Vérifier l’orthographe lors de la frappe. Pour désactiver la vérification orthographique en cours de saisie, cliquez sur Édition> Orthographe > Vérifier l’orthographe lors de la frappe, puis désactivez cette option (assurez-vous que la coche n’apparaît plus en regard de la commande du menu). m Pour vérifier l’orthographe depuis le point d’insertion jusqu’à la fin de la feuille de calcul, cliquez là où vous désirez placer le point d’insertion, puis choisissez Édition > Orthographe > Vérifier l’orthographe. Pour limiter la vérification orthographique à une portion particulière de la feuille de calcul, sélectionnez le texte que vous souhaitez vérifier avant de sélectionner la commande.164 Chapitre 7 Utilisation de texte Le premier mot mal orthographié est mis en surbrillance. Vous pouvez le corriger ou sélectionner de nouveau la même commande de menu afin de continuer à vérifier la feuille de calcul. Pour parcourir le texte plus rapidement, appuyez sur Commande + point-virgule (;) afin de poursuivre la vérification de la feuille de calcul. m Pour vérifier l’orthographe et obtenir des suggestions de correction, choisissez Édition > Orthographe > Orthographe. La fenêtre Orthographe s’ouvre ; vous pouvez l’utiliser comme indiqué dans la rubrique « Utilisation des suggestions de correction orthographique ». Utilisation des suggestions de correction orthographique Utilisez la fenêtre Orthographe pour trouver des suggestions d’orthographe. Pour utiliser les suggestions de correction orthographique : 1 Choisissez Édition > Orthographe > Orthographe. La fenêtre Orthographe s’ouvre et le premier mot mal orthographié est mis en surbrillance. 2 Veillez à sélectionner la langue qui convient dans le menu local Dictionnaire. À chaque langue correspond un dictionnaire différent. 3 Pour remplacer le mot mal orthographié dans le texte, double-cliquez sur le mot ou l’orthographe correct dans la liste des propositions. 4 Si le mot correct ne figure pas dans la liste Propositions mais que vous en connaissez l’orthographe, sélectionnez le mot mal orthographié dans la fenêtre Orthographe, tapez le mot correct, puis cliquez sur Corriger. 5 Si le mot est bien orthographié et que vous souhaitez le laisser tel quel, cliquez sur Ignorer ou sur Mémoriser l’orthographe. Cliquez sur Mémoriser l’orthographe si vous utilisez souvent le terme et que vous souhaitez l’ajouter au dictionnaire. Si vous avez utilisé Mémoriser l’orthographe et que vous souhaitez ne pas laisser le mot dans le dictionnaire, tapez le mot dans la zone de texte en dessous de la liste Proposition, puis cliquez sur Effacer. 6 Si aucune autre suggestion n’apparaît dans la liste Propositions, sélectionnez le mot mal orthographié dans la fenêtre Orthographe, puis essayez une autre orthographe. Cliquez sur Propositions pour que de nouvelles suggestions apparaissent dans la liste Propositions. 7 Cliquez sur Rechercher le suivant et répétez les étapes 3 à 6 jusqu’à ce que vous ne trouviez plus aucune faute. Vous pouvez également maintenir la touche Contrôle enfoncée et cliquer sur un mot mal orthographié. Dans le menu local, vous pouvez choisir une autre orthographe, cliquer sur Mémoriser l’orthographe ou sur Ignorer.Chapitre 7 Utilisation de texte 165 Recherche et remplacement de texte Vous pouvez rechercher toutes les instances d’un mot ou d’une expression dans votre feuille de calcul et les remplacer éventuellement par un autre mot ou une autre expression. Voici différentes manières de rechercher et de remplacer du texte : m Choisissez Édition > Rechercher > Rechercher, cliquez sur Simple ou sur Avancé pour configurer les critères de recherche/remplacement, puis cliquez sur un bouton pour lancer les opérations de recherche/remplacement. Simple : dans le champ Rechercher, tapez le texte que vous souhaitez rechercher, puis tapez le texte par lequel vous souhaitez le remplacer dans le champ Remplacer. Avancé : en plus de saisir le texte dans les champs Rechercher et Remplacer, vous pouvez définir d’autres critères de recherche ou de remplacement. Utilisez les balises d’aide pour comprendre les champs qui apparaissent. Tout remplacer : effectue automatiquement les opérations de recherche/remplacement sans votre intervention. Remplacer : remplace la sélection en cours par le texte de remplacement. Remplacer et rechercher : remplace la sélection par le texte de remplacement et recherche immédiatement l’occurrence suivante du texte à rechercher. Suivant ou Précédent : recherche dans toute la feuille de calcul l’occurrence suivante ou précédente du texte saisi sans le remplacer en commençant par la feuille active ou la ou les cellules sélectionnées. m Utilisez les autres commandes dans Édition > Rechercher. Rechercher le suivant ou Rechercher le précédent : recherche dans toute la feuille de calcul l’occurrence suivante ou précédente du texte saisi sans le remplacer en commençant par la feuille active ou la ou les cellules sélectionnées. Rechercher la sélection : recherche l’occurrence suivante du texte sélectionné. Aller à la sélection : affiche le texte sélectionné lorsqu’il n’apparaît pas à l’écran.8 166 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Ce chapitre décrit les techniques permettant d’ajouter et de modifier des images, des figures, du son et autres objets. Un objet est un élément que vous pouvez ajouter à une feuille de calcul, puis manipuler. Les images, les figures, les séquences, les fichiers son, les tableaux, les graphiques et les zones de texte sont tous des objets. Les images comprennent les photographies ou les fichiers PDF. Les séquences vidéo et le son concernent les feuilles de calcul visionnées à l’écran. Les figures comprennent les figures simples prédessinées (telles que les triangles et les flèches) et les figures personnalisées que vous dessinez vous-même. Les zones de texte contiennent du texte. Sélection d’objets Avant de pouvoir déplacer, modifier ou effectuer d’autres opérations sur des objets, vous devez les sélectionner. Un objet sélectionné est muni de poignées qui vous permettent de le déplacer ou de le manipuler. Voici plusieurs façons de sélectionner et désélectionner des objets : m Pour sélectionner un objet, cliquez dessus (pour sélectionner un objet sans remplissage, cliquez sur le bord). m Pour sélectionner plusieurs objets, cliquez sur les objets tout en maintenant enfoncée la touche Maj. m Pour sélectionner tous les objets d’une feuille, sélectionnez la feuille et appuyez sur Commande + A ou sélectionnez Édition > Tout sélectionner. m Pour sélectionner un objet faisant partie d’un groupe, vous devez tout d’abord dissocier les objets. Sélectionnez le groupe, puis choisissez Disposition > Dissocier. m Pour désélectionner les objets d’un groupe d’objets sélectionnés, maintenez la touche Commande enfoncée, puis cliquez sur les objets que vous souhaitez désélectionner.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 167 Copie et duplication d’objets La technique à utiliser pour copier un objet dépend de l’endroit où vous souhaitez placer la copie. Lorsque la copie est destinée à un emplacement éloigné de l’original ou à une autre feuille de calcul, la méthode la plus facile consiste généralement à copier et à coller. Lorsque vous travaillez avec un objet qui est proche de l’original, il est généralement plus facile de le dupliquer. Voici plusieurs façons de copier des objets : m Pour copier et coller un objet, sélectionnez-le, puis choisissez Édition > Copier. Cliquez sur la feuille dans laquelle vous voulez que la copie apparaisse. Cliquez sur Édition > Coller. m Pour copier un objet à l’intérieur d’une même feuille, vous pouvez le faire glisser tout en maintenant enfoncée la touche Option. Vous pouvez également dupliquer l’objet. Sélectionnez l’objet et cliquez sur Édition > Dupliquer. La copie apparaît au-dessus de l’original et légèrement décalée par rapport à celui-ci. Faites glisser la copie jusqu’à l’emplacement souhaité. m Pour copier une image entre deux feuilles de calcul Numbers, sélectionnez l’image et faites glisser son icône depuis le champ Informations du fichier, de l’inspecteur des mesures, sur une feuille dans l’autre fichier Numbers. Vous pouvez également sélectionner Édition > Copier et Édition > Coller. Suppression d’objets La suppression d’objets est rapide et facile. Pour supprimer des objets : m Sélectionnez le ou les objets et appuyez sur la touche Suppr. Si vous supprimez un objet sans le vouloir, choisissez Édition > Annuler Supprimer. Déplacement d’objets Pour déplacer des objets, vous pouvez les faire glisser ou les copier/coller. Voici plusieurs façons de déplacer des objets : m Cliquez sur l’objet pour le sélectionner (les poignées de sélection apparaissent) puis faites-le glisser vers le nouvel emplacement. m Pour contraindre l’objet à se déplacer horizontalement, verticalement ou selon un angle de 45 degrés, appuyez sur la touche Maj et maintenez-la enfoncée avant de commencer à le faire glisser. m Pour déplacer l’objet par petits incréments, appuyez sur l’une des touches fléchées pour faire progresser l’objet d’un seul point à la fois. Pour déplacer l’objet par incréments de dix points, maintenez la touche Maj enfoncée tout en appuyant sur une touche fléchée.168 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets m Pour afficher la position de l’objet lorsque vous le déplacez, choisissez Numbers > Préférences, puis sélectionnez « Afficher la taille et la position des objets lors de leur déplacement » dans la sous-fenêtre Général. m Pour aligner précisément des objets par rapport à leurs bords ou à leur centre, vous pouvez utiliser les guides d’alignement. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des guides d’alignement » à la page 169 pour en savoir plus. m Sélectionnez l’objet et cliquez sur Édition > Couper. Placez le point d’insertion à l’endroit où vous souhaitez que l’objet apparaisse, puis cliquez sur Édition > Coller. Évitez de faire glisser un objet en le tenant par ses poignées de sélection, car vous risqueriez de le redimensionner sans le vouloir. Déplacement d’un objet vers le premier plan ou vers l’arrière-plan Lorsque des objets se chevauchent ou lorsque du texte ou des objets se chevauchent, vous pouvez modifier l’ordre des objets dans la pile. Pour déplacer un objet de sorte qu’il se trouve devant ou derrière du texte ou un autre objet : 1 Sélectionnez l’objet à déplacer. 2 Pour déplacer un objet d’un seul plan à la fois, choisissez Disposition > Avancer d’un plan ou Reculer d’un plan. 3 Pour ramener l’objet en bas ou en haut de la pile, choisissez Disposition > Mettre à l’arrière-plan ou Mettre au premier plan. Si vous superposez fréquemment des objets, vous pouvez ajouter les boutons Devant, Derrière, Plan sup. et Plan inf. à la barre d’outils afin de travailler plus efficacement. Pour en savoir plus sur la personnalisation de la barre d’outils, reportez-vous à la rubrique « La barre d’outils » à la page 24. Alignementobjets Il existe différentes façons d’aligner des objets. Alignement des objets les uns par rapport aux autres Vous pouvez rapidement aligner des objets les uns par rapport aux autres s’ils se trouvent sur la même page.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 169 Pour aligner des objets : 1 Sélectionnez les objets à aligner. 2 Choisissez Disposition > Aligner les objets, puis, dans le sous-menu, choisissez l’une des options d’alignement. À gauche : cette option positionne les objets de sorte que leur bord gauche soit aligné verticalement sur le premier objet que vous sélectionnez. Centrer : cette option positionne les objets de sorte que leur centre soit aligné verticalement sur le premier objet que vous sélectionnez. À droite : cette option positionne les objets de sorte que leur bord droit soit aligné verticalement sur le premier objet que vous sélectionnez. Supérieur : cette option positionne les objets de sorte que leur bord supérieur soit aligné horizontalement sur le premier objet que vous sélectionnez. Milieu : cette option déplace les objets verticalement de sorte que leur centre soit aligné horizontalement sur le premier objet que vous sélectionnez. Inférieur : cette option positionne les objets de sorte que leur bord inférieur soit aligné horizontalement sur le premier objet que vous sélectionnez. Vous pouvez aussi aligner des objets les uns par rapport aux autres en les faisant glisser et en vous servant des guides d’alignement qui vous permettent de déterminer s’ils sont correctement positionnés. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des guides d’alignement » pour obtenir plus d’informations. Espacement uniforme des objets sur la page Vous pouvez rapidement faire en sorte que l’espace entre les objets soit partout le même, quelle que soit leur taille. Pour espacer les objets de façon uniforme : 1 Sélectionnez les objets. 2 Choisissez Disposition > Répartir les objets, puis choisissez une option dans le sous-menu. Horizontalement : règle l’espacement horizontal entre les objets. Verticalement : règle l’espacement vertical entre les objets. Utilisation des guides d’alignement Vous pouvez activer des guides d’alignement qui vous aideront à aligner les objets d’une feuille. Les guides d’alignement s’affichent lorsque le centre ou le bord d’un objet est aligné sur le centre ou sur le bord d’un autre objet, selon vos préférences. Les guides d’alignement n’apparaissent pas sur la feuille de calcul imprimée ; ils ne sont visibles que lors de son édition.170 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Pour définir les guides d’alignement : 1 Sélectionnez Numbers > Préférences et cliquez sur Général. 2 Pour afficher ou masquer les guides lorsque le centre d’un objet est aligné sur un autre objet, sélectionnez ou désélectionnez « Afficher les guides au centre de l’objet ». 3 Pour afficher ou masquer les guides lorsque le bord d’un objet est aligné sur un autre objet, sélectionnez ou désélectionnez « Afficher les guides sur les bords de l’objet ». 4 Pour changer la couleur des guides d’alignement, cliquez sur le cadre de couleurs, puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Les réglages des guides d’alignement s’appliquent à toutes les feuilles de calcul affichées dans Numbers tant que vous ne modifiez pas ceux-ci. Pour masquer provisoirement les guides d’alignement, appuyez sur la touche Commande et maintenez-la enfoncée, puis faites glisser un objet. Vous pouvez également créer vos propres guides d’alignement pour vous aider à positionner les objets. Création de guides d’alignement Vous pouvez créer vos propres guides d’alignement pour vous aider à positionner des objets. Pour créer un guide d’alignement : 1 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et sélectionnez Afficher les règles. 2 Placez le pointeur sur une règle, cliquez et faites-la glisser jusque sur la page. Un guide d’alignement apparaît. 3 Faites-le glisser sur la page jusqu’à l’emplacement souhaité. Pour supprimer un guide d’alignement que vous avez créé, faites-le glisser à l’extérieur de la page. Définition de la position précise des objets Utilisez l’Inspecteur des mesures pour indiquer l’emplacement des objets de façon précise. Pour définir la position précise d’un objet : 1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez positionner. 2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures. 3 Saisissez les valeurs X et Y dans les champs Position.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 171 Les coordonnées spécifiées déterminent la position du coin supérieur gauche du conteneur de l’objet.  La valeur X est mesurée à partir du bord gauche de la présentation.  La valeur Y est mesurée à partir du bord supérieur de la présentation. Si vous faites pivoter un objet, les coordonnées X et Y spécifient le coin supérieur gauche du conteneur qui a pivoté. Si vous saisissez les coordonnées X et Y pour les positions des lignes dans l’Inspecteur des mesures, les coordonnées Début représentent le premier point de fin de ligne que vous avez créé. Si vous retournez ou faites pivoter la ligne par la suite, les coordonnées de départ correspondent toujours au même point de terminaison de la ligne. Modification des objets Vous pouvez redimensionner les objets, changer leur orientation, modifier le style de leur bordure, leur ajouter des ombres et des reflets et ajuster leur opacité. Redimensionnement des objets Vous pouvez redimensionner un objet en faisant glisser ses poignées ou en saisissant ses dimensions exactes. Voici plusieurs façons de redimensionner des objets : m Pour redimensionner un objet en le faisant glisser, sélectionnez-le, puis faites glisser l’une de ses poignées de sélection. Pour redimensionner un objet dans une direction, faites glisser une poignée latérale et non une poignée d’angle. Pour redimensionner l’objet à partir du centre, appuyez sur la touche Option tout en faisant glisser la souris. Pour conserver les proportions d’un objet, appuyez sur la touche Maj et maintenez-la enfoncée lorsque vous faites glisser. Vous pouvez aussi cliquer sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquer sur le bouton Inspecteur des mesures, puis sélectionner « Conserver les proportions » avant de faire glisser. Tracer une ligne fixe sur la page en indiquant les coordonnées X et Y de la deuxième extrémité. Tracer une ligne fixe sur la page en indiquant les coordonnées X et Y de la première extrémité.172 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Pour afficher la taille d’un objet lorsque vous faites glisser une poignée de sélection, choisissez Numbers > Préférences, puis sélectionnez « Afficher la taille et la position des objets lors de leur déplacement » dans la sous-fenêtre Général. m Pour redimensionner un objet avec des proportions exactes, sélectionnez-le, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des mesures et utilisez ensuite les contrôles Largeur et Hauteur. m Pour redimensionner plusieurs objets à la fois, sélectionnez-les, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des mesures, et saisissez ensuite les nouvelles valeurs dans les champs Largeur et Hauteur. m Sélectionnez l’objet, puis cliquez sur Dimensions d’origine dans l’Inspecteur des mesures. Retournement et rotation d’objets Vous pouvez retourner ou faire pivoter n’importe quel objet. Par exemple, si vous disposez de l’image d’une flèche que vous souhaitez utiliser dans une feuille de calcul, mais que la flèche doit être orientée dans l’autre sens, vous pouvez inverser sa direction verticalement ou horizontalement ou l’orienter vers n’importe quelle direction. Voici plusieurs façons de changer l’orientation d’un objet : m Pour retourner un objet horizontalement ou verticalement, sélectionnez-le, puis choisissez Disposition > Retournement horizontal ou Disposition > Retournement vertical. Vous pouvez aussi cliquer sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquer sur le bouton Inspecteur des mesures, puis vous servir des boutons Miroir. m Pour faire pivoter un objet, sélectionnez-le et, tout en maintenant enfoncée la touche Commande, déplacez le pointeur vers une poignée de sélection jusqu’à ce qu’il se transforme en flèche courbe à deux têtes, puis faites glisser la poignée de sélection. Pour faire pivoter un objet par incréments de 45 degrés, appuyez sur les touches Maj et Commande pendant que vous faites glisser la poignée de sélection. Vous pouvez aussi cliquer sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquer sur le bouton Inspecteur des mesures, puis faire glisser la molette de rotation ou utiliser les contrôles d’angle pour définir l’orientation de l’objet. m Pour faire pivoter une figure en maintenant son texte en position horizontale, une fois la rotation de la figure effectuée, choisissez Format > Figure > Réinitialiser les poignées de l’objet et du texte. Modification du style des bordures Pour les figures, les éléments de graphique et les zones de texte, vous pouvez soit choisir un style et une couleur de trait pour la bordure de l’objet, soit indiquer que vous ne souhaitez aucune bordure. Vous pouvez également placer une bordure autour des images importées. Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 173 Vous pouvez utiliser la barre des formats pour modifier le style, l’épaisseur et la couleur des lignes de la bordure d’un ou de plusieurs objets sélectionnés. Vous pouvez utiliser l’Inspecteur des graphismes pour faire d’autres ajustements. Pour modifier le style de la bordure à l’aide de l’Inspecteur des graphismes : 1 Sélectionnez le(les) objet(s) que vous souhaitez modifier. 2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. 3 Choisissez Ligne dans le menu local Trait. 4 Choisissez un style de ligne dans le menu local. 5 Pour changer l’épaisseur du trait, saisissez une valeur dans le champ Taille (ou cliquez sur les flèches). 6 Pour changer la couleur du trait, cliquez sur le cadre de couleur et sélectionnez une couleur. 7 Pour définir des extrémités de ligne, par exemple des pointes de flèche ou des cercles, choisissez des points de fin de ligne de gauche et de droite dans les menus locaux. Pour modifier les bordures d’un tableau et de cellules, suivez les instructions de la rubrique « Mise en forme bords d’une cellule » à la page 82. Encadrement d’objets Entourez les images, les figures, les zones de texte, les séquences vidéo, les fichiers audio et tout autre paramètre fictif multimédia d’un cadre d’image. Sélectionner le style du trait. Sélectionner la largeur du trait. Sélectionner la couleur du trait. Taper l’épaisseur du trait dans ce champ. Choisir les extrémités de la ligne dans ces menus locaux. Choisir un trait plein, une ligne pointillée, une ligne en pointillés ou tout autre style de ligne. Cliquer sur le cadre de couleurs afin de choisir une couleur de trait.174 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Il existe plusieurs manières d’utiliser des cadres d’image : m Pour ajouter un cadre d’image, sélectionnez l’objet, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. Choisissez Cadre d’image dans le menu local Trait, puis cliquez sur la vignette pour choisir un cadre. Cliquez sur le cadre de couleurs pour choisir la couleur du cadre. Il est possible d’ajuster certains cadres. Pour ajuster le cadre, utilisez le curseur Échelle ou saisissez un pourcentage spécifique dans le champ adjacent. m Pour changer de cadre d’image, sélectionnez une image ou un paramètre fictif multimédia encadré, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils et cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. Sélectionnez Cadre d’image dans le menu local Trait, cliquez sur la flèche qui se trouve à côté de la vignette pour choisir un autre cadre d’image. m Pour supprimer un cadre d’objet d’une image ou d’un paramètre fictif multimédia, sélectionnez l’image ou le paramètre fictif, puis choisissez un style de ligne (ou Aucun) dans le menu local Trait. Ajout d’ombres Les ombres ajoutées aux objets donnent une impression de profondeur. L’ombre d’un objet apparaît sur n’importe quel objet situé derrière. Vous pouvez créer une multitude d’effets d’ombre ou supprimer l’ombre d’un objet. Cliquez pour ouvrir le menu local permettant de choisir le style du cadre.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 175 Pour ajouter ou supprimer rapidement une ombre, vous pouvez sélectionner l’objet et activez ou désactivez l’option Ombre dans la barre des formats. L’inspecteur des graphismes permet de mieux contrôler la mise en forme de l’ombre. Pour appliquer une ombre à un objet via l’inspecteur des graphismes : 1 Sélectionnez l’objet. 2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. 3 Sélectionnez Ombre pour ajouter une ombre à l’objet. Désélectionnez Ombre pour supprimer une ombre existante. 4 Définissez l’orientation de l’ombre à l’aide des contrôles d’angle. 5 Pour définir la distance entre l’ombre et l’objet, utilisez les contrôles de décalage. Une valeur élevée de décalage de l’ombre fait apparaître l’ombre de l’objet plus longue et légèrement séparée de l’objet. 6 Pour adoucir le bord de l’ombre ou le rendre plus net, utilisez les contrôles de flou. Une valeur de flou plus élevée fait apparaître l’ombre de l’objet plus diffuse ; une valeur plus faible confère à l’ombre des bords mieux définis. 7 Pour modifier la transparence de l’ombre, utilisez les contrôles d’opacité. N’utilisez pas le curseur d’opacité qui se trouve en bas de l’Inspecteur des graphismes ; il sert à contrôler l’opacité de l’objet même. 8 Pour changer la couleur de l’ombre, cliquez sur le cadre des couleurs de l’ombre, puis sélectionnez une couleur. Changer la couleur de l’ombre dans le cadre des couleurs. Sélectionner la case afin d’ajouter une ombre à un objet sélectionné. Changer l’angle de l’ombre à l’aide de la molette Angle. Les valeurs dans Décalage, Flou et Opacité permettent de modifier l’aspect de l’ombre. Cet objet présente l’ombrage par défaut. L’ombre de cet objet est définie avec un angle différent. L’ombre de cet objet présente une valeur de décalage élevée. L’ombre de cet objet présente le facteur de flou le plus faible. Cet objet présente une couleur d’ombre différente. L’ombre de cet objet présente un facteur de flou élevé.176 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Vous pouvez aussi utiliser les contrôles d’ombre de l’Inspecteur des graphismes pour ajouter des ombres à du texte. Sélectionnez le texte auquel vous souhaitez ajouter des ombres, puis utilisez les contrôles comme indiqué ci-dessus. Ajout d’un reflet Vous pouvez ajouter un reflet à un objet qui se réfléchit verticalement vers le bas. Vous pouvez ajouter ou supprimer un reflet en sélectionnant un objet et en activant ou désactivant l’option Reflet dans la barre des formats. L’inspecteur des graphismes permet également de contrôler le niveau de reflet. Pour appliquer un reflet à un objet via l’inspecteur des graphismes : 1 Sélectionnez l’objet. 2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. 3 Sélectionnez Reflet, puis faites glisser le curseur pour augmenter ou réduire l’intensité du reflet. Ajustement de l’opacité Vous pouvez créer des effets intéressants en rendant les objets plus ou moins opaques. Ainsi, lorsque vous placez un objet de faible opacité sur un autre objet, l’objet situé dessous transparaît via l’objet situé dessus. En fonction de la valeur définie pour l’opacité, les objets situés en dessous peuvent être facilement visibles, partiellement obscurcis ou totalement invisibles (opacité de 100 %). Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 177 Voici plusieurs manières de modifier l’opacité d’un objet : m Utilisez le menu local Opacité dans la barre des formats pour appliquer une opacité en pourcentage. m Pour un contrôle plus fin, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils et sur le bouton Inspecteur des graphismes, puis faites glisser le curseur d’opacité ou saisissez un pourcentage dans le champ adjacent. Pour les figures, vous pouvez définir séparément l’opacité des couleurs de remplissage et de trait et celle de l’objet. Si vous déplacez le curseur Opacité dans la fenêtre Couleurs afin de modifier la couleur du remplissage ou du trait, cette valeur d’opacité devient l’opacité maximale de l’objet. Ensuite, lorsque vous modifiez l’opacité de l’objet dans l’Inspecteur des graphismes, vous la modifiez par rapport à l’opacité définie dans la fenêtre Couleurs. Si vous modifiez l’opacité d’un objet et ne parvenez pas à restaurer la couleur de remplissage de l’objet à 100 pour cent, c’est peut-être parce que l’opacité a été définie à moins de 100 pour cent dans la fenêtre Couleurs. Pour régler ce problème, sélectionnez l’objet, choisissez Afficher > Afficher les couleurs, puis, dans la fenêtre Couleurs, définissez l’opacité à 100 pour cent. Regroupement et verrouillage d’objets Regroupez les objets que vous souhaitez maintenir ensemble et verrouillez ceux que vous souhaitez éviter de déplacer par mégarde. Regroupement et dissociation d’objets Vous pouvez regrouper des objets (sauf des tableaux) afin de les déplacer, copier, redimensionner et orienter comme s’il s’agissait d’un seul objet. Vous pouvez aussi modifier le texte associé à un objet de type figure ou texte faisant partie d’un groupe mais il n’est pas possible de modifier d’autres attributs d’objets individuels au sein d’un groupe. L’opacité du cercle est définie à 100 pour cent dans l’Inspecteur des graphismes. La couleur de remplissage a été définie sur une opacité de 50 % dans la fenêtre Couleurs. Le contour du cercle a été défini sur une opacité de 100 % dans la fenêtre Couleurs. L’opacité du cercle est définie à 100 pour cent dans l’Inspecteur des graphismes. L’opacité du cercle est définie à 50 pour cent dans l’Inspecteur des graphismes.178 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Pour regrouper des objets : 1 Appuyez sur la touche Commande (ou Maj) et maintenez-la enfoncée, puis sélectionnez les objets que vous souhaitez regrouper. Ces objets ne doivent pas être verrouillés. 2 Choisissez Disposition > Grouper. Pour dissocier un objet faisant partie d’un groupe, sélectionnez le groupe, puis choisissez Disposition > Dissocier. Si le groupe est verrouillé, déverrouillez-le au préalable. Verrouillage et déverrouillage des objets Vous pouvez verrouiller des objets afin d’éviter de les déplacer involontairement lorsque vous travaillez sur le document. Une fois verrouillés, les objets individuels ou groupés ne peuvent pas être déplacés, ni supprimés, ni modifiés à moins de les déverrouiller au préalable. Vous pouvez toutefois sélectionner, copier ou dupliquer un objet verrouillé. Si vous copiez ou dupliquez un objet verrouillé, le nouvel objet est lui aussi verrouillé. Pour verrouiller des objets : 1 Maintenez enfoncée la touche Commande (ou Maj) en sélectionnant les objets à verrouiller. 2 Choisissez Disposition > Verrouiller. Pour déverrouiller un objet, sélectionnez-le, puis choisissez Disposition > Déverrouiller. Remplissage des objets Remplissez un objet avec une couleur pleine, un dégradé de couleur ou une image. Remplissage d’un objet en couleur Utilisez la barre des formats pour ajouter rapidement une couleur de remplissage à un objet sélectionné. Cliquez sur le cadre Remplissage, puis choisissez une couleur dans le tableau des couleurs ou cliquez sur Afficher les couleurs pour ouvrir la fenêtre Couleurs qui contient d’autres couleurs. Utilisez la commande Opacité pour régler la transparence de la couleur. Utilisez l’Inspecteur des graphismes pour remplir un objet avec une couleur unie ou avec un dégradé de couleurs dans lequel deux couleurs se mélangent progressivement l’une à l’autre. Pour modifier la couleur de remplissage d’un objet à l’aide de l’Inspecteur des graphismes : 1 Sélectionnez l’objet. 2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 179 3 Pour appliquer une couleur unie de remplissage, choisissez Remplissage couleur dans le menu local Remplissage. Cliquez sur le cadre de couleurs qui se trouve au dessous du menu local Remplissage afin d’ouvrir la fenêtre Couleurs, puis sélectionnez une couleur dans cette fenêtre. 4 Pour remplir un objet avec un dégradé de couleurs, choisissez Remplissage dégradé dans le menu local Remplissage. Cliquez sur chaque cadre de couleur et choisissez chaque couleur dans la fenêtre Couleurs. Pour configurer une direction pour le dégradé, utilisez la molette ou le champ Angle. Pour le retourner horizontalement ou verticalement, cliquez sur les boutons fléchés Angle. Pour inverser le dégradé, cliquez sur la double flèche en regard des cadres de couleur. Vous trouverez ci-après des instructions relatives à l’utilisation de la fenêtre Couleurs. Utilisation de la fenêtre Couleurs La fenêtre Couleurs sert à sélectionner la couleur des objets. Cliquez sur chaque cadre de couleur pour sélectionner les couleurs. Inverser l’orientation du dégradé ou régler sa direction à l’aide des boutons fléchés, de la molette pour l’angle ou en saisissant une valeur. Cliquer sur la double flèche afin d’inverser le dégradé. La couleur sélectionnée dans la roue des couleurs s’affiche dans cette zone. (Le fait qu’il y ait deux couleurs dans cette zone indique que l’opacité est définie à moins de 100 pour cent.) Utiliser le curseur pour régler la couleur parmi des teintes plus claires ou plus sombres pour la couleur choisie dans le cercle de couleur. Faire glisser les couleurs à partir de la zone Couleurs afin de les stocker dans la palette de couleurs. Cliquez afin de sélectionner une couleur dans la roue des couleurs. Faire glisser le curseur Opacité vers la gauche afin de rendre la couleur plus transparente. Cliquez sur l’icône Rechercher, puis sur n’importe quel élément affiché afin de prélever sa couleur. Cliquez sur un des boutons pour afficher d’autres couleurs.180 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Vous pouvez utiliser la roue des couleurs dans la fenêtre Couleurs afin de sélectionner des couleurs. La couleur que vous sélectionnez apparaît dans la zone en haut de la fenê- tre Couleurs. Vous pouvez enregistrer cette couleur afin de l’utiliser ultérieurement, en la plaçant dans la palette de couleurs. Pour appliquer à un objet de la page les couleurs que vous avez sélectionnées dans la fenêtre Couleurs, vous devez placer la couleur dans le cadre de couleur approprié d’une sous-fenêtre de l’Inspecteur. Vous pouvez sélectionner un cadre de couleurs dans l’un des Inspecteurs, puis cliquer sur une couleur de la roue des couleurs. Ou bien, vous pouvez faire glisser une couleur de la palette ou de la zone des couleurs jusque dans le cadre de couleurs de l’un des Inspecteurs. Pour sélectionner une couleur : 1 Ouvrez la fenêtre Couleurs en cliquant sur Couleurs dans la barre d’outils ou sur un cadre de couleurs dans un des Inspecteurs. 2 Cliquez n’importe où dans la roue des couleurs. La couleur sélectionnée s’affiche dans la zone des couleurs en haut de la fenêtre Couleurs. 3 Pour rendre la couleur plus claire ou plus sombre, faites glisser le curseur du côté droit de la fenêtre Couleurs. 4 Pour rendre la couleur plus transparente, faites glisser le curseur Opacité vers la gauche ou tapez un pourcentage dans le champ Opacité. 5 Pour utiliser la palette de couleurs, ouvrez-la en faisant glisser la poignée située en bas de la fenêtre Couleurs. Pour enregistrer une couleur dans la palette, faites-la glisser de la zone des couleurs jusque dans la palette. Pour supprimer une couleur de la palette, faites-glisser un carré blanc dessus. 6 Pour reproduire la couleur d’un élément affiché à l’écran, cliquez sur la loupe à gauche de la zone des couleurs de la fenêtre Couleurs. Cliquez sur l’élément de l’écran dont vous souhaitez utiliser la couleur. La couleur apparaît dans la zone des couleurs. Sélectionnez l’élément dans la feuille de calcul, auquel vous souhaitez appliquer la couleur, puis faites glisser la couleur de la zone des couleurs à l’élément. Remplissage d’un objet avec une image Vous pouvez remplir une figure, une zone de texte, un tableau, une cellule, un graphique en arrière-plan ou une série graphique avec une image. Pour remplie un objet avec une image : 1 Sélectionnez l’objet que vous voulez remplir avec une image. 2 Si l’Inspecteur des graphismes n’est pas ouvert, cliquez sur le bouton Inspecteur de la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des graphismes. 3 Dans l’Inspecteur des graphismes, sélectionnez Remplissage par image ou Remplissage par image teintée, puis choisissez une image.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 181 Vous pouvez également faire glisser une image du Finder ou du navigateur multimédia vers le cadre d’image de l’Inspecteur des graphismes ou directement dans une cellule ou un ensemble de graphiques. 4 Choisissez une échelle d’image dans le menu local. Ajuster : redimensionne l’image afin qu’elle s’adapte au mieux aux dimensions de l’objet. Si la forme de l’objet est différente de celle de l’image d’origine, il se peut que des parties n’apparaissent pas ; un espace vide peut également apparaître autour de l’image. Remplir : fait paraître l’image plus grande ou plus petite en la dimensionnant de façon à ne laisser qu’un espace minimum autour d’elle, même si elle n’a pas la même forme que l’objet. Étirer : dimensionne l’image pour qu’elle s’adapte à la taille de l’objet mais la déforme si ce dernier a une forme différente de l’image d’origine. Dimensions d’origine : place l’image dans l’objet sans modifier ses dimensions d’origine. Si l’image est plus grande que l’objet, vous ne voyez qu’une partie de l’image dans l’objet. Si l’image est plus petite que l’objet, elle est entourée d’espace vide. Mosaïque : répète l’image à l’intérieur de l’objet si celle-ci est plus petite que l’objet. Si l’image est plus grande que l’objet, vous ne voyez qu’une partie de l’image dans l’objet. Définissez la taille de l’image dans l’objet via le menu local. Pour changer l’image, faites glisser une image vers le cadre d’image. Remplir Mosaïque (grande image) Dimensions d’origine Ajuster Étirer Mosaïque (petite image) Mosaïque (grande image)182 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 5 Pour placer une teinte transparente sur l’image, choisissez Remplissage image teintée dans le menu local Remplissage. Cliquez sur le cadre de couleur en regard du bouton Choisir, puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Faites glisser le curseur Opacité dans la fenêtre Couleurs afin de rendre la teinte plus foncée ou plus claire. Si vous faites glisser le curseur Opacité dans l’Inspecteur des graphismes, l’opacité de la teinte et de l’image change. Utilisation des figures Numbers comprend des figures prédessinées. Vous pouvez également créer vos propres figures personnalisées. Ajout d’une figure prédessinée Vous pouvez insérer des figures prédessinées, telles que des triangles, des flèches, des cercles et des rectangles, à utiliser comme graphismes simples. Voici plusieurs façons d’ajouter une figure prédessinée : m Cliquez sur Formes dans la barre d’outils, puis choisissez une forme dans le sous-menu Figures. Vous pouvez également choisir Insérer > Figure > type de figure. m Vous pouvez aussi dessiner vous-même la figure. Dans la barre d’outils, cliquez sur Figures tout en maintenant la touche Option enfoncée, relâchez la touche Option et choisissez une figure, puis faites glisser le pointeur en croix dans la feuille de calcul pour créer une figure de la taille souhaitée. Pour imposer la figure (par exemple, pour que les trois côtés d’un triangle soient égaux entre eux), maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous faites glisser. Ajout d’une figure personnalisée Vous pouvez utiliser l’outil de dessin pour créer vos propres figures. Pour créer une figure personnalisée : 1 Cliquez sur Figure dans la barre d’outils, choisissez Figures, puis sélectionnez l’icône de l’outil de dessin. Vous pouvez également sélectionner les menus Insertion > Figure > Dessiner une figure. Cliquez pour sélectionner une couleur de teinte pour l’image.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 183 Le pointeur, représentant au départ une flèche, se change alors en sorte de pointe de crayon. 2 Cliquez n’importe où sur la feuille pour créer le premier point de la figure personnalisée. 3 Pour créer un deuxième point et le connecter au premier via une ligne droite, cliquez simplement sur un autre endroit. Pour créer un segment courbe plutôt qu’un segment de ligne droite, cliquez sur le deuxième emplacement et faites-le glisser à l’aide de la souris pour modifier l’angle de la courbe ou agrandir cette dernière. Relâchez le bouton de la souris lorsque le tracé de la courbe vous convient. La ligne reliant les deux points suit le style de trait par défaut défini par le modèle que vous utilisez. Plus tard, vous pourrez changer le type de ligne utilisé grâce aux réglages du trait définis dans l’Inspecteur des graphismes. 4 Répétez l’étape 3 pour créer des points supplémentaires selon vos besoins. Chaque fois que vous ajoutez un nouveau point, Numbers le relie au point précédent par une ligne reprenant le style de trait défini ainsi qu’au premier point, mais sans ajouter de trait. Il remplit ensuite la figure de la couleur par défaut définie par le modèle que vous utilisez. Vous pouvez modifier la couleur de remplissage par la suite dans l’Inspecteur des graphismes à l’aide des réglages de Remplissage. Pour supprimer un segment que vous venez de créer, appuyez simplement sur la touche Suppr. Appuyez à nouveau sur la touche Suppr pour supprimer le segment précé- dent, et ainsi de suite. 5 Pour mettre fin au dessin et fermer la figure (c’est-à-dire ajouter une ligne pleine entre le dernier et le premier point), cliquez sur le premier point. Pour arrêter le traçage mais laisser la figure ouverte (c’est-à-dire qu’aucune ligne n’est dessinée entre le dernier et le premier point) afin de pouvoir continuer à la manipuler ultérieurement, appuyez sur la touche Échap ou double-cliquez sur le dernier point créé. Pour terminer et fermer une figure ouverte, cliquez une fois sur celle-ci pour la sélectionner, puis cliquez une deuxième fois pour afficher ses points. Double-cliquez sur l’un des points se trouvant à l’une des extrémités du segment ouvert. Le pointeur prend alors la forme d’une plume de stylo. Retrouvez ici le segment ouvert.184 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Si vous souhaitez ajouter des points supplémentaires, cliquez à d’autres endroits selon vos besoins. Lorsque le dessin est terminé, cliquez sur le point à l’extrémité du segment ouvert pour fermer la figure. Figures modifiables Avant de modifier les points d’une figure, vous devez faire en sorte que la figure soit modifiable. Voici plusieurs façons de rendre les figures modifiables : m Pour modifier les points d’une figure prédessinée, sélectionnez-la, puis choisissez Format > Figure > Rendre modifiable. Des points rouges apparaissent sur la figure. Faites glisser les points pour la modifier. Par la suite, pour modifier une figure prédessinée devenue modifiable, cliquez deux fois dessus lentement. m Pour rendre une figure personnalisée modifiable, cliquez une fois sur celle-ci pour la sélectionner, puis cliquez une deuxième fois pour afficher ses points. Manipulation des points d’une figure Vous pouvez modifier le contour d’une figure en ajoutant, en déplaçant ou supprimant des points. Vous devez d’abord rendre la figure modifiable, comme le décrit la rubrique « Figures modifiables » à la page 184. Voici plusieurs façons de manipuler les points d’une figure : m Pour ajouter un point, rendez la figure modifiable, puis appuyez sur la touche Option et placez le pointeur sur la bordure de la figure. Le pointeur change et prend la forme d’une plume de stylo accompagnée d’un signe plus (+). Cliquez sur la bordure à l’endroit où vous souhaitez ajouter un point, puis déplacez ce dernier si besoin. m Pour déplacer un point, rendez la figure modifiable, puis cliquez sur le point en question et faites-le glisser jusqu’à un nouvel emplacement. Vous pouvez déplacer plusieurs points en même temps en cliquant sur chacun d’entre eux tout en maintenant la touche Maj enfoncée, puis en les faisant glisser tous à la fois. m Pour supprimer un point, rendez la figure modifiable, puis cliquez sur le point à éliminer et appuyez sur la touche Suppr. Vous pouvez aussi supprimer plusieurs points en même temps en cliquant sur chacun d’entre eux tout en appuyant sur la touche Maj, puis en appuyant sur la touche Suppr. Cliquez sur un point et faites-le glisser pour modifier la figure.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 185 Modification du tracé d’une courbe Vous pouvez agrandir ou réduire une courbe ou modifier son angle. Pour redessiner une courbe : 1 Rendez la figure modifiable. 2 Cliquez sur une des commandes circulaires rouges de la courbe que vous voulez redessiner. Une poignée de commande apparaît des deux côtés de la commande circulaire. 3 Pour augmenter ou réduire la courbe, faites glisser la commande circulaire ou l’une des poignées de commande. 4 Pour modifier l’angle de la courbe, déplacez les poignées de commande dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans le sens contraire. Vous pouvez ainsi produire divers effets en déplaçant des poignées en même temps ou indépendamment l’une de l’autre. Prenez le temps de tester les options offertes jusqu’au résultat voulu. Pour déplacer toutes les poignées de commande à la fois, appuyez sur la touche Option et faites glisser l’une d’entre elles. Pour ne déplacer qu’une seule des poignées de commande, appuyez sur la touche Commande avant de faire glisser la poignée. Modification du tracé d’un segment droit Vous pouvez modifier l’angle que forment deux segments ou modifier la longueur d’un segment. Pour redessiner un segment droit : 1 Rendez la figure modifiable. 2 Cliquez sur un point d’angle. 3 Pour modifier l’angle formé par deux segments qui se rejoignent, faites glisser le point dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans l’autre sens. 4 Pour modifier la longueur de l’un des segments, faites glisser le point vers l’extérieur ou vers l’intérieur. Faites glisser ou faites pivoter une des poignées de commande afin de modifier la courbe. Vous pouvez également faire glisser un point pour modifier la courbe.186 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Conversion de points d’angle en points de courbe et vice-versa Vous pouvez transformer un ou plusieurs points en courbes ou courbes en points. Voici plusieurs façons de convertir des points d’angle en points courbes, et vice-versa : m Pour convertir un point d’angle en point de courbe, rendez la figure modifiable et double-cliquez sur le point d’angle. m Au contraire, pour convertir un point de courbe en point d’angle, rendez la figure pour modifiable et double-cliquez sur le point de courbe. m Pour convertir tous les points d’angle d’une ou de plusieurs figures en points de courbe, rendez les figures modifiables, sélectionnez la ou les figures concernées, puis sélectionnez Format > Figure > Arrondir le contour. m Pour convertir tous les points de courbe d’une ou de plusieurs figures en points d’angle, rendez les figures modifiables, sélectionnez la ou les figures concernées, puis sélectionnez Format > Figure > Affûter le contour. Après qu’une figure soit configurée pour être modifiable, vous pouvez utiliser les commandes Arrondir le contour et Affûter le contour sans avoir à la reconfigurer comme étant modifiable à nouveau. Modification de figures prédessinées spécifiques Certaines figures prédessinées disposent de contrôles d’édition intégrés spéciaux. Modification d’un rectangle aux coins arrondis Le rectangle aux coins arrondis comprend un contrôle circulaire qui vous permet de modifier ses angles. Pour modifier un rectangle aux coins arrondis : m Sélectionnez la figure, puis faites glisser son contrôle circulaire vers la gauche pour redresser les coins et vers la droite pour les arrondir. Faites glisser pour redresser ou arrondir le coin.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 187 Modification de flèches simples et doubles Les flèches disposent de trois contrôles spéciaux. Voici plusieurs façons de modifier les flèches simples et doubles après les avoir sélectionnées : m Faites glisser la poignée de sélection se trouvant sur la queue ou sur la tête de la flèche pour augmenter ou réduire la longueur et la largeur de la queue sans changer la forme de sa tête. m Faites glisser le contrôle circulaire vers le haut ou vers le bas pour modifier la largeur de la queue. m Faites glisser le contrôle circulaire vers la gauche ou vers la droite pour redimensionner la tête de la flèche. Modification d’une étoile La figure en forme d’étoile dispose d’un curseur permettant d’augmenter ou de réduire le nombre de ses branches et d’un contrôle circulaire permettant de modifier les angles entre celles-ci. Voici plusieurs façons de modifier une étoile : m Lorsque vous sélectionnez une figure en forme d’étoile, le curseur apparaît. Faites glisser le curseur pour augmenter ou réduire le nombre de points constituant l’étoile. m Faites glisser le contrôle circulaire pour modifier les angles formés par les branches de l’étoile. Faites glisser pour modifier la longueur de la queue de la flèche. Faites glisser vers le haut ou vers le bas pour modifier la largeur de la queue de la flèche. Faites glisser vers la gauche ou vers la droite pour redimensionner la tête de la flèche. Faites glisser pour changer les angles entre les points de l’étoile. Visualisez le nombre de points constituant actuellement l’étoile. Faites glisser pour augmenter ou réduire le nombre de points 188 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Modification d’un polygone Le polygone dispose d’un curseur permettant d’augmenter ou de réduire le nombre de ses côtés. Pour modifier un polygone : m Lorsque vous sélectionnez le polygone, le curseur apparaît. Faites glisser le curseur afin d’augmenter ou de réduire le nombre de côtés constituant le polygone. Utilisation des paramètres fictifs multimédias Certains modèles Numbers contiennent des paramètres fictifs multimédia. Vous pouvez faire glisser vos propres images, séquences vidéo et fichiers audio jusque sur ces paramè- tres fictifs. Votre fichier multimédia est alors automatiquement redimensionné et correctement positionné. Vous pouvez aisément remplacer un élément situé sur un paramètre fictif multimédia en y faisant glisser un nouveau fichier ; il est inutile de supprimer l’ancien fichier au préalable. Vous pouvez reconnaître un paramètre fictif multimédia si vous placez le pointeur de la souris dessus ; une balise d’aide apparaît et vous invite à y faire glisser votre image à cet emplacement. Voici plusieurs façons d’utiliser les paramètres fictifs multimédias : m Faites glisser un fichier du Navigateur de média, du Finder ou d’une autre application jusque sur le paramètre fictif multimédia. Pour ouvrir le Navigateur de média, cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils. Cliquez sur un des boutons en haut de la fenêtre pour rechercher des photos, des fichiers audio ou des séquences vidéo. m Pour modifier le contenu d’un paramètre fictif multimédia, faites glisser un nouveau fichier multimédia sur le contenu existant. m Pour convertir une image de paramètre fictif en image ordinaire, sélectionnez-la, choisissez Format > Avancé, puis désactivez « Définir comme paramètre fictif multimédia » dans le sous-menu. Pour remplacer une image ordinaire, vous devez tout d’abord la supprimer. Faites glisser afin d’augmenter ou de réduire le nombre de côtés constituant le polygone. Visualisez le nombre de côtés constituant actuellement le polygone.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 189 m Pour supprimer un paramètre fictif multimédia, sélectionnez-le et appuyez sur la touche Suppr. m Pour créer un paramètre fictif multimédia, suivez les instructions de la rubrique « Création de paramètres fictifs multimédia dans un modèle personnalisé » à la page 212. Utilisation des images Numbers accepte tous les formats pris en charge par QuickTime, y compris les types de fichiers image suivants :  TIFF  GIF  JPEG  PDF  PSD  EPS  PICT Une fois que vous avez importé une image dans une feuille de calcul, vous pouvez la masquer (ou la rogner) et en modifier la luminosité et d’autres réglages. Vous pouvez placer une image à l’intérieur d’une figure, d’une zone de texte, d’un élément de graphique ou d’une cellule de tableau. Numbers vous permet aussi de produire des graphismes avec transparence (graphismes avec canal alpha). Importation d’une image Importez une image directement à partir du Finder ou du Navigateur de média. Il existe différentes manières d’importer un fichier image : m Faites glisser un fichier image du Finder jusque sur la feuille de calcul et placez-le à l’endroit souhaité. m Cliquez sur Multimédia sur la barre d’outils, sur Photos dans la fenêtre du navigateur de média, sélectionnez l’album dans lequel se trouve la photo, puis faites glisser la vignette à l’endroit souhaité. m Choisissez Insertion > Choisir, sélectionnez le fichier image, puis cliquez sur Insérer. Faites glisser l’image pour la positionner à l’endroit souhaité. m Pour ajouter un fichier image à l’aide d’un paramètre fictif multimédia, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des paramètres fictifs multimédias » à la page 188. Masquage (rognage) d’images Vous pouvez rogner des images sans modifier réellement les fichiers en masquant des parties d’images.190 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Rognage d’une image à l’aide du masque par défaut (de forme rectangulaire) Vous pouvez utiliser un masque rectangulaire pour définir les limites d’une image. Pour rogner une image à l’aide du masque par défaut (de forme rectangulaire) : 1 Importez l’image que vous souhaitez masquer (pour en savoir plus, consultez la rubrique « Importation d’une image » à la page 189). 2 Sélectionnez l’image, puis choisissez Format > Masquer. Un masque redimensionnable se superpose à l’image et des contrôles s’affichent. 3 Pour redimensionner l’image, déplacez le curseur horizontal. 4 Affinez le masque. Faites glisser les poignées de sélection pour redimensionner le masque. Pour conserver les proportions du masque, appuyez sur la touche Maj et maintenez-la enfoncée lorsque vous faites glisser les poignées de sélection. Pour faire pivoter le masque, maintenez enfoncée la touche Commande tout en faisant glisser une poignée de sélection d’angle. Placez le masque sur la partie de l’image à afficher. Vous pouvez cliquer sur le bord du masque sélectionné et faire glisser le masque. Vous pouvez également cliquer sur l’image mais à l’extérieur du masque puis faire glisser l’image. 5 Pour rendre visible uniquement la partie située sous le masque, double-cliquez sur le masque, appuyez sur la touche Retour, ou cliquez en dehors de l’image, ou cliquez sur Modifier le masque. Les bordures de l’image masquée sont représentées par des pointillés. 6 Pour redimensionner ou faire pivoter l’image masquée, faites glisser (respectivement en maintenant ou pas la touche Commande enfoncée) les poignées de sélection. 7 Pour annuler la sélection de l’image et masquer les commandes de masque, cliquez en dehors de l’image. Pour afficher la totalité de l’image, double-cliquez dessus. Pour modifier le masque, cliquez sur Modifier le masque. Redimensionner le masque en faisant glisser les poignées de sélection. Centrer le masque en le faisant glisser sur la partie de l’image à afficher. Faire glisser le curseur pour redimensionner l’image. Cliquer sur ce bouton pour afficher ou masquer la zone à l’extérieur du masque.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 191 Masquer une image par une figure Vous pouvez utiliser une figure pour définir les limites d’une image. Pour masquer une image par une forme : 1 Sélectionnez l’image, puis Format > Masquer avec une figure > figure. Vous pouvez également cliquer en appuyant sur la touche Maj pour sélectionner une figure et une image, puis cliquer sur Masquer dans la barre d’outils (ou sélectionnez Format > Masquer avec la figure sélectionnée). 2 Faites glisser l’image pour positionner la partie que vous voulez afficher. Pour déplacer le masque, cliquez sur le bord en pointillés du masque et faites-le glisser. 3 Pour redimensionner l’image, faites glisser le curseur situé au-dessus du bouton Modifier le masque. 4 Faites glisser les poignées de sélection pour redimensionner le masque. 5 Pour rendre visible uniquement la partie située sous le masque, double-cliquez sur le masque ou sur l’image, appuyez sur la touche Retour, ou cliquez en dehors de l’image, ou cliquez sur Modifier le masque. 6 Pour redimensionner l’image masquée, cliquez sur Modifier le masque et faites glisser les poignées de sélection. 7 Pour annuler la sélection de l’image et masquer les commandes de masque, cliquez en dehors de l’image. Pour modifier une image masquée, double-cliquez dessus. Remarque : si vous utilisez une figure contenant du texte comme masque, le texte est supprimé. Pour restaurer le texte, sélectionnez Édition, puis « Annuler Masquer avec une figure ». Vous pouvez également faire glisser une image sur la figure pour la masquer. Suppression du masque d’une image Vous pouvez supprimer un masque et restaurer l’image d’origine. Pour ne plus masquer une image : m Sélectionnez l’image masquée, puis cliquez sur Format > Ne plus masquer. Suppression de l’arrière-plan ou des éléments superflus d’une image L’outil Alpha permet de convertir certaines couleurs d’une image en couleurs transparentes. Cette fonction est utile pour supprimer un arrière-plan ou d’autres couleurs superflus. Vous obtiendrez des résultats optimaux si vous supprimez des couleurs unies dont les limites sont bien définies. Pour supprimer des zones moins bien délimitées, sélectionnez une zone de taille plus réduite et répétez le processus.192 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Pour supprimer des éléments superflus : 1 Sélectionnez l’image. 2 Sélectionnez Format > Alpha instantané. 3 Cliquez sur la couleur que vous voulez rendre transparente, puis faites glisser le curseur lentement au-dessus. À mesure que vous faites glisser le pointeur, la sélection s’agrandit pour englober la zone qui est de la même couleur. Plus vous faites glisser, plus la taille de la zone sélectionnée de l’image est importante. 4 Répétez la troisième étape autant de fois que vous le souhaitez. 5 Lorsque vous avez terminé, cliquez à l’extérieur de l’image ou appuyez sur la touche Retour. À tout moment, vous pouvez restaurer les parties supprimées de l’image. Pour rétablir l’image d’origine, sélectionnez Format > Supprimer l’alpha instantané. Pour restaurer des parties d’image supprimées à l’aide de la commande Alpha instantané, sélectionnez Édition > Annuler jusqu’à ce que les parties soient restaurées. Modification de la luminosité, du contraste et des autres réglages d’une image Vous pouvez modifier la luminosité, le contraste et certains autres réglages des images pour améliorer leur qualité ou créer des effets intéressants. Les ajustements que vous effectuez ne modifient pas l’image d’origine, mais seulement son apparence dans Numbers. En faisant glisser le pointeur, vous sélectionnez la zone contiguë de même couleur. Faites glisser davantage ici.... ...pour sélectionner une plus grande partie de l’image.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 193 Pour ajuster une image : 1 Sélectionnez l’image. 2 Sélectionnez Présentation > Afficher « Ajuster l’image » pour ouvrir la fenêtre Ajuster l’image. 3 Utilisez les contrôles suivants pour réaliser les réglages. Améliorer : ce bouton ajuste automatiquement l’image. Luminosité : règle la luminosité de l’image. Contraste : règle le contraste et les tons clairs et foncés. Ainsi, vous pouvez rendre les ombres plus sombres, accentuer les bords d’objets ou faire ressortir les couleurs. Si vous augmentez considérablement le contraste d’une photo, celle-ci ressemblera plus à une illustration. Saturation : modifie l’intensité des couleurs. Température : permet de privilégier des tons plus chauds (plus orangés) ou plus froids (plus bleutés). Teinte : modifie la quantité de tons rouges ou verts dans l’image. Netteté : rend la mise au point de l’image plus ou moins précise. Exposition : permet de privilégier les zones d’ombre ou les zones de lumière. L’histogramme : vous aide à comprendre la répartition entre zones d’ombre (représentées à gauche de l’affichage) et zones de lumière (représentées sur la droite) de l’image. Niveaux : modifie les niveaux des tons clairs et foncés. Niveaux automatiques : fait en sorte que Numbers améliore les couleurs automatiquement. Réglez le contraste entre les tons clairs et foncés. Modifiez l’intensité de la couleur. Augmentez la chaleur de la couleur ou réduisez-la. Modifiez la proportion des tons rouges et verts. Affinez la mise au point. Ajustez l’ombre et la lumière. Appréciez la relation existant entre les ombres et l’éclairage. Modifiez le niveau des tons foncés et clairs. Rétablissez les réglages d’origine. Améliorez les couleurs automatiquement. Ajustez la lumière.194 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 4 Pour rétablir les réglages d’origine, cliquez sur Réinitialiser l’image. Pour enregistrer toutes les modifications que vous avez apportées, enregistrez la feuille de calcul. Les réglages au moment où vous enregistrez la feuille de calcul sont consultables à tout moment dans la fenêtre Ajuster l’image. Utilisation de fichiers PDF en tant que graphismes Si vous prévoyez d’augmenter ou de réduire fortement les dimensions d’un graphisme, envisagez de le convertir au format PDF avant de l’insérer dans Numbers. Les fichiers PDF ne perdent pas leur précision lorsqu’ils sont redimensionnés. Les autres types de fichier peuvent ne pas conserver toute leur netteté lorsqu’ils sont agrandis ou réduits. Les fichiers PDF offrent également un bon moyen de déplacer des données tabulaires de documents Excel ou AppleWorks dans Numbers. Si vous souhaitez incorporer des tableaux d’une feuille de calcul Excel ou AppleWorks, dont la mise en forme est complexe, à votre feuille de calcul, vous pouvez enregistrer la feuille au format PDF, puis placer ce fichier PDF sur une page comme vous le feriez avec n’importe quel autre fichier image externe. Pour convertir un fichier Excel ou AppleWorks en fichier PDF : 1 Dans votre feuille de calcul Excel ou AppleWorks, sélectionnez la plage du tableau que vous souhaitez afficher dans votre feuille de calcul. 2 Choisissez Fichier > Imprimer. 3 Dans la zone de dialogue Imprimer, choisissez « Enregistrer en format PDF » dans le menu local PDF. 4 Dans la zone de dialogue Enregistrer, saisissez un nom pour le fichier PDF, sélectionnez un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer. Vous pouvez copier une plage de cellules d’un document Excel et les coller ainsi que leur contenu directement dans votre feuille de calcul. Numbers crée alors un nouveau tableau pour accueillir les données Excel. Vous pouvez aussi convertir une image en fichier PDF à l’aide de l’application Capture. Ouvrez Capture (qui se trouve dans le dossier Applications/Utilities). Choisissez Capturer > Sélection pour sélectionner la zone écran sur laquelle vous voulez créer une image. Sélectionnez Fichier > Imprimer pour enregistrer l’image en tant que PDF.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 195 Utilisation du son et de séquences Vous pouvez ajouter du son, des séquences vidéo et des fichiers Flash à votre feuille de calcul si vous envisagez de l’afficher sur un écran en tant que fichier Numbers. La lecture du fichier vidéo ou audio commence lorsque vous double-cliquez sur l’icône correspondante. Remarque : certains fichiers multimédia sont protégés par des droits d’auteur. Il se peut aussi que certaines musiques téléchargées ne puissent être lues que sur l’ordinateur ayant été utilisé pour leur téléchargement. Assurez-vous que vous disposez bien de l’autorisation nécessaire pour utiliser les fichiers que vous souhaitez inclure. Numbers accepte tout type de fichier QuickTime ou iTunes, y compris les suivants :  MOV  FLASH  MP3  MPEG-4  AIFF  AAC Important : pour vérifier que les séquences ou autres données multimédias pourront être lues et affichées si votre document est transmis à un autre ordinateur, vérifiez que l’option « Copier l’audio et la vidéo dans le document » est sélectionnée ; lorsque vous avez sélectionné Enregistrer ou Enregistrer sous, cliquez sur le triangle d’affichage à côté du champ, puis sur Options avancées. Ajout d’un fichier son Ajoutez un fichier son dont vous pouvez lancer la lecture en double-cliquant sur son icône. Voici plusieurs façons d’ajouter un fichier son : m Faites glisser un fichier son du Finder sur une feuille. m Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, cliquez sur Audio, sélectionnez un fichier audio et faites glisser le fichier vers la feuille. m Pour ajouter un fichier audio à l’aide d’un paramètre fictif multimédia, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des paramètres fictifs multimédias » à la page 188.196 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Ajout d’un fichier de séquence Ajoutez un fichier de séquence dont vous pouvez lancer la lecture en double-cliquant sur son icône. Voici plusieurs façons d’ajouter une séquence vidéo : m Faites glisser un fichier vidéo du Finder sur une feuille. m Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, cliquez sur Séquences, sélectionnez un fichier, puis faites-le glisser sur la feuille. Pour afficher les séquences répertoriées dans la sous-fenêtre Séquences du navigateur de média, vous devez les placer dans le dossier Séquences du Finder, dans iTunes ou dans iPhoto. m Choisissez Insertion > Choisir, sélectionnez le fichier de séquence, puis cliquez sur Insérer. m Pour ajouter un fichier de séquence à l’aide d’un paramètre fictif multimédia, consultez la rubrique « Utilisation des paramètres fictifs multimédias » à la page 188. Réglage des options de lecture des fichiers multimédias Dans l’Inspecteur QuickTime, vous pouvez modifier des paramètres tels que le début ou la fin d’une séquence et le cadre à afficher jusqu’à ce que la séquence commence. Pour définir les préférences de lecture : 1 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur puis sur le bouton Inspecteur QuickTime. 2 Cliquez sur la séquence ou sur l’objet sonore pour le sélectionner. 3 Pour démarrer ou arrêter la lecture de la séquence sur des images particulières ou à des moments donnés, faites glisser les curseurs de départ et de fin. 4 Pour spécifier l’image de séquence (appelée « affiche ») à afficher en attendant le début de la lecture, faites glisser le curseur Affiche jusqu’à ce que l’image souhaitée de la séquence s’affiche.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 197 5 Choisissez une option de répétition dans le menu local Répétition : Aucune : une seule lecture. Boucle : lecture en continu. Lecture en boucle dans les 2 sens : lecture en continu vers l’avant et vers l’arrière. 6 Pour augmenter ou diminuer le volume, faites glisser le curseur Volume vers la droite ou vers la gauche. Réglez le volume. Régler les options de répétition de lecture. Sélectionnez l’image à afficher en attendant le démarrage de la lecture de la séquence. Utiliser ces contrôles pour visionner la séquence vidéo ou écouter le fichier son tout en modifiant la feuille de calcul. Bouton Inspecteur QuickTime Commencer et arrêter une séquence vidéo à un instant spécifique.9 198 9 Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un tableau Ce chapitre explique comment ajouter des informations de contact stockées dans le Carnet d’adresses et des vCards à un tableau Numbers. Les champs du Carnet d’adresses sont une source abondante de noms, de numéros de téléphone, d’adresses et de données personnelles. Vous pouvez utiliser les données du Carnet d’adresses pour créer rapidement des tableaux qui réunissent les informations dont vous avez besoin sur vos contacts professionnels, vos proches, les points de contact pour vos vacances, etc. Utilisation des champs de Carnet d’adresses Vous pouvez insérer des données tirées des champs du Carnet d’adresses dans des tableaux Numbers. Vous pouvez également ajouter des données tirées d’une carte de visite virtuelle (appelée vCard) que l’on vous a envoyée. Si un tableau contient un rang d’en-tête contenant des noms qui correspondent à ceux que l’on retrouve dans le Carnet d’adresses ou dans des vCards, vous pouvez ajouter des données des contacts en faisant glisser les cartes voulues sur le tableau. Vous pouvez également créer un tableau en faisant glisser des cartes sur le canevas.Chapitre 9 Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un tableau 199 Mappage des noms de colonne aux noms issus de champs du Carnet d’adresses Le tableau suivant répertorie les champs de Carnet d’adresses que Numbers prend en charge. Les synonymes sont des noms de substitution que vous pouvez ajouter à la valeur d’un champ de Carnet d’adresses particulier. Noms de champs de Carnet d’adresses Synonymes de noms de champ Préfixe Titre, préfixe du nom Nom Nom de famille Prénom Suffixe Suffixe de nom, suffixe professionnel, suffixe académique Surnom Nom de jeune fille Profession Service Service d’emplois Entreprise Téléphone (premier numéro disponible) Téléphone (principal) Téléphone bureau Téléphone domicile Portable Téléphone portable, téléphone mobile, téléphone cellulaire, cellulaire Fax domicile Fax travail Messageur Bippeur Autre téléphone Adresse électronique (première adresse disponible) Adresse électronique Adresse électronique professionnelle Adresse électronique privée Autre adresse électronique Adresse URL (première adresse URL disponible) Adresse URL professionnelle Adresse URL privée Autre adresse URL Anniversaire200 Chapitre 9 Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un tableau AIM (première adresse disponible) Message instantané, pseudonyme de message instantané, nom de message instantané, adresse de message instantané, conversation, pseudonyme de conversation, nom de conversation, adresse de conversation Adresse AIM professionnelle AIM (bureau), message instantané (bureau), pseudonyme de message instantané (bureau), nom de message instantané (bureau), adresse de message instantané (bureau), conversation (bureau), pseudonyme de conversation (bureau), nom de conversation (bureau), adresse de conversation (bureau) Adresse AIM personnelle AIM (domicile), message instantané (domicile), pseudonyme de message instantané (domicile), nom de message instantané (domicile), adresse de message instantané (domicile), conversation (domicile), pseudonyme de conversation (domicile), nom de conversation (domicile), adresse de conversation (domicile) Autre adresse AIM AIM (autre), message instantané (autre), pseudonyme de message instantané (autre), nom de message instantané (autre), adresse de message instantané (autre), conversation (autre), pseudonyme de conversation (autre), nom de conversation (autre), adresse de conversation (autre) Yahoo Adresse Yahoo! Adresse Yahoo! personnelle Autre adresse Yahoo! Adresse Adresse (première adresse disponible) Rue Ville (première ville disponible) Municipalité Région/Province (première région/province disponible) Code postal Pays (premier pays disponible) Adresse professionnelle Adresse (bureau) Rue (bureau) Ville (bureau) Municipalité (bureau) État (bureau) Code postal (bureau) Pays (bureau) Adresse privée Adresse (domicile) Domicile Ville (domicile) Municipalité (domicile) Noms de champs de Carnet d’adresses Synonymes de noms de champChapitre 9 Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un tableau 201 Ajout de données issues du Carnet d’adresses à un tableau existant Vous pouvez ajouter des données issues du Carnet d’adresses ou d’une vCard à un tableau si le rang d’en-tête du tableau contient des noms qui correspondent au nom des champs répertoriés dans « Mappage des noms de colonne aux noms issus de champs du Carnet d’adresses » à la page 199. Pour ajouter des données tirées des contacts à un tableau existant : 1 Identifiez les champs issus du Carnet d’adresses ou de vCards dont vous souhaitez copier la valeur dans le tableau. 2 Assurez-vous que ce dernier possède un rang d’en-tête dont les cellules contiennent des noms de champs de Carnet d’adresses ou de vCard. Les données des champs qui ne peuvent être associées à une cellule de rang d’en-tête ne sont alors pas ajoutées au tableau. 3 Dans le Carnet d’adresses, sélectionnez les contacts ou groupes voulus, puis faites-les glisser sur le tableau. De même, vous pouvez également faire glisser des vCards sur le tableau. Des rangées s’ajoutent au besoin pour intégrer toutes les données. Si les données d’un contact figurent déjà dans le tableau, une autre rangée est ajoutée pour le contact en question. Vous pouvez retrouver les rangées en double en recourant au tri, comme le décrit la rubrique « Tri des cellules d’un tableau » à la page 85. État (domicile) Code postal (domicile) Pays (domicile) Autre adresse Adresse (autre) Rue (adresse) Ville (autre adresse) Municipalité (autre) État (autre adresse) Code postal (autre adresse) Code postal (autre) Pays (autre adresse) Remarque Remarques Noms de champs de Carnet d’adresses Synonymes de noms de champ202 Chapitre 9 Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un tableau Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un nouveau tableau Vous pouvez utiliser des données extraites du Carnet d’adresses ou d’une vCard afin de créer un tableau contenant une rangée pour chaque contact. Il existe plusieurs façons de créer un tableau contenant des données propres aux contacts : m Dans le Carnet d’adresses, sélectionnez les cartes voulues ou un groupe, puis faites glisser votre sélection sur le canevas. m Faites glisser les vCards choisies sur le canevas. Le tableau contient une colonne pour chaque champ nommé vCard ou du Carnet d’adresses, comme l’indique la rubrique « Mappage des noms de colonne aux noms issus de champs du Carnet d’adresses » à la page 199. Cependant, seuls les champs Nom, Prénom, Téléphone et Adresse électronique sont alors visibles, les autres colonnes étant masquées. Pour afficher ces colonnes masquées, choisissez Tableau > Afficher toutes les colonnes. Vous pouvez ensuite supprimer ou renommer des colonnes si nécessaire.10 203 10 Partage de votre feuille de calcul Numbers Ce chapitre décrit les différents moyens dont vous disposez pour diffuser votre feuille de calcul Numbers afin que d’autres utilisateurs la visualisent ou l’utilisent. En plus d’imprimer ou de faxer une feuille de calcul, vous pouvez la partager électroniquement. En l’exportant vers d’autres formats de document, vous pouvez collaborer avec d’autres personnes qui utilisent Excel ou d’autres applications. Vous pouvez également envoyer un document directement à iWeb pour l’attacher à une entrée de blog. Impression d’une feuille Vous pouvez utiliser le mode Impression pour présenter une feuille sur plusieurs pages avant de l’imprimer. Pour imprimer une feuille : 1 Pour mettre en forme une feuille sur plusieurs pages, reportez-vous à la rubrique « Division d’une feuille en pages » à la page 41. 2 Sélectionnez la feuille à imprimer. 3 Choisissez Fichier > Imprimer la feuille. 4 Pour obtenir un aperçu de la feuille avant de l’imprimer, cliquez sur le bouton Aperçu dans la zone de dialogue Imprimer. La feuille s’ouvre dans la fenêtre Aperçu, ce qui permet d’afficher chaque page telle qu’elle se présente à l’impression. Pour plus d’informations sur l’utilisation de l’aperçu, reportez-vous à l’aide. Choisissez Aide > Aide Aperçu lorsque la fenêtre Aperçu est active.204 Chapitre 10 Partage de votre feuille de calcul Numbers Sélectionnez Épreuve-écran dans le coin inférieur gauche de la fenêtre Aperçu afin de tenir compte des possibilités de votre imprimante. Par exemple, si vous imprimez un document couleur sur une imprimante noir et blanc, l’option Épreuve-écran affiche l’aperçu du document en noir et blanc. Cliquez sur Imprimer afin d’imprimer votre feuille directement à partir de la fenêtre Aperçu. Cliquez sur Annuler, cliquez quelque part sur votre feuille, puis choisissez Fichier > Imprimer la feuille, pour configurer des options d’impression supplémentaires. 5 Choisissez l’imprimante que vous souhaitez utiliser dans le menu local Imprimante. Tapez le nombre d’exemplaires que vous souhaitez imprimer dans le champ Copies, puis cochez la case Triées si vous souhaitez imprimer chaque groupe de pages dans l’ordre avant d’imprimer le groupe suivant. Si vous souhaitez imprimer un lot de pages 1, puis de pages 2, puis de pages 3, etc., désélectionnez la case. 6 À travers le menu local Copies et pages de la zone de dialogue Imprimer, vous pouvez sélectionner des options d’impression. Vous pouvez imprimer votre feuille en ordre inverse, n’imprimer que les pages impaires ou que les pages paires, imprimer une page de couverture (page séparatrice), etc. Pour savoir comment imprimer en recto verso, consultez « Choix d’options de disposition pour l’impression » ; pour savoir comment gérer les réglages des couleurs, reportez-vous à la rubrique « Ajustement de la couleur d’impression avec ColorSync » à la page 205. 7 Cliquez sur Imprimer. Choix d’options de disposition pour l’impression Imprimez en recto verso et réglez d’autres options qui contrôlent l’impression d’une chaque page d’une feuille. Pour sélectionner des options de disposition : 1 Choisissez Fichier > Imprimer la feuille. 2 Dans la zone de dialogue Imprimer, choisissez Disposition dans le menu local situé en dessous du menu local Préréglages.Chapitre 10 Partage de votre feuille de calcul Numbers 205 3 Pour imprimer plusieurs pages sur une seule feuille de papier, choisissez Mise en page dans le menu local situé sous le menu local Préréglages. Choisissez le nombre de pages à afficher sur chaque page, dans le menu local « Page(s) par feuille ». Sélectionnez une orientation, puis choisissez le style de ligne souhaité pour séparer chaque page imprimée à partir du menu local Bordure. 4 Pour imprimer recto-verso, choisissez Mise en page dans le menu local situé sous le menu local Préréglages, puis sélectionnez une option de reliure. Reliure côté long : imprime les pages à relier dans la longueur. Reliure côté court : imprime les pages à relier côté court du papier. Toutes les imprimantes ne peuvent pas être utilisées en recto verso. Reportez-vous à la documentation fournie avec l’imprimante. 5 Pour enregistrer vos options d’impression en tant que préréglage que vous pourrez réutiliser par la suite, choisissez Enregistrer sous dans le menu local Préréglages de la zone de dialogue Imprimer, puis attribuez un nom au préréglage. Pour utiliser les mêmes paramètres ultérieurement, choisissez le nom du préréglage dans le menu local Préréglages. Ajustement de la couleur d’impression avec ColorSync Vous pouvez éclaircir ou assombrir les feuilles imprimées, leur affecter une teinte sépia, ou encore ajouter d’autres effets en ajoutant un filtre Quartz à la sortie pour votre imprimante. Le filtre exploite la technologie ColorSync afin de modifier la feuille imprimée sans modifier la feuille proprement dite. Toutes les imprimantes ne peuvent pas imprimer en couleur. Reportez-vous à la documentation fournie avec l’imprimante. Imprimez d’abord de gauche à droite, puis vers le bas. Imprimez les pages d’abord de droite à gauche, puis vers le bas. Imprimez les pages d’abord de haut en bas, puis vers la droite. Imprimez les pages d’abord de haut en bas, puis vers la gauche. Consultez un aperçu de votre mise en page. Sélectionnez les options d’impression recto verso. Choisissez un style du trait afin de séparer les pages lors de l’impression d’une feuille sur plusieurs pages.206 Chapitre 10 Partage de votre feuille de calcul Numbers Pour ajuster la couleur imprimée : 1 Choisissez Fichier > Imprimer la feuille. 2 Choisissez ColorSync dans le menu local sous le menu local Préréglages dans la zone de dialogue Imprimer. 3 Choisissez une option dans le menu local Conversion des couleurs. Standard : utilise les réglages par défaut dans Numbers afin de contrôler la gestion des couleurs de la feuille imprimée. Par l’imprimante : permet à l’imprimante que vous utilisez de contrôler la gestion des couleurs de la feuille imprimée. 4 Choisissez une option dans le menu local Filtre Quartz. Pour obtenir un aperçu de la feuille imprimée avec le filtre Quartz que vous avez choisi, cliquez sur Aperçu. Après avoir sélectionné le filtre Quartz souhaité, vous pouvez enregistrer ce réglage dans votre préréglage. Pour plus d’informations sur ColorSync et les filtres Quartz, reportez-vous à l’Aide Utilitaire ColorSync en ouvrant l’application ColorSync (située dans Applications/Utilitaires), puis en choisissant Aide > Aide Utilitaire ColorSync. Exportation vers d’autres formats de document Vous pouvez partager vos feuilles de calcul Numbers entre différentes plates-formes en les exportant vers un fichier Excel, PDF ou CSV (« comma-separated values », dont les valeurs sont séparées par des virgules). Pour exporter une feuille de calcul vers un autre format de fichier : 1 Choisissez Fichier > Exporter. 2 Choisissez un format de document. PDF : les fichiers PDF peuvent être générés en utilisant une qualité d’image définie comme bonne, supérieure ou encore optimale. Ils peuvent être visualisés ou imprimés dans Aperçu, visualisés ou imprimés dans Safari, et modifiés avec une application PDF. Sélectionnez Toutes les feuilles dans le menu local Disposition pour créer un fichier PDF affichant chaque feuille sur une page différente. Sélectionnez Feuille active dans le menu local Disposition pour créer un fichier PDF de la feuille sélectionnée. L’icône de l’utilitaire ColorSyncChapitre 10 Partage de votre feuille de calcul Numbers 207 Excel : ces fichiers peuvent être ouverts et modifiés dans Microsoft Excel sur un ordinateur fonctionnant sous Mac OS X ou sous Windows. Chaque tableau est converti en feuille de calcul Excel et tous les autres objets sont placés sur des feuilles de calcul séparées si plusieurs tableaux sont disponibles. Certains calculs de formule peuvent être différents dans Excel. CSV : la plupart des tableurs prennent en charge le format de fichier CSV. Dans un fichier CSV, les valeurs des cellules sur chaque rangée sont séparées à l’aide d’une virgule, et chaque rangée est séparée à l’aide d’un caractère de fin de ligne. Chaque tableau est placé dans son propre fichier CSV et tous les fichiers sont placés dans un dossier. Les graphismes ne sont pas exportés. Les dernières valeurs calculées sont exportées. 3 Cliquez sur Suivant. 4 Attribuez un nouveau nom au document. 5 Choisissez l’emplacement où enregistrer le document. 6 Cliquez sur Exporter. Envoi d’une feuille de calcul à iWeb Si vous utilisez (ou prévoyez d’utiliser) iWeb pour créer un site web, vous pouvez envoyer une feuille de calcul Numbers directement à votre blog ou à votre podcast iWeb. La feuille de calcul apparaît sous la forme d’une pièce jointe que les visiteurs de votre site web peuvent télécharger. Pour envoyer une feuille de calcul à iWeb : 1 Vérifiez qu’iWeb 08, ou une version ultérieure, est installé sur votre ordinateur. 2 Ouvrez votre feuille de calcul Numbers et choisissez Fichier > Envoyer à iWeb > PDF, ou choisissez Fichier >Envoyer à iWeb > Document Numbers. PDF permet de créer une version PDF de votre feuille de calcul. Document Numbers crée une archive de votre feuille de calcul. 3 Si iWeb n’est pas ouvert, il s’ouvre et vous pouvez alors choisir un blog ou un podcast, nouveau ou existant, auquel vous pouvez joindre votre feuille de calcul. Si vous n’avez créé qu’un seul blog ou podcast, la feuille de calcul y est jointe. Lorsque vous publiez votre site web, les visiteurs s’abonnant à votre blog ou à votre podcast recevront automatiquement les dernières pièces jointes dans leur bibliothè- que iTunes (au format PDF uniquement). Pour en savoir plus sur l’utilisation d’iWeb pour concevoir et publier des pages web, ouvrez iWeb et choisissez Aide > Aide iWeb.11 208 11 Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers Ce chapitre est destiné aux personnes qui souhaitent créer leurs propres modèles de feuille de calcul. Il suppose que vous êtes déjà familiarisé avec les fonctionnalités de Numbers décrites dans les chapitres précédents. Conception d’un modèle Les modèles fournis avec Numbers présentent des idées pour l’élaboration de l’aspect visuel de graphiques, de tableaux et autres objets. La création de modèles personnalisés peut se limiter à l’ajout du logo de votre société à un modèle existant. Vous pouvez également modifier les attributs d’un modèle Numbers à l’aide :  de styles de tableaux ;  de tableaux réutilisables accessibles en cliquant sur Tableaux dans la barre d’outils ;  d’une mise en forme par défaut pour différents types de graphiques ;  d’attributs par défaut de zones de texte, de figures et d’images ;  de nombres et de noms des feuilles ;  de contenu prédéfini inséré dans les feuilles, tel que du texte, des tableaux et des paramètres fictifs multimédia. Vous pouvez également créer un modèle à partir d’une feuille de calcul vierge. Étape 1 : définissez des styles pour vos tableaux Un modèle possède un ou plusieurs styles de tableaux afin de mettre en forme un tableau sélectionné d’un simple clic. Les styles de tableaux sont utiles pour l’application d’une mise en forme homogène à des tableaux. Vous pouvez utiliser ou redéfinir les styles de tableaux dans un modèle Numbers ou encore créer vos propres styles. Pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de styles applicables aux tableaux » à la page 87.Chapitre 11 Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers 209 Étape 2 : définissez des tableaux réutilisables Un modèle possède des tableaux réutilisables permettant d’ajouter des tableaux déjà dimensionnés et auxquels des styles ont déjà été appliqués. Ils contiennent également du contenu prédéfini, tel que des formules et du texte. En utilisant un modèle, vous pouvez alors ajouter un tableau réutilisable en cliquant sur Tableaux sur la barre d’outils et en choisissant un tableau dans le menu local. Vous pouvez utiliser ou redéfinir les tableaux réutilisables dans un modèle Numbers ou vous pouvez créer les vôtres. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Définition de tableaux réutilisables » à la page 52. Étape 3 : définissez des tableaux par défaut, des zones de texte, des figures et des images Un modèle possède des valeurs par défaut, définies pour les objets suivants, qui prennent effet si l’utilisateur ajoute un de ces objets :  un graphique ;  une zone de texte ;  une figure ;  une image importée. Vous pouvez utiliser les réglages par défaut inclus dans le modèle de départ ou les modifier. Définition d’attributs par défaut pour les graphiques Vous pouvez régler l’apparence par défaut de chaque type de graphique. Les attributs par défaut doivent être définis séparément pour chaque type de graphique. Pour régler les attributs par défaut des graphiques : 1 Placez un graphique dans la page en cliquant sur Graphiques dans la barre d’outils et en choisissant un type de graphique. 2 Sélectionnez le graphique, puis définissez ses attributs. Pour redimensionner un graphique, le faire pivoter et définir d’autres attributs que les graphiques ont en commun, consultez la rubrique « Mise en forme des attributs géné- raux d’un graphique » à la page 118. Pour savoir comment mettre en forme des graphiques sectoriels, des graphiques à barres et autres types de graphiques, consultez la rubrique « Mise en forme de types de graphiques spécifiques » à la page 126.210 Chapitre 11 Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers 3 Répétez les étapes 1 et 2 pour chaque type de graphique auquel vous souhaitez associer des attributs par défaut. 4 Sélectionnez un graphique, puis sélectionnez Format > Avancé > Définir le style par défaut pour type de graphique. Répétez cette étape pour chaque graphique auquel vous attribuez des réglages par défaut. 5 Supprimez les graphiques de la feuille de calcul. Définition d’attributs par défaut pour les zones de texte et les formes Les attributs par défaut des zones de texte et des figures déterminent le remplissage, le soulignement et l’ombrage la première fois qu’ils sont insérés sur une page. Les attributs par défaut déterminent également l’apparence du texte que vous placez dans les boîtes ou les figures. Pour définir des zones de texte et des figures par défaut : 1 Ajoutez les objets dans une feuille. Cliquez sur Zone de texte sur la barre d’outils pour ajouter une zone de texte, et cliquez sur Figures dans la barre d’outils puis choisissez une figure. 2 Pour régler les attributs du texte inclus dans une zone de texte ou une figure, sélectionnez l’objet, ajoutez le texte à l’objet et mettez le texte en forme. Reportez-vous à la rubrique « Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte » à la page 134 pour en connaître les instructions. 3 Pour régler les attributs de l’objet, sélectionnez la zone de texte ou la figure, puis suivez les instructions de la rubrique « Modification des objets » à la page 171 et de la rubrique « Remplissage d’un objet en couleur » à la page 178. 4 Enregistrez la zone de texte et la figure en tant qu’objets par défaut. Pour enregistrer la zone de texte, sélectionnez-la, puis choisissez Format > Avancé > Définir un style Zone de texte par défaut. Pour enregistrer la figure, sélectionnez-la, puis choisissez Format > Avancé > Définir un style Figure par défaut. 5 Supprimez la zone de texte et la figure de la feuille. Définition d’attributs par défaut pour les images importées Dans le cas de graphiques importés, vous pouvez définir les ombres, l’opacité, les bordures, etc.Chapitre 11 Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers 211 Pour définir les attributs par défaut des images : 1 Importez une image comme décrit à la rubrique « Importation d’une image » à la page 189. 2 Sélectionnez l’image, puis définissez ses attributs. Pour mettre en forme des bordures autour de l’image, reportez-vous aux rubriques « Modification du style des bordures » à la page 172 et « Encadrement d’objets » à la page 173. Pour savoir comment ajouter une ombre, consultez la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 174. Pour ajouter un reflet, consultez la rubrique « Ajout d’un reflet » à la page 176. Pour ajuster la transparence de l’image, consultez la rubrique « Ajustement de l’opacité » à la page 176. 3 Choisissez Format > Avancé > Définir un style d’image par défaut. 4 Supprimez l’image de la page. Étape 4 : créez le contenu de départ pour la feuille de calcul Vous pouvez utiliser du contenu prédéfini pour modéliser l’apparence d’une feuille de calcul finie ou pour fournir des instructions et d’autres informations de productivité destinées aux utilisateurs du modèle. Prédéfinition de tableaux et autres objets pour un modèle personnalisé Ajoutez des tableaux, des graphiques, des zones de texte, des images, des figures et tout autre contenu de départ à vos modèles pour permettre aux utilisateurs d’être plus productifs et améliorer l’impact visuel de la feuille de calcul. Par exemple, vous pouvez :  ajouter des noms à des tableaux et des titres à des graphiques et leurs axes ;  ajouter des formules et autre contenu prédéfini à des cellules de tableau ;  configurer des cellules de sorte que leurs valeurs s’affichent d’une façon particulière, par exemple, en utilisant un format numérique ou de cases à cocher ;  créer des zones de texte ou des commentaires qui fournissent des instructions et des suggestions pour l’utilisation du modèle ;  utiliser de la couleur pour mettre en évidence l’importance de certains éléments dans des tableaux et des graphiques.212 Chapitre 11 Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers Création de paramètres fictifs multimédia dans un modèle personnalisé Lorsque vous faites glisser une image, une séquence ou un fichier audio de votre choix vers un paramètre fictif multimédia, vos données multimédia sont automatiquement dimensionnées et placées. Vous pouvez facilement remplacer des données dans le paramètre fictif multimédia en y faisant glisser un autre fichier ; il n’est pas nécessaire de supprimer d’abord l’ancien élément. Pour créer un paramètre fictif multimédia : 1 Ajoutez une image, un fichier audio ou une séquence à la feuille de calcul. Reportez-vous aux rubriques « Importation d’une image » à la page 189, « Ajout d’un fichier son » à la page 195 et « Ajout d’un fichier de séquence » à la page 196 pour obtenir des instructions. 2 Sélectionnez l’objet importé et placez-le à l’endroit souhaité dans la feuille de calcul, tel que décrit dans la rubrique « Déplacement d’objets » à la page 167. 3 Mettez en forme l’objet importé, tel que décrit dans la rubrique « Modification des objets » à la page 171. 4 Sélectionnez l’objet, puis choisissez Format > Avancé > Définir comme paramètre fictif multimédia. Pour supprimer un paramètre fictif multimédia, sélectionnez-le et appuyez ensuite sur la touche Suppr. Prédéfinition de feuilles destinées à un modèle personnalisé Ajoutez plusieurs feuilles à un modèle quand vous souhaitez diviser son contenu en groupes. Il existe plusieurs moyens de configurer des feuilles dans un modèle : m Vous pouvez ajouter des feuilles ou supprimer des feuilles d’un modèle Numbers. Reportez-vous à la rubrique « Ajout et suppression de feuilles » à la page 39 pour en savoir plus. m Pour déplacer des feuilles et réorganiser leur contenu, reportez-vous à la rubrique « Réorganisation de feuilles et de leur contenu » à la page 39.Chapitre 11 Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers 213 Étape 5 : enregistrement d’un modèle personnalisé Vous pouvez enregistrer votre nouveau modèle de sorte qu’il apparaisse dans le Sélecteur de modèles. Pour enregistrer un modèle personnalisé : 1 Choisissez Fichier > Enregistrer comme modèle. 2 Attribuez un nom au modèle. 3 Spécifiez un dossier pour l’enregistrement de votre modèle. Par défaut, il s’enregistre dans votre dossier de départ, dans le dossier Bibliothèque/ Application Support/iWork/Numbers/Templates/My Templates/, et apparaît dans la sous-fenêtre Mes modèles du sélecteur de modèles. Pour enregistrer le modèle à un autre endroit dans votre dossier de départ, allez dans Bibliothèque/Application Support/iWork/Numbers/Templates/ et créez un sous-dossier. Le nom du dossier est utilisé comme catégorie de modèle dans le sélecteur de modèles. 4 Cliquez sur Enregistrer. Pour supprimer un modèle personnalisé, localisez dans le Finder le dossier dans lequel vous l’avez enregistré et faites-le glisser vers la Corbeille. 12 214 12 Dictionnaire des fonctions Ce chapitre décrit les fonctions utilisables dans les formules de cellule. Ce chapitre décrit chacune des fonctions utilisables dans les formules insérées dans les cellules d’un tableau. Pour en savoir plus sur l’utilisation de formules dans les cellules d’un tableau, reportez-vous aux rubriques « Utilisation des formules » à la page 91 et « Utilisation des fonctions » à la page 106. À propos des fonctions Une fonction est une opération nommée que vous pouvez inclure dans une formule pour effectuer un calcul dans une cellule de tableau. Numbers propose 168 fonctions permettant d’effectuer des opérations mathématiques et financières, de récupérer la valeur de cellules en lançant une recherche, de manipuler des chaînes de texte ou d’obtenir la date et l’heure du jour. Chaque fonction possède un nom suivi d’arguments entre parenthèses. Les arguments permettent de fournir les valeurs dont a besoin la fonction pour effectuer le traitement. Par exemple, la formule suivante contient la fonction SOMME avec un argument unique (un intervalle de cellules) qui ajoute les valeurs de la colonne A, du rang 2 au rang 10 : =SOMME(A2:A10) Le nombre et le type des arguments varient d’une fonction à l’autre. Les arguments possibles sont les suivants :  Les constantes, telles que des nombres, des chaînes de texte ou les valeurs booléennes VRAI ou FAUX (par exemple, CONCATENER(“chat”; “s”))  Calcul, comprenant une valeur booléenne(par exemple, OU(4<1; 5<6)  Adresse d’une cellule ou d’un intervalle de cellules de tableau (par exemple, RECHERCHE(5; C2:C6; D2:D6)  Autre fonction (ex. LUNDI A VENDREDI())Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 215 Le tableau suivant définit les termes couramment utilisés dans les descriptions de fonction. Il existe plusieurs catégories de fonctions. Par exemple, certaines fonctions effectuent des calculs sur des valeurs de date et heure, les fonctions logiques entraînent un résultat booléen (VRAI ou FAUX) et d’autres fonctions assurent des calculs financiers. Voici un aperçu des catégories de fonctions, décrivant chaque fonction individuellement et par ordre alphabétique. Terme ou symbole Signification italique Argument que vous remplacez par une valeur réelle ou une référence à une cellule contenant une valeur. [ crochets ] Encadrent un argument facultatif. Si vous omettez un argument facultatif entre d’autres arguments, n’oubliez pas d’indiquer le point-virgule précédant l’argument manquant. Par exemple, pour omettre le deuxième argument, arg2, d’une liste de trois arguments, vous pourriez indiquer FONCTION(arg1; ; arg3). . . . (points de suspension) L’argument précédent peut être répété autant de fois que nécessaire. entier Nombre sans partie décimale. expression logique Expression possédant une valeur booléenne VRAI ou FAUX. expression numérique Expression qui produit un nombre. chaîne Séquence contiguë de caractères. expression texte Expression qui produit une chaîne. date-heure Toute valeur date/heure Numbers. Même si vous optez pour n’afficher que la date ou l’heure dans une cellule, une valeur Numbers de type Date/Heure peut contenir aussi bien la date que l’heure.216 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Fonctions date et heure Les fonctions pour date et heure effectuent des calculs sur des expressions de date, des expressions d’heure ou des expressions numériques. Numbers comprend ces fonctions date et heure. Fonction Description DATE (page 245) Combine les valeurs numériques correspondant chacune à l’année, le mois et le jour en une seule date. DATEDIF (page 246) Détermine la durée entre deux dates. JOUR (page 247) Extrait le numéro du jour d’une date. EDATE (page 250) Recherche la date un certain nombre de mois avant ou après une date donnée. HEURE (page 256) Extrait l’heure d’une date (comprise entre 0 et 23). MINUTE (page 271) Extrait les minutes d’une date. MOIS (page 273) Extrait le numéro du mois d’une date. MAINTENANT (page 274) Récupère la date et l’heure du jour auprès de l’horloge de l’ordinateur. SECONDE (page 293) Extrait les secondes d’une date. TEMPS (page 303) Convertit une heure en une fraction décimale de journée exprimée sur 24 heures. TEMPSVAL (page 304) Convertit une heure figurant dans une chaîne en une fraction décimale d’une journée de 24 heures. AUJOURD’HUI (page 304) Extrait la date du jour et applique un format à la cellule pour afficher uniquement la date (sans l’heure) LUNDI À VENDREDI (page 311) Convertit une date en un nombre représentant le jour de la semaine. ANNÉE (page 311) Extrait l’année d’une date.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 217 Fonctions financières Ces fonctions s’appliquent à des nombres et requièrent des expressions numériques comme arguments. Sauf indication contraire, elles renvoient des valeurs numériques. Numbers fournit ces fonctions financières. Fonction Description ACCRINT (page 225) Calcule le total des intérêts courus d’un titre à intérêts périodiques. ACCRINTM ()page 226 Calcule le total des intérêts courus d’un titre payable à échéance. COUPDAYBS (page 241) Compte le nombre de jours du début de la période de liquidation d’un titre jusqu’à sa date de liquidation. NB.JOURS.COUPON (page 242) Compte le nombre de jours de la période du coupon au cours de laquelle a lieu la liquidation d’un titre. NB.JOURS.COUPON.SUIV (page 243) Compte le nombre de jours de coupons entre la date de liquidation d’un titre et la fin de la période du coupon où la liquidation a lieu. NB.COUPONS (page 244) Compte le nombre de coupons à payer sur un titre entre la date de liquidation et la date d’échéance. DB (page 247) Calcule l’amortissement d’un actif sur une période donnée à l’aide de la méthode dégressive fixe. AMORDEG (page 248) Calcule l’amortissement d’un actif d’après un taux d’amortissement correspondant par défaut au taux dégressif double. TAUX.ESCOMPTE (page 249) Calcule le taux d’escompte d’un titre. VALFUT (page 254) Calcule la valeur capitalisée d’un investissement d’après une série de versements périodiques supplémentaires et fixes, le taux d’inté- rêt et le nombre de périodes. INTPER (page 260) Calcule la part d’intérêt du remboursement d’un prêt ou d’un investissement d’après un versement fixe et un taux d’intérêt fixes. TRI (page 261) Calcule le taux de rentabilité interne pour un investissement avec une série de mouvements périodiques. ISPMT (page 263) Calcule les intérêts dus sur une période de versement donnée pour un investissement. TRIM ()page 271 Calcule le taux de rentabilité interne modifié pour une série de mouvements périodiques. NPM (page 274) Calcule le nombre de périodes de remboursement pour un prêt ou de versements pour un investissement avec des versements et un taux d’intérêt fixes. VAN (page 275) Calcule la valeur actualisée nette d’un investissement d’après une série de mouvements à venir et un taux d’intérêt fixe.218 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Fonctions logiques Les fonctions logiques évaluent la vérité logique d’expressions, et renvoient VRAI, FAUX ou une valeur affectée par la fonction. Numbers fournit ces fonctions logiques. REMBOUR (page 278) Calcule le remboursement périodique fixe d’après un taux d’inté- rêt fixe, un nombre de périodes donné, la valeur actualisée, la valeur capitalisée et le type de remboursement. PRINCPER (page 279) Calcule la part du principal du remboursement d’un prêt ou du versement pour un investissement d’après un versement périodique et un taux d’intérêt fixes. PRIX (page 280) Calcule le prix actuel d’un titre. PRICEDISC (page 281) Calcule le prix d’un titre à intérêts précomptés. PRICEMAT (page 281) Calcule le prix d’un titre dont les intérêts sont versés à échéance. VALACT (page 284) Calcule la valeur actualisée d’un investissement d’après une série de versements périodiques et un taux d’intérêt fixes. TAUX (page 287) Calcule le taux d’intérêt nécessaire pour qu’une valeur actualisée atteigne un montant donné sur un délai précis. AMORLIN (page 294) Calcule l’amortissement linéaire d’un actif. AMORANN (page 301) Calcule l’amortissement d’un bien sur une période donnée d’après la méthode américaine Sum-of-Years Digits. VDB (page 309) Calcule l’amortissement d’un actif sur une durée choisie. Fonction Description Fonction Description ET (page 228) Donne VRAI si tous les arguments sont vrais, sinon FAUX. FAUX (page 252) Renvoie la valeur FAUX pour la compatibilité avec les applications de tableur plus anciennes. SI (page 257) Renvoie la valeur VRAI ou FAUX selon que l’expression spécifiée est vérifiée ou non. NON (page 273) Renvoie l’inverse de la valeur booléenne d’une expression. OU (page 276) Renvoie VRAI si un argument est vrai. VRAI (page 305) Renvoie la valeur VRAI pour la compatibilité avec les applications de tableur plus anciennes.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 219 Fonctions d’informations Les fonctions d’informations renvoient des renseignements sur le contenu d’une cellule ou d’un argument. Numbers fournit ces fonctions d’informations. Fonctions de référence Les fonctions de référence permettent de rechercher des données dans des tableaux et d’extraire des données de cellules. Numbers fournissent des fonctions de référence. Fonction Description ESTVIDE (page 261) Renvoie VRAI si la cellule spécifiée est vide, et FAUX dans le cas contraire. ESTERREUR (page 262) Renvoie VRAI si la formule de la cellule spécifiée (ou de l’argument de la fonction) fait état d’une erreur, FAUX dans le cas contraire. ESTPAIR (page 262) Renvoie VRAI si la valeur est paire, et FAUX dans le cas contraire. ESTIMPAIR (page 263) Renvoie VRAI si la valeur est impaire, et FAUX dans le cas contraire. Fonction Description ADRESSE (page 227) Construit une chaîne d’adresses de cellules en précisant l’identifiant des feuilles, des colonnes et des rangées. ZONES (page 229) Compte le nombre d’intervalles de cellules dans l’argument. CHOISIR (page 233) Utilise une valeur d’index pour extraire une valeur précise d’une série de valeurs. COLONNE (page 235) Renvoie le numéro de colonne d’une cellule ou le numéro de colonne de la cellule qui contient la fonction COLONNE si aucune cellule n’est précisée. COLONNES (page 235) Compte le nombre de colonnes présentes dans un intervalle de cellules. RECHERCHEH (page 255) Extrait une valeur d’une plage de rangées en utilisant les valeurs de la rangée supérieure comme référence pour déterminer la colonne, et le numéro de rangée indiqué dans la colonne. LIEN_HYPERTEXTE (page 257) Crée un lien qui ouvre une page web ou une fenêtre de messagerie électronique. INDEX (page 258) Extrait la valeur se trouvant dans (ou une référence à) la cellule d’après une rangée et une colonne données dans un intervalle de cellules. INDIRECT (page 259) Extrait la valeur d’une adresse donnée ou la référence à celle-ci. RECHERCHE (page 266) Extrait une valeur d’un intervalle de cellules selon une correspondance de recherche dans un second intervalle. CORRESPONDRE (page 267) Recherche la position d’une valeur de recherche dans un intervalle.220 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Fonctions numériques Les fonctions numériques permettent de calculer les valeurs mathématiques courantes. Numbers fournit ces fonctions numériques. DÉCALAGE (page 276) Extrait des valeurs d’un nombre de rangées et colonnes donné à partir d’une cellule de base. RENGÉE (page 292) Renvoie le numéro de rangée d’une cellule ou, si aucune cellule n’est spécifiée, la rangée contenant la fonction RENGÉE. RANGS (page 292) Compte le nombre de rangées présentes dans un intervalle de cellules. CONSV (page 310) Extrait une valeur d’une plage de colonnes en utilisant les valeurs de la colonne de gauche comme référence pour déterminer la rangée, et le numéro de colonne indiqué dans la rangée. Fonction Description Fonction Description ABS (page 225) Calcule la valeur absolue d’un nombre. PLAFOND (page 232) Arrondit un nombre au plus petit multiple supérieur d’un facteur donné. COMBIN (page 235) Recherche le nombre de combinaisons possibles d’un nombre d’éléments regroupés spécifique. PAIR (page 250) Arrondit un nombre au nombre pair supérieur. EXP (page 251) Calcule e à la puissance d’un nombre. FACT (page 251) Calcule la factorielle d’un nombre positif. PLANCHER (page 253) Arrondit un nombre au plus petit multiple inférieur d’un facteur donné. PGCD (page 255) Calcule le plus grand diviseur commun d’un groupe de nombres. ENT (page 259) Renvoie le nombre entier inférieur ou égal le plus proche d’un nombre. PPCM (page 264) Recherche le plus petit multiple commun d’une série de nombres. LN (page 265) Calcule le logarithme naturel d’un nombre. LOG (page 266) Calcule le logarithme népérien d’un nombre dans une base spécifiée. LOG10 (page 266) Calcule le logarithme népérien d’un nombre en base 10. MOD (page 271) Calcule le reste d’une division. ARRONDI.AU.MULTIPLE (page 273) Arrondit un nombre au multiple le plus proche d’un facteur donné. IMPAIR (page 275) Arrondit un nombre au nombre impair le plus proche. PI (page 277) Renvoie une approximation de pi exacte à 15 décimales. PUISSANCE (page 279) Élève un nombre à une puissance, tel que l’opérateur ^.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 221 Fonctions trigonométriques Les fonctions trigonométriques acceptent des radians comme arguments. Numbers fournit ces fonctions trigonométriques. PRODUIT (page 283) Calcule le produit d’une série de nombres. QUOTIENT (page 285) Calcule le quotient entier (sans reste) de deux nombres. ALÉAT (page 285) Génère un nombre aléatoire égal ou supérieur à 0 et inférieur à 1. ALÉAT.ENTRE (page 286) Génère un nombre entier aléatoire dans un intervalle inclusif. ROMAIN (page 289) Convertit un nombre en chiffres romains. ARRONDI (page 290) Arrondit un nombre à un nombre donné de décimales. ARRONDI.INF (page 290) Arrondit un nombre au nombre inférieur de décimales spécifiées. ARRONDI.SUP (page 291) Arrondit un nombre au nombre supérieur de décimales spécifiées. SIGNE (page 293) Renvoie 1 si l’argument est positif, –1 si l’argument est négatif et 0 s’il est égal à zéro. SQRT (page 296) Calcule la racine carrée d’un nombre. SOMME (page 299) Calcule la somme d’une série de nombres. SOMME.SI (page 300) Calcule la somme d’une série de nombres répondant à une condition précise. SOMMEPROD (page 301) Calcule la somme des produits de nombres correspondants dans deux intervalles ou plus. SOMME.CARRÉS (page 301) Calcule la somme des carrés d’une série de nombres. TRONQUE (page 305) Tronque un nombre décimal en un nombre donné de chiffres. Fonction Description Fonction Description ACOS (page 227) Calcule le cosinus inversé (arccosinus) entre 0 et pi, exprimé en radians. ACOSH (page 227) Calcule le cosinus hyperbolique inversé d’un nombre. ASIN (page 229) Calcule le sinus inversé (arcsinus) dans les radians de l’intervalle de – pi/2 à pi/2. ASINH (page 229) Calcule le sinus hyperbolique inversé d’un nombre. ATAN (page 230) Calcule la tangente inversée (arctangente) dans les radians de l’intervalle de – pi/2 à pi/2. ATAN2 (page 230) Recherche l’angle, relatif à l’axe des X positif, d’une ligne passant à l’origine d’un point spécifique. ATANH (page 230) Calcule la tangente hyperbolique inversée d’un nombre. COS (page 238) Calcule le cosinus d’un angle exprimé en radians. COSH (page 238) Calcule le cosinus hyperbolique d’un nombre. DEGRÉS (page 248) Convertit des radians en degrés.222 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Fonctions statistiques Les fonctions statistiques effectuent des calculs statistiques et requièrent des expressions numériques comme arguments. L’expression numérique peut être un nombre, une référence de cellule ou un intervalle. Sauf mention contraire, les fonctions statistiques renvoient une valeur numérique. Numbers fournit ces fonctions statistiques. RADIANS (page 285) Convertit des degrés en radians. SIN (page 293) Calcule le sinus d’un angle exprimé en radians. SINH (page 294) Calcule le sinus hyperbolique d’un nombre. TAN (page 302) Calcule la tangente d’un angle exprimé en radians. TANH (page 303) Calcule la tangente hyperbolique d’un nombre. Fonction Description Fonction Description ECART.MOYEN (page 231) Calcule la différence moyenne (écart) des points de données à partir de leur moyenne arithmétique. MOYENNE (page 231) Calcule la moyenne arithmétique d’un ensemble de nombres. AVERAGEA (page 231) Calcule la moyenne arithmétique d’un ensemble de valeurs comprenant des nombres, du texte et des valeurs booléennes. INTERVALLE.CONFIANCE (page 236) Calcule une valeur pour créer l’intervalle de confiance statistique d’un échantillon avec une taille donnée à partir d’une population à écart standard connu ; en partant du principe que les valeurs de l’échantillon sont réparties normalement. COEFFICIENT.CORRELATION (page 237) Calcule la corrélation entre deux séries de données d’après une analyse de régression linéaire. NB (page 239) Compte le nombre d’arguments et de cellules référencées contenant des nombres, des expressions numériques ou des dates. NBVAL (page 239) Compte le nombre de cellules non vides d’un intervalle de valeurs. NB.VIDE (page 240) Compte le nombre de cellules vides d’un intervalle de valeurs. NB.SI (page 241) Compte le nombre de cellules répondant à une condition dans un intervalle de valeurs. COVARIANCE (page 245) Calcule la covariance de deux séries de données. PRÉVISION (page 254) Calcule la valeur y (dépendante) correspondant à une valeur x (indépendante) choisie par une analyse de régression linéaire des paires de valeurs connues. ORDONNEE.ORIGINE (page 259) Calcule l’ordonnée d’origine y de la droite de régression d’une série de données par une analyse de régression linéaire. GRANDE.VALEUR (page 264) Extrait la n-ième plus grande valeur d’un intervalle de valeurs. MAX (page 268) Recherche le plus grand nombre d’une série.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 223 MAXA (page 269) Recherche la plus grande valeur dans une série comprenant des nombres, du texte et des valeurs booléennes. MÉDIANE (page 269) Recherche la valeur médiane d’une série de nombres. MIN (page 270) Recherche le plus petit nombre d’une série. MINA (page 270) Recherche la plus petite valeur dans une série comprenant des nombres, du texte et des valeurs booléennes. MODE (page 272) Recherche la valeur la plus récurrente dans une série de nombres. CENTILE (page 277) Recherche la valeur dans un intervalle correspondant à un centile particulier. LOI.POISSON (page 278) Calcule le taux de probabilité d’événements selon la loi de Poisson. PROBABILITE (page 282) Calcule la probabilité d’un intervalle de valeurs si vous connaissez la probabilité individuelle de chaque valeur. RANG (page 286) Recherche le rang d’un nombre dans un intervalle de nombres. PENTE (page 295) Calcule la pente de la droite de régression d’une série de données par une analyse de régression linéaire. PETIT (page 295) Extrait la n-ième plus petite valeur d’un intervalle de valeurs. STDEV (page 296) Calcule l’écart-type d’une série de valeurs en fonction de la variance de l’échantillon (non biaisé). STDEVA (page 297) Calcule l’écart-type d’une série de valeurs, notamment du texte et des valeurs booléennes, en fonction de la variance de l’échantillon (non biaisé). ECARTYPEP (page 297) Calcule l’écart-type d’une série de valeurs en fonction de la variance de la population (vraie). STDEVPA (page 298) Calcule l’écart-type d’une série de valeurs, notamment du texte et des valeurs booléennes, en fonction de la variance de la population (vraie). VAR (page 306) Calcule la variance de l’échantillon (non biaisé) d’un ensemble de nombres. VARA (page 307) Calcule la variance de l’échantillon (non biaisé) d’un ensemble de valeurs, notamment des nombres, du texte et des valeurs booléennes. VAR.P (page 308) Calcule la variance de la population (vraie) d’un ensemble de nombres. VARPA (page 308) Calcule la variance de la population (vraie) d’un ensemble de valeurs, notamment des nombres, du texte et des valeurs booléennes. Fonction Description224 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Fonctions texte Les fonctions texte permettent d’utiliser des chaînes de caractères. Numbers fournissent ces fonctions texte. Fonction Description CAR (page 233) Renvoie le caractère correspondant à un code de caractère Unicode numérique. NETTOYER (page 234) Supprime du texte la plupart des caractères non imprimables les plus courants (codes caractères 0 à 31 Unicode). CODE (page 234) Renvoie le numéro de code Unicode du premier caractère d’une chaîne donnée. CONCATENER (page 236) Concatène des chaînes. EURO (page 249) Convertit un nombre en chaîne sous forme de somme en Euros avec un nombre de décimales donné. EXACT (page 251) Renvoie VRAI si les chaînes d’arguments sont identiques, majuscules comprises. RECHERCHER (page 252) Recherche la position de début d’une chaîne dans une autre, en faisant correspondre les caractères et les majuscules mais en excluant les caractères de remplacement. CTXT (page 253) Arrondit un nombre à un nombre donné de décimales et convertit le résultat en chaîne. GAUCHE (page 265) Extrait le nombre de caractères précisés à partir du bord gauche de la chaîne. NBCAR (page 265) Recherche le nombre de caractères d’une chaîne. MINUSCULE (page 267) Convertit tous les caractères majuscules en minuscules. MILIEU (page 270) Extrait les caractères d’une chaîne en partant d’un point précis. NOM.PROPRE (page 283) Met le premier caractère de chaque mot d’une chaîne en majuscule et tous les autres caractères en minuscules. REMPLACER (page 288) Remplace la partie d’une chaîne par des caractères provenant d’une autre chaîne. REPT (page 288) Reproduit le texte un nombre de fois donné. DROITE (page 289) Extrait le nombre de caractères précisés à partir du bord droit de la chaîne. RRECHERCHER (page 292) Recherche la position de début d’une chaîne dans une autre, sans tenir compte des caractères majuscules mais en acceptant les caractères de remplacement. SUBSTITUE (page 299) Remplace une partie de chaîne par un nouveau texte. T (page 302) Récupère le texte d’une cellule. AJUSTER (page 305) Supprime les espaces dans le texte pour conserver seulement des espaces simples entre les mots. SUPÉRIEUR (page 306) Convertit du texte en majuscules. VALEUR (page 306) Convertit un nombre sous forme de texte en nombre standard.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 225 Descriptions de fonctions Dans cette rubrique, les fonctions sont classées par ordre alphabétique. ABS La fonction ABS calcule la valeur absolue d’un nombre. Le résultat est un nombre positif ou zéro. ABS(nombre)  nombre : nombre, expression numérique ou référence à une cellule contenant une expression numérique. ACCRINT La fonction ACCRINT calcule le total des intérêts courus d’un titre à intérêts périodiques. ACCRINT(émission; premier ordre; liquidation; taux; prix; périodicité; [calcul des jours])  émission : date d’émission du titre.  premier ordre : date du premier paiement des intérêts.  liquidation : date de liquidation, généralement la date de vente du titre.  taux : taux de coupon du titre, exprimé en tant que pourcentage de 0 à 1.  prix : valeur nominale du titre.  périodicité : nombre de règlements de coupons par an 1 signifie des paiements annuels. 2 signifie des paiements semestriels (deux fois par an). 4 signifie des paiements trimestriels (quatre fois par an). Exemples Si la cellule A1 contient 5, ABS(A1) renvoie 5. ABS(8-5) renvoie 3. ABS(5-8) renvoie 3. ABS(0) renvoie 0. Si la cellule A1 est vide, ABS(A1) renvoie 0.226 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). ACCRINTM La fonction ACCRINTM calcule le total des intérêts courus d’un titre payable à échéance. ACCRINTM(émission; liquidation; taux; prix; [calcul des jours])  émission : date d’émission du titre.  liquidation : date de liquidation, généralement la date de vente du titre.  taux : taux de coupon du titre, exprimé en tant que pourcentage de 0 à 1.  prix : valeur nominale du titre.  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). Exemples Si les cellules A1:A7 contiennent 1/1/2000, 1/3/2000, 1/7/2000, 0,10, 1000, 2, 0 : ACCRINT(A1; A2; A3; A4; A5; A6; A7) renvoie 50. Exemples Si les cellules A1:A5 contiennent 1/1/2000, 1/10/2000, 0.10, 1000, 0 : ACCRINTM(A1; A2; A3; A4; A5) renvoie 75.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 227 ACOS La fonction ACOS calcule le cosinus inversé (arccosinus) d’un nombre. À la différence de la fonction COS qui accepte un angle et renvoie son cosinus, la fonction ACOS accepte une valeur de cosinus et renvoie l’angle correspondant. L’angle résultant est une valeur comprise entre 0 et pi radians. ACOS(cos)  cos : valeur de cosinus comprise entre – 1 et 1. Remarques Pour exprimer l’angle résultant en degrés et non en radians, exécutez la fonction DEGRÉS. ACOSH La fonction ACOSH calcule le cosinus hyperbolique inversé d’un nombre. ACOSH(nombre)  nombre : nombre supérieur ou égal à 1. ADRESSE La fonction ADRESSE construit une chaîne d’adresses de cellules en précisant l’identifiant des feuilles, des colonnes et des rangées. ADRESSE(rangée; colonne; [type]; [style]; [feuille])  rangée : numéro de rangée où se trouve l’adresse.  colonne : numéro de colonne où se trouve l’adresse. Exemples ACOS(SQRT(2)/2) renvoie 0.785398163397448, soit approximativement pi/4. ACOS(0,54030230586814) renvoie 1. DEGRÉS(ACOS(,5)) renvoie 60, c’est-à-dire la mesure en degrés d’un angle ayant une valeur de cosinus de 0,5. Exemples ACOSH(10,0676619957778) renvoie 3. ACOSH(COSH(5)) renvoie 5.228 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions  type : facultatif ; valeur indiquant si les numéros de rangée et de colonne sont absolus ou relatifs : 1 ou l’absence de valeur signifie que les numéros de rangée et de colonne sont des références absolues. 2 traite le numéro de rangée comme une référence absolue et le numéro de colonne comme une référence relative. 3 traite le numéro de rangée comme une référence relative et le numéro de colonne comme une référence absolue. 4 traite les numéro de rangée et de colonne comme des références relatives.  style : facultatif ; style d’adresse : Pour les valeurs VRAI, 1 ou l’absence de valeur, l’adresse est mise en forme à l’aide du style A1, la lettre représentant la colonne, et le nombre, la rangée.  feuille : facultatif ; nom de la feuille si le tableau figure sur une autre feuille. ET La fonction ET donne VRAI si tous les arguments sont vrais, et FAUX dans le cas contraire (conjonction logique). ET(expression; [expression; . . .])  expression : expression logique ou numérique ou référence à une cellule contenant une telle expression. Remarques Si expression est numérique, une valeur égale à 0 est interprétée comme la valeur FAUX et toute valeur différente de 0 est interprétée comme la valeur VRAI. Exemples ADRESSE(3;5) crée l’adresse $E$3. ADRESSE(3;5;2) crée l’adresse E$3. ADRESSE(3;5;3) crée l’adresse $E3. ADRESSE(3;5;4) crée l’adresse E3. Exemples ET(VRAI; VRAI) renvoie VRAI car les deux arguments sont vrais. ET(1; 0; 1; 1) renvoie FAUX car l’un des arguments est le chiffre 0, interprété comme FAUX. ET(A5>50;A5<100) renvoie VRAI car la cellule A5 contient un nombre entre 50 et 100.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 229 ZONES La fonction ZONES compte le nombre d’intervalles référencés par la fonction. ZONES(intervalles)  intervalles : une ou plusieurs plages de cellules. Pour indiquer plusieurs intervalles, faites figurer les références dans un deuxième groupe de parenthèses. ASIN La fonction ASIN renvoie l’arccosinus (cosinus inversé) d’un nombre. Alors que la fonction SIN accepte un angle et renvoie le sinus, la fonction ASIN accepte un sinus et renvoie l’angle correspondant. Le résultat est exprimé en radians, dans l’intervalle de – pi/2 à pi/2 (de – 90 à 90 degrés). ASIN(sin)  sin : valeur de sinus comprise comprise entre – 1 et 1. Remarques Pour exprimer l’angle résultant en degrés et non en radians, exécutez la fonction DEGRÉS. ASINH La fonction ASINH calcule le sinus hyperbolique inversé d’un nombre. ASINH(nombre)  nombre : nombre quelconque. Exemples ZONES(A1:F8) renvoie 1. ZONES(C2:C8 B6:E6) renvoie 1. ZONES((A1:F8; A10:F18)) renvoie 2. ZONES((A1:C1; A3:C3; A5:C5)) renvoie 3. Exemples ASIN(0,8411470984807897) renvoie 1, c’est-à-dire la mesure en radians d’un angle (de 57,3 degrés environ) ayant une valeur de sinus de 0,841470985. DEGRÉS(ASIN(,5)) renvoie 30, c’est-à-dire la valeur en degrés d’un angle ayant une valeur de sinus de 0,5. Exemples ASINH(27,2899171971277) renvoie 4. ASINH(SINH(1)) renvoie 1.230 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions ATAN La fonction ATAN calcule la tangente inversée (arctangente) d’un nombre et renvoie la valeur correspondante en radians, dans l’intervalle de – pi/2 à pi/2 (de – 90 à 90 degrés). ATAN(nombre)  nombre : valeur tangente pour laquelle vous souhaitez trouver l’angle correspondant. Remarques Pour exprimer l’angle résultant en degrés et non en radians, exécutez la fonction DEGRÉS. ATAN2 La fonction ATAN2 calcule l’angle, relatif à l’axe des X positif, d’une ligne passant à l’origine d’un point spécifique. L’angle est une valeur comprise entre –pi et pi radians. ATAN(x; y)  x : coordonnée x du point passant par la ligne.  y : coordonnée y du point passant par la ligne. Remarques Pour exprimer l’angle résultant en degrés et non en radians, exécutez la fonction DEGRÉS. ATANH La fonction ATANH calcule la tangente hyperbolique inversée d’un nombre. ATANH(nombre)  nombre : nombre quelconque compris entre – 1 et 1. Exemples ATAN(1) renvoie la mesure d’angle de 0,785398163 radians (45 degrés), dont la tangente est égale à 1. DEGRÉS(ATAN(1)) renvoie 45. Exemples ATAN2(1; 1) renvoie 0,78539816 radians (45 degrés), c’est-à-dire l’angle d’un segment de ligne entre l’origine et le point (1;1). DEGRÉS(ATAN2(5;5)) renvoie 45. Exemples ATANH(0,995054753686731) renvoie 3. ATANH(TANH(2)) renvoie 2.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 231 ECART.MOYEN La fonction ECART.MOYEN calcule la différence moyenne (écart) des points de données à partir de leur moyenne arithmétique. ECART.MOYEN(point de données; [point de données; . . .])  point de données : nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. MOYENNE La fonction MOYENNE calcule la moyenne arithmétique d’un ensemble de nombres. MOYENNE(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Remarques Pour calculer la moyenne, la fonction MOYENNE divise la somme des nombres par le nombre des nombres. Les cellules de tableau contenant des valeurs texte ou des valeurs booléennes (VRAI ou FAUX) sont ignorées. Les valeurs texte fournies en arguments génèrent une erreur. Le texte référencé est ignoré sans avertissement. AVERAGEA La fonction AVERAGEA calcule la moyenne arithmétique d’un ensemble de valeurs comprenant du texte et des valeurs booléennes. AVERAGEA(valeurs; [valeur; . . .])  valeur : valeurs numériques ou booléennes, ou références à des cellules contenant des valeurs numériques, texte ou booléennes. Exemples ECART.MOYEN(2;2;2;4;4;4) renvoie 1. ECART.MOYEN(2;2;2;2;3;3;3;3;4;4;4;4) renvoie 0,6666667. Exemples MOYENNE(4;4;4;6;6;6) renvoie 5. MOYENNE(2;2;2;2;3;3;3;3;4;4;4;4) renvoie 3.232 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Remarques À la différence de la fonction MOYENNE qui ignore les cellules qui ne contiennent pas de nombres, la fonction AVERAGEA affecte la valeur 0 aux valeurs textuelles, la valeur 0 à la valeur booléenne FAUX et 1 à la valeur booléenne VRAI, afin d’inclure ces valeurs dans le calcul. Pour un ensemble de données ne contenant que des nombres, la fonction AVERAGEA renvoie le même résultat que la fonction MOYENNE. PLAFOND La fonction PLAFOND arrondit un nombre au plus petit multiple supérieur du facteur donné. PLAFOND(nombre; facteur)  nombre : nombre, expression numérique ou références à une cellule contenant une expression numérique.  facteur : nombre auquel vous souhaitez arrondir les multiples. facteur doit présenter le même signe que nombre. Remarques Pour effectuer un arrondi au plus petit multiple inférieur, utilisez la fonction PLANCHER. Autres fonctions associées aux nombres d’arrondi : ENT, ARRONDI, ARRONDI.SUP, ARRONDI.INF, TRONQUE. Exemples AVERAGEA(A1:A4) renvoie 2,5 si les cellules A1 à A4 contiennent 4, a, 6, b. Les valeurs texte sont comptées en tant que zéro dans la somme de 10 et incluses dans le compte de valeurs (4). Comparez avec MOYENNE(A1:A4) qui ignore les valeurs texte de la somme de 10, d’un compte de 2 et d’une moyenne de 5. AVERAGEA(A1:A4) renvoie 4 si les cellules A1 à A4 contiennent 5, a, VRAI, 10. La valeur texte compte zéro et VRAI compte 1 pour une somme de 16 et un nombre de valeurs de 4. AVERAGEA(A1:A4) renvoie 0,25 si les cellules A1 à A4 contiennent FAUX, FAUX, FAUX et VRAI. Chaque FAUX compte zéro et VRAI compte 1 pour une somme de 1 et un compte de 4.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 233 CAR La fonction CAR renvoie le caractère correspondant à un code de caractère Unicode numérique. CAR(code numérique)  code numéro : nombre de 1 à 65 535 servant de code pour générer le caractère correspondant. Remarques Tous les numéros ne sont pas associés un caractère imprimable. Pour afficher les jeux de caractères et leurs codes, vous pouvez utiliser la palette de caractères activable dans les préférences International. Vous pouvez utiliser la fonction CODE pour trouver le code numérique d’un caractère spécifique. CHOISIR La fonction CHOISIR utilise une valeur d’index spécifiée pour extraire une valeur particulière d’une série de valeurs. CHOISIR(index; valeur; [valeur; . . .])  index : expression numérique.  valeur : valeurs pouvant être du texte, une expression numérique ou la référence à une cellule. Exemples PLAFOND(0,25;1) renvoie 1. PLAFOND(1,25;1) renvoie 2. PLAFOND(-1,25;-1) renvoie -2. PLAFOND(5;2) renvoie 6. PLAFOND(73;10) renvoie 80. PLAFOND(7;2,5) renvoie 7,5. Exemples CAR(98,6) renvoie « b », qui est représenté par le code 98. CODE("b") renvoie 98.234 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions NETTOYER La fonction NETTOYER supprime du texte la plupart des caractères non imprimables les plus courants (codes caractères Unicode allant de 0 à 31). Elle peut être utile si vous collez à partir d’une autre application contenant des points d’interrogation, espaces, carrés et autres caractères indésirables ou inattendus. NETTOYER(texte)  texte : texte duquel vous souhaitez supprimer des caractères qui ne s’impriment pas. Remarques Il existe certains caractères non imprimables moins courants qui ne peuvent être supprimés à l’aide de la fonction NETTOYER (il s’agit des codes caractère 127, 129, 141, 143, 144 et 157). Pour les supprimer, vous pour utiliser la fonction SUBSTITUE afin de les remplacer par un code compris entre 0 et 31 avant d’exécuter la fonction NETTOYER. Vous pouvez utiliser la fonction AJUSTER pour supprimer les espaces en trop dans du texte. CODE La fonction CODE renvoie le numéro de code Unicode du premier caractère d’une chaîne donnée. CODE(texte)  texte : expression textuelle ou référence à une cellule contenant une expression textuelle. Remarques Pour afficher le code d’un caractère particulier, vous pouvez utiliser la palette de caractères activable dans les préférences International. Vous pouvez utiliser la fonction CAR pour effectuer l’opération opposée de la fonction CODE : convertir un code numérique en caractère texte. Exemples Si les cellules A1:A7 contiennent lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche : CHOISIR(4; A1; A2; A3; A4; A5; A6; A7) renvoie jeudi. CHOISIR(3;"1er";"second";7;"dernier") renvoie 7, troisième valeur de la liste. Exemples Supposons que vous copiiez le texte « a b c d e f » à partir d’une autre application, mais que « a b c ? ?d e f » apparaisse lorsque vous le copiez dans la cellule A1. Vous pouvez tenter d’utiliser la fonction NETTOYER pour supprimer les caractères non voulus : NETTOYER(A1) renvoie « a b c d e f ».Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 235 COLONNE La fonction COLONNE renvoie le numéro de colonne de la cellule spécifiée ou, si aucune cellule n’est spécifiée, le numéro de colonne de la cellule qui contient la fonction. COLONNE([cellule])  cellule : facultatif ; référence à une cellule. En l’absence d’argument, COLONNE renvoie le numéro de colonne de la cellule qui contient la formule. COLONNES La fonction COLONNES compte le nombre de colonnes d’un intervalle de cellules. COLONNES(intervalle de cellules)  intervalle de cellules : plage de cellules d’un tableau. Remarques Si vous sélectionnez une rangée entière pour intervalle de cellules, Numbers renvoie le nombre total de cellules de la rangée, qui est modifié lorsque vous redimensionnez le tableau. COMBIN La fonction COMBIN recherche le nombre de différentes manières de combiner un certain nombre d’éléments dans des groupes de taille spécifique, quel que soit l’ordre interne des groupes. Exemples CODE("A") renvoie 65, code caractère de « A ». CODE("abc") renvoie 97, code caractère de « a ». CAR(97) renvoie « a ». CODE(A3) renvoie « 102 », code caractère de « f ». CODE(" ") renvoie 1488. Exemples COLONNE(B7) renvoie 2, numéro de colonne absolu de la colonne B. COLONNE() renvoie le numéro de colonne de la cellule qui contient la fonction. Exemples COLONNES(B3:D10) renvoie 3, nombre de colonnes de l’intervalle (colonnes B, C et D). COLONNES(5:5) renvoie le nombre total de colonnes de la rangée 5.236 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions COMBIN(éléments; taille)  éléments : nombre total d’éléments pouvant être combinés.  taille : nombre d’éléments combinés dans chaque groupe. Remarques Les combinaisons doivent être distinguées des permutations. L’ordre des éléments d’un groupe est ignoré pour les combinaisons mais est pris en compte pour les permutations. Par exemple, (1; 2; 3) et (3; 2; 1) constituent la même combinaison mais deux permutations uniques. CONCATENER La fonction CONCATENER joint (concatène) au moins deux chaînes de texte. CONCATENER(chaîne1; chaîne2; [chaîne3; . . .])  chaîne1 : chaîne qui devient le premier segment du résultat. Pour inclure une chaîne dans l’argument, enserrez-la dans des guillemets.  chaîne2 : chaîne qui devient le deuxième segment du résultat.  chaîne3 : chaînes supplémentaires à adjoindre aux deux premières. Remarques L’opérateur & permet de concaténer des chaînes. INTERVALLE.CONFIANCE La fonction INTERVALLE.CONFIANCE calcule une valeur pour créer l’intervalle de confiance statistique d’un échantillon avec une taille donnée à partir d’une population à écart standard connu. Elle suppose que les valeurs sont réparties normalement dans l’échantillon. Exemples COMBIN(3; 2) renvoie 3, nombre de groupes uniques que vous pouvez créer si vous commencez avec trois éléments et les regroupez par 2 à la fois. COMBIN(3,2; 2,3) renvoie 3. Les parties décimales ne sont pas prises en compte. COMBIN(5; 2) et COMBIN(5;3) renvoient 10. Exemples Si la cellule A1 contient Lorem et la cellule B1 contient Ipsum, CONCATENER(B1;", ";A1) renvoie « Ipsum, Lorem ». CONCATENER("a"; "b";"c") renvoie « abc ». "a"&"b"&"c" renvoie « abc ».Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 237 INTERVALLE.CONFIANCE(alpha; écart-type; taille)  alpha : probabilité que la valeur réelle de la population se trouve en dehors de l’intervalle. 1 moins alpha est donc le niveau de confiance pour la valeur réelle de population dans l’intervalle centré sur la valeur d’échantillon. Une valeur alpha de 0,05 correspond à un niveau de confiance de 0,95 (95 %).  écart-type : écart-type de la population.  taille : taille de l’échantillon. COEFFICIENT.CORRELATION La fonction COEFFICIENT.CORRELATION calcule la corrélation entre deux séries de données d’après une analyse de régression linéaire. COEFFICIENT.CORRELATION(intervalle-y; intervalle-x)  intervalle-y : plage de cellules contenant la variable dépendante (y).  intervalle-x : plage de cellules contenant la variable indépendante (x). Exemples INTERVALLE.CONFIANCE(0,05; 1; 10) renvoie 0,62. Si la moyenne des valeurs d’échantillon est 100, l’intervalle confiance pour que la moyenne de population se trouve dans l’intervalle de 99,38 à 100,62 est de 95 %. INTERVALLE.CONFIANCE(0,1; 1; 10) renvoie 0,52. Si la moyenne des valeurs d’échantillon est 100, l’intervalle confiance pour que la moyenne de population se trouve dans l’intervalle de 99,48 à 100,52 est de 90 %. INTERVALLE.CONFIANCE(0,05; 1; 20) renvoie 0,44. INTERVALLE.CONFIANCE(0,05; 1; 30) renvoie 0,36. INTERVALLE.CONFIANCE(0,05; 1; 40) renvoie 0,31. Exemples Prenons le tableau suivant : COEFFICIENT.CORRELATION(D2:D7; E2:E7) renvoie 1. COEFFICIENT.CORRELATION(B2:B7; A2:A7) renvoie 0,977265.238 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions COS La fonction COS calcule le cosinus d’un angle exprimé en radians. COS(radian-angle)  angle-radians : nombre représentant un angle exprimé en radians. Remarques Pour utiliser des angles en radians, convertissez les degrés en radians à l’aide de la fonction RADIANS. Voir le deuxième exemple ci-dessous. Pour exprimer des radians en un multiple de pi, utilisez la fonction PI. Consultez le troisième et le quatrième exemple ci-dessous. COSH La fonction COSH calcule le cosinus hyperbolique d’un nombre. COSH(nombre)  nombre : nombre réel quelconque. Exemples COS(1) renvoie 0,540302306, cosinus de 1 radian (57,3 degrés approximativement). COS(RADIANS(60)) renvoie 0,5, cosinus de 60 degrés. COS(PI()/3) renvoie 0,5, pi/3 radians (60 degrés). COS(PI()) renvoie -1, cosinus de pi radians (180 degrés). Exemples COSH(0) renvoie 1. COSH(1) renvoie 1,543. COSH(5) renvoie 74,21. COSH(10) renvoie 11 013,233.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 239 NB La fonction NB compte le nombre d’arguments et de cellules référencées contenant des nombres, des expressions numériques ou des dates. NB(valeur; [valeur; . . .])  valeur : un ou plusieurs nombres. Remarques Pour compter toute cellule contenant n’importe quel type de valeur (c’est-à-dire compter toute cellule non vide), utilisez la fonction NBVAL. NBVAL La fonction NBVAL compte le nombre de valeurs dans ses arguments. NBVAL(valeur; [valeur; . . .])  valeur : référence à des cellules ou argument contenant une valeur. Remarques Pour compter uniquement les cellules ou les arguments comportant des nombres ou des dates, utilisez la fonction NB. Exemples Prenons le tableau suivant : NB(A1:E1) renvoie 5. NB(A2:E2) renvoie 0. NB(A3:E3) renvoie 3. NB(A4:E4) renvoie 0. NB(A5:E5) renvoie 2. NB(1; SOMME(4; 5)) renvoie 2.240 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions NB.VIDE La fonction NB.VIDE compte le nombre de cellules vides dans un intervalle. NB.VIDE(intervalle)  intervalle : plage simple de cellules. Exemples Prenons le tableau suivant : NBVAL(A1:E1) renvoie 5. NBVAL(A2:E2) renvoie 5. NBVAL(A3:E3) renvoie 5. NBVAL(A4:E4) renvoie 5. NBVAL(A5:E5) renvoie 2. NBVAL(1; "a"; VRAI; FAUX) renvoie 4. NBVAL(1; SOMME(4; 5)) renvoie 2. Exemples Prenons le tableau suivant : NB.VIDE(A1:E1) renvoie 0. NB.VIDE(A2:E2) renvoie 1. NB.VIDE(A3:E3) renvoie 2. NB.VIDE(A4:E4) renvoie 1. NB.VIDE(A5:E5) renvoie 5.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 241 NB.SI La fonction NB.SI compte le nombre de cellules d’un intervalle répondant à une condition spécifiée. NB.SI(intervalle-test; condition)  intervalle : plage de cellules à tester.  condition : test conditionnel renvoyant la valeur logique VRAI ou FAUX. Remarques Pour en savoir plus sur les opérateurs de comparaison, reportez-vous à la rubrique « Explication des opérateurs de comparaison » à la page 105. COUPDAYBS La fonction COUPDAYBS compte le nombre de jours du début de la période de liquidation d’un titre jusqu’à sa date de liquidation. COUPDAYBS(liquidation; échéance; périodicité; [calcul des jours])  liquidation : date de liquidation, généralement la date de vente du titre.  échéance : date d’échéance du titre (date à laquelle il arrive à expiration).  périodicité : nombre de règlements de coupons par an 1 signifie des paiements annuels. 2 signifie des paiements semestriels (deux fois par an). 4 signifie des paiements trimestriels (quatre fois par an).  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). Exemples Si les cellules A1:A8 contiennent 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 : NB.SI(A1:A8; "<4") renvoie 3. NB.SI(A1:A8; ">4") renvoie 4. NB.SI(A1:A8; ">=4") renvoie 5.242 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions NB.JOURS.COUPON La fonction COUPDAYBS compte le nombre de jours de la période du coupon au cours de laquelle a lieu la liquidation d’un titre. NB.JOURS.COUPON(liquidation; échéance; périodicité; [calcul des jours])  liquidation : date de liquidation, généralement la date de vente du titre.  échéance : date d’échéance du titre (date à laquelle il arrive à expiration).  périodicité : nombre de règlements de coupons par an 1 signifie des paiements annuels. 2 signifie des paiements semestriels (deux fois par an). 4 signifie des paiements trimestriels (quatre fois par an).  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). Exemples Si les cellules A1:A4 contiennent 1/9/2000, 1/1/2001, 4, 1 : COUPDAYBS(A1; A2; A3; A4) renvoie 62 (nombre de jours depuis le 1er juillet, début de la période du coupon en cours, jusqu’au 1er septembre, sur la base de 31 jours en juillet et août). COUPDAYBS(A1; A2; A3; 0) renvoie 60 (nombre de jours de la même période que dans l’exemple pré- cédent mais sur la base de 30 jours par mois). COUPDAYBS(DATE(2000;7;4); A2; 2; 0) renvoie 3 (nombre de jours du 1er juillet au 4 juillet).Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 243 NB.JOURS.COUPON.SUIV La fonction NB.JOURS.COUPON.SUIV compte le nombre de jours à partir de la date de liquidation d’un titre jusqu’à la fin de la période de coupon durant laquelle se produit la liquidation. COUPDAYBS(liquidation; échéance; périodicité; [calcul des jours])  liquidation : date de liquidation, généralement la date de vente du titre.  échéance : date d’échéance du titre (date à laquelle il arrive à expiration).  périodicité : nombre de règlements de coupons par an 1 signifie des paiements annuels. 2 signifie des paiements semestriels (deux fois par an). 4 signifie des paiements trimestriels (quatre fois par an).  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). Exemples Si les cellules A1:A4 contiennent 1/9/2000, 1/1/2001, 4, 0 : NB.JOURS.COUPON(A1; A2; A3; A4) renvoie 90 (nombre de jours cumulés des mois de juillet, août et septembre sur la base de 30/360 jours). NB.JOURS.COUPON(A1; A2; A3; 1) renvoie 92 (nombre de jours cumulés des mois de juillet, août et septembre sur la base de compte de jours réels par mois et par an). NB.JOURS.COUPON(A1; A2; A3; 2) renvoie 90 (nombre de jours cumulés des mois de juillet, août et septembre sur la base de compte de jours réels par mois/360 jours par an). NB.JOURS.COUPON(A1; A2; A3; 3) renvoie 91.25 (nombre de jours cumulés des mois de juillet, août et septembre sur la base de compte de jours réels par mois/365 jours par an). NB.JOURS.COUPON(A1; A2; A3; 4) renvoie 90 (nombre de jours cumulés des mois de juillet, août et septembre sur la base de 30 jours par mois/360 jours par an).244 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions NB.COUPONS La fonction NB.COUPONS compte le nombre de coupons à payer sur un titre entre la date de liquidation et la date d’échéance. NB.COUPONS(liquidation; échéance; périodicité; [calcul des jours])  liquidation : date de liquidation, généralement la date de vente du titre.  échéance : date d’échéance du titre (date à laquelle il arrive à expiration).  périodicité : nombre de règlements de coupons par an 1 signifie des paiements annuels. 2 signifie des paiements semestriels (deux fois par an). 4 signifie des paiements trimestriels (quatre fois par an).  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). Exemples Si les cellules A1:A4 contiennent 1/9/2000, 1/1/2001, 4, 1 : NB.JOURS.COUPON.SUIV(A1; A2; A3; A4) renvoie 30 (nombre de jours entre le 1er septembre et la prochaine date de coupon, le 1er octobre, sur la base de 30 jours en septembre). NB.JOURS.COUPON.SUIV(DATE(2000;8;1); A2; A3; A4) renvoie 61 (nombre de jours entre le 1er août et la prochaine date de coupon, le 1er octobre, sur la base de 31 jours en août et de 30 jours en septembre). NB.JOURS.COUPON.SUIV(DATE(2000;8;1); A2; A3; 0) renvoie 60 (nombre de jours entre le 1er août et la prochaine date de coupon, le 1er octobre, sur la base de 30 jours en août et de 30 jours en septembre).Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 245 COVARIANCE La fonction COVARIANCE calcule la covariance de deux séries de données. COVARIANCE(intervalle1; intervalle2)  intervalle1 : référence aux cellules contenant le premier jeu de données.  intervalle2 : référence aux cellules contenant le deuxième jeu de données. Les dimensions d’intervalle1 et d’intervalle2 doivent être les mêmes. Remarques Si les deux ensembles de données sont identiques, la covariance est la même que la variance de population. DATE La fonction DATE combine les valeurs d’année, de mois et de jour séparées en une même date. DATE(année; mois; jour)  année : numéro de l’année.  mois : numéro du mois.  jour : numéro du jour. Remarques Les valeurs d’année ne sont pas converties. Si vous indiquez 10, l’année 10 (et non pas l’année 1910 ou 2010) est évaluée. Exemples Si les cellules A1:A4 contiennent 1/2/2000, 1/1/2001, 4, 0 : NB.COUPONS(A1; A2; A3; A4) renvoie 4. NB.COUPONS(DATE(2000;6;1); A2; A3; A4) renvoie 3. NB.COUPONS(DATE(2000;9;1); A2; A3; A4) renvoie 2. NB.COUPONS(DATE(2000;11;1); A2; A3; A4) renvoie 1. Exemples Si intervalle1 (C3:H3) contient 3,4; 3,7; 4; 4,4; 5,1; 5,4 et si intervalle2 (C2:H2) contient 2,1; 3,3; 4,5; 5,5; 6,4; 7,2: COVARIANCE(C3:H3; C2:H2) renvoie 1,234. Exemples DATE(1959,2,14) renvoie la date 14 février 1959 qui s’affichera selon le format de la cellule.246 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions DATEDIF La fonction DATEDIF recherche le nombre de jours, de mois et d’années entre deux dates. DATEDIF(date de début; date de fin; méthode)  date de début : date de début de la période à calculer.  date de fin : date de fin de la période à calculer.  méthode : indique si la différence s’exprime en années, mois ou jours et précise le mode de calcul pour les années ou les mois indiquées : « D » compte les jours entre les dates. « M » compte les mois entre les dates. « Y » compte les années entre les dates. « MD » compte les jours entre le jour de début et le jour de fin du mois, en ignorant les mois et les années. Si la date de début est postérieure à la date de fin, le compte commence à la date de fin comme si celle-ci appartenait au mois précédent. La fonction vérifie si l’année de la date de fin est bissextile. « YM » compte le nombre de mois entiers entre la date de début et la date de fin, sans tenir compte de l’année. Si le mois/jour de début est antérieur au mois/jour de fin, les dates sont traitées comme s’ils appartenaient à la même année. Si le mois/jour de début est postérieur au mois/jour de fin, les dates sont traitées comme s’ils appartenaient à des années consécutives. « YD » compte le nombre de jours entre le mois/jour de début et le mois/jour de fin, en ignorant les années. Exemples Si la cellule A1 contient « 6/4/88 » et A2 contient « 30/10/06 » : DATEDIF(A1;A2;"D") renvoie « 6 781 », c’est-à-dire le nombre de jours entre le 6 avril 1988 et le 30 octobre 2006. DATEDIF(A1;A2;"Y") renvoie 222, c’est-à-dire le nombre de mois entiers entre le 6 avril 1988 et le 30 octobre 2006. DATEDIF(A1;A2;"Y") renvoie 18, c’est-à-dire le nombre d’années entières entre le 6 avril 1988 et le 30 octobre 2006. DATEDIF(A1;A2;"MD") renvoie 24, le nombre de jours entre le sixième jour d’un mois et le trentième jour du même mois. DATEDIF(A1;A2;"YM") renvoie 6, c’est-à-dire le nombre de mois entre avril et octobre sans tenir compte de l’année. DATEDIF(A1;A2;"YM") renvoie 207, c’est-à-dire le nombre de jours entre le 6 avril et le 30 octobre sans tenir compte de l’année. DATEDIF(A1;MAINTENANT();"Y") & " années, " & DATEDIF(A1;MAINTENANT();"YM") & " mois et " & DATEDIF(A1;MAINTENANT();"MD") & " jours" donne l’âge d’une personne née le 6 avril 1988.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 247 JOUR La fonction JOUR extrait le numéro du jour d’une date. JOUR(date-heure)  date-heure : toute date valide acceptée par Numbers. DB La fonction DB calcule l’amortissement d’un actif sur une période donnée à l’aide de la méthode dégressive fixe. DB(coût; récupération; vie; nombre de périodes; [mois de la première année])  coût : coût initial de l’actif.  récupération : valeur de récupération de l’actif.  vie : nombre de périodes d’amortissement de l’actif.  période : période de calcul de l’amortissement.  mois de la première année : facultatif ; nombre de mois de la première année. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 12. Exemples JOUR("6/4/88 11:59:22") renvoie 6. Exemples Si les cellules de l’intervalle A2:E2 contiennent respectivement 1 000, 100, 4, 1 et 12 : DB(A2; B2; C2; D2; E2) renvoie 438 ı. DB(A2; B2; C2; 2; E2) renvoie 246,16 ı. DB(A2; B2; C2; 3; E2) renvoie 138,34 ı. DB(A2; B2; C2; 4; E2) renvoie 77,75 ı. DB(A2; B2; C2; D2; 9) renvoie 328,50 ı. DB(A2; B2; C2; D2; 6) renvoie 219 ı. DB(A2; B2; C2; D2; 3) renvoie 109,50 ı.248 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions AMORDEG La fonction AMORDEG calcule l’amortissement d’un actif selon un taux d’amortissement. Si vous n’indiquez pas de taux, l’amortissement se base sur la méthode à taux dégressif double. AMORDEG(coût; récupération; vie; nombre de périodes; [taux])  coût : coût initial de l’actif.  récupération : valeur de récupération de l’actif.  vie : nombre de périodes d’amortissement de l’actif.  période : période de calcul de l’amortissement. Doit être exprimé dans la même unité que vie.  taux : facultatif ; nombre déterminant le taux d’amortissement. Plus le nombre est élevé, plus l’amortissement est rapide. Si vous n’indiquez pas de taux, l’amortissement se base sur la méthode à taux dégressif double. DEGRÉS La fonction DEGRÉS convertit des radians en degrés. DEGRÉS(radians)  radians : nombre représentant un angle exprimé en radians. Exemples AMORDEG(1000; 100; 4; 1) renvoie 500 ı. AMORDEG(1000; 100; 4; 2) renvoie 250 ı. AMORDEG(1000; 100; 4; 3) renvoie 125 ı. AMORDEG(1000; 100; 4; 4) renvoie 25 ı. AMORDEG(1000; 100; 4; 1; 1) renvoie 250 ı. AMORDEG(1000; 100; 4; 1; 3) renvoie 750 ı. AMORDEG(1000; 100; 4; 2; 3) renvoie 150 ı. AMORDEG(1000; 100; 4; 3; 3) renvoie 0 ı. Exemples DEGRÉS(PI()) renvoie 180 (pi radians = 180 degrés). DEGRÉS(1) renvoie 57,2957795130823, ce qui correspond approximativement au nombre de degrés par radian.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 249 TAUX.ESCOMPTE La fonction TAUX.ESCOMPTE calcule le taux d’escompte d’un titre. TAUX.ESCOMPTE(liquidation; échéance; prix; valeur; [nombre de jours])  liquidation : date de liquidation, généralement la date de vente du titre.  échéance : date d’échéance du titre (date à laquelle il arrive à expiration).  prix : coût du titre pour une valeur nominale de 100 Euros.  valeur : prix de remboursement pour une valeur nominale de 100 Euros.  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). EURO La fonction EURO convertit un nombre en chaîne de caractères indiquant une somme en Euros avec un nombre de décimales donné. EURO(nombre; [décimales])  nombre : nombre à convertir. Il peut s’agir d’un nombre, d’une expression numérique ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique.  décimales : facultatif ; nombre positif représentant le nombre de décimales souhaitées après la virgule. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 2. Un nombre négatif indique le nombre de positions décimales à gauche du séparateur décimal auxquelles appliquer l’arrondi. Remarques La fonction EURO utilise l’arrondi arithmétique standard ; si la décimale la plus significative à supprimer est supérieure ou égale à 5, le résultat est arrondi par excès. Exemples Si les cellules A1:E1 contiennent 1/1/2000, 1/1/2001, 90, 100, 0 : TAUX.ESCOMPTE(A1; B1; C1; D1; E1) renvoie 10 %. TAUX.ESCOMPTE(A1; B1; 80; D1; E1) renvoie 20 %. TAUX.ESCOMPTE(A1; B1; C1; 110; E1) renvoie 18 %.250 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions EDATE La fonction EDATE recherche une autre date un certain nombre de mois avant ou après une date précise. EDATE(date; décalage-mois)  date : date de début de la période à calculer.  décalage-mois : nombre de mois avant ou après date. Le décalage-mois est négatif pour une date antérieure à date. PAIR La fonction PAIR arrondit un nombre au nombre pair supérieur. PAIR(nombre)  nombre : nombre à arrondir. Il peut s’agir d’un nombre, d’une expression numérique ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique. Remarques Pour arrondir à un nombre impair, utilisez la fonction IMPAIR. Exemples EURO(2323,124) renvoie 2 323,12 ı. EURO(2323,125) renvoie 2 323,13 ı. EURO(99,554; 0) renvoie 100 ı. EURO(12; 3) renvoie 12 000 ı. EURO(-12; 3) renvoie (12 000 ı), les parenthèses indiquant une valeur négative. EURO(123; -1) renvoie 120 ı. Exemples EDATE("15/1/2000"; 1) renvoie « 15/2/2000 », c’est-à-dire la date un mois avant. EDATE("15/1/2000"; -24) renvoie 15/1/1998, c’est à dire la date 24 mois plus tard. Exemples PAIR(1) renvoie 2. PAIR(2) renvoie 2. PAIR(2.5) renvoie 4. PAIR(-2.5) renvoie -4. PAIR(0) renvoie 0.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 251 EXACT La fonction EXACT renvoie VRAI si les chaînes d’argument sont identiques du point de vue de la casse et de l’orthographe. EXACT(chaîne1; chaîne2)  chaîne1 : expression textuelle. Pour inclure la chaîne en tant qu’argument, placez-la entre guillemets.  chaîne2 : seconde expression textuelle. EXP La fonction EXP calcule e à la puissance d’un nombre. EXP(nombre)  nombre : puissance à laquelle vous souhaitez élever e. Il peut s’agir d’un nombre, d’une expression numérique ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique. FACT La fonction FACT calcule la factorielle d’un nombre autre que négatif. FACT(nombre)  nombre : nombre non négatif. Remarques Si nombre contient une partie décimale, elle est tronquée avant le calcul. Exemples EXACT("toledo"; "toledo") renvoie VRAI. EXACT("Toledo"; "toledo") renvoie FAUX. EXACT(toledo"; "tol" & "edo") renvoie VRAI. Exemples EXP(1) renvoie 2,71828182845905, approximation de e. EXP(LN(5)) renvoie 5. EXP est la fonction inverse de LN. Exemples FACT(5) renvoie 120 ou 1 * 2 * 3 * 4 * 5. FACT(0) renvoie 1. FACT(4,5) renvoie 24. La partie décimale est supprimée et 4! est calculé. FACT(-1) renvoie une erreur, car le nombre ne doit pas être négatif.252 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions FAUX La fonction FAUX renvoie la valeur booléenne FAUX. Elle est incluse pour vous permettre d’utiliser des feuilles de calcul créées avec d’anciens tableurs. Pour indiquer la valeur booléenne FAUX, il suffit de taper le mot faux (sans guillemets) dans une cellule ou un argument de fonction. FAUX()  Sans argument (les parenthèses sont obligatoires). Remarques Au lieu d’utiliser la fonction FAUX(), vous pouvez taper le mot FAUX directement dans une cellule ou une formule. RECHERCHER La fonction RECHERCHER recherche la position de début d’une chaîne dans une autre. La casse est différenciée et les espaces sont comptés lors de la recherche. Les caractè- res génériques ne sont pas autorisés. RECHERCHER(cible; chaîne; [début])  cible : texte à trouver. Si vous incluez le texte comme argument, faites-le figurer entre guillemets.  chaîne : texte à rechercher. Si vous incluez le texte comme argument, faites-le figurer entre guillemets.  début : facultatif ; nombre indiquant la position du caractère dans la chaîne cible dans laquelle vous souhaitez lancer la recherche. Si l’argument est omis, la recherche commence avec le premier caractère de cible. Remarques Pour utiliser des caractères génériques dans votre recherche, optez pour la fonction RRECHERCHER. Exemples FAUX() renvoie la valeur booléenne FAUX. ET(1;FAUX()) renvoie la valeur booléenne FAUX. Exemples RECHERCHER("u";"sur la terre") renvoie 2 (« u » est le deuxième caractère de la chaîne « sur la terre »). RECHERCHER("e";"sur la terre"; 8) renvoie 11 (le second « e » de terre est le premier « e » trouvé à partir du caractère 8).Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 253 CTXT La fonction CTXT arrondit un nombre au nombre de décimales spécifiées, puis convertit le résultat en texte. CTXT(nombre; [décimales]; [virgules])  nombre : valeur numérique.  décimales : facultatif ; nombre de décimales souhaitées dans le résultat.  virgules : valeur booléenne facultative ; indique si des séparateurs de position sont utilisés dans la partie entière du nombre résultant. FAUX ou 0 n’affiche pas de séparateurs de position dans le nombre obtenu. VRAI, 1 ou l’absence de valeur inclut des séparateurs de position dans le nombre obtenu. PLANCHER La fonction PLANCHER arrondit un nombre au plus petit multiple inférieur du facteur donné. PLANCHER(nombre; facteur)  nombre : nombre, expression numérique ou référence à une cellule contenant une expression numérique.  facteur : nombre auquel vous souhaitez arrondir les multiples. facteur doit présenter le même signe que nombre. Remarques Pour arrondir un nombre au plus petit multiple supérieur et non pas au plus grand multiple inférieur, utilisez la fonction PLAFOND. Autres fonctions associées aux nombres d’arrondi : ENT, ARRONDI, ARRONDI.SUP, ARRONDI.INF, TRONQUE. Exemples CTXT(6789,123; 2) renvoie « 6 789,12 ». CTXT(6789,123; 1; 1) renvoie « 6 789,1 ». CTXT(6789,123; -2) renvoie « 6 800 ». CTXT(12,4; 0) renvoie « 12 ». CTXT(12,5; 0) renvoie « 13 ». CTXT(4; -1) renvoie « 0 ». CTXT(5; -1) renvoie « 10 ».254 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions PRÉVISION La fonction PRÉVISION utilise l’analyse de régression linéaire des paires de valeurs connues pour trouver la valeur y (dépendante) correspondant à une valeur x (indépendante). PRÉVISION(x; valeurs-y; valeurs-x)  x : valeur x pour laquelle vous souhaitez trouver une valeur y correspondante.  valeurs y : plage de cellules contenant les valeurs y connues. Doit être de même taille que valeurs x.  valeurs x : plage de cellules contenant les valeurs x connues. Remarques Les fonctions PENTE et ORDONNÉE.ORIGINE permettent de trouver l’équation utilisée pour le calcul des valeurs de prévision. VALFUT La fonction VALFUT calcule la valeur capitalisée d’un investissement d’après une série de versements périodiques supplémentaires et fixes, le taux d’intérêt et le nombre de périodes. VALFUT signifie Valeur Calculée. Exemples PLANCHER(0,25;1) renvoie 0. PLANCHER(1,25;1) renvoie 1. PLANCHER(5;2) renvoie 4. PLANCHER(73;10) renvoie 70. PLANCHER(-0,25;-1) renvoie 0. PLANCHER(9;2,5) renvoie 7,5. Exemples Prenons le tableau suivant : PRÉVISION(9; A3:F3; A2:F2) renvoie 19.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 255 VALFUT(taux; nombre de périodes; [versement]; [valeur actualisée]; [échéance])  taux : taux d’intérêt par période.  nombre de périodes : nombre de périodes.  versement : facultatif ; versement supplémentaire à effectuer par période et exprimé sous forme de nombre négatif. Si cet argument est omis, indiquezvaleur actualisée.  valeur actualisée : facultatif ; valeur actualisée de l’investissement, indiquée sous forme de nombre négatif.  échéance : facultatif ; indique si les règlements sont dus en début ou en fin de période : 0 (ou absence de valeur) signifie que les règlements ont lieu à la fin de chaque période. 1 signifie que les règlements ont lieu au début de chaque période. PGCD La fonction PGCD trouve le plus grand commun diviseur des nombres spécifiés. Parfois appelé plus grand facteur commun, le PGCD est l’entier le plus élevé qui divise chacun des nombres sans reste. PGCD(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombres positifs, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques positifs. Remarques Tous les arguments doivent être supérieurs ou égaux à zéro. RECHERCHEH La fonction RECHERCHEH extrait une valeur d’une plage de rangées en utilisant les valeurs de la rangée supérieure comme base pour déterminer une colonne, puis le numéro de la rangée où se trouve la valeur. Vous pouvez choisir de rechercher l’occurrence la plus proche ou une occurrence exacte. Exemples VALFUT(5%;10;-300;-3000,0) calcule la valeur d’un investissement initial de 3 000 Euros sur 10 ans avec un règlement ajouté de 300 Euros chaque fin d’année, à un taux annuel de 5 %. Dans cet exemple, la valeur capitalisée est « 8 660,05 ı » (pour un format numérique avec une précision à deux décimales). Exemples PGCD(8; 10) renvoie 2. PGCD(99; 102; 105) renvoie 3. PGCD(34; 51) renvoie 17.256 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions CONSH(valeur de recherche, intervalle de cellules, rang, [correspondance exacte])  valeur de recherche : valeur que vous souhaitez rechercher dans la rangée supérieure afin de choisir une colonne. Peut être numérique, texte ou logique.  intervalle de cellules : plage de cellules contenant les données. La rangée supérieure contient les données à rechercher ; les rangées restantes contiennent des valeurs à récupérer.  rangée : expression numérique qui indique la rangée contenant la valeur à extraire. La rangée supérieure de l’intervalle de cellules est la rangée 1.  correspondance exacte : valeur booléenne facultative ; détermine si une occurrence exacte est requise : VRAI, 1 ou l’absence de valeur sélectionne la colonne dont la valeur de rangée supérieure la plus élevée est inférieure à la valeur de recherche si aucune occurrence exacte n’est trouvée. FAUX ou 0 renvoie une erreur s’il n’existe aucune occurrence exacte. HEURE La fonction HEURE extrait l’heure à partir d’une valeur date/heure. L’heure est représentée par un nombre entre 0 et 23 dans un système de 24 heures. Exemples Prenons le tableau suivant : RECHERCHEH(20;A1:E4;2) renvoie « E ». RECHERCHEH(39;A1:E4;2) renvoie « E ». RECHERCHEH("M";A2:E4;2) renvoie « dolor ». RECHERCHEH("C";A2:E3;2) renvoie « lorem ». RECHERCHEH("blandit";A3:E4;2) renvoie « 5 ». RECHERCHEH("C";A2:E4;3; VRAI) renvoie « 1 ». RECHERCHEH("C";A2:E4;3; FAUX) indique que la valeur est introuvable (car il n’existe pas d’occurrence exacte).Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 257 HEURE(date-heure)  date-heure : toute date valide acceptée par Numbers. LIEN_HYPERTEXTE La fonction LIEN_HYPERTEXTE crée un lien qui ouvre une page web ou une fenêtre permettant d’élaborer un courrier électronique. LIEN_HYPERTEXTE(url; [texte-lien])  url : adresse URL standard.  texte-lien : facultatif ; texte s’affichant comme lien dans la cellule. Si vous omettez cet argument, l’URL est utilisé comme texte du lien. SI La fonction SI renvoie la valeur VRAI ou FAUX selon que l’expression spécifiée est vérifiée ou non. SI(expression; [si vrai]; [si faux])  expression : expression logique ou numérique ou référence à une cellule contenant une telle expression.  si vrai : facultatif ; valeur renvoyée si condition est vraie. Si cet argument est omis (pas de virgule), renvoie 1. Si l’argument est vide (virgule sans valeur), renvoie VRAI.  si faux : facultatif ; valeur renvoyée si condition est fausse. Si cet argument est omis (pas de virgule), l’expression si vrai est renvoyée. Si l’argument est vide (virgule sans valeur), renvoie FAUX. Remarques Si condition est une expression numérique, une valeur égale à 0 est interprétée comme fausse et toute valeur différente de 0 est interprétée comme vraie. Exemples HEURE(MAINTENANT()) renvoie l’heure actuelle du jour. HEURE("6/4/88 11:59:22") renvoie 11. Exemples LIEN_HYPERTEXTE("http://www.apple.com/fr";"Apple") crée un lien d’après le texte Apple qui ouvre le navigateur web par défaut sur la page principale d’Apple. LIEN_HYPERTEXTE("mailto:jeandurand@exemple.com?subject=Demande de devis"; "Obtenir un devis") crée un lien avec le texte Obtenir un devis qui s’affiche dans l’application de courrier électronique par défaut et adresse un nouveau message à jeandurand@exemple.com avec l’objet Obtenir un devis.258 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions INDEX La fonction INDEX extrait la valeur se trouvant dans la cellule à l’intersection d’une rangée et d’une colonne données parmi une plage de cellules. Vous indiquez l’emplacement en spécifiant le nombre de rangées vers le bas et le nombre de colonnes vers la droite par rapport à l’angle supérieur gauche de l’intervalle. INDEX(intervalle de cellules; [rangée]; [colonne]; [zone])  intervalle de cellules : intervalle ou liste d’intervalles contenant les valeurs à renvoyer. Si plusieurs intervalles sont indiqués (dans une liste entre parenthèses), l’argument zone indique l’intervalle duquel vous souhaitez extraire un résultat.  rangée : facultatif ; numéro de rangée de la cellule, de la cellule située le plus haut vers le bas, dans la plage de cellules numérotée 1. Si cet argument est omis, incluez colonne.  colonne : facultatif ; numéro de colonne de la cellule, à compter de la cellule la plus à gauche vers la droite, dans la plage de cellules numérotée 1. Si cet argument est omis, incluez rangée.  zone : facultatif ; numéro de la zone de intervalles de cellules s’il y en a plusieurs. Exemples SI(A5>=0; "Non négatif";"Négatif") renvoie le texte « Non négatif » si la cellule A5 contient un nombre supérieur ou égal à zéro. Autrement, le texte « Négatif » est renvoyé. SI(ET(A8;A9);1;0) fonctionne comme l’opération booléenne ET. La fonction renvoie la valeur numérique 1 car les cellules A8 et A9 contiennent 1 mais renvoie la valeur 0 si l’une ou l’autre cellule contient 0. Exemples Prenons le tableau suivant : INDEX(B2:E5;1;1) renvoie 2. INDEX(B2:E5;3;2) renvoie 1 024. INDEX(B2:E5;2;3) renvoie 128. INDEX(B2:E5;1;5) renvoie une erreur car l’intervalle ne contient que quatre colonnes.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 259 INDIRECT La fonction INDIRECT renvoie une référence à une adresse indiquée sous forme de chaîne. INDIRECT(adresse, [style])  adresse : chaîne représentant une adresse de cellule ou une référence à une cellule qui contient une adresse de cellule.  style : Facultatif ; style de l’adresse utilisée dans adresse. VRAI, 1 ou absent indique le style d’adresse A1 . FAUX ou 0 renvoie une erreur qui indique que le style R1C1 n’est pas pris en charge. ENT La fonction ENT renvoie le nombre entier inférieur ou égal le plus proche du nombre. ENT(nombre)  nombre : nombre à convertir en une valeur entière. Il peut s’agir d’un nombre, d’une expression numérique ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique. Remarques Autres fonctions associées aux nombres d’arrondi : PLAFOND, ARRONDI, ARRONDI.SUP, ARRONDI.INF, TRONQUE. ORDONNEE.ORIGINE La fonction ORDONNEE.ORIGINE calcule l’ordonnée d’origine y de la droite de régression d’une série de données par une analyse de régression linéaire. Exemples Si la cellule A1 contient 99 et si la cellule A20 contient A1 : INDIRECT(A20) renvoie 99, c’est-à-dire le contenu de la cellule A1. Exemples ENT(1,49) renvoie 1. ENT(1,50) renvoie 1. ENT(1,23456) renvoie 1. ENT(1111,222) renvoie 1111. ENT(-2,2) renvoie -3. ENT(-2,8) renvoie -3.260 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions ORDONNEE.ORIGINE(intervalle-y; intervalle-x)  intervalle-y : liste de valeurs de la variable y qui en dépend. Doit présenter les mêmes dimensions qu’intervalle-x.  intervalle-x : plage de cellules contenant les valeurs pour la variable indépendante x. Doit présenter les mêmes dimensions qu’intervalle-y. Remarques Pour trouver la pente de la droite de régression, utilisez la fonction PENTE. INTPER La fonction INTPER calcule la part d’intérêt du remboursement d’un prêt ou du versement pour un investissement pour une durée donnée basée sur versement périodique et un taux d’intérêt fixes. INTPER(taux; période; nombre de périodes; valeur actualisée; [valeur capitalisée]; [échéance])  taux : taux d’intérêt par période.  période : période de calcul de l’intérêt.  nombre de périodes : nombre de périodes pendant la durée de vie de l’investissement.  valeur actualisée : valeur actualisée de l’emprunt ou de l’investissement.  valeur capitalisée : facultatif ; valeur capitalisée cible s’il s’agit d’un investissement. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 0.  échéance : facultatif ; indique si les règlements sont effectués en début ou en fin de période : 0 (ou absence de valeur) signifie que les règlements ont lieu à la fin de chaque période. 1 signifie que les règlements ont lieu au début de chaque période. Exemples Prenons le tableau suivant : ORDONNEE.ORIGINE(A2:F2; A1:F1) renvoie 1. PENTE(A2:F2; A1:F1) renvoie 2. ORDONNEE.ORIGINE(A5:F5; A4:F4) renvoie 2,392.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 261 Remarques Vérifiez que le taux d’intérêt est exprimé par période. Par exemple, si le taux d’intérêt est de 10 % par an et que la périodicité de paiement est mensuelle, le taux utilisé dans la fonction doit être 0,1/12 (approximativement 0,00833 par mois). TRI La fonction TRI calcule le taux interne de retour d’un investissement basé sur une série de mouvements irréguliers et non sur un revenu à intérêt fixe. Le taux renvoyé est le taux donnant la valeur nette actuelle d’un ensemble de mouvements nuls. TRI(intervalle des mouvements; [estimation])  intervalle des mouvements : plage de cellules contenant la valeur des mouvements. Les valeurs positives représentent un revenu. Les valeurs négatives représentent des dépenses. Toutes les valeurs représentent des intervalles temporels égaux.  estimation : facultatif ; estimation initiale du taux de retour. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 10 %. Ajustez l’estimation si la fonction TRI ne renvoie pas de résultat. ESTVIDE La fonction ESTVIDE renvoie VRAI si la cellule spécifiée est vide, et FAUX dans le cas contraire. ESTVIDE(cellule)  cellule : référence à une cellule du tableau. Exemples Pour trouver la partie d’intérêt du premier paiement pour un emprunt de 1 000 Euros à 12 % l’an avec des règlements en fin de mois : INTPER(0,12/12; 1; 12; 1000) renvoie – 10 ı. Exemples Si les cellules A1:F1 contiennent -1000, 50, 50, 50, 50, 1050 : TRI(A1:F1) renvoie 5 %, taux de retour si vous investissez 1 000 Euros et recevez 50 Euros par an pendant quatre ans, avec un règlement final de 1 050 Euros la cinquième année. Pour trouver le taux de retour si vous achetez une machine 20 000 Euros, l’utilisez pendant cinq ans en générant 8 000 Euros par an et la vendez 2 000 Euros à la fin de la cinquième année, saisissez - 20 000; 8 000, 8 000, 8 000, 8 000 et 10 000 dans les cellules A1:A6 et utilisez la formule TRI(A1:A6). La valeur 30,06 % est renvoyée.262 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions ESTERREUR La fonction ESTERREUR renvoie VRAI si la formule de la cellule spécifiée (ou de l’argument de la fonction) fait état d’une erreur, FAUX dans le cas contraire. ESTERREUR(cellule)  cellule : référence à une cellule d’un tableau contenant une formule. ESTPAIR La fonction ESTPAIR renvoie VRAI si la valeur est paire (aucun reste quand la valeur est divisée par 2) et FAUX, dans le cas contraire. ESTPAIR(number)  nombre : nombre, expression numérique ou référence à une cellule contenant une expression numérique. Remarques La partie décimale du nombre est ignorée. Les dates ne sont ni paires ni impaires ; si valeur est une date, une erreur est renvoyée. Exemples Prenons le tableau suivant : ESTVIDE(A1) renvoie VRAI. ESTVIDE(B2) renvoie FAUX. Exemples Si la cellule A1 contient =QUOTIENT(3;0) : ESTERREUR(A1) renvoie VRAI. (la division par 0 est impossible.) Exemples ESTPAIR(2) renvoie VRAI. ESTPAIR(2,75) renvoie VRAI. ESTPAIR(3) renvoie FAUX.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 263 ESTIMPAIR La fonction ESTIMPAIR renvoie VRAI si la valeur est impaire (la division de cette valeur par 2 donne un reste) et FAUX, dans le cas contraire. ESTIMPAIR(number)  nombre : nombre, expression numérique ou référence à une cellule contenant une expression numérique. Remarques La partie décimale du nombre est ignorée. Les dates ne sont ni paires ni impaires ; si valeur est une date, une erreur est renvoyée. ISPMT La fonction ISPMT calcule les intérêts dus sur une période de versement donnée pour un investissement. ISPMT(taux; période; nombre de périodes; valeur actualisée)  taux : taux d’intérêt par période.  période : période de calcul de l’intérêt.  nombre de périodes : nombre de périodes pendant la durée de vie de l’investissement.  valeur actualisée : valeur actualisée de l’emprunt ou de l’investissement. Remarques Cette fonction, qui duplique la fonction INTPER, permet d’utiliser des feuilles de calcul d’anciens tableurs. Assurez-vous que le taux d’intérêt est exprimé en tant que taux par période. Par exemple, si le taux d’intérêt est de 10 % par an et que la périodicité de paiement est mensuelle, le taux utilisé dans la fonction doit être 0,1/12 (approximativement 0,00833 par mois). Exemples ESTIMPAIR(3) renvoie VRAI. ESTIMPAIR(3,75) renvoie VRAI. ESTIMPAIR(2) renvoie FAUX. Exemples Pour trouver la partie d’intérêt du premier paiement pour un emprunt de 1 000 Euros à 12 % l’an avec des règlements en fin de mois : INTPER(0,12/12; 1; 12; 1000) renvoie – 10 ı.264 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions GRANDE.VALEUR La fonction GRANDE.VALEUR récupère la nième plus grande valeur d’un intervalle. La plus grande valeur est classée en numéro 1. GRANDE.VALEUR(intervalle; n)  intervalle : plage de cellules contenant les valeurs.  n : numéro qui représente le classement de la valeur à récupérer (1 correspond à la plus grande valeur, 2 à la suivante, et ainsi de suite). Remarques Si n est omis, est inférieur ou égal à ou supérieur au nombre de valeur dans l’intervalle, une erreur est renvoyée. PPCM La fonction PPCM trouve le plus petit commun multiple des nombres spécifiés. Le plus petit commun multiple est le plus petit entier qui est multiple des nombres spécifiés. PPCM(nombre; [nombre; . . .])  nombre : zéro ou un ou plusieurs nombres positifs, expressions numériques ou réfé- rences à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques positifs. La partie décimale des nombres est ignorée. Les nombres négatifs ne sont pas admis. Exemples Prenons le tableau suivant : GRANDE.VALEUR(A2:E2; 1) renvoie 50, valeur la plus élevée de la plage. GRANDE.VALEUR(A2:E2; 2) renvoie 40, deuxième valeur la plus élevée de la plage. GRANDE.VALEUR(A2:E2; 5) renvoie 10, cinquième valeur la plus élevée de la plage. GRANDE.VALEUR(A2:E2) génère une erreur ; indiquez n. GRANDE.VALEUR(A2:E2; 0) génère une erreur ; n doit être supérieur à 0. GRANDE.VALEUR(A2:E2; 6) génère une erreur ; il n’est pas possible de trouver la sixième valeur d’après cinq valeurs.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 265 GAUCHE La fonction GAUCHE extrait le nombre de caractères précisés à partir de l’extrémité gauche de la chaîne. GAUCHE(texte; [longueur])  texte : expression textuelle.  longueur : facultatif ; nombre de caractères à récupérer. Si cet argument est omis, le caractère le plus à gauche est récupéré. NBCAR La fonction NBCAR compte le nombre de caractères dans une chaîne. L’opération inclut tous les espaces, nombres et caractères. NBCAR(texte)  texte : expression textuelle. LN La fonction LN calcule le logarithme népérien d’un nombre, puissance à laquelle e doit être élevé pour produire le nombre. LN(nombre)  nombre : nombre positif, expression numérique ou référence à une cellule contenant une expression numérique positive. Exemples PPCM(2; 3) renvoie 6. PPCM(34; 68) renvoie 68. PPCM(30; 40; 60) renvoie 120. PPCM(30,25; 40,333; 60,5) renvoie 120 (les parties décimales sont ignorées). PPCM(2; -3) fait état d’une erreur (les nombres négatifs n’étant pas autorisés). Exemples GAUCHE("un deux trois", 2) renvoie « un ». GAUCHE("abc") renvoie « a ». Exemples NBCAR("12345") renvoie 5. NBCAR(" abc def ") renvoie 15, somme des six caractères, des trois espaces de début, des trois espaces de fin et des trois espaces de séparation.266 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions LOG La fonction LOG calcule le logarithme d’un nombre dans une base. LOG(nombre; [base])  nombre : nombre positif.  base : facultatif ; nombre positif différent de 1. En l’absence de cet argument, la valeur par défaut est 10. LOG10 La fonction LOG10 calcule le logarithme d’un nombre en base 10. LOG10(nombre)  nombre : nombre positif. Remarques Pour trouver le logarithme dans une base autre que la base 10, utilisez la fonction LOG. RECHERCHE La fonction RECHERCHE recherche une occurrence par rapport à une valeur de recherche dans un intervalle, puis extrait la valeur dans la cellule avec la même position relative dans un second intervalle. Exemples LN(2,71828) renvoie approximativement 1, puissance à laquelle e doit être élevé pour produire 2,71828. LN(EXP(1)) renvoie 1. LN est la fonction inverse de EXP. Exemples LOG(8; 2) renvoie 3. LOG(100; 10) et LOG(100) renvoient 2. LOG(5,0625; 1,5) renvoie 4. Exemples LOG10(1) renvoie 0. LOG10(10) renvoie 1. LOG10(100) renvoie 2. LOG10(1000) renvoie 3.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 267 RECHERCHE(valeur de recherche; intervalle de recherche; intervalle de résultat)  valeur de recherche : expression textuelle ou numérique à rechercher dans l’intervalle de recherche.  intervalle de recherche : plage de cellules dans laquelle vous souhaitez rechercher la valeur.  intervalle de résultat : facultatif ; si cet argument n’est pas indiqué, le résultat est renvoyé à partir du dernier rang ou de la dernière colonne de l’intervalle de recherche et la plus grande dimension est adoptée. MINUSCULE La fonction MINUSCULE convertit les majuscules en minuscules. MINUSCULE(texte)  texte : expression textuelle ou référence à une cellule contenant une expression textuelle. CORRESPONDRE La fonction CORRESPONDRE trouve la position d’une valeur dans un intervalle de rangées ou de colonnes. La numérotation des cellules commence à 1 pour la cellule supé- rieure ou la cellule gauche dans l’intervalle vertical et l’intervalle horizontal, respectivement. Les recherches s’effectuent de haut en bas et de gauche à droite. CORRESPONDRE(valeur de recherche; intervalle de cellules; [méthode])  valeur de recherche : expression textuelle ou numérique recherchée.  intervalle de cellules : plage de cellules sur une rangée ou une colonne. Exemples Prenons le tableau suivant : RECHERCHE("C"; A1:F1; A2:F2) renvoie 30. RECHERCHE(40; A2:F2; A1:F1) renvoie D. RECHERCHE("B"; A1:C1; D2:F2) renvoie 50. Exemples MINUSCULE("MAJUSCULES") renvoie « majuscules ». MINUSCULE("Minuscules") renvoie « minuscules ». MINUSCULE("MiXtE") renvoie « mixte ».268 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions  méthode : facultatif ; indique le mode de mise en correspondance de la valeur : 1 (ou absence de valeur) correspond à la cellule contenant la valeur la plus élevée inférieure ou égale à valeur de recherche. 0 correspond à la première cellule dont la valeur correspond exactement à valeur de recherche. –1 correspond à la cellule contenant la valeur la plus faible supérieure ou égale à valeur de recherche. Remarques Lors de la recherche de texte, la casse n’est pas différenciée. CORRESPONDRE ne fonctionne que sur un intervalle appartenant à une rangée ou à une colonne ; vous pouvez l’utiliser pour effectuer une recherche dans un tableau à deux dimensions. MAX La fonction MAX recherche le plus grand nombre d’une série. MAX(nombre; [nombre; . . .])  nombre : série de nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Exemples Prenons le tableau suivant : CORRESPONDRE(40; A1:A5) renvoie 4. CORRESPONDRE(40; E1:E5) renvoie 1. CORRESPONDRE(35; E1:E5; 1) renvoie 3 (30 est la valeur la plus grande inférieure ou égale à 35). CORRESPONDRE(35; E1:E5; -1) renvoie 1 (40 est la valeur la plus petite supérieure ou égale à 35). CORRESPONDRE(35; E1:E5; 0) fait état d’une erreur (aucune correspondance exacte ne peut être trouvée).Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 269 Remarques Les cellules contenant des valeurs non numériques sont ignorées. MAXA La fonction MAXA recherche le plus grand nombre d’une série de valeurs. En plus des valeurs numériques, les valeurs texte et la valeur logique FAUX comptent en tant que 0, et la valeur logique VRAI compte en tant que 1. MAXA(valeur; [valeur; . . .])  valeur : série de nombres ou d’expressions numériques ou références à des cellules contenant des expressions numériques ou textuelles ou des valeurs booléennes. Remarques Le texte saisi directement dans les arguments renvoie une erreur. MÉDIANE La fonction MÉDIANE trouve la valeur médiane dans une série de nombres. La valeur médiane est la valeur « centrale » dans le sens où la moitié des nombres de la série est inférieure à la valeur médiane et l’autre moitié des nombres est supérieure. MÉDIANE(nombre; [nombre; . . . ])  nombre : série de nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Remarques Si la série comporte un nombre pair de valeurs, la fonction MÉDIANE renvoie la moyenne des deux valeurs du milieu. Exemples MAX(5; 5; 5; 5; 6) renvoie 6. MAX(1; 2; 3; 4; 5) renvoie 5. Exemples MAXA(1; 2; 3; 4) renvoie 4. MAXA(A1:C1), lorsque les cellules A1:C1 contiennent -1, -10, bonjour, renvoie 0. Exemples MÉDIANE(1; 2; 3; 4; 5) renvoie 3. MÉDIANE(1; 2; 3; 4; 5; 6) renvoie 3,5. MÉDIANE(5; 5; 5; 5; 6) renvoie 5.270 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions MILIEU La fonction MILIEU extrait le nombre de caractères précisés d’une chaîne commençant à la position indiquée. MILIEU(texte; début; longueur)  texte : expression textuelle.  début : position du premier caractère à extraire. Le chiffre 1 correspond au premier caractère de la chaîne.  longueur : nombre de caractères à extraire. MIN La fonction MIN recherche le nombre le plus faible dans la liste d’arguments. MIN(nombre; [nombre; . . .])  nombre : série de nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Remarques Les cellules qui ne contiennent pas de nombres sont ignorées. MINA La fonction MINA recherche le plus petit nombre d’une série de valeurs. En plus des valeurs numériques, les valeurs texte et la valeur logique FAUX comptent en tant que 0, et la valeur logique VRAI compte en tant que 1. MINA(valeur; [valeur; . . .])  valeurs : série de nombres ou d’expressions numériques ou références à des cellules contenant des expressions numériques ou textuelles ou des valeurs booléennes. Les valeurs de texte sont considérées comme nulles. Exemples MILIEU("lorem ipsum dolor sit amet",7, 5) renvoie « ipsum ». MILIEU("1234567890",4,3) renvoie « 456 ». MILIEU("raccourcir", 5, 20) renvoie « ourcir ». Exemples MIN(5; 5; 5; 5; 6) renvoie 5. MIN(1; 2; 3; 4; 5) renvoie 1.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 271 Remarques Le texte saisi directement dans les arguments renvoie une erreur. MINUTE La fonction MINUTE extrait les minutes d’une date ou d’une heure. MINUTE(date-heure)  date-heure : valeur quelconque de date ou d’heure Numbers valide. TRIM La fonction TRIM calcule le taux de rentabilité interne modifié pour une série de mouvements périodiques. TRIM est l’acronyme de taux de rentabilité interne modifié. TRIM(mouvements- , taux de financement, taux de réinvestissement)  mouvements : mouvements de trésorerie prévus. Les valeurs sont des intervalles ou des tableaux.  taux de financement : taux d’intérêt des mouvements de trésorerie.  taux de réinvestissement : taux de réinvestissement des mouvements positifs. MOD La fonction MOD calcule le reste d’une division. MOD(nombre; diviseur)  nombre : dividende. Il s’agit d’un nombre, d’une référence de cellule ou du résultat d’une opération arithmétique.  diviseur : tout nombre sauf 0. Le signe du résultat correspond à celui du dividende, quel que soit le signe du diviseur. Exemples MINA(1; 2; 3; 4) renvoie 1. MINA(A1:C1), lorsque les cellules A1:C1 contiennent -1, -10, bonjour, renvoie -10. MINA(A1:C1), lorsque les cellules A1:C1 contiennent 1, 10, bonjour, renvoie 0. Exemples MINUTE("6/4/88 11:59:22") renvoie 59. Exemples TRIM({-5000; 2000; 4000; -2000; 5000}; 0,1; 0,15) renvoie 19,66 % (en cas d’utilisation du format numérique Pourcentage).272 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Remarques Quand il existe un reste positif et un reste négatif, MOD renvoie le reste qui correspond au signe du diviseur. Lors du calcul de MOD(a; b), la fonction renvoie un nombre r tel que a = bk + r, où r est compris entre 0 et b, et k est un entier. MOD(a;b) équivaut à a–b*ENT(a/b). MODE La fonction MODE recherche la valeur la plus récurrente dans une série de nombres. MODE(nombre; [nombre; . . .])  nombre : série de nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Remarques Si plusieurs nombres apparaissent plusieurs fois dans les arguments, MODE renvoie le premier nombre qualifiant. Si aucune valeur n’apparaît plusieurs fois, MODE renvoie une erreur. Exemples MOD(6; 3) renvoie 0. MOD(7; 3) renvoie 1. MOD(8; 3) renvoie 2. MOD(-8; 3) renvoie 1. MOD(4,5; 2) renvoie 0,5. MOD(7; 0,75) renvoie 0,25. Exemples MODE(5; 5; 5; 5; 6) renvoie 5. MODE(1; 2; 3; 4; 5) renvoie une erreur. MODE(2; 2; 4; 6; 6) renvoie 2. MODE(6; 6; 4; 2; 2) renvoie 6.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 273 MOIS La fonction MOIS extrait le numéro du mois d’une date. MOIS(date)  date-heure : toute date valide acceptée par Numbers. ARRONDI.AU.MULTIPLE La fonction ARRONDI.AU.MULTIPLE arrondit un nombre au plus petit multiple supérieur d’un facteur donné. ARRONDI.AU.MULTIPLE(nombre; facteur)  nombre : nombre à arrondir. Il peut s’agir d’une expression numérique ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique.  facteur : Nombre dont vous souhaitez arrondir aux multiples. Remarques La taille de nombre relative est basée sur la magnitude (distance à partir de 0). Les deux arguments doivent posséder le même signe. NON La fonction NON évalue la valeur vrai d’une expression et renvoie l’inverse. Si l’expression est vraie, la fonction renvoie FAUX ; si l’expression est fausse, la fonction renvoie VRAI. NON(expression)  expression : expression logique ou numérique. Remarques Si expression est numérique, une valeur égale à 0 est interprétée comme la valeur FAUX et toute valeur différente de 0 est interprétée comme la valeur VRAI. Exemples MOIS("6 avril; 1988; 11:59:22") renvoie 4. Exemples ARRONDI.AU.MULTIPLE(2; 3) renvoie 3. ARRONDI.AU.MULTIPLE(4; 3) renvoie 3. ARRONDI.AU.MULTIPLE(4,4999; 3) renvoie 3. ARRONDI.AU.MULTIPLE(4,5; 3) renvoie 6. ARRONDI.AU.MULTIPLE(-4,5; 3) renvoie une erreur.274 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions MAINTENANT La fonction MAINTENANT récupère la date et l’heure du jour auprès de l’horloge de l’ordinateur. Les zones horaires ne sont pas prises en compte. MAINTENANT()  Sans argument (les parenthèses sont obligatoires). Remarques La date et l’heure affichées sont mises à jour chaque fois que vous ouvrez ou modifiez le document. La façon dont la date, l’heure voire les deux s’affichent dépend de la mise en forme de la cellule. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation du format Date et heure » à la page 67 pour obtenir plus d’informations. Vous pouvez utiliser la fonction AUJOURD’HUI permet d’extraire la date en cours ; la valeur renvoyée est mise en forme de sorte que l’heure, toujours réglée sur 12 h 00, est masquée. NPM La fonction NPM calcule le nombre de périodes de remboursement pour un prêt ou de versement pour un investissement avec des versements et un taux d’intérêt fixes. NPM(taux; remboursement; valeur actualisée; [valeur capitalisée]; [échéance])  taux : taux d’intérêt par période.  versement : paiement à effectuer par période.  valeur actualisée : valeur actualisée de l’investissement.  valeur capitalisée : facultatif ; valeur capitalisée de l’investissement ou valeur de trésorerie restante, après le dernier versement. En l’absence de valeur, valeur capitalisée est égal à 0. Exemples NON(0) renvoie VRAI car 0 est interprété comme FAUX. OU(A9; NON(A9)) renvoie toujours VRAI car A9 et son opposé sont toujours vrais. NON(OU(FAUX;FAUX)) a le comportement d’un OU négatif. Dans ce cas, elle renvoie VRAI car aucun argument de la fonction OU logique n’est vrai. Exemples Si votre document est mis à jour le 4 octobre 2008, MAINTENANT() renvoie « 4 octobre 2008 10:47 » sauf si le format de la cellule comportant la valeur renvoyée est différent.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 275  échéance : facultatif ; indique si les règlements sont effectués en début ou en fin de période : 0 (ou absence de valeur) signifie que les règlements ont lieu à la fin de chaque période. 1 signifie que les règlements ont lieu au début de chaque période. Remarques Assurez-vous que le taux est exprimé par période. Par exemple, si le taux d’intérêt est de 10 % par an et que la périodicité de paiement est mensuelle, le taux utilisé dans la fonction doit être 0,1/12 (approximativement 0,00833 par mois). VAN La fonction VAN calcule la valeur actualisée nette d’un investissement d’après une série de mouvements à venir, en partant du principe que le taux d’intérêt est fixe. VAN(taux; mouvement; [mouvement; . . .])  taux : taux d’intérêt fixe.  mouvement : mouvements, tels que des paiements (valeurs négatives) ou des revenus (valeurs positives). Indiquez les valeurs par ordre chronologique. Les valeurs peuvent être exprimées sous forme d’intervalles. IMPAIR La fonction IMPAIR arrondit un nombre au nombre impair supérieur. IMPAIR(nombre)  nombre : nombre à arrondir. Il peut s’agir d’un nombre, d’une expression numérique ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique. Remarques Pour arrondir à un nombre pair, utilisez la fonction PAIR. Exemples NPM(0,1/12;-100,1000) renvoie 10,5 mois, pouvant être arrondi à 11, durée de remboursement d’un emprunt de 1 000 Euros à un taux d’intérêt de 10 % l’an si vous effectuez des paiements mensuels de 100 Euros. Exemples VAN(10%;-5000;0;10000;10000;10000) renvoie 16 007,04 ı (en cas d’utilisation du format Monétaire). La valeur renvoyée indique que la valeur actualisée nette d’un investissement de 5 000 Euros à un taux d’intérêt de 10 %, suivi d’encaissements de 0, 10 000, 10 000 puis 10 000 Euros, est de 16 007,04 ı au bout de quatre ans.276 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions DÉCALAGE La fonction DÉCALAGE récupère un intervalle de cellules qui est le nombre indiqué de rangées et de colonnes par rapport à la cellule de base indiquée. DÉCALAGE(base; décalage-rangée; décalage-colonne; [rangées]; [colonnes])  base : adresse de la cellule à partir de laquelle les décalages sont mesurés.  décalage-rangée : nombre de rangées à partir de la cellule de base jusqu’à la cellule cible. 0 signifie que la cellule cible se trouve sur la même rangée que la cellule de base. Un nombre négatif signifie que la cible se trouve à gauche de la base.  décalage-colonne : nombre de colonnes à partir de la cellule de base jusqu’à la cellule cible. 0 signifie que la cellule cible se trouve sur la même colonne que la cellule de base. Un nombre négatif signifie que la cible se trouve au-dessus de la base.  rangées : facultatif ; nombre de rangées à récupérer à partir de l’emplacement de décalage. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 1.  colonnes : facultatif ; nombre de colonnes à récupérer à partir de l’emplacement de décalage. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 1. OU La fonction OU renvoie VRAI si un argument est vrai, FAUX dans le cas contraire. OU(expression; [expression; . . .])  expression : une ou plusieurs expressions logiques ou numériques. Remarques Si expression est numérique, une valeur égale à 0 est interprétée comme la valeur FAUX et toute valeur différente de 0 est interprétée comme la valeur VRAI. Exemples IMPAIR(1) renvoie 1. IMPAIR(2) renvoie 3. IMPAIR(2,5) renvoie 3. IMPAIR(-2,5) renvoie -3. IMPAIR(0) renvoie 1. Exemples DÉCALAGE(A1;5;5) renvoie la valeur de la cellule F6 (cellule qui figure cinq colonnes à droite et cinq rangées en dessous de la cellule A1). DÉCALAGE(G33;0;-1) renvoie la valeur de la cellule à gauche de G33 (valeur de F33).Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 277 CENTILE La fonction CENTILE recherche la valeur dans un intervalle correspondant à un centile particulier. CENTILE(données; centile)  données : plage de cellules contenant les données.  centile : valeur de centile recherchée. PI La fonction PI renvoie la valeur approximative de pi, le rapport de la circonférence d’un cercle par rapport à son diamètre, avec une précision de 15 décimales. PI()  Sans argument (les parenthèses sont obligatoires). Exemples OU(A1+A2<100;B1+B2<100) renvoie FAUX si les sommes des cellules indiquées sont toutes deux supérieures ou égales à 100, et VRAI si au moins l’une des sommes est inférieure à 100. OU(5;0;6) renvoie VRAI si au moins un argument est non nul. Exemples Prenons le tableau suivant : CENTILE(A2:E2; 0,5) renvoie 80, le 50ème centile de l’intervalle. CENTILE(A4:E4; 0,5) renvoie 90, le 50ème centile de l’intervalle. Exemples PI() renvoie 3,14159265358979. SIN(PI()/2) renvoie 1, le sinus de PI/2 radians ou 90 degrés.278 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions REMBOUR La fonction REMBOUR calcule le remboursement périodique fixe d’après un taux d’inté- rêt, un nombre de périodes, la valeur actualisée, la valeur capitalisée et le type de remboursement. REMBOUR(taux; nombre de périodes; valeur actualisée; [valeur capitalisée]; [échéance])  taux : taux d’intérêt par période.  nombre de périodes : nombre de périodes.  valeur actualisée : valeur actualisée de l’investissement.  valeur capitalisée : facultatif ; valeur capitalisée de l’investissement ou valeur de trésorerie restante, après le dernier versement. En l’absence de valeur, valeur capitalisée est égal à 0.  échéance : facultatif ; indique si les règlements sont effectués en début ou en fin de période : 0 (ou absence de valeur) signifie que les règlements ont lieu à la fin de chaque période. 1 signifie que les règlements ont lieu au début de chaque période. Remarques Pour diviser un règlement en principal et en intérêts, vous pouvez utiliser les fonctions PRINCPER et INTPER. LOI.POISSON La fonction LOI.POISSON utilise la distribution de Poisson pour calculer la probabilité de survenues d’un nombre spécifique d’événements. LOI.POISSON(événements; moyenne; cumulé)  événements : nombre d’événements pour lequel vous souhaitez calculer la probabilité.  moyenne : taux moyen connu d’événements.  cumulé : détermine si la probabilité rapportée est cumulative : VRAI calcule la probabilité que doit se produire le nombre spécifié d’événements ou un nombre inférieur d’événements (également dénommée probabilité cumulative). FAUX calcule la probabilité qu’il se produira le nombre spécifié d’événements (également dénommée masse représentative d’une probabilité). Exemples REMBOUR(10%/12;36;10000;0) renvoie – 322,67 ı. La valeur renvoyée indique qu’un achat de 12 000 Euros moins un règlement de 2 000 Euros (soit un montant de 10 000 Euros) à un taux d’intérêt de 10 % sur 36 mois requiert un règlement mensuel de 322,67 ı.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 279 PUISSANCE La fonction PUISSANCE élève un nombre, la base, à une puissance, l’exposant. Produit le même résultat que l’opérateur ^. PUISSANCE(base; exposant)  base : nombre à élever à la puissance.  exposant : puissance à laquelle vous souhaiter élever le nombre de base. Remarques L’opérateur d’exponentiation ^ permet d’élever un nombre à une puissance : PUISSANCE(2; 3) donne le même résultat que 2^3. PRINCPER La fonction PRINCPER calcule le principal du remboursement d’un prêt ou du versement pour un investissement pour une durée donnée basée sur un versement périodique et un taux d’intérêt fixes. PRINCPER(taux; période; nombre de périodes; valeur actualisée; [valeur capitalisée]; [échéance])  taux : taux d’intérêt par période.  période : période de calcul du principal.  nombre de périodes : nombre de périodes pendant la durée de vie de l’investissement.  valeur actualisée : valeur actualisée de l’emprunt ou de l’investissement.  valeur capitalisée : facultatif ; valeur capitalisée cible s’il s’agit d’un investissement. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 0.  échéance : facultatif ; indique si les règlements sont effectués en début ou en fin de période : 0 (ou absence de valeur) signifie que les règlements ont lieu à la fin de chaque période. 1 signifie que les règlements ont lieu au début de chaque période. Exemples Pour une moyenne de 10 et un taux des arrivées de 8 : LOI.POISSON(8; 10; FAUX) renvoie 0,112599. Exemples PUISSANCE(2; 3) renvoie 8. PUISSANCE(2; 10) renvoie 1 024. PUISSANCE(0,5; 3) renvoie 0,125. PUISSANCE(100; 0,5) renvoie 10.280 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Remarques Vérifiez que le taux d’intérêt est exprimé par période. Par exemple, si le taux d’intérêt est de 10 % par an et que la périodicité de paiement est mensuelle, le taux utilisé dans la fonction doit être 0,1/12 (approximativement 0,00833 par mois). PRIX La fonction PRIX calcule le prix d’une caution pour 100 ı. PRIX(liquidation; échéance; taux; rendement; valeur; périodicité; [nombre de jours])  liquidation : date de liquidation.  échéance : date d’expiration du titre.  taux : taux annuel du coupon.  rendement : rendement annuel du titre.  valeur : valeur de remboursement à la date d’échéance. Exprimée en valeur nominale de 100 Euros.  périodicité : nombre de règlements de coupons par an 1 signifie des paiements annuels. 2 signifie des paiements semestriels (deux fois par an). 4 signifie des paiements trimestriels (quatre fois par an).  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). Exemples Pour trouver la partie du principal du premier versement pour un emprunt de 1 000 Euros à 12 % l’an avec des règlements en fin de mois : PRINCPER(0,12/12; 1; 12; 1000) renvoie -78,85 ı.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 281 PRICEDISC La fonction PRICEDISC calcule le prix d’un titre à intérêts précomptés. PRICEDISC(liquidation; échéance; escompte; valeur; [calcul des jours])  liquidation : date de liquidation.  échéance : date d’expiration du titre.  escompte : taux d’escompte.  valeur : valeur de remboursement à la date d’échéance. Exprimée en valeur nominale de 100 Euros.  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). PRICEMAT La fonction PRICEMAT calcule le prix d’un titre dont les intérêts sont versés à échéance. PRICEMAT(liquidation; échéance; émission; taux; rendement; [calcul des jours])  liquidation : date de liquidation.  échéance : date d’expiration du titre.  émission : date d’émission du titre.  taux : valeur de remboursement à la date d’échéance. Exprimée en valeur nominale de 100 Euros. Exemples Si les cellules A1:F1 contiennent 1/1/2000, 1/1/2001, 0,05, 0,1, 100, 2 : PRIX(A1; A2; A3; A4; A5; A6) renvoie 95,35157. Exemples Si les cellules A1:D1 contiennent 1/1/2000, 1/1/2001, 0,1, 100 : PRICEDISC(A1; B1; C1; D1) renvoie 90.282 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions  rendement : rendement annuel.  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). PROBABILITE La fonction PROBABILITE calcule la probabilité d’un intervalle de valeurs si vous connaissez les probabilités des valeurs individuelles. PROBABILITE(valeurs; probabilités; inférieur; [supérieur])  valeurs : plage de cellules contenant les valeurs.  probabilités : plage de cellules contenant la probabilité de chaque valeur correspondante dans valeurs. La somme des probabilités doit donner 1 au maximum.  inférieur : limite inférieure de la plage pour laquelle vous souhaitez déterminer la probabilité.  supérieur : facultatif ; limite supérieure de la plage pour laquelle vous souhaitez déterminer la probabilité. Si cet argument est omis, PROBABILITE recherche la probabilité de la valeur représentée par inférieur. Exemples Si les cellules A1:E1 contiennent 1/1/2000, 1/1/2010, 1/1/1999, 0.1, 0.1 : PRICEMAT(A1; B1; C1; D1; E1) renvoie 95.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 283 PRODUIT La fonction PRODUIT calcule le produit des nombres fournis par les arguments. PRODUIT(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Remarques Les cellules vides de l’intervalle sont ignorées et n’affectent pas le résultat. NOM.PROPRE La fonction NOM.PROPRE remplace le premier caractère de chaque mot par une majuscule. Tous les autres caractères sont convertis en minuscules. NOM.PROPRE(texte)  texte : expression textuelle. Exemples Prenons le tableau suivant : PROBABILITE(A1:A10; C1:C10; 4; 6) renvoie 0,3, correspondant à la probabilité que la valeur soit 4, 5 ou 6. PROBABILITE(A1:A10; C1:C10; 5; 9) renvoie 0,5, correspondant à la probabilité que la valeur soit égale ou supérieure à 5. PROBABILITE(A1:A10; E1:E10; 4; 6) renvoie 0,59, correspondant à la probabilité que la valeur soit 4, 5 ou 6. PROBABILITE(A1:A10; E1:E10; 6) renvoie 0,21, correspondant à la probabilité que la valeur soit 6. Exemples PRODUIT(2; 4) renvoie 8. PRODUIT(0,5; 5; 4; 5) renvoie 50.284 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Remarques Tout caractère figurant après un caractère non alphabétique est considéré comme première lettre du mot. Par exemple, tout caractère figurant après un trait d’union est converti en majuscules. VALACT La fonction VALACT calcule la valeur actualisée d’un investissement, qui est la valeur présente d’une série de remboursements futurs, basée sur un taux d’intérêt périodique spécifique sur un nombre de périodes donnée pour un montant donné. VALACT est l’abréviation de valeur actualisée. VALACT(taux; nombre de périodes; [versement]; [valeur capitalisée]; [échéance])  taux : taux d’intérêt par période.  nombre de périodes : nombre de périodes.  versement : facultatif ; versement à effectuer par période. Si cet argument est omis, indiquezvaleur capitalisée.  valeur capitalisée : facultatif ; valeur capitalisée de l’investissement ou valeur de trésorerie restante, après le dernier versement. Si cet argument est omis, valeur capitalisée a pour une valeur implicite nulle et vous devez spécifier versement.  échéance : facultatif ; indique si les règlements sont effectués en début ou en fin de période : 0 (ou absence de valeur) signifie que les règlements ont lieu à la fin de chaque période. 1 signifie que les règlements ont lieu au début de chaque période. Exemples NOM.PROPRE("lorem ipsum") renvoie « Lorem Ipsum ». NOM.PROPRE("lorem’s ip-sum") renvoie « Lorem’S Ip-Sum ». NOM.PROPRE("1a23 b456") renvoie « 1A23 B456 ». Exemples VALACT(10%;5;-100,5000) renvoie – 2 725,53 ı, sauf si le format de la cellule contenant la valeur renvoyée se présente différemment. La valeur renvoyée indique que, pour accumuler 5 000 Euros en cinq ans avec des versements de 100 Euros à la fin de chaque année, il faudrait investir 2 725,53 Euros maintenant à un taux de 10 %.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 285 QUOTIENT La fonction QUOTIENT trouve le quotient entier de deux nombres, c’est-à-dire la partie entière du quotient sans le reste. QUOTIENT(dividende; diviseur)  dividende : nombre à diviser.  diviseur : nombre utilisé pour diviser le dividende. RADIANS La fonction RADIANS convertit des degrés en radians, mesure d’angle standard utilisée pour les fonctions trigonométrique. RADIANS(degrés)  degrés : expression numérique. ALÉAT La fonction ALÉAT génère un nombre aléatoire égal ou supérieur à 0 et inférieur à 1. ALÉAT()  Sans argument (les parenthèses sont obligatoires). Remarques Chaque fois que vous modifiez une valeur dans le tableau, un numéro aléatoire est généré. Exemples QUOTIENT(5; 2) renvoie 2. QUOTIENT(-5; 2) renvoie -2. QUOTIENT(5,99; 2) renvoie 2. QUOTIENT(6; 2) renvoie 3. QUOTIENT(5; 6) renvoie 0. Exemples RADIANS(90) renvoie 1,5708 (90 degrés est approximativement égal à 1,5708 radians). RADIANS(57,2957795130823) renvoie 1 (1 radian est approximativement égal à 57,296 degrés). Exemples ALÉAT() renvoie, par exemple, 0,67, 0,12, 0,8 et 0,9 après quatre nouveaux calculs.286 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions ALÉAT.ENTRE La fonction ALÉAT.ENTRE génère un entier aléatoire dans l’intervalle défini par les arguments mini et maxi. ALÉAT.ENTRE(mini; maxi)  mini : nombre inférieur.  maxi : nombre supérieur. Remarques Chaque fois que vous modifiez une valeur dans le tableau, un numéro aléatoire est généré. RANG La fonction RANG recherche le rang d’un nombre dans un intervalle de nombres. Vous pouvez ranger les nombres par ordre décroissant ou par ordre croissant. RANG(nombre; intervalle; [ordre])  nombre : nombre dont vous souhaitez trouver le rang.  intervalle : référence à la plage parmi laquelle vous cherchez à déterminer le classement de nombre.  ordre : facultatif : indique si la valeur la plus faible ou la plus forte porte le rang 1 dans l’intervalle. 0 (ou l’absence de valeur) range le nombre comme si la valeur la plus forte portait le rang 1 dans le tableau. Toute autre valeur range le nombre comme si la valeur la plus faible portait le rang 1 dans le tableau. Remarques Les nombres égaux sont rangés de la même façon, mais chacun compte comme une position dans le rang. La prochaine position de rang n’est donc pas attribuée au prochain nombre différent. Comme dans les compétitions sportives, en cas d’égalité pour la première place, le concurrent suivant est classé troisième et non deuxième. Voir les exemples. Exemples ALÉAT.ENTRE(1; 10) renvoie, par exemple, 7, 2, 9, 3 puis 9 à l’issue de chaque calcul.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 287 TAUX La fonction TAUX calcule le taux d’intérêt nécessaire pour qu’une valeur actualisée atteigne un montant capitalisé donné sur un délai précis. Si la valeur actualisée ou le terme est nul, la fonction renvoie une erreur. TAUX(nombre de périodes; [versement]; valeur actualisée; [valeur capitalisée]; [échéance]; [estimation])  nombre de périodes : nombre de périodes de versement.  versement : facultatif ; montant du versement périodique fixe. Si cet argument est omis, indiquezvaleur capitalisée.  valeur actualisée : valeur actualisée de l’investissement.  valeur capitalisée : valeur capitalisée de l’investissement. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 0.  échéance : facultatif ; indique si les règlements sont effectués en début ou en fin de période : 0 (ou absence de valeur) signifie que les règlements ont lieu à la fin de chaque période. 1 signifie que les règlements ont lieu au début de chaque période.  estimation : facultatif ; estimation brute initiale du taux d’intérêt. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 10 %. Essayez d’ajuster l’estimation si TAUX ne renvoie pas de résultat. Exemples Prenons le tableau suivant : RANG(20; A2:E8) renvoie 7. RANG(20; A2:E2) renvoie 4 (50 arrivant premier). RANG(20; A2:E2; 1) renvoie 2 (10 arrivant premier). RANG(10; A4:E4) renvoie 5 (10 est la valeur la plus faible de l’intervalle). RANG(4; A6:E7; 1) renvoie 4. RANG(5; A6:E7; 1) renvoie 6 (car il y a deux chiffres 4).288 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions REMPLACER La fonction REMPLACER remplace la partie d’une chaîne par des caractères provenant d’une autre chaîne. Le texte à remplacer est indiqué par sa longueur et sa position dans le texte. REMPLACER(texte actuel; début; longueur; nouveau texte)  texte actuel : expression textuelle.  début : nombre indiquant la position du premier caractère à remplacer.  longueur : nombre de caractères à remplacer.  nouveau texte : texte de remplacement. Remarques Il n’est pas nécessaire que le nouveau texte soit de la même taille que le texte supprimé. REPT La fonction REPT reproduit le texte un nombre de fois donné. REPT(texte; exemplaires)  texte : texte à répéter.  exemplaires : nombre de répétitions de texte. Exemples TAUX(10*12;;-5000,20000) renvoie 1,16 % (si vous utilisez un format numérique fixe avec une précision décimale de 4). La valeur renvoyée indique qu’un taux d’intérêt mensuel de 1,16 % (ou annuel de 13,9 %) est nécessaire pour que la somme de 5 000 Euros augmente à 20 000 Euros en 10 ans. Le nombre d’années est multiplié par 12 pour déterminer le nombre de paiements mensuels. Exemples REMPLACER("Bonjour Julie !";9; 5;"Frank") renvoie « Bonjour Frank ! ». Exemples REPT("*";5) renvoie « ***** ». REPT("ha";3) renvoie « hahaha ».Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 289 DROITE La fonction DROITE extrait le nombre de caractères précisés à partir de l’extrémité droite de la chaîne. DROITE(texte; [longueur])  texte : expression textuelle.  longueur : facultatif ; nombre de caractères à récupérer. En l’absence de valeur explicite, un caractère est extrait. ROMAIN La fonction ROMAIN convertit un nombre en chiffres romains. ROMAIN(nombre; [style])  nombre : chiffre arabe à convertir. Doit être positif et inférieur à 4000.  style : facultatif ; détermine le niveau de conformité d’application des règles classiques utilisées pour la formation des chiffres romains : 0 (ou VRAI ou absence de valeur) signifie que les règles les plus strictes sont employées. Quand un chiffre plus petit précède un chiffre plus grand pour indiquer qu’il y a soustraction, le plus petit doit être une puissance de 10 et peut précéder un nombre qui n’excède pas 10 fois sa taille. Par exemple, 999 est représenté par CMXCIX, et non par LMVLIV. 1 assouplit les règles classiques strictes d’un degré. Quand un nombre plus petit pré- cède un nombre plus grand, il n’est pas nécessaire que le nombre plus petit soit une puissance de 10 et la règle de taille relative est étendue d’un chiffre. Par exemple, 999 peut être représenté par LMVLIV, et non par XMIX. 2 assouplit les règles classiques strictes de deux degrés. Quand un nombre plus petit précède un plus grand, la règle de taille relative est étendue de deux chiffres. Par exemple, 999 peut être représenté par XMIX, et non par VMIV. 3 assouplit les règles classiques strictes de trois degrés. Quand un nombre plus petit précède un plus grand, la règle de taille relative est étendue de deux chiffres. Par exemple, 999 peut être représenté par VMIV, et non par IM. 4 ou FAUX assouplit les règles classiques strictes de quatre degrés. Quand un nombre plus petit précède un plus grand, la règle de taille relative est étendue de deux chiffres. Par exemple, 999 peut être représenté par IM. Exemples DROITE("un deux trois"; 2) renvoie « is ». DROITE("abc") renvoie « c ».290 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions ARRONDI La fonction ARRONDI arrondit un nombre au nombre de décimales spécifié. ARRONDI(nombre; décimales)  nombre : nombre à arrondir. Il peut s’agir d’une expression numérique dans la fonction ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique.  décimales : nombre de décimales après la virgule pour l’arrondi. Un nombre positif représente les chiffres décimaux à droite de la virgule. Un nombre négatif indique les chiffres à gauche du séparateur décimal (unités, dizaines, centaines, etc.). Remarques Autres fonctions associées aux nombres d’arrondi : PLAFOND, ENT, ARRONDI.SUP, ARRONDI.INF, TRONQUE. ARRONDI.INF La fonction ARRONDI.INF arrondit un nombre au nombre inférieur de décimales spécifiées. ARRONDI.INF(nombre; décimales)  nombre : nombre à arrondir. Il peut s’agir d’une expression numérique dans la fonction ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique.  décimales : nombre de décimales dans le résultat après la virgule. Un nombre positif représente les chiffres décimaux à droite de la virgule. Un nombre négatif indique les chiffres à gauche du séparateur décimal (unités, dizaines, centaines, etc.). Exemples ROMAIN(12) renvoie XII. ROMAIN(999) renvoie CMXCIX. ROMAIN(999;1) renvoie LMVLIV. ROMAIN(999;2) renvoie XMIX. ROMAIN(999;3) renvoie VMIV. ROMAIN(999;4) renvoie IM. Exemples ARRONDI(1,49;0) renvoie 1. ARRONDI(1,50;0) renvoie 2. ARRONDI(1,23456;3) renvoie 1,35. ARRONDI(1111,222;-2) renvoie 1100. ARRONDI(-2,2;0) renvoie -2. ARRONDI(-2,8;0) renvoie -3.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 291 Remarques Autres fonctions associées aux nombres d’arrondi : PLAFOND, ENT, ARRONDI, ARRONDI.SUP, TRONQUE. ARRONDI.SUP La fonction ARRONDI.SUP arrondit un nombre au nombre supérieur de décimales spécifiées. ARRONDI.SUP(nombre; décimales)  nombre : nombre à arrondir. Il peut s’agir d’un nombre, d’une expression numérique ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique.  décimales : nombre de décimales dans le résultat après la virgule. Un nombre positif représente les chiffres décimaux à droite de la virgule. Un nombre négatif indique les chiffres à gauche du séparateur décimal (unités, dizaines, centaines, etc.). Remarques Autres fonctions associées aux nombres d’arrondi : PLAFOND, ENT, ARRONDI, ARRONDI.INF, TRONQUE. Exemples ARRONDI.INF(1,49;0) renvoie 1. ARRONDI.INF(1,50;0) renvoie 1. ARRONDI.INF(1,23456;3) renvoie 1,234. ARRONDI.INF(1111,222;-2) renvoie 1100. ARRONDI.INF(-2,2;0) renvoie -2. ARRONDI.INF(-2,8;0) renvoie -2. Exemples ARRONDI.SUP(1,49;0) renvoie 2. ARRONDI.SUP(1,50;0) renvoie 2. ARRONDI.SUP(1,23456;3) renvoie 1,35. ARRONDI.SUP(1111,222;-2) renvoie 1200. ARRONDI.SUP(-2,2;0) renvoie -3. ARRONDI.SUP(-2,8;0) renvoie -3.292 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions RENGÉE La fonction RENGÉE renvoie le numéro de rangée de la cellule spécifiée. RENGÉE([cellule])  cellule : facultatif ; référence à une cellule. En l’absence de cet argument, la fonction RENGÉE renvoie le numéro de rangée de la cellule dans laquelle elle réside. RANGS La fonction RANGS compte le nombre de rangées de l’intervalle de cellules spécifié. RANGS(intervalle de cellules)  intervalle de cellules : référence à une plage de cellules. Remarques Si vous sélectionnez une colonne entière pour intervalle de cellules, Numbers renvoie le nombre total de cellules de la colonne, qui est modifié lorsque vous redimensionnez le tableau. RRECHERCHER La fonction RRECHERCHER recherche la position de début d’une chaîne dans une autre, sans tenir compte des caractères majuscules mais en acceptant les caractères de remplacement. RRECHERCHER(recherche; emplacement; [début])  recherche : chaîne de caractères à rechercher. Vous pouvez inclure un astérisque (*) pour rechercher n’importe quel nombre de caractères ou un point d’interrogation (?) pour rechercher un caractère quelconque.  emplacement : texte dans lequel vous souhaitez rechercher la chaîne.  début : facultatif ; nombre indiquant la position du texte d’où vous souhaitez lancer la recherche. Si l’argument est omis, la recherche commence au début du texte. Exemples RENGÉE(B7) renvoie 7, numéro de la rangée 7. RENGÉE() renvoie le numéro de rangée absolue de la cellule contenant la fonction. Exemples RANGS(A11:D20) renvoie 10, nombre de rangées de 11 à 20. RANGS(D:D) renvoie le nombre total de rangs de la colonne D.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 293 SECONDE La fonction SECONDE extrait les secondes d’une date. SECONDE(date-heure)  date-heure : valeur quelconque de date ou d’heure Numbers valide. SIGNE La fonction SIGNE renvoie 1 si le numéro d’argument est positif, – 1 s’il est négatif et 0 s’il est nul. SIGNE(nombre)  nombre : nombre dont vous souhaitez trouver le signe. Il peut s’agir d’une référence à une cellule contenant un nombre. SIN La fonction SIN calcule le sinus d’un angle exprimé en radians. SIN(radian-angle)  angle-radians : angle en radians. Remarques Si vous mesurez les angles en degrés et non en radians, utilisez la fonction RADIANS pour convertir les degrés en radians pour la fonction SIN. Si vous souhaitez exprimer des radians comme multiple de pi, vous pouvez utiliser la fonction PI() afin de fournir une valeur de pi. Exemples RRECHERCHER("ra"; "abracadabra") renvoie 3 ; la première occurrence de la chaîne « ra » commence au troisième caractère de « abracadabra ». RRECHERCHER("ra"; "abracadabra"; 5) renvoie 10, position de la première occurrence de la chaîne « ra » lorsque vous lancez la recherche de la position 5. Exemples SECONDE("6/4/88 11:59:22") renvoie 22. Exemples SIGNE(2) renvoie 1. SIGNE(0) renvoie 0. SIGNE(-2) renvoie -1. SIGNE(A4) renvoie -1 si la cellule A4 contient -2.294 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions SINH La fonction SINH calcule le sinus hyperbolique du nombre indiqué. SINH(nombre)  nombre : nombre quelconque. AMORLIN La fonction AMORLIN calcule l’amortissement linéaire d’un actif. SLN(coût; récupération; vie)  coût : coût ou valeur d’origine de l’actif.  récupération : valeur de récupération de l’actif.  vie : nombre de périodes de l’amortissement linéaire. Exemples SIN(1) renvoie 0,841470985, sinus de 1 radian (57,3 degrés approximativement). SIN(RADIANS(30)) renvoie 0,5, sinus de 30 degrés. SIN(PI()/2) renvoie 1, le sinus de PI/2 radians (90 degrés). Exemples SINH(0) renvoie 0. SINH(1) renvoie 1,175. SINH(5) renvoie 74,203. SINH(10) renvoie 11 013,233. Exemples AMORLIN(10000; 1000; 6) renvoie 1 500 ı, amortissement annuel en Euros d’un actif qui coûte initialement 10 000 Euros mais ne vaut que 1 000 Euros au bout de six ans.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 295 PENTE La fonction PENTE calcule la pente de la droite de régression d’une série de données par une analyse de régression linéaire. PENTE(intervalle-y; intervalle-x)  intervalle-y : plage de cellules contenant la variable dépendante y. Doit être de même taille que intervalle-x.  intervalle-x : plage de cellules contenant la variable indépendante x. Doit être de même taille que intervalle-y. Remarques Pour trouver l’ordonnée d’origine y de la droite de régression, utilisez la fonction ORDONNEE.ORIGINE. PETIT La fonction PETIT récupère la n-ième plus petite valeur d’un intervalle de valeurs. La plus faible valeur est classée en numéro 1. PETIT(intervalle; rang)  intervalle : plage de cellules contenant les valeurs.  rang : numéro représentant le classement de la valeur à renvoyer (1 correspond à la plus faible valeur, 2 à la suivante, et ainsi de suite). Remarques Si rang est omis, est inférieur ou égal à ou supérieur au nombre de valeurs dans le tableau, une erreur est renvoyée. Exemples Prenons le tableau suivant : PENTE(A2:F2; A1:F1) renvoie 2. ORDONNEE.ORIGINE(A2:F2; A1:F1) renvoie 1. PENTE(A5:F5; A4:F4) renvoie 0,402.296 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions SQRT La fonction SQRT calcule la racine carrée d’un nombre. SQRT(nombre)  nombre : expression numérique non négative. STDEV La fonction STDEV calcule l’écart-type d’une série de valeurs en fonction de la variance de l’échantillon (non biaisé). Elle est appropriée quand les valeurs spécifiées représentent uniquement un échantillon d’une population plus importante. STDEV(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombres ou références à des cellules. Remarques L’écart-type est la racine carrée de la variance renvoyée par la fonction VAR. Si les valeurs que vous analysez représentent l’ensemble de données ou la population entière, vous pouvez utiliser la fonction ECARTYPEP. Les cellules qui ne contiennent pas de nombres sont ignorées. Si vous souhaitez inclure des valeurs texte ou booléennes dans le calcul, utilisez la fonction STDEVA. Exemples Prenons le tableau suivant : PETIT(A2:E2; 1) renvoie 10, à savoir la plus faible valeur du tableau. PETIT(A2,E2; 2) renvoie 20 qui est la troisième plus faible valeur du tableau. PETIT(A2:E2; 5) renvoie 50, à savoir la plus forte valeur du tableau. PETIT(A1:A5; 0) fait état d’une erreur ; le rang doit être supérieur à 0. PETIT(A1:E5; 6) génère une erreur ; il n’est pas possible de trouver la sixième valeur d’après cinq valeurs. Exemples SQRT(16) renvoie 4. SQRT(12.25) renvoie 3,5, racine carrée de 12,25.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 297 STDEVA La fonction STDEVA calcule l’écart-type d’une série de valeurs, notamment du texte et des valeurs booléennes, en fonction de la variance de l’échantillon (non biaisé). STDEVA(valeur; [valeur; . . .])  valeur : valeurs numériques ou booléennes, ou références à des cellules contenant des valeurs numériques, texte ou booléennes. Remarques À la différence de la fonction STDEV qui ignore les cellules qui ne contiennent pas de nombres, la fonction STDEVA affecte la valeur 0 aux valeurs textuelles, la valeur 0 à la valeur booléenne FAUX et 1 à la valeur booléenne VRAI, afin d’inclure ces valeurs dans le calcul. La saisie directe de texte génère une erreur. La référence à une cellule contenant du texte est estimée comme nulle. Vous pouvez saisir des opérateurs booléens directement ou en tant que références de cellule. Pour un ensemble de données ne contenant que des nombres, la fonction STDEVA renvoie le même résultat que la fonction STDEV. ECARTYPEP La fonction ECARTYPEP calcule l’écart-type d’une série de valeurs en fonction de la variance de leur population (vraie). Elle est appropriée quand les valeurs spécifiées sont la population entière. ECARTYPEP(nombre; [nombre;. . .])  nombre : série de nombres ou de références à des cellules. Exemples STDEV(5; 5; 5; 5; 6) renvoie un écart-type de 0,447 d’après une moyenne de 5,2. STDEV(1; 2; 3; 4; 5) renvoie un écart-type de 1,58 d’après une moyenne de 3. STDEV(1; 1; 1; 1; 6) renvoie un écart-type de 2,24 d’après une moyenne de 2. STDEV(2; 2; 4; 6; 6) renvoie un écart-type de 2 d’après une moyenne de 4. Comparez avec ECARTYPEP(2; 2; 4; 6; 6) qui utilise la variance de population (véritable) pour renvoyer un écart-type de 1,79. Exemples STDEVA(VRAI; VRAI; VRAI; VRAI; 6) renvoie 2,24. Chaque valeur VRAI vaut 1. STDEVA("a"; 3; 6; 3; "b") renvoie une erreur. 298 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Remarques L’écart-type est la racine carrée de la variance renvoyée par la fonction VAR.P. Si les valeurs que vous analysez représentent uniquement un échantillon d’une population plus large, vous pouvez utiliser la fonction STDEV. Les cellules qui ne contiennent pas de nombres sont ignorées. Si vous souhaitez inclure des valeurs texte ou booléennes dans le calcul, utilisez la fonction STDEVPA. STDEVPA La fonction STDEVPA calcule l’écart-type d’une série de valeurs, notamment du texte et des valeurs booléennes, en fonction de la variance de la population (vraie). STDEVPA(valeur; [valeur; . . .])  valeur : valeurs numériques ou booléennes, ou références à des cellules contenant des valeurs numériques, texte ou booléennes. Remarques À la différence de la fonction ECARTYPEP qui ignore les cellules qui ne contiennent pas de nombres, la fonction STDEVPA affecte la valeur 0 aux valeurs textuelles, la valeur 0 à la valeur booléenne FAUX et 1 à la valeur booléenne VRAI, afin d’inclure ces valeurs dans le calcul. La saisie directe de texte génère une erreur. La référence à une cellule contenant du texte est estimée comme nulle. Vous pouvez saisir des opérateurs booléens directement ou en tant que références de cellule. Si les valeurs que vous analysez représentent uniquement un échantillon d’une population plus large, vous pouvez utiliser la fonction STDEVPA. Exemples ECARTYPEP(5; 5; 5; 5; 6) renvoie un écart-type de 0,4 d’après une moyenne de 5,2. ECARTYPEP(1; 2; 3; 4; 5) renvoie un écart-type de 1,41 d’après une moyenne de 3. ECARTYPEP(1; 1; 1; 1; 6) renvoie un écart-type de 2 d’après une moyenne de 2. ECARTYPEP(2; 2; 4; 6; 6) renvoie un écart-type de 1,79 d’après une moyenne de 4. Comparez avec STDEV(2; 2; 4; 6; 6) qui utilise la variance d’échantillon (non biaisé) pour renvoyer un écart-type de 2. Exemples STDEVPA(VRAI; VRAI; VRAI; VRAI; 6) renvoie 2. La valeur VRAI compte pour 1. STDEVPA("a"; 3; 6; 3; "b") renvoie une erreur. Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 299 SUBSTITUE La fonction SUBSTITUE remplace une chaîne de caractères par du nouveau texte. Vous pouvez remplacer des caractères individuels, des mots entiers ou des chaînes de caractères à l’intérieur de mots. Si une chaîne se répète plusieurs fois dans le texte, vous pouvez indiquer quelles occurrences remplacer. SUBSTITUE(texte; ancien; nouveau; [occurrence])  texte : texte dans lequel vous souhaitez remplacer des caractères.  ancien : chaîne de caractères à remplacer.  nouveau : chaîne de caractères qui doit remplacer l’ancienne.  occurrence : facultatif ; indique quelle occurrence de l’ancienne chaîne est remplacée s’il en existe plusieurs. Si cet argument est omis, toutes les occurrences de la chaîne sont remplacées. SOMME La fonction SOMME calcule la somme d’une série de nombres. Les nombres peuvent résider dans des cellules individuelles, dans des intervalles de cellules ou inclus directement comme arguments de la fonction. SOMME(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombres, expressions numériques ou références à une cellule ou une plage de cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Exemples SUBSTITUE("a b c d e f"; "b"; "B") renvoie « a B c d e f ». SUBSTITUE("a a b b b c"; "a"; "A"; 2) renvoie « a A b b b c ». SUBSTITUE("a a b b b c"; "b"; "B") renvoie « a a B B B c ». SUBSTITUE("aaabbccc"; "bc"; "BC"; 2) renvoie « aaabbbccc ». Exemples SOMME(A1:A4) ajoute les nombres de quatre cellules. SOMME(A1:D4) ajoute les nombre d’un tableau carré de seize cellules. SOMME(A1:A4; 100) ajoute les nombres de quatre cellules à 100.300 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions SOMME.SI La fonction SOMME.SI calcule la somme d’une série de nombres mais n’inclut que les nombres répondant à des critères précis. La condition qui détermine si chaque nombre est inclus peut être effectuée sur le nombre lui-même ou sur une valeur correspondante dans un second intervalle de valeurs. SOMME.SI(intervalle; « critères »; [intervalle somme])  intervalle : référence à une plage de cellules contenant les valeurs à tester. Doit être de mêmes dimensions que intervalle somme.  « condition » : instruction quelconque de comparaison générant une valeur logique VRAI ou FAUX.  intervalle somme : facultatif ; référence à une plage de cellules contenant les nombres à ajouter. Doit présenter les mêmes dimensions que critères. En l’absence de cet argument, intervalle est utilisé. Remarques Pour en savoir plus sur les opérateurs de comparaison, reportez-vous à la rubrique « Explication des opérateurs de comparaison » à la page 105. Exemples Prenons le tableau suivant : SOMME.SI(A1:A8; "<5") renvoie 10. SOMME.SI(A1:A8; "<5"; B1:B8) renvoie 100. SOMME.SI(D1:F3; "=c"; D5:F7) renvoie 27. SOMME.SI(B1:D1; 1) ou SOMME.SI(B1:D1; SOMME(1)) totalisent tous les occurrences de 1 rencontrées dans l’intervalle.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 301 SOMMEPROD La fonction SOMMEPROD calcule la somme des produits de nombres correspondants dans deux intervalles ou plus. Les intervalles doivent être de mêmes dimensions. SOMMEPROD(intervalle; intervalle; [intervalle; . . .])  intervalle : référence à une plage de cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Remarques Si une cellule de l’un des intervalles contient une valeur non numérique, celle-ci n’est pas incluse dans le calcul. SOMME.CARRÉS La fonction SOMME.CARRÉS calcule la somme des carrés d’une série de nombres. Les nombres peuvent résider dans des cellules individuelles, dans des intervalles e cellules ou inclus directement comme arguments de la fonction. SOMME.CARRÉS(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombre, expression numérique ou référence à une cellule ou une plage de cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. AMORANN La fonction AMORANN calcule l’amortissement d’un bien sur une période donnée d’après la méthode américaine Sum-of-Years Digits. AMORANN(coût; récupération; vie; période)  coût : coût initial de l’actif.  récupération : valeur de récupération de l’actif. Exemples SOMMEPROD(3;4) renvoie 12. SOMMEPROD({1; 2}; {3; 4}) = 3 + 8 = 11. Exemples SOMME.CARRÉS(3;4) renvoie 25. SOMME.CARRÉS(A1:A4) ajoute les carrés de quatre nombres constituant une liste. SOMME.CARRÉS(A1:D4) ajoute les carrés des 16 nombres d’un tableau carré de cellules. SOMME.CARRÉS(A1:A4; 10) ajoute les carrés des nombres de quatre cellules à 100. SQRT(SOMME.CARRÉS(3;4)) renvoie 5, à l’aide du théorème de Pythagore pour trouver la longueur de l’hypoténuse d’un triangle d’après les côtés de longueur 3 et 4.302 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions  vie : nombre de périodes d’amortissement de l’actif.  période : période de calcul de l’amortissement. T La fonction T récupère du texte dans une cellule. Si la cellule ne contient pas de chaîne, T renvoie une chaîne vide. T(cellule)  cellule : référence à la cellule de laquelle vous souhaitez extraire le texte. Remarques Cette fonction est incluse pour vous permettre d’utiliser des feuilles de calcul créées avec d’anciens tableurs. TAN La fonction TAN calcule la tangente d’un angle, c’est-à-dire les proportions du sinus par rapport au cosinus. TAN(angle-radians)  angle-radians : angle en radians. Remarques Si vous mesurez les angles en degrés et non en radians, utilisez la fonction RADIANS pour convertir les degrés en radians pour la fonction TAN. Si vous souhaitez exprimer des radians comme multiple de pi, vous pouvez utiliser la fonction PI() afin de fournir une valeur de pi. Exemples AMORANN(10000; 1000; 9; 1) renvoie 1 800, déterminé d’après la valeur de dépréciation d’un actif de 10 000 Euros au bout d’un an si la valeur de récupération de l’actif est de 1 000 Euros au bout de neuf ans. Exemples Si la cellule A1 contient « texte » et que la cellule B1 est vide : T(A1) renvoie « texte » et T(B1) ne renvoie rien. Exemples TAN(1) renvoie 1,557407725, tangente de 1 radian (57,3 degrés approximativement). TAN(RADIANS(45)) renvoie 1, tangente d’un angle de 45 degrés.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 303 TANH La fonction TANH renvoie la tangente hyperbolique d’un nombre. TANH(nombre)  nombre : nombre quelconque. TEMPS La fonction TEMPS convertit l’heure indiquée en une fraction décimale de journée exprimée sur 24 heures. TEMPS(heures; minutes; secondes)  heures : nombre d’heures (système de 24 heures).  minutes : nombre de minutes.  secondes : nombre de secondes. Remarques Vous pouvez indiquer des valeurs respectives d’heure, de minute et de seconde supé- rieures à 23, 59 et 59. Si les heures, les minutes et les secondes dépassent 24 heures, Numbers soustrait 24 heures autant de fois que nécessaire jusqu’à ce que la somme soit inférieure à 24 heures. Vous pouvez également spécifier des valeurs de fraction pour les heures, les minutes ou les secondes. Pour convertir une heure exprimée sous forme de chaîne, utilisez la fonction TEMPSVAL. TAN(3*PI()/4) renvoie -1. Exemples Exemples TANH(0) renvoie 0. TANH(1) renvoie 0,762. TANH(5) renvoie 0,999909. TANH(10) renvoie 0,999999996. Exemples TEMPS(12; 0; 0) renvoie 12:00. TEMPS(16; 45; 30) renvoie 16:45. TEMPS(0; 900; 0) renvoie 15:00. TEMPS(60; 0; 0) renvoie 12:00.304 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions TEMPSVAL La fonction TEMPSVAL convertit une heure figurant dans une chaîne en une fraction décimale de journée exprimée sur 24 heures. TEMPSVAL(date-heure)  date-heure : date, heure ou chaîne de caractères exprimée dans quel format de date et heure accepté par Numbers. Remarques Pour convertir une heure au format Heure plutôt que sous forme de chaîne, utilisez la fonction TEMPS. AUJOURD’HUI La fonction AUJOURD’HUI extrait la date du jour et applique un format à la cellule pour afficher uniquement la date (sans l’heure) L’heure est toujours réglée sur 12 h 00. AUJOURD’HUI()  Sans argument (les parenthèses sont obligatoires). Remarques La date est mise à jour chaque fois que vous ouvrez ou modifiez le document. Vous pouvez utiliser la fonction MAINTENANT pour récupérer la date et l’heure en cours déjà mises en forme afin de les afficher toutes deux. TEMPS(4,25; 0; 0) renvoie 4:00. Exemples Exemples TEMPSVAL("6/4/88 12:00") renvoie 0,5 (midi représente la moitié d’une journée). TEMPSVAL("12:00:59") renvoie 0,5007 (valeur arrondie à quatre décimales). TEMPSVAL("18:00") renvoie 0,875 (21 h divisé par 24). Exemples Si elle est exécutée le 6 avril 1988, la fonction AUJOURD’HUI() renvoie 6 avril 1988.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 305 AJUSTER La fonction AJUSTER supprime les espaces en trop dans du texte. Elle supprime tous les espaces avant le premier caractère, tous les espaces après le dernier caractère et tous les espaces en double entre les caractères pour ne conserver que des espaces simples entre les mots. AJUSTER(texte)  texte : texte duquel vous souhaitez supprimer les espaces en trop. VRAI La fonction VRAI renvoie la valeur booléenne VRAI. Elle est incluse pour vous permettre d’utiliser des feuilles de calcul créées avec d’anciens tableurs. Pour indiquer la valeur booléenne VRAI, il suffit de taper le mot vrai (sans guillemets) dans une cellule ou un argument de fonction. VRAI()  Sans argument (les parenthèses sont obligatoires). Remarques Au lieu d’utiliser la fonction VRAI(), vous pouvez taper le mot VRAI directement dans une cellule ou une formule. TRONQUE La fonction TRONQUE tronque un nombre décimal au nombre de décimales spécifié. TRONQUE(nombre; [décimales])  nombre : expression numérique indiquant le nombre que vous voulez tronquer.  décimales : facultatif ; nombre de décimales dans le résultat après la virgule. Un nombre positif représente les chiffres décimaux à droite de la virgule. Un nombre négatif représente des positions décimales à gauche de la virgule, qui sont remplacées par des zéros. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 0. Exemples AJUSTER(" espaces espaces espaces ") renvoie « espaces espaces espaces ». Exemples VRAI() renvoie la valeur booléenne VRAI. ET(1;VRAI()) renvoie la valeur booléenne VRAI. ET(1;VRAI) se comporte comme l’exemple précédent.306 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions SUPÉRIEUR La fonction SUPÉRIEUR convertit le texte en majuscules. SUPÉRIEUR(texte)  texte : texte à convertir en majuscules. CNUM La fonction CNUM convertit un nombre au format Texte en nombre normal. CNUM(texte)  texte : nombre au format Texte à convertir. Remarques Il n’est généralement pas nécessaire d’utiliser la fonction CNUM ; Numbers convertit les nombres en texte automatiquement. La fonction CNUM est incluse pour vous permettre d’utiliser des feuilles de calcul créées avec d’anciens tableurs. VAR La fonction VAR calcule la variance d’échantillon (non biaisé) d’un ensemble de valeurs. VAR(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombres, expressions numériques ou références à des nombres ou des expressions numériques. Exemples TRONQUE(1,49;0) renvoie 1. TRONQUE(1,50;0) renvoie 1. TRONQUE(1,23456;3) renvoie 1,234. TRONQUE(1111,222;-2) renvoie 1100. TRONQUE(-2,2;0) renvoie -2. TRONQUE(-2,8;0) renvoie -2. Exemples SUPÉRIEUR("a b c") renvoie « A B C ». SUPÉRIEUR("Premier") renvoie « PREMIER ». Exemples CNUM("22") renvoie le nombre 22. CNUM(DROITE("Année 1953"; 2)) renvoie le nombre 53.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 307 Remarques La fonction VAR divise la somme des carrés des écarts pour les points de donnés par un moins le nombre de valeurs afin de trouver la variance d’échantillon (non biaisé, par opposition à la variance de population ou variance vraie). Elle est appropriée si les points de données ne sont qu’un échantillon d’un ensemble de données plus large. Si les nombres indiqués constituent la totalité de l’ensemble de données, vous devez utiliser la fonction VAR.P pour trouver la variance de population (variance vraie). VARA La fonction VARA calcule la variance d’échantillon (non biaisé) d’un ensemble de valeurs comprenant du texte et des valeurs booléennes. Les valeurs texte et la valeur booléenne FAUX sont incluses comme si elles étaient le nombre 0, la valeur logique VRAI ou 1. VARA(valeur; [valeur; . . .])  valeur : valeurs numériques ou booléennes, ou références à des cellules contenant des valeurs numériques, texte ou booléennes. Remarques La fonction VARA divise la somme des carrés des écarts pour les points de donnés par un moins le nombre de valeurs afin de trouver la variance d’échantillon (non biaisé, par opposition à la variance de population ou variance vraie). Elle est appropriée si les points de données ne sont qu’un échantillon d’un ensemble de données plus large. Si les nombres indiqués constituent la totalité de l’ensemble de données, vous devez utiliser la fonction VAR.P pour trouver la variance de population (variance vraie). Pour un ensemble de données ne contenant que des nombres, la fonction VARA renvoie le même résultat que la fonction VAR. Exemples VAR(5; 5; 5; 5; 6) renvoie une variance de 0,2 d’après une moyenne de 5,2. VAR(1; 2; 3; 4; 5) renvoie une variance de 2,5 d’après une moyenne de 3. VAR(1; 1; 1; 1; 6) renvoie une variance de 5 d’après une moyenne de 2. VAR(2; 2; 4; 6; 6) renvoie une variance de 4 d’après une moyenne de 4. Exemples VARA(VRAI; VRAI; VRAI; VRAI; 6) renvoie 5. La valeur VRAI compte pour 1. VARA("a"; 3; 6; 3; "b") renvoie une erreur. 308 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions VAR.P La fonction VAR.P calcule la variance de population (vraie) d’un ensemble de nombres. VAR.P(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Remarques La fonction VAR.P divise la somme des carrés des écarts pour les points de donnés par le nombre de valeurs afin de trouver la variance de population (ou variance vraie), par opposition à la variance d’échantillon ou variance biaisée. Elle est appropriée si les points de données constituent la totalité de l’ensemble de données. Si les nombres indiqués ne sont qu’un échantillon d’un ensemble plus large de données, utilisez la fonction VAR pour trouver la variance d’échantillon (biaisée). VARPA La fonction VARPA calcule la variance de population (vraie) d’un ensemble de valeurs comprenant du texte et des valeurs booléennes. Les valeurs texte et la valeur booléenne FAUX sont incluses comme si elles étaient le nombre 0, la valeur logique VRAI ou 1. VARPA(valeur; [valeur; . . .])  valeur : valeurs numériques ou booléennes, ou références à des cellules contenant des valeurs numériques, texte ou booléennes. Remarques La fonction VARPA divise la somme des carrés des écarts pour les points de donnés par le nombre de valeurs afin de trouver la variance de population (ou variance vraie), par opposition à la variance d’échantillon ou variance biaisée. Elle est appropriée si les points de données constituent la totalité de l’ensemble de données. Si les nombres indiqués ne sont qu’un échantillon d’un ensemble plus large de données, utilisez la fonction VARA pour trouver la variance d’échantillon (biaisée). Pour un ensemble de données ne contenant que des nombres, la fonction VARPA renvoie le même résultat que la fonction VAR.P. Exemples VAR.P(5; 5; 5; 5; 6) renvoie une variance de 0,16 d’après une moyenne de 5,2. VAR.P(1; 2; 3; 4; 5) renvoie une variance de 2 d’après une moyenne de 3. VAR.P(1; 1; 1; 1; 6) renvoie une variance de 4 d’après une moyenne de 2. VAR.P(2; 2; 4; 6; 6) renvoie une variance de 3,2 d’après une moyenne de 4.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 309 VDB La fonction VDB (équilibre dégressif) calcule l’amortissement d’un actif sur un intervalle de temps choisi, à l’aide de la méthode de taux dégressif double ou d’un autre taux que vous indiquez. VDB(coût; récupération; vie; début; fin; [facteur]; [non-échange])  coût : coût initial de l’actif.  récupération : valeur de récupération de l’actif.  vie : nombre de périodes d’amortissement de l’actif.  début : première période de calcul de l’amortissement.  fin : dernière période entrant dans le calcul de l’amortissement.  facteur : facultatif ; nombre déterminant le taux d’amortissement. Plus le nombre est élevé, plus l’amortissement est rapide. Si vous n’indiquez pas de taux, l’amortissement se base sur la méthode à taux dégressif double.  non-échange : facultatif ; indique si la fonction bascule vers l’amortissement linéaire quand la valeur est supérieure au montant issu de la méthode dégressive variable. Exemples VARPA(VRAI; VRAI; VRAI; VRAI; 6) renvoie 4. La valeur VRAI compte pour 1. VARPA("a"; 3; 6; 3; "b") renvoie une erreur. Exemples Si les cellules A2:E2 contiennent 10 000, 1 000, 9, 0, 1 : VDB(A2; B2; C2; D2; E2) renvoie 2222,22 ı, amortissement de la première année pour un actif de 10,000 Euros avec une durée de vie de neuf ans à l’issue de laquelle la revente s’élève à 1 000 Euros. VDB(A2; B2; C2; 1; 2) renvoie 1 728,40 ı, amortissement de la deuxième année. VDB(A2; B2; C2; 8; 9; 2; FAUX) renvoie 339,20 ı, amortissement de la dernière année s’il est possible de basculer vers l’amortissement linéaire. VDB(A2; B2; C2; 8; 9; 2; VRAI) renvoie 297,60 ı, amortissement de la dernière année s’il n’est pas possible de basculer vers l’amortissement linéaire. VDB(1000; 100; 4; 0; 1) renvoie 500 ı.310 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions CONSV La fonction CONSV extrait une valeur d’un intervalle de colonnes en prenant la colonne de valeurs de gauche puis une rangée et un numéro de colonne pour sélectionner une colonne dans cette rangée. CONSV(valeur de recherche, intervalle de cellules, colonne, [correspondance exacte])  valeur de recherche : valeur que vous souhaitez rechercher dans la colonne de gauche afin de déterminer une rangée.  intervalle de cellules : plage de cellules contenant les données. La colonne gauche contient les données à rechercher ; les rangées restantes contiennent des valeurs à récupérer.  colonne : nombre indiquant le numéro relatif de colonne de la cellule d’où vous souhaitez extraire la valeur. La colonne de gauche dans l’intervalle est la colonne 1.  correspondance exacte : valeur booléenne facultative ; détermine si une valeur exacte est requise : VRAI, 1 ou l’absence de valeur sélectionne la colonne dont la valeur de rangée supérieure la plus élevée est inférieure à la valeur de recherche si aucune occurrence exacte n’est trouvée. FAUX ou 0 renvoie une erreur s’il n’existe aucune occurrence exacte. Exemples Prenons le tableau suivant : CONSV(20; B2:E6; 2) renvoie E. CONSV(21; B2:E6; 2) renvoie E. CONSV("M"; C2:E6; 2) renvoie dolor. CONSV("blandit"; D2:E6; 2) renvoie 5. CONSV(21; B2:E6; 2; FAUX) renvoie une erreur car aucune valeur ne correspond exactement à 21 dans la colonne de gauche.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 311 LUNDI À VENDREDI La fonction LUNDI À VENDREDI convertit une date en nombre représentant le jour de la semaine, selon l’une des trois combinaisons de nombres. LUNDI À VENDREDI(date-heure; [nombre-combinaison])  date-heure : date dans l’un des formats Date acceptés ou référence à une cellule contenant la date en question.  nombre-combinaison : facultatif ; chiffre indiquant la méthode de numérotation des jours : 1 ou absence de valeur signifie que dimanche est le jour 1 et que samedi est le jour 7. 2 signifie que lundi est le jour 1 et que dimanche est le jour 7. 3 signifie que lundi est le jour 0 et que dimanche est le jour 6. ANNÉE La fonction ANNÉE extrait le numéro de l’année d’une date. ANNÉE(date-heure)  date-heure : date ou référence à une cellule contenant une date. Exemples LUNDI À VENDREDI("6 avril 1988"; 1) renvoie 4 (mercredi, le quatrième si dimanche est considéré comme le premier jour). LUNDI À VENDREDI("6 avril 1988") renvoie la même valeur que dans l’exemple précédent (le nombre de combinaison 1 est employé par défaut si cet argument n’est pas indiqué). LUNDI À VENDREDI("6 avril 1988”; 2) renvoie 3 (mercredi, le troisième jour si lundi est considéré comme le premier jour). LUNDI À VENDREDI("6 avril 1988”; 3) renvoie 2 (mercredi, le jour numéro 2 si lundi est considéré comme jour 0). Exemples ANNÉE("6 avril 1988") renvoie 1988. ANNÉE(MAINTENANT()) renvoie 2006 si la date du jour est le 4 juin 2006.Index 312 Index A ABS, fonction mathématique 225 ACCRINT, fonction financière 225 ACCRINTM, fonction financière 226 ACOS, fonction trigonométrique 227 ACOSH, fonction trigonométrique 227 ADRESSE, fonction de recherche 227 AJUSTER, fonction texte 305 Ajuster l’image, fenêtre 192 ALÉAT, fonction mathématique 285 ALÉAT.ENTRE, fonction mathématique 286 Alpha instantané 191 AMORANN, fonction financière 301 AMORDEG, fonction financière 248 AMORLIN, fonction financière 294 ANNÉE, fonction date/heure 311 annulation de modifications 35 ARRONDI, fonction mathématique 290 ARRONDI.AU.MULTIPLE, fonction mathématique 273 ARRONDI.INF, fonction mathématique 290 ARRONDI.SUP, fonction mathématique 291 ASIN, fonction trigonométrique 229 ASINH, fonction trigonométrique 229 ATAN, fonction trigonométrique 230 ATAN2, fonction trigonométrique 230 ATANH, fonction trigonométrique 230 AUJOURD’HUI, fonction date/heure 304 AVERAGEA, fonction statistique 231 Avertissements, fenêtre 29 B barre d’outils personnaliser 25 Barre Format 26 C CAR, fonction texte 233 caractères dans d’autres langues 142 caractères spéciaux et symboles insertion 143 Carnet d’adresses ajout de données de contact à un nouveau tableau 202 ajout de données des contacts à un tableau existant 201 champs pris en charge 199 cellules de tableau agrandissement pour contenir les données 61 ajout d’images 74 ajout de cases et d’autres contrôles 70 ajout de commentaires 84 ajout et modification de contenu 58 contrôle des valeurs de cellule avec des règles 73 définition de règles 73 division en parts égales 81 filtrage des rangs 86 fusion de cellules adjacentes en une seule 81 mise en forme de bordures 82 mise en forme des nombres 63 redimensionner 61 remplissage automatique 74 sélection 54 sélection d’un groupe de cellules 56 sélection de bordures 56 tri 85 utilisation de cases et d’autres contrôles 70 utilisation des chiffres 60 utilisation des dates 61 utilisation du texte 59 CENTILE, fonction statistique 277 CHOISIR, fonction de recherche 233 CNUM, fonction texte 306 CODE, fonction texte 234 COEFFICIENT.CORRELATION, fonction statistique 237 COLONNE, fonction de recherche 235 COLONNES, fonction de recherche 235 COMBIN, fonction mathématique 235 CONCATENER, fonction texte 236 CONSV, fonction de recherche 310 COS, fonction trigonométrique 238Index 313 COSH, fonction trigonométrique 238 COUPDAYBS, fonction financière 241 COVARIANCE, fonction statistique 245 CTXT, fonction mathématique 253 D DATE, fonction date/heure 245 DATEDIF, fonction date/heure 246 DB, fonction financière 247 DÉCALAGE, fonction de recherche 275, 276 DEGRÉS, fonction trigonométrique 248 DROITE, fonction texte 289 E ECART.MOYEN, fonction statistique 231 ECARTYPEP, fonction statistique 297 EDATE, fonction date/heure 250 Éditeur de formules 97 enregistrement annulation de modifications depuis le dernier enregistrement 35 avec des images modèles 34 copie d’une feuille de calcul 37 copie de sauvegarde automatique 35 en tant que modèle 36 feuille de calcul 34 Spotlight 36 ENT, fonction mathématique 259 en-têtes et bas de page 42 EPURAGE, fonction texte 234 EQUIV, fonction de recherche 267 ESTERREUR, fonction d’informations 262 ESTIMPAIR, fonction d’informations 263 ESTPAIR, fonction d’informations 262 ESTVIDE, fonction d’informations 261 ET, fonction logique 228 EURO, fonction financière 249 EXACT, fonction texte 251 EXP, fonction mathématique 251 exportation de fichier en tant que fichier CSV 206 en tant que fichier Excel 206 en tant que fichier PDF 206 F FACT, fonction mathématique 251 FAUX, fonction logique 252 fenêtre Couleurs 179 fenêtre Inspecteur 26 fenêtre Typographie 144 fermeture d’une feuille de calcul 37 feuille de calcul choix d’un modèle 31 création 31 définition du format de page 42 ouverture 33 réglage de l’orientation de page 44 réglage des marges 45 feuilles affichage et masquage de tableaux et de graphiques 38 ajout et suppression 39 d’affichage du contenu 38 impression 203 renommer 40 réorganisation 39 utilisation de feuilles pour organiser une feuille de calcul 37 visualisation 38 fichiers multimédias ajout d’une séquence vidéo 196 ajout de son 195 fichiers PDF création dans AppleWorks 194 création dans Excel 194 exportation vers 206 utilisation en tant qu’images 194 figure en forme d’étoile ajout 182 modification 187 figure en forme de polygone ajout 182 modification 188 figures ajout de figures personnalisées 182 ajout de figures prédessinées 182 conversion de points d’angle en points de courbe et vice versa 186 manipulation de points 184 mise en forme de texte dans 159 modifiables 184 modification du tracé d’une courbe 185 modification du tracé d’un segment droit 185 modifications de figures prédessinées 186 rognage d’une image à l’aide du masque par défaut (de forme rectangulaire) 190 utilisation de l’outil de dessin 182 utilisation en tant que masques 191 flèches prédessinées ajout 182 modification 187 fonctions d’informations 219 date et heure 216 de recherche 219 financières 217 logiques 218314 Index numériques 220 statistiques 222 texte 224 trigonométriques 221 utilisation 106 vue d’ensemble 214 fonctions d’informations 219 fonctions date et heure 216 fonctions de recherche 219 fonctions financières 217 fonctions logiques 218 fonctions numériques 220 fonctions statistiques 222 fonctions texte 224 fonctions trigonométriques 221 formatage conditionnel 73 formats d’image pris en charge 189 formats multimédias pris en charge 195 formules ajout d’une formule à plusieurs cellules 103 ajout d’une formule rapide 95 ajout de nouvelles formules 97, 99 calcul d’opérations arithmétiques 104 calcul élémentaire avec des valeurs d’une même colonne 96 calcul élémentaire avec des valeurs d’un même rang 96 enregistrement ou annulation des modifications 98, 99 fonctions 106 modification 98, 100 opérateurs 104 réalisation de calculs instantanés 94 suppression 96 utilisation de références de cellules 100 G GAUCHE, fonction texte 265 GRANDE.VALEUR, fonction statistique 264 graphiques affichage des axes et des bordures 120 afficher et masquer une légende 118 ajout d’étiquettes et de marques d’axe 120 ajout de données provenant de plusieurs tableaux 115 ajout de texte descriptif 125 ajouter 111 choix d’un type de graphique 112 copie de données dans 114 interprétation des séries de données 109 mise en forme 118, 126 mise en forme d’éléments d’une série de données 124 mise en forme de l’axe des valeurs 122 mise en forme de titres, d’étiquettes et de légendes 125 mise en place d’étiquettes de quadrillage et de marques de graduation 123 modification d’un type de graphique 117 modification de données 114 redimensionnement 119 remplacement d’une série de données 116 repositionnement d’une légende 118 rotation 119 graphiques 3 D définition de réglages de scène 132 modification de l’angle d’affichage 132 graphiques à barres et à colonnes ajout d’ombres 129 réglage de l’espacement 128 réglage de l’opacité 129 graphiques à couches et linéaires ajout d’ombres 130 graphiques en nuage de points définition des réglages d’axe 131 mise en forme de symboles 131 graphiques linéaires et à couches définition de la couleur de ligne 130 mise en forme de symboles 130 graphiques modification de l’orientation de la représentation 114 graphiques sectoriels affichage de noms de séries dans 126 ajout d’ombres 127 éloignement de portions individuelles 127 réglage de l’opacité 127 rotation 128 sélection de portions individuelles 126 guides d’alignement création de nouveaux guides 170 utilisation 169 guillemets courbes 144 H HEURE, fonction date/heure 256 I images ajustement automatique 193 histogramme 193 introduction à l’intérieur d’un objet 180 masquage (rognage) 189 mise à l’échelle 181 mosaïque 181 niveaux automatiques 193 réglage de l’exposition 193 réglage de la luminosité 193Index 315 réglage de la netteté 193 réglage de la saturation 193 réglage de la température 193 réglage du contraste 193 teinte 182 IMPAIR, fonction mathématique 275 importation d’un fichier à partir d’autres applications 33 en le faisant glisser 33 formats de fichier pris en charge 33 via le menu 33 impression choix d’options de disposition d’impression 204 définition du format de page 42 disposition d’objets sur des pages 43 numérotation des pages 44 pagination d’une feuille 41 réglage de l’ordre des pages 44 réglage de l’orientation de page 44 réglage de la couleur à l’aide de ColorSync 205 réglage des marges 45 utilisation d’en-têtes et de bas de page 42 utilisation de la zone de dialogue Imprimer 203 INDEX, fonction de recherche 258 INDIRECT, fonction de recherche 259 Inspecteur des documents 36, 42 Inspecteur des graphismes 124, 173, 174, 175, 176, 177, 178, 180, 181, 183 Inspecteur des liens 160, 161 Inspecteur des mesures 43, 50, 51, 119, 128 Inspecteur du texte 52, 59, 89, 140, 145, 146, 147, 149, 153, 158 Inspecteur QuickTime 196 Inspecteurs ouverture 27 ouverture multiple 27 utilisation pour la mise en forme 26 INTERVALLE.CONFIANCE, fonction statistique 236 INTPER, fonction financière 260 ISPMT, fonction financière 263 J JOUR, fonction date/heure 247 L LIEN_HYPERTEXTE, fonction de recherche 257 liens types de lien 160 vers une page web 160 vers un message électronique préadressé 160 liens hypertexte modification du texte des liens 161 lissage de police 145 listes à puces 154 génération automatique 153 numérotées 155 ordonnées (structures) 156 utilisation 153 LN, fonction mathématique 265 LOG, fonction mathématique 266 LOG10, fonction mathématique 266 LOI.POISSON, fonction statistique 278 LUNDI À VENDREDI, fonction date/heure 311 M MAINTENANT, fonction date/heure 274 MAX, fonction statistique 268 MAXA, fonction statistique 269 MEDIANE, fonction statistique 269 menus contextuels 25, 30 MILIEU, fonction texte 270 MIN, fonction statistique 270 MINA, fonction statistique 270 MINUSCULE, fonction texte 267 MINUTE, fonction date/heure 271 mise en forme du texte création d’ombres 141 modification de l’alignement horizontal du texte 146 modification de l’alignement vertical du texte 147 modification de la casse 137, 144 modification de la couleur 140 modification de la couleur d’arrière-plan du paragraphe 141 modification de la marge intérieure 153 modification de la taille et de l’apparence 134 réglage de l’écart des caractères 149 réglage de l’espacement entre les paragraphes 149 réglage de l’interligne 147 réglage du retrait des paragraphes 152 MOD, fonction mathématique 271 MODE, fonction statistique 272 modèles choix 18 conception de modèles personnalisés 208 enregistrement d’une feuille de calcul en tant que modèle 36 modèles personnalisés création 208 création de contenu de départ 211 définition d’attributs par défaut 209 définition de styles de tableaux 208 définition de tableaux réutilisables 209 enregistrement 213 MOIS, fonction date/heure 273316 Index MOYENNE, fonction statistique 231 N navigateur de média 28 NB, fonction statistique 239 NB.COUPONS, fonction financière 244 NB.JOURS.COUPON, fonction financière 242 NB.JOURS.COUPON.SUIV, fonction financière 243 NB.SI, fonction statistique 241 NB.VIDE, fonction statistique 240 NBCAR, fonction texte 265 NBVAL, fonction statistique 239 NOM.PROPRE, fonction texte 283 nombres format Date et heure 67 format de fraction 68 format monétaire 64 format pourcentage 65 format scientifique 69 mise en forme des nombres 63 NON, fonction logique 273 NPM, fonction financière 274 numéros de page ajout 42, 161 O objets ajout d’ombres 174 ajout d’une figure personnalisée 182 ajout d’une figure prédessinée 182 ajout d’une image 189 ajout d’un fichier de séquence vidéo 196 ajout d’un fichier son 195 ajout de couleurs et de dégradés de couleurs 178 ajout de reflets 176 alignement 168 copie 167 déplacement 167 duplication 167 faire pivoter 172 modification 171 modification de l’ordre d’empilement 168 modification du style des bordures 172 positionnement 168 positionnement précis 170 redimensionnement 171 réglage de l’opacité 176 regroupement et dissociation 177 retournement 172 sélection et désélection 166 suppression 167 verrouillage et déverrouillage 178 opérateurs arithmétiques 104, 105 comparaison 105 ORDONNEE.ORIGINE, fonction statistique 259 OU, fonction logique 276 outil de dessin 182 outils de formule 27 P PAIR, fonction mathématique 250 Palette de caractères 143 paramètres fictifs 188 paramètres fictifs multimédias 188, 212 PENTE, fonction statistique 295 PETIT, fonction statistique 295 PGCD, fonction mathématique 255 PI, fonction mathématique 277 PLAFOND, fonction mathématique 232 PLANCHER, fonction mathématique 253 PPCM, fonction mathématique 264 Préférences 32, 35, 65, 101, 141, 142, 144, 145, 151, 153, 160, 161, 162, 168, 170, 172 PREVISION, fonction statistique 254 PRICEDISC, fonction financière 281 PRICEMAT, fonction financière 281 PRINCPER, fonction financière 279 PRIX, fonction financière 280 PROBABILITE, fonction statistique 282 PRODUIT, fonction mathématique 283 PUISSANCE, fonction mathématique 279 Q QUOTIENT, fonction mathématique 285 R raccourcis clavier affichage d’une liste de raccourcis dans l’aide 30 utilisation 30 RADIANS, fonction trigonométrique 285 RANG, fonction statistique 286 RANGS, fonction de recherche 292 RECHERCHE, fonction de recherche 266 recherche de texte 165 RECHERCHEH, fonction de recherche 255 Rechercher et remplacer, zone de dialogue 165 rectangle aux coins arrondis ajout 182 modification 186 règle affichage et masquage 151 utilisation pour définir des retraits de paragraphe 152 utilisation pour définir un nouveau taquet de tabulation 151Index 317 utilisation pour modifier un taquet de tabulation 151 utilisation pour supprimer un taquet de tabulation 152 REMBOUR, fonction financière 278 REMPLACER, fonction texte 288 RENGÉE, fonction de recherche 292 REPT, fonction texte 288 ROMAIN, fonction mathématique 289 RRECHERCHE, fonction texte 292 S SECONDE, fonction date/heure 293 Sélecteur de modèles 18 sélecteur de modèles 32 SI, fonction logique 257 SIGNE, fonction mathématique 293 SIN, fonction trigonométrique 293 SINH, fonction trigonométrique 294 SOMME, fonction mathématique 299 SOMME.CARRÉS, fonction mathématique 301 SOMME.SI, fonction mathématique 300 SOMMEPROD, fonction mathématique 301 SQRT, fonction mathématique 296 STDEV, fonction statistique 296 STDEVA, fonction statistique 297 STDEVPA, fonction statistique 298 styles de tableaux application 88 copie et collage 89 création 90 modification 88 réattribution de nom 90 rétablissement du style par défaut 89 SUBSTITUE, fonction texte 299 SUPÉRIEUR, fonction texte 306 T T, fonction texte 302 tableaux ajout 47 ajout de bandes de couleur aux rangs 80 ajout de colonnes 76 ajout de rangs 75 à l’intérieur, utilisation de commentaires 84 attribution d’un nom 51 contrôles de mise en forme 70 copie de tableaux entre des applications iWork 53 création d’un rang de pied de page 78 création d’un rang ou d’une colonne d’en-tête 77 déplacement 51 filtrage (masquage) des rangs 86 formules 91 options permettant de masquer des rangs ou des colonnes 79 prédéfinis 52 redimensionnement 50 redimensionnement des rangs et des colonnes 79 redisposition des rangs et des colonnes 76 réutilisables, définition 52 sélection 54 sélection d’un rang ou d’une colonne 56 suppression de rangs et de colonnes 77 utilisation des rangs et des colonnes 75 TAN, fonction trigonométrique 302 TANH, fonction trigonométrique 303 taquets de tabulation création 151 modification 151 supprimer 152 utilisation de règles pour définir 150 TAUX, fonction financière 287 TAUX.ESCOMPTE, fonction financière 249 TEMPS, fonction date/heure 303 TEMPSVAL, fonction date/heure 304 texte ajout 133 ajout de zones de texte 157 dans les cellules d’un tableau 59 définition de l’alignement, de l’espacement et de la couleur 145 définition de retraits 152 définition de taquets de tabulation pour aligner le texte 150 espace insécable 163 mise en forme de la taille et de l’apparence 134 modification 133 présentation en colonnes 158 sélection 134 substitution automatique 162 utilisation de listes 153 texte à puces ajout de 154 réorganisation et modification 155 TRI, fonction financière 261 TRIM, fonction financière 271 TRONQUE, fonction mathématique 305 TROUVE, fonction texte 252 types de fichier son et vidéo pris en charge 195 types de fichier son pris en charge 195 typographie modification de la casse 144 modification de la ligne de base 144 modification du crénage 144 personnalisation de l’apparence du texte 139 utilisation des ligatures 144318 Index V VALACT, fonction financière 284 VAN, fonction financière 275 VAR, fonction statistique 306 VAR.P, fonction statistique 308 VARA, fonction statistique 307 VARPA, fonction statistique 308 VC, fonction financière 254 VDB, fonction financière 309 vérification orthographique recherche des mots mal orthographiés 163 utilisation des suggestions de correction orthographique 164 Visualiseur de clavier 141 VRAI, fonction logique 305 Z ZONES, fonction de recherche 229 zoom avant et zoom arrière 21 Découverte d’ApertureK Apple Inc. Copyright © 2008 Apple Inc. Tous droits réservés. Le propriétaire ou l’utilisateur autorisé d’un exemplaire valide d’Aperture est autorisé à reproduire cet ouvrage dans le but d’apprendre à utiliser le logiciel décrit. En revanche, il est interdit de reproduire ou de transférer tout ou partie de cet ouvrage à des fins commerciales, notamment pour en vendre des copies ou pour fournir un service d’assistance payant. Tout a été mis en œuvre pour que les informations pré- sentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des coquilles ou des erreurs d’impression. Étant donné qu’Apple publie régulièrement de nouvelles versions et des mises à jour de son logiciel système, de ses applications et de ses sites Internet, les copies d’écran reproduites dans cet ouvrage peuvent être légè- rement différentes de ce qui s’affiche réellement sur votre écran. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple et iTunes sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Aperture et Safari sont des marques d’Apple Inc. MobileMe est une marque de service d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. Les autres noms d’entreprises et de produits mentionnés dans ce document sont des marques de leurs propriétaires respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés qu’à titre d’information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple ne se porte pas garant de ces produits et décline toute responsabilité quant à leur utilisation et à leur fonctionnement.3 Table des matières 7 Chapitre 1 : Découverte d’Aperture 8 Ouverture d’Aperture 11 À essayer : la fenêtre principale 16 À essayer : les procédures de base 18 À propos de l’inspecteur Projets 21 Concepts de base essentiels 25 Chapitre 2 : Notions élémentaires sur l’importation 26 À essayer : les options d’importation 32 À propos de l’emplacement des fichiers d’images 34 À essayer : la sélection des noms de versions pour des images importées 38 Concepts de base essentiels 41 Chapitre 3 : À propos du navigateur 42 À essayer : le navigateur 45 À essayer : l’empilement des images 48 À essayer : l’affichage des images à utiliser 51 À propos des originaux et des copies de travail 55 Concepts de base essentiels4 Table des matières 57 Chapitre 4 : À propos du visualiseur 58 À essayer : le visualiseur 61 À essayer : les outils d’ajustement 63 À essayer : l’affichage des métadonnées en plus des images 65 À propos de l’inspecteur Métadonnées 67 À propos des cartes d’identification 69 Concepts de base essentiels 73 Chapitre 5 : Ajustement d’images en présentation Plein écran 74 À essayer : la présentation Plein écran 80 À essayer : le réglage de l’exposition via la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur 84 À essayer : l’amélioration d’une image 85 À essayer : l’ajustement de la balance des blancs 88 À propos des ajustements disponibles dans la palette Inspecteur et dans l’inspecteur Ajustements 91 Concepts de base essentiels 93 Chapitre 6 : Affectation de mots-clés aux images 94 À essayer : la palette Mots-clés 98 À essayer : les mots-clés dans la palette Mots-clés 101 À propos de la palette Prélever et appliquer 104 Concepts de base essentielsTable des matières 5 107 Chapitre 7 : Présentation de vos images 108 À essayer : les diaporamas 112 À essayer : les pages web d’Aperture 121 À essayer : les livres d’Aperture 126 À propos des livres 130 Concepts de base essentiels 133 Chapitre 8 : Impression d’images 134 À essayer : les options d’impression 138 Concepts de base essentiels 141 Chapitre 9 : Sauvegarde de vos images 141 À propos de la réalisation de sauvegardes 143 À essayer : la sous-fenêtre Banque 148 Concepts de base essentiels 151 Chapitre 10 : Réponses à vos questions 151 À essayer : l’Aide d’Aperture 152 Étape suivante1 7 1 Découverte d’Aperture Bienvenue dans Aperture. Si vous n’êtes pas encore familier avec Aperture et son flux de production d’images numériques, ce guide est fait pour vous. Vous allez y apprendre à ouvrir des exemples de projets pour y faire des essais et acquérir votre propre expérience pratique. Chaque chapitre de ce guide traite de fonctionnalités essentielles et vous décrit en détail les étapes à suivre pour faire différents essais. Prenez tout votre temps pour découvrir d’autres options par vous-même. Vous apprendrez ainsi les bases tout en vous amusant. Dès que vous vous sentirez à l’aise, vous pourrez utiliser vos propres photos et commencer à travailler sérieusement avec Aperture. Ce guide part du principe que vous avez déjà installé Aperture sur votre ordinateur et que le disque d’installation Aperture se trouve encore dans le lecteur.  Si vous n’avez pas encore installé Aperture : reportez-vous au fascicule Installation de votre logiciel.  Si vous n’avez pas inséré le disque d’installation Aperture dans votre lecteur : munissezvous du disque d’installation Aperture se trouvant dans votre coffret Aperture, puis insérez-le dans votre lecteur.8 Chapitre 1 Découverte d’Aperture  Si vous préférez commencer en lisant les explications détaillées sur les concepts et les procédures utilisés dans Aperture : lancez Aperture, puis choisissez Aide > Manuel de l’utilisateur d’Aperture. Ouverture d’Aperture Nous allons commencer par ouvrir Aperture et utiliser un exemple de projet. Pour lancer Aperture : 1 Double-cliquez sur l’icône Aperture dans votre dossier Applications.Chapitre 1 Découverte d’Aperture 9 Lors du premier lancement d’Aperture, plusieurs choix vous sont proposés. 2 Cliquez sur le bouton « Commencer à utiliser Aperture ». 3 Cliquez sur Continuer. 4 Lorsqu’une zone de dialogue vous invite à confirmer l’importation d’exemples de projets, cliquez sur Importer. 10 Chapitre 1 Découverte d’Aperture L’importation des exemples de projets par Aperture prend quelques instants. L’écran qui apparaît alors ressemble à l’illustration suivante : L’inspecteur Projets apparaît sur la gauche : il vous permet de créer et de travailler sur des projets contenant vos images. Désormais, vous êtes prêt à explorer la fenêtre principale. Navigateur Visualiseur Fournis à titre d’exemples, ces projets contiennent des images et des albums. Cliquez sur l’un de ces projets pour visualiser les images qu’il comporte, dans le navigateur. Inspecteur Projets Barre d’outils Bouton InspecteurChapitre 1 Découverte d’Aperture 11 À essayer : la fenêtre principale Vous allez tout d’abord afficher quelques images, puis vous vous lancerez à la découverte d’éléments essentiels de l’interface Aperture. N’oubliez pas que vous devez sélectionner un projet ou un album dans l’inspecteur Projets pour être en mesure d’afficher les images qu’il contient. Au préalable m Sélectionnez le projet Nature dans l’inspecteur Projets. Cliquez sur le projet Nature pour le sélectionner. Les images du projet apparaissent dans le navigateur. Toute image sélectionnée est encadrée par une bordure blanche.12 Chapitre 1 Découverte d’Aperture Accès direct Amusez-vous à essayer n’importe laquelle des procédures suivantes pour observer le résultat obtenu. Pour sélectionner des images : m Cliquez sur une image dans le navigateur. Appuyez sur les touches fléchées. m Cliquez sur plusieurs images dans le navigateur tout en maintenant la touche Maj enfoncée. m Appuyez sur les touches fléchées tout en maintenant la touche Maj enfoncée. Pour changer la présentation de la fenêtre principale : m Choisissez Présentation > Navigateur uniquement pour n’afficher que le navigateur. Appuyez sur les touches fléchées. m Choisissez Présentation > Visualiseur uniquement pour n’afficher que l’image sélectionnée dans le visualiseur. Appuyez sur les touches fléchées. m Appuyez plusieurs fois sur V (pour présentation) pour passer de la présentation Navigateur uniquement, Navigateur & visualiseur ou Visualiseur uniquement à la suivante. m Choisissez Présentation > Navigateur uniquement dans le menu local Présentation de la barre d’outils. m Il vous suffit de double-cliquer sur une image dans le navigateur pour l’afficher en pré- sentation Visualiseur uniquement. Double-cliquez alors sur cette image dans le visualiseur pour repasser en présentation Navigateur uniquement.Chapitre 1 Découverte d’Aperture 13 Pour changer la présentation du navigateur : m Choisissez Présentation > Navigateur & visualiseur. Cliquez sur le bouton Présentation par liste pour visualiser les images dans le navigateur sous forme de liste. m Cliquez sur le bouton Présentation en grille pour visualiser les images dans le navigateur sous forme de grille. m Cliquez sur le bouton Présentation par pellicule pour visualiser les images dans le navigateur sous forme de pellicule, à savoir une seule rangée d’images que vous pouvez utiliser pour parcourir toutes les images. m Appuyez sur I pour masquer la sous-fenêtre Inspecteur. Il vous suffit ensuite de rappuyer sur I pour l’afficher de nouveau. Bouton Présentation par liste Bouton Présentation par pellicule Bouton Présentation en grille14 Chapitre 1 Découverte d’Aperture Pour découvrir l’inspecteur Métadonnées : m Cliquez sur l’onglet Métadonnées en haut de la sous-fenêtre Inspecteur. Sélectionnez des images différentes pour consulter des informations à leur sujet. Saisissez une légende ou un mot-clé dans le champs de métadonnées. (Vous en apprendrez davantage sur ces champs dans la suite de ce guide.) Pour découvrir l’inspecteur Ajustements : m Cliquez sur l’onglet Ajustements en haut de la sous-fenêtre Inspecteur. Cliquez sur le triangle d’affichage de l’un des ajustements proposés pour afficher ses options. Cochez la case d’un ajustement, puis apportez des modifications. Désactivez cette case à cocher pour désactiver par la même occasion vos modifications. Appuyez sur I pour fermer la sous-fenêtre Inspecteur. Pour découvrir la palette Mots-clés : m Cliquez sur le bouton Mots-clés dans la barre d’outils. Utilisez la barre de défilement affichée par la palette pour parcourir tous les mots-clés présents. Cliquez sur les triangles d’affichage de la palette Mots-clés pour afficher les mots-clés associés aux diffé- rentes catégories. Faites glisser des mots-clés sur une image sélectionnée. Appuyez simultanément sur les touches Maj + H pour fermer la palette Mots-clés.Chapitre 1 Découverte d’Aperture 15 Pour passer en présentation Plein écran : m Cliquez sur le bouton Plein écran dans la barre d’outils (ou appuyez sur F pour plein écran). Placez le pointeur en bas de l’écran, au centre, pour afficher la pellicule. Sélectionnez des images sur la pellicule. Appuyez sur les touches fléchées. Pour découvrir la palette Inspecteur : m Appuyez sur H (pour palette). Faites glisser la palette sur l’écran à un emplacement pratique. Cliquez sur les boutons Projets, Métadonnées et Ajustements situés en haut de la palette pour afficher les sous-fenêtres correspondantes. Notez que cette palette mobile comporte les mêmes options que les inspecteurs. Appuyez sur H pour fermer la palette Inspecteur. Appuyez sur la touche F pour quitter la présentation Plein écran. (Vous en apprendrez davantage sur la présentation Plein écran dans la suite de ce guide.) Pour afficher le contenu des albums d’un projet : m Appuyez sur I pour afficher la sous-fenêtre Inspecteur. Cliquez ensuite sur l’onglet Projets pour afficher l’inspecteur Projets. Cliquez sur le triangle d’affichage situé à côté du nom du projet Nature pour visualiser tous les dossiers et les albums qu’il contient. Ouvrez les dossiers, puis cliquez sur les différents albums du projet pour les consulter. Pour créer un nouvel album en vue de contenir une sélection d’images : m Dans le navigateur, cliquez sur cinq ou six images tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour les sélectionner. Choisissez Fichier > Nouveau à partir de la sélection > Album. Attribuez un nom de votre choix à ce nouvel album. Vous en apprendrez davantage sur plusieurs de ces fonctions dans la suite de ce guide. Pour l’instant, contentez-vous de découvrir les diverses parties de la fenêtre principale et de vous familiariser avec.16 Chapitre 1 Découverte d’Aperture À essayer : les procédures de base Vous vous posez certainement des questions sur les procédures à suivre. Cette section vous guide pour réaliser certaines tâches de base. La liste suivante vous fournit des points de repère pour exécuter des procédures, sans pour autant vous les décrire dans le détail. Toutefois, si vous préférez vous faire une idée précise de chaque procédure avant de faire vos essais, consultez l’Aide d’Aperture. Accès direct m Création d’un nouveau projet vide : choisissez Fichier > Nouveau projet. Vous pouvez importer des images dans un projet grâce aux commandes d’importation ou les faire glisser depuis le navigateur Aperture après avoir sélectionné un autre projet ou album. Un projet est en fait un objet qui contient vos images et toutes leurs copies de travail. m Importation d’images depuis un appareil photo ou un lecteur de carte : raccordez votre appareil photo ou votre lecteur de carte à votre ordinateur. La zone de dialogue d’importation apparaît. Elle vous permet de sélectionner les images que vous souhaitez importer. Sélectionnez votre nouveau projet dans l’inspecteur Projets. Vos images vont maintenant être importées dans ce projet. Si vous le souhaitez, sélectionnez, puis importez quelques photos pour vous exercer ou cliquez sur Annuler pour fermer zone de dialogue d’importation. (Vous en apprendrez davantage sur l’importation d’images dans le chapitre suivant.)Chapitre 1 Découverte d’Aperture 17 m Classement d’images : dans le navigateur, sélectionnez l’image que vous souhaitez classer, puis appuyez sur une touche numérique comprise entre 1 et 5 pour lui appliquer un classement allant d’une à cinq étoiles. Appuyez sur 0 (zéro) pour supprimer un classement et sur 9 pour rejeter une image. Appuyez sur le signe plus (+) pour augmenter un classement d’une étoile et sur le signe moins (–) pour le diminuer de la même valeur. Appliquez à plusieurs images un classement cinq étoiles. (Vous en apprendrez davantage sur le classement dans la suite de ce guide.) m Affichage d’une sélection d’images basée sur leur classement : choisissez un niveau de classement dans le menu local du champ de recherche. Aperture n’affiche alors que les images correspondant au classement choisi. Choisissez Tout afficher pour visualiser de nouveau de toutes les images. m Suppression d’un projet : sélectionnez le projet que vous venez de créer. Choisissez Fichier > Supprimer le projet. (Ne supprimez pas les exemples de projets, car vous allez les utiliser dans la suite de ce guide. Si vous en avez déjà supprimé un, réimportez-le depuis le disque d’installation Aperture en choisissant Fichier > Importer > Projets.) Champ de recherche Menu local du champ de recherche18 Chapitre 1 Découverte d’Aperture À propos de l’inspecteur Projets À présent, observez l’inspecteur Projets où se trouvent votre photothèque d’images, vos projets et vos albums. L’icône Photothèque est affichée tout en haut de l’inspecteur Projets. La photothèque Aperture effectue le suivi de tous les projets, albums et images, peu importe que les images soient stockées dans la photothèque Aperture ou à un autre emplacement sur un disque dur ou un support de stockage. Lorsque vous avez importé les exemples de projets, toutes les informations sur ces projets, leurs images et leurs albums ont été placés dans la photothèque. Projets Photothèque Albums intelligents prédéfinis Projet sélectionné ouvert pour afficher ses dossiers et albumsChapitre 1 Découverte d’Aperture 19 Aperture crée une photothèque dans le dossier Images de votre disque dur lorsque vous lancez Aperture pour la première fois. Vous pouvez choisir d’importer des images dans la photothèque ou permettre à Aperture d’y accéder à partir d’autres emplacements sur des disques durs différents. Lorsque vous cliquez sur le triangle d’affichage situé à côté de l’icône Photothèque, les albums intelligents prédéfinis chargés de collecter automatiquement les images en fonction de critères spécifiques apparaissent. Par exemple, l’album intelligent nommé « 5 étoiles » affiche toutes les images avec un classement cinq étoiles. Quant à l’album intelligent nommé « Dans la semaine écoulée », il regroupe toutes les images prises au cours de la dernière semaine. Vous avez la possibilité de créer vos propres albums intelligents pour rassembler des images sur des critères de votre choix. Vous pouvez, par exemple, créer un album intelligent qui collecte automatiquement toutes les images dotées du mot-clé Portrait ou Très gros plan. Les projets vous servent à organiser vos images. Un projet contient les fichiers numériques d’origine, appelés originaux, et les différentes copies de travail de chaque image. Un original correspond donc à l’image d’origine importée depuis votre appareil photo ou toute autre source. Au fil du travail que vous effectuez sur les images et de leurs modifications, Aperture crée des copies de travail à partir de l’original. Un fichier de copie de travail est bien moins volumineux que l’original auquel il fait référence. En d’autres termes, la création de nouvelles copies de travail ne risque pas de saturer votre disque dur, car elle ne duplique pas toutes les données contenues dans l’original. Aperturen’utilise que des copies de travail et ne modifie jamais leur original. Vos prises de vue initiales sont donc préservées.20 Chapitre 1 Découverte d’Aperture Un projet peut contenir des dizaines de milliers d’originaux et encore bien plus de copies de travail. Par ailleurs, vous pouvez créer autant que projets que vous le souhaitez, votre seule limite étant liée à l’espace disponible sur votre disque. Vous pouvez, par exemple, créer un projet distinct pour chaque prise de vue. Les projets représentent le composant le plus fondamental d’Aperture, car ils contiennent vos originaux. Un album est un conteneur au sein d’un projet ou de l’inspecteur Projets, qui vous sert à organiser vos copies de travail de vos images. Vous créez des albums pour répondre à un objectif particulier. Vous pouvez, par exemple, créer un album de photos pour une espèce spécifique d’oiseaux. Utilisez ensuite les albums pour organiser les images, ce qui facilite la gestion de vos sélections de copies de travail. Pour placer une copie de travail dans un album, faites glisser l’image correspondante depuis le navigateur vers cet album dans l’inspecteur Projets. AlbumsChapitre 1 Découverte d’Aperture 21 Concepts de base essentiels  Originaux : ce sont les fichiers image d’origine importés depuis votre appareil photo numérique, une carte mémoire, un ordinateur ou d’autres supports de stockage externes. Aperture ne modifie jamais les originaux. L’image d’origine est ainsi préservée et peut être réutilisée.  Copies de travail : les images affichées et modifiées dans Aperture s’appellent des copies de travail. Ces copies de travail sont basées sur un original. Vous pouvez les modifier, les copier et les ajuster à votre guise.  Projets : conteneurs servant à conserver les fichiers numériques d’origine, les copies de travail et les albums. Si vous déplacez un fichier de projet, son contenu est également déplacé.  Albums : conteneurs servant à organiser les copies de travail dans un but spécifique. Vous pouvez créer des albums à l’intérieur ou à l’extérieur des projets. Parmi les diffé- rents types d’albums disponibles, vous avez le choix entre les albums intelligents, les albums de type table lumineuse, les albums de pages web, les albums de journaux web et les albums-livres.  Photothèque : base de données vous permettant de gérer vos fichiers, de l’importation jusqu’à la diffusion, en passant par les ajustements d’images. Une fois que vous avez importé vos images, la photothèque assure le stockage et le suivi de vos originaux et des copies de travail correspondantes. La photothèque gère aussi les projets et les albums que vous créez pour organiser vos images. Toutes les modifications apportées à vos images, y compris les ajustements et les métadonnées, sont stockées dans la photothèque, que les originaux soient situés dans la photothèque ou à un autre emplacement sur disque.22 Chapitre 1 Découverte d’Aperture  Palette : fenêtre flottante que vous pouvez déplacer à l’écran à des fins pratiques et qui vous sert à modifier les images. Nous allons à présent étudier davantage l’importation d’images dans Aperture.2 25 2 Notions élémentaires sur l’importation Aperture propose de nombreuses options d’importation conçues pour répondre aux besoins des photographes chevronnés. Ce chapitre vous permet d’apprendre à importer des images sélectionnées et vous offre un aperçu des fonctions d’importation de base. Vous allez créer un projet de test, puis y importer des images en recourant à diverses méthodes d’attribution de noms et de préparation des images pour l’importation. Dès que vous aurez acquis une certaine expérience de l’importation d’exemples d’images, vous pourrez envisager d’importer vos propres images. Important : assurez-vous d’avoir bien compris les modes d’importation utilisés dans Aperture et planifié la structure de votre photothèque Aperture avant de commencer à importer réellement vos images. En effet, vous allez constituer un système organisé permettant de garder la trace de milliers d’images. Une planification préalable peut donc considérablement simplifier la gestion de vos fichiers sur le long terme. Pour des explications détaillées sur la planification d’une stratégie d’importation et la configuration d’un système Aperture, consultez le Manuel de l’utilisateur d’Aperture accessible à travers le menu Aide d’Aperture.26 Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation À essayer : les options d’importation Aperture vous permet de sélectionner en toute simplicité les images à importer, nommer les fichiers, leur affecter des informations d’identification (appelées des métadonnées) et stocker des images. Lorsque vous connectez un appareil photo à votre ordinateur ou insérez une carte contenant des images dans un de ses lecteurs, la sous-fenêtre et la zone de dialogue d’importation apparaissent. Vous pouvez alors sélectionner les images que vous souhaitez importer et indiquer des options d’importation. Zone de dialogue d’importation Bouton Importer des images Sous-fenêtre d’importation Barre d’outilsChapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation 27 Au préalable Au lieu de commencer par importer des images depuis un appareil photo ou un lecteur de carte, vous allez tout d’abord importer des exemples d’images depuis un dossier situé votre disque dur. Si vous disposez de cinq ou six images personnelles avec lesquelles vous êtes suffisamment à l’aise pour procéder à des essais, placez-les dans un dossier sur votre bureau. Si vous préférez faire vos premiers pas avec les images issues des exemples de projets Aperture, exportez cinq ou six images vers un dossier sur votre bureau. Pour exporter des exemples d’images vers un dossier sur votre bureau : 1 Sélectionnez le projet Nature dans l’inspecteur Projets. 2 Sélectionnez cinq ou six images dans le navigateur. 3 Choisissez Fichier > Exporter > Originaux. Appuyez simultanément sur les touches Commande + D pour sélectionner le bureau en tant qu’emplacement de destination de vos images exportées. 4 Cliquez sur le bouton Nouveau dossier, saisissez « Exemples » comme nom de dossier, puis cliquez sur Créer. 5 Cliquez sur le bouton Exporter les originaux. Aperture exporte les images sélectionnées vers le dossier situé sur votre bureau. Vous pouvez alors importer ces images en procédant à des essais avec les options d’attribution de nom et les autres options d’importation d’Aperture.28 Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation Pour ouvrir la zone de dialogue d’importation et préparer l’importation des exemples d’images : 1 Choisissez Fichier > Nouveau projet pour créer un projet vide. Attribuez un nom à ce projet, comme Test d’importation, puis appuyez sur Retour. 2 Cliquez sur ce nouveau projet dans l’inspecteur Projets pour le sélectionner, le cas échéant. 3 Cliquez sur le bouton Importer dans la barre d’outils pour ouvrir la sous-fenêtre d’importation. 4 Cliquez sur Fichiers locaux dans la sous-fenêtre d’importation.Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation 29 La zone de dialogue d’importation apparaît. Informations sur les fichiers d’images. La flèche d’importation pointe vers le projet sélectionné, où les images vont être stockées. Sélectionnez un appareil photo, un lecteur de carte, un disque dur ou tout autre périphérique de stockage contenant vos images. Bouton Importer des images. Sélectionnez l’icône du disque et du dossier pour accéder aux images que vous souhaitez importer. Sélectionnez ici l’emplacement de destination de vos fichiers d’images. Vous pouvez les placer dans la photothèque ou les conserver à un autre emplacement du disque dur. Indiquez ici les types de métadonnées que vous souhaitez ajouter. Curseur Empiler automatiquement.30 Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation Accès direct Pour accéder à vos images : m Cliquez sur Bureau dans la sous-fenêtre d’importation, puis sélectionnez le dossier contenant les exemples d’images. Ces images apparaissent sous forme de vignettes. Pour sélectionner les images à importer : m Cliquez sur une vignette pour la sélectionner. Consultez la zone Données de l’image pour lire des informations au sujet de cette image. Appuyez sur la touche Flèche droite ou Flèche gauche pour sélectionner d’autres images. m Maintenez enfoncée la touche Maj tout en appuyant sur les touches fléchées pour sélectionner plusieurs images. Cliquez sur des images spécifiques tout en maintenant la touche Commande enfoncée pour les sélectionner/désélectionner. Pour sélectionner toutes les images, choisissez Édition > Tout sélectionner. En revanche, cliquez sur la zone grise située entre les images pour tout désélectionner. Pour sélectionner le projet où conserver vos images : m Cliquez sur le projet Football dans l’inspecteur Projets. Notez que la flèche d’importation se déplace pour indiquer que les images vont être importées vers ce projet. Dans l’inspecteur Projets, cliquez sur le projet vide que vous venez de créer pour le sélectionner. Pour sélectionner où les originaux sont stockés sur vos disques durs : m Sélectionnez cinq ou six images dans la zone de dialogue d’importation. Déroulez le menu local Stocker les fichiers pour afficher ses options. Choisissez « Dans la photothè- que Aperture » pour stocker les fichiers dans la photothèque Aperture située sur votre disque dur. Vous pouvez également choisir d’enregistrer les fichiers à un autre emplacement de votre disque dur ou les laisser à leur emplacement actuel, s’ils sont déjà présents sur un disque dur.Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation 31 Pour choisir une convention d’attribution de noms pour les images : m Choisissez « Nom personnalisé avec index » dans le menu local « Nom de la version ». Saisissez le nom à attribuer à toutes les images dans le champ Nom. Aperture attribue alors à chaque image importée le nom personnalisé reprenant la version que vous avez indiquée et en lui ajoutant un numéro d’index. Observez le champ « Nom ajusté du fichier » en rouge dans la zone Données de l’image pour savoir comment les noms des versions vont apparaître. L’utilisation de noms personnalisés pour les images importées est facultative. Vous pouvez tout simplement accepter de conserver les noms de fichiers que portent actuellement les images. Pour ajouter des métadonnées : m Choisissez Général dans le menu local « Ajouter les métadonnées de ». Des champs apparaissent pour vous permettre d’indiquer les métadonnées à enregistrer au sujet des images importées. m Saisissez « Test d’importation » dans le champ Légende. Cette légende est ajoutée à toutes les images importées. m Saisissez « Test, Exemple » (sans les guillemets, mais avec une virgule de séparation) dans le champ Mots-clés. Ces deux mots-clés sont automatiquement affectés à toutes les images importées. m Ajoutez toutes les métadonnées de votre choix dans les autres champs. 32 Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation Pour importer des images et les consulter dans le navigateur : m Cliquez sur le bouton Importer des images, en bas à droite de la zone de dialogue d’importation, pour importer les images sélectionnées. m Sélectionnez les images importées dans le navigateur. Appuyez simultanément sur les touches Contrôle + D pour afficher l’inspecteur Métadonnées et observez les métadonnées que vous avez affectées. Notez que vous pouvez les modifier si vous le souhaitez. À propos de l’emplacement des fichiers d’images Lorsque vous importez des images, vous pouvez choisir de stocker les originaux dans la photothèque Aperture ou à un autre emplacement de l’un de vos disques durs. Les images gérées sont placées physiquement dans le fichier de la photothèque Aperture sur votre disque dur. De ce fait, les fichiers et toutes les informations qui les concernent sont gérés et sauvegardés par Aperture. Bouton Importer des imagesChapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation 33 Les images référencées sont des images dont les originaux ne sont pas stockés dans la photothèque, mais à un autre emplacement d’un disque dur ou de tout autre support. Aperture fait seulement référence à ces originaux à leur emplacement actuel. L’utilisation des images référencées présente l’avantage de pouvoir importer un portfolio d’images stockées sur le disque dur sans avoir à les copier physiquement ou à les déplacer vers la photothèque Aperture. Vous pouvez également permettre à Aperture d’accéder à des images situées sur différents disques durs. Vous pouvez tout simplement autoriser Aperture à faire référence à des fichiers, en recourant à votre organisation de fichiers et au nom de vos fichiers en place pour vos images. Aperture ne sauvegarde et ne modifie en aucun cas les images référencées : c’est à vous de vous en charger. Il est important de réfléchir au préalable à la façon dont vous allez importer votre portfolio d’images numériques. La photothèque Aperture peut facilement effectuer le suivi de toute combinaison d’images gérées et référencées. Comme il peut arriver que vous ayez déjà plusieurs milliers d’images stockées sur disque, vous pouvez décider quelles images vous souhaitez importer dans la photothèque Aperture et lesquelles importer comme des images références en les laissant à leur emplacement actuel sur disque. Vous pouvez également copier ou déplacer des images vers un autre emplacement sur disque lors de leur importation.34 Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation Après l’importation d’images en tant qu’images référencées, vous avez la possibilité de travailler sur des copies de travail de ces images comme s’il s’agissait d’images gérées dans la photothèque Aperture. Le suivi de tous les ajustements effectués sur les images référencées et les métadonnées qui leur sont appliquées est effectué dans la photothèque Aperture, au même titre que pour des images gérées. Important : si vous retirez ou déconnectez un disque dur ou tout autre support contenant des originaux référencés, Aperture peut alors continuer à afficher et à effectuer le suivi des copies de travail des images que vous avez créées. Toutefois, si vous souhaitez effectuer des ajustements sur ces images, vous devez reconnecter le disque dur ou le support pour qu’Aperture puisse accéder aux originaux. Aperture retrouve automatiquement les fichiers et y accède dès que vous reconnectez le disque dur ou le support. À essayer : la sélection des noms de versions pour des images importées Il est maintenant temps d’approfondir vos connaissances sur la façon d’attribuer un nom à vos images. Lorsque vous importez des images, vous pouvez autoriser Aperture à utiliser les noms d’origine attribués par l’appareil photo ou recourir à une convention d’attribution de noms que vous choisissez ou créez. Aperture vous propose un certain nombre de pré- réglages pour les formats de noms, mais vous pouvez également créer vos propres conventions pour nommer vos images en fonction des divers types de prises réalisées. Vous avez la possibilité de choisir un préréglage pour le format des noms au moment de l’importation de nouvelles photos.Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation 35 Aperture vous propose les préréglages suivants pour les formats de noms. Vous avez la possibilité d’attribuer des noms à vos fichiers d’images au moment de leur importation et de leur exportation. Vous pouvez, par exemple, importer des images de votre appareil photo et indiquer le format des noms à appliquer à toutes les versions des images créées par Aperture. Vous pouvez également appliquer les mêmes noms à vos originaux, qu’ils soient stockés dans la photothèque ou sur un disque dur. Vous allez maintenant tenter d’importer plusieurs fois les mêmes images en appliquant des conventions d’attribution de noms différentes à chaque fois. Remarque : Aperture propose l’option « Ne pas importer de doublons » dans la zone de dialogue d’importation, que vous pouvez activer pour éviter d’importer des photos en double. Laissez cette option désactivée pour les tentatives d’importation d’images décrites ci-après. Préréglage de format de nom Exemple Nom de fichier de l’original IMG001 Date/heure de l’image 2005-10-14 09.03.25 PM Nom de la version IMG001 Date/heure et nom de la copie IMG001 - 2005-10-14 09.03.25 PM Nom de copie de travail avec séquence IMG001 (1 sur 2), IMG002 (2 sur 2), etc. Nom de copie avec index IMG001 1, IMG002 2, etc. Nom personnalisé avec index Thaïlande 1, Thaïlande 2, etc. Nom personnalisé avec compteur Thaïlande 001, Thaïlande 002, etc.36 Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation Accès direct m Attribution d’un nom de version et d’un numéro d’index : appuyez sur les touches Commande + I pour ouvrir la zone de dialogue d’importation. Cliquez sur les six premières images tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour les sélectionner en vue de les importer dans la zone de dialogue d’importation. Choisissez « Nom de copie avec index » dans le menu local « Nom de la version ». Cliquez sur le bouton Importer des images, en bas à droite de la zone de dialogue d’importation. Observez les noms des copies en sélectionnant des images dans le navigateur. (Appuyez sur les touches Contrôle + D pour afficher l’inspecteur Métadonnées, si nécessaire.) Après avoir observé les images, choisissez Édition > Tout sélectionner pour toutes les sélectionner, puis supprimez-les en choisissant Fichier > Supprimer les copies de travail. Dans la zone de dialogue « Supprimer les images patrons et toutes les versions », cliquez sur Supprimer. m Attribution d’un nom de version et d’un numéro de séquence : appuyez sur les touches Commande + I pour ouvrir la zone de dialogue d’importation. Cliquez sur les six premiè- res images tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour les sélectionner à nouveau. Choisissez « Nom de copie de travail avec séquence » dans le menu local « Nom de la version ». Cliquez sur le bouton Importer des images, en bas à droite de la zone de dialogue d’importation. Observez les noms des fichiers importés. Après avoir observé les images, choisissez Édition > Tout sélectionner pour toutes les sélectionner, puis supprimezles en choisissant Fichier > Supprimer les copies de travail. Dans la zone de dialogue « Supprimer les images patrons et toutes les versions », cliquez sur Supprimer.Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation 37 m Attribution de la date et de l’heure de l’image comme nom de version : appuyez sur les touches Commande + I pour ouvrir la zone de dialogue d’importation. Cliquez sur les six premières images tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour les sélectionner à nouveau. Choisissez « Date/heure de l’image » dans le menu local « Nom de la version ». Cliquez sur le bouton Importer des images, en bas à droite de la zone de dialogue d’importation. Observez les noms des fichiers importés. Après avoir observé les images, choisissez Édition > Tout sélectionner pour toutes les sélectionner, puis supprimez-les en choisissant Fichier > Supprimer les copies de travail. Dans la zone de dialogue « Supprimer les images patrons et toutes les versions », cliquez sur Supprimer. Vous pouvez créer vos propres formats personnalisés de noms, appelés formats de noms de préréglages. Une fois que vous avez créé un format personnalisé, il apparaît dans le menu local « Nom de la version » de la zone de dialogue d’importation. Séance de prise de vues en mode connecté Vous pouvez dorénavant connecter certains types d’appareils photo à votre ordinateur et importer automatiquement vos images dans Aperture, où elles apparaissent immédiatement à l’écran. Idéal pour les prises de vues en studio, les séances en mode connecté vous permettent de regarder sans délai vos images en pleine résolution dans Aperture. Pour en savoir plus sur les séances en mode connecté et les types d’appareils photo pris en charge, consultez le chapitre sur l’importation dans le Manuel de l’utilisateur d’Aperture, accessible à travers le menu Aide d’Aperture.38 Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation Concepts de base essentiels  Image gérée : image dont l’original est stocké dans la photothèque Aperture.  Image référencée : image dont l’original n’est pas stocké dans la photothèque Aperture mais à un autre emplacement sur disque. Aperture fait simplement référence au fichier à son emplacement actuel. Le disque dur ou le support contenant ce fichier doit être accessible pour permettre à Aperture d’apporter des ajustements à l’image correspondante.  Format de nom de préréglage : format de nom que vous avez créé et enregistré. Vous pouvez ensuite l’utiliser pour attribuer des noms aux copies de travail et aux originaux des images que vous importez. Vous pouvez également utiliser ces formats de noms de préréglages pour attribuer des noms aux fichiers exportés.  Métadonnées : données descriptives à propos d’une image et sur la façon dont elle a été récupérée et formatée. Aperture est capable d’enregistrer et d’effectuer le suivi de nombreux types de métadonnées couramment utilisés par les photographes, y compris les métadonnées EXIF (Exchangeable Image File) et IPTC (International Press Telecommunications Council). Recourez à l’inspecteur Métadonnées pour afficher et modifier des métadonnées. Nous allons à présent en apprendre plus sur l’utilisation du navigateur et sur ses fonctionnalités.3 41 3 À propos du navigateur Le navigateur vous propose des moyens efficaces pour consulter et sélectionner des images dans vos projets. Dans ce chapitre, nous allons découvrir certaines des fonctionnalités du navigateur. Images présentées sous forme de grille dans le navigateur.42 Chapitre 3 À propos du navigateur À essayer : le navigateur Lorsque vous sélectionnez un projet ou un album dans l’inspecteur Projets, les vignettes des images qu’il contient s’affichent dans le navigateur. Sélectionnez alors ces vignettes pour travailler sur les images correspondantes. Vous pouvez ensuite déplacer et réorganiser les images, les faire pivoter, créer de nouvelles copies de travail ou supprimer des images du projet. Curseur de redimensionnement Bouton Type de tri Menu local Tri Commande de déplacementChapitre 3 À propos du navigateur 43 Au préalable 1 Sélectionnez le projet Nature dans l’inspecteur Projets. 2 Le cas échéant, choisissez Présentation > Navigateur uniquement pour activer la présentation n’affichant que le navigateur. Reportez-vous à l’illustration du navigateur ci-dessus pour localiser les éléments que vous souhaitez utiliser. Accès direct Pour sélectionner les images à afficher : m Cliquez sur des images non adjacentes tout en maintenant la touche Commande enfoncée pour les sélectionner. Faites de même pour désélectionner toutes les images précédemment sélectionnées. m Choisissez Édition > Tout sélectionner pour sélectionner toutes les images présentes dans le navigateur. Choisissez Édition > Tout désélectionner pour toutes les désélectionner. Pour changer l’ordre des images : m Dans le navigateur, faites glisser une image à un autre emplacement. Faites-la glisser jusqu’à ce qu’une barre verte apparaisse à l’endroit où vous souhaitez placer cette image. Vous remarquez que le menu local Tri indique désormais que vous avez créé un ordre personnalisé. m Utilisez le menu local Tri pour trier les images par date, classement ou mot-clé. Cliquez sur le bouton Types de tri pour trier les images par ordre croissant ou décroissant. Pour modifier l’affichage du navigateur : m Faites glisser le curseur de redimensionnement des vignettes pour modifier la taille des vignettes.44 Chapitre 3 À propos du navigateur m Choisissez Aperture > Préférences, puis cliquez sur Apparence. Faites glisser le curseur « Luminosité de l’arrière-plan (Navigateur) » pour régler à votre guise la luminosité de l’arrière-plan. Vous pouvez modifier ce réglage à tout moment. Fermez la fenêtre Préférences. Pour faire pivoter des images : m Sélectionnez une image dans le navigateur, puis cliquez sur « Faire pivoter vers la gauche » ou « Faire pivoter vers la droite » pour lui appliquer une rotation par incréments de 90 degrés. Sélectionnez plusieurs images, puis cliquez sur les boutons de rotation. Pour rechercher des images : m Cliquez sur le bouton Réinitialiser (avec un X) du champ de recherche, puis entrez un texte (un mot-clé, par exemple) pour afficher uniquement les images associées à ce texte. Entrez successivement les mots « chouette », « geai » et « épervier » pour rechercher des images dans le projet Nature. Supprimez le texte entré dans le champ pour afficher de nouveau le reste des images. Boutons de rotation Bouton Réinitialiser du champ de rechercheChapitre 3 À propos du navigateur 45 À essayer : l’empilement des images Aperture est capable de regrouper automatiquement des photos connexes, au moment où vous les importez et lorsque vous les utilisez dans le navigateur. Si, par exemple, vous avez pris une série de vues en cadence rapide (par exemple, à l’occasion d’un événement sportif) ou si vous faites des prises de vue en rafale afin d’utiliser différents réglages de lumière ou d’exposition, vous souhaiterez probablement examiner ces différents clichés ensemble. Aperture peut les empiler automatiquement en se basant sur l’intervalle de temps qui sépare leur capture par l’appareil photo. Cette pile affiche une série de photos prises successivement. Cliquez sur ce bouton pour ouvrir ou fermer la pile.46 Chapitre 3 À propos du navigateur Vous pouvez également sélectionner manuellement des images dans le navigateur pour les empiler. L’image qui représente la pile, appelée la meilleure image, est affichée à gauche de la pile ouverte. Vous pouvez faire glisser des images dans une pile sans faire attention à leur ordre et changer la meilleure image à tout moment. Le bouton Pile (situé dans le coin supérieur gauche de la meilleure image de la pile) indique le nombre d’images que contient la pile. Au préalable m Sélectionnez le projet Mariage dans l’inspecteur Projets. Le bouton Pile indique le nombre d’images dans la pile. La pile est ici développée ou ouverte.Chapitre 3 À propos du navigateur 47 Accès direct m Empilement automatique d’images : choisissez Piles > Empiler automatiquement. Dans la palette Empiler automatiquement les images, faites glisser le curseur pour définir l’intervalle de temps maximal d’un ensemble de prises de vue à empiler. Inspectez les différentes piles constituées pour vérifier si l’intervalle de temps défini est le bon ou s’il doit être rallongé ou raccourci. m Création manuelle d’une pile : dans le navigateur, sélectionnez les images que vous souhaitez empiler. Choisissez Piles > Empiler. m Sélection de la meilleure image : faites glisser l’image voulue en position de meilleure image (la plus à gauche) dans la pile. Lorsqu’une barre verte apparaît, relâchez le bouton de la souris. m Réorganisation des images dans une pile : faites glisser les images dans la pile afin de modifier leur ordre. Ajoutez ou supprimez des images de la pile en les faisant glisser à l’intérieur ou à l’extérieur de la pile. m Suppression de l’empilement d’une sélection d’images : sélectionnez une pile, puis choisissez Piles > Défaire la pile.48 Chapitre 3 À propos du navigateur À essayer : l’affichage des images à utiliser Vous pouvez régler le navigateur pour qu’il n’affiche que les images sur lesquelles vous avez envie de travailler. Par exemple, vous avez la possibilité d’afficher uniquement les images prises à une certaine date, avec un classement spécifique ou associées à des métadonnées particulières, comme des mots-clés. Pour régler le navigateur afin qu’il n’affiche que certaines images, cliquez sur le bouton Palette de requête, puis indiquez votre critère de recherche. Vous pouvez lancer une recherche en fonction d’un texte saisi, du classement, des mots-clés, de la date, des données IPTC et EXIF, des sessions d’exportation, d’autres métadonnées ou de l’état du fichier, voire combiner ces critères à volonté.Chapitre 3 À propos du navigateur 49 Au préalable 1 Sélectionnez le projet Nature dans l’inspecteur Projets. 2 Cliquez sur le bouton Palette de requête dont l’icône représente une loupe, en regard du champ de recherche dans le navigateur. La palette Requête apparaît. Bouton Palette de requête Menu local Champ de recherche Ajouter un filtre Bouton Nouvel album intelligent Bouton Nouvel album avec les images actuelles Menu local Action de la palette de requête Menu local Satisfaire50 Chapitre 3 À propos du navigateur Accès direct m Affichage des images du projet avec un classement spécifique : dans la palette Requête, cochez la case Classement, choisissez « est » dans le menu local Classement, puis faites glisser le curseur Classement sur la position « quatre étoiles ». Toutes les images dotées d’un classement quatre étoiles s’affichent alors dans le navigateur. m Affichage des images du projet non classées ou meilleures : choisissez maintenant « est supérieur ou égal à » dans le menu local Classement, puis faites glisser le curseur Classement sur la position « Non classé ». Désormais, seules les images non classées ou meilleures s’affichent dans le navigateur. Les images rejetées sont masquées. Désactivez la case à cocher Classement pour désactiver par la même occasion votre critère de recherche sur le classement. m Affichage des images prises à une date spécifique : dans la palette Requête, cochez la case Calendrier. Affichez le mois de décembre 2006, puis cliquez sur des dates différentes pour afficher les images prises ces jours précis. Par exemple, cliquez sur le 8 décembre, puis maintenez enfoncée la touche Maj et cliquez sur une autre date pour définir une plage de dates. Vous pouvez également cliquer sur des dates non adjacentes tout en maintenant la touche Commande enfoncée pour les sélectionner. Désactivez la case à cocher Calendrier pour désactiver par la même occasion votre critère de recherche sur la date. m Affichage des images dotées d’un mot-clé spécifique : dans la palette Requête, cochez la case Mots-clés. Une liste des mots-clés utilisés dans le projet apparaît. Cochez la case de l’un de ces mots-clés pour afficher uniquement les images comportant ce mot-clé. Désactivez la case à cocher Mots-clés pour désactiver par la même occasion votre critère de recherche sur le mot-clé. Fermez la palette Requête en cliquant sur sa case de fermeture (X), en haut à gauche.Chapitre 3 À propos du navigateur 51 Pour des explications détaillées sur la palette de requête et les critères de recherche, consultez le Manuel de l’utilisateur d’Aperture accessible à travers le menu Aide d’Aperture. À propos des originaux et des copies de travail Lorsque vous importez une photo dans Aperture, le fichier de départ représente l’original. Vous ne pouvez jamais ni utiliser ni modifier directement un original. Aperture vous affiche toujours une copie de travail de l’original à manipuler. Toute modification ou ajustement effectué par vos soins est appliqué à cette copie de travail. Une copie de travail n’est pas pour autant un double de l’original. Il s’agit d’un fichier plus petit dont la majeure partie des données provient de l’original sous-jacent. Ainsi, quand vous créez plusieurs copies de travail d’une photo, vous ne risquez pas de saturer votre disque dur en dupliquant un original volumineux. Même si vous ne travaillez jamais directement sur un original, il est associé au projet dans lequel vous l’avez importé au début. Vous déplacez un original en faisant glisser une copie de travail d’un projet à l’autre. L’original et toutes les copies de travail de l’image sont alors transférés à l’emplacement du nouveau projet. Parallèlement, Aperture conserve des copies de travail de l’image dès qu’elles apparaissent dans d’autres albums. De cette façon, aucune copie de travail ne disparaît des albums que vous avez créés.52 Chapitre 3 À propos du navigateur Création de plusieurs copies de travail Il peut arriver que vous soyez dans l’obligation de créer plusieurs copies de travail d’une même image. Vous pouvez, par exemple, être amené à créer une autre copie de travail d’une image pour lui appliquer un nouveau réglage d’exposition ou pour l’utiliser à des fins différentes, comme sa publication sur une page web ou dans un livre destiné à l’impression. Lorsque vous créez une nouvelle copie de travail d’une image, vous avez le choix entre repartir de l’original ou vous baser sur la copie de travail actuellement sélectionnée, avec tous les changements que vous lui avez déjà apportés. Dans le cas où vous avez appliqué une série d’ajustements à une image et souhaitez maintenant repartir de l’original pour essayer des ajustements différents, vous pouvez demander une copie de l’image d’origine et recommencer à partir d’une image non retouchée. Pour créer une nouvelle copie de travail à partir de l’original : 1 Sélectionnez l’image dont vous souhaitez copier l’original. 2 Choisissez Images > Nouvelle copie de travail à partir de l’original. Vous pouvez également dupliquer une copie de travail sélectionnée, puis lui apporter d’autres modifications. Pour dupliquer une copie de travail d’une image sélectionnée : 1 Sélectionnez l’image que vous souhaitez dupliquer. 2 Choisissez Images > Dupliquer la copie de travail. Si vous créez plusieurs copies de travail d’une image, Aperture les place dans une pile. Vous pouvez ainsi ouvrir une pile et voir toutes les copies de travail réalisées à partir d’une photo spécifique. Vous pouvez également extraire une image d’une pile, la supprimer ou la placer ailleurs.Chapitre 3 À propos du navigateur 53 À propos de la suppression d’images Vous avez la possibilité de supprimer des copies de travail particulières d’une image à partir d’un album ou d’un projet. Vous pouvez également supprimer son original, entraînant de même celle de toutes les copies de travail associées de la photothèque Aperture. Pour supprimer une copie de travail d’un album (et non d’un projet) : m Sélectionnez une copie de travail dans un album, puis appuyez sur la touche Suppr. Cette copie de travail est supprimée de l’album, mais toutes les autres copies de travail de l’image et l’original sont conservés sans autre modification dans la photothèque Aperture. Pour supprimer une copie de travail d’un projet : m Sélectionnez une copie de travail dans un projet, puis maintenez enfoncée la touche Commande et appuyez sur Suppr. Si l’image sélectionnée est l’une des nombreuses copies de travail d’un original, elle est supprimée immédiatement, sans affecter toutes les autres. En revanche, si l’image sélectionnée est la seule copie de travail d’un original, une zone de dialogue vous invite à indiquer si vous souhaitez également supprimer l’original. Cliquez alors sur Supprimer pour supprimer l’original et son unique copie de travail du système Aperture.54 Chapitre 3 À propos du navigateur Qu’advient-il des images supprimées ? Lorsque vous supprimez une copie de travail, cette copie et toutes les informations à son sujet, à savoir les métadonnées et les ajustements, sont supprimées de la photothèque. Vous pouvez choisir Édition > Annuler pour restaurer une copie de travail supprimée. Si vous avez copié la photothèque sur une banque, les données de la copie de travail restent présentes dans la banque jusqu’à la mise à jour suivante de ladite banque. Lorsque vous supprimez un original géré situé dans la photothèque, il est placé dans la Corbeille. Vous pouvez alors ouvrir la Corbeille pour récupérer le fichier, si nécessaire. Vous le trouverez dans un dossier portant le nom du projet qui contenait cette image. Lorsque vous supprimez un original référencé situé en dehors de la photothèque, vous pouvez choisir de conserver inchangé le fichier d’origine de l’image à son emplacement sur disque. Bien que le fichier ait été supprimé du système Aperture, il ne l’est pas pour autant de votre disque dur, sauf si vous avez indiqué à Aperture de le faire.Chapitre 3 À propos du navigateur 55 Concepts de base essentiels  Pile : groupe d’images dont vous pouvez réduire ou développer l’affichage dans le navigateur. Aperture peut créer des piles automatiquement en fonction de la durée séparant la prise des images d’un groupe. Par ailleurs, vous pouvez créer des piles manuellement en sélectionnant des images, puis en les empilant.  Palette de requête : palette disponible dans Aperture, qui vous permet d’indiquer des critères de recherche pour déterminer quelles images afficher dans le navigateur. Vous pouvez ainsi visualiser une sélection d’images au sein d’un projet basée sur les métadonnées associées à ces images, comme les classements, les mots-clés, les données IPTC et EXIF, voire en combinant ces métadonnées. Nous allons ensuite découvrir comment utiliser le visualiseur pour travailler vos images dans le détail.56 Chapitre 3 À propos du navigateur4 57 4 À propos du visualiseur Le visualiseur vous permet d’examiner une image avec un niveau de détail incroyable ou d’en visionner plusieurs à la fois. Nous allons utiliser le visualiseur pour étudier les détails de certaines images, puis comparer des images et les classer au fur et à mesure de leur affichage. Vous allez également apprendre à utiliser des outils très simples pour faire pivoter, rogner et redresser des images. Le visualiseur affiche l’image sélectionnée. Vous pouvez régler le visualiseur pour qu’il affiche des métadonnées, telles que le nom de la copie de travail, le classement et les mots-clés.58 Chapitre 4 À propos du visualiseur À essayer : le visualiseur Vous avez la possibilité de configurer Aperture de façon à afficher les images dans le navigateur et le visualiseur ou dans le visualiseur uniquement. Lorsque vous sélectionnez des images dans le navigateur, le visualiseur vous présente immédiatement une vue détaillée de votre sélection. Vous pouvez choisir d’afficher une seule image à la fois, trois images ou une sélection de plusieurs images. Vous pouvez également recourir à une loupe grossissante pour examiner des agrandissements partiels des images. Bouton Loupe Barre d’outils Barrette d’outilsChapitre 4 À propos du visualiseur 59 Au préalable 1 Sélectionnez le projet Nature dans l’inspecteur Projets. 2 Choisissez Présentation > Navigateur & visualiseur. Reportez-vous à l’illustration du visualiseur ci-dessus pour localiser les éléments que vous souhaitez utiliser. Accès direct Pour changer le nombre d’images affichées par le visualiseur : m Choisissez Présentation > Visualiseur principal > Par trois pour afficher jusqu’à trois images à la fois. Sélectionnez des images différentes. m Choisissez Présentation > Visualiseur principal > Afficher une seule image pour afficher uniquement des images précises, même si vous avez sélectionné plusieurs images dans le navigateur. m Choisissez Présentation > Visualiseur principal > Afficher plusieurs images pour afficher toutes les images sélectionnées. Sélectionnez plusieurs images. Cliquez sur des images tout en maintenant les touches Maj et Commande enfoncées pour les afficher et les comparer dans le visualiseur. Pour comparer deux images placées côte à côte : m Pour comparer des images, sélectionnez tout d’abord une image, puis appuyez sur Retour. Appuyez sur les touches fléchées pour afficher différentes images à côté de l’image de comparaison. Appuyez sur Retour pour sélectionner une autre image de comparaison. Appuyez simultanément sur les touches Commande + Retour pour mettre fin à la comparaison d’images.60 Chapitre 4 À propos du visualiseur Pour observer des images avec la loupe : m Cliquez sur le bouton Loupe dans la barre d’outils, puis faites glisser la loupe à divers endroits. Choisissez « Mise au point sur le curseur » dans le menu local situé dans le coin inférieur droit de la loupe. Déplacez le pointeur vers les sections de l’image que vous souhaitez examiner. Pour changer le grossissement de la loupe, choisissez d’autres pourcentages de zoom dans le menu local Loupe. Si vous avez besoin d’afficher les valeurs de couleur, choisissez Valeurs de couleur dans le menu local Loupe. Pour modifier la taille de la loupe, faites glisser son coin inférieur droit. Enfin, pour masquer la loupe, choisissez Présentation > Masquer la loupe. Pour afficher les images en pleine résolution : m Sélectionnez une image, puis appuyez sur la touche Z pour l’afficher en pleine résolution. Pour parcourir une image plus grande que l’écran, faites glisser le rectangle rouge situé à l’intérieur du cadre gris qui se superpose à l’image dans le visualiseur. Maintenez enfoncée la barre d’espace et faites ensuite glisser l’image dans le visualiseur pour la repositionner. Appuyez à nouveau sur la touche Z pour désactiver l’affichage en pleine résolution.Chapitre 4 À propos du visualiseur 61 Pour afficher des images en mode d’aperçu rapide : m Choisissez Présentation > Aperçu rapide. Appuyez alors sur les touches fléchées pour afficher rapidement des images dans le visualiseur. En mode d’aperçu rapide, Aperture affiche des prévisualisations JPEG au lieu de charger toutes les données des originaux et des copies de travail. Utilisez ce mode lorsque vous souhaitez naviguer rapidement au sein d’un grand nombre d’images. Vous pouvez, par exemple, activer le mode d’aperçu rapide pour sélectionner et comparer rapidement des images. Lorsque ce mode est sélectionné, certaines des fonctions proposées par Aperture et nécessitant l’accès aux originaux, comme les ajustements, ne sont pas disponibles. Vous devez donc vous assurer de désactiver le mode d’aperçu rapide si vous souhaitez utiliser ces fonctions. Pour ce faire, choisissez une nouvelle fois Présentation > Aperçu rapide. Vous pouvez également appuyer sur la touche P pour activer ou désactiver ce mode. À essayer : les outils d’ajustement Vous êtes maintenant prêt à apporter quelques modifications simples à des images, comme les redresser et les rogner. Pour procéder à ces modifications, vous allez utiliser les outils suivants de la barrette d’outils. Outil Redresser Outil Sélection Outil de rognage62 Chapitre 4 À propos du visualiseur Accès direct m Redressement d’une image cadrée selon un angle incorrect : sélectionnez l’outil Redresser. Positionnez cet outil sur l’image dans le visualiseur, puis faites-le glisser légèrement jusqu’à ce qu’une grille jaune apparaisse. En vous servant des lignes de la grille comme de repères, faites glisser lentement l’image pour la pivoter. Relâchez le bouton de la souris dès que vous obtenez l’orientation voulue. Appuyez sur les touches Contrôle + A pour afficher l’inspecteur Ajustements. Vous remarquez que la case de l’ajustement Redresser est cochée pour signaler que l’image a été redressée. Cliquez sur le triangle d’affichage de l’ajustement Redresser pour afficher les options et les réglages correspondants. Tentez d’utiliser ces options de redressement pour changer le degré de rotation appliqué à l’image. (Vous devez avoir sélectionné l’outil Redresser pour être autorisé à modifier les réglages.) Désactivez la case Redresser pour supprimer cet ajustement. m Rognage d’une image à une taille spécifique : sélectionnez l’outil Rogner. La palette Rogner apparaît. Elle vous permet de sélectionner une taille et une orientation précises pour l’image rognée finale. Faites glisser un rectangle sur l’image pour indiquer la zone que vous souhaitez inclure à l’image rognée. Choisissez diverses tailles et orientations dans le menu local « Contraindre l’outil de rognage à », afin de vous rendre compte de l’effet de ces options sur le rectangle de rognage. Une fois que le rectangle de rognage a la taille et la position recherchées, appuyez sur Retour ou fermez la palette Rogner. L’image rognée apparaît dans le visualiseur à la taille et aux proportions sélectionnées. Si besoin est, vous pouvez resélectionner l’outil Rogner pour ajuster le rognage. Chapitre 4 À propos du visualiseur 63 Pour afficher l’inspecteur Ajustements, appuyez sur Contrôle + A ou plusieurs fois sur la touche W jusqu’à ce que la sous-fenêtre Ajustements apparaisse. Vous remarquez que la case de l’ajustement Rogner est cochée pour signaler que l’image a été rognée. Cliquez sur le triangle d’affichage de l’ajustement Rogner pour afficher les options et les réglages correspondants. Tentez d’utiliser ces options pour changer la taille et la position du rognage appliqué à l’image. Désactivez la case Rogner pour supprimer ce rognage. À essayer : l’affichage des métadonnées en plus des images Vous pouvez très facilement afficher des types d’informations spécifiques avec vos images. Par exemple, Aperture vous offre la possibilité d’afficher les métadonnées EXIF ou IPTC associées à vos données. Dans la fenêtre Préférences, la sous-fenêtre Métadonnées vous permet d’indiquer les informations affichées avec les images dans le visualiseur et le navigateur. Réglages de l’affichage des métadonnées dans le navigateur Réglages de l’affichage des métadonnées dans le visualiseur64 Chapitre 4 À propos du visualiseur Accès direct Pour régler l’affichage des métadonnées dans le visualiseur et le navigateur : 1 Choisissez Aperture > Préférences ou appuyez sur les touches Commande + virgule (,). 2 Cliquez sur le bouton Métadonnées. 3 Cochez la case Visualiseur pour définir les réglages d’affichage dans le visualiseur. 4 Cliquez sur le bouton Ensemble 1, puis choisissez Général dans le menu local Ensemble 1. 5 Choisissez En dessous dans les menus locaux Placement. 6 Cochez la case Navigateur pour définir les réglages d’affichage dans le navigateur. 7 Cliquez sur le bouton Ensemble 1, puis choisissez Général dans le menu local Ensemble 1. 8 Choisissez En dessous dans les menus locaux Placement. 9 Fermez la fenêtre Préférences. Consultez des images dans le visualiseur et le navigateur pour vérifier l’association de métadonnées désormais affichées. Chapitre 4 À propos du visualiseur 65 À propos de l’inspecteur Métadonnées L’inspecteur Métadonnées vous permet de visualiser et de modifier des métadonnées spécifiques associées à une image sélectionnée. Pour afficher cet inspecteur, appuyez sur I pour ouvrir la sous-fenêtre Inspecteur, puis cliquez sur l’onglet Métadonnées. Choisissez une présentation pour l’inspecteur dans le menu local Présentation des métadonnées. Modifiez et organisez vos pré- sentations de métadonnées via ce menu local. Inspecteur Métadonnées66 Chapitre 4 À propos du visualiseur Vous avez la possibilité de changer la combinaison de métadonnées affichée dans l’inspecteur Métadonnées en choisissant une autre présentation dans le menu local Présentation des métadonnées. Vous pouvez également changer les éléments de métadonnées qu’il est possible de modifier. Par ailleurs, vous pouvez personnaliser les présentations des métadonnées, voire ajouter ou supprimer des champs de métadonnées en fonction de vos besoins. Cliquez sur les boutons situés en bas de l’inspecteur pour personnaliser les métadonnées utilisées dans une présentation de métadonnées particulière. Vous avez également la possibilité d’ajouter les métadonnées actuelles aux champs de la présentation que vous souhaitez appliquer à vos images. Vous pouvez, par exemple, ajouter votre nom au champ Crédit et le faire apparaître automatiquement sur toutes les images que vous importez. Pour ce faire, cliquez sur le bouton IPTC en bas de l’inspecteur Métadonnées, puis entrez votre nom dans le champ de métadonnées Crédit. Une fois que vous avez personnalisé les champs de métadonnées avec les informations que vous utilisez régulièrement, enregistrez leur présentation et les informations que vous avez saisies sous forme de préréglage de métadonnées. Vous pouvez alors utiliser ce préréglage à tout moment pour appliquer des combinaisons de métadonnées à vos images. Si vous êtes souvent en contact avec une banque d’images qui exige une combinaison de métadonnées spécifique, vous pouvez créer un préréglage de métadonnées à cet effet. Ainsi, à chaque fois que vous importez des images destinées à cette banque ou que vous préparez l’envoi d’images à cette banque, vous pouvez appliquer les métadonnées requises à l’aide du préréglage que vous avez créé.Chapitre 4 À propos du visualiseur 67 À propos des cartes d’identification Lorsque vous appliquez des ajustements, des mots-clés ou d’autres modifications à une image, Aperture marque cette image à l’aide d’une icône, appelée une carte d’identification, qui signale les modifications subies. Ces cartes d’identification indiquent que des mots-clés et des ajustements ont été appliqués à cette image. Classement68 Chapitre 4 À propos du visualiseur Voici quelques exemples de cartes d’identification susceptibles d’apparaître sur vos images. La visibilité des cartes d’identification dépend de la présentation des métadonnées choisie. Pour contrôler la présence de cartes d’identification, choisissez une présentation de métadonnées incluant ces cartes via la sous-fenêtre Métadonnées de la fenêtre Préférences. Important : les cartes d’identification ne sont affichées qu’au sein de l’application Aperture. Elles n’apparaissent pas sur les images exportées ou imprimées à partir d’Aperture. Carte d’identification Définition Un ou plusieurs ajustements ont été appliqués à cette image. Un ou plusieurs mots-clés ont été appliqués à cette image. Ces images sont contenues dans une pile. Le nombre affiché indique le nombre d’images dans la pile. Cette image a été modifiée à l’aide d’un éditeur externe. Nombre de fois où une image a été placée dans la Table lumineuse, sur les pages d’un livre ou sur des pages web. ouChapitre 4 À propos du visualiseur 69 Concepts de base essentiels  Ajustement : toute modification apportée à l’aspect d’une image.  Inspecteur Ajustements : sous-fenêtre (accessible via la sous-fenêtre Inspecteur) qui répertorie les ajustements et les options d’ajustement disponibles pour une image sélectionnée. Pour afficher l’inspecteur Ajustements, choisissez Fenêtre > Afficher l’Inspecteur, puis cliquez sur l’onglet Ajustements.  Image de comparaison : image sélectionnée à comparer à d’autres images dans le visualiseur. Pour sélectionner une image de comparaison, sélectionnez tout d’abord une image, puis appuyez sur Retour. Appuyez simultanément sur les touches Commande + Retour pour mettre fin à la comparaison d’images.  Inspecteur Métadonnées : sous-fenêtre (accessible via la sous-fenêtre Inspecteur) qui répertorie les métadonnées et les options de métadonnées disponibles pour une image sélectionnée. Pour afficher l’inspecteur Métadonnées, choisissez Fenêtre > Afficher l’Inspecteur, puis cliquez sur l’onglet Métadonnées.  Présentation des métadonnées : Aperture organise l’affichage de combinaisons spécifiques de métadonnées, appelées présentations des métadonnées. Si vous choisissez une présentation de métadonnées particulière, vous indiquez quelle combinaison de métadonnées doit apparaître avec vos images. Par exemple, une présentation peut afficher les données des champs IPTC, alors qu’une autre affiche le nom de la copie de travail, le classement et la légende. Aperture vous propose des dizaines de présentations des métadonnées. Qui plus est, vous pouvez créer vos propres présentations.70 Chapitre 4 À propos du visualiseur  Préréglage de métadonnées : présentation personnalisée des métadonnées qui enregistre également des métadonnées spécifiques. Par exemple, un préréglage de métadonnées peut inclure une combinaison particulière de champs IPTC ainsi que les données IPTC en cours, si vous souhaitez les voir apparaître avec vos images. Vous pouvez alors utiliser ces préréglages pour appliquer des combinaisons de métadonnées à vos images.  Cartes d’identification : petites icônes apparaissant sur les images pour indiquer que ces dernières ont été modifiées ou qu’elles comportent un certain état. Par exemple, si une image a subi un ajustement, la carte d’identification correspondante est affichée. Les cartes d’identification apparaissent uniquement si vous avez choisi dans Aperture une présentation des métadonnées qui prévoit l’affichage de telles cartes. Vous allez ensuite découvrir comment utiliser vos images en présentation Plein écran.72 Chapitre 4 À propos du visualiseur5 73 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran Vous avez la possibilité d’afficher et de travailler sur vos images en présentation Plein écran. Grâce à la présentation Plein écran, vous disposez d’un espace de travail plus grand et obtenez une vue détaillée de vos images, ce qui facilite d’autant votre travail. Présentation Plein écran74 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran À essayer : la présentation Plein écran La présentation Plein écran affiche vos images sur un simple arrière-plan noir. Elle peut être activée sur un seul ou sur deux moniteurs. La présentation Plein écran dispose d’une barre d’outils et d’une pellicule qui vous aident à visualiser, organiser et ajuster vos images. Dans ce chapitre, vous allez afficher des images en présentation Plein écran, puis utiliser la pellicule, la barre d’outils et la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur. Pellicule disponible en présentation Plein écran Barre d’outils disponible en présentation Plein écranChapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 75 Au préalable 1 Sélectionnez le projet Nature dans l’inspecteur Projets, le cas échéant. 2 Appuyez sur la touche F pour basculer en présentation Plein écran. La touche F vous permet d’activer ou de désactiver la présentation Plein écran. Reportez-vous à l’illustration de la pellicule ci-dessus pour localiser les éléments que vous souhaitez utiliser. Bouton Palette de requête Images présentées dans la pellicule Barre de défilement Champ de recherche Commande de déplacement Curseur de redimensionnement des vignettes76 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran Accès direct Pour utiliser la pellicule en vue d’afficher des images : m Cliquez sur une image dans la pellicule. (Si nécessaire, placez le pointeur en bas de l’écran pour afficher la pellicule.) m Appuyez sur la touche Flèche gauche ou Flèche droite. m Maintenez enfoncée la touche Maj tout en appuyant plusieurs fois sur une touche fléchée. Cliquez sur des images non adjacentes sur la pellicule tout en maintenant la touche Commande enfoncée pour les sélectionner. m Faites glisser la commande de déplacement pour parcourir les images sur la pellicule. m Appuyez sur la touche L ou J pour vous déplacer au sein des images. Appuyez sur la touche K pour interrompre le déplacement. Vous pouvez appuyer plusieurs fois sur les touches L et J pour accélérer la vitesse de déplacement. m Faites glisser le curseur de redimensionnement des vignettes pour modifier la taille des images affichées sur la pellicule.Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 77 Pour utiliser la pellicule : m Choisissez Désactiver le masquage dans le menu local « Action de la pellicule » afin que la pellicule soit toujours affichée. m Choisissez l’une des positions proposées pour la pellicule dans le menu local « Action de la pellicule ». Vous pouvez opter pour un affichage de la pellicule à gauche, à droite ou en bas de l’écran. Pour comparer et classer des images : m Cliquez sur une image, puis appuyez sur Retour. Appuyez sur les touches fléchées pour comparer une image originale à une autre image. Appuyez sur Retour pour sélectionner une autre image de comparaison. Appuyez simultanément sur les touches Commande + Retour pour mettre fin à la comparaison d’images. Menu local Action de la pellicule78 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran m Sélectionnez une image. Cliquez sur les divers boutons de classement pour classer cette image. Vous pouvez également appuyer sur les touches numériques et sur le signe plus (+) ou moins (–) pour modifier les classements. Pour faire pivoter des images : m Sélectionnez une image, puis cliquez sur les boutons de rotation. Pour rechercher des images : m Cliquez sur le bouton Palette de requête, puis recherchez des images sur des mots-clés. Saisissez le mot-clé « héron » dans le champ de recherche de la palette de requête. Supprimez ensuite ce mot-clé. Cochez la case Mots-clés, puis cochez les diverses cases des mots-clés sur lesquels vous souhaitez effectuer votre recherche. Désactivez la case Mots-clés, puis fermez la palette de requête. Boutons de classement Champ de recherche Bouton Palette de requête Boutons de rotationChapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 79 Pour utiliser la barre d’outils et les outils de sélection : m Si nécessaire, placez le pointeur en haut de l’écran jusqu’à ce que la barre d’outils apparaisse. Choisissez Par trois dans le menu local Mode d’affichage. Choisissez ensuite Multi dans le menu local Mode d’affichage, puis sélectionnez un groupe d’images sur la pellicule. m Sélectionnez une seule image, puis cliquez sur le bouton « Réduire/agrandir le visualiseur » pour agrandir l’image à une vue à cent pour cent, pixel pour pixel. Parcourez l’image en faisant glisser le rectangle rouge affiché dans le cadre gris ou maintenez enfoncée la barre d’espace tout en faisant glisser l’image. Cliquez à nouveau sur le bouton « Réduire/agrandir le visualiseur » pour réduire l’image à sa taille d’origine. m Cliquez sur le bouton Loupe de la barre d’outils pour accéder à la Loupe. Faites des essais avec la Loupe. Cliquez à nouveau sur le bouton Loupe pour masquer la Loupe. Menu local Mode d’affichage Bouton Loupe Bouton Réduire/agrandir le visualiseur Bouton Palette de l’inspecteur80 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran À essayer : le réglage de l’exposition via la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur La présentation Plein écran est idéale pour apporter des modifications et effectuer des ajustements à l’aide des palettes proposées par Aperture. L’une des principales palettes utilisées dans Aperture s’appelle la palette de l’inspecteur. Dans cette rubrique, vous allez utiliser la sous-fenêtre Ajustements de la palette de l’inspecteur pour modifier l’exposition. Les palettes sont disponibles en présentation Plein écran et peuvent faciliter la retouche d’images.Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 81 Les commandes d’ajustement Exposition vous servent à régler l’exposition, récupérer des détails en tons clairs et ajuster les noirs des images ombrées. Elles vous permettent également de corriger l’exposition des images prises dans des conditions d’éclairage difficiles. Laissez libre cours à votre créativité et appliquez autant d’ajustements que vous le souhaitez aux exemples d’images. Vous pourrez toujours les désactiver ou les supprimer ultérieurement. Ce guide succinct n’a pas pour objectif de détailler avec précision l’utilisation des divers ajustements proposés par Aperture. Pour l’instant, faites simplement quelques essais avec les options d’ajustement, tout en sachant que vous pourrez en apprendre davantage par la suite. Au préalable 1 Cliquez sur le bouton Palette de l’inspecteur pour afficher cette palette. Bouton Palette de l’inspecteur82 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 2 Cliquez sur le bouton Ajustements dans la palette Inspecteur. 3 Faites glisser la palette à un emplacement qui vous convient sur l’écran et qui vous permet de sélectionner et modifier des options tout en visualisant leur effet sur une image. Cliquez sur ce triangle d’affichage pour visualiser les commandes de cet ajustement. Curseur Exposition Boutons « Niveaux automatiques - combinés » et « Niveaux automatiques - séparés » Bouton Exposition automatique Utilisez la sous-fenêtre Ajustements en présentation Plein écran pour éliminer les défauts et effectuer des retouches sur vos images.Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 83 Accès direct m Ajustement automatique d’images : sélectionnez une image nécessitant un ajustement de son exposition. Cliquez sur les boutons « Niveaux automatiques - combinés » et « Niveaux automatiques - séparés » pour vérifier comment Aperture ajuste automatiquement l’image. m Modification manuelle de l’exposition : cliquez sur le triangle d’affichage de l’ajustement Exposition pour afficher les commandes correspondantes, puis cochez la case Exposition. Faites glisser le curseur Exposition. Vous pouvez également cliquer en tout point le long du curseur pour déplacer la case à cet emplacement. Cliquez sur la flèche vers la gauche ou la droite de la case de valeur Exposition pour modifier l’exposition de l’image par intervalles d’un dixième de f-stop ou placez le pointeur dans la zone de valeur. m Modification de la luminosité : faites glisser le curseur Luminosité. m Récupération des détails perdus dans les tons clairs : sélectionnez une image dont les tons clairs sont surexposés. Cliquez sur le triangle d’affichage de l’ajustement Exposition pour afficher les commandes correspondantes, puis cochez la case Exposition. Faites glisser le curseur Récupération vers la droite pour modifier les zones de tons clairs de l’image, puis vers la gauche pour réduire l’effet des tons clairs. Utilisez le curseur et la case de valeur Récupération pour récupérer les détails perdus dans les tons clairs de l’image.84 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran m Récupération des détails perdus dans les ombres : sélectionnez une image avec des zones ombrées. Cliquez sur le triangle d’affichage de l’ajustement Exposition pour afficher les commandes correspondantes, puis cochez la case Exposition. Faites glisser le curseur Point noir pour modifier l’aspect des détails dans les zones ombrées. Remarque : vous pouvez également combiner l’utilisation des commandes d’ajustement « Tons clairs et tons foncés » avec les commandes Récupération et Point noir pour corriger l’exposition des images prises dans des conditions d’éclairage difficiles. m Activation ou désactivation de vos ajustements d’exposition : cochez la case Exposition ou désactivez-la. À essayer : l’amélioration d’une image L’ajustement Amélioration vous permet de modifier le contraste, la clarté, la saturation, l’éclat et la teinte d’une image. Faites des essais avec ces divers ajustements pour vous familiariser avec leur fonctionnement. Utilisez le curseur et la case de valeur Point noir pour régler les valeurs de luminosité des zones ombrées de l’image.Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 85 Au préalable m Sélectionnez une image. Dans la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur, cliquez sur le triangle d’affichage de l’ajustement Amélioration pour visualiser les commandes correspondantes, puis cochez la case Amélioration. Accès direct m Modification du contraste : faites glisser le curseur Contraste. m Modification de la définition : faites glisser le curseur Définition. m Modification de la saturation : faites glisser le curseur Saturation. m Modification de l’éclat : faites glisser le curseur Éclat. m Activation ou désactivation de vos ajustements d’amélioration : cochez la case Amélioration ou désactivez-la. À essayer : l’ajustement de la balance des blancs L’ajustement Balance des blancs vous permet de modifier la température de couleur et la teinte d’une image. Si vous disposez d’une image dont certains pixels sont supposés être d’un blanc pur, vous pouvez utiliser la pipette Balance des blancs pour régler automatiquement la température de couleur et la teinte ou procéder manuellement. Bien qu’Aperture soit en mesure de régler la balance des blancs d’une image avec une grande précision, vous serez parfois amené à utiliser une combinaison de ces deux méthodes pour qu’une image apparaisse avec la tonalité chaude ou froide que vous recherchez.86 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran Au préalable m Sélectionnez une image permettant de procéder à un ajustement de la balance des blancs. Dans la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur, cliquez sur le triangle d’affichage de l’ajustement Balance des blancs pour visualiser les commandes correspondantes, puis cochez la case Balance des blancs. Accès direct m Utilisation de la pipette Balance des blancs pour modifier la balance des couleurs : sélectionnez la pipette Balance des blancs. La Loupe apparaît et une vue agrandie de la zone cible est affichée à l’emplacement du pointeur. Positionnez la pipette sur les pixels de l’image qui représentent un gris neutre, puis cliquez. Sélectionnez la pipette Balance des blancs pour activer la Loupe.Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 87 m Modification manuelle des réglages de température de couleur : faites glisser le curseur Température vers la gauche pour obtenir une tonalité plus froide ou vers la droite pour une tonalité plus chaude. m Modification manuelle du réglage de la teinte : faites glisser le curseur Teinte vers la gauche pour ajouter du vert à l’image ou vers la droite pour lui ajouter du magenta. Utilisez le curseur et la case de valeur Température pour régler la température de couleur de l’image. Utilisez le curseur et la case de valeur Teinte pour régler la teinte de l’image.88 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran À propos des ajustements disponibles dans la palette Inspecteur et dans l’inspecteur Ajustements Vous venez de vous familiariser avec l’utilisation des ajustements disponibles dans la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur. Il vous faut savoir que la sous-fenê- tre Ajustements propose exactement les mêmes options que l’inspecteur Ajustements dans la fenêtre principale. Ajustements disponibles Histogramme (réglé pour afficher les canaux rouge, vert et bleu) Menu local Action d’ajustement Menu local Ajouter des ajustementsChapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 89 Chaque ajustement proposé dans la palette Inspecteur ou l’inspecteur Ajustements comporte des propriétés individuelles, appelées paramètres, pour lesquelles vous pouvez indiquer une plage de valeurs. Certains ajustements sont toujours affichés dans la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur et l’inspecteur Ajustements, alors que d’autres n’apparaissent qu’en fonction des opérations que vous réalisez. Par exemple, si vous modifiez une image à l’aide de l’outil Redresser, les commandes de l’ajustement Redresser sont ajoutées à l’inspecteur Ajustements ou à la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur. Vous pouvez également intégrer des ajustements à l’inspecteur ou à la palette en sélectionnant des ajustements dans le menu local Ajouter des ajustements. Le menu local Ajouter des ajustements d’Aperture vous propose les ajustements suivants. Ajustement Fonction Retoucher Retouche les imperfections d’une image en lui appliquant des effets brossés. S’utilise avec l’outil Retoucher. Correction de l’effet yeux rouges Réduit le rouge des yeux des personnes présentes sur vos images. S’utilise avec l’outil Yeux rouges. Retoucher et corriger Retouche les imperfections d’une image, dues par exemple à la présence de poussières sur l’objectif. S’utilise avec l’outil Retoucher et corriger. Corriger le vignettage Permet de corriger l’effet de vignette appliquée à une image. Redresser Redresse l’horizon de l’image. S’utilise avec l’outil Redresser. Rogner Recadre l’image. S’utilise avec l’outil Rogner. Balance des blancs Définit la balance des blancs d’une image en réglant sa tempé- rature de couleur et sa teinte.90 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran Retournement Inverse la composition de l’image horizontalement et verticalement. Exposition Règle l’exposition, la récupération des tons clairs, le réglage du point noir des ombres et la luminosité des images. Améliorer Règle le contraste, la définition, la saturation et l’éclat d’une image, ainsi que les teintes noires, grises et blanches. Niveaux Ajuste de façon sélective la palette tonale d’une image. Tons clairs et tons foncés Règle de façon différenciée l’exposition des tons clairs et des tons foncés d’une image. Couleur Règle la teinte, la saturation et la luminance couleur par couleur, ainsi que la plage chromatique. Mélangeur monochrome Permet de commander de façon sélective les canaux de couleur source rouge, vert et bleu lors de la conversion d’une image couleur en niveaux de gris. Couleur monochrome Désature l’image et applique une teinte de votre choix dans les tons intermédiaires. Teinte sépia Transforme une image couleur en image sépia, ce qui vous permet de désaturer l’image couleur et d’appliquer le niveau de coloration sépia recherché. Réduction du bruit Réduit les parasites numériques affectant une image. Renforcement de la netteté Renforce la netteté de l’image. Renforcement de la netteté des contours Renforce le netteté des contours de l’image en fonction de la luminance, en appliquant plusieurs passes. Vignette Applique à l’image un effet de vignette. Ajustement FonctionChapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 91 Concepts de base essentiels  Ajustement : toute modification apportée à l’aspect d’une image.  Palette Inspecteur : palette offrant accès aux diverses options relatives aux projets, aux métadonnées et aux ajustements. Elle comporte les mêmes options et commandes que les inspecteurs.  Case de valeur : commandes couramment utilisées pour modifier les réglages des paramètres, soit en cliquant sur les flèches pour augmenter ou diminuer une valeur, soit en faisant glisser le curseur, soit en entrant une valeur précise dans le champ numérique. Nous allons ensuite découvrir les méthodes utilisées par Aperture pour appliquer des mots-clés.92 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran6 93 6 Affectation de mots-clés aux images Aperture vous permet d’affecter des mots-clés à vos images avec une grande efficacité. En effet, cette tâche généralement fastidieuse est considérablement simplifiée dans Aperture grâce à la palette Mots-clés. Vous pouvez y sélectionner des mots-clés en toute simplicité, puis les affecter à des images et à des groupes d’images. Dans ce chapitre, vous allez découvrir les options relatives aux mots-clés proposés par Aperture. Palette Mots-clés94 Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images À essayer : la palette Mots-clés Cette palette vous permet d’ajouter rapidement des mots-clés à des images. La palette Mots-clés contient une bibliothèque de mots-clés prédéfinis que vous pouvez affecter à vos images. Vous avez la possibilité de parcourir très simplement l’ensemble des mots-clés proposés et d’en rechercher, mais vous pouvez également ajouter vos propres mots-clés ou en supprimer. La palette Mots-clés se met à jour automatiquement à chaque fois que vous saisissez un mot-clé. Lorsque vous entrez, par exemple, un nouveau mot-clé dans l’inspecteur Métadonnées, il apparaît dans la palette Mots-clés. Si vous en modifiez par la suite l’orthographe ou la casse, il est mis à jour pour toutes les images auxquelles il a été affecté. Bouton Fermer Champ de recherche Liste de mots-clés Bouton Ajouter un mot-clé Bouton Verrouiller Bouton Supprimer le mot-clé Groupe de mots-clés Triangle d’affichageChapitre 6 Affectation de mots-clés aux images 95 Au préalable 1 Le cas échéant, appuyez sur la touche F pour quitter la présentation Plein écran. 2 Sélectionnez le projet Nature dans l’inspecteur Projets, si nécessaire. 3 Fermez la palette Inspecteur. 4 Cliquez sur l’onglet Métadonnées dans la sous-fenêtre Inspecteur. 5 Sélectionnez une image, puis cliquez sur le bouton Palette des mots-clés dans la barre d’outils. Accès direct Pour découvrir la palette Mots-clés : m Faites glisser la palette sur l’écran à un emplacement pratique. m Appuyez deux fois sur les touches Maj + H pour masquer et afficher la palette Mots-clés. m Défilez pour consulter tous les mots-clés proposés dans la palette. Cliquez sur les triangles d’affichage pour visualiser les mots-clés regroupés par catégorie.96 Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images Pour sélectionner et affecter des mots-clés : m Faites glisser un mot-clé depuis la palette Mots-clés vers une image dans le visualiseur. Vous remarquez que ce mot-clé est désormais affiché dans l’inspecteur Métadonnées et sur l’image dans le visualiseur. m Faites glisser un mot-clé depuis la palette Mots-clés vers une image dans le navigateur. Sélectionnez ensuite cette image pour que le mot-clé apparaisse dans l’inspecteur Métadonnées et sur l’image dans le visualiseur. m Cliquez dans la palette Mots-clés, puis appuyez sur les touches Flèche vers le haut et vers le bas pour sélectionner d’autres mots-clés. Mots-clés Mots-clés affectés à l’image Faites glisser un motclé depuis la palette Mots-clés vers une image dans le visualiseur ou le navigateur.Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images 97 m Si vous maintenez la touche Maj enfoncée tout en appuyant sur les touches Flèche vers le haut et vers le bas, vous pouvez sélectionner plusieurs mots-clés. Faites ensuite glisser ces mots-clés sur l’image sélectionnée. Vous pouvez également cliquer sur des mots-clés tout en maintenant la touche Maj enfoncée. m Cliquez tout en maintenant la touche Commande enfoncée sur des mots-clés non adjacents. Faites ensuite glisser ces mots-clés sur l’image sélectionnée. m Dans le navigateur, cliquez sur plusieurs images tout en maintenant la touche Maj ou Commande enfoncée. Faites alors glisser un mot-clé depuis la palette Mots-clés vers l’une des images sélectionnées dans le navigateur. Vous noterez qu’Aperture affect e ce mot-clé à toutes les images sélectionnées. m Dans la palette Mots-clés, cliquez sur plusieurs mots-clés tout en maintenant la touche Commande enfoncée, puis faites glisser votre sélection vers l’une des images sélectionnées dans le visualiseur ou le navigateur. Pour rechercher des mots-clés : m Saisissez les lettres « épervier » dans le champ de recherche de la palette Mots-clés. Au fur et à mesure de votre saisie, vous remarquez que la palette affiche les mots-clés contenant ces lettres. Supprimez « épervier », entrez « fau », puis faites glisser le mot-clé Faune sauvage sur les images sélectionnées. Supprimez « fau » pour afficher de nouveau de tous les mots-clés.98 Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images Pour supprimer tous les mots-clés d’une image : m Sélectionnez une seule image dans le navigateur. Appuyez sur Maj + Option + 9 pour supprimer tous les mots-clés affectés à cette image. Choisissez Édition > Annuler pour restaurer les mots-clés supprimés. Pour ajouter des mots-clés à l’aide de l’inspecteur Métadonnées : m Dans l’inspecteur Métadonnées, entrez une nouveau mot-clé dans la zone Mots-clés, puis appuyez sur Entrée (si des mots-clés sont déjà affectés, séparez votre nouvelle entrée des précédentes en commençant votre saisie par une virgule). Saisissez par exemple votre nom. Vous remarquez que ce mot-clé est automatiquement ajouté à la palette Mots-clés. Vous pouvez faire glisser des mots-clés dans différentes catégories de la palette Mots-clés. À essayer : les mots-clés dans la palette Mots-clés Vous avez la possibilité d’ajouter de nouveaux mots-clés à la bibliothèque proposée, puis de les organiser par groupe. Maintenant que vous maîtrisez la palette Mots-clés, vous pouvez essayer d’ajouter des mots-clés à la bibliothèque et d’en supprimer.Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images 99 Accès direct m Ajout d’un nouveau mot-clé à la bibliothèque : cliquez sur le bouton Ajouter un mot-clé. Saisissez un nouveau mot-clé, puis appuyez sur la touche Retour. Un nouveau mot-clé sans titre apparaît dans la liste des mots-clés. Cliquez sur ce bouton pour ajouter un nouveau mot-clé.100 Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images m Suppression d’un mot-clé de la bibliothèque : dans la palette Mots-clés, sélectionnez le mot-clé que vous souhaitez supprimer, puis appuyez sur Suppr (ou cliquez sur le bouton Supprimer le mot-clé). Confirmez ensuite la suppression de ce mot-clé. Fermez la palette Mots-clés. Important : supprimer un mot-clé de la bibliothèque le supprime aussi de toutes les images auxquelles il est affecté. Remarque : vous pouvez également affecter des mots-clés en cliquant sur les boutons correspondants dans la barre des commandes. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la barre des commandes, consultez le Manuel de l’utilisateur d’Aperture accessible à travers le menu Aide d’Aperture. Cliquez sur ce bouton pour supprimer un mot-clé.Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images 101 À propos de la palette Prélever et appliquer Si vous disposez de plusieurs images auxquelles sont affectés les mêmes mots-clés, vous pouvez utiliser les outils Prélever et Appliquer pour affecter rapidement tout ou partie de ces mots-clés à d’autres images. Ces outils constituent une méthode efficace pour transférer rapidement des mots-clés à un grand nombre d’images. Si vous le souhaitez, vous pouvez tenter d’utiliser ces outils pour prélever des mots-clés d’une image, puis les appliquer à une autre image ou à un groupe d’images. Accès direct Pour prélever des mots-clés d’une image, puis les appliquer à d’autres images : 1 Sélectionnez l’image dont vous souhaitez prélever des métadonnées. 2 Sélectionnez l’outil Prélever dans la barrette d’outils. La palette Prélever et appliquer apparaît. Outil Prélever102 Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images Les informations au sujet de l’image sélectionnée, notamment ses métadonnées, ses ajustements et ses mots-clés, apparaissent dans la palette Prélever et appliquer. 3 Pour appliquer uniquement les mots-clés de cette image, désactivez toutes les cases relatives aux informations sur l’image, à l’exception de la case Mots-clés. Toutes les informations relatives à l’image sélectionnée apparaissent ici. Veillez à ce que seule la case Mots-clés reste cochée.Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images 103 4 Sélectionnez les images auxquelles vous souhaitez appliquer les métadonnées. 5 Cliquez sur le bouton « Appliquer sur les images sélectionnées ». Les mots-clés de la première image sont alors appliqués aux images sélectionnées. Vous pouvez continuer à sélectionner des images et à utiliser la palette Prélever et appliquer pour affecter des mots-clés prélevés à d’autres images. 6 Fermez la palette Prélever et appliquer. Dans bien des cas, vous n’aurez pas envie de copier tous les mots-clés d’une image pour les coller ensuite sur d’autres images. C’est la raison pour laquelle vous avez la possibilité de prélever un sous-ensemble de mots-clés d’une image, puis d’appliquer uniquement ces mots-clés à d’autres images. Pour prélever un sous-ensemble de mots-clés d’une image, supprimez tous les mots-clés dont vous n’avez pas besoin en les sélectionnant dans la liste affichée par la palette Prélever et appliquer, puis appuyez sur la touche Suppr.104 Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images Concepts de base essentiels  Palette Mots-clés : cette palette vous sert à affecter rapidement des mots-clés. Elle vous propose une liste de mots-clés prédéfinis. Par ailleurs, vous pouvez personnaliser la bibliothèque des mots-clés en y ajoutant tous les mots-clés souhaités. Vous avez ensuite la possibilité d’affecter des mots-clés à des images seules ou à des groupes d’images.  Outils Prélever et Appliquer : ces outils vous permettent de sélectionner très facilement des mots-clés et des classements à partir de l’image sélectionnée, puis de les appliquer à d’autres images. Vous pouvez, par exemple, appliquer de manière répé- tée le même ensemble de mots-clés à des images différentes grâce à ces outils.  Palette Prélever et appliquer : cette palette vous sert à sélectionner des métadonnées, des ajustements et des mots-clés, puis à les transférer vers d’autres images grâce aux outils Prélever et Appliquer. Nous allons ensuite découvrir comment utiliser les fonctionnalités spéciales d’Aperture pour créer des diaporamas, des pages web et des livres.7 107 7 Présentation de vos images Grâce à Aperture, vous avez la possibilité de présenter vos images sous forme de diaporamas, de concevoir des pages web pour les afficher sur Internet, ainsi que de créer des livres que vous pouvez par la suite faire imprimer et relier par des professionnels. Nous allons à présent afficher un diaporama, puis utiliser des pages web et un livre Aperture. Comme Aperture offre de nombreuses options s’adressant aux professionnels, ce chapitre se borne à présenter succinctement les fonctionnalités proposées. Reportez-vous au Manuel de l’utilisateur d’Aperture accessible à travers le menu Aide d’Aperture pour des informations détaillées sur l’utilisation des diaporamas, des pages web et des livres. 108 Chapitre 7 Présentation de vos images À essayer : les diaporamas Lorsque vous créez un diaporama Aperture, vous pouvez choisir le nombre d’images affichées à l’écran, leur disposition, leur durée d’affichage, ainsi que bien d’autres options. Au préalable 1 Cliquez sur l’onglet Projets de la sous-fenêtre Inspecteur. 2 Cliquez sur le triangle d’affichage situé en regard du projet Nature dans l’inspecteur Projets. Sélectionnez l’album « Diaporama (cinq étoiles) ». Accès direct Pour afficher un diaporama : m Cliquez sur le bouton Diaporama dans la barre d’outils, puis sur Démarrer. m Appuyez sur la barre d’espace pour interrompre la lecture du diaporama. Appuyez à nouveau sur la barre d’espace pour reprendre la lecture. m Appuyez sur la Flèche droite ou la Flèche gauche pour respectivement avancer ou reculer dans le diaporama. m Appuyez sur la touche Échap pour arrêter le diaporama. Vous avez également la possibilité de sélectionner des images dans le navigateur, puis de cliquer sur le bouton Diaporama pour qu’Aperture affiche ces images sous forme de diaporama. Pour modifier l’ordre des diapos, intervertissez les images dans le navigateur, sélectionnez-les, puis cliquez sur le bouton Diaporama.Chapitre 7 Présentation de vos images 109 Regardez plusieurs fois votre diaporama en modifiant ses préréglages via le menu local Préréglage du diaporama.  Fondu : affiche chaque image pendant 3 secondes, avec un fondu enchaîné de 2 secondes de l’une à l’autre.  Fondu noir : affiche chaque image sur fond noir pendant 3 secondes, avec un fondu enchaîné de 2 secondes de l’une à l’autre.  Manuel : vous commandez le passage d’une diapo à l’autre à l’aide des touches Flèche droite et Flèche gauche.  Dissolution lente : affiche chaque image pendant 5,1 secondes, avec un fondu enchaîné de 5 secondes de l’une à l’autre.  Par quatre - Lent : affiche successivement quatre images, pendant 3 secondes chacune et avec un fondu enchaîné de 2 secondes. Ensuite, la première image est remplacée par la cinquième, et ainsi de suite.  Par quatre - Rapide : affiche successivement quatre images, en les laissant affichées 1 seconde chacune. Ensuite, la première image est remplacée par la cinquième, et ainsi de suite.110 Chapitre 7 Présentation de vos images À propos des préréglages des diaporamas La zone de dialogue Préréglages du diaporama vous permet de créer et de modifier les préréglages d’un diaporama. Testez certaines des options de diaporama disponibles. Vous n’avez pas besoin de connaître toutes ces options. Pour l’instant, il vous suffit de savoir qu’elles sont disponibles pour les utiliser en cas de besoin. Pour ouvrir la zone de dialogue Préréglages du diaporama : m Choisissez Aperture > Préréglages > Diaporama.Chapitre 7 Présentation de vos images 111 La zone de dialogue Préréglages du diaporama apparaît. Vous pouvez maintenant sélectionner un préréglage pour le modifier ou en créer un nouveau en cliquant sur le bouton Ajouter (+). Indiquez les options de diaporama que vous souhaitez activer dans la partie droite de la zone de dialogue. Si vous avez créé un nouveau préréglage, il apparaît dans le menu local Préréglage du diaporama de la zone de dialogue Lancer le diaporama lors du prochain démarrage d’un diaporama. Cliquez sur ce bouton pour ajouter un nouveau préréglage. Sélectionnez le préré- glage que vous souhaitez modifier. Choisissez la méthode définissant la durée du diaporama. Faites glisser le curseur pour déterminer la durée d’affichage de chaque image. Sélectionnez une piste de votre bibliothèque iTunes pour accompagner votre diaporama. Réglez la durée du fondu entre les images en faisant glisser ce curseur. Faites glisser ces curseurs pour définir le nombre de rangs et de colonnes des images. Cliquez sur l’un de ces boutons pour indiquer la qualité des images.112 Chapitre 7 Présentation de vos images À essayer : les pages web d’Aperture Les photographes du monde entier publient leurs travaux sur Internet, permettant ainsi à leurs clients d’accéder en ligne à des galeries de leurs meilleures photos. Grâce à Aperture, vous pouvez créer des pages et des journaux web. Ces deux formats sont fondés sur des thèmes ou des pages prédéfinies que vous pouvez aisément personnaliser, puis publier sur Internet. Important : vous pouvez également utiliser Aperture pour publier des photos en toute simplicité dans une galerie web à l’aide de votre compte MobileMe. Veillez à consulter l’aide en ligne de MobileMe pour en savoir plus sur la création des galeries web.Chapitre 7 Présentation de vos images 113 Les pages web sont conçues pour afficher des images sans nécessiter la moindre opération de mise en page manuelle. Aperture crée automatiquement le nombre de pages web nécessaire et y place les images que vous avez sélectionnées. Vous pouvez ensuite peaufiner vos pages pour que les images y figurent tel que vous le souhaitez. Vous avez également la possibilité de choisir les métadonnées que vous souhaitez voir apparaître à côté de chaque image, comme des légendes, des noms et des classements.114 Chapitre 7 Présentation de vos images Au sein d’un journal web, vous pouvez associer manuellement des images et du texte au sein de chaque page. Les journaux web représentent la solution idéale pour les projets dans lesquels vous souhaitez montrer vos photos accompagnées d’un texte. Lorsque vous décidez d’utiliser des journaux web, vous ajoutez manuellement des pages, des images et du texte à chacun de vos journaux. Vous pouvez choisir d’appliquer un thème à toutes vos pages, puis modifier la présentation des images et du texte sur les pages de vos journaux web.Chapitre 7 Présentation de vos images 115 Pour créer une page ou un journal web, vous devez tout d’abord créer un album de page web ou de journal web. Lorsque vous sélectionnez cet album dans l’inspecteur Projets, l’Éditeur de pages web apparaît au-dessus du navigateur. Cet éditeur vous permet de concevoir vos pages web, y compris de modifier leur thème, de positionner vos images et d’ajouter du texte. Album de page web dans l’inspecteur Projets116 Chapitre 7 Présentation de vos images Une fois que vous avez terminé la présentation de votre page web ou des pages de votre journal web dans l’Éditeur de pages web, vous avez la possibilité de les exporter sur votre compte MobileMe ou de les enregistrer sous forme de pages HTML que vous pouvez ensuite publier sur votre serveur de pages web. Dès que les images sont mises en ligne, donnez à vos clients l’adresse Internet des pages, afin qu’ils puissent les consulter à distance. Au préalable 1 Cliquez, si nécessaire, sur le triangle d’affichage du projet Nature pour afficher tous les albums qu’il contient. 2 Sélectionnez l’album de page web « Portofolio en ligne ».Chapitre 7 Présentation de vos images 117 Reportez-vous à l’illustration ci-dessous pour observer l’effet des diverses options disponibles dans l’Éditeur de pages web. Sous-fenêtre Pages de la galerie Sous-fenêtre Images en détail Boutons Page suivante et Page précédente Bouton Thème118 Chapitre 7 Présentation de vos images Accès direct Pour sélectionner une page web en vue de l’afficher : m Cliquez dans la sous-fenêtre Pages de la galerie pour afficher une page web spécifique. m Cliquez sur le bouton Page suivante ou Page précédente pour accéder à une autre page web. Pour choisir un thème de page web différent : m Cliquez sur le bouton Thème, puis sélectionnez un thème. Faites des essais avec différents thèmes. Pour supprimer une image d’une page : m Sélectionnez une image dans le navigateur, puis appuyez sur la touche Suppr. Pour ajouter des images à une page web : m Sélectionnez un projet dans l’inspecteur Projets. Faites glisser une image depuis le navigateur vers l’album de page web « Portofolio en ligne » dans l’inspecteur Projets. Sélectionnez à nouveau l’album de page web « Portofolio en ligne ». La nouvelle image apparaît sur la dernière page web. Pour réorganiser les images sur la page : m Intervertissez les images dans le navigateur en les faisant glisser.Chapitre 7 Présentation de vos images 119 Pour modifier les informations affichées avec les images : m Choisissez le type de métadonnées à afficher sur la page web avec chaque image dans le menu local Présentation des métadonnées. Pour modifier le nombre de rangs et de colonnes d’images sur la page : m Utilisez les cases de valeur Colonnes et Rangs pour indiquer le nombre de colonnes et de rangs que vous souhaitez afficher par page. Cliquez sur les flèches pour augmenter ou diminuer le nombre de colonnes et de rangs ou double-cliquez dans la zone affichant un nombre et entrez une nouvelle valeur. Menu local Métadonnées Cases de valeur Colonnes et Rangs120 Chapitre 7 Présentation de vos images Pour choisir les proportions de base des images : m Choisissez une option dans le menu local « Faire tenir les images dans » afin de déterminer l’aspect des images sur la page web. Pour modifier la largeur ou la hauteur des colonnes : m Utilisez les cases de valeur Largeur et Hauteur pour augmenter ou diminuer la largeur et la hauteur des colonnes. Vous pouvez également double-cliquer sur la zone affichant un nombre, puis entrer une nouvelle valeur. Vous venez de découvrir l’Éditeur de pages web et son utilisation pour créer des pages web. Vous pouvez également créer des journaux web qui vous permettent de positionner plus librement vos images et votre texte sur des pages web prédéfinies. Veillez à consulter le Manuel de l’utilisateur d’Aperture accessible à travers le menu Aide d’Aperture pour retrouver des explications détaillées sur les pages web Aperture, leur publication sur un compte MobileMe ou leur exportation sur votre propre site. Cases de valeur Largeur et Hauteur Menu local « Faire tenir les images dans »Chapitre 7 Présentation de vos images 121 À essayer : les livres d’Aperture Aperture vous propose des options dédiées à la création d’une multitude de modèles de livres à imprimer. Lorsque vous créez ou sélectionnez un album-livre dans l’inspecteur Projets, l’Éditeur de modèles de livres apparaît au-dessus du navigateur. Cet éditeur vous permet de configurer la structure des pages de votre livre et de positionner vos images et vos textes sur les pages. Éditeur de modèles de livres Pour ajouter une image à une page, faites glisser cette image depuis le navigateur vers une zone de photo sur la page. Pour ajouter du texte à une page, cliquez sur une zone de texte, puis saisissez Utilisez ce menu local pour ou collez votre texte. ajouter des pages à votre livre. Cliquez sur ce bouton pour choisir un thème pour votre livre. Utilisez ces commandes pour modifier l’affichage des pages, avec des zooms avant ou arrière.122 Chapitre 7 Présentation de vos images Au préalable 1 Sélectionnez le projet Mariage dans l’inspecteur Projets. 2 Cliquez sur une image dans le navigateur, puis choisissez Édition > Tout sélectionner. 3 Choisissez Fichier > Nouveau à partir de la sélection > Livre. 4 Dans la zone de dialogue Thème, sélectionnez le thème Occasion spéciale, puis cliquez sur Choisir le thème. L’Éditeur de modèles de livres apparaît. 5 Choisissez « Formater automatiquement les images non placées » dans le menu local Action de livre. Choisissez « Formater automatiquement les images non placées » dans ce menu local.Chapitre 7 Présentation de vos images 123 Aperture positionne automatiquement les images dans votre livre. Vous pouvez également faire glisser chaque image à son emplacement, si vous le souhaitez. À gauche, la sous-fenêtre Pages affiche des vignettes des pages de votre livre. Vous pouvez parcourir ces diverses vignettes, puis cliquer sur l’une d’entre elles pour sélectionner la page que vous souhaitez modifier. La page sélectionnée apparaît alors en grand sur la droite. Zone de photo Bouton Thème Page sélectionnée dans la sous-fenêtre Pages Utilisez ce menu local pour ajouter des pages à votre livre. Zone de texte Curseur Taille de l’affichage Affichage en grand de la page sélectionnée Sous-fenêtre Pages124 Chapitre 7 Présentation de vos images Accès direct Pour sélectionner les pages à afficher : m Cliquez sur une page dans la sous-fenêtre Pages pour l’afficher. Faites glisser le curseur Taille de l’affichage pour effectuer un zoom avant ou arrière sur la page. Pour positionner des images : m Faites glisser une image depuis le navigateur vers une zone de photo sur la page affichée. Faites glisser une autre image sur la même zone de photo. Double-cliquez sur l’image, puis modifiez son échelle à l’aide de la palette Taille de l’image. Lorsque cette palette est ouverte, vous pouvez également faire glisser l’image pour la repositionner au sein de la zone de photo. Cliquez sur l’image dans la zone de photo tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez un alignement d’image. Pour ajouter du texte : m Cliquez sur une zone de texte sur la page. Alors que l’outil Texte est sélectionné, saisissez votre propre texte. Choisissez ensuite un style dans le menu local Style de texte. Curseur Taille de l’affichage Menu local Style de texteChapitre 7 Présentation de vos images 125 Pour ajouter une page : m Sélectionnez une page dans la sous-fenêtre Pages à l’emplacement où vous souhaitez insérer une nouvelle page, puis choisissez « Ajouter une nouvelle page » dans le menu local Ajouter des pages. Choisissez une présentation de page dans le menu local « Définir la page patron ». Sélectionnez une présentation dans le menu local « Définir la page patron ». Menu local Ajouter des pages126 Chapitre 7 Présentation de vos images À propos des livres Lorsque vous créez un nouvel album-livre, vous pouvez choisir un thème pour votre livre qui va déterminer son aspect général. Aperture vous propose une multitude de thèmes prédéfinis conçus par des professionnels. Cliquez sur le bouton Thème pour sélectionner le thème de votre choix. Sélectionnez ici le thème que vous souhaitez.Chapitre 7 Présentation de vos images 127 Une fois que vous avez choisi un thème, l’Éditeur de modèles de livres vous fournit un ensemble de pages patrons, lesquelles définissent la façon dont vous pouvez mélanger le texte et les images sur la page. Comme vous vous en rendrez compte, les pages patrons offrent un moyen rapide et pratique de mettre en page un livre. Sélectionnez une présentation dans le menu local « Définir la page patron ». Le nouveau format de page est affiché ici. Vous pouvez faire glisser des images vers les zones de photo qui apparaissent en gris sur les pages. Page sélectionnée128 Chapitre 7 Présentation de vos images Vous avez la possibilité d’appliquer la présentation d’une page patron à n’importe quelle page sélectionnée. Les pages apparaissent avec des zones de photo en gris et des zones de texte, respectivement conçues pour contenir des images et du texte. Pour ajouter des images, il vous suffit de les faire glisser depuis le navigateur vers les zones de photo. En revanche, pour ajouter du texte, sélectionnez une zone de texte, puis saisissez ou collez votre texte. Si vous le souhaitez, vous pouvez également créer votre livre page par page. Il vous suffit alors d’ajouter une nouvelle page à votre livre, de choisir une présentation de page patron, d’insérer des images et du texte, puis de créer la page suivante et de répéter ces étapes pour chaque page ajoutée. Zone de texte contenant du texte Zone de photo contenant une imageChapitre 7 Présentation de vos images 129 Vous avez également la possibilité de sélectionner un groupe d’images dans le navigateur, puis de laisser à Aperture le soin de les positionner automatiquement sur les pages de votre livre. Aperture crée alors autant de pages que nécessaire, puis y insère vos images. Par la suite, vous pouvez modifier la présentation de certaines pages en leur appliquant différentes présentations de pages patrons. Au fil de votre travail sur un livre, vous serez amené à ajuster la présentation de certaines pages. Vous pouvez, par exemple, vous rendre compte qu’une image au sein d’un groupe nécessite d’être légèrement agrandie. Vous pouvez alors déplacer et redimensionner des zones contenant des images sur des pages spécifiques, ce qui vous permet d’appliquer des modifications mineures à la mise en page lorsque la présentation d’une page patron ne correspond pas exactement à vos besoins. Vous avez également la possibilité de concevoir vos propres pages patrons pour créer des livres personnalisés. Une fois que votre livre est terminé, vous pouvez faire appel au service d’impression proposé par Apple (service payant) pour obtenir des versions imprimées. Si vous préfé- rez imprimer vos livres vous-même, vous pouvez utiliser votre propre imprimante ou exporter vos livres au format PDF et les envoyer à un imprimeur. Veillez à consulter le Manuel de l’utilisateur d’Aperture accessible à travers le menu Aide d’Aperture pour retrouver des explications détaillées sur les livres Aperture, ainsi que l’achat de versions imprimées et reliées à partir de notre système de commande de produits d’impression Apple intégré.130 Chapitre 7 Présentation de vos images Concepts de base essentiels  Préréglage du diaporama : combinaison de réglages de diaporama prédéfinis que vous pouvez utiliser pour créer un diaporama. Le préréglage du diaporama définit le nombre d’images affichées à l’écran, la durée de leur affichage, les transitions entre les diapos et bien d’autres options, notamment la lecture de musique pendant l’affichage de votre diaporama. Aperture vous est fourni avec un jeu de préréglages de diaporama, mais vous pouvez également créer vos propres préréglages.  Album de page web : album vous permettant de créer une galerie de pages web qui affichent automatiquement les images de l’album. Vous pouvez modifier l’aspect de ces pages web en choisissant des thèmes différents, en modifiant la taille des images et en indiquant de nombreuses autres options.  Album de journal web : album vous permettant de créer des pages web qui affichent aussi bien des images que du texte. Vous pouvez positionner et réorganiser vos images et vos textes manuellement sur les pages de votre journal web en choisissant des thèmes différents et en indiquant de nombreuses autres options.  Album-livre : album vous permettant de créer un livre conçu de manière professionnelle et d’y ajouter votre propre texte et vos images. Nous allons à présent découvrir certaines des fonctionnalités d’impression d’Aperture.132 Chapitre 7 Présentation de vos images8 133 8 Impression d’images Ce chapitre vous décrit quelques-unes des options simples dont vous disposez pour imprimer des images et des planches contact. Si vous n’êtes pas encore prêt à vous lancer dans l’impression d’images, contentez-vous de lire ces instructions et de faire des essais plus tard ou vous pouvez tenter d’imprimer les exemples d’images disponibles dans le projet Nature. Plutôt qu’imprimer les images sur papier, vous pouvez aussi observer les résultats de vos choix pour l’impression dans l’application Aperçu.134 Chapitre 8 Impression d’images À essayer : les options d’impression La zone de dialogue Imprimer vous permet d’indiquer les options d’impression de votre choix. Vous pouvez imprimer une seule image par page ou des planches contact de vos images. Lorsque vous imprimez des planches contact, Aperture se charge automatiquement de la mise en page. Indiquez ici votre imprimante, le format du papier ainsi que d’autres options. Sélectionnez ici les options de mise en page. Définissez ici la largeur des bordures blanches encadrant vos images. Zone d’aperçu Cliquez ici pour prévisualiser les images imprimées, telles qu’elles apparaîtront sur la page. Cliquez ici pour enregistrer vos réglages sous la forme d’un nouveau préréglage d’impression. Sélectionnez ici un préré- glage pour une seule image ou planche contact.Chapitre 8 Impression d’images 135 Il vous suffit de sélectionner le nombre de pages à imprimer ou le nombre de colonnes par feuille pour qu’Aperture ajuste automatiquement la taille des images, en tenant compte de vos réglages « Options de mise en page ». Accès direct Pour imprimer une seule image : 1 Sélectionnez une image. 2 Choisissez Fichier > Imprimer l’image. 3 Dans la zone de dialogue Imprimer, sélectionnez « Exemple de préréglage d’image seule » dans la liste Nom du préréglage. 4 Cliquez sur le bouton Réglages de l’imprimante dans la zone Sélection de l’imprimante, puis sélectionnez l’imprimante de votre choix. Important : le gestionnaire d’impression adapté à votre imprimante doit être installé sur votre ordinateur afin de pouvoir utiliser cette imprimante. Pour en savoir plus sur l’installation et la mise à jour du gestionnaire d’impression nécessaire, consultez la documentation fournie avec votre imprimante. 5 Observez l’impact des diverses options d’impression :  Taille du papier : choisissez un format de papier dans la liste des formats disponibles.  Orientation : choisissez l’orientation paysage ou portrait, ou bien Au mieux.136 Chapitre 8 Impression d’images  Menu local Ajustement : si vous sélectionnez un préréglage Images uniques, utilisez ce menu local pour indiquer si vous souhaitez adapter l’image à la taille de papier sélectionnée, imprimer l’image à une taille spécifique ou l’imprimer à une taille personnalisée. « Faire tenir toute l’image » ajuste l’image de façon à obtenir la plus grande taille possible sans rognage tout en tenant compte de la taille du papier. « Remplir toute la page » ajuste l’image pour qu’elle prenne toute la page, en la rognant si nécessaire. « Personnaliser » permet de spécifier les dimensions souhaitées pour l’image.  Largeur : faites glisser ce curseur ou saisissez une valeur dans la case pour réduire la taille de l’image et l’encadrer par une bordure blanche. 6 Si vous disposez d’une imprimante prête à fonctionner, cliquez sur Imprimer. Dans le cas contraire, cliquez sur Aperçu afin de visualiser le résultat obtenu avec vos réglages d’impression. Pour imprimer une série d’images, chacune sur sa propre feuille de papier : 1 Dans le navigateur, sélectionnez les images que vous souhaitez imprimer. 2 Choisissez Fichier > Imprimer les images. 3 Dans la zone de dialogue Imprimer, sélectionnez « Exemple de préréglage d’image seule » dans la liste Nom du préréglage. 4 Choisissez des options d’impression. 5 Si vous disposez d’une imprimante prête à fonctionner, cliquez sur Imprimer. Dans le cas contraire, cliquez sur Aperçu afin de visualiser le résultat obtenu avec vos réglages d’impression. Chacune de vos images apparaît sur une page.Chapitre 8 Impression d’images 137 Pour imprimer une planche contact d’images : 1 Dans le navigateur, sélectionnez les images que vous souhaitez imprimer. 2 Choisissez Fichier > Imprimer les images. 3 Sélectionnez « Exemple de préréglage de planche contact » dans la liste Nom du préréglage. 4 Observez l’impact des diverses options d’impression :  Boutons « Nombre de pages » et « Nombre de colonnes et rangées » : lorsque vous sélectionnez un préréglage Planche contact, sélectionnez une de ces options pour spécifier le nombre de pages nécessaires à l’impression des images ou le nombre de rangées et de colonnes constituées d’images sur la page. Aperture règle automatiquement la taille des images en fonction de vos options de mise en page. La taille des images sur la planche contact dépend ensuite de la limitation ou non du nombre de pages la composant. Moins vous sélectionnez de pages, plus les images sont petites. De même, si vous choisissez des colonnes, plus vous sélectionnez de colonnes et plus petites seront les images.  Menu local Métadonnées : lorsque vous sélectionnez un préréglage Planche contact, choisissez une présentation de métadonnées pour spécifier les métadonnées que vous souhaitez imprimer avec vos images.  Menu local Taille de la police : lorsque vous sélectionnez un préréglage Planche contact, choisissez la taille de la police des métadonnées à imprimer. Vérifiez la mise en page de votre planche contact dans la zone d’aperçu.138 Chapitre 8 Impression d’images 5 Si votre imprimante est déjà configurée sur votre ordinateur, cliquez sur Imprimer. Dans le cas contraire, cliquez sur Aperçu afin de visualiser le résultat obtenu avec vos réglages d’impression. Concepts de base essentiels  Préréglage d’impression : combinaison de réglages d’impression que vous pouvez sélectionner dès que vous en avez besoin pour une impression. Aperture vous est livré avec des préréglages d’impression pour des images et des planches contact voulues. Vous pouvez également créer et enregistrer vos propres combinaisons de réglages d’impression pour les types d’impressions que vous réalisez.  Préréglage Images uniques : préréglage réunissant des options adaptées à l’impression d’images données.  Préréglage Planche contact : préréglage réunissant des options adaptées à l’impression de plusieurs images sous forme de planche contact. Nous allons ensuite étudier davantage l’utilisation des fonctionnalités de sauvegarde de vos images proposées dans Aperture. Si Aperture ne reconnaît pas votre imprimante Si votre imprimante n’apparaît pas dans le menu local Imprimante lorsque vous cliquez sur le bouton Réglages de l’imprimante, visitez le site web du constructeur de cette imprimante et téléchargez la dernière version de son gestionnaire d’impression.140 Chapitre 8 Impression d’images9 141 9 Sauvegarde de vos images Pour protéger vos photographies, il est important de mettre en place un système de sauvegarde fiable et d’effectuer des sauvegardes régulièrement. Dans ce chapitre, vous allez découvrir comment Aperture sauvegarde la photothèque. Aperture sauvegarde la photothèque dans une zone de stockage dédiée, appelée banque. Pour vous exercer, vous allez d’ailleurs créer une banque, puis sauvegarder la photothèque en cours, avant de mettre en place votre propre système de sauvegarde de vos images. À propos de la réalisation de sauvegardes Lorsque vous sauvegardez vos images à l’aide d’Aperture, c’est une copie complète de la photothèque qui est réalisée. Les sauvegardes ne sont pas cumulatives. En d’autres termes, la dernière sauvegarde correspond à la dernière copie complète de votre photothèque. Si vous supprimez des fichiers de la photothèque, ces fichiers sont également supprimés de la banque lors de sa prochaine mise à jour. Prenez l’habitude d’effectuer des sauvegardes régulières pour limiter le risque de perdre définitivement une partie de votre travail.142 Chapitre 9 Sauvegarde de vos images Aperture vous permet de créer autant de banques que vous le souhaitez. Vous pouvez, par exemple, créer une banque sur un disque externe pour les sauvegardes quotidiennes de l’ensemble de votre système et une seconde banque sur un autre disque dur externe conservé ailleurs. À mesure que vous ajoutez des photos à votre photothèque et créez de nouveaux projets, Aperture conserve automatiquement la trace des diffé- rents fichiers sauvegardés sur vos diverses banques. Tous les originaux gérés dans la photothèque et toutes les copies de travail ainsi que les métadonnées, les aperçus et les données d’ajustement associés à vos images sont sauvegardés dans la banque. Il en va de même pour les copies de travail, les aperçus et les métadonnées associés aux originaux référencés. En revanche, les originaux réfé- rencés ne sont pas sauvegardés dans la banque avec la photothèque. Bureau Emplacement à distance Photothèque Aperture (disque interne) Banque (disque externe) Banque (gardée hors-site et régulièrement mise à jour)Chapitre 9 Sauvegarde de vos images 143 Important : comme les originaux des images référencées sont stockés hors de la photothèque. Il vous incombe d’organiser leur sauvegarde et leur archivage. Si vous conservez une sauvegarde de votre système sur un disque dur hors site, vous devez rapatrier de temps en temps ce disque pour mettre à jour la sauvegarde qu’il contient. Aperture mémorise les disques durs déconnectés de leur banque. Lorsque vous reconnectez un disque dur, Aperture le détecte automatiquement, reconnaît à quelle banque il est affecté et reconnecte la banque en question. Un message vous demande alors si vous souhaitez que le disque dur soit mis à jour en fonction du contenu le plus récent de la photothèque. À essayer : la sous-fenêtre Banque Utilisez la sous-fenêtre Banque située en dessous de l’Inspecteur pour définir l’emplacement de vos banques et connaître leur état. Ouvrez ensuite la sous-fenêtre Banque, puis créez une banque pour la photothèque. Bouton d’affichage Boutons État de la banque Menu local Action de la banque144 Chapitre 9 Sauvegarde de vos images Au préalable m Cliquez sur le bouton d’affichage de la sous-fenêtre Banque pour l’ouvrir. Accès direct Pour créer une banque : m Dans le menu local Action de la banque, choisissez Ajouter une banque. Cliquez sur Continuer dans la zone de dialogue « Contenu de la nouvelle banque ». La zone de dialogue Ajouter une banque apparaît. Attribuez un nom à la banque dans la zone Nom de la banque, puis choisissez un emplacement sur le disque dur où vous souhaitez stocker cette nouvelle banque. Cliquez sur Ajouter. Aperture crée votre première banque. Cliquez sur le bouton État de la banque pour la mettre à jour. Important : le support de stockage que vous avez sélectionné pour votre banque doit disposer de suffisamment d’espace disponible pour contenir l’ensemble de la photothèque. Chapitre 9 Sauvegarde de vos images 145 Pour afficher votre banque dans la sous-fenêtre Banque : m Dans la sous-fenêtre Banque, cliquez sur le triangle d’affichage situé à côté du nom de la banque. La couleur du bouton État de la banque vous informe sur l’état de la banque concernée : noir, il indique que la photothèque est à jour ; jaune, il signale que tous les originaux de la photothèque ont été sauvegardés, mais qu’une modification a été apportée à l’une des copies de travail ou plus et qu’elle n’a pas encore été sauvegardée ; rouge, il spécifie qu’un ou plusieurs des originaux dans la photothèque n’ont pas été sauvegardés et que la banque doit être mise à jour pour éviter la perte de tout original. Cliquez sur le triangle d’affichage pour savoir quel disque dur est affecté à la banque. Si le bouton État de la banque est jaune, il indique que tous les originaux situés dans la photothèque ont été sauvegardés, mais que les modifications apportées aux copies de travail ne l’ont pas encore été. Si le bouton État de la banque est rouge, il vous signale que les originaux situés dans la photothè- que n’ont pas été sauvegardés.146 Chapitre 9 Sauvegarde de vos images L’espace disponible pour votre banque est affiché à côté de son nom. Espace utilisé par des fichiers non gérés par Aperture Espace non utilisé dans la banque Barre colorée indiquant l’espace utilisé par la banqueChapitre 9 Sauvegarde de vos images 147 Pour mettre à jour une banque après avoir modifié la photothèque : m Sélectionnez une image, puis choisissez Images > Dupliquer la copie de travail. Comme vous disposez désormais d’une nouvelle copie de travail dans la photothèque, vous pouvez mettre à jour la banque. Dans la sous-fenêtre Banque, cliquez sur le bouton État de la banque, à droite de votre nouvelle banque. Cliquez sur Mettre à jour dans la zone de dialogue qui apparaît. Cliquez sur le bouton État de la banque pour mettre à jour une banque spécifique. Cliquez sur le bouton Mettre à jour toutes les banques pour actualiser simultanément toutes les banques que vous avez créées.148 Chapitre 9 Sauvegarde de vos images Concepts de base essentiels  Banque : zone de stockage de sauvegarde située sur un disque dur ou tout autre support de stockage et contenant une copie complète de la photothèque.  Sous-fenêtre Banque : sous-fenêtre qui vous permet de créer, inspecter et mettre à jour vos banques de sauvegarde. Vous pouvez également l’utiliser pour restaurer des informations perdues en cas de dysfonctionnement de l’équipement ayant endommagé la photothèque. Nous allons à présent étudier comment retrouver rapidement des informations sur Aperture en cas de besoin.10 151 10 Réponses à vos questions Maintenant que vous disposez d’une vue d’ensemble sur Aperture, vous vous posez certainement des questions quant à l’utilisation plus précise d’Aperture dans votre travail au quotidien. Accédez à l’Aide d’Aperture pour trouver les réponses à toutes vos questions. À essayer : l’Aide d’Aperture L’Aide d’Aperture vous fournit des explications et des instructions complètes sur les fonctionnalités proposées dans Aperture. Accès direct Pour ouvrir le Manuel de l’utilisateur d’Aperture : m Lancez Aperture, puis choisissez Aide > Manuel de l’utilisateur d’Aperture. Pour en savoir plus sur l’organisation de vos images dans Aperture : m Cliquez sur « Utilisation des projets Aperture dans la liste des signets du Manuel de l’utilisateur d’Aperture. 152 Chapitre 10 Réponses à vos questions Pour apprendre à importer des fichiers et à leur attribuer des noms : m Cliquez sur « Importation d’images » dans la liste des signets du Manuel de l’utilisateur d’Aperture. Pour en savoir plus sur l’ajustement d’images : m Cliquez sur « Vue d’ensemble des ajustements d’image » dans la liste des signets du Manuel de l’utilisateur d’Aperture. Pour consulter les dernières discussions techniques au sujet d’Aperture : m Lancez Aperture puis choisissez Aide > Assistance Aperture. Pour en savoir plus sur les problèmes liés à des logiciels de tierces parties et d’autres problèmes connus : m Lancez Aperture, puis choisissez Aide > Informations de dernière minute. Pour visualiser les guides d’initiation vidéo disponibles en ligne sur Aperture : m Ouvrez Safari et consultez la page http://www.apple.com/fr/aperture/resources/tutorial. Étape suivante Vous disposez désormais d’une vue d’ensemble sur Aperture et sur certaines de ses fonctionnalités. Vous pouvez continuer vos essais avec les fichiers de projet fournis à titre d’exemple ou les supprimer, puis commencer à travailler sur vos propres images. Référez-vous alors à l’Aide Aperture pour obtenir des informations détaillées. Xserve Guide de configuration Inclut les spécifications matérielles ainsi que les informations sur l’installation et l’extension du système Xserve F034-4891.indd 1 1/29/09 11:51:48 AMKApple Inc. © 2009 Apple Inc. Tous droits réservés. En application de la législation et des conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Vos droits d’exploitation du logiciel sont régis par la licence jointe. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation de ce logo à des fins commerciales via le clavier (Option-1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tous les efforts ont été mis en œuvre pour assurer l’exactitude du contenu de ce manuel. Apple n’est pas responsable des erreurs d’impression ni de reproduction. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com/fr Apple, le logo Apple, FireWire, Mac, Mac OS, Macintosh, Guide des produits Macintosh, SuperDrive et Xserve sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Apple Remote Desktop et le logo FireWire sont des marques d’Apple Inc. Apple Store est une marque de service d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d’Intel Corp. aux États-Unis et dans d’autres pays. Ce produit inclut des logiciels développés par l’Université de Californie, Berkeley, FreeBSD, Inc., The NetBSD Foundation, Inc. et leurs contributeurs respectifs. Les autres noms de produits et de sociétés mentionnés ici peuvent être des marques de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. F034-4891-B/2009-02 F034-4891.indd 2 1/29/09 11:51:48 AM3 Table des matières 5 Preface: À propos de ce guide 6 Une fois l’installation du système Xserve terminée 6 Pour en savoir plus 7 Chapitre 1: Installation du système Xserve 8 Outils et pièces nécessaires 9 Choix d’un emplacement approprié 11 Installation du système Xserve 20 Que vous reste-t-il à faire 23 Chapitre 2: Installation ou remplacement de composants 24 Vue d’ensemble du système Xserve : composants internes 26 Installation ou remplacement d’un module de disque 30 Installation ou remplacement d’un bloc d’alimentation 33 Ouverture et fermeture du système Xserve 36 Ajout de mémoire 41 Installation d’une carte PCI Express 47 Remplacement de la pile 49 L’annexe A: Caractéristiques F034-4891.indd 3 1/29/09 11:51:48 AM4 Table des matières 55 L’annexe B: Sécurité et maintenance 55 Importantes consignes de sécurité 56 Manipulation de l’unité Xserve 57 Protection du lecteur optique 58 Bloc d’alimentation 58 Nettoyage du système Xserve 59 Apple et l’environnement 59 Informations sur la santé 60 Regulatory Compliance Information F034-4891.indd 4 1/29/09 11:51:48 AM5 À propos de ce guide Ce guide d’installation explique comment mettre en place l’ordinateur Xserve dans un rack et c omment installer ou remplacer des composants dans le système Xserve. Ce guide décrit le système Xserve à processeur Intel de troisième génération (début 2009) :  Pour en savoir plus sur le déballage de l’Xserve et sur sa mise en place dans un rack, reportez-vous au Chapitre 1.  Pour en savoir plus sur l’installation ou le remplacement de modules de disque, de mémoire, de cartes PCI, de blocs d’alimentation ou encore de la pile système, consultez le Chapitre 2.  Pour un résumé des spécifications du système Xserve, reportez-vous à l’Annexe A.  Pour connaître les informations sur la sécurité, la maintenance et la réglementation en vigueur, consultez l’Annexe B. Preface F034-4891.indd 5 1/29/09 11:51:48 AM6 À propos de ce guide Une fois l’installation du système Xserve terminée Pour en savoir plus sur le tout premier démarrage du système Xserve, la configuration du logiciel serveur et l’utilisation du système Xserve, consultez le Guide de l’utilisateur Xserve se trouvant sur le disque Admin Tools fourni avec l’Xserve. Pour en savoir plus sur le logiciel Mac OS X Server installé sur l’Xserve, consultez Premiers pas avec Mac OS X Server également présent sur le disque Admin Tools fourni avec l’Xserve. Si une carte Xserve RAID est installée dans votre Xserve, reportezvous au Guide de l’utilisateur de l’Utilitaire RAID (disponible à l’adresse www.apple.com/fr/xserve/resources.html) pour des informations sur l’installation d’ensembles et de volumes RAID. Les guides Guide de configuration Xserve, Guide de l’utilisateur Xserve, Premiers pas avec Mac OS X Server et d’autres guides sur les serveurs sont également disponibles à l’adresse www.apple.com/fr/server/resources. Pour en savoir plus Le site web de service et d’assistance Apple offre des informations détaillées sur les produits et des ressources techniques, notamment des articles, des forums de discussion et des mises à jour de logiciels téléchargeables. Visitez le site à l’adresse www.apple.com/fr/support/xserve. F034-4891.indd 6 1/29/09 11:51:48 AM7 1 Installation du système Xserve Ce chapitre présente la démarche à suivre pour installer de l’Xserve dans le rack. Les informations de ce chapitre sont destinées à vous aider à rassembler les outils dont vous avez besoin, à choisir un emplacement approprié pour l’Xserve et à installer ce dernier dans un rack. Lorsque le système Xserve est mis en place, reportez-vous au Guide de l’utilisateur Xserve pour y retrouver les instructions sur le tout premier démarrage de l’Xserve. F034-4891.indd 7 1/29/09 11:51:49 AM8 Chapitre 1 Installation du système Xserve Outils et pièces nécessaires  Tournevis cruciforme de taille moyenne (nº 1)  Les rails coulissants, les extensions des rails et l’outil d’alignement fournis avec l’Xserve Extensions courtes pour racks d’une longueur de 61 à 73 cm (2) Rails pour racks de toutes dimensions (2) Guide d’alignement Extensions longues pour racks d’une longueur de 73 à 91 cm (2) Clé F034-4891.indd 8 1/29/09 11:51:49 AMChapitre 1 Installation du système Xserve 9 Choix d’un emplacement approprié Le système Xserve est conçu pour être monté en rack. Passez en revue les paragraphes suivants pour vous assurer que l’emplacement que vous avez choisi satisfait les conditions d’espace, d’alimentation électrique et environnementales applicables à l’Xserve. Compatibilité pour l’installation en rack Vous pouvez mettre en place le système Xserve dans tout rack ouvert ou fermé (de type armoire) à quatre montants de 48 cm, d’une profondeur de 61 à 91 cm environ, à l’aide des rails inclus avec l’appareil. L’Xserve occupe environ 4,5 cm (soit 1U) d’espace rack vertical. Important : votre rack doit satisfaire la norme ANSI/EIA-310-D-92 émise par l’American National Standards Institute (ANSI) et l’Electronic Industries Association (EIA), IEC-297 (par l’International Electrotechnical Commission) et la norme DIN-41494 (issue de la Deutsche Industrie Norm). Stabilité du rack Assurez-vous que le rack est stable et assez solide pour supporter le matériel installé. Lors de la manipulation des éléments dans le rack, ne faites jamais glisser plus d’une unité à la fois. Assurez-vous que tous les composants sont bien fixés dans le rack. AVERTISSEMENT : Ne posez pas d’écran ni aucun autre appareil sur l’Xserve. Le poids supplémentaire peut endommager des composants internes de l’Xserve, exercer une pression sur le rack et le rendre instable. Les appareils non sécurisés dans le rack peuvent vous tomber dessus. F034-4891.indd 9 1/29/09 11:51:49 AM10 Chapitre 1 Installation du système Xserve Espace nécessaire L’air, servant au refroidissement de l’Xserve, circule de l’avant vers l’arrière. Ne laissez rien obstruer les ouvertures situées sur les panneaux avant et arrière de l’Xserve. Une fois installé, le système Xserve s’introduit par l’avant et coulisse dans le rack. Assurezvous de bien laisser presque 1 mètre de libre devant l’Xserve pour pouvoir le retirer au besoin. N’empêchez pas l’air de circuler à travers l’Xserve. Besoins en alimentation secteur Assurez-vous que le câblage et les connexions électriques disponibles peuvent prendre en charge les besoins électriques de l’Xserve et de tous ses composants installés dans le rack. Pour des informations sur les besoins électriques de l’Xserve, reportez-vous aux L’annexe A, «Caractéristiques,» à la page 49. Vérifiez que les branchements au secteur de l’Xserve et de tous les autres éléments sont reliés à la terre, en conformité avec les normes officielles. F034-4891.indd 10 1/29/09 11:51:49 AMChapitre 1 Installation du système Xserve 11 Environnement de fonctionnement Assurez-vous que la température dans le rack se trouve dans les limites fixées pour l’Xserve et les autres composants. Pour des informations sur la température de fonctionnement de l’Xserve, reportez-vous aux L’annexe A, «Caractéristiques,» à la page 49. Vérifiez que le rack mais aussi la pièce où le rack se trouve sont suffisamment ventilés pour maintenir la température ambiante dans les limites prévues. Installation du système Xserve Suivez les instructions ci-après pour installer l’Xserve dans un rack. Résumé de l’installation  Étape 1 : Retirez l’emballage.  Étape 2 : Assemblez une paire de rails coulissants de longueur appropriée à votre rack.  Étape 3 : Placez les rails dans le rack sans les fixer.  Étape 4 : Alignez-les puis fixez-les.  Étape 5 : Faites glisser l’Xserve dans le rack.  Étape 6 : Branchez les câbles.  Étape 7 : Branchez un clavier, un moniteur et une souris (facultatif). Installation de composants facultatifs avant de commencer Pour manipuler l’intérieur de l’Xserve, vous devez le retirer du rack. Si vous envisagez d’installer de la mémoire supplémentaire, des cartes PCI ou tout autre composant interne avant d’utiliser l’Xserve, vous pouvez le faire dès maintenant. Pour obtenir de l’aide sur l’installation de composants, reportez-vous au Chapitre 2. F034-4891.indd 11 1/29/09 11:51:50 AM12 Chapitre 1 Installation du système Xserve Étape 1 : Retirez les matériaux de protection de l’emballage 1 Retirez l’Xserve de son emballage et posez-le sur une surface plane. 2 Retirez le cache protecteur en dévissant les vis moletées sur chaque côté et en le soulevant. Cache protecteur 3 Retirez tout film plastique situé à l’avant ou sur le dessus de l’Xserve. Important : Ne retirez pas le film protecteur du lecteur optique à chargement frontal. Laissez-le en place jusqu’à ce que l’Xserve soit bien fixé dans son rack. Conservez ce film protecteur et replacez-le sur le logement du lecteur chaque fois que vous devez déplacer l’Xserve ou l’emballer pour l’expédier. F034-4891.indd 12 1/29/09 11:51:50 AMChapitre 1 Installation du système Xserve 13 Étape 2 : Assemblez les rails de montage Le système Xserve est livré avec des extensions longues et courtes à assembler aux rails frontaux standard. Elles vous permettent de monter des paires de rails d’une longueur adaptée à votre rack. Extension longue Extension courte Ces chevilles enclenchent les logements dans l’extension. Rail m Faites glisser une extension arrière dans chacun des deux rails frontaux qui lui correspondent. Cette extension se place à l’extérieur du rail. Enclenchez les chevilles dans les deux logements. Ce cran se place en bas. Haut F034-4891.indd 13 1/29/09 11:51:51 AM14 Chapitre 1 Installation du système Xserve Étape 3 : Installez les rails sans les fixer dans le rack 1 Placez un rail ainsi assemblé dans le rack (il doit rester en place temporairement pendant que vous rassemblez les agrafes de fixation). La procédure à suivre pour fixer le rail dépend du rack.  Si vous disposez d’un rack à trous de fixation carrés, placez d’abord les patins des rails à l’intérieur des montants et déroulez le rail entre les montants avant et arrière jusqu’à ce que le petit guide rond de chaque patin glisse sur le rail. Déployez les rails pour qu’ils rentrent dans les montants du rack. Placez la pièce de fixation à l’extérieur du montant et sur le guide taraudé situé sur le rail. Placez la pièce de fixation pour que la petite cale arrière enclenche le trou de fixation carré dans le support du rack. Utilisez les vis fournies avec le rail pour attacher la pièce de fixation au rail. F034-4891.indd 14 1/29/09 11:51:51 AMChapitre 1 Installation du système Xserve 15  Si vous disposez d’un rack à trous de fixation taraudés, placez d’abord les patins des rails à l’extérieur des montants et repliez le rail dans sa position prévue. Placez la pièce de fixation sur le guide taraudé situé sur l’assemblage des rails. Haut Rentrez les rails pour les placer à l’extérieur des montants du rack. Utilisez 8 vis 10-32 ou 8 vis M5 (fournies) en fonction de votre rack. 2 Placez une pièce de fixation, avec la flèche vers le haut, dans le petit guide rond situé aux extrémités de chaque rail et vissez les vis de montage à la main. Ne serrez pas les vis de montage avant d’avoir aligné les rails, comme indiqué dans l’étape suivante. F034-4891.indd 15 1/29/09 11:51:52 AM16 Chapitre 1 Installation du système Xserve Étape 4 : Alignez et sécurisez les rails Pour vous assurer que l’Xserve glisse sans problème dans son rack, servez-vous du guide d’alignement pour positionner les rails dans le rack avant de serrer les vis de montage. 1 Insérez le guide d’alignement à l’avant des rails. Insérez le guide d’alignement dans les rails et serrez toutes les vis. 2 Serrez les vis de montage placées à l’avant. Important : si vous disposez d’un rack à trous de fixation carrés, assurez-vous que la cale surhaussée permettant l’alignement, située à l’arrière de chaque pièce de fixation, reste entièrement introduite dans le trou de fixation du montant pendant que vous serrez les vis. 3 Serrez les vis de montage placées à l’arrière. F034-4891.indd 16 1/29/09 11:51:52 AMChapitre 1 Installation du système Xserve 17 4 Retirez le guide d’alignement. Étape 5 : Faites glisser l’Xserve dans le rack 1 Guidez les parties coulissantes situées sur l’Xserve dans les voies de chaque rail. Important : assurez-vous que les parties coulissantes gauche et droite de l’Xserve s’insèrent bien dans la voie des deux rails. Si vous rencontrez des difficultés, laissez l’Xserve de côté et vérifiez l’espacement entre les rails à l’aide du guide d’alignement. Vis moletées Protection du lecteur optique 2 Faites glisser jusqu’au fond l’Xserve dans son rack. 3 Resserrez les vis moletées à chaque extrémité du panneau frontal pour fixer l’Xserve au rack. 4 Retirez la protection en plastique du lecteur optique. F034-4891.indd 17 1/29/09 11:51:53 AM18 Chapitre 1 Installation du système Xserve Important : conservez ce film protecteur et replacez-le sur le logement du lecteur chaque fois que vous devez déplacer l’Xserve ou l’emballer pour l’expédier. Étape 6 : Connectez les câbles 1 Branchez un câble sur le bloc d’alimentation et fixez-le à l’aide du bout de fil de fer. le ventilateur situé dans le bloc d’alimentation réagit et certains voyants d’état du système s’allument dès que vous branchez le câble d’alimentation, avant d’allumer le système Xserve. 2 Branchez les câbles réseau. Si vous n’utilisez qu’un seul câble Ethernet, connectez-le au port 1. Port console série Port Mini DisplayPort Port Ethernet 2 Port Ethernet 1 Bouton/voyant d’identification du système Ports FireWire 800 (2) Ports USB 2.0 (2) Baie de bloc d’alimentation 2 Baie de bloc d’alimentation 1 Étiquette d’informations sur le système (onglet de retrait) F034-4891.indd 18 1/29/09 11:51:53 AMChapitre 1 Installation du système Xserve 19 Étape 7 : Connectez un clavier, un écran et une souris (facultatif) Vous pouvez connecter un écran, un clavier et une souris directement au système Xserve. Vous pouvez également gérer l’Xserve, sans y brancher d’écran ou de clavier, à l’aide d’outils tels qu’Admin Serveur, Contrôle de serveur, Apple Remote Desktop ou encore la ligne de commande. Ports USB 2.0 (2) Adaptateur VGA Port Mini DisplayPort 1 Branchez le clavier sur un des ports USB situés sur le panneau arrière. 2 Branchez la souris sur le deuxième port USB ou sur le clavier. 3 Branchez le câble vidéo sur le port Mini DisplayPort situé sur le panneau arrière. Si nécessaire, utilisez un adaptateur VGA ou DVI, vendu séparément. F034-4891.indd 19 1/29/09 11:51:53 AM20 Chapitre 1 Installation du système Xserve Que vous reste-t-il à faire Une fois la mise en place du système Xserve terminée, recherchez des informations sur son démarrage, sa configuration et son utilisation dans les guides suivants : Démarrage du système Xserve Le Guide de l’utilisateur Xserve (fichier PDF présent sur le disque Admin Tools) inclut :  une vue d’ensemble des commandes et des composants de l’Xserve ;  des informations sur le démarrage et l’arrêt de l’Xserve ;  des astuces sur le contrôle de l’état du système Xserve et des services qu’il offre ;  des instructions sur la mise à jour ou la réinstallation du logiciel serveur ;  les solutions à certains problèmes courants. Configuration du logiciel serveur La première fois que vous allumez l’Xserve, l’Assistant du serveur demande des informations élémentaires dont Mac OS X Server a besoin pour pouvoir démarrer et se connecter au réseau. Pour de l’aide sur la procédure d’installation, reportez-vous au guide Premiers pas avec Mac OS X Server présent sur le disque Admin Tools fourni avec l’Xserve. F034-4891.indd 20 1/29/09 11:51:54 AMChapitre 1 Installation du système Xserve 21 Installation de volumes RAID Si votre Xserve inclut une carte Xserve RAID, reportez-vous au Guide de l’utilisateur de l’Utilitaire RAID (disponible à l’adresse www.apple.com/fr/xserve/resources.html) ou dans l’aide à l’écran de l’Utilitaire RAID pour des informations sur la configuration des ensembles et des volumes RAID à l’aide de modules de disque Xserve. F034-4891.indd 21 1/29/09 11:51:54 AMF034-4891.indd 22 1/29/09 11:51:54 AM23 2 L’annexe Installation ou remplacement de composants Ce chapitre vous explique comment installer ou remplacer des modules de disque et d’autres composants internes du système Xserve. Vous pouvez installer ou remplacer les composants suivants lorsque l’Xserve se trouve dans son rack :  Modules de disque dur (page 26)  Bloc d’alimentation (page 30) Pour installer ou remplacer les composants suivants, vous devez retirer l’Xserve de son rack et l’ouvrir :  Mémoire (page 36)  Carte PCI Express (page 41)  Pile (page 47) Pour une vue d’ensemble de l’intérieur de l’Xserve, reportez-vous à la page suivante. F034-4891.indd 23 1/29/09 11:51:54 AM24 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Vue d’ensemble du système Xserve : composants internes Logements DIMM Ensemble de ventilateurs Logement d’extension 1 Baie de bloc d’alimentation 2 Baie de bloc d’alimentation 1 Logement d’extension 2 Pile Loquet de dégagement du rack SSD (en option) Baie de disque 1 Baie de disque 2 Baie de disque 3 F034-4891.indd 24 1/29/09 11:51:55 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 25 Baies de bloc d’alimentation Vous pouvez mettre en place un ou deux blocs d’alimentation dans l’Xserve. Si deux blocs d’alimentation sont installés, ils se partagent alors la charge. En cas de panne d’un des blocs, l’autre bloc assure alors la charge complète. Consultez la rubrique «Installation ou remplacement d’un bloc d’alimentation» à la page 30. Logements d’extension Vous pouvez installer une carte PCI-E d’une demi-longueur (6,6 pouces) dans le logement 1 et une carte PCI-E standard (9 pouces) dans le logement 2. Reportez-vous à la section «Installation d’une carte PCI Express» à la page 41. Logements pour modules DIMM Vous pouvez installer jusqu’à douze modules DIMM avec correcteur d’erreurs dans ces logements. Consultez la rubrique «Ajout de mémoire» à la page 36. Ventilateurs L’ensemble de ventilateurs fait circuler l’air servant au refroidissement de l’Xserve, de l’avant vers l’arrière. Baies de disques Vous pouvez installer des modules de disque Apple SATA (Serial ATA) ou SAS (Serial Attached SCSI) tiers compatibles. Consultez la rubrique «Installation ou remplacement d’un module de disque» à la page 26. Disque SSD Si vous avez commandé votre système avec un disque SSD, l’Xserve est livré avec le disque SSD configuré comme disque de démarrage. Loquet de dégagement du rack Ce loquet bloque la sortie de l’Xserve jusqu’à mi-chemin du rack. Appuyez dessus pour dégager le système. Pile La pile placée sur la carte logique principale alimente l’horloge système et conserve les réglages système de base (dans la mémoire NVRAM) lorsque l’alimentation est coupée. Consultez la rubrique «Remplacement de la pile» à la page 47. F034-4891.indd 25 1/29/09 11:51:56 AM26 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Installation ou remplacement d’un module de disque Si vous n’utilisez pas de carte Xserve RAID, les modules de disque du système Xserve sont connectables à chaud, c’est-à-dire que vous pouvez ajouter, retirer ou remplacer un lecteur sans arrêter l’Xserve. Un voyant d’état placé sur la poignée du lecteur indique le moment le plus sûr pour le retirer sans mettre en péril l’intégrité des données qui y sont stockées. Si vous utilisez une carte Xserve RAID, vous pouvez remplacer un disque dur en panne sans arrêter l’Xserve. Toutefois, si vous voulez remplacer un ensemble RAID entier, éteignez l’Xserve avant de retirer les disques. À propos des modules de disque destinés au système Xserve L’Xserve accepte les modules de disque Apple SATA (Serial ATA) et SAS (Serial Attached SCSI) tiers compatibles. Pour des informations sur les modules de disque compatibles, reportez-vous à la page www.apple.com/fr/store. Si vous utilisez une carte Xserve RAID, vérifiez que vous utilisez des modules de disque qui sont tous de même type et de mêmes dimensions. Pour installer ou remplacer un module : 1 Si le boîtier de l’Xserve est verrouillé, utilisez la clé pour ouvrir le verrou de sécurité du panneau avant. 2 Retirez le module de disque vide (ou celui qui est actuellement installé). F034-4891.indd 26 1/29/09 11:51:56 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 27 Si le module de disque dans la baie est vide, appuyez sur la poignée située à l’avant pour dégager le module. Retirez le module et placez-le en lieu sûr. Appuyez sur le module de disque vide pour dégager la poignée. F034-4891.indd 27 1/29/09 11:51:56 AM28 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Important : conservez le module de disque vide. Laissez toujours un module de disque vide dans les baies libres pour assurer une ventilation adéquate de l’Xserve. Retirez le module de disque vide de la baie. Si la baie contient un module de disque : a Assurez-vous que ce disque n’est ni utilisé par aucune application, ni partagé par l’Xserve b Appuyez sur la poignée située à l’avant du module de disque afin de la libérer. c Attendez que le voyant d’état supérieur vert du disque s’éteigne, puis retirez le module de disque de la baie par la poignée. Si le voyant s’éteint après 20 secondes, une application a probablement un fichier ouvert sur le disque. F034-4891.indd 28 1/29/09 11:51:57 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 29 3 Prenez le module de remplacement, appuyez sur la poignée pour l’ouvrir, puis glissez le module dans la baie jusqu’à ce qu’il se fixe complètement. 4 Appuyez sur la poignée pour « l’aligner » sur la partie avant. Le voyant d’état du disque devient vert pour indiquer un fonctionnement normal. F034-4891.indd 29 1/29/09 11:51:57 AM30 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Installation ou remplacement d’un bloc d’alimentation Vous pouvez installer ou remplacer un bloc d’alimentation à partir du panneau arrière sans avoir à retirer l’Xserve de son rack. Si l’Xserve est doté de deux blocs d’alimentation, ceux-ci sont échangeables à chaud ; en d’autres termes, l’Xserve continue à fonctionner en n’utilisant qu’un seul bloc pendant l’intervention sur l’autre bloc. Important : Installez des blocs d’alimentation d’au moins 750 W. Les blocs d’alimentation fournis avec certains Xserve précédents sont calibrés à moins de 750 W. Pour retirer un bloc d’alimentation : 1 Débranchez le câble d’alimentation du bloc à retirer. 2 Tirez sur la poignée pour libérer le bloc et le faire glisser hors de la baie. F034-4891.indd 30 1/29/09 11:51:57 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 31 AVERTISSEMENT : le bloc d’alimentation extrait d’un Xserve en cours de fonctionnement peut être très chaud. Tirez sur la poignée pour libérer le bloc d’alimentation et le retirer. Pour ajouter un autre bloc, utilisez le cran de la baie de bloc d’alimentation pour faire pivoter le panneau vers l’extérieur. Retirez le panneau et mettez-le de côté. F034-4891.indd 31 1/29/09 11:51:58 AM32 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Pour mettre en place un bloc d’alimentation : 1 Appuyez sur la poignée du nouveau bloc d’alimentation pour l’ouvrir, appuyez sur la paroi du ventilateur (pas la poignée) pour faire glisser le bloc entièrement dans la baie, puis appuyez à nouveau sur la poignée pour fermer, fixer et immobiliser le bloc. Pour ajouter un autre bloc, utilisez le cran de la baie de bloc d’alimentation pour faire pivoter le panneau vers l’extérieur. Retirez le panneau et mettez-le de côté. Appuyez sur la grille et non pas sur la poignée du ventilateur lors de la mise en place de l’alimentation. Grille du ventilateur Poignée 2 Branchez le câble d’alimentation au bloc. Si l’Xserve fonctionne sur l’autre bloc d’alimentation, le voyant d’état du nouveau bloc passe au vert pour indiquer un fonctionnement normal lors de la phase de mise en partage de la charge. Si l’Xserve n’est pas sous tension, ce voyant d’état devient vert et clignote lorsque le câble d’alimentation est branché sur une prise de courant. F034-4891.indd 32 1/29/09 11:51:58 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 33 Ouverture et fermeture du système Xserve Avant d’installer ou de remplacer de la mémoire, des cartes PCI ou la pile système, vous devez au préalable éteindre l’Xserve, le retirer de son rack et l’ouvrir. Manipulations en toute sécurité à l’intérieur de l’Xserve Touchez toujours le châssis du système Xserve pour décharger votre corps de toute électricité statique avant de manipuler quelque composant que ce soit à l’intérieur de l’Xserve. Pour éviter de générer de l’électricité statique, ne vous déplacez pas avant d’avoir fini d’installer la carte d’extension, la mémoire ou tout autre composant interne à mettre en place et d’avoir refermé le boîtier de l’Xserve. Pour réduire le risque de détérioration de composants par électricité statique, portez un bracelet antistatique lorsque vous manipulez l’intérieur de l’Xserve. Pour ouvrir l’Xserve : 1 Éteignez l’Xserve (reportez-vous au Guide de l’utilisateur Xserve pour obtenir de l’aide) et attendez quelques minutes pour permettre aux composants internes de l’Xserve de refroidir. AVERTISSEMENT : éteignez toujours le système Xserve avant de l’ouvrir afin de n’endommager ni les composants internes, ni les composants à installer. N’ouvrez pas l’Xserve et n’essayez pas d’y installer des composants tant qu’il est allumé. Même après extinction de l’Xserve, ses composants internes peuvent être très chaud. Laissez-le refroidir dans ce cas avant de l’ouvrir. 2 Si le boîtier de l’Xserve est verrouillé, utilisez la clé pour ouvrir le verrou de sécurité du panneau avant. 3 Débranchez tous les câbles de l’Xserve. F034-4891.indd 33 1/29/09 11:51:59 AM34 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants si vous rencontrez des problèmes pour libérer un câble du panneau arrière, essayez d’utiliser un petit tournevis ou un autre outil plat pour débloquer l’attache de la prise du câble. 4 Desserrez les vis moletées aux deux extrémités du panneau avant. 5 Saisissez les vis moletées pour tirer l’Xserve vers l’avant jusqu’à ce que les loquets de sécurité s’enclenchent (vers la moitié du rack). Loquets Vis moletées 6 Lorsque les loquets de sécurité sont enclenchés, attrapez l’Xserve par la partie située hors du rack, puis appuyez sur les attaches des loquets à l’aide de vos pouces pour extraire complètement l’Xserve des rails du rack. Posez l’Xserve sur une surface plane. F034-4891.indd 34 1/29/09 11:51:59 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 35 7 Dévissez les vis moletées à l’arrière du panneau supérieur et faites glisser ce dernier vers l’arrière et le haut pour le retirer. Si vous rencontrez des difficultés à retirer le panneau, vérifiez le verrou sur le panneau frontal. Important : pour réduire le risque de détérioration de composants de l’Xserve par électricité statique, portez un bracelet antistatique lorsque vous manipulez l’intérieur de l’Xserve. Dévissez les deux vis moletées imperdables. Faites glisser le panneau vers l’arrìère et soulevez-le. 8 Lorsque vous avez terminé vos manipulations dans l’Xserve, replacez et vissez le cache, refaites glisser l’Xserve dans son rack, puis fixez-le à l’aide des vis moletées situées à l’avant. Si le boîtier su serveur était verrouillé, utilisez la clé pour serrer le verrou de sécurité du panneau avant. F034-4891.indd 35 1/29/09 11:52:00 AM36 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Ajout de mémoire L’Xserve est doté de 12 logements de mémoire. Les systèmes sont fournis avec au moins 3 Go de mémoire sur trois modules DIMM d’1 Go chacun. Pour améliorer les performances et la capacité, vous pouvez installer jusqu’à douze modules DIMM. Vous pouvez utiliser les types de mémoire suivants dans l’Xserve :  Modules DIMM DDR3 à 1 066 MHz ECC (code correcteur d’erreurs)  Modules DIMM 1 Go, 2 Go ou 4 Go (pour des performances optimales, 6 ou 12 modules DIMM identiques pour un Xserve à deux processeurs et 3 ou 6 modules DIMM identiques pour un Xserve à un processeur) Important : Apple recommande d’utiliser des modules DIMM agréés Apple. D’autres modules DIMM peuvent réduire les performances de l’Xserve. Les modules DIMM de systèmes Xserve plus anciens ne sont pas compatibles avec cet Xserve. Vous pouvez acheter de la mémoire agréée Apple sur l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/store. avant d’acheter des modules DIMM autres que ceux recommandés par Apple, vérifiez que le fabricant de la mémoire satisfait les normes du JEDEC (Joint Electron Device Engineering Council). Assurez-vous que les modules DIMM prennent en charge les modes de synchronisation requis et que la fonction SPD (Serial Presence Detect) a été correctement implémentée, conforme aux normes JEDEC. Pour vérifier la compatibilité DIMM, reportez-vous au Guide des produits Macintosh sur le site web d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr/guide. F034-4891.indd 36 1/29/09 11:52:00 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 37 Les 12 logements de mémoire sont étiquettés de A1 à A6 et de B1 à B6, de façon croisée. Les systèmes à un seul processeur ne disposent pas de logements B. (Arrière) (Avant) CPU B B3 B6 B2 B5 B1 B4 A4 A1 A5 A2 A6 A3 CPU A F034-4891.indd 37 1/29/09 11:52:00 AM38 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Instructions d’installation Pour bénéficier des meilleures performances de l’Xserve, installez des modules DIMM identiques comme indiqué dans le tableau suivant. Nombre de modules DIMM Installez dans ces logements : 3 (un ou deux processeurs) A1 A2 A3 B A 4 (deux processeurs) A1 A2 B1 B2 6 (un processeur) A1 A2 A3 A4 A5 A6 6 (deux processeurs) A1 A2 A3 B1 B2 B3 8 (deux processeurs) A1 A2 A3 A4 B1 B2 B3 B4 10 (deux processeurs) A1 A2 A3 A4 A5 B1 B2 B3 B4 B5 12 (deux processeurs) A1 A2 A3 A4 A5 A6 B1 B2 B3 B4 B5 B6 F034-4891.indd 38 1/29/09 11:52:01 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 39 Pour obtenir des performances optimales Pour les meilleures performances possibles d’un Xserve à deux processeurs, installez six ou douze modules DIMM identiques dans les logements indiqués dans le tableau ci-dessous. Pour un Xserve à un processeur, installez trois ou six modules DIMM identiques. L’Utilitaire d’emplacement de mémoire vous indiquera s’il est possible d’améliorer votre configuration DIMM. L’utilitaire s’exécute automatiquement au premier démarrage de l’Xserve après un changement de configuration de la mémoire. Vous pouvez également l’exécuter à tout moment depuis le dossier /Système/ Bibliothèque/CoreServices/Utilitaire d’emplacement de mémoire. Pour installer de la mémoire : 1 Passez en revue les normes d’installation de mémoire pour vous assurer de posséder le bon type de modules DIMM. 2 Éteignez l’Xserve et débranchez tous ses câbles. Important : assurez-vous que le système Xserve est bien éteint et que les câbles d’alimentation sont débranchés avant d’installer ou de retirer de la mémoire. 3 Retirez l’Xserve de son rack et ouvrez-le. Pour connaître les instructions à ce sujet, consultez la section «Ouverture et fermeture du système Xserve» à la page 33. AVERTISSEMENT : attendez toujours entre 5 et 10 minutes pour que l’Xserve refroidisse avant d’installer de la mémoire. Il se peut que les modules DIMM déjà présents et d’autres composants à proximité des logements DIMM soient très chauds. 4 Ouvrez les boutons d’éjection d’un des logements en les poussant vers l’extérieur. Important : Ne touchez pas les connecteurs dorés des modules DIMM. F034-4891.indd 39 1/29/09 11:52:01 AM40 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants 5 Sans toucher ses connecteurs dorés, alignez un module DIMM dans son logement et appuyez vers le bas sur les deux extrémités du module en le gardant droit jusqu’à ce que les boutons d’éjection se relèvent et s’enclenchent. 6 Répétez l’opération pour les autres modules DIMM. Cran Connecteurs Boutons d’éjection F034-4891.indd 40 1/29/09 11:52:03 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 41 7 Lorsque vous redémarrez l’Xserve, consultez l’Utilitaire d’emplacement de mémoire pour évaluer votre nouvelle configuration de mémoire. Installation d’une carte PCI Express Le système Xserve est doté de deux logements PCI Express (PCI-E) :  Le logement 1 accepte des cartes PCI-E de 6,6 pouces.  Le logement 2 accepte des cartes PCI-E de 9 pouces. Pour installer une carte, vous devez l’insérez au préalable dans le renvoi d’angle inclus, puis insérer le renvoi d’angle dans le logement. Les deux logements acceptent le renvoi d’angle PCI-E illustré ci-dessous. Connecteurs sur renvoi d’angle PCI Express x16 À propos des cartes PCI Express pour le système Xserve Le système Xserve accepte les cartes conformes aux normes suivantes :  Cartes PCI-E X16  Longueur maximale 6,6 pouces (logement 1), 9 pouces (logement 2)  Consommation électrique maximale par carte de 25 W Pour mettre en place une carte PCI-E : 1 Éteignez l’Xserve et débranchez tous ses câbles. F034-4891.indd 41 1/29/09 11:52:03 AM42 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Important : Assurez-vous que l’Xserve est bien éteint et que les câbles d’alimentation sont débranchés avant d’installer ou de retirer une carte PCI-E ou un renvoi d’angle. 2 Retirez l’Xserve de son rack et ouvrez-le. Pour connaître les instructions à ce sujet, consultez la section «Ouverture et fermeture du système Xserve» à la page 33. AVERTISSEMENT : Attendez toujours de 5 à 10 minutes pour que l’Xserve refroidisse avant de manipuler les logements PCI-E. Il se peut en effet que les composants situés près des logements soient très chauds. Logement d’extension 1 (PCI Express x16) Logement d’extension 2 (PCI Express x16) F034-4891.indd 42 1/29/09 11:52:04 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 43 3 Dévissez les deux vis imperdables fixant le support du renvoi d’angle sur le panneau arrière, puis retirez délicatement à la verticale le renvoi d’angle et son support du logement. Vis imperdables 4 Enlevez les vis du support du renvoi d’angle, puis retirez le cache d’accès au port. F034-4891.indd 43 1/29/09 11:52:06 AM44 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants 5 Emboîtez complètement la carte dans le logement du renvoi d’angle et replacez la vis pour fixer la carte dans le renvoi. Vis Carte PCI Renvoi d’angle PCI F034-4891.indd 44 1/29/09 11:52:07 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 45 6 Alignez le renvoi d’angle sur le logement de la carte logique principale et appuyez dessus pour l’emboîter. F034-4891.indd 45 1/29/09 11:52:08 AM46 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants 7 Serrez les vis imperdables qui maintiennent le support du renvoi d’angle sur le panneau arrière. 8 Replacez l’Xserve dans son rack et démarrez-le. 9 Configurez la carte. Pour configurer une carte Ethernet, ouvrez la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système. Pour configurer une carte Fibre Channel, ouvrez la sous-fenêtre Fibre Channel des Préférences Système. F034-4891.indd 46 1/29/09 11:52:08 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 47 Remplacement de la pile L’Xserve utilise une pile bouton au lithium BR 2032 pour conserver des réglages tels que la date et l’heure lorsque le système n’est pas branché sur une source d’alimentation. Si la date et l’heure ont changé de façon inattendue ou que d’autres réglages système ont été perdus, il est possible que la pile ait besoin d’être remplacée. Pour bénéficier des meilleurs résultats possibles, achetez une pile de rechange auprès d’un fournisseur de services agréé Apple. Vis imperdables (5) Ventilation Le signe plus (+) doit se trouver vers le haut. F034-4891.indd 47 1/29/09 11:52:10 AM48 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Pour remplacer la pile : 1 Éteignez l’Xserve et débranchez tous ses câbles. Important : assurez-vous que l’Xserve est bien éteint et que les câbles d’alimentation sont débranchés avant de remplacer la pile. 2 Retirez l’Xserve de son rack et ouvrez-le. Pour connaître les instructions à ce sujet, consultez la section «Ouverture et fermeture du système Xserve» à la page 33. AVERTISSEMENT : Attendez toujours de 5 à 10 minutes pour que l’Xserve refroidisse avant de remplacer la pile. Il se peut en effet que les composants situés près de la pile soient très chauds. 3 Desserrez les vis imperdables du boîtier du ventilateur et retirez-le. 4 Retirez l’ancienne pile du support. AVERTISSEMENT : Pour éviter tout risque d’explosion, remplacez toujours la pile par une de type BR 2032. 5 Insérez la nouvelle pile dans le support, le signe plus (+) dirigé vers le haut. 6 Remettez en place le boîtier du ventilateur et serrez les vis avec précaution. 7 Refermez le système Xserve et replacez-le dans son rack. Important : Jetez la pile usagée selon les instructions de son fabricant et en accord avec les lois de votre pays en matière de respect de l’environnement. Reportez-vous aux informations sur la mise au rebut des piles et batteries dans la section « Regulatory Compliance Information » située à la fin de ce guide. F034-4891.indd 48 1/29/09 11:52:10 AM49 A L’annexe Dimensions  Hauteur : 4,4 cm (1U)  Largeur : 44,7 cm pour un montage en rack de 48,3 cm  Profondeur : 76,2 cm Poids  14,5 kg avec 3 modules DIMM, 1 module de disque et 1 bloc d’alimentation  17,5 kg avec 12 modules DIMM, 3 modules de disque et 2 blocs d’alimentation Environnement de fonctionnement  Température de fonctionnement : entre 10 et 35 °C  Température de stockage : entre –40 et 47 °C  Humidité relative : entre 5 et 95 % (sans condensation)  Altitude : entre 0 et 3 048 mètres Processeurs  Un ou deux processeurs Intel Xeon 5500 à quatre cœurs cadencés à 2,26, 2,66 ou 2,93 GHz  8 Mo de mémoire cache L3 partagée par processeur  Deux bus point à point Intel QuickPath Interconnect permettant des liaisons jusqu’à 6,4 Giga-transferts par seconde F034-4891.indd 49 1/29/09 11:52:10 AM50 L’annexe A Caractéristiques  Contrôleur mémoire intégré avec trois canaux de mémoire DDR3-1066 indépendants par processeur Mémoire RAM  Modules DIMM DDR3 ECC à 1066 MHz (modules de mémoire double incorporés prévoyant la protection des adresses et des données à l’aide d’un code correcteur d’erreurs)  12 logements DIMM acceptant des modules DIMM de 1, 2 ou 4 Go Lecteur optique  Lecteur SuperDrive double couche 24X (CD) / 8X (DVD) à chargement par fente  Types de disques pris en charge : CD–R, CD–RW, DVD–R, DVD–R DL, DVD–RW, DVD+R, DVD+R DL, DVD+RW  Dimensions de disque prises en charge : 12 cm Logement d’extension 1 PCI-E  Accepte une carte PCI-E (Express) x16 dans un renvoi d’angle approprié  Longueur de carte maximale : 16,7 cm  Consommation maximale : 25 W Logement d’extension 2 PCI-E  Accepte une carte PCI-E x16 dans un renvoi d’angle approprié  Longueur de carte maximale : 22,8 cm  Consommation maximale : 25 W Pile système  Pile bouton au lithium BR 2032 à durée de vie étendue F034-4891.indd 50 1/29/09 11:52:10 AML’annexe A Caractéristiques 51 Ethernet  Compatible IEEE 802.3  Longueur de câble maximale : 100 mètres (m)  Connecteurs : RJ-45 pour câbles 10Base-TX, 100Base-TX et 1000Base-TX  Support, 10Base-TX : câble UTP de catégorie 3 ou supérieure avec deux paires, jusqu’à 100 m  Support, 100Base-TX : câble UTP de catégorie 5 avec deux paires, jusqu’à 100 m  Support, 1000Base-TX : câble UTP de catégorie 5 et 6 avec 4 paires, jusqu’à 100 m  Vitesses des canaux : négociation automatique IEEE de 10Base-TX, 100Base-TX et 1000Base-TX FireWire  Vitesse de transfert de données : 100, 200, jusqu’à 400 et 800 mégabits par seconde  Deux ports FireWire 800 (panneau arrière) Muni du câble approprié, les ports FireWire 800 fonctionnent avec tous les périphériques FireWire. Ces câbles existent en versions 9 broches vers 4, 6 ou 9 broches.  Tension de sortie : environ 12 à 30 V  Puissance de sortie : jusqu’à 15 W F034-4891.indd 51 1/29/09 11:52:11 AM52 L’annexe A Caractéristiques USB  Compatible USB 2.0  Trois ports USB externes de type A  Canal USB dédié, d’un débit de 480 Mbps, pour chaque port  500 mA à 5 V disponibles par port, soit 2,5 A au total  Un port peut fournir 1,5 W (les deux autres ports fournissent alors 500 mW) Bloc d’alimentation  Un ou deux blocs d’alimentation de 750 W  Entrée de ligne CA : 100–240 V de courant alternatif (CA), monophasé, 50–60 hertz (Hz)  Courant de ligne CA maximum : 9,5 A (100–127 V) ou 5 A (200–240 V). Si deux blocs d’alimentation sont installés, ils se partagent alors la charge. Port série  Connecteur D à 9 broches 1 2 3 4 6 7 8 9 5 F034-4891.indd 52 1/29/09 11:52:11 AML’annexe A Caractéristiques 53  Signaux des broches 1 : RLSD (signal de détection de réception) 2 : RD (données reçues) 3 : TD (données transmises) 4 : DTE (DRT CD) 5 : SGND (terre de signalisation) 6 : DCE (DCR CC) 7 : RTS (demande d’envoi) 8 : CTS (autorisation d’envoi) 9 : RI (indicateur de sonnerie) F034-4891.indd 53 1/29/09 11:52:11 AMF034-4891.indd 54 1/29/09 11:52:11 AM55 B Sécurité et maintenance L’annexe Importantes consignes de sécurité Pour votre propre sécurité et celle de votre matériel, veillez à toujours respecter les précautions ci-après. Important : Le seul moyen de couper totalement l’alimentation électrique consiste à débrancher le cordon. Assurez-vous qu’au moins une extrémité du câble d’alimentation se trouve à portée de main afin de pouvoir débrancher le système Xserve si besoin. Débranchez la prise d’alimentation (en tirant sur la prise et non sur le cordon) si l’un des cas de figure suivants se présente :  Vous devez retirer des composants (laissez dans ce cas le cordon déconnecté tant que le cache est enlevé).  Le câble ou la prise d’alimentation sont usés ou endommagés.  Un liquide s’est renversé dans le boîtier.  Le système Xserve a été exposé à la pluie ou à une humidité excessive.  Le système Xserve est tombé ou son boîtier a été endommagé de quelque autre façon.  Vous pensez que le système Xserve doit être révisé ou réparé.  Vous voulez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez la procédure conseillée plus loin). F034-4891.indd 55 1/29/09 11:52:11 AM56 L’annexe B Sécurité et maintenance Observez toujours les consignes ci-dessous :  Évitez de placer le système Xserve à proximité de sources de liquides telles qu’un évier, un lavabo, une baignoire, etc.  Protégez l’Xserve de l’humidité et des intempéries (par exemple la neige et la pluie).  Lisez attentivement toutes les instructions d’installation avant de brancher le système Xserve sur une prise ou multiprise de courant électrique reliée à la terre.  Gardez ces consignes à portée de main pour tous les utilisateurs.  Suivez toutes les instructions et les mises en garde concernant l’Xserve. Les appareils électriques peuvent être dangereux s’ils ne sont pas utilisés correctement. Le modèle du serveur décrit dans ce manuel est uniquement certifié comme composant à utiliser avec un autre équipement ; un laboratoire officiel de tests a vérifié la conformité de l’ensemble. Manipulation de l’unité Xserve Observez les consignes ci-après pour manipuler l’Xserve et ses composants :  Lorsque l’Xserve est retiré du rack, placez-le sur une surface plane et stable. Important : Ne posez pas d’écran ni aucun autre appareil sur l’Xserve. La pression d’un poids sur le boîtier risque en effet d’endommager des composants essentiels internes de l’Xserve.  Lorsque vous branchez ou débranchez un câble, prenez-le toujours par son connecteur. F034-4891.indd 56 1/29/09 11:52:12 AML’annexe B Sécurité et maintenance 57  Certains composants et câbles (tels que les disques durs, les moniteurs VGA ou les périphériques FireWire, Ethernet et USB) sont conçus pour être mis en place ou retirés lors du fonctionnement de l’Xserve.  Ne forcez jamais un connecteur dans un port. Si le connecteur ne s’enfonce pas facilement, il ne s’agit certainement pas du port correspondant. Assurez-vous que le connecteur correspond au port et que vous l’avez bien positionné pour l’insérer.  Veillez à ne renverser ni aliments ni liquides sur le système Xserve ou ses composants. Si cela se produit, éteignez immédiatement l’Xserve et débranchez-le avant de le nettoyer. Demandez ensuite à un fournisseur de services agréé Apple de contrôler ou de réparer l’Xserve.  Protégez le système Xserve et ses composants de toute exposition directe au soleil, à la pluie et à l’humidité.  Veillez à ne pas obstruer ni gêner les ouvertures de ventilation. Si l’air circule mal, une surchauffe peut se produire et endommager les composants ou nuire au fonctionnement. Protection du lecteur optique Pour assurer le bon fonctionnement du lecteur optique :  En cas d’urgence, vous pouvez éjecter un disque en maintenant le bouton de la souris enfoncé au cours du démarrage du système. Si aucune souris n’est branchée, vous pouvez éjecter le disque à l’aide des commandes du panneau avant pour démarrer depuis le lecteur optique. Pour d’autres instructions, reportez-vous au Guide de l’utilisateur Xserve sur le disque Admin Tools livré avec l’Xserve. Dès que possible, éjectez le disque avant de l’éteindre. F034-4891.indd 57 1/29/09 11:52:12 AM58 L’annexe B Sécurité et maintenance Bloc d’alimentation Le bloc d’alimentation placé dans l’unité Xserve est un composant à haute tension qui ne doit en aucun cas être ouvert, même lorsque l’ordinateur est éteint. Si une intervention est nécessaire, contactez un fournisseur de services agréé Apple. Nettoyage du système Xserve Respectez ces recommandations lors du nettoyage du boîtier de l’Xserve :  Utilisez un chiffon doux, humide et non pelucheux. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit.  N’utilisez ni aérosols, ni dissolvants, ni abrasifs. Nettoyage du boîtier de l’Xserve Pour nettoyer le boîtier : 1 Éteignez l’ordinateur puis débranchez la prise d’alimentation (en tirant sur la prise et non sur le cordon). 2 Frottez légèrement la surface avec un tissu doux et humide. F034-4891.indd 58 1/29/09 11:52:12 AML’annexe B Sécurité et maintenance 59 Apple et l’environnement Apple reconnaît qu’il est de sa responsabilité de minimiser les conséquences écologiques de ses activités et produits. Pour en savoir plus, reportez-vous à la page www.apple.com/fr/about/environment. Informations sur la santé Dans la plupart des cas, vous serez amené à configurer et à administrer le système Xserve à distance, via un ordinateur administrateur placé sur le même réseau, par exemple. Si vous travaillez en revanche directement avec le rack du serveur pendant des périodes prolongées, veillez à observer les consignes qui suivent pour éviter des douleurs musculaires, une fatigue oculaire ou toute autre gêne liée à l’utilisation d’un ordinateur :  Si l’emplacement du serveur le permet, utilisez une chaise réglable pour une assise confortable. Le dossier doit être orienté de façon à soutenir la région lombaire. Suivez les instructions du fabricant pour effectuer correctement ce réglage.  Lors de l’utilisation d’un clavier, vos épaules doivent être détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former plus ou moins un angle droit, la main devant se trouver dans le prolongement du poignet. Réglez la hauteur de votre siège en fonction de l’emplacement de l’écran et du clavier pour adopter une position confortable. Vos pieds doivent être à plat sur le sol ou sur un repose-pieds. F034-4891.indd 59 1/29/09 11:52:12 AM60 Regulatory Compliance Information Certificat de conformité FCC Cet appareil a subi des essais et a été reconnu conforme aux limites des appareils numériques de classe A, selon le paragraphe 15 de la réglementation FCC. Ces restrictions sont conçues pour offrir une protection contre des interférences nuisibles lorsque l’équipement est utilisé dans un environnement commercial. Cet appareil génère, utilise et peut émettre une énergie de fréquence radio et, s’il n’est pas installé et utilisé conformément au manuel d’instructions du fabricant, il peut provoquer des interférences nuisibles avec les communications radio. Il est plus que probable que l’exploitation de cet équipement dans une zone résidentielle provoque des interférences nuisibles. Si le cas s’avérait, vous êtes tenu de corriger ce problème d’interférences à vos frais. Avis concernant les câbles blindés et modifications apportées au produit Ce produit a été testé pour déterminer sa compatibilité électromagnétique dans certaines conditions impliquant l’utilisation de périphériques, câbles blindés et connecteurs Apple pour les composants système. Il est important d’utiliser ces produits Apple pour réduire le risque d’interférences aux postes radio, de télévision et autres appareils électroniques. Vous pouvez vous procurer des périphériques Apple et les câbles et connecteurs appropriés auprès d’un revendeur agréé Apple. Pour le reste du matériel, contactez le fabricant concerné. Important : Les changements réalisés sur ce produit ne sont pas autorisés par Apple Inc. et pourraient annuler la compatibilité CEM ainsi que vos droits à utiliser ce produit. Label Canada Industry Complies with the Canadian ICES-003 Class A specifications. Cet appareil numérique de la classe A est conforme à la norme NMB-003 du Canada. Statement for Norway Dette utstyret har blitt evaluert og er egnet for bruk på et IT-Power-system. Statement for Germany Das Produkt ist nicht für den Einsatz an Bildschirmarbeitsplätzen im Sinne § 2 der Bildschirmarbeitsplatzverordnung geeignet. Die arbeitsplatzbezogene Geräuschemission des Gerätes beträgt <70 dB(A). Règle de classe A VCCI Déclaration de conformité Europe-UE Reportez-vous à la page www.apple.com/fr/euro/compliance Règles CISPR 22 et EN55022 AVERTISSEMENT : Il s’agit d’un produit de classe A. Dans un environnement domestique, il peut entraîner des interférences radio, obligeant l’utilisateur à prendre les mesures qui s’imposent. F034-4891.indd 60 1/29/09 11:52:13 AM61 Taiwan Class A Warning Korea Class A Warning China Class A Warning Laser AVERTISSEMENT : Les réglages ainsi que les procédures exécutées autres que celles spécifiées dans le manuel de votre matériel peuvent entraîner une irradiation potentiellement dangereuse. N’essayez pas de démonter le boîtier contenant le laser. Le rayon laser utilisé dans ce produit peut endommager la vue. L’utilisation d’instruments optiques, tels que les loupes, avec ce produit augmente le danger potentiel pour votre vue. Pour votre sécurité, ne faites entretenir ce matériel que par un fournisseur de services agréé Apple. Si votre ordinateur est doté d’un lecteur CD-ROM, DVDROM ou DVD-RAM interne, il appartient à la classe 1. Une étiquette Classe 1, apposée sur le lecteur, indique qu’il est conforme aux normes de sécurité minimales. Une étiquette de mise en garde contre le rayonnement laser est située dans un endroit accessible. Les étiquettes figurant sur votre produit peuvent différer légèrement des illustrations présentées dans le présent manuel. Activités à risque élevé Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien, ni aucune autre situation où une panne de fonctionnement pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques. F034-4891.indd 61 1/29/09 11:52:14 AM62 Informations sur la mise au rebut et le recyclage Ce symbole indique que, selon les lois et la réglementation en vigueur dans votre pays, votre produit doit être mis au rebut de façon adéquate. Lorsque votre produit atteint la fin de son cycle de vie, contactez Apple ou les autorités locales pour en savoir plus sur les options de recyclage. Pour plus d’informations sur le programme de recyclage d’Apple, reportez-vous à la page www.apple.com/environment/recycling. Battery Disposal Information Au moment de remplacer la pile interne, jetez-la en accord avec les lois et les consignes de votre pays en matière de respect de l’environnement. Nederlands:Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Deutschland:Das Gerät enthält Batterien. Diese gehören nicht in den Hausmüll. Sie können verbrauchte Batterien beim Handel oder bei den Kommunen unentgeltlich abgeben.Um Kurzschlüsse zu vermeiden, kleben Sie die Pole der Batterien vorsorglich mit einem Klebestreifen ab. Taiwan: F034-4891.indd 62 1/29/09 11:52:14 AM63 Union européenne — Informations sur la mise au rebut : Le symbole ci-dessus indique que, selon les lois et la réglementation en vigueur dans votre pays, votre produit doit être mis au rebut dans un container différent des ordures ménagères. Lorsque ce produit atteint la fin de son cycle de vie, déposez-le dans un point de rassemblement désigné par les autorités locales. Certains de ces points acceptent les articles gratuitement. L’enlèvement séparé et le recyclage de votre produit au moment de sa mise au rebut aident à conserver les ressources naturelles et à s’assurer qu’il est recyclé selon un procédé protégeant aussi bien la santé humaine que l’environnement. Union Européenne : informations sur l’élimination Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Europäische Union – Informationen zur Entsorgung Das Symbol oben bedeutet, dass dieses Produkt entsprechend den geltenden gesetzlichen Vorschriften und getrennt vom Hausmüll entsorgt werden muss. Geben Sie dieses Produkt zur Entsorgung bei einer offiziellen Sammelstelle ab. Bei einigen Sammelstellen können Produkte zur Entsorgung unentgeltlich abgegeben werden. Durch das separate Sammeln und Recycling werden die natürlichen Ressourcen geschont und es ist sichergestellt, dass beim Recycling des Produkts alle Bestimmungen zum Schutz von Gesundheit und Umwelt beachtet werden. Unione Europea: informazioni per lo smaltimento Il simbolo qui sopra significa che, in base alle leggi e alle norme locali, il prodotto dovrebbe essere smaltito separatamente dai rifi uti casalinghi. Quando il prodotto diventa inutilizzabile, portalo nel punto di raccolta stabilito dalle autorità locali. Alcuni punti di raccolta accettano i prodotti gratuitamente. La raccolta separata e il riciclaggio del prodotto al momento dello smaltimento aiutano a conservare le risorse naturali e assicurano che venga riciclato nel rispetto della salute umana e dell’ambiente. F034-4891.indd 63 1/29/09 11:52:15 AM64 Europeiska unionen – uttjänta produkter Symbolen ovan betyder att produkten enligt lokala lagar och bestämmelser inte får kastas tillsammans med hushållsavfallet. När produkten har tjänat ut måste den tas till en återvinningsstation som utsetts av lokala myndigheter. Vissa återvinningsstationer tar kostnadsfritt hand om uttjänta produkter. Genom att låta den uttjänta produkten tas om hand för återvinning hjälper du till att spara naturresurser och skydda hälsa och miljö. F034-4891.indd 64 1/29/09 11:52:15 AM PowerBook G4 17 pouces Guide de l’utilisateur Contient des informations de configuration, d’extension et de dépannage pour votre ordinateur PowerBook G4 F3140Q41b.book Page 1 Friday, February 18, 2005 5:48 PMK Apple Computer, Inc. © 2005 Apple Computer Inc. Tous droits réservés. En application des lois et conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer, Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AirPort, AppleTalk, Final Cut Pro, FireWire, iCal, iDVD, iLife, iMovie, iPod, iTunes, Mac, Macintosh, Mac OS et PowerBook sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Exposé, FileVault, Finder, iPhoto, iSight, Rendezvous, Safari, SuperDrive et Xcode sont des marques d’Apple Computer, Inc. AppleCare, Apple Store et iTunes Music Store sont des marques de service d’Apple Computer Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. .Mac est une marque de service d’Apple Computer, Inc. ENERGY STAR® est une marque déposée aux États-Unis. La marque et les logos Bluetooth® sont la propriété de Bluetooth SIG, Inc. et sont utilisés sous licence par Apple Computer, Inc. PowerPC est une marque d’International Business Machines Corporation, utilisée sous licence. Les autres noms de produits et de sociétés sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Le produit décrit dans le présent manuel intègre des technologies de protection de droits d’auteur ellesmêmes protégées par divers brevets américains ainsi que d’autres droits de propriété intellectuelle appartenant à Macrovision Corporation et à d’autres détenteurs. L’utilisation de ces technologies de protection des droits d’auteurs doit être autorisée par Macrovision Corporation et est destinée à un cadre privé ou de visualisation restreinte, sauf consentement de Macrovision Corporation. Tout démontage ou ingénierie inverse est interdit. Réclamations concernant l’appareillage aux États-Unis. Brevets n° 4,631,603, 4,577,216, 4,819,098 et 4,907,093 sous licence à des fins de visualisation limitée uniquement. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. F3140Q41b.book Page 2 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 3 1 Table des matières Chapitre 1 5 Premiers contacts 6 Fonctionnalités de base de votre PowerBook 8 Autres fonctionnalités de votre PowerBook 10 Configuration 17 Comment éteindre mon PowerBook ? 19 Calibration de votre batterie 19 Et ensuite ? Chapitre 2 21 Notions élémentaires 21 À la découverte de votre nouveau PowerBook 22 Réglage de votre moniteur 23 Utilisation de votre adaptateur secteur 25 Utilisation du trackpad 26 Utilisation du clavier 27 Utilisation d’une souris 27 À propos de Mac OS X 28 Personnalisation du bureau et réglage des préférences 29 Utilisation des applications 29 Connexion à une imprimante 30 Lecture d’un CD et connexion d’écouteurs 31 Maintien à jour de votre logiciel 32 Connexion d’un appareil photo ou d’un autre périphérique FireWire ou USB 32 Connexion à un réseau 32 Utilisation d’Internet 32 Transfert de fichiers vers un autre ordinateur 34 Lorsqu’une application se fige Chapitre 3 35 Utilisation de votre ordinateur 36 USB (Universal Serial Bus) 39 FireWire 42 Cartes PC Card 43 Utilisation de appareils Bluetooth 45 Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme 47 Ethernet (10/100/1000Base-T) F3140Q41b.book Page 3 Friday, February 18, 2005 5:48 PM4 Table des matières 48 Utilisation de votre modem 48 Connexion de haut-parleurs et de périphériques audio 49 Sudden Motion Sensor 49 Gestion vidéo externe (DVI/VGA et S-Vidéo) 53 Utilisation de votre lecteur SuperDrive 57 Batterie 62 Rainure de sécurité Chapitre 4 63 Ajout de mémoire à votre ordinateur 63 Installation de mémoire supplémentaire 68 Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre ordinateur Chapitre 5 69 Dépannage 70 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur 72 Autres problèmes 74 Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur 75 Utilisation de Apple Hardware Test 76 Installation des outils Xcode 76 Localisation du numéro de série de votre produit Annexe A 77 Caractéristiques Annexe B 79 Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 79 Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de votre ordinateur 80 Utilisation de votre PowerBook 81 Consignes générales de sécurité 82 Batterie 82 Protégez votre système auditif 83 Apple et l’environnement 83 Ergonomie Annexe C 85 Connexion à Internet 87 Collecte des informations nécessaires 88 Saisie de vos informations 89 Modem commuté avec connexions PPP (Point-To-Point Protocol) 91 Connexions à Internet par ligne DSL, modem câble ou réseau LAN 96 Connexion sans fil AirPort Extreme 100 Dépannage de votre connexion Annexe D 103 Les dix questions principales 107 Communications Regulation Information F3140Q41b.book Page 4 Friday, February 18, 2005 5:48 PM1 5 1 Premiers contacts Votre PowerBook est un ordinateur portable des plus complets. Important : lisez attentivement toutes les instructions d’installation et consignes de sécurité (voir la page 79) avant de brancher votre ordinateur sur une prise de courant. Adaptateur secteur Câble CA Connecteur CA Câble téléphonique ® Adaptateur S-vidéo vers vidéo composite Adaptateur DVI vers VGA F3140Q41b.book Page 5 Friday, February 18, 2005 5:48 PM6 Chapitre 1 Premiers contacts Fonctionnalités de base de votre PowerBook ® Haut-parleur intégré ® Bouton d’alimentation Fenêtre d’antenne AirPort Extreme/ Bluetooth Fenêtre d’antenne AirPort Extreme/Bluetooth Microphone Haut-parleur intégré (sous la grille du haut-parleur) Touche de fonction (Fn) Voyant d’état de veille Bouton de Trackpad déverrouillage de l’écran Bouton du trackpad Lecteur optique à chargement frontal Touches de réglage du volume ¤ Touches de réglage de la luminosité Touche de verrouillage numérique Touches de fonction standard Contrôles d’éclairage du clavier - — Touche silence Touche d’éjection de disque Touche de changement du mode vidéo esc num F1 F2 F3 F4 F5 F6 F7 F8 F9 F10 F11 F12 lock F3140Q41b.book Page 6 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 1 Premiers contacts 7 Pour plus d’informations sur AirPort Extreme ou sur le lecteur de disque optique, consultez le chapitre 3, “Utilisation de votre ordinateur”, à la page 35. ¤ Boutons de réglage de la luminosité Permettent d’augmenter ou de réduire la luminosité de l’écran de votre PowerBook. - Boutons de réglage du volume Permettent d’augmenter ou de diminuer le volume du son provenant des haut-parleurs intégrés et du port de sortie casque. Touche de verrouillage numérique Permet d’activer et de désactiver le pavé numérique intégré au clavier du PowerBook. Lorsque le pavé numérique est activé, une lumière verte éclaire la touche. i Touche de bascule du mode vidéo Pour passer du mode recopie vidéo au mode bureau étendu et inversement. o Commandes d’éclairage du clavier Permettent d’augmenter ou de réduire l’éclairage de votre clavier. C Touche d’éjection de disques Maintenez cette touche enfoncée pour éjecter un disque. Il est également possible d’éjecter un disque en faisant glisser son icône dans la Corbeille. Microphone Ce microphone intégré (situé sous la protection du haut-parleur de gauche) permet d’enregistrer directement des sons sur le disque dur de votre PowerBook. Haut-parleurs intégrés (2) Écoutez de la musique, le son de vos films, jeux et fichiers multimédia. Touche de fonction (Fn) Maintenez cette touche enfoncée pour activer les touches de fonction (F1 à F12). Témoin lumineux de suspension d’activité Un voyant blanc clignote lorsque le PowerBook est en suspension d’activité. Bouton d’ouverture de l’écran Appuyez sur ce bouton pour ouvrir l’écran et votre PowerBook. Trackpad Utilisez un seul doigt sur le trackpad pour déplacer le pointeur et deux doigts pour faire défiler. (Activez le défilement dans la sous-fenêtre Clavier et souris des Préférences Système.) Consultez “Utilisation du trackpad” à la page 25 pour en savoir plus sur le déplacement du pointeur et le défilement avec le trackpad. Lecteur de disque optique à chargement frontal Votre lecteur Superdrive peut lire des disques CD-ROM, des Photo CD, des CD audio standard, des DVD-ROM et DVD-R, des films DVD et d’autres types de supports. Il peut aussi graver de la musique, des documents et d’autres fichiers numériques sur des CD-R, CD-RW, DVD-R, DVD+R, DVD-RW et DVD+RW. Consultez “Utilisation de votre lecteur SuperDrive” à la page 53 pour plus de détails. ® Bouton d’alimentation Permet d’allumer, d’éteindre ou de suspendre l’activité de votre PowerBook. Fenêtres de l’antenne AirPort Extreme/Bluetooth Grâce à la borne d’accès optionnelle Airport Extreme, AirPort Express ou un autre concentrateur sans fil, vous pouvez vous connecter sans fil à Internet. Vous pouvez aussi vous connecter sans fil à des périphériques dotés de la technologie sans fil Bluetooth® , notamment des souris, des claviers, des assistants numériques personnels et des téléphones cellulaires. F3140Q41b.book Page 7 Friday, February 18, 2005 5:48 PM8 Chapitre 1 Premiers contacts Autres fonctionnalités de votre PowerBook ® ® Port de l’adaptateur secteur Logement de cartes PC Card Logement de sécurité ¯ d Port USB 2.0 d Port USB 2.0 W Port du modem interne , Port d’entrée audio/ port d'entrée audio numérique optique f Port du casque d’écoute/port de sortie numérique optique HPort FireWire 800 HPort FireWire 400 GPort Ethernet Gigabit (10/100/1000Base-T) Æ Port de sortie S-Vidéo £ Port DVI F3140Q41b.book Page 8 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 1 Premiers contacts 9 Pour des informations supplémentaires sur ces caractéristiques, consultez le chapitre 3, “Utilisation de votre ordinateur”, à la page 35. Logement de sécurité Protégez votre Powerbook contre le vol en l’attachant à l’aide d’un câble de sécurité. ¯ Port d’adaptateur secteur Branchez l’adaptateur secteur portable Apple fourni pour recharger la batterie. W Port de modem interne Permet de relier une ligne téléphonique standard directement au modem interne. d Deux ports USB 2.0 (Universal Serial Bus) Grâce à la technologie USB, vous pouvez connecter des périphériques supplémentaires à votre ordinateur, tels qu’une imprimante, des unités de stockage externes, un appareil photo numérique, un modem, un clavier ou une manette de jeu. Logement de cartes PC Card Étendez les fonctionnalités de votre PowerBook grâce au logement de la carte PC, qui gère les formats Type I, Type II et CardBus. , Port d’entrée de ligne audio/entrée audio numérique optique Il permet de connecter un micro ou un appareil audio numérique à votre PowerBook. f Port de sortie casque/sortie audio numérique optique Il permet de connecter des haut-parleurs externes, des écouteurs ou des appareils audio numériques. H Deux ports FireWire Permettent de connecter des périphériques à haute vitesse tels que des caméras vidéo numériques et des périphériques de stockage externes. Vous pouvez connecter un périphérique FireWire standard 6 broches directement au port FireWire à 400 Mbps ou utiliser un câble FireWire 9 vers 6 broches pour connecter le périphérique au port FireWire à 800 Mbps. Vous pouvez également connecter directement un périphérique FireWire 9 broches au port FireWire à 800 Mbps. Pour en savoir plus, reportez-vous à la page 39. G Port Ethernet Gigabit (10/100/1000Base-T) Permet de se connecter soit à un réseau Ethernet 10/100/1000 Base-T haute vitesse, soit à un autre ordinateur et de transférer des fichiers. La fonction de détection automatique du port Ethernet détecte d’autres périphériques Ethernet sans avoir besoin de câble croisé Ethernet pour établir la connexion. Æ Port de sortie TV (sortie S-Vidéo) Permet de connecter votre PowerBook à un téléviseur, un magnétoscope ou tout autre appareil vidéo. Vous pouvez utiliser le port de sortie TV pour effectuer des présentations ou pour regarder un film DVD sur votre téléviseur. £ Port DVI (moniteur externe) Permet de connecter un moniteur externe ou un projecteur équipé d’un connecteur DVI ou de raccorder un moniteur VGA en utilisant l’adaptateur DVI-VGA inclus. Vous pouvez également utiliser un adaptateur DVI-ADC (vendu séparément) pour connecter un moniteur à écran plat Apple. F3140Q41b.book Page 9 Friday, February 18, 2005 5:48 PM10 Chapitre 1 Premiers contacts Configuration Votre ordinateur PowerBook est conçu pour être configuré rapidement et utilisé immédiatement. Étape 1 : Branchement de l’adaptateur secteur m Branchez la fiche CA de votre adaptateur secteur dans la prise de courant et branchez la fiche de l’adaptateur secteur dans la prise adaptateur secteur de votre PowerBook. Important : veillez à ce que les broches électriques de votre prise CA soient totalement sorties avant de brancher l’adaptateur à la prise murale. Pour étendre la portée de votre adaptateur secteur, vous pouvez joindre le câble CA si vous le souhaitez. Voir “Utilisation de votre adaptateur secteur” à la page 23. Étape 2 : Préparez-vous à vous connecter La première fois que vous démarrez votre ordinateur, un assistant réglages vous accueille et vous guide dans le processus d’enregistrement. Il vous aide aussi à configurer votre ordinateur et votre connexion Internet. Cet accès requiert généralement l’ouverture d’un compte auprès d’un fournisseur d’accès à Internet (payant dans certains cas). Connecteur CA ® Connecteur CA Câble CA Fiche de l’adaptateur secteur ¯ Port de l’adaptateur secteur F3140Q41b.book Page 10 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 1 Premiers contacts 11 La configuration de la connexion Internet requiert généralement que vous fournissiez des informations telles que le nom de compte donné par votre FAI. Si vous n’êtes pas prêt à configurer votre connexion tout de suite, vous pouvez ignorer cette étape et y revenir plus tard. Consultez l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 85 pour plus d’informations sur comment la configurer plus tard. Si vous êtes prêts, procurez-vous les informations ci-dessous selon le type de connexion que vous utiliserez. Vous pouvez écrire les informations de votre FAI ou de votre administrateur réseau sur ces pages pour ensuite les saisir dans l’Assistant réglages. Pour configurer une connexion téléphonique classique, procurez-vous les informations suivantes :  Nom du fournisseur d’accès  Nom de l’utilisateur ou du compte  Mot de passe  Numéro de téléphone du FAI  Autre numéro de téléphone  Préfixe pour obtenir une ligne extérieure Pour configurer une connexion DSL, modem câble, LAN ou sans fil AirPort Extreme : m Commencez par choisir votre méthode de connexion (contactez votre administrateur réseau ou votre FAI si vous ne la connaissez pas) :  Manuellement  Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle  Via DHCP  Via BootP  PPP Si vous ne savez pas quelle méthode utiliser, “Via DHCP” peut être un bon choix, car le réseau fournit automatiquement la plupart des informations requises. Si vous avez sélectionné “Manuellement” ou “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle”, regroupez les informations suivantes :  Adresse IP  Masque de sous-réseau  Adresse du routeur Remarque : si vous avez sélectionné “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle”, vous n’avez pas besoin d’un masque de sous-réseau ou d’une adresse de routeur. F3140Q41b.book Page 11 Friday, February 18, 2005 5:48 PM12 Chapitre 1 Premiers contacts Si vous avez sélectionné “Via DHCP”, regroupez les informations facultatives suivantes (consultez votre FAI si nécessaire) :  ID client DHCP  Serveurs DNS Si vous avez sélectionné “PPP”” (pour des connexions PPPoE), procurez-vous les informations suivantes :  Fournisseur de services  Nom du compte  Mot de passe  Nom du service PPPoE Les informations ci-dessous sont facultatives. Consultez votre FAI ou votre administrateur système si nécessaire.  Serveurs DNS  Nom de domaine  Serveur proxy Transfert de fichiers à partir d’un autre Mac ? Si vous possédez déjà un ordinateur Mac, l’Assistant réglages peut également vous aider à transférer automatiquement des comptes d’utilisateur, des configurations réseau, des applications et d’autres informations de votre ancien Mac vers votre nouveau Mac. Pour transférer les informations, vous devez disposer des éléments suivants :  Un câble FireWire standard 6 broches vers 6 broches.  Mac OS X v10.1 ou ultérieur doit être installé sur votre autre Mac.  L’autre Mac doit être équipé d’un port FireWire intégré et doit pouvoir prendre en charge le mode disque cible FireWire. Pour transférer des informations de votre ancien Mac vers votre nouveau Mac : m Allumez votre nouveau Mac et suivez les instructions à l’écran. L’Assistant réglages vous guide pendant le processus de transfert de vos informations. Le transfert d’informations sur votre nouveau Mac n’affecte pas les informations se trouvant sur votre ancien Mac. (Si vous avez configuré des partitions sur le nouveau Mac, toutes les informations de l’autre Mac seront transférées vers une partition.) Avec l’Assistant réglages, vous pouvez transférer :  les comptes d’utilisateur, y compris les préférences et le courrier électronique ;  les réglages de réseau et d’Internet, pour que votre nouvel ordinateur soit automatiquement configuré avec les mêmes réglages de réseau que votre autre Mac ; F3140Q41b.book Page 12 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 1 Premiers contacts 13  les applications1 pour que toutes celles que vous utilisiez sur votre autre Mac se retrouvent désormais sur votre nouveau Mac ;  les fichiers et dossiers qui se trouvent sur votre disque dur et les partitions. Cela vous permet d’accéder facilement aux fichiers et dossiers que vous utilisiez sur votre ancien Mac. Si vous n’avez pas l’intention de garder ou d’utiliser votre ancien Mac, vous pouvez lui retirer l’autorisation d’accès relative à la lecture de musiques achetées dans le magasin de musique en ligne iTunes Music Store. Si vous n’utilisez pas l’Assistant réglages pour transférer vos informations lors du premier démarrage de votre ordinateur, vous pouvez le faire ultérieurement. Allez dans le dossier Applications, ouvrez le dossier Utilitaires, puis double-cliquez sur Assistant réglages. Remarque : si vous avez utilisé l’Assistant réglages pour transférer vos informations à partir d’un ancien Macintosh et que vous souhaitez utiliser l’Assistant réglages pour transférer à nouveau des informations, assurez-vous que FileVault est désactivé sur l’ancien Macintosh. Pour désactiver FileVault, ouvrez la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système et cliquez sur Sécurité. Suivez les instructions à l’écran. Étape 3 : Connectez vos câbles Connectez ensuite votre PowerBook à une ligne téléphonique, un modem DSL, un modem câble ou à un réseau Ethernet. Si vous vous connectez à un réseau sans fil AirPort Extreme 802.11b ou 802.11g, vous n’avez pas besoin de câbles. Pour se connecter à une ligne téléphonique : m Connectez le câble téléphonique relié à la prise murale au port modem interne pour une connexion commutée. 1. Il se peut que vous ayez besoin de réinstaller certaines des applications transférées. ® Câble téléphonique W Port modem interne F3140Q41b.book Page 13 Friday, February 18, 2005 5:48 PM14 Chapitre 1 Premiers contacts Veillez à connecter le modem interne à une ligne téléphonique analogique (type le plus répandu chez les particuliers). Le modem ne fonctionne pas avec une ligne télé- phonique numérique. Pour plus d’informations sur votre modem, consultez “Utilisation de votre modem” à la page 48. Pour plus d’informations sur d’autres types de connexions, voir l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 85. Pour se connecter à un modem DSL ou câble ou à un réseau Ethernet : m Connectez le câble à votre modem DSL ou modem câble comme indiqué dans les instructions du modem, ou connectez le câble Ethernet à un concentrateur ou une prise Ethernet. Connectez ensuite l’autre extrémité du câble au port Ethernet de l’ordinateur. Avertissement : ne connectez jamais une ligne téléphonique numérique au modem, car un type de ligne inapproprié risque de l’endommager. Contactez votre opérateur téléphonique si vous n’êtes pas certain(e) de votre type de ligne téléphonique. ® G ® Port Ethernet Gigabit (10/100/1000Base-T) Câble Ethernet F3140Q41b.book Page 14 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 1 Premiers contacts 15 Étape 4 : Allumez votre PowerBook Maintenant que vous disposez de toutes les informations de configuration, vous êtes prêt à démarrer votre ordinateur. L’assistant réglages se lance automatiquement pour vous aider. 1 Pour allumer l’ordinateur, appuyez sur le bouton d’alimentation (®). Remarque : appuyez sur le bouton très brièvement, (pas plus d’une seconde). En effet, si vous appuyez trop longtemps sur le bouton d’alimentation, vous risquez d’éteindre votre ordinateur. Lorsque vous allumez l’ordinateur, il émet normalement un signal sonore. Sa mise en route prend quelques instants. ® ® Bouton d’alimentation F3140Q41b.book Page 15 Friday, February 18, 2005 5:48 PM16 Chapitre 1 Premiers contacts 2 Le trackpad de votre PowerBook vous permet de sélectionner et de déplacer des éléments à l’écran de la même façon que la souris d’un ordinateur de bureau.  Pour déplacer le pointeur à l’écran, glissez votre index sur le trackpad. Important : utilisez un seul doigt sur le trackpad pour déplacer le pointeur ; le pointeur ne se déplacera pas si vous utilisez plus d’un doigt. Le trackpad est conçu pour permettre le défilement lorsque vous utilisez deux doigts accolés. Reportez-vous à “Utilisation du trackpad” à la page 25 pour en savoir plus. Problèmes de mise sous tension de l’ordinateur Rien ne se produit lorsque vous appuyez sur le bouton d’alimentation.  La batterie est peut-être déchargée. Assurez-vous que l’adaptateur secteur est correctement connecté à l’ordinateur et relié à une prise électrique. La prise doit s’éclairer lorsque que vous la branchez à l’ordinateur.  Si l’ordinateur ne démarre toujours pas, consultez “Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur” à la page 70. Un point d’interrogation clignotant sur une icône de disque ou de dossier apparaît à l’écran.  Cette icône signifie généralement que l’ordinateur ne parvient pas à localiser le logiciel système sur le disque dur interne ou sur tout disque externe relié à l’ordinateur. Essayez de redémarrer. Appuyez sur le Bouton d’alimentation pendant 4 à 5 secondes jusqu’à l’arrêt de votre ordinateur. Appuyez ensuite de nouveau sur le bouton d’alimentation. Si le problème persiste, vous devrez peut-être réinstaller le logiciel système. Voir “Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur” à la page 74. F3140Q41b.book Page 16 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 1 Premiers contacts 17  Pour sélectionner un élément, cliquer ou faire un double-clic, utilisez le bouton du trackpad. Pour obtenir des conseils sur l’utilisation du trackpad, voir “Conseils d’utilisation du trackpad” à la page 25. Félicitations, vous maîtrisez votre PowerBook ! Comment éteindre mon PowerBook ? Lorsque vous avez fini de travailler avec votre PowerBook, vous pouvez suspendre son activité ou l’éteindre. Suspension de l’activité de votre PowerBook Si vous n’utilisez pas votre PowerBook pendant un court moment, suspendez son activité. Cette fonctionnalité sert à réactiver votre ordinateur sans avoir à le redémarrer. Pour suspendre l’activité de votre ordinateur, procédez de l’une des manières suivantes :  Rabattez l’écran.  Choisissez Pomme (K) > Suspendre l’activité, dans la barre des menus. ® Trackpad Bouton du trackpad F3140Q41b.book Page 17 Friday, February 18, 2005 5:48 PM18 Chapitre 1 Premiers contacts  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Suspendre l’activité dans la zone de dialogue qui s’affiche. Pour réactiver l’ordinateur :  Si l’écran est rabattu, ouvrez-le. Votre PowerBook reprend automatiquement son activité lorsque vous ouvrez l’écran.  Si l’écran est déjà ouvert, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) ou sur n’importe quelle touche du clavier. Extinction de votre PowerBook Si vous ne comptez pas utiliser votre PowerBook pendant un jour ou deux, éteignez-le. Pour éteindre votre ordinateur, procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez Pomme () > Éteindre dans la barre des menus.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®), puis cliquez sur Éteindre dans la zone de dialogue qui s’affiche. Si vous comptez ranger votre PowerBook pour une durée prolongée, consultez la section “Rangement de votre PowerBook” à la page 80 pour plus d’informations sur les moyens d’éviter que votre batterie se décharge complètement. Avertissement : patientez quelques secondes jusqu’à ce que le voyant blanc de suspension d’activité clignote sur le loquet de l’écran (signalant que l’activité de l’ordinateur est suspendue et que le disque dur a cessé de tourner) avant de déplacer votre PowerBook. Tout déplacement de votre ordinateur lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager ce dernier et d’entraîner une perte de données ou l’impossibilité de démarrer à partir du disque dur. F3140Q41b.book Page 18 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 1 Premiers contacts 19 Calibration de votre batterie Pour garantir à votre batterie une durée de vie optimale, respectez les étapes suivantes pendant la première semaine d’utilisation de votre PowerBook. Pour calibrer initialement votre batterie, suivez ces étapes : 1 Branchez votre adaptateur secteur et chargez complètement la batterie de votre PowerBook jusqu’à ce que l’éclairage de l’adaptateur passe au vert et que l’indicateur à l’écran dans la barre des menus indique que la batterie est complètement chargée. 2 Débranchez l’adaptateur secteur et utilisez votre PowerBook avec la seule batterie. Lorsque la batterie est presque déchargée, un premier message d’avertissement apparaît à l’écran. Continuez à faire fonctionner votre PowerBook sur sa batterie jusqu’à ce qu’il suspende son activité. La batterie sera alors suffisamment déchargée en vue de son étalonnage. 3 Connectez l’adaptateur secteur jusqu’à ce que la batterie soit complètement rechargée. Important : pour calibrer votre batterie, vous devez la vider complètement, puis la recharger en une seule fois. Après cela, vous pouvez connecter et déconnecter l’adaptateur secteur quel que soit le niveau de charge de la batterie. Si vous avez acheté des batteries supplémentaires, répétez la procédure de calibrage avec celles-ci. Pour plus d’informations sur votre adaptateur secteur et votre batterie, consultez “Utilisation de votre adaptateur secteur” à la page 23 et “Batterie” à la page 57. Et ensuite ?  Apprenez les bases principales concernant votre PowerBook. Consultez le chapitre 2, “Notions élémentaires”, à la page 21.  Amusez-vous en testant les applications et les fonctionnalités Internet offertes par votre ordinateur. Consultez le livret sur Mac OS X et ses applications fourni avec votre ordinateur.  Si vous ne connaissez pas Mac OS X, ouvrez l’aide Mac OS puis parcourez les informations.  Passage d’un autre ordinateur ? Ouvrez l’aide Mac OS et consultez la rubrique Nouveaux utilisateurs. Celle-ci vous aidera à exploiter vos connaissances en informatique pour découvrir un ordinateur Mac. F3140Q41b.book Page 19 Friday, February 18, 2005 5:48 PM20 Chapitre 1 Premiers contacts Davantage de questions ? Aide Mac OS La plupart des informations sur l’utilisation de votre Macintosh sont disponibles directement sur votre ordinateur. 1 Cliquez sur l’icône Finder dans le Dock (la barre des icônes au bas de l’écran). 2 Choisissez Aide > Aide Mac (cliquez sur le menu Aide dans la barre des menus et sélectionnez Aide Mac). 3 Cliquez dans le champ Rechercher , tapez votre question et appuyez sur la touche Retour du clavier. Autre assistance  Si un problème vous empêche d’utiliser votre ordinateur, consultez le chapitre 5, “Dépannage”, à la page 69.  Consultez les dix questions les plus fréquemment posées. Pour lire les instructions, consultez l’annexe D, “Les dix questions principales”, à la page 103.  Pour plus d’information sur l’assistance, les groupes de discussion et les dernières nouveautés logicielles Apple à télécharger, visitez le site www.apple.com/fr/support. Si vous ne trouvez pas de réponse à votre problème, consultez les documents AppleCare livrés avec votre ordinateur pour savoir comment contacter Apple. F3140Q41b.book Page 20 Friday, February 18, 2005 5:48 PM2 21 2 Notions élémentaires Ce chapitre présente les bases principales concernant votre PowerBook que vous souhaiterez connaître. À la découverte de votre nouveau PowerBook La légèreté et la finesse de votre PowerBook vous permettent de l’emporter partout, que ce soit au bureau, à la bibliothèque, en classe ou dans tout autre endroit pour travailler ou jouer. Chaque fois que vous cessez d’utiliser votre PowerBook, patientez quelques instants pour laisser le temps au disque dur ou à un disque optique dans votre lecteur d’arrêter de tourner avant de transporter l’ordinateur. Évitez de bousculer ou de heurter votre PowerBook pendant que des disques sont en train de tourner. Remarque : votre PowerBook utilise la technologie Sudden Motion Sensor qui permet de protéger le disque dur, en cas de chute de l’ordinateur ou si celui-ci subit des vibrations extrêmes. Pour toute information supplémentaire, consultez la section “Sudden Motion Sensor” à la page 49. Lorsque vous utilisez votre PowerBook ou que vous rechargez la batterie, il est normal que la température du dessous du boîtier s’élève. En cas d’utilisation prolongée, placez votre PowerBook sur une surface plane et stable. Le dessous du boîtier est légèrement surélevé pour permettre la circulation d’air et assurer ainsi à l’équipement une tempé- rature de fonctionnement normale. Au cours des premières utilisations de votre nouvel ordinateur, vous entendrez peut-être de petits bruits pendant son démarrage ou lors de l’utilisation du disque dur et des lecteurs optiques. En effet, vous pouvez entendre comme un vrombissement ou des petits bruits secs lorsque ces derniers ont accès aux informations ou lorsque vous chargez ou éjectez un disque. Après un certain temps de fonctionnement du PowerBook, un petit ventilateur peut se mettre en marche pour refroidir le système, produisant un léger bruit. Ces petits bruits font partie du fonctionnement normal du PowerBook. F3140Q41b.book Page 21 Friday, February 18, 2005 5:48 PM22 Chapitre 2 Notions élémentaires Pour plus de consignes sur la sécurité lorsque vous manipulez et utilisez votre PowerBook dans différents lieux, veuillez consulter l’annexe B, “Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien”, à la page 79. Réglage de votre moniteur Lorsque vous travaillez pour la première fois sur votre ordinateur PowerBook,réglez si nécessaire l’affichage de l’écran pour un meilleur confort visuel. Utilisez les touches portant le symbole € pour modifier la luminosité de l’écran. Pour désactiver la fonction luminosité d’affichage automatique : m Choisissez le menu Pomme (), puis Préférences Système dans la barre des menus. Ouvrez ensuite la sous-fenêtre Moniteurs et décochez la case luminosité automatique. Modification de la taille des images à l’écran Votre PowerBook est doté d’un écran large d’une résolution native de 1440 x 900. D’autres résolutions standard, comme 1024 x 768, sont également prises en charge. Utilisez une résolution standard lorsque vous mettez votre écran en miroir sur un moniteur externe ou utilisez des applications telles que des jeux ou des logiciels de présentations conçus pour cette résolution. Lorsque vous employez une résolution standard, deux bandes noires apparaissent des deux côtés de l’écran. Si vous souhaitez supprimer ces bandes, vous pouvez choisir une version “étirée” de la résolution avec laquelle l’image est étirée de manière à couvrir l’ensemble de l’écran, les bandes noires comprises. ¤ Touches de réglage de la luminosité ® Commandes d’éclairage du clavier Capteur ALS Capteur ALS F3140Q41b.book Page 22 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 2 Notions élémentaires 23 Vous pouvez choisir des résolutions calibrées de 1152 x 768 (ou inférieures) dans la sous-fenêtre Moniteurs des Préférences Système. Lorsque vous ajustez la résolution, les éléments apparaissent plus grands à l’écran et sont par conséquent plus faciles à visualiser. Ces résolutions peuvent ne pas être aussi nettes que la résolution native de l’écran. Pour régler la résolution de votre écran : m Choisissez le menu Pomme (), puis Préférences Système dans la barre des menus. Ouvrez la sous-fenêtre Moniteurs des Préférences système. Pour contrôler vos réglages d’écran via l’icône Moniteurs de la barre des menus, cliquez sur l’option Ouvrir Moniteurs dans la barre des menus. Utilisation de votre adaptateur secteur Le branchement de l’adaptateur secteur fournit à l’ordinateur du courant alternatif (CA) et recharge sa batterie. Important : pour des performances optimales, n’utilisez que l’adaptateur secteur livré avec votre ordinateur, ou procurez-vous un Adaptateur secteur portable Apple de 65W supplémentaire. Lorsque que vous connectez pour la première fois votre adaptateur secteur à votre ordinateur, une lumière verte s’allume pendant une seconde pour indiquer que l’énergie est disponible. Une lumière orange indique que la batterie est en cours de chargement. Une lumière verte indique que la batterie est complètement rechargée. Vous pouvez contrôler le niveau de la batterie soit à l’aide de l’icône de batterie de la barre des menus, soit en vérifiant les témoins lumineux de niveau de la batterie situés sur la partie inférieure de la batterie (voir la page 57). F3140Q41b.book Page 23 Friday, February 18, 2005 5:48 PM24 Chapitre 2 Notions élémentaires Pour étendre la portée de votre adaptateur secteur, retirez la fiche CA de votre adaptateur. Reliez le câble CA à l’adaptateur et insérez l’autre extrémité dans la prise de courant murale. Utilisez uniquement le câble pour courant alternatif fourni avec votre adaptateur secteur. Veillez à ce que le connecteur soit fermement engagé dans le port de l’adaptateur secteur de l’ordinateur afin de garantir l’arrivée du courant à l’ordinateur. Lorsque vous déconnectez l’adaptateur secteur d’une prise de courant ou de l’ordinateur, débranchez bien la prise et non le câble. Pour des consignes de sécurité sur l’utilisation de votre adaptateur secteur, consultez “Branchement de l’adaptateur secteur” à la page 79. Avertissement : assurez-vous que l’adaptateur secteur est correctement assemblé avant de le brancher dans une prise électrique. Si vous utilisez la fiche CA avec votre adaptateur secteur, vérifiez que les deux broches sont totalement sorties avant de brancher l’adaptateur. Câble CA Connecteur CA F3140Q41b.book Page 24 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 2 Notions élémentaires 25 Utilisation du trackpad La réactivité du trackpad pour le déplacement du pointeur dépend de la rapidité avec laquelle vous bougez votre doigt. Pour déplacer le pointeur sur une courte distance, faites glisser l’index lentement sur le trackpad. Plus le déplacement du doigt est rapide, plus la distance parcourue par le pointeur est grande. Plutôt que d’utiliser le bouton du trackpad, utilisez votre doigt pour cliquer ou doublecliquer directement sur le trackpad. Cette fonctionnalité et d’autres options du trackpad peuvent être activées via la fenêtre Clavier et souris des Préférences Système. Par ailleurs, dans une fenêtre contenant des barres de défilement, il vous est possible de faire défiler verticalement et horizontalement en déplaçant deux doigts accolés sur le trackpad. Cette option peut être sélectionnée dans la fenêtre Clavier et souris des Préférences Système. Remarque : lors de la frappe, le pointeur peut se déplacer accidentellement si vous effleurez le trackpad. Pour y remédier, assurez-vous que l’option Ignorer les utilisations accidentelles du trackpad est sélectionnée dans la rubrique Clavier et souris des Préfé- rences Système. Conseils d’utilisation du trackpad Pour une utilisation efficace du trackpad, tenez compte de ces conseils :  Utilisez un seul doigt pour déplacer le pointeur. Le trackpad est conçu pour détecter plus d’un point de contact et le pointeur ne bougera pas si vous avez placé plus d’un doigt sur le trackpad.  N’utilisez pas de stylo ou tout autre objet.  Veillez à ce que votre doigt et le trackpad soient secs. Si l’humidité ou la condensation provoque une accumulation de buée sur le trackpad, essuyez-le avec un chiffon propre avant de l’utiliser.  N’utilisez jamais de produit nettoyant sur le trackpad. Pour plus d’informations sur l’utilisation du trackpad, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus en haut de l’écran. F3140Q41b.book Page 25 Friday, February 18, 2005 5:48 PM26 Chapitre 2 Notions élémentaires Utilisation du clavier Votre PowerBook est équipé d’un pavé numérique auquel vous accédez via les touches normales du clavier. Les touches utilisées par le pavé numérique sont pourvues d’une mention secondaire plus petite. Pour utiliser le pavé numérique, appuyez sur la touche de verrouillage numérique. La touche de verrouillage numérique est éclairée d’un voyant vert indiquant que le clavier est activé. Une fois que vous avez terminé, appuyez à nouveau sur la touche de verrouillage numérique pour la désactiver. Important : si votre clavier ne semble pas fonctionner correctement, vérifiez la touche de verrouillage numérique. Lorsque le pavé numérique est activé, les autres touches et raccourcis clavier correspondant à des commandes de menu (comme x-Q pour quitter) sont désactivés. Votre PowerBook est équipé d’un clavier éclairé et d’un système ALS (ambient lightsensing) de détection de la lumière ambiante. Les capteurs ALS se situent sous les grilles des haut-parleurs et règlent automatiquement la luminosité de votre affichage et l’éclairage du clavier en fonction de la luminosité qui règne autour de vous. Vous pouvez également régler l’éclairage du clavier à l’aide des touches F8, F9 et F10. Important : même lorsque la fonction d’éclairage du clavier est activée, le clavier ne s’éclaire que lorsque la lumière ambiante est très faible. ® Pavé numérique Touche de vérrouillage numérique F3140Q41b.book Page 26 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 2 Notions élémentaires 27 Vous pouvez désactiver l’éclairage du clavier depuis la sous-fenêtre Clavier et souris des Préférences Système ou en appuyant sur la touche F8. Remarque : exposé est préréglé pour utiliser les touches F9 et F10, qui vous servent également à régler l’éclairage du clavier. Pour utiliser Exposé en vue de gérer les fenê- tres de votre bureau, maintenez enfoncée la touche Fn et appuyez sur F9 ou F10, ou ouvrez la sous-fenêtre Exposé dans les Préférences Système, puis choisissez d’autres touches de fonction pour gérer les fenêtres. Pour exploiter au mieux les raccourcis clavier, choisissez Aide puis Aide Mac dans la barre des menus et tapez “raccourcis” dans le champ de recherche. Vous trouverez une liste de raccourcis clavier pour un grand nombre de procédures et d’applications courantes. Utilisation d’une souris Si vous disposez d’une souris Apple dotée d’une connexion USB, insérez son connecteur dans le port USB 2.0 et utilisez-la immédiatement. Vous pouvez acheter une souris USB chez un revendeur Apple agrée ou à partir du site Web Apple Store : www.apple.com/francestore. À propos de Mac OS X Votre ordinateur est livré avec Mac OS X. Doté d’une interface utilisateur élégante et de capacités graphiques ultramodernes, ce système d’exploitation offre une plus grande stabilité et de meilleures performances du système. Il comporte également Classic, un environnement qui permet d’utiliser les applications Mac OS 9 lorsque l’ordinateur fonctionne sous Mac OS X. Pour en savoir plus sur Mac OS X et les applications iLife primées installées sur votre ordinateur, consultez le manuel Mac OS X inclus avec votre PowerBook. Vous pouvez également ouvrir l’Aide Mac OS et parcourir les informations qu’elle contient. Vous trouverez un grand volume d’informations pour les utilisateurs novices et expérimentés, et pour ceux qui passent au Mac. Pour obtenir des informations sur la compatibilité des applications avec Mac OS X ou pour en savoir plus sur Mac OS X en général, consultez le site Web d’Apple à l’adresse suivante : www.apple.com/fr/macosx. Remarque : si vous souhaitez utiliser les applications Mac OS 9 sur votre ordinateur, il vous faut installer Mac OS 9 à partir du disque d’installation Mac OS 9 livré avec votre ordinateur. Mac OS 9 ne peut pas être installé comme système d’exploitation principal de votre PowerBook et vous ne pouvez pas démarrer votre ordinateur sous Mac OS 9. F3140Q41b.book Page 27 Friday, February 18, 2005 5:48 PM28 Chapitre 2 Notions élémentaires Personnalisation du bureau et réglage des préférences Au moyen des Préférences Système, vous pouvez donner à votre bureau l’apparence souhaitée sans perdre de temps. Choisissez le menu Pomme (), puis Préférences Système dans la barre des menus. Remarque : Apple publiant régulièrement de nouvelles versions et mises à jour de son logiciel système, de ses applications et ses sites Internet, il se peut que les illustrations figurant dans ce manuel diffèrent légèrement de celles qui apparaissent sur votre écran. N’hésitez pas à changer et essayer ce qui suit :  Apparence : sélectionnez cette sous-fenêtre de préférences pour changer entre autres les couleurs des boutons, menus, fenêtres et la couleur de contraste.  Bureau et économiseur d’écran : sélectionnez cette sous-fenêtre de préférences pour changer la couleur et le motif du bureau ou pour le remplacer par la photo ou l’image de votre choix. Vous pouvez également choisir un effet d’écran accrocheur qui apparaîtra lorsque l’ordinateur reste inactif.  Dock : sélectionnez cette sous-fenêtre de préférence pour modifier l’apparence, la position et le comportement du Dock. À mesure que vous vous familiarisez avec votre ordinateur, explorez les autres rubriques des Préférences Système. Elles contiennent en effet la plupart des réglages de votre PowerBook. Pour plus d’informations, choisissez Aide puis Aide Mac dans la barre des menus et tapez “Préférences Système” ou directement l’intitulé de la rubrique à modifier. Remarque : Apple publiant régulièrement de nouvelles versions et mises à jour de son logiciel système, de ses applications et ses sites Internet, il se peut que les illustrations figurant dans ce manuel diffèrent légèrement de celles qui apparaissent sur votre écran. F3140Q41b.book Page 28 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 2 Notions élémentaires 29 Utilisation des applications Votre Powerbook est fourni avec des logiciels, incluant la suite d’applications iLife, qui vous permettront d’envoyer des messages électroniques, de naviguer sur Internet, de discuter en ligne, d’organiser vos morceaux de musique et vos photos numériques, de créer des vidéos et bien plus encore. Pour plus d’informations sur ces applications, consultez le manuel Mac OS X fourni avec votre ordinateur. Connexion à une imprimante Pour utiliser une imprimante avec votre PowerBook, suivez les instructions livrées avec pour installer les logiciels requis et connecter l’imprimante. Remarquez que les gestionnaires de la plupart des imprimantes sont intégrés à Mac OS X ; il est donc probable que vous n’ayez pas besoin d’installer de logiciel supplémentaire. De nombreuses imprimantes se connectent au moyen d’un câble USB ; d’autres sont accessibles avec une connexion en réseau comme Ethernet. Pour plus d’informations sur vos ports USB, consultez “USB (Universal Serial Bus)” à la page 36. Pour plus d’informations sur les connexions réseau et sans fil, consultez “Ethernet (10/100/1000Base-T)” à la page 47 et “Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme” à la page 45. Une fois votre imprimante connectée et réglée, ouvrez la sous-fenêtre Imprimantes et fax des Préférences Système pour sélectionner l’imprimante que vous voulez utiliser. Si vous vous connectez à une imprimante via un réseau, il vous faudra peut-être savoir le nom de réseau ou l’adresse de l’imprimante pour la sélectionner. Si une imprimante USB est reliée à une borne d’accès AirPort Extreme ou AirPort Express, vous pouvez vous connecter à l’imprimante et imprimer sans fil. Pour configurer une imprimante : 1 Ouvrez Préférences Système et cliquez sur l’icône Imprimantes et fax. 2 Cliquez sur le bouton Configurer les imprimantes. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter. F3140Q41b.book Page 29 Friday, February 18, 2005 5:48 PM30 Chapitre 2 Notions élémentaires 4 Sélectionnez le type de connexion de votre imprimante (par exemple, USB, AppleTalk, etc.) dans le menu local. Pour ajouter une imprimante USB connectée à une borne d’accès AirPort Extreme, sélectionnez Rendezvous dans le menu local. 5 Sélectionnez ou saisissez les informations de l’imprimante et cliquez sur Ajouter. Contrôle de l’impression Lorsque vous avez envoyé un document à l’impression, vous pouvez contrôler l’impression et l’arrêter ou la mettre en attente temporairement. Pour contrôle l’impression : m Cliquez sur l’icône de l’imprimante dans le Dock pour ouvrir la fenêtre Liste des imprimantes. Vous voyez alors la liste des travaux d’impression et la file d’attente sur lesquelles vous pouvez intervenir. Pour en savoir plus, choisissez Aide puis Aide Mac dans la barre des menus et tapez “impression”. Lecture d’un CD et connexion d’écouteurs Pour écouter de la musique tout en travaillant, insérez un CD de musique dans votre lecteur optique. iTunes, un lecteur de musique souple d’emploi, apparaîtra automatiquement à l’écran. Vous pouvez également connecter des écouteurs à l’aide d’une prise jack dans le port de sortie casque de votre PowerBook pour une écoute discrète. Pour en savoir plus sur iTunes : m Ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes et Music Store. Pour en savoir plus sur votre lecteur optique, consultez la section “Utilisation de votre lecteur SuperDrive” à la page 53. F3140Q41b.book Page 30 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 2 Notions élémentaires 31 Maintien à jour de votre logiciel Vous pouvez vous connecter à Internet et télécharger et installer automatiquement les dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple. Une fois connecté à Internet, l’application Mise à jour de logiciels recherche dans les serveurs Internet d’Apple les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. Vous pouvez configurer votre Mac afin qu’il recherche régulièrement dans le serveur Apple des mises à jour de logiciels, puis qu’il les télécharge et les installe sur votre ordinateur. Pour rechercher les logiciels mis à jour : 1 Ouvrez les Préférences Système. 2 Cliquez sur l’icône Mise à jour de logiciels et suivez les instructions sur l’écran.  Pour plus d’informations, tapez “Mise à jour de logiciels” dans l’Aide Mac OS.  Pour obtenir les dernières informations sur Mac OS X, visitez le site Web Mac OS à l’adresse www.apple.com/fr/macos. F3140Q41b.book Page 31 Friday, February 18, 2005 5:48 PM32 Chapitre 2 Notions élémentaires Connexion d’un appareil photo ou d’un autre périphérique FireWire ou USB Vous pouvez connecter un iPod, une caméra iSight, un appareil photo numérique, une caméra vidéo, un numériseur ou tout autre appareil doté d’un connecteur FireWire ou USB à votre Powerbook. Suivez les instructions d’installation fournies avec votre appareil. Pour plus d’informations sur FireWire, consultez “FireWire” à la page 39. Pour plus d’informations sur USB, consultez “USB (Universal Serial Bus)” à la page 36. Connexion à un réseau Si vous souhaitez connecter votre PowerBook à un réseau Ethernet ou à un réseau sans fil, voir “Ethernet (10/100/1000Base-T)” à la page 47 et “Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme” à la page 45 pour en savoir plus sur la configuration d’une connexion Ethernet ou AirPort Extreme. Choisissez également Aide > Aide Mac dans la barre des menus et tapez “Ethernet” ou ouvrez l’Utilitaire AirPort Admin et sélectionnez Aide > Aide AirPort. Utilisation d’Internet Au cours des étapes de configuration initiale, vous avez appris comment vous connecter à Internet. Si vous adoptez un nouveau type de connexion, tel que DSL, modem câble, réseau local Ethernet (LAN) ou réseau AirPort Extreme, vous trouverez des informations supplémentaires dans l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 85. Transfert de fichiers vers un autre ordinateur Si vous souhaitez transférer des fichiers ou des documents de ou vers votre PowerBook, il existe plusieurs manières de le faire.  Vous pouvez facilement transférer des fichiers à l’aide de l’Assistant réglages et d’un câble FireWire (vendu séparément). Vous pouvez également vous connecter à un autre ordinateur Macintosh à l’aide du câble FireWire et démarrer votre PowerBook en mode disque cible FireWire. Votre PowerBook apparaît comme un disque dur sur l’autre ordinateur et vous pouvez transférer des fichiers. Pour plus d’informations sur comment utiliser FireWire pour transférer des fichiers, consultez “Mode disque cible FireWire” à la page 41.  Si vous possédez un lecteur de disque dur externe, un lecteur de disque à mémorisation instantanée, un lecteur Zip ou tout autre périphérique de stockage de données qui se connecte via un câble USB ou FireWire, vous pouvez l’utiliser pour transférer des fichiers.  Si l’autre ordinateur dispose d’un lecteur optique inscriptible, vous pouvez tranférer des fichiers que vous avez enregistrés sur un CD ou DVD. F3140Q41b.book Page 32 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 2 Notions élémentaires 33  Vous pouvez transférer des fichiers via Internet en utilisant .Mac ou d’autres comptes Internet.  Vous pouvez transférer des fichiers à un autre ordinateur à travers d’un réseau. Vous pouvez accéder à un autre serveur ou ordinateur en cliquant sur Réseau dans la barre latérale du Finder, ou en choisissant Aller > Se connecter au serveur dans la barre des menus du Finder.  Vous pouvez créer un petit réseau Ethernet en connectant un câble Ethernet de votre PowerBook au port Ethernet d’un autre ordinateur. Pour en savoir plus, choisissez Aide puis Aide Mac dans la barre des menus et tapez “connexion de deux ordinateurs.”  Vous pouvez également vous connecter à un autre Mac au moyen d’un câble FireWire. Lorsque vous démarrez votre ordinateur en mode disque cible FireWire, votre PowerBook apparaît sous la forme d’un disque dur sur l’autre ordinateur et vous pouvez alors procéder au transfert de fichiers. Pour plus d’informations sur comment utiliser FireWire pour transférer des fichiers, consultez “Mode disque cible FireWire” à la page 41.  Vous pouvez vous connecter à un réseau sans fil AirPort Extreme 802.11g ou 802.11b pour transférer des fichiers. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section “Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme” à la page 45.  Si vous avez accès à des appareils qui communiquent à travers la technologie sans fil Bluetooth, vous pouvez transférer des fichiers par son intermédiaire. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section “Utilisation de appareils Bluetooth” à la page 43. Pour des informations générales sur le transfert de fichiers et de documents, ouvrez l’aide Mac OS et recherchez le type de connexion nécessaire. F3140Q41b.book Page 33 Friday, February 18, 2005 5:48 PM34 Chapitre 2 Notions élémentaires Lorsqu’une application se fige Il est possible que, quelques rares fois, une application se fige à l’écran. Mac OS X permet de quitter une application figée sans redémarrer votre ordinateur, ce qui permet d’enregistrer le travail effectué dans d’autres applications ouvertes. Pour forcer une application à se fermer : 1 Appuyez sur Commande (x) + Option + Échap ou choisissez Forcer à quitter dans le menu Pomme (K). La boîte de dialogue Forcer à quitter des applications apparaît avec l’application sélectionnée. 2 Cliquez sur Forcer à quitter. L’application quitte, en laissant toutes les autres applications ouvertes. Si nécessaire, vous pouvez aussi forcer la fermeture de l’environnement Classic, ce qui provoque la fermeture de toutes les applications Classic. Vous pouvez également redé- marrer le Finder à partir de cette boîte de dialogue. Si vous rencontrez d’autres problèmes, consultez le chapitre 5, “Dépannage”, à la page 69. F3140Q41b.book Page 34 Friday, February 18, 2005 5:48 PM3 35 3 Utilisation de votre ordinateur Votre PowerBook comporte de nombreuses fonctionnalités et capacités de connexion intégrées que vous pouvez personnaliser et faire évoluer selon vos besoins. En voici la liste :  Des ports USB 2.0 pour la connexion de matériel supplémentaire à votre PowerBook : imprimantes, numériseurs, etc. Voir la page 36.  Un port FireWire 400 et un port FireWire 800 pour connecter des périphériques à haute vitesse, tels que des caméras vidéo numériques et des disques durs externes. Voir la page 39.  Un logement pour carte PC ou CardBus. Voir la page 42.  Connectivité sans fil Bluetooth, fonctionnalité de réseau sans fil AirPort Extreme, fonctionnalité de réseau Ethernet et modem 56K pour la mise en réseau et les communications. Voir la page 43.  Un port d’entrée de ligne audio/entrée audio numérique optique et un port de sortie casque/sortie audio numérique optique pour connecter des écouteurs, des haut-parleurs, des micros et des appareils audio numériques. Voir la page 48.  Sortie vidéo DVI avec adaptateur DVI/VGA inclus vous permettant d’utiliser votre PowerBook avec un moniteur externe ou un écran plat numérique et incluant la prise en charge des modes Recopie vidéo et Bureau étendu (double affichage). Utilisez la gestion S-Vidéo intégrée pour afficher du contenu sur votre téléviseur. Voir la page 49.  La technologie Sudden Motion Sensor qui permet de protéger le disque dur interne si le PowerBook tombe ou s’il subit de fortes vibrations. Voir la page 49.  Un lecteur SuperDrive vous permettant d’écouter et de créer des CD et des DVD. Voir la page 53.  Rainure de sécurité grâce à laquelle votre PowerBook sera maintenu en place. Voir la section “Rainure de sécurité” à la page 62. F3140Q41b.book Page 35 Friday, February 18, 2005 5:48 PM36 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur USB (Universal Serial Bus) Votre PowerBook est livré avec deux ports USB 2.0 (d), ou ports USB haute vitesse, à utiliser pour connecter de nombreux périphériques externes : imprimantes, numé- riseurs, appareils photo numériques, manettes de jeu, claviers ou lecteurs de disquette. Ces ports USB 2.0 sont compatibles avec les anciens modèles de périphériques USB. Dans la plupart des cas, vous pouvez connecter et déconnecter un périphérique USB pendant que l’ordinateur fonctionne. Vous pouvez utiliser les périphériques dès leur branchement, Il n’est pas nécessaire de redémarrer ni de reconfigurer votre ordinateur. Utilisation de périphériques USB Pour utiliser un périphérique USB avec votre ordinateur, il suffit de connecter le périphérique à l’ordinateur. L’ordinateur charge le gestionnaire adéquat chaque fois que vous connectez un nouveau périphérique. Remarque : Apple fournit d’origine des logiciels compatibles avec de nombreux périphériques USB. Si vous avez connecté un périphérique USB et que votre PowerBook ne trouve pas le gestionnaire approprié, vous pouvez soit installer le gestionnaire fourni avec le périphérique, soit suivre les instructions affichées à l’écran pour utiliser Internet afin de trouver, télécharger et installer le gestionnaire approprié. ® F3140Q41b.book Page 36 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 37 Périphériques USB et alimentation par batterie Avec votre PowerBook, vous pouvez utiliser des périphériques USB, par exemple une manette de jeu ou un clavier, qui sont alimentés par la connexion USB au lieu d’un adaptateur secteur. Toutefois, ces types de périphériques USB peuvent provoquer un déchargement plus rapide de la batterie du PowerBook. Si vous utilisez ce périphérique pendant une durée prolongée, il est recommandé de connecter l’adaptateur secteur de votre PowerBook. Utilisation simultanée de plusieurs périphériques USB Vous pouvez vous procurer un concentrateur USB pour connecter plusieurs périphériques USB à votre ordinateur. Ce dernier se connecte à un port USB disponible de votre ordinateur et vous permet de disposer de ports USB supplémentaires (en général quatre ou sept). Les concentrateurs haute vitesse peuvent gérer les périphériques USB 2.0 haute vitesse, ainsi que les périphériques compatibles USB 1.1. Les concentrateurs USB 1.1 ne permettent pas aux périphériques USB haute vitesse de fonctionner à leur vitesse maximale. La plupart des concentrateurs USB disposent d’un adaptateur secteur et doivent être branchés sur une prise électrique. F3140Q41b.book Page 37 Friday, February 18, 2005 5:48 PM38 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Remarque : si vous utilisez une chaîne de périphériques et de concentrateurs USB, certains d’entre eux risquent de ne pas fonctionner s’ils sont connectés via une combinaison de concentrateurs USB 2.0 haute vitesse et de concentrateurs USB 1.1 à vitesse normale ou faible. Il se peut, par exemple, qu’aucun disque dur externe USB ne s’affiche sur votre bureau. Pour éviter ce problème, ne connectez pas ensemble des périphériques USB présentant des vitesses différentes. Connectez directement votre concentrateur haute vitesse à votre ordinateur, puis connectez-y les périphériques haute vitesse. Connectez les concentrateurs à vitesse normale ou faible directement à votre ordinateur, puis connectez-y les périphériques de vitesse similaire. Informations supplémentaires sur la technologie USB L’Aide Mac OS fournit des informations supplémentaires sur la technologie USB. Choisissez Aide puis Aide Mac dans la barre des menus et recherchez “USB.” Vous trouverez d’autres informations sur le site Web USB d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/usb. Pour obtenir des informations sur les périphériques USB disponibles pour votre ordinateur, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/guide. ® Concentrateur USB F3140Q41b.book Page 38 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 39 FireWire Votre ordinateur est équipé d’un port FireWire 400 et d’un port FireWire 800 (H). Avec FireWire, vous pouvez facilement connecter et déconnecter des périphériques externes à grande vitesse (tels que caméras numériques DV, imprimantes, numériseurs et disques durs) sans avoir à redémarrer votre ordinateur. Vous pouvez connecter un périphérique FireWire 6 broches directement au port FireWire à 400 Mbps. Vous pouvez utiliser un câble FireWire 9 broches vers 6 broches pour relier le périphérique au port FireWire à 800 Mbps. Vous pouvez également connecter des périphériques FireWire 9 broches directement au port FireWire à 800 Mbps, pour des connexions encore plus rapides. Les deux ports fournissent en alimentation les périphériques connectés (donc les périphériques n’ont pas besoin de prise d’alimentation supplémentaire). La liste ci-dessous répertorie certaines des opérations possibles avec FireWire :  Connecter une caméra vidéo numérique pour capturer, transférer et monter de la vidéo de haute qualité directement sur votre ordinateur à l’aide de logiciels de montage vidéo tels qu’iMovie ou Final Cut Pro.  Connecter une caméra iSight Apple et utiliser l’application iChat AV fournie pour participer à une vidéoconférence avec vos amis ou votre famille via une connexion Internet à haut débit.  Connecter un disque dur FireWire externe et l’utiliser pour sauvegarder des données ou transférer des fichiers. ® Port FireWire 400 (6 broches) Port FireWire 800 (9 broches) F3140Q41b.book Page 39 Friday, February 18, 2005 5:48 PM40 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur  Démarrer à partir d’un disque dur externe FireWire. Pour cela, connectez un disque dur FireWire externe (sur lequel un système d’exploitation valide est installé), ouvrez la sous-fenêtre Démarrage des Préférences Système, puis cliquez sur le disque dur FireWire. Redémarrez votre ordinateur. Utilisation de périphériques FireWire Pour utiliser un périphérique FireWire avec votre ordinateur, connectez-le à l’ordinateur et installez tout logiciel fourni avec le périphérique en question. Votre ordinateur détecte automatiquement les nouveaux périphériques connectés. Périphériques FireWire et alimentation par batterie Les périphériques FireWire, tels que certains disques durs externes, peuvent être alimentés par la connexion FireWire du PowerBook et non pas par un adaptateur secteur séparé. Toutefois, ce type de périphériques provoquera un déchargement plus rapide de la batterie du PowerBook. Si vous comptez connecter un périphérique pendant une longue période, il est recommandé de connecter le PowerBook sur son adaptateur secteur. Remarque : les ports FireWire sont conçus pour gérer l’alimentation des périphériques FireWire (jusqu’à 7 watts maximum). Il est possible de connecter plusieurs périphériques l’un à l’autre puis de connecter cette “chaîne” de périphériques à l’un des ports FireWire de l’ordinateur, à condition que seul l’un des périphériques soit alimenté directement par ce dernier. Les autres périphériques de la chaîne doivent alors être alimentés par des adaptateurs secteur distincts. La connexion de plusieurs périphériques FireWire alimentés par le port peut poser des problèmes. En cas de problème, éteignez l’ordinateur, déconnectez les périphériques FireWire, puis redémarrez l’ordinateur. F3140Q41b.book Page 40 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 41 Mode disque cible FireWire Si vous souhaitez transférer des fichiers de votre PowerBook vers un autre ordinateur équipé de la technologie FireWire ou que vous êtes confronté à un problème qui empêche le démarrage de votre ordinateur, utilisez le mode disque cible FireWire pour vous connecter à un autre ordinateur et accéder à vos fichiers. Lorsque vous démarrez votre ordinateur en mode disque cible FireWire, l’autre ordinateur peut accéder à votre PowerBook comme s’il s’agissait d’un disque dur. Remarque : lorsque vous utilisez le mode disque cible FireWire, il est conseillé de connecter l’adaptateur secteur à votre PowerBook. Pour connecter votre PowerBook à un autre ordinateur en mode disque cible FireWire : 1 Assurez-vous que votre PowerBook est éteint. 2 Utilisez un câble FireWire pour connecter votre PowerBook à un autre ordinateur équipé de FireWire. Vous pouvez utiliser un câble FireWire avec n’importe quelle combinaison de connecteurs à 6 et 9 broches. 3 Démarrez votre PowerBook, puis maintenez immédiatement la touche T enfoncée. L’écran de votre PowerBook affiche alors le logo FireWire. L’écran de l’autre ordinateur affiche l’icône du disque dur interne de votre PowerBook. Vous pouvez maintenant glisser-déposer des fichiers entre les deux ordinateurs. 4 Une fois que vous avez terminé de transférer les fichiers, glissez l’icône du disque dur du PowerBook sur la Corbeille. 5 Appuyez sur le bouton d’alimentation pour éteindre le PowerBook, puis déconnectez le câble FireWire. Informations supplémentaires sur la technologie FireWire L’aide Mac OS fournit des informations supplémentaires sur la technologie FireWire. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus du Finder et cherchez “FireWire”. Vous trouverez également d’autres informations sur le site Web FireWire d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr/firewire. F3140Q41b.book Page 41 Friday, February 18, 2005 5:48 PM42 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Cartes PC Card Vous pouvez étendre les fonctionnalités de votre ordinateur à l’aide du logement pour carte PC Card. Ce logement peut servir à connecter des disques dur, des lecteurs de carte Compact Flash, etc. Votre PowerBook possède un logement PC Card destiné aux cartes PCMCIA Type I et Type II, y compris les cartes CardBus. Vous pouvez éjecter une carte PC Card que l’ordinateur soit sous tension, éteint ou en suspension d’activité. Important : la carte AirPort Extreme d’Apple est installée dans un logement à l’inté- rieur de l’ordinateur. Elle n’est pas destinée au logement PC Card, contrairement à de nombreuses cartes de réseau sans fil non Apple. N’installez pas la carte AirPort Extreme d’Apple dans le logement PC Card. Elle ne fonctionnera pas et vous risquez d’endommager votre ordinateur. ® Logement PC Card Bouton d'éjection F3140Q41b.book Page 42 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 43 Insertion et éjection d’une carte PC Card Lors de l’insertion d’une carte PC Card, veillez à ce que l’étiquette soit orientée vers le haut et la carte horizontale. Une légère résistance se fait sentir lors de l’insertion de la carte. Dès que la carte est fermement enclenchée dans le logement, un déclic se produit et une icône s’affiche (en général) sur le bureau. Vous pouvez éjecter une carte PC Card que l’ordinateur soit sous tension ou éteint, mais pas en suspension d’activité. Pour éjecter une carte PC Card : 1 Si l’ordinateur est allumé, glissez l’icône de la carte dans la Corbeille. 2 Appuyez une fois sur le bouton d’éjection de la carte pour le libérer. 3 Appuyez une seconde fois sur ce bouton pour éjecter la carte. 4 Retirez la carte du logement, puis appuyez à nouveau sur le bouton pour le ramener à sa position initiale. Informations supplémentaires sur les cartes PC Card Pour tout renseignement sur les modèles de cartes PC Card disponibles pour votre ordinateur, consultez le guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/guide. Utilisation de appareils Bluetooth Votre PowerBook peut se connecter à des périphériques utilisant la technologie sans fil Bluetooth® , notamment à des téléphones cellulaires ou à des assistants numériques personnels (PDA), et y transférer des informations sans fil. La technologie sans fil Bluetooth permet d’éliminer les câbles reliant normalement les périphériques. Les périphériques dotés de la technologie sans fil Bluetooth peuvent être interconnectés dans un rayon de 10 mètres. Les périphériques dotés de la technologie sans fil Bluetooth comprennent :  ordinateurs ;  téléphones portables ;  périphériques (clavier, souris, etc.) ;  PDA. Grâce à la technologie sans fil Bluetooth, vous pouvez :  Utiliser votre PowerBook pour communiquer avec un téléphone portable également équipé de la technologie sans fil Bluetooth. Votre téléphone peut servir de modem pour vous connecter à un fournisseur de services sans fil, à un débit de 56 kilobits par seconde ou plus (Kbps) suffisant pour vous connecter à Internet.  Communiquer avec votre assistant personnel (PDA). À l’aide d’iSync, vous pouvez exécuter une opération HotSync sans fil ou transmettre votre carte de visite ou encore des événements de calendrier directement sur le PDA d’un collègue. F3140Q41b.book Page 43 Friday, February 18, 2005 5:48 PM44 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur  Transférer des fichiers entre ordinateurs, même de Mac à PC, en utilisant l’utilitaire de transfert. Apple recommande l’utilisation du réseau sans fil AirPort Extreme pour le transfert de tous vos fichiers à l’exception des plus petits.  Utiliser un clavier ou une souris sans fil Bluetooth. Pour configurer un périphérique Bluetooth : m Utilisez l’Assistant réglages Bluetooth, situé dans le dossier Applications/Utilitaires sur votre disque dur. Vous pouvez également choisir “Configurer l’appareil Bluetooth” dans le menu d’état Bluetooth de la barre des menus. Configuration de l’échange de fichiers Bluetooth Vous pouvez contrôler la manière dont l’ordinateur gère les fichiers échangés avec d’autres appareils Bluetooth. Vous pouvez choisir un dossier pour les fichiers en provenance d’autres appareils, un dossier pour les fichiers destinés à d’autres appareils, et décider des applications à utiliser pour ouvrir les fichiers que vous acceptez. Pour configurer un échange de fichiers Bluetooth : m Ouvrez Préférences Système, cliquez sur Bluetooth, puis sur Échange de fichiers. Configuration des connexions Bluetooth Les appareils compatibles Bluetooth, tels que les ordinateurs, téléphones portables et périphériques de poche (PDA), peuvent se connecter entre eux sans fil à des distances allant jusqu’à 10 mètres. Pour configurer un appareil Bluetooth afin de le faire fonctionner avec votre ordinateur : 1 Assurez-vous qu’un module Bluetooth est installé dans votre ordinateur ou qu’un module USB Bluetooth y est connecté. 2 Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Bluetooth. 3 Cliquez sur Configurer nouvel appareil. 4 Choisissez le type d’appareil à configurer et suivez les instructions à l’écran. Envoi d’un fichier à un appareil compatible Bluetooth Votre ordinateur peut envoyer des fichiers sans fil à d’autres appareils Bluetooth à la portée de votre ordinateur. Si votre ordinateur n’est pas jumelé à l’appareil, vous devrez peut-être taper un mot de passe sur les deux appareils pour les jumeler. Si vous avez déjà jumelé l’ordinateur à l’appareil, vous n’aurez peut-être pas à retaper un mot de passe. F3140Q41b.book Page 44 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 45 Pour envoyer un fichier à un appareil compatible Bluetooth : 1 Ouvrez l’application Échange de fichiers Bluetooth, située dans le dossier Applications/ Utilitaires. 2 Choisissez Fichier > Envoyer un fichier, sélectionnez le fichier à envoyer, puis cliquez sur Envoyer. 3 Choisissez un appareil dans la liste Appareil, puis cliquez sur Envoyer. Si l’appareil ne se trouve pas dans la liste, cliquez sur Rechercher. Une fois que l’application Échange de fichiers Bluetooth a trouvé l’appareil, vous pouvez ajouter ce dernier à votre liste de favoris. Utilisez la sous-fenêtre Échange de fichiers des Préférences Bluetooth pour définir comment votre ordinateur doit traiter les fichiers échangés avec les autres appareils Bluetooth. Vous pouvez également envoyer un fichier en choisissant l’option Envoyer un fichier dans le menu d’état Bluetooth de la barre des menus. Pour plus d’informations sur la technologie sans fil Bluetooth Pour accéder à l’aide sur la technologie sans fil Bluetooth, ouvrez l’application Échange de fichiers Bluetooth (dans le dossier Utilitaires du dossier Applications) et choisissez Aide > Aide Bluetooth. Vous trouverez d’autres informations sur le site Web d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/bluetooth. Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme Une carte AirPort Extreme est installée sur votre PowerBook. AirPort Extreme permet d’accéder sans fil à Internet en toute simplicité et sans se ruiner n’importe où, que ce soit chez soi, au bureau ou dans un établissement scolaire par exemple. Au lieu de faire appel à des câbles classiques, AirPort Extreme utilise la technologie de réseau local (LAN) sans fil permettant une communication sans fil entre plusieurs ordinateurs. Utilisez un réseau sans fil pour configurer l’accès à Internet, transférer des fichiers, jouer à plusieurs en réseau et bien d’autres choses encore. La carte AirPort Extreme est compatible avec les bornes d’accès Apple AirPort Extreme et AirPort Express, la borne d’accès originale Apple, ainsi que tous les produits conformes aux normes 802.11b ou 802.11g. Remarque : l’accès sans fil à Internet requiert une carte AirPort Extreme, un point d’accès 802.11b ou 802.11g, tel qu’une borne d’accès AirPort Extreme, AirPort Express ou Airport, ainsi qu’une connexion à Internet (ce service peut être payant). Certains fournisseurs d’accès à Internet ne sont pas encore compatibles avec AirPort. La portée varie en fonction des conditions d’emplacement. F3140Q41b.book Page 45 Friday, February 18, 2005 5:48 PM46 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Mode d’accès sans fil à Internet via AirPort Extreme Le système AirPort Extreme vous permet d’établir une connexion sans fil à un périphérique appelé borne d’accès, qui dispose d’une connexion physique à Internet. La technologie AirPort Extreme fonctionne comme un téléphone sans fil. La carte AirPort Extreme installée sur l’ordinateur permet d’établir une connexion sans fil à la borne d’accès, elle-même connectée à Internet via une ligne téléphonique ou un modem DSL ou câble. Pour plus d’informations sur AirPort Extreme Pour acheter une borne d’accès AirPort Extreme ou AirPort Express, adressez-vous à votre vendeur agréé Apple ou rendez-vous sur le site Web Apple Store à l’adresse www.apple.com/francestore. D’autres informations sur AirPort Extreme ou AirPort Express sont disponibles dans l’Aide AirPort. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis choisissez Bibliothèque > Aide AirPort dans la barre des menus. Vous trouverez également des informations sur le site Web AirPort d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/airport, ou sur www.apple.com/fr/support. Connexion à Internet AirPort Express Prise CA Modem câble ou DSL ® F3140Q41b.book Page 46 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 47 Ethernet (10/100/1000Base-T) Votre ordinateur est équipé de fonctionnalités intégrées de réseau Ethernet à paires torsadées 10/100/1000 mégabits par seconde (Mbits/s) que vous pouvez utiliser pour vous connecter soit à un réseau, y compris à un réseau Gigabit Ethernet, soit à un modem par câble ou DSL. La connexion à un réseau permet d’accéder à d’autres ordinateurs. et vous permet de stocker et de récupérer des informations, d’utiliser les imprimantes d’un réseau, des modems et une messagerie électronique ou de vous connecter à Internet. Ethernet vous permet également de partager des fichiers entre deux ordinateurs ou d’établir un petit réseau. Le port Ethernet de votre PowerBook détecte automatiquement les autres périphériques Ethernet. Pour établir des connexions à d’autres périphériques Ethernet, il est inutile d’utiliser un câble croisé Ethernet.  Utilisez un câble Ethernet à deux paires de catégorie 3 (ou supérieure) pour vous connecter à un réseau Ethernet 10 Base-T.  Utilisez un câble Ethernet à deux paires de catégorie 5 (ou supérieure) pour vous connecter à un réseau Ethernet 100 Base-T.  Utilisez un câble Ethernet à quatre paires de catégorie 5 (ou supérieure) pour vous connecter à un réseau Ethernet 1000 Base-T. ® F3140Q41b.book Page 47 Friday, February 18, 2005 5:48 PM48 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Informations supplémentaires sur l’utilisation d’Ethernet Des informations supplémentaires, y compris sur la configuration d’un réseau Ethernet et le transfert des fichiers via Ethernet, sont disponibles dans l’aide Mac OS. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus et recherchez “Ethernet” ou “réseau”. Pour obtenir des informations sur les produits en réseau que vous pouvez utiliser avec votre PowerBook, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/guide. Utilisation de votre modem Votre ordinateur vous est fourni avec un modem Apple 56K v.92 déjà installé. Pour connecter le modem, branchez l’une des extrémités du câble téléphonique ou du câble RJ-11 au port du modem situé sur l’ordinateur et l’autre extrémité à une prise téléphonique murale standard. Veillez à le connecter à une ligne téléphonique analogique (type le plus répandu chez les particuliers). Le modem ne fonctionnera pas avec une ligne téléphonique numérique. Pour obtenir des informations sur la manière d’établir une connexion à Internet, consultez l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 85. Des informations supplé- mentaires à propos du modem interne sont également disponibles dans l’Aide Mac OS. Connexion de haut-parleurs et de périphériques audio Votre PowerBook est équipé de deux haut-parleurs intégrés, d’un micro intégré, d’un port d’entrée de ligne audio/entrée audio numérique optique et d’un port de sortie casque/sortie audio numérique optique. Remarque : les haut-parleurs intégrés n’émettent aucun son lorsque des périphériques sont branchés à l’ordinateur. Pour entendre le son de ces haut-parleurs, débranchez le casque ou les haut-parleurs externes pouvant être connectés à l’ordinateur. Vous pouvez connecter des haut-parleurs externes, un casque, des systèmes d’enceintes 5.1 et d’autres périphériques de sortie son au port de sortie casque/sortie audio numé- rique optique. Le port est constitué d’une prise mini-jack de 3,5 mm. Avertissement : pour éviter tout risque d’endommagement du modem, ne connectez jamais une ligne téléphonique numérique à ce dernier. Contactez votre opérateur téléphonique si vous n’êtes pas certain(e) de votre type de ligne téléphonique. F3140Q41b.book Page 48 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 49 Vous pouvez enregistrer des sons sur votre disque dur à l’aide du micro intégré situé sous la grille du haut-parleur de gauche. Vous avez également la possibilité de connecter des micros externes ou tout autre appareil audio sur le port d’entrée de ligne audio/ entrée audio numérique digital. Le port est une prise mini-jack 3,5 mm stéréo. Sa fonction n’étant pas d’alimenter en énergie les périphériques qui y sont connectés, vous devez utiliser des périphériques disposant d’un système d’auto-alimentation. Si vous disposez d’un adaptateur mini-jack Toslink, vous pouvez utiliser un câble Toslink pour connecter un lecteur Digital Audio Tape (DAT) ou des instruments numériques afin d’enregistrer et de mixer votre propre musique. Avec des applications permettant d’enregistrer des sons, iMovie par exemple, utilisez la sous-fenêtre Son des Préférences Système pour sélectionner le périphérique d’entrée audio (y compris des micros connectés via USB) que vous souhaitez utiliser. Les commandes de volume de votre clavier vous permettent de régler facilement le volume. Vous pouvez également accéder à ces commandes via la sous-fenêtre Son des Préférences Système. Pour plus d’informations sur l’utilisation ou la résolution de problèmes liés au son de votre ordinateur, ouvrez l’Aide Mac OS et recherchez “son”. Sudden Motion Sensor Votre PowerBook est doté de la technologie Sudden Motion Sensor, une protection intégrée pour le disque dur conçue pour éviter des pannes de disque en cas de chute de l’ordinateur ou de vibrations violentes. En principe, la protection Sudden Motion Sensor n’affecte pas les performances du disque dur lors du fonctionnement normal du PowerBook. La technologie Sudden Motion Sensor peut occasionnellement être activée sous l’effet de fortes vibrations lorsque votre PowerBook est en train d’écrire ou de lire des données de manière intense, par exemple lors de la lecture ou de l’enregistrement de documents audio ou vidéo. Il se peut dans ce cas-là que vous perdiez des images ou des éléments de son. Assurez-vous donc que votre PowerBook est placé dans un endroit stable ne comportant pas de vibrations ni de mouvements violents. Gestion vidéo externe (DVI/VGA et S-Vidéo) Votre ordinateur est équipé d’un port de moniteur externe (DVI) permettant une connexion directe à un écran ou à un projecteur muni d’un port DVI. L’adaptateur DVI-VGA permet de connecter votre PowerBook à des moniteurs ou projecteurs dotés de connecteurs VGA. F3140Q41b.book Page 49 Friday, February 18, 2005 5:48 PM50 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Le port de sortie TV de votre ordinateur (ou port de sortie S-vidéo) vous permet de connecter ce dernier à un téléviseur, un magnétoscope ou un système de projection vidéo à l’aide d’un câble S-vidéo. Ce port permet d’afficher des images sur un téléviseur, d’enregistrer des images numériques sur un magnétoscope ou de lire des DVD-Vidéo sur votre téléviseur. Si le périphérique à connecter est muni d’un port composite et non d’un port S-Vidéo, vous pouvez utiliser l’adaptateur S-Vidéo-composite fourni avec votre PowerBook. Lorsqu’un moniteur externe ou un téléviseur est connecté, vous pouvez soit faire en sorte que la même image s’affiche sur l’écran interne et le moniteur externe (c’est ce que l’on appelle la recopie vidéo), soit utiliser le moniteur externe pour étendre la taille du bureau Mas OS (on parle dans ce cas de mode double-écran). Par défaut, votre PowerBook démarre en mode double-écran. Appuyez sur la touche F7 ( i) pour alterner entre les modes double-écran et recopie vidéo. Pour que le son soit émis par l’écran externe (par un projecteur ou un téléviseur par exemple), vous devez relier le périphérique et le port de sortie casque de l’ordinateur par le biais d’un câble audio. Remarque : en raison des limites d’affichage de la plupart des téléviseurs, les images apparaissent avec une qualité inférieure à celle de l’écran intégré ou d’un moniteur externe. ® Port DVI Port de sortie S-Vidéo F3140Q41b.book Page 50 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 51 Connexion d’un écran externe ou d’un projecteur Pour connecter un écran externe ou un projecteur à votre ordinateur à l’aide d’une connexion DVI : 1 Allumez l’écran externe ou le projecteur. 2 Vérifiez que le câble de l’écran est bien relié au projecteur ou à l’écran externe. 3 Connectez le câble de l’écran à votre PowerBook. Votre PowerBook détecte automatiquement l’écran externe ou le projecteur. 4 Réglez la résolution de l’écran externe via la rubrique Moniteurs des Préférences Système ou l’icône Moniteurs de la barre de menus. Pour relier un écran externe ou un projecteur à votre ordinateur à l’aide d’une connexion VGA : 1 Allumez l’écran externe ou le projecteur. 2 Vérifiez que le câble de l’écran est bien relié au projecteur ou à l’écran externe. 3 Connectez l’adaptateur DVI-VGA fourni avec votre PowerBook au connecteur VGA du projecteur ou du moniteur externe. 4 Connectez l’adaptateur DVI-VGA à votre PowerBook. Votre PowerBook détecte automatiquement l’écran externe ou le projecteur. Important : pour vous assurer que votre PowerBook détecte automatiquement le moniteur externe ou le projecteur, branchez d’abord l’adaptateur DVI-VGA sur ces derniers. 5 Réglez la résolution de l’écran externe via la rubrique Moniteurs des Préférences Système ou l’icône Moniteurs de la barre de menus. F3140Q41b.book Page 51 Friday, February 18, 2005 5:48 PM52 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Utilisation de votre PowerBook écran rabattu Vous pouvez utiliser votre PowerBook écran rabattu s’il est connecté à un moniteur externe, un clavier et une souris, et qu’il est branché, via son adaptateur secteur, sur une prise électrique. Important : pour utiliser votre PowerBook avec l’écran rabattu, l’adaptateur secteur doit être branché dans le PowerBook et dans une prise électrique. Pour utiliser votre ordinateur écran rabattu avec un moniteur connecté : 1 Connectez un clavier et une souris USB à votre PowerBook. 2 Reliez l’adaptateur secteur à votre PowerBook et à une prise électrique. 3 Rabattez l’écran du PowerBook afin d’en suspendre l’activité. 4 Connectez votre PowerBook à un écran externe en suivant les étapes décrites dans la section précédente. 5 Attendez quelques secondes, puis appuyez sur n’importe quelle touche du clavier externe pour réactiver le PowerBook. Connexion d’un téléviseur, d’un magnétoscope ou de tout autre appareil vidéo Pour connecter un téléviseur, un magnétoscope ou tout autre périphérique vidéo à votre PowerBook : 1 Connectez l’extrémité d’un câble S-vidéo au port de sortie TV (Æ) de votre PowerBook (ou utilisez l’adaptateur S-vidéo/composite pour pouvoir connecter à ce dernier un câble vidéo composite), puis reliez l’autre extrémité au périphérique. 2 Pour envoyer le son de votre PowerBook au périphérique, connectez un câble minijack/RCA (non fourni) au port de sortie casque (f) de votre PowerBook et aux ports d’entrée audio du périphérique. 3 Allumez l’appareil. 4 Pour détecter le téléviseur ou tout autre périphérique externe, maintenez la touche Commande (x) enfoncée tout en appuyant sur la touche F2. 5 Pour régler l’apparence des images affichées à l’écran, ouvrez la sous-fenêtre Moniteurs des Préférences Système. Connexion d’un écran plat Apple Vous pouvez connecter votre PowerBook à un écran plat Apple. Selon l’écran que vous utilisez, un adaptateur DVI/ADC sera peut-être nécessaire pour effectuer la connection. Cet adaptateur est disponible auprès de votre revendeur agréé Apple, chez un détaillant Apple ou directement sur l’Apple Store, à l’adresse www.apple.com/francestore. F3140Q41b.book Page 52 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 53 Informations supplémentaires sur l’utilisation d’un moniteur externe ou d’un téléviseur Vous pourrez trouver des informations supplémentaires sur la configuration et l’utilisation d’un moniteur externe dans l’Aide Mac OS. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis recherchez “moniteur”. Utilisation de votre lecteur SuperDrive Grâce à votre SuperDrive, vous pouvez :  installer ou utiliser des logiciels à partir de CD ou DVD ;  lire des données multimédia sur des CD et de la musique sur des CD audio ;  écrire des fichiers musicaux, des documents et autres contenus numériques sur des CD-R et des CD-RW ;  lire des films DVD et utiliser la plupart des disques DVD ;  enregistrer des informations sur des disques DVD-R, DVD+R, DVD-RW et DVD+RW vierges. Important : le lecteur SuperDrive de votre PowerBook prend en charge les disques standard circulaires de 12 cm de diamètre. Les disques de forme irrégulière et les disques de moins de 12 cm ne peuvent pas être lus. Les disques non circulaires risquent de se bloquer dans le lecteur. F3140Q41b.book Page 53 Friday, February 18, 2005 5:48 PM54 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Insertion d’un CD ou d’un DVD Pour installer ou utiliser des programmes à partir d’un CD ou d’un DVD : 1 L’ordinateur étant allumé, introduisez le disque (étiquette vers le haut) dans la fente du lecteur jusqu’à ce le CD soit happé. Il se peut qu’il faille insérer le disque presque entièrement avant que le lecteur ne le prenne en charge. Cela est normal. Remarque : certains disques DVD sont double-face. Pour utiliser la seconde face, il faut retourner le disque. 2 Dès que son icône apparaît sur le bureau, le disque est prêt à être lu. Éjection d’un disque Pour éjecter un disque, procédez comme suit :  Glissez l’icône du disque dans la Corbeille.  Appuyez sur la touche d’éjection de disque (C) située sur le clavier et maintenez-la enfoncée jusqu’à l’éjection du disque. Attendez que le disque soit complètement éjecté avant de le retirer ou réinsérer. ® F3140Q41b.book Page 54 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 55 Si vous ne parvenez pas à éjecter le disque, fermez toutes les applications susceptibles d’utiliser le disque et réessayez. Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez l’ordinateur tout en maintenant le bouton du trackpad enfoncé. Lecture de DVD Pour lire un disque vidéo DVD sur votre PowerBook, insérez-le. Lecteur DVD s’ouvre automatiquement. Vous pouvez constater que Lecteur DVD offre des commandes simples d’utilisation pour lancer, interrompre et visionner des DVD. Si vous avez connecté votre PowerBook à un téléviseur afin de pouvoir regarder le DVD sur l’écran du téléviseur, sélectionnez 720 x 480 NTSC (aux États-Unis) ou 720 x 576 PAL (en Europe et dans d’autres régions) dans l’onglet Moniteur du tableau Moniteurs des Préférences Système. Il est très facile de connecter votre PowerBook à une chaîne stéréo. Pour connecter le port de sortie casque (f) de votre PowerBook aux ports d’entrée audio de votre chaîne stéréo, utilisez un câble mini-jack/RCA (non fourni). Enregistrement de disques CD-R et CD-RW Vous pouvez graver des données sur des disques CD-R et CD-RW. Pour graver des données sur un disque CD-R ou CD-RW : 1 Insérez un disque vierge dans le lecteur optique. 2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque. Une icône correspondant au disque apparaît sur le bureau. 3 Glissez des fichiers et dossiers sur l’icône du disque. 4 Cliquez sur l’icône Graver le disque située à côté du nom du disque dans la barre latérale du Finder. Vous pouvez également enregistrer des disques CD-R et CD-RW directement à partir de votre bibliothèque iTunes. Pour enregistrer de la musique issue de votre bibliothèque iTunes : 1 Cliquez sur l’icône d’iTunes dans le Dock. 2 Sélectionnez la liste de lecture à enregistrer. 3 Insérez un disque vierge CD-R ou CD-RW. 4 En haut de la fenêtre iTunes, cliquez sur l’option Graver le CD. F3140Q41b.book Page 55 Friday, February 18, 2005 5:48 PM56 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Pour plus d’informations  Pour des informations sur l’utilisation d’iTunes en vue d’enregistrer des fichiers musicaux sur CD-R ou CD-RW, ouvrez iTunes et consultez-en l’aide en ligne.  Pour obtenir des instructions sur l’utilisation de Lecteur DVD, ouvrez Lecteur DVD et consultez-en l’aide en ligne. Enregistrement d’informations sur un DVD Vous pouvez enregistrer vos films numériques sur un disque DVD vierge enregistrable. Ces derniers vous permettent d’enregistrer d’autres types de données numériques, comme des fichiers de sauvegarde. Grâce aux applications telles qu’iDVD, vous pouvez créer des projets de données numé- riques personnalisés, les graver sur des disques enregistrables vierges, puis les lire sur la plupart des lecteurs DVD standard. Pour graver un projet iDVD sur un disque DVD-R, DVD+R, DVD-RW ou DVD+RW vierge : 1 Ouvrez iDVD puis votre projet iDVD final. 2 Cliquez sur le bouton Graver le CD. 3 Insérez un disque DVD enregistrable vierge dans le graveur lorsqu’un message vous y invite. 4 Cliquez de nouveau sur le bouton Graver le CD. Pour enregistrer des données sur des disques DVD-R, DVD+R, DVD-RW ou DVD+RW : 1 Insérez un disque DVD enregistrable vierge dans le graveur. 2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque et sélectionnez le format souhaité. Une icône représentant le DVD apparaît sur le bureau. 3 Double-cliquez sur l’icône du DVD, puis glissez-y des fichiers et dossiers. 4 Cliquez sur l’icône Graver le disque située à côté du nom du disque dans la barre latérale du Finder. Pour plus d’informations sur la manière d’utiliser iDVD, consultez l’aide à l’écran correspondante. Important : si votre batterie vient à s’épuiser lors de la gravure d’un DVD, il se peut que cette dernière échoue et que le disque DVD devienne inutilisable. Pour éviter ce problème, veillez à toujours utiliser l’adaptateur secteur lorsque vous gravez un DVD. F3140Q41b.book Page 56 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 57 Batterie Lorsque l’adaptateur secteur externe n’est pas connecté, votre ordinateur est alimenté par sa batterie. Selon les applications que vous utilisez et les périphériques externes connectés à votre PowerBook, l’autonomie de la batterie l’alimentant peut varier. La désactivation de certaines fonctions telles qu’AirPort Extreme ou la technologie sans fil Bluetooth® peut vous permettre d’augmenter l’autonomie de la batterie. Pour plus d’informations sur l’utilisation de la batterie, consultez “Conseils d’économie de la batterie” à la page 60. Pour connaître le niveau de charge de votre batterie, vous pouvez observer les témoins de niveau de charge dont elle est dotée. Appuyez sur le bouton en regard de chaque témoin lumineux pour connaître le niveau de charge de la batterie. Les témoins restent allumés pendant quelques secondes après que vous avez appuyé sur les boutons correspondants. Vous pouvez vérifier le niveau de charge, que la batterie soit ou non insérée dans votre PowerBook. Si votre batterie tombe à plat pendant que vous travaillez, vous pouvez suspendre l’activité de votre PowerBook afin d’installer une batterie chargée. La batterie interne de secours fournit suffisamment d’énergie pour préserver le contenu de la mémoire vive (ou mémoire RAM) pendant trois minutes au maximum. Cela vous laisse le temps de changer la batterie. Remarque : si vous avez ajouté de la mémoire à votre PowerBook, il se peut que la batterie de secours fonctionne moins de trois minutes. De même, le changement répété des batteries peut réduire la durée pendant laquelle la batterie de secours est à même de conserver des données si celle-ci n’a pas eu le temps de se recharger complètement. F3140Q41b.book Page 57 Friday, February 18, 2005 5:48 PM58 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Important : si un seul témoin clignote, le niveau de charge est très faible. Si aucun témoin n’est allumé, c’est que la batterie est complètement vide, auquel cas l’ordinateur ne pourra démarrer sans l’adaptateur secteur. Branchez l’adaptateur secteur et laissez la batterie se recharger ou remplacez la batterie à plat par une batterie complè- tement rechargée (voir la page 59). Si l’icône de la batterie dans la barre des menus du Finder est définie pour afficher le pourcentage de charge, vous remarquerez parfois que la batterie ne maintient pas un niveau de charge égal à 100 pour cent quand l’adaptateur secteur est relié. Lorsque le niveau de charge de la batterie passe en dessous de 95 %, celle-ci se recharge automatiquement pour atteindre à nouveau 100 %. De cette manière, la durée de vie de la batterie est prolongée. Batterie Témoins LED de la batterie F3140Q41b.book Page 58 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 59 Retrait et remplacement de la batterie Pour retirer la batterie : m Éteignez votre PowerBook. Retournez-le et repérez l’emplacement des loquets de la batterie. Soulevez les deux loquets pour libérer la batterie, puis retirez avec précaution cette dernière. Pour remplacer la batterie : m Placez l’un des côtés de la batterie dans le compartiment. Appuyez doucement sur la batterie jusqu’à ce que les loquets soit bloqués. Remarque : débarrassez-vous de la batterie conformément aux directives d’environnement locales en vigueur. Pour en savoir plus, reportez-vous à la “Informations sur l’élimination des piles usagées” à la page 108. F3140Q41b.book Page 59 Friday, February 18, 2005 5:48 PM60 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Recharge d’une batterie Lorsque l’adaptateur secteur fourni avec votre ordinateur est connecté, la batterie se recharge, que l’ordinateur soit éteint, allumé ou en mode suspension d’activité. La recharge sera toutefois plus rapide si l’ordinateur est éteint ou en mode suspension d’activité. Vous pouvez vérifier le niveau de charge de la batterie en vous servant de l’icône d’état de la batterie dans la barre des menus. Le niveau affiché dépend de la quantité d’énergie restant dans la batterie mais aussi des applications et des périphériques en cours d’utilisation et des réglages de votre système (luminosité de l’écran, réglages de l’Économiseur d’énergie, etc.). Pour disposer de plus d’énergie, fermez des applications, déconnectez les périphériques non utilisés et réglez votre Économiseur d’énergie (consultez la section suivante). Conseils d’économie de la batterie L’autonomie assurée par la batterie de votre PowerBook avant qu’il soit nécessaire de la recharger dépend des applications et des périphériques utilisés, ainsi que des mesures prises pour économiser l’énergie. Pour économiser l’énergie de la batterie de façon optimale, procédez comme suit :  Déconnectez tout périphérique USB ou FireWire alimenté par bus dès qu’ils ne sont pas utilisés.  Désactivez AirPort quand il n’est pas utilisé (utilisez l’icône d’état d’AirPort dans la barre des menus).  Désactivez votre module sans fil Bluetooth quand il n’est pas utilisé.  Quittez les applications ouvertes non utilisées.  Retirez les CD et les DVD non utilisés.  Réduisez la luminosité de l’écran à l’aide des boutons de réglage de luminosité situés sur le clavier du PowerBook.  Configurez le disque dur afin qu’il réduise sa vitesse de rotation après un bref délai. Dans la sous-fenêtre Économiseur d’énergie des Préférences Système, sélectionnez l’option “Suspendre l’activité du/des disque(s) dur(s) chaque fois que possible”.  Configurez votre PowerBook afin qu’il suspende son activité après un maximum de cinq minutes. F3140Q41b.book Page 60 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 61 Pour économiser davantage encore l’énergie de la batterie, sélectionnez les options suivantes dans la sous-fenêtre Économiseur d’énergie des Préférences Système :  Configurez votre ordinateur de sorte qu’il modifie la vitesse de son processeur en fonction du niveau d’activité de traitement requis. Votre PowerBook est configuré pour réduire automatiquement sa vitesse de traitement durant les périodes de faible activité, lorsqu’il est alimenté via la batterie, afin d’économiser de l’énergie. Pendant les périodes d’activité élevée de traitement, votre ordinateur passera automatiquement à une vitesse de traitement plus élevée. Pour vérifier ce réglage, ouvrez la rubrique Économies d’énergie des Préférences Système et cliquez sur Afficher les détails. Pour modifier automatiquement la vitesse du processeur, choisissez “la batterie” dans le menu local “Réglages de”, cliquez sur Options et sélectionnez “automatique” dans le menu Performance du processeur (pour que votre ordinateur utilise en permanence la vitesse maximale du processeur, choisissez “Maximale” dans le menu local Performance du processeur).  Pour accroître au maximum la durée de vie de la batterie, choisissez “longévité maximale de la batterie” dans le menu local Optimisation des réglages. Informations supplémentaires sur la batterie de votre PowerBook Des informations supplémentaires sont disponibles dans l’Aide Mac OS. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis recherchez “batterie”. Vous trouverez également des informations pour rallonger la vie de votre batterie à l’adresse www.apple.com/fr/batteries/notebooks.html. F3140Q41b.book Page 61 Friday, February 18, 2005 5:48 PM62 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Rainure de sécurité Afin de protéger votre PowerBook contre le vol, vous pouvez vous procurer un câble de sécurité pour attacher votre ordinateur à un bureau ou une table. Informations supplémentaires sur les options de sécurité Des informations supplémentaires sur les fonctionnalités logicielles de sécurité de votre PowerBook, y compris les mots de passe d’utilisateurs multiples et le cryptage de fichiers, sont disponibles dans l’Aide OS Mac. Choisissez Aide puis Aide Mac dans la barre des menus et tapez “sécurité” ou “utilisateurs multiples.” ® Dispositif de verrouillage avec câble de sécurité Logement de sécurité F3140Q41b.book Page 62 Friday, February 18, 2005 5:48 PM4 63 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur Ce chapitre fournit des informations et des instructions pour installer de la mémoire supplémentaire sur votre PowerBook. Installation de mémoire supplémentaire Votre ordinateur est équipé de deux logements de mémoire auxquels vous accédez en retirant la trappe d’accès de la baie de batterie. Votre PowerBook est équipé d’un module de mémoire de 512 Mo de SDRAM (Synchronous Dynamic Random-Access Memory) DDR (Double Data Rate) connecté à un des deux logements disponibles. Les deux logements peuvent accueillir n’importe quel module de mémoire répondant aux caractéristiques suivantes :  Format SO-DIMM (Small Outline-Dual Inline Memory Module)  Taille inférieure à 3,8 cm  512 Mo ou 1 Go (faible énergie)  200 broches  Mémoire RAM de type PC 2700 DDR 333 La quantité maximale de mémoire que vous pouvez installer sur votre PowerBook est de 2 Go en utilisant des modules DIMM de 1 Go dans chacun des logements de mémoire. Avertissement : Apple vous recommande de confier l’installation de mémoire à un technicien agréé Apple. Consultez les informations sur l’assistance technique fournies avec l’ordinateur pour savoir comment joindre la société Apple. Tout dommage causé à votre matériel en tentant d’installer vous-même de la mémoire n’est pas couvert par la garantie limitée de votre ordinateur. F3140Q41b.book Page 63 Friday, February 18, 2005 5:48 PM64 Chapitre 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur Pour installer de la mémoire supplémentaire : 1 Éteignez votre ordinateur. Débranchez l’adaptateur secteur, le câble téléphonique et tout autre câble connecté à l’ordinateur. 2 Retournez l’ordinateur et repérez les loquets de chaque côté de la batterie. Relevez les deux loquets de sorte que cette dernière se dégage légèrement. 3 À l’aide d’un tournevis à pointe cruciforme de taille 00, dévissez le couvercle du logement de mémoire, puis détachez-le de la baie de batterie de l’ordinateur. ª Avertissement : les composants internes de votre PowerBook risquent d’être chauds. Si vous venez d’utiliser votre PowerBook, attendez 10 minutes après l’extinction, afin de laisser aux composants internes le temps de se refroidir. F3140Q41b.book Page 64 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur 65 4 Touchez la surface métallique de l’intérieur de l’ordinateur afin de décharger toute électricité statique que vous pouvez avoir emmagasinée. 5 Si une carte mémoire est déjà installée dans le logement que vous souhaitez utiliser, retirez-la. Écartez les languettes du logement des encoches de la carte mémoire, de sorte que cette dernière se dégage légèrement. Inclinez la carte selon un angle de 30 degrés puis retirez-la doucement en la glissant du logement. F3140Q41b.book Page 65 Friday, February 18, 2005 5:48 PM66 Chapitre 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur 6 Insérez la carte mémoire, inclinée à 30º, dans le logement. Alignez l’encoche de la carte sur la petite languette du logement de mémoire puis glissez la carte dans ce dernier jusqu’à ce que sa partie dorée soit presque invisible. Enfoncez ensuite la carte légèrement vers le bas dans le logement. Il se peut qu’il y ait une certaine résistance. 7 Écartez doucement les petites languettes du logement de mémoire par rapport aux encoches et enfoncez la carte vers le bas jusqu’à ce que les deux agrafes des deux côtés de la carte s’enclenchent. 30 O F3140Q41b.book Page 66 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur 67 8 Replacez la porte d’accès et assurez-vous qu’elle est bien à plat avant de remettre les vis. 9 Remettez la batterie en place. 10 Reconnectez l’adaptateur secteur et tous les autres câbles. F3140Q41b.book Page 67 Friday, February 18, 2005 5:48 PM68 Chapitre 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre ordinateur Après avoir ajouté de la mémoire dans votre PowerBook, vérifiez si ce dernier la reconnaît. Pour vérifier la mémoire de votre ordinateur : 1 Démarrez votre ordinateur. 2 Lorsque le bureau Mac OS s’affiche, choisissez le menu Pomme (K) > À propos de ce Mac dans la barre des menus. Une zone de dialogue s’affiche en indiquant la quantité de mémoire installée sur votre ordinateur, en tenant compte des éventuels modules ajoutés. Pour plus de détails sur la quantité de mémoire installée sur votre ordinateur, cliquez sur le bouton Plus d’infos. Si la mémoire n’est pas reconnue ou que votre ordinateur ne démarre pas correctement, éteignez-le et relisez les instructions afin d’être sûr que la mémoire est correctement installée et compatible avec ce PowerBook. Si les problèmes persistent, retirez la mémoire et consultez les informations d’assistance technique fournies avec la mémoire ou contactez le fournisseur de la mémoire. F3140Q41b.book Page 68 Friday, February 18, 2005 5:48 PM5 69 5 Dépannage Si vous rencontrez un problème avec votre PowerBook, commencez par chercher ici les solutions et conseils. Généralement, il existe toujours une solution simple et rapide pour le régler. Ayez en tête les conditions qui ont entraîné l’apparition de ce problème. Ce récapitulatif de la totalité des opérations effectuées avant que le problème ne survienne permet de restreindre ses possible causes et de trouver la solution. Les éléments à noter comprennent :  Les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu. Les problèmes qui n’apparaissent qu’avec une application spécifique peuvent indiquer que cette application n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur votre ordinateur.  Les logiciels que vous avez installés récemment, notamment ceux qui ont ajouté des éléments à votre dossier Système. (Certaines applications installent des extensions qui peuvent ne pas être compatibles avec l’environnement Classic).  Tout nouveau composant matériel installé, mémoire supplémentaire ou périphérique par exemple. Vous trouverez également d’autres informations de dépannage dans l’aide Mac OS, sur le site Web d’assistance Apple Support, à l’adresse www.apple.com/fr/support, et dans la base de connaissances AppleCare Knowledge Base à l’adresse kbase.info.apple.com. F3140Q41b.book Page 69 Friday, February 18, 2005 5:48 PM70 Chapitre 5 Dépannage Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur Si l’ordinateur ne répond pas ou que le pointeur se fige  Appuyez sur Commande (x) + Option + Échap pour forcer une application bloquée à quitter. Si une zone de dialogue apparaît, sélectionnez l’application que vous désirez quitter et cliquez sur Forcer à quitter. Si vous travaillez dans l’environnement Classic, maintenez les touches Option et Commande (x) enfoncées, puis appuyez sur la touche Échap. Enregistrez ensuite le travail de toute application ouverte, puis redémarrez l’ordinateur afin de vous assurer que le problème est entièrement réglé.  Si vous ne parvenez pas à forcer la fermeture d’une application, maintenez le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant quelques secondes pour éteindre l’ordinateur.  Si l’ordinateur ne répond toujours pas, essayez de le redémarrer en appuyant simultanément sur les touches Commande (x) et Contrôle de votre clavier et sur le bouton d’alimentation (®). Si le problème survient fréquemment, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus en haut de l’écran. Recherchez le mot “bloquer” pour obtenir de l’aide quand l’ordinateur se bloque ou ne répond pas. Si le problème ne survient qu’avec une application particulière, consultez l’éditeur de l’application concernée afin de vérifier si elle est compatible avec votre ordinateur. Si vous découvrez que l’application est compatible, vous devrez peut-être réinstaller le logiciel système de l’ordinateur ou, si vous utilisez Classic, vérifiez la compatibilité des extensions système. Consultez le sujet suivant pour les instructions. Si l’ordinateur se bloque au démarrage ou qu’un point d’interrogation clignotant apparaît  Patientez quelques secondes. Si l’ordinateur ne démarre pas après un certain temps, éteignez-le en maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant 5 secondes, jusqu’à ce qu’il s’éteigne complètement. Maintenez ensuite la touche Option enfoncée et appuyez de nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour démarrer votre ordinateur. Lorsque votre ordinateur démarre, cliquez sur l’icône du disque dur, puis sur la flèche droite. Une fois que l’ordinateur a démarré, ouvrez Préférences Système et cliquez sur Démarrage. Sélectionnez un dossier Système Mac OS X.  Si cela ne fonctionne pas, essayez d’utiliser l’Utilitaire de disque pour réparer le disque dur en insérant le disque d’installation “Mac OS X Install Disc 1” dans votre ordinateur. Redémarrez ensuite votre ordinateur en maintenant la touche C enfoncée lors du démarrage. Choisissez Installation > Ouvrir Utilitaire de disque. Lorsque Utilitaire de disque s’ouvre, suivez les instructions dans la sous-fenêtre S.O.S pour tenter de le réparer. F3140Q41b.book Page 70 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 5 Dépannage 71 Si l’utilisation de l’Utilitaire de disque ne résout rien, vous devrez peut-être réinstaller le logiciel système de votre ordinateur. Pour obtenir des instructions, consultez la page 74. Si l’ordinateur ne s’allume pas ou ne démarre pas  Assurez-vous que l’adaptateur secteur est connecté à l’ordinateur et branché sur une prise électrique en état de marche. Veillez à utiliser l’adaptateur secteur fourni avec votre ordinateur.  Vérifiez si votre batterie à besoin d’être rechargée. Appuyez sur le petit bouton situé sur la batterie. Vous devriez voir apparaître un à quatre voyants indiquant le niveau de charge de la batterie. Si un seul témoin lumineux du niveau de la batterie clignote, branchez l’adaptateur secteur pour charger la batterie jusqu’à ce qu’au moins un témoin lumineux reste allumé en permanence.  Si vous n’obtenez aucun résultat, revenez aux réglages initiaux de votre ordinateur en déconnectant l’adaptateur secteur, en retirant la batterie et en maintenant le bouton d’alimentation enfoncé pendant au moins 5 secondes.  Si vous avez récemment ajouté de la mémoire, assurez-vous qu’elle est correctement installée et compatible avec votre ordinateur. Vérifiez si son retrait permet à l’ordinateur de démarrer (voir la page 63).  Si vous ne réussissez toujours pas à démarrer, consultez les informations sur les options de services et d’assistance fournies avec votre PowerBook pour savoir comment contacter Apple. Si l’écran devient soudainement noir ou que votre système se bloque Essayez de redémarrer votre système. 1 Débranchez tout appareil connecté à votre PowerBook excepté de votre adaptateur secteur. 2 Maintenez les touches Commande (x) et Contrôle enfoncées, puis appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour redémarrer le système. 3 Le niveau de charge de la batterie nécessaire à la connexion d’un périphérique et la reprise du travail doit atteindre au moins 10 pour cent. Pour vérifier le niveau de charge de la batterie, regardez l’icône d’état de la batterie dans la barre des menus. F3140Q41b.book Page 71 Friday, February 18, 2005 5:48 PM72 Chapitre 5 Dépannage Autres problèmes Si vous avez oublié votre mot de passe Vous pouvez réinitialiser le mot de passe d’administrateur. 1 Insérez votre CD “Mac OS X Install Disc 1”. Puis redémarrez votre ordinateur et maintenez la touche C enfoncée pendant le démarrage. 2 Choisissez Installation > Réinitialiser le mot de passe dans la barre des menus. Suivez les instructions à l’écran. En cas de problème avec une application  Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur concerné. Les fabricants de logiciels fournissent souvent des mises à jour logicielles sur leurs sites Web.  Vous pouvez configurer votre PowerBook pour qu’il cherche et installe automatiquement les dernières mises à jour Apple via la fenêtre Mise à jour de logiciels des Préférences Système. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis recherchez “mise à jour de logiciels”. En cas de problèmes avec les communications sans fil AirPort Extreme  Vérifiez que vous avez correctement configuré le logiciel en respectant les instructions fournies avec la carte AirPort Extreme, la borne d’accès ou AirPort Express.  Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé et dispose d’un point d’accès sans fil.  Assurez-vous que vous êtes bien dans la zone de portée de l’antenne de l’autre ordinateur ou du point d’accès du réseau en vérifiant le niveau du signal AirPort Extreme ou Air Port Express. Vérifiez l’icône d’état AirPort dans la barre des menus. Jusqu’à quatre barres de mesure apparaissent pour afficher la puissance du signal. Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en réorientant l’ordinateur.  Consultez l’Aide AirPort (choisissez Aide > Aide Mac, puis Bibliothèque > Aide AirPort dans la barre des menus) et suivez les instructions fournies avec votre périphérique sans fil pour plus d’informations. Si le disque dur de votre ordinateur n’enregistre pas correctement les informations m Dans de rares cas, lorsque le disque dur subit de fortes vibrations, le “Sudden Motion Sensor” peut être activé et causer la perte d’images, de morceaux de son ou de données non enregistrés, si le disque est en train d’effectuer un enregistrement intensif. Si cela se produit, assurez-vous que votre PowerBook est placé dans un environnement stable, ne comportant pas de vibrations ni de mouvements brusques. F3140Q41b.book Page 72 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 5 Dépannage 73 En cas de problèmes avec l’éjection d’un disque m Quittez toute application susceptible d’utiliser le disque et réessayez. Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez l’ordinateur tout en maintenant le bouton du trackpad enfoncé. Si vous suspectez un problème matériel m Vous pouvez utiliser l’application “Apple Hardware Test” pour déterminer s’il existe un problème dû à l’un des composants de votre ordinateur, tels que la mémoire ou le processeur. Pour en savoir plus sur Apple Hardware Test, reportez-vous à “Utilisation de Apple Hardware Test” à la page 75. En cas de problèmes de connexion à Internet  Assurez-vous que votre ligne téléphonique ou que votre câble de réseau est connecté et qu’il fonctionne correctement.  Si vous utilisez une connexion à Internet par ligne commutée, assurez-vous que le câble téléphonique est branché sur le port modem (signalé par le symbole W) et non sur le port Ethernet (signalé par le symbole G ) de l’ordinateur.  Ouvrez la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système et vérifiez les informations qui y sont saisies avec votre Fournisseur d’Accès Internet (FAI) ou votre administrateur réseau. En cas de problèmes de fonctionnement de votre ordinateur ou de Mac OS  Si les réponses à vos questions ne figurent pas dans ce manuel, recherchez des instructions et des informations de dépannage dans l’Aide Mac OS.  Pour obtenir les dernières informations de dépannage et des mises à jour de logiciels, consultez le site Web d’assistance Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/support. F3140Q41b.book Page 73 Friday, February 18, 2005 5:48 PM74 Chapitre 5 Dépannage Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur Utilisez les disques Software install discs fournis avec votre ordinateur pour réinstaller Mac OS X et les applications livrées avec votre ordinateur ainsi que pour installer Mac OS 9 (si vous souhaitez utiliser les applications Mac OS 9 sur votre ordinateur). Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données de votre disque dur avant de procéder à la réinstallation du logiciel. Apple décline toute responsabilité en cas de perte de données. Installation de Mac OS X et des applications Pour installer Mac OS X et les applications fournies avec votre ordinateur, procédez comme suit : 1 Sauvegardez vos fichiers essentiels si cela est possible. 2 Assurez-vous que votre adaptateur secteur est branché. 3 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur. 4 Double-cliquez sur “Install Mac OS X and Bundled Software”. 5 Suivez les instructions à l’écran. 6 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions à l’écran. Il se peut que votre ordinateur redémarre et vous demande d’insérer le prochain disque d’installation de Mac OS X. Remarque : si vous souhaitez rétablir les réglages d’origine de Mac OS X sur votre ordinateur, cliquez sur Options dans la sous-fenêtre “Sélectionner une destination” du programme d’installation, puis choisissez “Effacer et installer”. Important : nous vous conseillons de sauvegarder vos fichiers essentiels avant d’installer Mac OS X et les autres applications car l’option “Effacer et installer” efface votre disque de destination. Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, continuez de suivre les instructions à l’écran pour effectuer une installation de base de Mac OS X. Pour installer des applications personnalisées, cliquez sur Personnaliser, puis cliquez sur le triangle près de l’application et cochez la case correspondant à votre langue, en regard de l’application. F3140Q41b.book Page 74 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 5 Dépannage 75 Installation des applications Pour n’installer que les applications fournies avec votre ordinateur, suivez les instructions ci-après. Mac OS X doit déjà être installé sur votre ordinateur. 1 Sauvegardez vos fichiers essentiels si cela est possible. 2 Assurez-vous que votre adaptateur secteur est branché. 3 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur. 4 Double-cliquez sur “Install Bundled Software Only.” 5 Suivez les instructions à l’écran. 6 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions à l’écran. Il se peut que votre ordinateur redémarre et vous demande d’insérer le prochain disque d’installation de Mac OS X. Remarque : pour installer iCal, iChat AV, iSync, iTunes et Safari, suivez les instructions “Installation de Mac OS X et des applications” ci-dessus. Installation de Mac OS 9 À la livraison de votre PowerBook, Mac OS 9 n’est pas installé. Pour utiliser les applications Mac OS 9 avec votre ordinateur, vous devez installer Mac OS 9 à l’aide de son disque d’installation. Pour installer Mac OS 9, procédez comme suit : 1 Sauvegardez vos fichiers essentiels si cela est possible. 2 Assurez-vous que votre adaptateur secteur est branché. 3 Insérez le disque d’installation de Mac OS 9, livré avec votre ordinateur. 4 Double-cliquez sur “Install Mac OS 9 System Support”. 5 Suivez les instructions à l’écran. 6 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions à l’écran. Utilisation de Apple Hardware Test Apple Hardware Test vous aide à déterminer s’il existe un problème matériel sur votre ordinateur. Pour utiliser Apple Hardware Test : 1 Déconnectez tous les périphériques de votre ordinateur sauf l’adaptateur secteur. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le. 2 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur. F3140Q41b.book Page 75 Friday, February 18, 2005 5:48 PM76 Chapitre 5 Dépannage 3 Puis redémarrez votre ordinateur en maintenant la touche Option enfoncée lors du démarrage. Une liste de volumes de démarrage disponibles apparaît alors. Cliquez sur Apple Hardware Test, puis sur la flèche droite. 4 Lorsque l’écran principal Apple Hardware Test apparaît environ 45 secondes plus tard, suivez les instructions affichées à l’écran. 5 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test ne détecte pas de panne de matériel, il est probable que le problème soit lié aux logiciels. Pour en savoir plus sur Apple Hardware Test, consultez le fichier Ouvrez-moi d’Apple Hardware Test qui se trouve sur le disque d’installation “Mac OS X Install Disc 1” livré avec votre ordinateur. Installation des outils Xcode Pour installer uniquement les outils Xcode, destinés aux développeurs de logiciels, suivez les étapes suivantes : 1 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur. 2 Double-cliquez sur “Xcode Tools.” 3 Double-cliquez sur “XcodeTools.mpkg.” 4 Suivez les instructions à l’écran. Localisation du numéro de série de votre produit Pour connaître le numéro de série de votre ordinateur, choisissez “À propos de ce Mac” dans le menu Pomme (), puis cliquez sur le bouton Plus d’infos, ou bien, ouvrez Informations système (dans le dossier Applications/Utilitaires), puis cliquez sur Matériel. Le numéro de série de votre PowerBook est aussi situé dans la baie de la batterie. F3140Q41b.book Page 76 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 77 A Annexe A Caractéristiques Vous pouvez utiliser Informations Système pour obtenir des informations détaillées sur votre PowerBook, telles que la quantité de mémoire vive, la taille du disque dur, les périphériques connectés et le numéro de série du produit. Pour accéder aux informations dans Informations Système, choisissez le menu Pomme () > À propos de ce Macdans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos ou ouvrez Informations Système, situé dans Applications/Utilitaires. Conditions ambiantes  Température de fonctionnement : 10° C à 35° C  Altitude : 3 048 m maximum  Humidité relative : de 0 % à 9 0 % sans condensation Adaptateur secteur  Entrée : 100-240 volts (V) CA, 50/60 hertz (Hz)  Sortie : 24,5 V CC et 2,65 A Dans la fenêtre apparaissant, cliquez sur les triangles pour afficher ou cacher le contenu des différentes catégories. F3140Q41b.book Page 77 Friday, February 18, 2005 5:48 PM78 Annexe A Caractéristiques Batterie  Sortie : 10,8 V CC  Capacité : 58 Wh Des informations supplémentaires sont disponibles sur les sites Internet www.apple.com/fr/powerbook et www.apple.com/fr/support. F3140Q41b.book Page 78 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 79 B Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien Ces consignes de sécurité et de maintenance concernant votre PowerBook sont importantes. Lisez-les. Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de votre ordinateur Branchement de l’adaptateur secteur Veillez à toujours laisser suffisamment d’espace autour de votre adaptateur secteur. N’utilisez pas ce matériel dans un endroit où l’air ne circule pas près de l’adaptateur secteur ou près de l’ordinateur. Veillez à toujours débrancher l’adaptateur secteur et à retirer la batterie avant d’ouvrir l’ordinateur en vue d’opérations telles que l’installation de mémoire ou le retrait du disque dur. Connexion du modem interne à la ligne téléphonique Veillez à toujours débrancher le câble téléphonique avant d’ouvrir l’ordinateur en vue d’opérations telles que l’installation de mémoire ou l’extraction du disque dur. Connecteurs et ports N’insérez jamais un connecteur en force dans un port. Si le connecteur ne se raccorde pas facilement au port, alors ils sont probablement incompatibles. Assurez-vous que le connecteur correspond bien au port et que vous l’avez correctement positionné par rapport à celui-ci. Avertissement: utilisez uniquement l’adaptateur secteur fourni avec votre ordinateur PowerBook. Les adaptateurs d’autres appareils électroniques (y compris d’autres modèles de PowerBook et d’ordinateurs portables) peuvent paraître similaires, mais risquent d’altérer les performances de votre ordinateur voire de l’endommager. Avertissement: ne branchez pas le modem à une ligne numérique car cela pourrait l’endommager. F3140Q41b.book Page 79 Friday, February 18, 2005 5:48 PM80 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien Utilisation de votre PowerBook Lorsque vous utilisez votre PowerBook ou que vous rechargez la batterie, il est normal que la température du dessous du boîtier s’élève. En cas d’utilisation prolongée, placez votre PowerBook sur une surface plane et stable. Cette partie du boîtier sert de surface de refroidissement et sert à évacuer la chaleur de l’ordinateur vers l’extérieur. Le dessous du boîtier est légèrement surélevé pour permettre la circulation d’air et assurer ainsi à l’équipement une température de fonctionnement normale. De plus, l’ordinateur dégage de l’air chaud à l’arrière du boîtier. Transport de votre PowerBook Si vous transportez votre PowerBook dans un sac ou dans un attaché-case, assurez-vous que ce dernier ne contient pas d’objets non attachés (tels que des trombones ou des pièces de monnaie) qui pourraient pénétrer accidentellement dans l’ordinateur par une ouverture telle que la fente du lecteur optique. Rangement de votre PowerBook Si vous comptez ranger votre PowerBook pendant une période prolongée, effectuez l’une des opérations suivantes afin d’empêcher la décharge complète de la batterie : • Laissez l’adaptateur secteur branché. • Chargez complètement la batterie avant de stocker l’ordinateur. • Rechargez complètement la batterie du PowerBook, puis retirez-la avant de stocker l’ordinateur (en particulier si la période de stockage est supérieure à 5 mois). Nettoyage de votre PowerBook Respectez les règles suivantes lors du nettoyage de votre ordinateur et de ses accessoires : • Éteignez votre PowerBook et retirez la batterie. • Pour nettoyer le boîtier de l’ordinateur, utilisez un chiffon doux, humide et non pelucheux. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’ordinateur. • N’utilisez ni aérosols, ni dissolvant, ni abrasifs. Avertissement: ne posez pas votre PowerBook allumé sur un oreiller ou tout autre surface dans laquelle il pourrait s’enfoncer, car cela risque de bloquer les conduits d’air, en particulier les conduits arrière, et d’entraîner une surchauffe de l’ordinateur. Évitez également de laisser des objets sur le clavier avant de rabattre l’écran. Cela risque de provoquer une succession d’arrêts et de mises en marche de votre ordinateur, entraînant une surchauffe et la décharge de la batterie. N’allumez jamais l’ordinateur tant que tous ses composants internes ou externes ne sont pas en place. L’utilisation de l’ordinateur lorsque son boîtier est ouvert ou que certains composants ont été démontés peut s’avérer dangereuse et risque de l’endommager. F3140Q41b.book Page 80 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 81 Nettoyage de l’écran de votre PowerBook Pour nettoyer l’écran, procédez comme suit : • Éteignez votre PowerBook et retirez la batterie. • Humidifiez, à l’eau seulement, un chiffon propre, doux et non pelucheux et essuyez l’écran. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’écran. Consignes générales de sécurité Pour votre propre sécurité et celle de votre matériel, veillez à toujours prendre les précautions ci-après. Débranchez le cordon d’alimentation (en tirant sur la prise plutôt que sur le cordon), retirez la batterie principale et débranchez le câble téléphonique si l’un des cas suivants se présente : • vous voulez retirer un ou plusieurs composants ; • le câble d’alimentation ou la prise est endommagé(e) ; • un liquide a été renversé dans le boîtier ; • votre ordinateur est exposé à la pluie ou à une humidité excessive ; • votre ordinateur a subi une chute ou le boîtier a été endommagé de quelque autre façon ; • vous pensez que votre ordinateur a besoin d’être inspecté ou réparé ; • vous voulez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions exposées précédemment). Important: la seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur consiste à débrancher le cordon d’alimentation et le câble téléphonique, et à retirer la batterie. Assurez-vous qu’au moins une extrémité du cordon d’alimentation se trouve à portée de main afin de pouvoir débrancher l’ordinateur si nécessaire. Observez toujours les consignes ci-dessous : • Évitez de placer votre ordinateur à proximité d’un évier, d’un lavabo, d’une baignoire, d’une douche, etc. • Protégez votre ordinateur de l’humidité et des intempéries (neige, pluie...). • Lisez soigneusement les instructions d’installation avant de brancher votre ordinateur sur une prise murale. Avertissement: votre cordon d’alimentation CA est livré avec une fiche de terre à trois broches (fiche équipée d’une troisième broche de mise à la terre). Cette fiche ne peut être branchée que sur une prise CA reliée à la terre. Si vous ne pouvez pas brancher la fiche car la prise n’est pas reliée à la terre, contactez un électricien agréé pour qu’il remplace cette prise par une prise reliée à la terre. Ne dérogez en aucun cas à cette consigne. F3140Q41b.book Page 81 Friday, February 18, 2005 5:48 PM82 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien • Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour vous et pour les utilisateurs éventuels. • Suivez toutes les instructions et mises en garde concernant votre système. Important: le matériel électrique peut s’avérer dangereux s’il n’est pas utilisé correctement. L’utilisation de ce produit ou de tout produit similaire doit toujours être supervisée par un adulte. Évitez que des enfants ne manipulent les composants internes ou les câbles de ces appareils. Batterie Protégez votre système auditif Avertissement: n’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures du boîtier. Cela peut être dangereux et provoquer un incendie ou un choc électrique. Avertissement: il y a un risque d’explosion si la batterie est remplacée par une autre de type incorrect. Disposez des batteries usagées conformément aux directives d’environnement locales en vigueur. Veillez à ne pas percer ni incinérer la batterie. Avertissement: vous risquez de devenir sourd si vous utilisez des écouteurs ou un casque à un volume trop élevé. Il est possible de supporter petit à petit des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent sembler normaux à la longue, mais qui risquent néanmoins d’endommager votre ouïe. Réglez le volume de votre PowerBook à un niveau raisonnable avant que le mal soit fait. Si vous souffrez de bourdonnements d’oreilles, baissez le volume ou cessez d’utiliser des écouteurs ou un casque avec votre PowerBook. F3140Q41b.book Page 82 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 83 Apple et l’environnement Apple Computer, Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact de ses produits et de ses activités sur l’environnement. Pour plus d’informations Rendez-vous sur www.apple.com/environment/summary.html (en anglais). Ergonomie Voici quelques conseils pour la mise en place d’un environnement de travail sain. Clavier et trackpad Lorsque vous tapez au clavier ou que vous vous servez du trackpad, vos épaules doivent être détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, la main étant placée dans le prolongement du poignet. Vous devez avoir les mains et les doigts détendus lorsque vous tapez au clavier ou que vous utilisez le trackpad. Évitez de replier les pouces à l’intérieur des paumes. Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un effort continu et intensif, certains utilisateurs ressentent des douleurs aux mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste. Position recommandée Position à éviter Position recommandée Position à éviter F3140Q41b.book Page 83 Friday, February 18, 2005 5:48 PM84 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien Siège Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale et vos pieds à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à-dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie. Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Vous pouvez également abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau dont le poste de saisie est situé plus bas que le plan de travail. Souris externe Si vous utilisez une souris externe, veillez à ce qu’elle se trouve à hauteur du clavier. Ménagez un espace suffisant pour la manipuler avec aisance. Écran intégré Orientez l’écran de manière à réduire le plus possible les reflets de l’éclairage électrique et de la lumière du jour. Ne forcez pas l’écran si vous rencontrez une résistance. L’angle d’ouverture maximal de l’écran ne peut dépasser 140 degrés. Réglez la luminosité et le contraste de l’écran chaque fois que vous déplacez l’ordinateur ou que l’éclairage ambiant change. Pour plus d’informations Rendez-vous sur le site Web www.apple.com/about/ergonomics. F3140Q41b.book Page 84 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 85 C Annexe C Connexion à Internet Votre ordinateur vous permet de naviguer sur le Web, d’échanger du courrier électronique avec vos amis et votre famille ou de dialoguer en temps réel via Internet. Suivez les instructions de ce guide détaillé pour vous connecter à Internet. Lors du premier démarrage de Mac OS X, l’Assistant réglages vous aide à saisir vos informations de configuration Internet. Si vous n’avez pas utilisé l’Assistant réglages pour configurer votre connexion à Internet, vous pouvez l’utiliser maintenant. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. Cliquez sur le bouton “Assistez-moi” pour ouvrir l’Assistant réglages de réseau. Si vous ne souhaitez pas utiliser l’Assistant réglages de réseau, vous pouvez utiliser les informations figurant dans cette annexe pour configurer votre connexion manuellement. Il existe quatre types de connexion à Internet : • Connexion par ligne téléphonique : l’ordinateur est relié à une prise téléphonique murale via un câble téléphonique (pour les ordinateurs comprenant un modem). • Connexion via un modem câble ou DSL à haut débit : l’ordinateur est relié via un câble Ethernet à un modem spécial fourni par un FAI. • Connexion sans fil AirPort Extreme : l’ordinateur est connecté sans fil à Internet via une borne d’accès Airport Extreme ou AirPort Express. • Réseau local (LAN) : l’ordinateur est connecté à un réseau local via un câble Ethernet. C’est le type de connexion habituellement utilisé dans les entreprises. F3140Q41b.book Page 85 Friday, February 18, 2005 5:48 PM86 Annexe C Connexion à Internet Avant de vous connecter à Internet Pour utiliser Internet, vous devez disposer d’un compte auprès d’un fournisseur d’accès à Internet  l’Assistant réglages peut vous configurer un compte. Dans certains pays, l’Assistant réglages ne peut pas configurer de compte auprès d’un fournisseur d’accès à Internet. Vous devez alors vous adresser vous-même à un FAI afin d’obtenir un compte, puis utiliser les informations de cette annexe pour configurer votre connexion. Remarque: si vous choisissez America Online, sautez l’étape Réglages Internet de l’Assistant réglages. Installez AOL pour Mac OS X et suivez les instructions d’installation. Procurez-vous les informations de connexion auprès de votre FAI ou de votre administrateur réseau. Consultez la section “Collecte des informations nécessaires” pour savoir quelles sont les informations dont vous avez besoin pour chaque type de connexion. Si un autre ordinateur se trouvant au même emplacement est déjà connecté à Internet, vous pouvez probablement utiliser ses réglages. Pour accéder aux réglages sur un ordinateur Mac OS X : • Ouvrez la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système. • Dans le menu local Afficher, sélectionnez votre mode de connexion. • Copiez les informations concernant votre connexion. Pour accéder aux réglages sur un ordinateur Mac OS 9 : • Ouvrez le tableau de bord TCP/IP. • Rechercher le mode de connexion dans le menu local “Connexion”. • Rechercher la configuration dans le menu local Configurer. • Notez l’adresse IP, le masque de sous-réseau et l’adresse du routeur figurant dans les champs correspondants. Pour accéder aux réglages sur un PC Windows : Les informations de connexion d’un PC Windows se trouvent à deux endroits. • Pour rechercher l’adresse IP et le masque de sous-réseau, ouvrez le tableau de bord “Connexions Réseau et Internet”. • Pour accéder aux informations relatives aux comptes d’utilisateurs, ouvrez le tableau de bord Comptes d’utilisateurs. Vous pouvez écrire ces informations directement sur les pages suivantes, puis les saisir dans l’Assistant réglages. Si vous utilisez un modem téléphonique, branchez le câble téléphonique (inclus avec la plupart des ordinateurs Macintosh) sur le port modem de votre ordinateur et sur une prise téléphonique murale. Si vous disposez d’un modem DSL ou câble, connectez-le à votre ordinateur en suivant les instructions incluses. F3140Q41b.book Page 86 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 87 Collecte des informations nécessaires Vous pouvez noter sur ces pages les informations obtenues auprès de votre Fournisseur d’Accès à Internet (FAI), de votre administrateur réseau ou de votre autre ordinateur, puis les saisir dans l’Assistant réglages de réseau. Pour configurer une connexion téléphonique classique, procurez-vous les informations suivantes : • Nom du fournisseur d’accès • Nom de l’utilisateur ou du compte • Mot de passe • Numéro de téléphone du FAI • Autre numéro de téléphone • Préfixe pour obtenir une ligne extérieure Pour configurer une connexion DSL, modem câble, LAN ou sans fil AirPort Extreme : m Commencez par choisir votre méthode de connexion (contactez votre administrateur réseau ou votre FAI si vous ne la connaissez pas) : • Manuellement • Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle • Via DHCP • Via BootP • PPP Si vous ne savez pas quelle méthode utiliser, “Via DHCP” peut être un bon choix, car le réseau fournit automatiquement la plupart des informations requises. Si vous avez sélectionné “Manuellement” ou “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle”, regroupez les informations suivantes : • Adresse IP • Masque de sous-réseau • Adresse du routeur Remarque: si vous avez sélectionné “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle”, vous n’avez pas besoin d’un masque de sous-réseau ou d’une adresse de routeur. Si vous avez sélectionné “Via DHCP”, regroupez les informations facultatives suivantes (consultez votre FAI si nécessaire) : • ID client DHCP • Serveurs DNS Si vous avez sélectionné “PPP”” (pour des connexions PPPoE), procurez-vous les informations suivantes : • Fournisseur de services • Nom du compte F3140Q41b.book Page 87 Friday, February 18, 2005 5:48 PM88 Annexe C Connexion à Internet • Mot de passe • Nom du service PPPoE Les informations ci-dessous sont facultatives. Consultez votre FAI ou votre administrateur système si nécessaire. • Serveurs DNS • Nom de domaine • Serveur proxy Saisie de vos informations Après vous être procuré les informations de configuration spécifiques auprès de votre FAI ou de votre administrateur réseau, vous pouvez cliquer sur le bouton Assistez-moi dans la sous-fenêtre des préférences Réseau pour ouvrir l’Assistant réglages de réseau ou bien saisir les informations manuellement. Pour saisir vos informations manuellement, suivez les étapes correspondant à votre mode de connexion. • Modem téléphonique avec connexion PPP (Point-to-Point Protocol) (voir la page 89) • Connexion par modem câble, DSL ou LAN en utilisant ces configurations : • Manuelle (voir la page 93) • DHCP (voir la page 94) • PPPoE (voir la page 95) • Connexion sans fil AirPort Extreme (voir la page 96) F3140Q41b.book Page 88 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 89 Modem commuté avec connexions PPP (Point-To-Point Protocol) Le modem commuté constitue la manière la plus courante de se connecter à Internet. Votre modem utilise une méthode appelée PPP (Point-to-Point Protocol) pour se connecter à un FAI. Assurez-vous que votre modem est branché sur une ligne téléphonique et que vous disposez des informations fournies par votre FAI (voir la page 87). Pour configurer les Préférences réseau pour vous connecter via le port de modem interne : 1 Choisissez le menu Pomme (), puis Préférences Système dans la barre des menus. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Choisissez Configuration des ports réseau dans le menu local Afficher, puis cochez la case Activé à côté de Modem interne. 4 Faites glisser Modem interne en haut de la liste Configurations de port pour en faire l’interface réseau préférée ou principale. 5 Choisissez Modem interne dans le menu local Afficher et cliquez sur PPP. F3140Q41b.book Page 89 Friday, February 18, 2005 5:48 PM90 Annexe C Connexion à Internet 6 Tapez les informations fournies par votre FAI, puis cliquez sur Appliquer. Pour tester votre configuration Internet : 1 Ouvrez l’application Connexion à Internet (dans le dossier Applications). 2 Cliquez sur l’icône Modem interne si nécessaire. 3 Tapez le numéro de téléphone de connexion de votre FAI, votre nom de compte et votre mot de passe, si nécessaire. 4 Cliquez sur Se connecter. L’application Connexion à Internet compose le numéro de votre FAI et établit une connexion. F3140Q41b.book Page 90 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 91 Pour vous connecter automatiquement dès que vous ouvrez une application TCP/IP, telle qu’un navigateur Web ou une messagerie électronique : 1 Cliquez sur Options PPP (dans la sous-fenêtre PPP des préférences Réseau). 2 Cochez la case “Se connecter automatiquement si nécessaire”. 3 Cliquez sur OK, puis sur Appliquer. Connexions à Internet par ligne DSL, modem câble ou réseau LAN Si vous vous connectez à Internet soit à l’aide d’un modem DSL ou câble, soit via un réseau LAN Ethernet, demandez à votre FAI ou à votre administrateur réseau comment vous devriez configurer votre connexion à Internet : • Manuellement : dans le cas d’une configuration manuelle, votre FAI ou administrateur réseau vous indique une adresse IP statique et d’autres informations que vous devez saisir dans les Préférences réseau. • Utilisation du protocole DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) : avec une configuration DHCP, le serveur DHCP saisit automatiquement les informations à votre place. • Utilisation du protocole PPPoE (Point-to-Point Protocol over Ethernet) : si vous utilisez un modem DSL et que vous avez besoin d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe pour vous connecter à Internet, vous devrez éventuellement configurer votre réseau pour qu’il utilise le protocole PPPoE. Lors de la configuration de votre réseau, veillez à garder les informations fournies par votre FAI à portée de main (voir la page 87). F3140Q41b.book Page 91 Friday, February 18, 2005 5:48 PM92 Annexe C Connexion à Internet Pour configurer les Préférences réseau pour le port Ethernet intégré : 1 Choisissez le menu Pomme (), puis Préférences Système dans la barre des menus. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau. 4 Cochez la case Activé à côté d’Ethernet intégré. 5 Faites glisser Ethernet intégré en haut de la liste Configurations de port pour en faire l’interface réseau préférée ou principale. Suivez ensuite les instructions de configuration manuelle de votre réseau, via DHCP ou PPPoE, selon les recommandations de votre FAI ou de votre administrateur réseau. F3140Q41b.book Page 92 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 93 Configuration manuelle Ayez à portée de main votre adresse IP statique, l’adresse du routeur et le masque de sous-réseau fournis par votre FAI(voir la page 87). Pour procéder à la configuration manuelle : 1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher. 2 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire. 3 Dans le menu local Configurer IPv4, choisissez Manuellement. 4 Remplissez le reste des champs. 5 Cliquez sur Appliquer. Votre connexion est prête dès que vous avez configuré votre réseau. Ouvrez votre navigateur Web (ou une autre application TCP/IP) afin de tester votre connexion à Internet. F3140Q41b.book Page 93 Friday, February 18, 2005 5:48 PM94 Annexe C Connexion à Internet Configuration DHCP Après avoir choisi une configuration DHCP, le serveur DHCP fournit automatiquement les informations de votre réseau. Pour effectuer une configuration DHCP : 1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher. 2 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire. 3 Choisissez Via DHCP dans le menu local Configurer IPv4. 4 Cliquez sur Appliquer. Ouvrez votre navigateur Web (ou une autre application TCP/IP) afin de tester votre connexion à Internet. Remarque: sauf instructions contraires de votre FAI, ignorez les champs Client DHCP et Domaines de recherche. F3140Q41b.book Page 94 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 95 Configuration PPPoE Certains FAI recourant à la technologie DSL utilisent le protocole PPPoE (Point-to-Point Protocol over Ethernet). Si vous utilisez un modem DSL et que vous avez besoin d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe pour vous connecter à Internet, contactez votre FAI pour savoir si vous devez vous connecter via PPPoE. Pour configurer une connexion PPPoE : Ayez à portée de main votre nom d’utilisateur, votre mot de passe et, le cas échéant, l’adresse du serveur de noms de domaine (DNS) fournis par votre FAI (voir la page 87). 1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher. 2 Cliquez sur PPPoE et sélectionnez “Se connecter via PPPoE”. 3 Remplissez le reste des champs. Si vous souhaitez que tous les utilisateurs de votre ordinateur utilisent la même méthode de connexion, sélectionnez “Enregistrer le mot de passe”. Remarque: pour vous connecter automatiquement au démarrage d’une application TCP/IP, telle qu’un navigateur Web ou une application de courrier électronique, cliquez sur Options PPPoE, puis sélectionnez “Se connecter automatiquement si nécessaire”. 4 Cliquez sur TCP/IP et sélectionnez Via PPP ou Manuellement dans le menu local Configurer IPv4, selon les instructions de votre FAI. Si votre FAI vous a communiqué une adresse IP statique, choisissez Manuellement et tapez l’adresse dans le champ Adresse IP. F3140Q41b.book Page 95 Friday, February 18, 2005 5:48 PM96 Annexe C Connexion à Internet 5 Saisissez les adresses des serveurs de noms de domaine (DNS) dans le champ Serveurs DNS. 6 Cliquez sur Appliquer. Votre connexion à Internet est prête dès que vous avez configuré votre réseau. Vous pouvez alors ouvrir votre navigateur Web ou une autre application TCP/IP afin de tester votre connexion. Important: si vous n’avez pas sélectionné l’option de connexion automatique, vous devez ouvrir l’application Connexion à Internet, choisir la configuration adéquate, puis cliquer sur Se connecter. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Connexion à Internet dans la barre des menus située en haut de l’écran. Connexion sans fil AirPort Extreme Vous pouvez configurer votre réseau AirPort Extreme et votre connexion Internet à l’aide de l’Assistant réglages AirPort, situé dans le dossier Utilitaires de votre dossier Applications. L’assistant vous aide à configurer votre borne d’accès AirPort Extreme ou Airport Express et à préparer votre ordinateur pour utiliser AirPort Extreme. Pour plus d’informations sur votre borne d’accès, consultez la documentation qui l’accompagne. Si votre borne d’accès AirPort Extreme ou Airport Express est déjà configurée, votre carte AirPort Extreme peut dans la plupart des cas y accéder immédiatement. F3140Q41b.book Page 96 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 97 Pour vérifier si vous avez accès à un réseau AirPort Extreme : m Cliquez sur l’icône d’état AirPort dans la barre des menus et choisissez un réseau AirPort dans la liste. Si aucun réseau AirPort n’y figure, vous pouvez utiliser l’Assistant réglages AirPort pour vérifier ou modifier vos réglages ou bien les changer via la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système. Configuration manuelle d’une connexion AirPort Extreme Pour configurer une connexion manuelle utilisant des adresses spécifiques affectées par avance pour vos serveurs et votre ordinateur, procurez-vous les informations suivantes auprès de votre administrateur de système. Si vous vous connectez via DHCP, la plupart de ces informations sont automatiquement transmises à votre ordinateur via le réseau. Consultez votre administrateur de système pour obtenir les renseignements nécessaires. • Adresses des serveurs de noms de domaine (DNS), si nécessaire • Configuration d’adresse IP manuelle ou via DHCP • Adresse IP • Adresse du routeur • Masque de sous-réseau • Mot de passe, si nécessaire Assurez-vous ensuite que les options de connexion AirPort sont activées dans les préférences Réseau. F3140Q41b.book Page 97 Friday, February 18, 2005 5:48 PM98 Annexe C Connexion à Internet Pour configurer les Préférences réseau pour une connexion AirPort Extreme : 1 Choisissez le menu Pomme (), puis Préférences Système dans la barre des menus. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau. 4 Cochez la case Activé à côté d’AirPort. Suivez ensuite les instructions fournies par votre FAI ou votre administrateur réseau pour configurer votre réseau manuellement ou via DHCP. Si vous configurez vousmême votre réseau, il est peut-être plus simple d’utiliser DHCP car le serveur attribue automatiquement les adresses IP. 5 Choisissez AirPort dans le menu local Afficher. 6 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire. F3140Q41b.book Page 98 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 99 7 Dans le menu local Configurer IPv4, choisissez Manuellement ou Via DHCP. • Si vous choisissez Manuellement, saisissez les autres informations dans les champs correspondants. • Si vous choisissez Via DHCP, il est inutile de saisir d’autres informations, sauf instructions contraires de votre administrateur de système. 8 Cliquez sur AirPort et sélectionnez les options requises pour vous connecter à un réseau AirPort Extreme après le redémarrage ou lors de la réactivation de l’ordinateur après une suspension d’activité. 9 Cliquez sur Appliquer. Une fois les réglages AirPort configurés, vous êtes prêt à vous connecter. Pour tester votre connexion AirPort Extreme : m Cliquez sur l’icône d’état AirPort dans la barre des menus et choisissez Activer AirPort. Tout réseau AirPort Extreme situé dans la zone de couverture doit apparaître dans le menu. F3140Q41b.book Page 99 Friday, February 18, 2005 5:48 PM100 Annexe C Connexion à Internet Dépannage de votre connexion Connexion à Internet par modem câble, ligne DSL et réseau LAN Si vous ne parvenez pas à vous connecter à Internet à l’aide de votre modem câble ou DSL ou via votre réseau local (LAN), suivez les étapes ci-après. Important: les instructions relatives aux modems ne concernent pas les utilisateurs de réseau LAN. Contrairement aux utilisateurs de modems câble et DSL, les utilisateurs de réseau LAN peuvent disposer de concentrateurs, de commutateurs, de routeurs et autres dispositifs de connexion. Ils doivent faire appel à leur administrateur réseau plutôt qu’à un FAI. Vérifiez les câbles et les sources d’alimentation Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés, y compris le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et le câble raccordant le modem à la prise murale. Vérifiez les câbles et l’alimentation des routeurs et des concentrateurs Ethernet. Éteignez puis rallumez le modem et réinitialisez le matériel modem Éteignez votre modem DSL ou votre modem câble pendant quelques minutes puis rallumez-le. Certains FAI conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem. Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant ou après avoir éteint puis rallumé le modem. Connexions PPPoE Si vous n’arrivez pas à vous connecter à votre FAI via PPPoE, commencez par vérifier les câbles et l’alimentation, puis éteignez le modem et rallumez-le et réinitialisez le matériel modem. Vérifiez les réglages de Préférences Système 1 Choisissez le menu Pomme (), puis Préférences Système dans la barre des menus. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau. 4 Sélectionnez Ethernet intégré, puis faites glisser cette configuration en haut de la liste des configurations de ports. 5 Choisissez Ethernet intégré dans le menu local Afficher. 6 Cliquez sur PPPoE. 7 Sélectionnez Se connecter via PPPoE. 8 Vérifiez le champ Nom de compte pour vous assurer d’avoir tapé les informations correctes fournies par votre FAI. 9 Si vous avez choisi d’enregistrer votre mot de passe, saisissez-le à nouveau afin d’être sûr(e) qu’il est correct. F3140Q41b.book Page 100 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 101 10 Cliquez sur TCP/IP. Assurez-vous d’avoir saisi dans cette sous-fenêtre les informations correctes fournies par votre FAI. 11 Cliquez sur Appliquer. Connexions au réseau Si vous disposez de plusieurs ordinateurs tentant de partager une connexion à Internet, assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre FAI fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque ordinateur. Si une seule adresse IP est utilisée, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion (on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP). Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. La borne d’accès AirPort Extreme peut être utilisée pour que plusieurs ordinateurs partagent une adresse IP. Pour plus d’informations sur l’utilisation de la borne d’accès AirPort Extreme, consultez l’aide à l’écran ou rendez-vous sur le site Web AirPort, à l’adresse www.apple.com/fr/airport. Si ces instructions s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés, contactez votre fournisseur d’accès à Internet. F3140Q41b.book Page 101 Friday, February 18, 2005 5:48 PMF3140Q41b.book Page 102 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 103 D Annexe D Les dix questions principales Une question ? Voici les dix questions les plus fréquemment posées par les nouveaux utilisateurs du PowerBook. Ma connexion Internet ne semble pas fonctionner. Comment la configurer ? Il y a différents types de connexions Internet. Vous pouvez, par exemple, vous connecter via un modem, une connexion DSL, une connexion sans fil AirPort ou via un réseau Ethernet. Vous devrez fournir à Mac OS X des informations spécifiques sur votre type de connexion, votre fournisseur d’accès Internet ou votre réseau. La première étape de configuration de votre connexion consiste à regrouper les informations requises pour votre type de connexion. Pour connaître les informations requise et savoir comment configurer votre type de connexion, consultez l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 85. Votre ordinateur dispose également d’une application Assistant réglages pour vous aider à configurer votre connexion Internet. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. Cliquez sur le bouton “Assistez-moi” pour ouvrir l’Assistant réglages de réseau. Comment configurer mon imprimante ? Est-elle compatible avec mon PowerBook ? Commencez par connecter votre imprimante et installer tous les logiciels en suivant les instructions fournies avec. Ensuite, ouvrez les Préférences Système puis cliquez sur l’icône Imprimantes et fax. Utilisez la sous-fenêtre Imprimantes et fax pour configurer votre PowerBook de sorte qu’il puisse utiliser l’imprimante. De nombreuses informations sur la configuration des imprimantes sont également disponibles dans l’Aide Mac OS (tapez “Imprimante” dans le champ de recherche). Consultez également “Connexion à une imprimante” à la page 29 de ce manuel. Si votre imprimante ne semble pas fonctionner comme prévu, consultez le site Web du fabricant pour obtenir les pilotes d’impression mis à jour. La dernière version du logiciel d’imprimante est souvent disponible en téléchargement. F3140Q41b.book Page 103 Friday, February 18, 2005 5:48 PM104 Annexe D Les dix questions principales Si vous envoyez une tâche à votre imprimante et que celle-ci n’imprime pas, cliquez sur l’icône de l’imprimante dans le Dock pour vérifier si l’impression est interrompue ou si la tâche est en pause (si aucune icône n’apparaît dans le Dock, ouvrez Configuration d’imprimante dans le dossier Applications/Utilitaires et double-cliquez sur le nom de l’imprimante). Si la fenêtre de l’imprimante annonce “Tâche suspendue”, cliquez sur le bouton Démarrer tâches. Si “Pause” apparaît à côté du nom de la tâche, reprenez l’impression en cliquant sur le nom de la tâche, puis sur Reprendre. Si l’impression d’une tâche a été interrompue à la suite d’une erreur technique, effacez la tâche défectueuse en la sélectionnant et en cliquant sur Effacer. Essayer ensuite d’imprimer la tâche à nouveau. Comment fonctionne l’interface Mac OS X ? Les nouveaux utilisateurs de Mac OS X se demandent souvent comment exécuter certaines tâches. L’aide Mac OS constitue l’outil de référence pour obtenir des informations sur Mac OS. S’y trouvent des explications préliminaires destinées aux nouveaux utilisateurs, aux utilisateurs Windows s’initiant à Mac OS X ainsi qu’aux utilisateurs ayant effectué une mise à niveau de Mac OS 9. Ouvrez l’Aide Mac OS en choisissant Aide > Aide Mac dans la barre de menus du Finder située en haut de l’écran et consultez les informations destinées aux nouveaux utilisateurs. Comme de nombreuses tâches élémentaires qui intéressent les utilisateurs nécessitent le Finder, recherchez aussi dans “Finder”. Comment prolonger la longévité de la batterie de mon PowerBook ? Vous pouvez économiser l’énergie de la batterie à l’aide de la fenêtre des préférences Économies d’énergie pour spécifier quand l’ordinateur doit suspendre son activité et quand l’écran doit s’éteindre. Ouvrez Préférences système et cliquez sur l’icône Économiseur d’énergie. Choisissez les réglages les mieux adaptés à votre mode d’utilisation. L’utilisation de périphériques, tels que les disques durs, qui tirent leur énergie de votre ordinateur, peut aussi contribuer à diminuer l’autonomie de votre batterie. Vous pouvez économiser l’énergie de la batterie en déconnectant ces appareils. Vous pouvez également vous procurer une batterie supplémentaire et la brancher à votre ordinateur lorsque la batterie est faible. Pour plus d’informations sur les moyens d’économiser l’énergie de la batterie, voir “Conseils d’économie de la batterie” à la page 60. F3140Q41b.book Page 104 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe D Les dix questions principales 105 J’ai inséré un disque dans le lecteur optique, mais rien ne se passe. Comment savoir si le disque est compatible avec mon lecteur optique ? Appuyez sur la touche Éjecter disque (C) pour éjecter le disque. Les lecteurs optiques à chargement par fente Apple ne prennent en charge que des disques circulaires de 12 cm. Les disques non standard n’ayant pas une forme circulaire ne fonctionnent pas avec le lecteur optique. Pour plus d’informations sur les disques non standard, consultez la base de données AppleCare Knowledge Base à l’adresse www.apple.com/fr/support. Comment connecter un moniteur ou un téléviseur à mon PowerBook ? Votre PowerBook est équipé d’un port moniteur externe ainsi que d’adaptateurs destinés à la connexion de la plupart des moniteurs, téléviseurs et écrans vidéo existant sur le marché. Si votre périphérique possède un connecteur différent du port moniteur externe de votre PowerBook, vous devez relier un adaptateur pour le connecter au port. Pour savoir quels adaptateurs sont livrés avec votre PowerBook, voir la page 5. Pour plus d’informations sur la connexion d’écrans et autres périphériques, consultez “Gestion vidéo externe (DVI/VGA et S-Vidéo)” à la page 49. J’ai oublié mon mot de passe. Comment le réinitialiser ? Pour réinitialiser votre mot de passe, démarrez à partir du disque d’installation et de restauration de logiciels qui vous a été fourni avec votre ordinateur. Une fois le programme d’installation ouvert, sélectionnez Installation > Réinitialiser le mot de passe dans la barre des menus. Suivez les instructions à l’écran. J’entends un ventilateur se déclencher et mon PowerBook semble chauffer. Est-ce normal ? Votre PowerBook est conçu pour fonctionner dans le cadre de limites thermiques sûres. Le ventilateur se déclenche et fonctionne pour maintenir le PowerBook à températures normales lorsqu’il est en activité. La partie inférieure de votre PowerBook est susceptible de chauffer car elle sert à évacuer la chaleur par le boîtier. Cela est normal. Pour en savoir plus, reportez-vous à la sections “Utilisation de votre PowerBook” à la page 80. Avertissement: l’insertion d’un disque non standard risque d’endommager le lecteur. F3140Q41b.book Page 105 Friday, February 18, 2005 5:48 PMMon application ou Mac OS X ne semblent pas fonctionner correctement. Dois-je réinstaller Mac OS X ? Le processus de dépannage d’un problème exige que vous déterminiez un certain nombre de choses, comme savoir si un problème arrive toujours avec une application spécifique, s’il est lié au système d’exploitation ou s’il est dû à un matériel défectueux. Avant de réinstaller, consultez “Dépannage” à la page 69 pour vous aider à analyser le problème. Apple vous fournit également un grand nombre d’explications et de conseils techniques pour résoudre vos problèmes dans la base de données AppleCare Knowledge Base. Pour accéder à cette base de données en ligne, allez sur www.apple.com/fr/support. Si vous constatez qu’une réinstallation de Mac OS X s’impose, vous trouverez des instructions dans “Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur” à la page 74. J’ai installé une application sur mon PowerBook, mais elle ne semble pas fonctionner. Où trouver de l’aide ? Consultez la documentation livrée avec l’application ou le site Web du fabricant pour obtenir des instructions sur l’assistance. Les fabricants sont souvent conscients des problèmes courants susceptibles de survenir avec leurs applications et fournissent des solutions et des mises à jours à usage immédiat. Si votre programme n’est pas un produit Apple, contactez directement l’éditeur pour obtenir une meilleure assistance. F3140Q41b.book Page 106 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 107 Communications Regulation Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the television or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the television or radio.  Move the computer farther away from the television or radio.  Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple-authorized service provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Changes or modifications to this product not authorized by Apple Computer, Inc., could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product This product has demonstrated EMC compliance under conditions that included the use of compliant peripheral devices and shielded cables between system components. It is important that you use compliant peripheral devices and shielded cables between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Computer, Inc. Product Compliance, 1 Infinite Loop M/S 26-A, Cupertino, CA 95014-2084, 408-974-2000. Bluetooth Information FCC Bluetooth Wireless Compliance The antenna used with this transmitter must not be colocated or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant. Bluetooth Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la Class B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. Bluetooth Europe–EU Declaration of Conformity This wireless device complies with the specifications EN 300 328, EN 301-489, and EN 60950 following the provisions of the R&TTE Directive. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. VCCI Class B Statement Europe—UE Déclaration de conformité Conforme aux directives européennes 72/23/EEC, 89/336/EEC, 1999/5/EC Rendez-vous sur http://www.apple.com/euro/compliance/. F3140Q41b.book Page 107 Friday, February 18, 2005 5:48 PM108 Laser Information Do not attempt to disassemble the cabinet containing the laser. The laser beam used in this product is harmful to the eyes. The use of optical instruments, such as magnifying lenses, with this product increases the potential hazard to your eyes. For your safety, have this equipment serviced only by an Apple-authorized service provider. Because of the optical disc drive in your computer, your computer is a Class 1 laser product. The Class 1 label, located in a user-accessible area, indicates that the drive meets minimum safety requirements. A service warning label is located in a serviceaccessible area. The labels on your product may differ slightly from the ones shown here. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the optional AirPort Extreme Card is far below the FCC radio frequency exposure limits. Nevertheless, it is advised to use the wireless equipment in such a manner that the potential for human contact during normal operation is minimized. Informations sur la souris et la clavier La souris optique d’Apple est un appareil à diode électroluminescente de catégorie 1. Ce produit est conforme aux exigences des directives européennes 72/23/CEE et 89/336/CEE. It also complies with the Canadian ICES-003 Class B Specification. High-Risk Activities Warning Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien, ni dans aucune autre situation où une panne du système informatique pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques. ENERGY STAR® Compliance As an ENERGY STAR® partner, Apple has determined that standard configurations of this product meet the ENERGY STAR® guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR® program is a partnership with office product equipment manufacturers to promote energy-efficiency. Reducing energy consumption of office products saves money and reduces pollution by eliminating wasted energy. Display Disposal Information The backlight lamp in this product contains mercury. Dispose according to local, state, and federal laws. Informations sur l’élimination des piles usagées Débarrassez-vous de la batterie conformément aux directives d’environnement locales en vigueur. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Taïwan: Informations relatives au téléphone et au modem Apple 56K Notifiez votre opérateur téléphonique. Certains opérateurs téléphoniques exigent que vous informiez votre agence locale lorsque vous raccordez un modem à leur réseau. Information You Need in the United States The internal modem complies with Part 6B of the FCC rules. On the back of this equipment is a label that contains, among other information, the FCC registration number and ringer equivalence number (REN). If requested, provide this information to your telephone company.  Ringer equivalence number (REN) : 0.1B The REN is useful to determine the quantity of devices you may connect to your telephone lines and still have all those devices ring when your telephone number is called. In most, but not all areas, the sum of the RENs of all devices connected to one line should not exceed five (5.0). To be certain of the number of devices you may connect to your line, as determined by the REN, you should contact your local telephone company to determine the maximum REN for your calling area.  Telephone jack type: USOC, RJ-11 An FCC-compliant telephone cord and modular plug are provided with this equipment. This equipment is designed to be connected to the telephone network or premises wiring using a compatible modular jack that complies with Part 68 rules. See the installation instructions for details. Warning: Making adjustments or performing procedures other than those specified in your equipment’s manual may result in hazardous radiation exposure. Class 1 label Service warning label F3140Q41b.book Page 108 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 109 Telephone Line Problems If your telephone doesn’t work, there may be a problem with your telephone line. Disconnect the modem to see if the problem goes away. If it doesn’t, report the problem either to your local telephone company or to your company’s telecommunications people. If disconnecting the modem eliminates the problem, the modem itself may need service. See the service and support information that came with your Apple product for instructions on how to contact Apple or an Apple-authorized service provider for assistance. If you do not disconnect your modem when it is adversely affecting the telephone line, the telephone company has the right to disconnect your service temporarily until you correct the problem. The telephone company will notify you as soon as possible. Also, you will be informed of your right to file a complaint with the FCC. The telephone company may make changes in its facilities, equipment, operations, or procedures that could affect the operation of your equipment. If this happens, the telephone company will provide advance notice in order for you to make the necessary modifications to maintain uninterrupted service. The internal modem will not work with party lines, cannot be connected to a coin-operated telephone, and may not work with a private branch exchange (PBX). Telephone Consumer Protection Act The Telephone Consumer Protection Act of 1991 makes it unlawful for any person to use a computer or other electronic device to send any message via a telephone fax machine unless such message clearly contains, in a margin at the top or bottom of each transmitted page or on the first page of the transmission, the date and time it was sent and an identification of the business or other entity, or individual sending the message and the telephone number of the sending machine of such business, entity, or individual. Information You Need in Canada The Industry Canada (IC) label identifies certified equipment. This certification means that the equipment meets certain telecommunications network protective, operational, and safety requirements. The Department does not guarantee the equipment will operate to a user’s satisfaction. Before installing this equipment, make sure that you are permitted to connect to the facilities of the local telecommunications company. Be sure you use an acceptable method of connection to install the equipment. In some cases, you may extend the company’s internal wiring for single-line individual service by means of a certified telephone extension cord. Be aware, however, that compliance with these conditions may not prevent degradation of service in some situations. Repairs to certified equipment should be made by an authorized Canadian maintenance facility designated by the supplier. Any equipment malfunctions or repairs or alterations that you make to this equipment may cause the telecommunications company to request that you disconnect the equipment. In Canada, contact Apple at: 7495 Birchmount Road, Markham, Ontario, L3R 5G2, 800-263-3394 Users should not attempt to make such connections themselves, but should contact the appropriate electric inspection authority or electrician.  Load number: 0.1 The load number (LN) assigned to each terminal device denotes the percentage of the total load to be connected to the telephone loop that is used by the device, to prevent overloading. The termination of a loop may consist of any combination of devices, subject only to the requirement that the sum of the load numbers of all devices does not exceed 100.  Telephone jack type: CA-11 Informations destinées aux utilisateurs canadiens L’étiquette d’Industrie Canada identifie un matériel homologué. Cette étiquette certifie que le matériel est conforme à certaines normes de protection, d’exploitation et de sécurité des réseaux de télécommunications. Le Ministère n’assure toutefois pas que le matériel fonctionnera à la satisfaction de l’utilisateur. Avant d’installer ce matériel, l’utilisateur doit s’assurer qu’il est permis de le raccorder au réseau de l’entreprise locale de télécommunication. Le matériel doit également être installé en suivant une méthode acceptée de raccordement. Dans certains cas, le câblage appartenant à l’entreprise utilisé pour un service individuel à ligne unique peut être prolongé au moyen d’un dispositif homologué de raccordement (cordon prolongateur téléphonique). Warning: Users should ensure for their own protection that the electrical ground connections of the power utility, telephone lines, and internal metallic water pipe system, if present, are connected together. This precaution may be particularly important in rural areas. F3140Q41b.book Page 109 Friday, February 18, 2005 5:48 PM110 L’abonné ne doit pas oublier qu’il est possible que la conformité aux conditions énoncées ci-dessus n’empêche pas la dégradation du service dans certaines situations. De fait, les entreprises de télécommunication ne permettent pas que l’on raccorde un matériel aux prises d’abonnés, sauf dans les cas précis prévus par les tarifs particuliers de ces entreprises. Les réparations de matériel homologué doivent être effectuées par un centre d’entretien canadien autorisé désigné par le fournisseur. La compagnie de télécommunications peut demander à l’utilisateur de débrancher un appareil suite à des réparations ou à des modifications effectuées par l’utilisateur ou en raison d’un mauvais fonctionnement. Veuillez contacter Apple pour des informations supplémentaires : Apple Canada, Inc. 7495 Birchmount Road Markham, Ontario Canada L3R 5G2 Service clientèle d’Apple Canada : 800-263-3394 L’utilisateur ne doit pas tenter de faire ces raccordements lui-même ; il doit avoir recours à un service d’inspection des installations électriques ou à un électricien, selon le cas.  Numéro de charge : 0,1 L’indice de charge (IC) assigné à chaque dispositif terminal indique, pour éviter toute surcharge, le pourcentage de la charge totale qui sera raccordée à un circuit téléphonique bouclé utilisé par ce dispositif. La terminaison du circuit bouclé peut être constituée de n’importe quelle combinaison de dispositifs pourvu que la somme des indices de charge de l’ensemble des dispositifs ne dépasse pas 100.  Type de prise téléphonique : CA-11 Information You Need in the United Kingdom This terminal equipment is intended for direct connection to the analogue Public Switched Telecommunications Network and is approved for use within the United Kingdom with the following features:  Modem facility  Autocalling facility  Autoanswer facility  DTMF signaling Operation in the absence of proceed indication or upon detection of proceed indication This product is in conformity with relevant regulatory standards following the provisions of European Council Directives 73/23/EEC (Low Voltage Directive) and 89/336/EEC amended by 92/31/EEC (EMC Directive). Informationen fur Deutschland Diese Modem-Karte ist als Endeinrichtung vorgesehen und muss an ein TAE mit F-Kodierung angeschlossen werden. Diese Endeinrichtung ist in Konformität gemäss Niederspannungsrichtlinie 73 / 23 / EWG sowie EMC-Richtlinien 89 / 336 / EWG und 92 / 31 / EWG. Informations pour la France Ce matériel est conforme aux normes applicables de sécurité électrique d’après la directive 73/23/CEE et aux normes applicables de comptabilité électromagnétique d’après la directive 89/336/CEE, modifiée par la directive 92/31/CEE. Information You Need in Australia All telecommunications devices are required to be labelled as complying to the Australian telecommunications standards, ensuring the health and safety of the operator and the integrity of the Australian telecommunications network. To provide compliance with the Australian Communications Authority’s technical standards, please ensure that the following AT commands are maintained:  ATB0 (ITU/CCITT operation)  AT&G0 (no guard tone)  AT&P1 (33/66 pulse dial make/break ratio)  ATS0 = 0 or ATS0 = 1 (no answer or answer greater than one ring)  ATS6 = 95 (DTMF period between 70–255 ms)  ATS11 = 95 (DTMF period between 70–255 ms) For calls that are automatically generated, a total of three call attempts are allowed to a telephone number, with a minimum period between calls of 2 seconds. If the call does not connect after three attempts, 30 minutes must expire before automatic redialing may be initiated. Failure to set the modem (and any associated communications software) to the above settings may result in the modem being non-compliant with Australian telecommunications standards. Under these circumstances a user could be subject to significant penalties under the Telecommunications Act 1997. This modem must be properly secured in order for you to use it. Telecommunications network voltages exist inside the computer and the telecommunications line connection must be removed before opening the computer. Avertissement : pour sa propre sécurité, l’utilisateur doit s’assurer que tout les fils de mise à la terre du secteur, des lignes téléphoniques et les canalisations d’eau métalliques, s’il y en a, soient raccordés ensemble. Cette précaution est particulièrement importante dans les régions rurales. F3140Q41b.book Page 110 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 111 Information You Need in New Zealand This modem is fully approved to operate on the New Zealand telecommunications network under Telepermit number PTC 211/04/002. All telecommunications devices are required to hold a Telepermit and be labelled accordingly with the approved Telepermit number to comply with the New Zealand telecommunications standards, ensuring the health and safety of the operator and the integrity of the New Zealand telecommunications network. To ensure compliance, all calls that are automatically generated should not make more than 10 call attempts to the same number within any 30 minute period with a minimum period between calls of 30 seconds. Failure to adhere to these standards may result in the modem being non-compliant with New Zealand Telecom standards. Under these circumstances a user could be subject to significant penalties. Important: The grant of a Telepermit for any item of terminal equipment indicates that only Telecom has accepted that the item complies with minimum conditions for connection to its network. It indicates no endorsement of the product by Telecom, nor does it provide any sort of warranty. Above all, it provides no assurance that any item will work correctly in all respects with another item of Telepermitted equipment of a different make or model, nor does it imply that any product is compatible with all of Telecom’s network services. F3140Q41b.book Page 111 Friday, February 18, 2005 5:48 PMF3140Q41b.book Page 112 Friday, February 18, 2005 5:48 PM Félicitations, vous et votre iMac êtes faits l’un pour l’autre. F3954M38_51_60.book Page 1 Friday, August 11, 2006 3:46 PMCaméra iSight intégrée Réalisez des vidéoconférences avec 3 amis au maximum partout dans le monde et en temps réel. www.apple.com/fr/imac Front Row avec la télécommande Apple Remote Profitez de vos films, de votre musique et de vos photos depuis votre canapé. Spotlight Retrouvez n´importe quoi sur votre système à l’instant même où vous en saisissez le nom. Musique Aide Mac iSight www.apple.com/fr/macosx Aide Mac Spotlight www.apple.com/fr/imac Aide Mac Front Row F3954M38_51_60.book Page 2 Friday, August 11, 2006 3:46 PMAmusez-vous avec vos photos Importez, organisez et partagez jusqu’à 250 000 photos, puis faites-en d’élégants albums de photos. Widgets de Dashboard Obtenez les toutes dernières informations instantanément. Affichez l’état de la bourse, la météo, les prochains vols d’avions et autres. Podcasts Enregistrez des podcasts dotés d’un son professionnel grâce aux effets sonores et aux jingles. Des sites web en un clic Créez des sites web et des blogs en toute simplicité et agrémentez-les de vidéos, de podcasts et de photos. Publier www.apple.com/fr/macosx Aide Mac Dashboard Aide iPhoto photo www.apple.com/fr/ilife/garageband Aide GarageBand podcast www.apple.com/fr/ilife/iweb Aide iWeb site web www.apple.com/fr/ilife/iphoto F3954M38_51_60.book Page 3 Friday, August 11, 2006 3:46 PMF3954M38_51_60.book Page 4 Friday, August 11, 2006 3:46 PMTable des matières 5 Table des matières Chapitre 1 : Prêt, feu, configurez ! 9 Ce qu’il y a dans la boîte 10 Configuration de votre iMac 14 Extinction ou suspension d’activité de votre iMac Chapitre 2 : Votre iMac au quotidien 20 Caractéristiques de base de votre iMac 22 Autres caractéristiques de votre iMac 24 Ports installés sur votre iMac 27 Autres composants de votre iMac 29 Comment obtenir des réponses à vos doutes Chapitre 3 : Augmentez votre mémoire 35 Installation de mémoire supplémentaire 40 Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre iMac Chapitre 4 : À tout problème sa solution 43 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre iMac 45 Utilisation de la fonction Apple Hardware Test 46 Problèmes de connexion à Internet F3954M38_51_60.book Page 5 Friday, August 11, 2006 3:46 PM6 Table des matières 48 Problèmes de communication sans fil avec AirPort Extreme 49 Maintien à jour de votre logiciel 50 Lorsqu’une application ne répond plus 51 Réinstallation des logiciels fournis avec votre iMac 53 Autres problèmes 54 Informations, services et assistance 56 Localisation du numéro de série de votre produit Chapitre 5 : Dernières recommandations 58 Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de votre iMac 62 Prévention des dommages auditifs 63 Comprendre l’ergonomie 66 Entretien de votre iMac 67 Manipulation de votre iMac 67 À propos d’Apple et de l’environnement 68 Communications Regulation Information F3954M38_51_60.book Page 6 Friday, August 11, 2006 3:46 PM1 1 Prêt, feu, configurez ! www.apple.com/fr/imac Aide Mac Assistant Migration F3954M38_51_60.book Page 7 Friday, August 11, 2006 3:46 PM8 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Votre iMac est conçu pour pouvoir être configuré rapidement et utilisé immédiatement. Si vous n’avez jamais utilisé d’iMac ou si vous n’êtes pas familiarisé avec les ordinateurs Macintosh, vous trouverez dans ce chapitre des instructions qui vous aideront à débuter. Important : lisez toutes les instructions d’installation et les informations de sécurité (voir la page 57) avant de brancher votre ordinateur sur une prise murale. Si vous êtes un utilisateur expérimenté, peut-être êtes-vous déjà en mesure d’utiliser votre nouvel ordinateur. Veillez néanmoins à consulter les informations du chapitre 2, « Votre iMac au quotidien », pour découvrir les nouvelles fonctionnalités de cet iMac. Avant de configurer votre iMac, enlevez tout film protecteur placé sur l’extérieur de votre ordinateur. F3954M38_51_60.book Page 8 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 9 Ce qu’il y a dans la boîte Votre iMac est fourni avec un clavier Apple Keyboard, une souris Mighty Mouse, une télécommande Apple Remote et un câble d’alimentation secteur. Câble d’alimentation secteur Télécommande Apple Remote Clavier Souris Mighty Mouse MENU F3954M38_51_60.book Page 9 Friday, August 11, 2006 3:46 PM10 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Configuration de votre iMac Les étapes ci-après vous permettront de configurer votre iMac. Étape 1 : Faites passer le câble d’alimentation à travers le trou présent sur le socle et branchez-le sur le port secteur situé au dos de votre iMac. F3954M38_51_60.book Page 10 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 11 Étape 2 : Pour accéder à Internet ou à un réseau, branchez une extrémité du câble Ethernet sur l’iMac et l’autre extrémité sur un modem câble, un modem DSL ou un réseau. Remarque : votre iMac est également équipé de la technologie AirPort Extreme de mise en réseau sans fil. Pour en savoir plus sur la configuration d’une connexion sans fil, choisissez Aide > Aide Mac, puis Bibliothèque > Aide AirPort. Reportez-vous à la section « Comment obtenir des réponses à vos doutes » à la page 29. G F3954M38_51_60.book Page 11 Friday, August 11, 2006 3:46 PM12 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 3 : Branchez les câbles du clavier et de la souris. Utilisation d’un clavier et d’une souris sans fil Si vous avez fait l’acquisition d’un clavier Apple Wireless Keyboard et d’une souris sans fil Mighty Mouse avec votre iMac, suivez les instructions fournies avec ces périphériques pour les configurer. d d d F3954M38_51_60.book Page 12 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 13 Étape 4 : Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre iMac. Étape 5 : Utilisez Assistant réglages. La première fois que vous démarrez votre iMac, l’Assistant réglages se met en route. Il vous aide à saisir les informations de connexion à Internet et au courrier électronique ainsi qu’à configurer un compte d’utilisateur sur votre iMac. Si vous possédez déjà un ordinateur Macintosh, l’Assistant réglages peut également vous aider à transférer automatiquement les fichiers, les applications et d’autres informations de votre ancien ordinateur vers votre nouvel iMac. ® F3954M38_51_60.book Page 13 Friday, August 11, 2006 3:46 PM14 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 6 : Personnalisez votre bureau et réglez les préférences. Grâce aux Préférences Système, vous pouvez donner à votre bureau l’apparence souhaitée sans perdre de temps. Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système dans la barre des menus. À mesure que vous vous familiarisez avec votre ordinateur, explorez les Préférences Système, le centre de commandes de la plupart des réglages de votre iMac. Pour en savoir plus, ouvrez l’Aide Mac et recherchez « Préférences Système » ou la préférence que vous souhaitez modifier. Extinction ou suspension d’activité de votre iMac Lorsque vous avez terminé de travailler avec votre iMac, suspendez son activité ou éteignez-le. Suspendre l’activité de votre iMac Si vous envisagez de ne pas utiliser votre iMac pendant une période courte, suspendez-en l’activité. Lorsque l’activité de votre iMac est suspendue, son écran s’éteint et une petite lumière blanche située dans l’angle inférieur droit de l’écran clignote. Vous avez la possibilité de réactiver votre iMac rapidement sans passer par la procédure de démarrage. Pour suspendre l’activité de votre iMac, procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez le menu Pomme () > Suspendre l’activité.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière de l’iMac.  Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, cliquez sur Économiseur d’énergie et définissez un délai pour la minuterie de mise en veille.  Maintenez enfoncé le bouton Lecture/Pause (’) de la télécommande Apple Remote pendant 3 secondes. F3954M38_51_60.book Page 14 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 15 Pour réactiver votre iMac, appuyez sur une touche du clavier ou n’importe quel bouton de la télécommande. À la réactivation de votre iMac, vos applications, vos documents et vos réglages sont conservés tels que vous les aviez laissés. Éteindre votre iMac Si vous ne comptez pas utiliser votre iMac pendant plusieurs jours, éteignez-le. Choisissez le menu Pomme () > Éteindre. Avertissement : éteignez votre iMac avant de le déplacer. Tout déplacement de votre iMac lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager ce dernier et d’entraîner une perte de données ou l’impossibilité de démarrer à partir du disque dur. F3954M38_51_60.book Page 15 Friday, August 11, 2006 3:46 PMF3954M38_51_60.book Page 16 Friday, August 11, 2006 3:46 PM2 2 Votre iMac au quotidien www.apple.com/fr/macosx Aide Mac iLife F3954M38_51_60.book Page 17 Friday, August 11, 2006 3:46 PMF3954M38_51_60.book Page 18 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 2 Votre iMac au quotidien 19 Il vous offre un aperçu des différentes caractéristiques et des divers ports de l’iMac. Comme Apple publie fréquemment de nouvelles versions et mises à jour de ses logiciels système, il est possible que les images de ce manuel soient légèrement différentes de ce que vous voyez à l’écran. Le site web d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/, vous donne accès aux actualités Apple, à des téléchargements gratuits et des catalogues en ligne des logiciels et matériaux Apple destinés à votre iMac. Vous trouverez également les manuels de nombreux produits Apple, ainsi que l’assistance technique pour tous les produits Apple, sur le site web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support. F3954M38_51_60.book Page 19 Friday, August 11, 2006 3:46 PM20 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Caractéristiques de base de votre iMac Haut-parleur stéréo intégré (droit) Clavier Apple Keyboard Lecteur de disque optique à chargement par fente Souris Mighty Mouse Télécommande Apple Remote Micro intégré Caméra iSight intégrée Lampe témoin de la caméra F3954M38_51_60.book Page 20 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 2 Votre iMac au quotidien 21 Micro intégré Enregistrez des sons directement sur votre iMac ou conversez avec des amis en direct via une connexion à haut débit avec l’application iChat AV fournie. Caméra iSight intégrée et sa lampe témoin Participez à des vidéoconférences avec vos amis et votre famille via une connexion à haut débit grâce à l’application iChat AV, prenez des photos avec l’application Photo Booth ou capturez de la vidéo par le biais d’iMovie HD. La lampe témoin de la caméra s’allume lorsque la caméra vidéo lit des images ou lorsque Photo Booth est ouvert. Lecteur de disque optique à chargement par fente Votre lecteur SuperDrive est capable de lire les disques CD-ROM, les CD de photos, les disques audio et les DVD. Il vous permet également de graver de la musique, des documents et d’autres fichiers sur des disques CD-R, CD-RW, DVD±R, DVD±RW et DVD+R double couche. Haut-parleurs stéréo intégrés Écoutez de la musique, le son de vos films, jeux et fichiers multimédia. Clavier Apple Keyboard Utilisez les touches de fonction et le pavé numérique pour travailler de manière plus efficace. Souris Mighty Mouse Utilisez la souris multibouton programmable et sa boule de défilement innovatrice pour cliquer et naviguer dans vos documents, pages web et autres contenus. Télécommande Apple Remote Utilisez la télécommande Apple Remote conviviale et Front Row pour contrôler votre musique, vos photos et vos clips vidéo à distance. F3954M38_51_60.book Page 21 Friday, August 11, 2006 3:46 PM22 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Autres caractéristiques de votre iMac Ports USB Haut-parleur stéréo intégré (gauche) Capteur de lumière Portetélécommande Récepteur à infrarouge (IR) intégré Lampe témoin d’alimentation d Touche d’éjection de disque Boutons de réglage du volume C - F3954M38_51_60.book Page 22 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 2 Votre iMac au quotidien 23 Récepteur à infrarouge (IR) intégré Utilisez la télécommande Apple Remote et le récepteur à infrarouge intégré pour travailler encore plus facilement avec votre iMac. Capteur de lumière Détecte la lumière ambiante d’une pièce et règle automatiquement la luminosité de la lampe témoin d’alimentation, en fonction de la lumière disponible, lorsque votre iMac est en veille. Haut-parleurs stéréo intégrés Écoutez de la musique, le son de vos films, jeux et fichiers multimédia. d Deux ports USB 1.1 sur le clavier Apple Keyboard Branchez à votre clavier des périphériques USB 1.1 à faible consommation, tels que la souris. (trois ports USB 2.0 à haut débit se trouvent également à l’arrière de votre iMac). Lampe témoin d’alimentation Un voyant blanc indique que votre iMac est en veille. Lorsque votre iMac est allumé, ce voyant est éteint. Porte-télécommande Lorsque vous ne l’utilisez pas, accrochez la télécommande Apple Remote sur le côté droit de votre iMac. Le porte-télécommande possède en effet un aimant interne. Boutons de réglage du volume Ces boutons permettent d’augmenter (-) ou de baisser (–) le volume du son provenant des haut-parleurs intégrés et du port de sortie casque. C Touche d’éjection de disque Maintenez cette touche enfoncée pour éjecter un disque. Il est également possible de réaliser cette opération en faisant glisser son icône dans la Corbeille. F3954M38_51_60.book Page 23 Friday, August 11, 2006 3:46 PM24 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Ports installés sur votre iMac Port de sortie casque/ audio numérique optique Port d’entrée audio/ audio numérique optique , f £ Port Mini-DVI d Ports USB 2.0 (3) Port Ethernet (10/100/1000 Base-T) G H Ports FireWire F3954M38_51_60.book Page 24 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 2 Votre iMac au quotidien 25 £ Port de sortie vidéo mini-DVI Utilisez un adaptateur mini-DVI vers DVI pour connecter votre iMac à un écran plat Apple ou à un autre moniteur doté d’un connecteur DVI. Utilisez un adaptateur mini-DVI vers VGA pour le relier à un moniteur externe doté d’un connecteur VGA. Utilisez un adaptateur Mini-DVI vers vidéo pour brancher un téléviseur, un magnétoscope ou un autre appareil vidéo doté d’un connecteur S-vidéo ou composite. Ces adaptateurs sont disponibles à www.apple.com/francestore. G Port Ethernet (10/100/1000Base-T) Connectez-vous à un réseau Ethernet 10/100/1000 Base-T à grande vitesse ou à un modem câble ou DSL, ou bien connectez-vous à un autre ordinateur et transférez les fichiers. Le port Ethernet détecte automatiquement les autres périphériques Ethernet. d Trois ports USB (Universal Serial Bus) 2.0 Branchez-y un modem, un iPod, une imprimante, des disques durs, des appareils photos numériques, des manettes de jeux et bien plus. Vous pouvez également y brancher des périphériques USB 1.1. F3954M38_51_60.book Page 25 Friday, August 11, 2006 3:46 PM26 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien , Port d’entrée audio/entrée audio numérique optique Branchez-y un micro externe alimenté ou tout autre équipement audio numérique. Ce port peut également servir de mini-prise stéréo 3,5 S/PDIF. f Port de sortie casque/audio numérique optique Branchez-y des écouteurs, des haut-parleurs amplifiés externes ou tout autre équipement audio numérique. Ce port peut également servir de mini-prise stéréo 3,5 S/PDIF. H Port FireWire 400 Branchez-y des périphériques à haute vitesse tels que des caméras vidéo numériques ou des périphériques de stockage. Si votre iMac est doté de deux ports FireWire 400, ils assurent une alimentation électrique combinée de 8 watts. H Port FireWire 800 (sur certains modèles) Le port FireWire 800 prend en charge jusqu’à 800 Mbps en débit des données. Si votre iMac est doté d’un port FireWire 400 et d’un port FireWire 800, ils assurent une alimentation électrique combinée de 15 watts. F3954M38_51_60.book Page 26 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 2 Votre iMac au quotidien 27 Autres composants de votre iMac Bouton d’alimentation Port secteur ® Accès à la mémoire Logement de sécurité F3954M38_51_60.book Page 27 Friday, August 11, 2006 3:46 PM28 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Port secteur Branchez-y le câble d’alimentation de votre iMac. Logement de sécurité Fixez un verrou et un câble antivol (disponibles sur le site www.apple.com/francestore). ® Bouton d’alimentation Il permet d’allumer votre iMac ou de suspendre son activité. Maintenez ce bouton enfoncé pour redémarrer votre iMac lors des procédures de dépannage. Accès à la mémoire Votre iMac est fourni avec un minimum de 1 Go de mémoire. Vous pouvez ajouter de la mémoire à votre iMac jusqu’à un total de 3 Go (vous trouverez de la mémoire en vente sur le site www.apple.com/francestore). Reportez-vous à la section « Installation de mémoire supplémentaire » à la page 35. Z Technologie sans fil AirPort Extreme (interne) Connectez-vous à un réseau sans fil grâce à la technologie AirPort Extreme intégrée. ◊ Technologie sans fil Bluetooth® 2.0 EDR (interne) Connectez des périphériques sans fil tels que les téléphones portables, organiseurs et imprimantes Bluetooth, ainsi que le clavier sans fil Apple Wireless Keyboard et la souris sans fil Mighty Mouse (le clavier Apple Wireless Keyboard et la souris sans fil Mighty Mouse sont en vente sur le site www.apple.com/francestore). F3954M38_51_60.book Page 28 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 2 Votre iMac au quotidien 29 Comment obtenir des réponses à vos doutes De plus amples informations sur l’utilisation de votre iMac sont disponibles dans l’Aide Mac et sur Internet, à l’adresse www.apple.com/fr/support. Pour ouvrir l’Aide Mac : 1 Cliquez sur l’icône Finder dans le Dock (la barre des icônes située au bord de l’écran). 2 Choisissez Aide > Aide Mac (cliquez sur le menu Aide dans la barre des menus puis sélectionnez Aide Mac). 3 Cliquez dans le champ Rechercher, tapez votre question puis appuyez sur la touche Retour du clavier. Informations supplémentaires Pour en savoir plus sur l’utilisation de votre iMac, consultez le tableau suivant : Pour en savoir plus sur... Consultez... L’installation de mémoire le chapitre 3, « Augmentez votre mémoire », à la page 33. Le dépannage de votre iMac en cas de problème le chapitre 4, « À tout problème sa solution », à la page 41. L’obtention de services et d’une assistance pour votre iMac « Informations, services et assistance » à la page 54. Vous pouvez également vous rendre sur le site web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support. L’utilisation de Mac OS X Le site web de Mac OS X à www.apple.com/fr/macosx/overview. Vous pouvez également consulter le document intitulé « Bienvenue dans Tiger », disponible dans le dossier « Guides de l’utilisateur et informations » de votre disque dur, ou encore rechercher « Mac OS X » dans l’Aide Mac. F3954M38_51_60.book Page 29 Friday, August 11, 2006 3:46 PM30 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien La migration depuis un PC vers un Mac www.apple.com/macosx/switch et cliquez sur « Switch ». Vous pouvez également cliquer sur le lien « Passage de Windows à Mac », qui se trouve dans la section « Problèmes fréquemment rencontrés par les utilisateurs » de la page d’accueil de l’Aide Mac. L’utilisation des applications iLife Le site web d’iLife à l’adresse www.apple.com/fr/ilife/ et les guides d’initiation d’iLife à l’adresse www.apple.com/fr/ilife/tutorials. Vous pouvez aussi ouvrir une application iLife, puis accéder à l’Aide de l’application. La modification des Préférences Système Ouvrez Préférences Système en choisissant le menu Pomme () > Préférences Système. Vous pouvez également rechercher « préférences système » dans l’Aide Mac. L’utilisation de votre souris ou de votre clavier Recherchez « souris » ou « clavier » dans l’Aide Mac, ou bien ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Clavier et souris. L’utilisation de la technologie sans fil AirPort Extreme La page web d’assistance AirPort à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport. Vous pouvez également ouvrir l’Aide AirPort en cliquant sur le bouton d’accueil (situé en haut de la page de l’Aide Mac) et en le maintenant enfoncé, puis en sélectionnant Aide AirPort dans la liste. L’utilisation de la technologie sans fil Bluetooth La page web d’assistance Bluetooth à l’adresse www.apple.com/fr/support/bluetooth. Vous pouvez aussi ouvrir l’utilitaire Échange de fichiers Bluetooth (dans le dossier Utilitaires du dossier Applications) et sélectionner Aide > Aide Bluetooth. La connexion d’une imprimante Recherchez « impression » dans l’Aide Mac. Les connexions FireWire et USB Recherchez « USB » ou « FireWire » dans l’Aide Mac, Pour en savoir plus sur... Consultez... F3954M38_51_60.book Page 30 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 2 Votre iMac au quotidien 31 La connexion à Internet Recherchez « Internet » dans l’Aide Mac. La connexion d’un moniteur externe Recherchez « port de moniteur » dans l’Aide Mac. La télécommande Apple Remote Recherchez « télécommande » dans l’Aide Mac. Front Row Recherchez « Front Row » dans l’Aide Mac. La gravure d’un CD ou DVD Recherchez « graver un disque » dans l’Aide Mac. Les caractéristiques La page web concernant les caractéristiques, à l’adresse www.apple.com/support/specs. Vous pouvez également ouvrir Informations Système en choisissant le menu Pomme () > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis en cliquant sur Plus d’infos. Pour en savoir plus sur... Consultez... F3954M38_51_60.book Page 31 Friday, August 11, 2006 3:46 PMF3954M38_51_60.book Page 32 Friday, August 11, 2006 3:46 PM3 3 Augmentez votre mémoire www.apple.com/francestore Aide Mac mémoire RAM F3954M38_51_60.book Page 33 Friday, August 11, 2006 3:46 PM34 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire Votre iMac est fourni avec un minimum de 512 Mo de mémoire DDR2 SDRAM (Double Data Rate, Synchronous Dynamic Random-Access Memory). Vous pouvez ajouter des modules de mémoire de 1 Go ou 2 Go, totalisant un maximum de 3 Go de mémoire. Les modules de mémoire doivent être conformes aux spécifications suivants :  format Small Outline Dual Inline Memory Module (SO-DIMM) ;  667 MHz, PC2-5300, compatible DDR2 (également appelé DDR2 667) ;  sans tampon et non enregistrée. Avertissement : Apple vous recommande de confier l’installation de mémoire à un technicien agréé Apple. Consultez les informations sur le dépannage et l’assistance qui accompagnent votre iMac pour savoir comment contacter Apple. Tout dommage causé à votre matériel en tentant d’installer vous-même de la mémoire n’est pas couvert par la garantie limitée de votre iMac. F3954M38_51_60.book Page 34 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 3 Augmentez votre mémoire 35 Installation de mémoire supplémentaire Votre iMac est doté d’un logement destiné à la mémoire situé dans la partie supérieure de l’ordinateur et d’un autre situé dans la partie inférieure. Vous pouvez ajouter un module de mémoire supplémentaire dans le logement inférieur et enlever le module de mémoire du logement supérieur pour remplacer la mémoire installée. Vous pouvez ajouter des modules de mémoire de 1 Go ou 2 Go, totalisant un maximum de 3 Go de mémoire. Vous pouvez acheter de la mémoire Apple supplémentaire chez un revendeur agréé Apple, dans un magasin Apple Store ou bien sur l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/francestore. Pour installer de la mémoire 1 Éteignez votre iMac en choisissant le menu Pomme () > Éteindre. 2 Débranchez tous les câbles de votre iMac, y compris le câble d’alimentation. 3 Placez un linge ou un chiffon propre et doux sur votre surface de travail. Tout en tenant votre iMac par les côtés, posez-le à plat de manière à faire reposer l’écran contre la surface de la table et à tourner la partie inférieure de l’ordinateur vers vous. Avertissement : éteignez toujours votre iMac et quittez le câble d’alimentation avant d’installer de la mémoire. N’essayez pas d’installer de la mémoire alors que votre iMac est branché. F3954M38_51_60.book Page 35 Friday, August 11, 2006 3:46 PM36 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire 4 Soulevez le socle et utilisez un tournevis cruciforme nº 2 pour desserrer les deux vis imperdables sur le cache d’accès à la mémoire en les faisant tourner dans le sens contraire des aiguilles d’une montre. 5 Retirez le cache d’accès à la mémoire et mettez-le de côté. Tournevis cruciforme Soulevez le socle Cache d’accès à la mémoire F3954M38_51_60.book Page 36 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 3 Augmentez votre mémoire 37 6 Tirez sur les deux leviers situés dans le compartiment de mémoire pour éjecter le module de mémoire installé que vous souhaitez remplacer. 7 Retirez les modules de mémoire de votre iMac. Leviers Module de mémoire en partie éjecté Retirez le module de mémoire F3954M38_51_60.book Page 37 Friday, August 11, 2006 3:46 PM38 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire 8 Insérez les nouveaux modules de mémoire dans les logements, avec les encoches tournées vers la gauche, comme indiqué sur l’illustration. 9 Appuyez fermement et uniformément sur chaque module de mémoire pour le verrouiller dans le compartiment. Vous entendrez un léger clic indiquant que les modules de mémoire sont correctement installés. Important : n’utilisez pas les leviers pour placer la mémoire dans le compartiment. 10 Poussez les leviers en direction du centre du compartiment jusqu’à ce qu’ils soient entièrement fermés. Les leviers se refermeront partiellement Modules de mémoire F3954M38_51_60.book Page 38 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 3 Augmentez votre mémoire 39 11 Remettez le cache d’accès à la mémoire en place en utilisant un tournevis cruciforme nº 2 pour resserrer les vis. 12 En maintenant votre iMac par les côtés, remettez l’ordinateur à l’endroit, puis rebranchez les câbles et le cordon d’alimentation. 13 Allumez votre iMac en appuyant sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière. Avertissement : n’oubliez pas de remettre le cache d’accès à la mémoire en place après avoir installé la mémoire. Votre iMac ne fonctionnera pas correctement sans le cache d’accès à la mémoire. Tournevis cruciforme Soulevez le socle Cache d’accès à la mémoire F3954M38_51_60.book Page 39 Friday, August 11, 2006 3:46 PM40 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre iMac Après avoir installé la mémoire, vérifiez si l’ordinateur reconnaît la nouvelle mémoire. Pour vérifier la mémoire installée sur votre iMac : 1 Démarrez votre iMac. 2 Lorsque le bureau Mac OS s’affiche, choisissez le menu Pomme () > À propos de ce Mac. La quantité totale de mémoire installée sur votre iMac s’affichera alors. Pour un aperçu plus détaillé de la quantité de mémoire installée, ouvrez Informations Système en cliquant sur Plus d’infos. Si votre iMac ne reconnaît pas la mémoire ou ne démarre pas correctement, éteignezle et vérifiez à nouveau les instructions d’installation afin de vous assurer que la mémoire est correctement installée et compatible avec cet iMac. Si les problèmes persistent, retirez la mémoire et consultez les informations d’assistance technique fournies avec la mémoire ou contactez le fournisseur de la mémoire. F3954M38_51_60.book Page 40 Friday, August 11, 2006 3:46 PM4 4 À tout problème sa solution www.apple.com/fr/support Aide Mac aide F3954M38_51_60.book Page 41 Friday, August 11, 2006 3:46 PM42 Chapitre 4 À tout problème sa solution Il se peut que vous rencontriez à titre exceptionnel des problèmes en utilisant votre iMac . Lisez ce chapitre pour trouver des idées de solution qui vous aideront à régler vos problèmes. Vous trouverez également d’autres informations de dépannage dans l’Aide Mac et sur le site web de service et d’assistance iMac, à l’adresse www.apple.com/fr/support/imac. Il existe généralement une solution simple et rapide aux problèmes qui peuvent survenir au cours de l’utilisation de votre iMac. Si vous rencontrez un problème, essayez de noter les opérations que vous avez effectuées avant que le problème ne survienne. Ce récapitulatif permet de restreindre les causes possibles du problème et de trouver la solution. Les éléments à noter comprennent :  Les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu. Les problèmes qui ne surgissent qu’avec une application spécifique peuvent indiquer que cette application n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur votre iMac.  Tout nouveau composant matériel connecté ou installé (mémoire supplémentaire ou périphérique, par exemple). Avertissement : n’essayez pas d’ouvrir votre iMac, sauf pour y installer de la mémoire. Si votre iMac a besoin d’être inspecté, consultez les informations sur le dépannage et l’assistance qui accompagnent votre ordinateur ; vous y trouverez les instructions pour contacter Apple ou un fournisseur de services agréé Apple. L’utilisateur ne peut remplacer aucune pièce de l’iMac excepté la mémoire. F3954M38_51_60.book Page 42 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 4 À tout problème sa solution 43 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre iMac Si votre iMac ne répond plus ou que le pointeur se fige :  Assurez-vous que la souris et le clavier sont connectés. Débranchez puis rebranchez les connecteurs et vérifiez qu’ils sont correctement mis en place. Si vous avez un clavier ou une souris sans fil, vérifiez que les piles sont en état de marche.  Essayez de forcer la fermeture des applications qui posent problème. Maintenez les touches Option et Commande (x) enfoncées puis appuyez sur Échap. Si une zone de dialogue apparaît, sélectionnez-y l’application et cliquez sur Forcer à quitter. Enregistrez alors le travail de toute application ouverte, puis redémarrez l’iMac afin de vous assurer que le problème est entièrement réglé.  Si vous ne parvenez pas à forcer la fermeture de l’application, maintenez pendant 5 ou 6 secondes le bouton d’alimentation (®) enfoncé (situé à l’arrière de l’iMac) pour l’éteindre. Débranchez le câble d’alimentation de l’iMac. Rebranchez ensuite le câble, puis appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour rallumer l’iMac. Si le problème survient fréquemment lorsque vous utilisez une application particulière, consultez le fabricant de cette application pour vérifier si elle est compatible avec votre iMac. Pour obtenir des informations de contact et une assistance relatifs aux logiciels fournis avec votre iMac, rendez-vous à l’adresse www.apple.com/fr/guide. Si le problème se reproduit fréquemment, il se peut que vous deviez réinstaller votre logiciel système. Consultez « Réinstallation des logiciels fournis avec votre iMac » à la page 51. F3954M38_51_60.book Page 43 Friday, August 11, 2006 3:46 PM44 Chapitre 4 À tout problème sa solution Si votre iMac se bloque au démarrage ou si un point d’interrogation clignotant apparaît :  Patientez quelques secondes. Si l’iMac ne démarre pas dans un bref délai, éteignez-le en maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant 5 à 6 secondes, jusqu’à ce que l’iMac s’éteigne complètement. Maintenez ensuite la touche Option enfoncée tout en appuyant à nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour démarrer votre iMac. Lorsque votre iMac démarre, cliquez sur l’icône de disque dur, puis sur la flèche droite.  Une fois que l’iMac a démarré, ouvrez Préférences Système et cliquez sur Démarrage. Sélectionnez un dossier Système local de Mac OS X.  Si le problème se reproduit fréquemment, il se peut que vous deviez utiliser Utilitaire de disque (qui se trouve sur le disque « Mac OS X Install Disc 1 » fourni avec votre iMac) ou réinstaller votre logiciel système (consultez la section « Réinstallation des logiciels fournis avec votre iMac » à la page 51). Si votre iMac ne s’allume ou ne démarre pas :  Assurez-vous que le câble d’alimentation est correctement connecté à l’iMac et branché sur une prise électrique en état de marche.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et maintenez immédiatement les touches Commande (x), Option, P et R enfoncées jusqu’à ce que vous entendiez une deuxième fois le signal sonore de démarrage.  Si vous avez récemment ajouté de la mémoire, assurez-vous qu’elle est correctement installée et compatible avec votre iMac. Vérifiez si le retrait de cette mémoire permet à l’iMac de démarrer (voir la page 35). F3954M38_51_60.book Page 44 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 4 À tout problème sa solution 45  Débranchez le câble d’alimentation et attendez au moins 30 secondes. Rebranchez le câble, puis appuyez à nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre iMac.  Si vous ne parvenez toujours pas à démarrer votre iMac, consultez la section « Informations, services et assistance » à la page 54 qui contient les informations nécessaires pour prendre contact avec Apple. Utilisation de la fonction Apple Hardware Test Apple Hardware Test vous aide à déterminer s’il existe un problème matériel sur votre iMac. Pour utiliser Apple Hardware Test : 1 Débranchez tous les périphériques de votre iMac à l’exception du clavier et de la souris. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le. 2 Insérez le disque « Mac OS X Install Disc 1 » livré avec votre iMac. 3 Redémarrez votre iMac en maintenant la touche D enfoncée lors du démarrage. 4 Lorsque le sélectionneur de langues Apple Hardware Test apparaît à l’écran, choisissez la langue qui vous convient. 5 Appuyez sur la touche Retour ou sur le bouton Continuer. 6 Lorsque l’écran principal Apple Hardware Test apparaît (environ 45 secondes plus tard), suivez les instructions affichées à l’écran. 7 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test ne détecte pas de panne matérielle, il est probable que le problème soit lié aux logiciels. Pour en savoir plus, consultez le fichier « À propos d’AHT » sur le disque « Mac OS X Install Disc 1 ». F3954M38_51_60.book Page 45 Friday, August 11, 2006 3:46 PM46 Chapitre 4 À tout problème sa solution Problèmes de connexion à Internet En cas de problèmes avec votre connexion à Internet, vous pouvez essayer les méthodes proposées dans cette section en commençant par Diagnostic réseau. Pour utiliser Diagnostic réseau : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau puis cliquez sur « Assistant ». 3 Cliquez sur Diagnostic pour lancer Diagnostic réseau. 4 Suivez les instructions à l’écran. Si Diagnostic réseau n’est pas en mesure de résoudre le problème, celui-ci se situe peut-être au niveau du fournisseur d’accès à Internet auquel vous essayez de vous connecter, du périphérique externe utilisé pour la connexion au fournisseur d’accès à Internet ou du serveur auquel vous essayez d’accéder. Vous pouvez également tenter de suivre les étapes suivantes. Connexions à Internet par modem câble, ligne DSL et réseau local (LAN) Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés. Vérifiez le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et le câble reliant le modem à la prise murale. Vérifiez également les câbles et les sources d’alimentation de vos routeurs et concentrateurs Ethernet. Éteignez, puis rallumez le modem afin de réinitialiser le matériel du modem. Éteignez le modem câble ou DSL, puis rallumez-le après quelques minutes. Certains fournisseurs d’accès à Internet conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem. Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant ou après avoir éteint puis rallumé le modem. F3954M38_51_60.book Page 46 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 4 À tout problème sa solution 47 Connexions PPPoE Si vous ne parvenez pas à vous connecter à votre fournisseur d’accès à Internet via PPPoE, assurez-vous que les informations que vous avez saisies dans les préférences Réseau sont correctes. Vérifiez les réglages des Préférences Système : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau. 4 Sélectionnez Ethernet intégré, puis faites glisser cette configuration en haut de la liste des configurations de ports. 5 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Ethernet intégré. 6 Cliquez sur PPPoE. 7 Sélectionnez « Se connecter via PPPoE ». 8 Vérifiez le champ Nom de compte pour vous assurer que vous avez correctement saisi les informations fournies par votre fournisseur d’accès à Internet. 9 Si vous avez choisi d’enregistrer votre mot de passe, tapez-le à nouveau afin d’être sûr qu’il est correct. 10 Cliquez sur TCP/IP. Assurez-vous d’avoir saisi dans cette sous-fenêtre les informations correctes fournies par votre fournisseur d’accès à Internet. 11 Cliquez sur Appliquer. Connexions au réseau Assurez-vous que le câble Ethernet est branché sur votre ordinateur et sur le réseau. Vérifiez les câbles et l’alimentation de vos routeurs et concentrateurs Ethernet. F3954M38_51_60.book Page 47 Friday, August 11, 2006 3:46 PM48 Chapitre 4 À tout problème sa solution Si vous disposez de plusieurs ordinateurs partageant une connexion à Internet, assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre fournisseur d’accès à Internet fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque ordinateur. Si une seule adresse IP est utilisée, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion (on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP). Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. Vous pouvez utiliser une borne d’accès AirPort pour partager une adresse IP unique entre plusieurs ordinateurs. Pour obtenir plus d’informations sur l’utilisation d’une borne d’accès AirPort, consultez l’Aide Mac ou rendez-vous sur le site web AirPort d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport. Si ces méthodes s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés, adressez-vous à votre fournisseur d’accès à Internet ou à votre administrateur réseau. Problèmes de communication sans fil avec AirPort Extreme En cas de problèmes avec les communications sans fil AirPort Extreme :  Vérifiez que vous avez correctement configuré le logiciel en respectant les instructions fournies avec votre borne d’accès.  Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est actif et dispose d’un point d’accès sans fil. F3954M38_51_60.book Page 48 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 4 À tout problème sa solution 49  Assurez-vous que l’autre ordinateur ou le point d’accès au réseau se trouve dans la zone de couverture de l’antenne de votre ordinateur. Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en réorientant l’ordinateur.  Vérifiez la puissance du signal AirPort. L’icône d’état AirPort de la barre des menus affiche jusqu’à quatre barres.  Des problèmes de fonctionnement de réseau peuvent survenir si votre borne d’accès se trouve à proximité d’un four micro-ondes, d’un téléphone sans fil ou autres sources d’interférences. Pour minimiser les interférences, placez votre borne d’accès loin de ce genre d’appareil.  Pour en savoir plus, consultez les instructions incluses avec l’appareil sans fil ou recherchez « AirPort » dans l’Aide Mac. Maintien à jour de votre logiciel Vous pouvez vous connecter à Internet pour télécharger et installer automatiquement les dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple. Chaque fois que vous vous connectez à Internet, « Mise à jour de logiciels » consulte les serveurs Internet d’Apple pour rechercher les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. Votre iMac est réglé pour rechercher automatiquement les mises à jour une fois par semaine, mais vous pouvez le configurer pour qu’il effectue cette recherche une fois par jour ou une fois par mois. Vous pouvez également rechercher manuellement les mises à jour. F3954M38_51_60.book Page 49 Friday, August 11, 2006 3:46 PM50 Chapitre 4 À tout problème sa solution Pour rechercher des logiciels mis à jour : 1 Ouvrez les Préférences Système. 2 Cliquez sur l’icône « Mise à jour de logiciels » et suivez les instructions à l’écran.  Pour plus d’informations, recherchez « Mise à jour de logiciels » dans l’Aide Mac.  Pour obtenir les toutes dernières informations concernant Mac OS X, rendez-vous sur le site web Mac OS X à l’adresse www.apple.com/fr/macosx. Lorsqu’une application ne répond plus Il peut arriver, très rarement, qu’une application se « fige » à l’écran. Avec Mac OS X, il est possible de quitter une application qui ne répond plus sans redémarrer votre iMac, ce qui permet d’enregistrer le travail effectué dans d’autres applications ouvertes. Pour forcer une application à quitter : 1 Appuyez sur Commande (x) + Option + Échap ou bien choisissez le menu Pomme () > Forcer à quitter. La boîte de dialogue Forcer à quitter des applications apparaît avec l’application sélectionnée. 2 Cliquez sur Forcer à quitter. L’application quitte, en laissant toutes les autres applications ouvertes. F3954M38_51_60.book Page 50 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 4 À tout problème sa solution 51 Réinstallation des logiciels fournis avec votre iMac Les disques d’installation de logiciels fournis avec votre iMac permettent de réinstaller Mac OS X et les applications livrées avec votre iMac. Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données de votre disque dur avant de réinstaller le logiciel. Apple décline toute responsabilité en cas de perte de données. Installation de Mac OS X et des applications Pour installer Mac OS X : 1 Sauvegardez vos fichiers importants. Nous vous conseillons de sauvegarder vos fichiers importants avant d’installer Mac OS X et les autres applications, car l’option « Effacer et installer » efface le disque dur de destination. 2 Insérez le disque « Mac OS X Install Disc 1 » livré avec votre iMac. 3 Double-cliquez sur « Install Mac OS X and Bundled Software ». 4 Suivez les instructions à l’écran. 5 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions à l’écran. Il se peut que votre iMac redémarre et vous demande d’insérer le disque d’installation suivant de Mac OS X. F3954M38_51_60.book Page 51 Friday, August 11, 2006 3:46 PM52 Chapitre 4 À tout problème sa solution Installation des applications Pour n’installer que les applications fournies avec votre iMac, veuillez suivre les instructions ci-dessous. Mac OS X doit déjà être installé sur votre iMac. Pour installer les applications : 1 Sauvegardez vos fichiers importants. 2 Insérez le disque « Mac OS X Install Disc 1 » livré avec votre iMac. 3 Double-cliquez sur « Install Bundled Software Only ». 4 Suivez les instructions à l’écran. 5 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions à l’écran. Remarque : pour installer iCal, iChat AV, iSync, iTunes et Safari, suivez les instructions « Installation de Mac OS X » ci-dessus. F3954M38_51_60.book Page 52 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 4 À tout problème sa solution 53 Autres problèmes Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur concerné. Les fabricants de logiciels proposent souvent des mises à jour de leurs produits sur leurs sites web. Vous pouvez utiliser la fenêtre Mise à jour de logiciels des Préférences Système pour rechercher et installer les logiciels Apple les plus récents. Par défaut, votre iMac recherche automatiquement les mises à jour une fois par semaine, mais vous pouvez le configurer pour qu’il effectue cette recherche une fois par jour ou une fois par mois. Vous pouvez également rechercher manuellement les mises à jour. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez « mise à jour de logiciels ». Remarque : les applications Classic (ou Mac OS 9) ne sont pas compatibles avec votre ordinateur et ne s’ouvrent pas. En cas de problèmes avec l’éjection d’un disque  Quitter toutes les applications susceptibles d’utiliser le disque, puis appuyez sur la touche d’éjection de disque (C) de votre clavier.  Ouvrez une fenêtre du Finder et cliquez sur l’icône d’éjection (située à côté de celle du disque dans la barre latérale), ou bien faites glisser l’icône du disque dans la Corbeille.  Fermez la session de votre compte d’utilisateur en choisissant le menu Pomme > Fermer la session « utilisateur » (votre nom de compte apparaît dans le menu), puis appuyez sur la touche d’éjection de disque (C) de votre clavier.  Redémarrez votre iMac en maintenant le bouton de la souris enfoncé. F3954M38_51_60.book Page 53 Friday, August 11, 2006 3:46 PM54 Chapitre 4 À tout problème sa solution En cas de problème de fonctionnement de votre iMac ou de Mac OS  Si la réponse à votre question ne figure pas dans ce manuel, recherchez des instructions et des informations de dépannage dans l’Aide Mac. Dans le Finder, choisissez Aide > Aide Mac.  Pour obtenir les dernières informations de dépannage et des mises à jour de logiciels, consultez le site web d’assistance Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/support. Si vous perdez régulièrement vos réglages de date et d’heure La batterie de secours interne de votre ordinateur a peut-être besoin d’être remplacée. La batterie de l’iMac ne peut pas être remplacée par l’utilisateur même. Pour en savoir plus, contactez un fournisseur de services agréé Apple ou un magasin Apple Store. Informations, services et assistance Votre iMac ne contient aucune pièce susceptible d’être remplacée par l’utilisateur, à l’exception du clavier, de la souris et de la mémoire. Si vous avez besoin de services de réparation, adressez-vous à Apple ou portez votre iMac chez un fournisseur de services agréé Apple. Vous trouverez de plus amples informations sur votre iMac en ligne, dans l’aide à l’écran, dans Informations Système et via Apple Hardware Test. Informations en ligne Pour obtenir des informations en ligne sur le service et l’assistance, rendez-vous sur www.apple.com/fr/support. Choisissez votre pays dans le menu local. Vous pouvez faire des recherches dans la base de données AppleCare Knowledge Base, vérifiez si de nouvelles mises à jour de logiciels sont disponibles ou obtenir de l’aide dans les forums de discussion Apple. F3954M38_51_60.book Page 54 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 4 À tout problème sa solution 55 Aide à l’écran Vous trouverez bien souvent des réponses à vos questions ainsi que des instructions et des informations concernant le dépannage dans l’Aide Mac. Choisissez Aide > Aide Mac. Informations Système Pour obtenir des informations sur votre ordinateur, utilisez Informations Système. Cette application vous fournit la liste des composants matériels et des logiciels installés, le numéro de série et de version du système d’exploitation, la quantité de mémoire installée, etc. Pour ouvrir Informations Système, choisissez le menu Pomme () > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos. Service et assistance AppleCare Votre iMac est fourni avec 90 jours d’assistance technique et 1 an de couverture pour les réparations de matériel effectuées dans les magasins Apple Store ou les centres de réparations agréés Apple, tels que les fournisseurs de services agréés Apple. Vous avez la possibilité d’étendre la durée de cette couverture en adhérant à un programme AppleCare Protection Plan. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.apple.com/fr/support/products ou bien visitez le site web de votre pays (dans la liste ci-dessous). Si vous avez besoin d’assistance, le personnel d’assistance par téléphone AppleCare peut vous aider à installer et à ouvrir les applications et offre des services de dépannage élémentaires. Appelez le centre d’assistance le plus proche de chez vous (gratuit pendant les 90 premiers jours). Gardez la date d’achat et le numéro de série de votre iMac à portée de main lorsque vous appelez. F3954M38_51_60.book Page 55 Friday, August 11, 2006 3:46 PM56 Chapitre 4 À tout problème sa solution Remarque : la période de 90 jours d’assistance gratuite par téléphone débute à la date d’achat. Des frais téléphoniques peuvent éventuellement s’appliquer. Les numéros de téléphone sont susceptibles d’être modifiés. Les tarifs téléphoniques locaux et nationaux peuvent s’appliquer. Une liste complète est disponible sur Internet : Localisation du numéro de série de votre produit Le numéro de série de votre iMac est indiqué sur la partie postérieure du socle. Vous pouvez également utiliser l’application Informations Système pour l’obtenir. Choisissez le menu Pomme () > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos. Cliquez sur le triangle d’affichage Matériel pour afficher le numéro de série. Pays Téléphone Site web Allemagne (49) 01805 009 433 www.apple.com/de/support Autriche (43) 0810 300 427 www.apple.com/at/support Belgique (flamand) (français) (32) 070 700 772 (32) 070 700 773 www.apple.com/benl/support www.apple.com/befr/support France (33) 0825 888 024 www.apple.com/fr/support Luxembourg (352) 800 24550 www.apple.com/befr/support Suisse (français) (allemand) (41) 0848 000 132 (41) 0848 000 132 www.apple.com/chfr/support www.apple.com/chde/support www.apple.com/contact/phone_contacts.html F3954M38_51_60.book Page 56 Friday, August 11, 2006 3:46 PM5 5 Dernières recommandations www.apple.com/enviromment Aide Mac ergonomie F3954M38_51_60.book Page 57 Friday, August 11, 2006 3:46 PM58 Chapitre 5 Dernières recommandations Afin d’assurer votre sécurité et de préserver votre matériel, veillez à observer ces consignes de nettoyage et de manipulation de votre iMac, ainsi que d’aménagement d’un espace de travail confortable. Les produits Apple sont conçus et évalués selon les standards de sécurité les plus récents des technologies de l’information et de l’équipement d’audio-vidéo. Il est toutefois important de suivre les consignes de sécurité qui se trouvent sur le produit et dans la documentation. Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de votre iMac Pour votre sécurité et celle de votre matériel, veuillez à toujours prendre les précautions ci-après. Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour vous et pour les utilisateurs éventuels.  Installez votre ordinateur sur un plan de travail stable.  Évitez de placer votre ordinateur à proximité d’un évier, d’un lavabo, d’une baignoire ou d’une douche, par exemple.  Protégez votre ordinateur de l’humidité et des intempéries (neige, pluie...).  La seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur consiste à débrancher le câble d’alimentation. Débranchez toujours le câble d’alimentation avant d’ouvrir l’ordinateur pour installer de la mémoire. F3954M38_51_60.book Page 58 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 5 Dernières recommandations 59  Débranchez le câble d’alimentation (en tirant sur la fiche plutôt que sur le câble) et le cordon téléphonique si l’un des cas suivants se présente :  Vous souhaitez ajouter de la mémoire.  Le câble ou la fiche d’alimentation est usé(e) ou endommagé(e).  Vous avez renversé quelque chose dans le boîtier de l’ordinateur.  Votre iMac est exposé à la pluie ou à une humidité excessive.  Votre iMac a subi une chute ou le boîtier a été endommagé.  Vous pensez que votre iMac a besoin d’être inspecté ou réparé.  Vous souhaitez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions fournies plus bas).  Votre iMac contient des aimants. Ne mettez pas des matériaux ou des appareils à sensibilité magnétique à 25 mm ou moins de l’ordinateur. Important : la seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur consiste à débrancher le câble d’alimentation. Assurez-vous qu’au moins une extrémité du câble soit facilement accessible afin de pouvoir débrancher votre iMac si nécessaire. Avertissement : votre câble CA dispose d’une fiche de terre à trois broches (fiche équipée d’une troisième broche de mise à la terre). Cette fiche ne peut être branchée que sur une prise CA reliée à la terre. Si vous ne pouvez pas brancher la fiche car la prise n’est pas reliée à la terre, contactez un électricien agréé pour qu’il remplace cette prise par une prise correctement reliée à la terre. Ne dérogez en aucun cas à cette consigne. F3954M38_51_60.book Page 59 Friday, August 11, 2006 3:46 PM60 Chapitre 5 Dernières recommandations Important : le matériel électrique peut s’avérer dangereux s’il n’est pas utilisé correctement. L’utilisation de ce produit ou de tout produit similaire doit toujours être supervisée par un adulte. Évitez que des enfants ne manipulent les composants internes ou les câbles de ces appareils. Ne procédez à aucune réparation par vous-même Votre iMac ne contient aucune pièce susceptible d’être remplacée par l’utilisateur, à l’exception du clavier, de la souris et de la mémoire (voir « Installation de mémoire supplémentaire » à la page 35). N’essayez pas d’ouvrir votre iMac. Si votre iMac a besoin d’être inspecté, consultez les informations sur le dépannage et l’assistance qui accompagnent votre ordinateur ; vous y trouverez les instructions pour contacter Apple ou un fournisseur de services agréé Apple. Si vous ouvrez votre iMac ou que vous installez d’autres éléments que la mémoire, vous risquez d’endommager votre matériel. Les dommages de ce type ne sont pas couverts par la garantie limitée de votre iMac. Utilisation des connecteurs et des ports Ne forcez jamais l’insertion d’un connecteur dans un port. Si le connecteur ne se raccorde pas facilement au port, c’est qu’ils sont probablement incompatibles. Assurez-vous que le connecteur correspond bien au port et que vous l’avez correctement positionné par rapport à ce dernier. Avertissement : n’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures de ventilation du boîtier. Cela peut être dangereux et provoquer un incendie ou un choc électrique. F3954M38_51_60.book Page 60 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 5 Dernières recommandations 61 Informations se rapportant au laser Ne tentez pas de démonter le compartiment contenant le laser. Le faisceau laser de cet appareil est dangereux pour les yeux. L’utilisation d’instruments d’optique, telles que des lentilles grossissantes, peut aggraver la nocivité du faisceau. Afin d’assurer votre sécurité, cet équipement ne doit être réparé que par un fournisseur de services agréé Apple. Votre ordinateur est classé comme produit laser de Catégorie 1 dû à son lecteur optique. L’étiquette Catégorie 1, apposée sur l’ordinateur à un endroit accessible par l’utilisateur, indique que celui-ci est conforme aux normes de sécurité minimales. Une étiquette de mise en garde est située à un endroit accessible au service technique. Les étiquettes placées sur votre produit peuvent être légèrement différentes de celles qui sont affichées ici. Avertissement : l’exécution de réglages ou d’opérations qui ne sont pas spécifiés dans le manuel de votre équipement risque de vous exposer à des rayonnements dangereux. Étiquette Catégorie 1 Étiquette de mise en garde F3954M38_51_60.book Page 61 Friday, August 11, 2006 3:46 PM62 Chapitre 5 Dernières recommandations Avertissement relatif aux activités à haut risque Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien, ni dans aucune autre situation où une panne du système informatique pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques. Prévention des dommages auditifs Avertissement : l’utilisation d’écouteurs ou d’un casque d’écoute à un niveau de volume trop élevé peut provoquer une perte d’acuité auditive permanente. L’oreille peut s’adapter petit à petit à des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent sembler normaux, mais qui risquent à la longue d’endommager votre système auditif. En cas de sifflements ou de perte d’acuité auditive, arrêtez d’utiliser le casque ou les écouteurs et consultez un médecin. Plus le volume est élevé, plus votre audition risque d’être affectée rapidement. Les spécialistes de l’audition suggèrent les précautions suivantes pour protéger votre système auditif :  Limitez la durée d’utilisation à volume élevé de vos écouteurs ou de votre casque d’écoute.  Évitez d’augmenter le volume pour ne pas entendre les bruits environnants.  Baissez le volume si vous ne parvenez pas à entendre une personne qui vous parle. F3954M38_51_60.book Page 62 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 5 Dernières recommandations 63 Comprendre l’ergonomie Voici quelques conseils sur la mise en place d’un environnement de travail sain. Siège Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale et vos pieds à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à-dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie. F3954M38_51_60.book Page 63 Friday, August 11, 2006 3:46 PM64 Chapitre 5 Dernières recommandations Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Vous pouvez également abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau dont le poste de saisie est situé plus bas que le plan de travail. Cuisses légèrement inclinées Épaules détendues Écran positionné de façon à éviter tout reflet éblouissant Avant-bras et mains en ligne droite Avant-bras légèrement inclinés Bas du dos soutenu Pieds fixes au sol ou sur un repose-pied Haut de l'écran au niveau des yeux ou juste en dessous Côté inférieur au plan de travail dégagé 45–70 cm (18–28 in.) F3954M38_51_60.book Page 64 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 5 Dernières recommandations 65 Écran Placez le moniteur de manière à ce que le haut de l’écran se trouve légèrement en dessous du niveau de vos yeux lorsque vous êtes assis au clavier. Il vous appartient de juger de la meilleure distance entre vos yeux et l’écran. Elle se situe en général entre 45 et 70 cm. Orientez l’écran de manière à ce qu’il reflète le moins possible la lumière provenant de l’éclairage et des fenêtres. Souris Veillez à ce que la souris se trouve à hauteur du clavier. Ménagez un espace suffisant pour la manipuler avec aisance. Clavier Veillez à maintenir vos épaules relâchées lorsque vous utilisez le clavier. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, la main étant placée dans le prolongement du poignet. Adoptez une frappe légère avec les mains et les doigts détendus. Évitez de replier les pouces à l’intérieur des paumes. Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un effort continu et intensif, certains utilisateurs d’ordinateur ressentent des douleurs aux mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste. Vous trouverez d’autres informations concernant l’ergonomie sur Internet : www.apple.com/about/ergonomics F3954M38_51_60.book Page 65 Friday, August 11, 2006 3:46 PM66 Chapitre 5 Dernières recommandations Entretien de votre iMac Respectez les règles suivantes lors du nettoyage de votre iMac et de ses accessoires :  Éteignez votre iMac et débranchez tous les câbles.  Pour nettoyer la partie extérieure de l’iMac, utilisez un chiffon doux, légèrement humide et non pelucheux. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’iMac.  N’utilisez ni aérosols, ni dissolvant, ni abrasifs. Entretien de l’écran de votre iMac Pour nettoyer l’écran de votre iMac, procédez comme suit :  Éteignez votre iMac et débranchez tous les câbles.  Humidifiez, à l’eau seulement, un chiffon propre, doux et non pelucheux et essuyez l’écran. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’écran. F3954M38_51_60.book Page 66 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 5 Dernières recommandations 67 Manipulation de votre iMac Avant de soulever ou de repositionner votre iMac, débranchez tous les câbles et les prises qui y sont connectés. Pour soulever ou déplacer votre iMac, tenez-le par les côtés. À propos d’Apple et de l’environnement Apple Computer, Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact de ses produits et de ses activités sur l’environnement. Des informations supplémentaires sont disponibles sur Internet : www.apple.com/environment F3954M38_51_60.book Page 67 Friday, August 11, 2006 3:46 PM68 Communications Regulation Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. L‘utilisation de ce dispositif est autorisée seulement aux conditions suivantes : (1) il ne doit pas produire de brouillage et (2) l’utilisateur du dispositif doit être prêt à accepter tout brouillage radioélectrique reçu, même si ce brouillage est susceptible de compromettre le fonctionnement du dispositif. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures: Turn the television or radio antenna until the interference stops. Move the computer to one side or the other of the television or radio. Move the computer farther away from the television or radio. Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple-authorized service provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Changes or modifications to this product not authorized by Apple Computer, Inc., could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product has demonstrated EMC compliance under conditions that included the use of compliant peripheral devices and shielded cables between system components. It is important that you use compliant peripheral devices and shielded cables (including Ethernet network cables) between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. F3954M38_51_60.book Page 68 Friday, August 11, 2006 3:46 PM69 Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Computer, Inc. Product Compliance 1 Infinite Loop M/S 26-A Cupertino, CA 95014-2084 Utilisation de la radio sans fil Opérant dans une zone de fréquence située entre 5,15 et 5,25 GHz, l’usage de cet appareil est limité aux zones intérieures afin de réduire la possibilité d’interférences nuisibles en cas de coïncidence avec les systèmes de satellite mobile. Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the AirPort Extreme Card in this device is far below the FCC radio frequency exposure limits for uncontrolled equipment. This device should be operated with a minimum distance of at least 20 cm between the AirPort Extreme Card antennas and a person’s body and must not be co-located or operated with any other antenna or transmitter. Communauté Européenne Ce produit est conforme aux directives européennes 72/23/CEE, 89/336/CEE et 99/5/CE. Europe–EU Declaration of Conformity The equipment complies with the RF Exposure Requirement 1999/519/EC, Council Recommendation of 12 July 1999 on the limitation of exposure of the general public to electromagnetic fields (0 Hz to 300 GHz. This equipment meets the following conformance standards: EN300 328, EN301 893, EN301 489-17, EN60950 Par la présente Apple Computer, Inc. déclare que l’appareil 802.11a/b/g Mini-PCIe card est conforme aux exigences essentielles et aux autres dispositions pertinentes de la directive 1999/5/CE. Korea Mouse Statement Korea Statements Singapore Wireless Certification Mighty Mouse Mighty Mouse F3954M38_51_60.book Page 69 Friday, August 11, 2006 3:46 PM70 Taiwan Wireless Statements Taiwan Statement Taiwan Class B Statement VCCI Class B Statement Souris à diode électroluminescente (DEL) de Catégorie 1 La souris Mighty Mouse d’Apple est un produit à DEL de Catégorie 1 répondant aux normes IEC 60825-1 A1 A2. It also complies with the Canadian ICES-003 Class B Specification. Utilisation d’un modem USB externe Si vous branchez votre iMac sur une ligne téléphonique à l’aide d’un modem USB, reportez-vous aux informations de l’entreprise de télécommunications présentes dans le guide qui accompagne votre modem. ENERGY STAR® Compliance As an ENERGY STAR® partner, Apple has determined that standard configurations of this product meet the ENERGY STAR guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR program is a partnership with office product equipment manufacturers to promote energyefficiency. Reducing energy consumption of office products saves money and reduces pollution by eliminating wasted energy. F3954M38_51_60.book Page 70 Friday, August 11, 2006 3:46 PM71 Informations sur l’élimination et le recyclage La lampe de rétro-éclairage contient du mercure. Respectez les loisnationales et régionales en matière de déchets toxiquess. Pour vous informer sur le programme de recyclage d’Apple, rendez-vous sur le site www.apple.com/ environment/summary.html (en anglais). Union européenne Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Élimination de la batterie La batterie de secours intégrée à votre iMac permet de conserver certains réglages, comme l’heure et la date, quand l’ordinateur est éteint. N’essayez pas de changer cette batterie. Seul un technicien certifié Apple peut le faire. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, veuillez vous en débarrasser selon les normes et la législation environnementales de votre pays. California: The coin cell battery in your product contains perchlorates. Special handling and disposal may apply. Refer to www.dtsc.ca.gov/hazardouswaste/perchlorate. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Taïwan: F3954M38_51_60.book Page 71 Friday, August 11, 2006 3:46 PMF3954M38_51_60.book Page 72 Friday, August 11, 2006 3:46 PMK Apple Computer, Inc. © 2006 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. En application des lois et conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer, Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AirPort, FireWire, iCal, iLife, iMac, iMovie, iPhoto, iPod, iTunes, Mac, le logo Mac, Mac OS et Macintosh sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. AirPort Express, Finder, le logo FireWire, GarageBand, iSight, iWeb, Safari, Spotlight et Tiger sont des marques d’Apple Computer Inc. AppleCare et Apple Store sont des marques de service d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Mighty Mouse © Viacom International Inc. Tous droits réservés. La marque Mighty Mouse est utilisée sous licence. ENERGY STAR® est une marque déposée aux États-Unis. Intel et Intel Core sont des marques d’Intel Corp. aux États-Unis et dans d’autres pays. La marque et les logos Bluetooth sont la propriété de Bluetooth SIG, Inc. et sont utilisés sous licence par Apple Computer, Inc. Les autres noms de produits et de sociétés peuvent être des marques de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Fabriqué sous licence de Dolby Laboratories. « Dolby », « Pro Logic » et le logo double-D sont des marques déposées de Dolby Laboratories. Travaux confidentiels inédits. © 1992–1997 Dolby Laboratories, Inc. Tous droits réservés. Le produit décrit dans le présent manuel intègre des technologies de protection de droits d’auteur ellesmêmes protégées par divers brevets américains ainsi que d’autres droits de propriété intellectuelle appartenant à Macrovision Corporation et à d’autres détenteurs. L’utilisation de ces technologies de protection des droits d’auteurs doit être autorisée par Macrovision Corporation et est destinée à un cadre privé ou de visualisation restreinte, sauf consentement de Macrovision Corporation. Tout démontage ou ingénierie inverse est interdit. Réclamations concernant l’appareillage aux États-Unis. Brevets n˚ 4,631,603, 4,577,216, 4,819,098 et 4,907,093 sous licence à des fins de visualisation limitée uniquement. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. F3954M38_51_60.book Page 73 Friday, August 11, 2006 3:46 PM Installation de votre logiciel Les informations suivantes, dont le but est de vous permettre d’utiliser le logiciel le plus rapidement possible, portent sur :  À propos des disques d’installation et de contenu de Final Cut Studio (p. 2)  Mise à niveau de Mac OS X et de QuickTime (p. 4)  Installation Final Cut Studio (p. 5)  Installation du contenu (p. 9)  Enregistrement Final Cut Studio (p. 12)  À propos de l’Aide à l’écran (p. 13)  Contacter l’assistance AppleCare (p. 14) Veillez également à consulter le document intitulé Avant d’installer Final Cut Studio, disponible sur le disque d’installation de Final Cut Studio. Pour obtenir les informations les plus récentes concernant Final Cut Studio, consultez le site Web de Final Cut Studio à l’adresse http://www.apple.com/fr/finalcutstudio.2 À propos des disques d’installation et de contenu de Final Cut Studio Final Cut Studio 5.1 comprend tous les disques d’installation et de contenu nécessaires à l’installation de Final Cut Pro 5.1, Soundtrack Pro 1.1, Motion 2.1, DVD Studio Pro 4.1, LiveType 2.1, Cinema Tools 3.1, Apple Qmaster 2.1 et Compressor 2.1. Sont également inclus dans Final Cut Studio des disques d’initiation à la formation sur les applications professionnelles Apple. Le contenu de chaque disque est décrit ci-après. Remarque :ces disques contiennent les fichiers nécessaires à l’installation de Final Cut Studio 5.1 sur ordinateurs Macintosh à processeur PowerPC ou à processeur Intel. Le processus d’installation est le même pour les deux architectures. Disque d’installation de Final Cut Studio Ce disque contient les fichiers nécessaires pour installer Final Cut Pro, LiveType, Cinema Tools et Compressor. Il s’agit du premier disque permettant d’installer Final Cut Studio. Il contient également les fichiers et les dossiers suivants :  Avant d’installer Final Cut Studio :ce document décrit la configuration requise et les étapes à suivre avant d’installer les applications. Veuillez lire ce document avant d’installer Final Cut Studio.  Icône “Install Final Cut Studio”:double-cliquez sur cette icône pour lancer le processus d’installation.  Dossier Documentation :documentation au format PDF de toutes les applications du coffret de Final Cut Studio. La plupart des documents PDF comportent une page d’accès contenant des liens vers des documents supplémentaires et des sites Web Apple connexes.  Dossier Compléments :ce dossier contient les programmes d’installation, les applications et les documents supplémentaires mentionnés ci-après.  Frame Rate Converter : dossier contenant le module Convertisseur de fréquence d’images DVCPRO HD et sa documentation.  LiveType Extras :dossier de documentation et d’échantillons de polices LiveFonts.  EDL Access :dossier contenant l’application et la documentation EDL Access.  Head Leaders for Cinema Tools :dossier contenant de la documentation, des films et un projet utilisant des amorces de début.  DVX-100 Audio Sync Tool :dossier contenant l’outil de synchronisation audio pour DVX-100 et sa documentation.  Apple Qmaster Nodes.mpkg :il s’agit d’un programme d’installation pour Apple Qmaster, une application que vous pouvez utiliser pour configurer un réseau d’encodage distribué. Consultez le lien sur la configuration du traitement distribué sur la page d’accès au Manuel de l’utilisateur de Compressor pour obtenir des informations sur l’installation et la configuration d’Apple Qmaster.3 Disque d’installation de Soundtrack Pro Ce disque contient les fichiers nécessaires pour installer Soundtrack Pro. Le programme d’installation de Final Cut Studio vous fera savoir au moment opportun qu’il est nécessaire d’insérer le disque. Disque des boucles Apple Loops pour Soundtrack Pro Ce disque comporte une vaste bibliothèque d’effets sonores et de boucles utilisant le format Apple Loops. Le programme d’installation de Final Cut Studio vous fera savoir au moment opportun qu’il est nécessaire d’insérer le disque. Disque d’installation de Motion Ce disque contient les fichiers nécessaires pour installer Motion. Le programme d’installation de Final Cut Studio vous fera savoir au moment opportun qu’il est nécessaire d’insérer le disque. Ce disque comprend également un dossier intitulé Compléments qui contient des modèles supplémentaires pour les projets HD. Disque d’installation de DVD Studio Pro Ce disque contient les fichiers nécessaires pour installer DVD Studio Pro. Le programme d’installation de Final Cut Studio vous fera savoir au moment opportun qu’il est nécessaire d’insérer le disque. Ce disque comprend également un dossier intitulé “Modèles de films d’introduction” qui contient de la documentation ainsi que plusieurs films en versions NTSC et PAL, à utiliser avec les modèles Apple fournis avec DVD Studio Pro. Disques de données LiveType Ces disques fournissent le contenu de données LiveType, comprenant notamment des polices LiveFonts, des modèles, des objets et des textures. Le programme d’installation de Final Cut Studio vous fera savoir au moment opportun qu’il est nécessaire d’insérer le disque. Disque d’initiation à la formation sur les applications professionnelles Apple incluses dans Final Cut Studio Ce disque fournit du contenu correspondant au manuel d’initiation à la formation sur les applications professionnelles Apple incluses dans Final Cut Studio, disponible sur ce disque sous forme de fichier PDF. Il n’est pas installé au travers du programme d’installation de Final Cut Studio. DVD d’initiation à la formation sur les applications professionnelles Apple incluses dans Final Cut Studio Ce disque fournit du contenu correspondant à une initiation vidéo sur DVD pour les applications de Final Cut Studio. Il n’est pas installé au travers du programme d’installation de Final Cut Studio.4 Mise à niveau de Mac OS X et de QuickTime Avant d’installer Final Cut Studio, mettez à jour votre logiciel système pour vous assurer de disposer de la dernière version de Mac OS X. Vous devez également effectuer une mise à niveau avec la version la plus récente de QuickTime. QuickTime constitue une norme standard de traitement vidéo numérique nécessaire au fonctionnement de Final Cut Studio. Remarque :pour connaître la configuration minimale requise, reportez-vous au document intitulé Avant d’installer Final Cut Studio, disponible sur le disque d’installation de Final Cut Studio. Important :vous devez acquérir Mac OS X 10.4 Tiger ou ultérieur si vous effectuez une mise à niveau à partir de Mac OS X 10.3 Panther ou antérieur. Pour mettre à jour vos logiciels système : 1 Choisissez le menu Pomme > Mise à jour de logiciels. Une zone de dialogue apparaît pour vous présenter les nouveaux logiciels ou les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. 2 Si nécessaire, suivez les instructions à l’écran afin de procéder à la mise à jour de Mac OS X et QuickTime avec les versions les plus récentes. Important :l’installation de Final Cut Studio et la saisie du numéro de série permettent de déverrouiller automatiquement les capacités multimédias étendues de QuickTime Pro 7.5 Installation Final Cut Studio Lorsque vous installez Final Cut Studio, ses applications sont placées dans le dossier Applications de votre disque de démarrage. Vous pouvez choisir de placer le contenu de chaque application (comme les modèles) dans l’emplacement par défaut ou dans un emplacement personnalisé. L’installation de Final Cut Studio requiert que vous insériez chacun des disques, en commençant par le disque d’installation de Final Cut Studio. Une fois l’installation de ce disque terminée, poursuivez l’installation de Final Cut Studio en insérant chacun des autres disques lorsque vous y êtes invité. Important :vous devez commencer par le disque d’installation de Final Cut Studio, même si vous n’envisagez pas d’installer les applications qu’il contient. En d’autres termes, même si vous ne souhaitez installer que DVD Studio Pro, par exemple, vous devez commencer par le disque d’installation de Final Cut Studio et sélectionner DVD Studio Pro dans la fenê- tre d’installation personnalisée qui s’affiche. Remarque :avant d’installer le logiciel, vous devez vous connecter à votre ordinateur via un compte d’administrateur et saisir le mot de passe d’administrateur. Pour en savoir plus, consultez l’Aide Mac. Avertissement :si votre système ne répond pas à la configuration minimale requise pour n’importe laquelle des applications de Final Cut Studio, l’application en question ne pourra pas être installée. Pour connaître la configuration minimale requise, référez-vous au document intitulé Avant d’installer Final Cut Studio qui se trouve sur le disque d’installation de Final Cut Studio.6 Pour saisir le numéro de série et installer Final Cut Studio : 1 Insérez le disque d’installation de Final Cut Studio dans le lecteur DVD de votre ordinateur. 2 Double-cliquez sur l’icône “Install Final Cut Studio”, puis suivez les instructions à l’écran. 3 Le programme d’installation procède à une vérification de la configuration du système afin de déterminer si les applications de Final Cut Studio peuvent être installées. Cliquez sur Continuer. 4 Lisez les informations de bienvenue, puis cliquez sur Continuer. 5 Lisez le contrat de licence du logiciel, cliquez sur Continuer puis sur Accepter (si vous êtes d’accord). 6 Sélectionnez le disque de démarrage, puis cliquez sur Continuer. Votre disque de démarrage doit disposer de la dernière version de Mac OS X. 7 Dans la sous-fenêtre des informations de l’utilisateur, tapez vos nom et prénom. La saisie du nom de l’entreprise est facultative. Saisissez votre nom (obligatoire). Saisissez le nom de votre entreprise (facultatif). Saisissez votre numéro de série, y compris les tirets (obligatoire).7 8 Dans le champ de numéro de série, tapez le numéro de série de Final Cut Studio figurant sur l’étiquette du numéro de série collée sur la couverture du présent document, puis cliquez sur Continuer. La fenêtre d’installation personnalisée apparaît. Voici quelques astuces qui vous permettront de saisir le numéro de série sans faire d’erreur :  Veillez à copier le numéro de série qui se trouve en couverture de ce document.  Veillez à saisir le numéro de série du logiciel et non le numéro d’identifiant d’assistance.  Veillez à ne pas confondre les caractères 0 (zéro) et O, 1 et L minuscule, le cas échéant.  Assurez-vous d’inclure les tirets dans le numéro de série.  Ne saisissez pas d’espace avant et après le numéro de série.  Vérifiez que vous avez saisi le numéro de série correctement. Remarque :si vous procédez à une mise à niveau à partir de Production Suite, le programme d’installation recherche alors les numéros de série de Final Cut Pro HD (version 4.5), Motion 1.0 et DVD Studio Pro 3.0. Si vous procédez à une mise à niveau à partir de Final Cut Pro, le programme d’installation recherche alors le numéro de série adéquat. Si le programme d’installation ne parvient pas à trouver ces numéros de série, un message vous invite à les saisir. Important :après trois essais infructueux, le programme d’installation se ferme. Pour recommencer le processus d’installation, revenez à l’étape 2. 9 Personnalisez votre installation en sélectionnant ou en désélectionnant des éléments dans la fenêtre d’installation personnalisée. De nombreux éléments comprennent un triangle d’affichage qui, lorsque l’on clique dessus, fait apparaître des éléments supplémentaires qu’il est possible de sélectionner ou de désélectionner. Tout élément à la fois désélectionné et estompé correspond à un composant qui ne peut être installé car votre système ne respecte pas la configuration minimale requise. Placez le pointeur sur l’un de ces éléments pour connaître les conditions requises mais qui ne sont pas satisfaites. Remarque :vous devrez peut-être agrandir la fenêtre et faire glisser le bord de l’en-tête Nom du paquet pour afficher la totalité du nom de certains éléments.8 10 Cliquez sur les icônes des dossiers répertoriés dans la colonne Emplacement puis sélectionnez Autre dans le menu local pour choisir un emplacement personnalisé pour le contenu. Consultez “Installation du contenu” à la page 9 pour obtenir des informations sur l’installation du contenu et le choix d’emplacements personnalisés pour les éléments qui le permettent. 11 Une fois que vous avez configuré les éléments de la fenêtre d’installation personnalisée, cliquez sur Installer ou sur Mettre à niveau. Important :il se peut qu’une option de mise à niveau soit proposée même sur des ordinateurs ne disposant pas de versions antérieures de Final Cut Studio. Ce comportement, qui est tout à fait normal, est dû au fait que le programme d’installation a détecté sur votre système au moins un fichier commun avec les fichiers qu’il est en train d’installer. 12 Un message apparaît pour présenter la liste des disques nécessaires pour effectuer l’installation. Cliquez sur Continuer l’installation. 13 Une zone de dialogue apparaît pour vous inviter à vous identifier en tapant votre nom et votre mot de passe. Cliquez sur OK une fois terminé. Le programme d’installation affiche une barre de progression indiquant le déroulement de l’opération et vous invite à insérer certains disques afin de poursuivre l’installation. Remarque :vous devrez insérer de nouveau le disque d’installation de Final Cut Studio pour terminer l’installation. Une fois l’installation complétée, vous êtes prêt à utiliser les applications de Final Cut Studio. Avertissement :les disques que vous insérez au cours de l’installation de Final Cut Studio ont leur propre programme d’installation, que le Finder affiche. Ne cliquez sur aucun élément de la fenêtre du Finder d’un disque ; contentez-vous plutôt de suivre les indications du programme d’installation de Final Cut Studio. Lancer le programme d’installation d’un disque individuel si celui de Final Cut Studio est toujours en cours d’exécution peut provoquer une installation incomplète de Final Cut Studio et, par conséquent, la nécessité de recommencer.9 Installation du contenu Un bon nombre des applications de Final Cut Studio comprennent un contenu supplé- mentaire, comme des modèles et des boucles Apple Loops, que vous pouvez installer si vous le souhaitez. À propos du contenu Vous trouverez ci-après une brève description du contenu inclus avec chacune des applications de Final Cut Studio, ainsi que leurs emplacements d’installation par défaut. Vous pouvez également choisir des emplacements personnalisés pour y placer la plupart de ce contenu, tels qu’un second disque dur ou un dossier personnalisé. Boucles Apple Loops pour Soundtrack Pro Le disque des boucles Apple Loops pour Soundtrack Pro comporte une vaste bibliothèque de boucles Apple Loops. En plus de nombreuses boucles Apple Loops inédites, ce disque contient l’ensemble des boucles Apple Loops des versions précédentes de Soundtrack. Si vous voulez vous assurer que le programme d’installation installe un ensemble complet de boucles Apple Loops non modifiées, vous devez soit supprimer les anciennes boucles Apple Loops,soit choisir un emplacement personnalisé où placer ces nouvelles boucles. L’emplacement par défaut du contenu de Soundtrack Pro est /Bibliothèque/Audio/ Apple Loops/. Contenu de Motion Le contenu de Motion est inclus sur le disque d’installation de Motion. Vous disposez de trois types de contenu :  Contenu de la bibliothèque :il comprend les éléments de la Bibliothèque nécessaires, tels que les émetteurs de particules, les préréglages de réplicateur, des formes, des dégradés, des styles de texte, etc.  Collections de modèles :ensemble de modèles professionnels que vous pouvez utiliser et personnaliser au gré de vos besoins.  Médias d’initiation : les médias d’initiation sont utilisés avec le document au format PDF Guide d’initiation de Motion, situé dans le dossier Documentation et également disponible dans le menu Aide de Motion. L’emplacement par défaut du contenu de Motion est /Utilisateurs/Partagé/.10 Contenu de DVD Studio Pro Le contenu de DVD Studio Pro est inclus sur le disque d’installation de DVD Studio Pro. Ce contenu comporte des éléments de thèmes d’iDVD, ainsi que des modèles et des transitions.  Éléments de thèmes d’iDVD :DVD Studio Pro 4 peut importer des projets à partir de iDVD 3 et iDVD 4 à condition que soient installés sur votre système les éléments de thèmes d’iDVD (en plus d’iDVD). Important :les projets d’autres versions d’iDVD, notamment iDVD 5, ne peuvent être importés dans DVD Studio Pro 4. L’installation des éléments de thèmes d’iDVD remplace les anciens fichiers d’élé- ments de thèmes d’iDVD. Ceci n’affecte pas le fonctionnement d’iDVD ; cela permet uniquement de l’améliorer en rendant possible l’ouverture de projets iDVD dans DVD Studio Pro.  Modèles et transitions :DVD Studio Pro fournit des modèles et des transitions pour les projets SD et HD, notamment tous les modèles et transitions fournis avec les versions précédentes de DVD Studio Pro. Vous pouvez choisir quels groupes de modèles et de transitions installer dans la fenêtre d’installation personnalisée. Remarque :la sélection de modèles de DVD Studio Pro 3 installe également les modèles de DVD Studio Pro 2. L’emplacement par défaut du contenu de DVD Studio Pro est /Bibliothèque/Application Support/DVD Studio Pro/Apple/. Medias de LiveType Les disques Médias de LiveType fournissent un contenu nouveau et substantiel de médias, comprenant des polices LiveFonts, des modèles, des objets et des textures. L’emplacement par défaut du contenu de LiveType est /Bibliothèque/Application Support/ LiveType/Apple/.11 Installation du contenu Le programme d’installation de Final Cut Studio comprend une fenêtre d’installation personnalisée dans laquelle vous pouvez préciser les applications et le contenu à installer. Vous pouvez également configurer cette fenêtre de façon à installer les éléments de contenu sélectionnés plus tard si vous décidez de ne pas les installer avec les applications. Si vous utilisez le programme d’installation de Final Cut Studio pour ultérieurement installer les éléments de contenu sélectionnés, le processus est celui qui est décrit à la section “Installation Final Cut Studio” à la page 5, mis à part qu’il n’est pas nécessaire de saisir le numéro de série à nouveau. Les éléments de contenu que vous pouvez placer à un emplacement de votre choix possèdent une icône de dossier dans la colonne Emplacement de la fenêtre d’installation personnalisée. Vous pouvez choisir l’emplacement où installer le contenu en cliquant sur ce dossier. Cliquez sur l’icône de dossier, puis choisissez Autre dans le menu local pour choisir un emplacement personnalisé où installer le contenu. Cliquez sur le triangle d’affichage pour afficher des éléments supplé- mentaires.12 Enregistrement Final Cut Studio Lorsque vous ouvrez l’une des applications Final Cut Studio pour la première fois, l’application vous invite à remplir le formulaire d’enregistrement. Par défaut, les données de votre fiche personnelle (provenant du Carnet d’adresse), sont automatiquement saisies dans les champs correspondants. Pour enregistrer Final Cut Studio au nom d’un autre utilisateur que celui qui apparaît sur votre fiche personnelle dans le Carnet d’adresses : 1 Remplissez les champs Nom, Adresse, Entreprise et Adresse électronique. 2 Si vous souhaitez recevoir des informations à propos des actualités Apple et des mises à jour de logiciels, cochez la case correspondante. 3 Si vous souhaitez consulter les mentions légales d’Apple en matière de confidentialité, cliquez sur Confidentialité. 4 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur Enregistrer. Final Cut Studio est désormais enregistré. Remarque :si vous décidez de cliquer sur le bouton Enregistrer plus tard, vous serez à nouveau invité à procéder à l’enregistrement après avoir ouvert cinq fois l’une des applications Final Cut Studio.13 À propos de l’Aide à l’écran L’aide à l’écran vous permet d’avoir directement accès à des informations à l’écran pendant que vous travaillez dans les applications de Final Cut Studio. Elle met à votre disposition plusieurs manuels d’utilisateur en ligne, ainsi que des liens vers d’autres documents et des sites Web Apple connexes. Manuels d’utilisateurs à l’écran Le manuel d’utilisateur à l’écran de chaque application Final Cut Studio est accessible à partir du menu Aide de l’application concernée. Pour accéder au manuel d’utilisateur à l’écran d’une application : m Choisissez le manuel d’utilisateur de l’application dans le menu Aide. Informations de dernière minute La plupart des applications Final Cut Studio possèdent un document“Informations de dernière minute” contenant des informations sur les problèmes connus et ceux plus spécifiques aux matériels et logiciels de tierce partie. Remarque :une connexion à Internet est nécessaire pour télécharger le document “Informations de dernière minute”. Pour accéder aux Informations de dernière minute d’une application : m Choisissez Aide > Informations de dernière minute, dans l’application concernée. Nouvelles fonctionnalités La plupart des applications Final Cut Studio possèdent un document intitulé Nouvelles fonctionnalités, qui décrit les fonctionnalités ajoutées ou améliorées depuis la dernière version. Pour accéder au document Nouvelles fonctionnalités d’une application : m Choisissez Aide > Nouvelles fonctionnalités, dans l’application concernée.14 Contacter l’assistance AppleCare Votre coffret Final Cut Studio comprend des informations sur les options d’assistance proposées par Apple. Plusieurs niveaux d’assistance sont disponibles. Quel que soit votre problème, nous vous recommandons d’avoir les informations suivantes sous les yeux lorsque vous entrez en contact avec le service d’assistance Apple. Plus les informations fournies à vos agents d’assistance Apple seront détaillées, plus le problème sera résolu rapidement.  Le numéro d’identifiant d’assistance de Final Cut Studio situé sur la couverture de ce document. Remarque :le numéro d’identification d’assistance composé de 11 chiffres n’est pas le même que le numéro de série utilisé pour installer Final Cut Studio.  Version de Mac OS X installée. Pour connaître la version de Mac OS X, choisissez le menu Pomme > À propos de ce Mac.  La version de l’application que vous avez installée et qui vous pose problème. Pour connaître la version de l’application installée sur votre ordinateur, choisissez Nom de l’application > À propos de Nom de l’application (“Nom de l’application” correspondant au nom de l’application concernée).  Le modèle d’ordinateur utilisé.  La quantité de mémoire RAM installée sur votre ordinateur. Pour le savoir, choisissez le menu Pomme > À propos de ce Mac.  Les autres composants matériels de tierce partie connectés à votre ordinateur ou installés sur ce dernier, ainsi que les noms de leurs fabricants. Cela inclut les disques durs, les cartes graphiques, etc. L’assistance AppleCare est accessible en ligne à l’adresse http://www.apple.com/fr/support/. Vous pouvez sélectionner l’application concernée pour afficher des informations spécifiques. Vous pouvez également accéder directement au site Web AppleCare depuis le menu Aide de chacune des applications. Pour accéder au site Web d’AppleCare à partir d’une application : m Choisissez Aide > Assistance Nom de l’application (où “Nom de l’application” correspond au nom de l’application concernée). © 2006 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, DVD Studio Pro, Final Cut, Final Cut Pro, iDVD, Mac, Macintosh, Mac OS, Panther, QuickTime et Soundtrack sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Cinema Tools, Finder, LiveType et Tiger sont des marques d’Apple Computer, Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Computer, Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. PowerPC et le logo de PowerPC sont des marques d’International Business Machines Corporation, utilisées sous licence. Intel et Intel Core sont des marques d’Intel Corp. aux États-Unis et dans d’autres pays. iPod nano Guide des fonctions2 2 Table des matières Chapitre 1 4 Notions élémentaires de l’iPod nano 5 Vue d’ensemble de l’iPod nano 5 Utilisation des commandes de l’iPod nano 7 Désactivation des commandes de l’iPod nano. 8 Utilisation des menus de l’iPod nano 9 Connexion et déconnexion de l’iPod nano Chapitre 2 14 Fonctionnalités musicales 14 À propos d’iTunes 15 Importation de musique sur votre ordinateur 19 Organisation de votre musique 20 Téléchargement de musique et de podcasts sur l’iPod nano 25 Lecture de musique 31 Écoute de podcasts 32 Écoute de livres audio 32 Écoute de la radio FM Chapitre 3 33 Fonctionnalités concernant les photos 33 Téléchargement de photos 36 Visionnage de photos Chapitre 4 38 Fonctions et accessoires supplémentaires 38 Utilisation de l’iPod nano en tant que disque externe 39 Utilisation des réglages supplémentaires 43 Synchronisation de contacts, de calendriers et de listes de tâches 45 Mémorisation et lecture de notes 46 À propos des accessoires de l’iPod nano Chapitre 5 47 Astuces et dépannage 47 Quelques suggestions 52 Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPodTable des matières 3 Chapitre 6 54 Sécurité et entretien 54 Instructions de sécurité à propos de la configuration 54 Conseils généraux de sécurité, de nettoyage et de manipulation de l’appareil Chapitre 7 57 En savoir plus, service et assistance1 4 1 Notions élémentaires de l’iPod nano Apple vous félicite pour l’acquisition de votre iPod nano. Lisez cette section pour en savoir plus sur les fonctionnalités de l’iPod nano, sur la manière d’utiliser ses commandes et plus encore. Pour utiliser l’iPod nano, déposez de la musique, des photos et d’autres fichiers sur votre ordinateur puis téléchargez ces fichiers sur l’iPod nano. L’iPod nano est un lecteur de musique et bien plus encore. L’iPod nano vous permet de :  stocker des morceaux et des photos numériques pour les écouter ou les regarder où que vous soyez ;  écouter des podcasts, des sortes d’émissions de radio téléchargeables sur Internet ;  regardez des photos sous forme de diaporama accompagné de musique sur l’iPod nano ;  écouter des livres audio achetés sur l’iTunes Music Store ou audible.com ;  stocker ou sauvegarder des fichiers et autres données en utilisant l’iPod nano comme disque externe ;  synchroniser des contacts, calendriers et listes de tâches avec votre ordinateur ;  jouer à des jeux, stocker des notes texte, régler une alarme et plus encore.Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano 5 Vue d’ensemble de l’iPod nano Familiarisez-vous avec toutes les commandes de votre iPod nano : Utilisation des commandes de l’iPod nano Les commandes de votre iPod nano sont faciles à trouver et à utiliser. Appuyez sur n’importe quel bouton pour mettre en marche l’iPod nano. Le menu principal apparaît. Servez-vous de la molette cliquable et du bouton central pour naviguer dans les menus à l’écran, lire des morceaux, modifier des réglages et afficher des informations. Déplacez légèrement votre pouce autour de la molette cliquable pour sélectionner un élément du menu. Pour sélectionner l’élément, appuyez sur le bouton central. Pour revenir au menu précédent, cliquez sur le bouton Menu de la molette cliquable. Bouton de verrouillage (Hold) Bouton Menu Bouton Précédent/Retour rapide Molette cliquable Bouton central Bouton Suivant/Avance rapide Bouton Lecture/Pause Numéro de série (derrière) Port de connexion Dock Port de sortie casque6 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano Le tableau suivant vous indique à quoi peuvent servir les commandes de l’iPod nano. Pour : procédez ainsi : réinitialiser l’iPod nano (si votre iPod nano ne répond plus) Placez le bouton Hold sur Hold puis replacez-le en position normale. Appuyez ensuite simultanément sur les boutons Menu et central pendant environ 6 secondes jusqu’à l’apparition du logo Apple. activer l’iPod nano Appuyez sur un bouton quelconque. éteindre l’iPod nano Maintenez enfoncé le bouton Lecture/Pause (’). activer le rétro-éclairage Appuyez sur un bouton quelconque ou utilisez la molette cliquable. désactiver les boutons de l’iPod nano (pour ne pas les activer par mégarde) Poussez le bouton Hold vers Hold (une barre orange apparaît). choisir un élément du menu Faites défiler jusqu’à l’élément puis appuyez sur le bouton central. revenir au menu précédent Appuyez sur Menu. revenir au menu principal Maintenez enfoncé le bouton Menu. rechercher un morceau Dans le menu principal, sélectionnez Musique. écouter un morceau Sélectionnez le morceau et appuyez sur le bouton central ou Lecture/Pause (’). Pour pouvoir lire des morceaux, l’iPod nano doit être éjecté de votre ordinateur. mettre en pause un morceau Appuyez sur Lecture/Pause (’) ou débranchez vos écouteurs. régler le volume Dans l’écran En lecture, servez-vous de la molette cliquable. lire tous les morceaux de la liste Sélectionnez le titre de la liste (par exemple un titre d’album ou le titre d’une liste de lecture) puis appuyez sur Lecture/Pause (’). lire tous les morceaux dans un ordre aléatoire Sélectionnez l’option Mix de morceaux dans le menu principal. passer à n’importe quel endroit d’un morceau Dans l’écran En lecture, appuyez sur le bouton central pour afficher le défileur, puis faites défiler jusqu’à un point dans le morceau. passer au morceau ou chapitre de livre audio ou de podcast suivant Appuyez sur Suivant/Avance rapide (‘). revenir au début d’un morceau Appuyez sur Précédent/Retour rapide (]). lire le morceau ou le chapitre de livre audio ou de podcast précédent Appuyez deux fois sur Précédent/Retour rapide (]). avancer ou revenir rapidement dans un morceau Maintenez enfoncé Suivant/Avance rapide (‘) ou Précédent/Retour rapide (]). ajouter un morceau à la liste de lecture On-The-Go Sélectionnez un morceau puis maintenez enfoncé le bouton central jusqu’à ce que le titre du morceau clignote.Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano 7 Choix du son de la molette cliquable Lorsque vous faites défiler les options de menu, vous entendez un son de clic sortir du haut-parleur interne de l’iPod nano qui signale que la molette cliquable fonctionne. Le son de cette molette peut à la place sortir des écouteurs ou être désactivé. Pour choisir le mode d’émission du son de la molette cliquable sur l’iPod nano : m Sélectionnez l’élément du menu Réglages dans le menu principal de l’iPod nano puis suivez les instructions ci-dessous : Désactivation des commandes de l’iPod nano. Si vous transportez l’iPod nano dans votre poche et ne souhaitez pas l’allumer ou activer les commandes involontairement, désactivez ces derniers à l’aide du bouton Hold. m Placez le bouton Hold sur Hold. Réglez le cliqueur sur : Pour : Écouteurs Faire que le son de la molette cliquable sorte des écouteurs. Non Désactiver le son de la molette cliquable. Haut-parleur Faire que le son de la molette cliquable sorte du haut-parleur interne de l’iPod nano. Les deux Faire que le son de la molette cliquable sorte à la fois du hautparleur interne de l’iPod nano et des écouteurs. Faites glisser le bouton vers le centre (de telle façon que la barre orange soit visible) pour désactiver les commandes.8 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano Utilisation des menus de l’iPod nano Lorsque vous allumez l’iPod nano, le menu principal apparaît. Sélectionnez des éléments du menu pour effectuer des actions ou accéder à d’autres menus. Les icônes d’état situées en haut de l’écran affichent les réglages de l’iPod nano. Le tableau suivant décrit les éléments du menu principal de l’iPod nano. Ajout ou suppression d’éléments depuis le menu principal Il est possible que vous souhaitiez ajouter des éléments fréquemment utilisés au menu principal de l’iPod nano. Par exemple, vous pouvez ajouter un élément “Morceaux” au menu principal pour ne plus devoir sélectionner Musique avant de choisir Morceaux. Pour ajouter ou supprimer des éléments du menu principal : m Sélectionnez Réglages > Menu Principal. Réglage de la minuterie du rétro-éclairage Vous pouvez configurer l’activation du rétro-éclairage et illuminer l’écran pendant une durée déterminée lorsque vous cliquez sur un bouton ou utilisez la molette cliquable. Cette durée est configurée par défaut sur 10 secondes. m Sélectionnez Réglages > Rétro-éclairage puis choisissez la durée de rétro-éclairage. État de lecture Éléments de menu État de la batterie Icône de verrouillage Intitulé du menu Élément d’affichage Fonction Icône de verrouillage L’icône de verrouillage apparaît lorsque le bouton Hold (sur le dessus de l’iPod nano) est réglé sur Hold. Les commandes de l’iPod nano sont alors désactivées. Intitulé du menu Affiche l’intitulé du menu actuel. État de lecture L’icône Lecture (“) apparaît si un morceau est en cours de lecture. L’icône Pause (1) apparaît si un morceau en mode pause. État de la batterie L’icône de la batterie indique la charge restante approximative. Si la batterie est en cours de recharge, l’icône est animée. Éléments de menu Utilisez la molette cliquable pour faire défiler les éléments de menu. Appuyez sur le bouton central pour sélectionner un élément. Une flèche placée en regard d’un élément de menu indique qu’en le sélectionnant vous accédez à un autre menu.Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano 9 Même si vous ne configurez pas la minuterie du rétro-éclairage, vous pouvez activer le rétro-éclairage à tout moment en appuyant sur un bouton quelconque ou en utilisant la molette cliquable. Après quelques secondes, le rétro-éclairage s’éteint. Réglage de la langue La langue de l’iPod nano peut être configurée. m Sélectionnez Réglages > Langue puis choisissez une langue dans la liste. Connexion et déconnexion de l’iPod nano Connectez l’iPod nano à votre ordinateur pour télécharger de la musique, des photos et des fichiers, ainsi que pour recharger sa batterie. Déconnectez l’iPod nano lorsque vous avez terminé. Connexion de l’iPod nano Pour connecter l’iPod nano à votre ordinateur : m Connectez le câble iPod Dock Connector vers USB 2.0 à un port USB à forte alimentation de votre ordinateur (un port USB 2.0 est recommandé), puis connectez l’autre extrémité à votre iPod nano. Si vous possédez un socle iPod nano, vous pouvez brancher le câble sur un port USB à forte alimentation de votre ordinateur et l’autre extrémité sur le socle, puis placer l’iPod nano sur le socle. Remarque : le port USB de votre clavier ne fournit pas une alimentation suffisante. Vous devez connecter l’iPod nano à un port USB de votre ordinateur. Par défaut, l’iPod nano importe automatiquement les morceaux quand vous le connectez à votre ordinateur. Une fois ce téléchargement automatique terminé, vous pouvez déconnecter l’iPod nano.10 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano Si vous connectez l’iPod nano configuré pour la mise à jour automatique des morceaux à un autre ordinateur, iTunes vous demande confirmation avant de procéder au téléchargement de la musique. Si vous cliquez sur Oui, les morceaux et autres fichiers audio déjà sur votre iPod sont supprimés et remplacés par ceux de l’ordinateur auquel l’iPod est connecté. Pour plus de renseignements sur le téléchargement de musique sur l’iPod nano et sur l’utilisation de l’iPod nano avec plusieurs ordinateurs, consultez le chapitre 2, “Fonctionnalités musicales”, à la page 14. Remarque : vous pouvez télécharger des morceaux lorsque votre batterie est en recharge. Déconnexion de l’iPod nano Il est important de ne pas déconnecter l’iPod nano lorsqu’un téléchargement de musique est en cours. Pour savoir si vous pouvez débrancher l’iPod nano en toute sécurité, consultez son écran. Important : ne déconnectez pas l’iPod nano si le message “Ne pas déconnecter” apparaît. Vous pourriez en effet endommager les fichiers de l’iPod nano. Si ce message s’affiche, vous devez éjecter l’iPod nano avant de le déconnecter. Si vous configurez la mise à jour manuelle des morceaux sur l’iPod nano (consultez “Mise à jour manuelle de l’iPod nano” à la page 23) ou bien si vous activez l’iPod nano en tant que disque (consultez “Utilisation de l’iPod nano en tant que disque externe” à la page 38), vous devez éjecter l’iPod nano avant de le déconnecter. Pour éjecter l’iPod nano : m Cliquez sur le bouton d’éjection (C) situé près de l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes. Si vous utilisez un Mac : pour éjecter l’iPod nano, vous pouvez également faire glisser l’icône iPod nano du bureau vers la Corbeille. Si vous utilisez un PC sous Windows, vous pouvez éjecter l’iPod nano en cliquant sur l’icône “Supprimer le périphérique en toute sécurité” située dans la zone de notification du PC et en sélectionnant votre iPod nano. Si le menu principal ou une grande icône de batterie s’affiche, vous pouvez déconnecter l’iPod nano de l’ordinateur. Important : si ce message s’affiche, vous devez éjecter l’iPod nano avant de le déconnecter de votre ordinateur.Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano 11 Pour déconnecter l’iPod nano : 1 Débranchez les écouteurs s’ils sont branchés. 2 Appuyez sur les deux côtés du connecteur Dock pour débrancher le câble relié à l’iPod nano. Si l’iPod nano se trouve sur le socle Dock, il vous suffit de le retirer. À propos de la batterie de l’iPod nano L’iPod nano dispose d’une batterie interne, que l’utilisateur ne peut remplacer lui-même. Pour obtenir de meilleurs résultats, la première fois que vous utilisez l’iPod nano, laissez-le recharger pendant environ trois heures ou jusqu’à ce que l’icône située dans le coin supérieur droit de l’écran de l’iPod nano indique que la batterie est entièrement rechargée. Si l’iPod nano n’est pas utilisé pendant un moment, il est possible qu’une recharge de sa batterie soit nécessaire. Il faut environ deux heures pour recharger la batterie de l’iPod nano à 80 pour cent et environ trois heures pour la recharger complètement. Si vous procédez à la recharge de l’iPod nano tout en téléchargeant des fichiers, en écoutant de la musique ou en visionnant un diaporama, le processus risque de prendre davantage de temps. Recharge de la batterie de l’iPod nano Il existe deux manières de recharger la batterie de l’iPod nano :  Connectez l’iPod nano à votre ordinateur.  Utilisez l’adaptateur secteur USB iPod, disponible séparément. Pour recharger la batterie via votre ordinateur : m Connectez l’iPod nano à un port USB à forte alimentation de votre ordinateur. Votre ordinateur doit être allumé et non pas en mode veille (certains modèles Macintosh permettent de recharger l’iPod nano même en mode veille). Pour retirer le connecteur de votre iPod nano, appuyez sur les boutons latéraux et tirez.12 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano Si l’icône de la batterie sur l’écran de l’iPod nano affiche un éclair, la batterie est en cours de recharge. Si une icône de prise s’affiche, cela signifie que la batterie est entièrement rechargée. Si vous ne voyez aucune de ces deux icônes, l’iPod nano n’est peut-être pas connecté à un port USB 2.0 à forte alimentation. Essayez de le connecter à un autre port USB de votre ordinateur. Si vous souhaitez charger l’iPod nano lorsque vous êtes éloignés de votre ordinateur, vous pouvez acheter l’adaptateur secteur USB iPod. Pour charger la batterie via l’adaptateur iPod USB Power Adapter (disponible séparément) : 1 Connectez l’adaptateur CA à une prise électrique (si nécessaire). 2 Connectez une extrémité du câble iPod Dock Connector vers USB 2.0 à l’adaptateur secteur et l’autre à l’iPod nano. 3 Connectez l’adaptateur secteur à une prise de courant en état de fonctionnement. Remarque : si vous disposez d’un câble optionnel iPod Dock Connector vers FireWire, vous pouvez également connecter l’iPod nano à un port FireWire de votre ordinateur ou à un adaptateur secteur iPod Power Adapter (avec un port FireWire) branché sur une prise secteur. Vous ne pouvez utiliser un port FireWire que pour charger la batterie, et non pas pour télécharger des morceaux ou d’autres fichiers sur l’iPod nano. Avertissement : assurez-vous que l’adaptateur secteur est complètement assemblé avant de le brancher sur la prise. Fiche adaptatrice CA Adaptateur secteur USB iPod Câble iPod Dock Connector vers USB 2.0Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano 13 États de la batterie Lorsque l’iPod nano n’est pas connecté à une source d’alimentation, une icône de batterie, située dans le coin supérieur droit de l’écran de l’iPod nano, indique le niveau de recharge approximatif de la batterie. Si l’iPod nano est connecté à une source d’alimentation, l’icône de la batterie se modifie pour indiquer que la batterie est en cours de recharge ou entièrement rechargée. Vous pouvez déconnecter et utiliser l’iPod nano avant qu’il ne soit complètement rechargé. Remarque : les batteries rechargeables ont un nombre de cycles de recharge limité et il peut s’avérer nécessaire de les remplacer. La durée de vie de la batterie et le nombre de cycles de recharge varient en fonction de l’utilisation et des réglages de l’iPod. Pour plus d’informations, rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/batteries. Batterie rechargée à moins de 20 % Batterie environ à moitié rechargée Batterie entièrement rechargée Batterie en cours de chargement (éclair) Batterie entièrement rechargée (prise)2 14 2 Fonctionnalités musicales Grâce à votre iPod nano, vous pouvez emporter avec vous toute votre musique et collection audio, où que vous alliez. Lisez cette section pour apprendre à télécharger de la musique et à écouter votre iPod nano. Vous utilisez l’iPod nano en important des morceaux, des livres audio et des podcasts (sortes d’émissions radio) sur votre ordinateur et en les téléchargeant ensuite sur l’iPod nano. Lisez ce qui suit pour en savoir plus sur les étapes de ce processus, notamment sur :  Le transfert de musique à partir de votre collection de CD, votre disque dur ou l’iTunes Music Store (qui fait partie d’iTunes et n’est disponible que dans certains pays) vers l’application iTunes sur votre ordinateur.  L’organisation de la musique et d’autres fichiers audio en liste de lectures, si vous le souhaitez.  Le téléchargement de listes de lectures, de morceaux, de livres audio et de podcasts sur votre iPod nano.  La lecture de musique ou l’écoute de tout autre fichier audio où que vous soyez. À propos d’iTunes iTunes est l’application musicale que vous utilisez avec l’iPod nano. Elle s’ouvre automatiquement dès que vous connectez l’iPod nano à votre ordinateur. Ce guide contient des informations sur l’utilisation d’iTunes pour télécharger des morceaux et d’autres fichiers audio sur votre ordinateur, les organiser en listes appelées listes de lecture, les télécharger sur l’iPod nano et configurer les réglages de l’iPod nano.Chapitre 2 Fonctionnalités musicales 15 iTunes possède également bien d’autres fonctionnalités. Vous pouvez créer vos propres CD lisibles sur des lecteurs CD standard (si votre ordinateur possède un lecteur-enregistreur de CD), écouter la radio diffusée sur Internet, créer des listes de lecture dynamiques ou “Mix de soirée”, publier vos listes de lecture (appelées “iMix”) sur l’iTunes Music Store, évaluer des morceaux selon vos préférences et bien plus encore. Pour obtenir plus d’informations sur l’utilisation de ces fonctionnalités d’iTunes, ouvrez iTunes puis choisissez Aide > “Aide iTunes et Music Store”. Importation de musique sur votre ordinateur Pour écouter de la musique sur votre iPod nano, vous devez sur la transférer dans iTunes sur votre ordinateur. Il existe trois façons d’importer de la musique dans iTunes :  En important de la musique à partir de CD audio.  En achetant de la musique et des livres audio ou en téléchargeant des podcasts en ligne à partir de l’iTunes Music Store.  En ajoutant de la musique déjà stockée sur votre ordinateur à la bibliothèque musicale d’iTunes.16 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Importation de musique dans iTunes à partir de CD audio Suivez ces instructions pour importer de la musique de vos CD sur votre ordinateur. Pour importer de la musique dans iTunes à partir d’un CD audio : 1 Insérez un CD dans votre ordinateur puis ouvrez iTunes. Si vous disposez d’une connexion à Internet, iTunes extrait le nom des morceaux du CD à partir d’Internet et les affiche dans la fenêtre. Si iTunes n’extrait pas les noms automatiquement alors que vous êtes connecté à Internet, choisissez Avancé > Obtenir le nom des pistes du CD. Si vous n’avez pas de connexion à Internet, vous pouvez saisir manuellement le nom des pistes du CD. Pour en savoir plus, consultez “Saisie du nom des morceaux et d’autres détails” à la page 17. Une fois les informations des morceaux saisies, vous pouvez parcourir les morceaux dans iTunes ou sur l’iPod nano par titre, artiste, album ou autre critère. 2 Cliquez pour supprimer la coche située en regard des morceaux que vous ne souhaitez pas importer depuis le CD. 3 Cliquez sur le bouton Importer un CD. La zone d’affichage située en haut de la fenêtre iTunes indique le temps nécessaire à l’importation des différents morceaux. Par défaut, iTunes lit les morceaux à mesure qu’ils sont importés. Si vous importez un grand nombre de morceaux, il est possible que vous souhaitiez arrêter la lecture des morceaux afin d’améliorer les performances. Bouton Importer un CDChapitre 2 Fonctionnalités musicales 17 4 Pour éjecter le CD, cliquez sur le bouton d’éjection. 5 Répétez ces opérations pour tout autre CD contenant des morceaux que vous souhaitez importer. Saisie du nom des morceaux et d’autres détails Pour saisir manuellement le titre des morceaux et d’autres informations du CD : 1 Sélectionnez le premier morceau du CD puis sélectionnez Fichier > Obtenir des informations. 2 Cliquez sur Infos. 3 Saisissez les informations concernant le morceau. 4 Cliquez sur Suivant pour saisir les informations concernant le morceau suivant. Ajout de paroles Vous avez la possibilité dans iTunes de saisir ou de copier-coller des paroles de chansons au format Texte. De cette manière, elles peuvent apparaître sur votre iPod nano lorsque le morceau est en cours de lecture. Pour taper ou coller des paroles dans iTunes : 1 Sélectionnez un morceau puis choisissez Fichier > Lire les informations. 2 Cliquez sur Paroles. 3 Dans la zone de texte, saisissez ou collez les paroles copiées au préalable. 4 Cliquez sur OK. Pour plus de renseignements sur l’affichage de paroles sur l’iPod nano, consultez “Affichage de paroles sur l’iPod nano” à la page 31. Achat de musique et téléchargement de podcasts via l’iTunes Music Store Si vous disposez d’une connexion à Internet, vous pouvez facilement acheter et télé- charger des morceaux, des albums et des livres audio en ligne via l’iTunes Music Store. Vous pouvez également vous abonner à des podcasts, des sortes d’émissions de radio, et les télécharger. Pour acheter de la musique en ligne via l’iTunes Music Store, vous devez configurer un compte Apple dans iTunes, rechercher les morceaux voulus, puis les acheter. Si vous disposez déjà d’un compte Apple ou d’un compte America Online (AOL, disponible uniquement dans certains pays), vous pouvez vous en servir pour vous inscrire au Music Store et acheter des morceaux. Bouton d’éjection18 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Remarque : un compte iTunes Music Store n’est pas nécessaire pour télécharger des podcasts ou s’y abonner. Pour s’inscrire à l’iTunes Music Store : 1 Ouvrez iTunes puis cliquez sur Music Store dans la liste Source. 2 Cliquez dans le champ Compte et suivez les instructions à l’écran pour configurer un Compte Apple ou saisissez les informations de votre compte Apple ou AOL existant. Pour rechercher des morceaux, des livres audio et des podcasts : Vous pouvez parcourir ou faire une recherche dans l’iTunes Music Store pour trouver un album, un morceau ou un artiste. Ouvrez iTunes puis cliquez sur Music Store dans la liste Source.  Pour explorer l’iTunes Music Store, choisissez un genre musical dans le menu local Choisir le genre en haut à gauche du Music Store, cliquez sur l’un des albums ou des morceaux au centre ou sur le côté droit du Music Store ou cliquez sur le bouton Explorer dans le coin supérieur droit de la fenêtre.  Pour rechercher des podcasts, cliquez sur le lien Podcasts dans la partie gauche de la page principale de l’iTunes Music Store.  Pour faire une recherche dans l’iTunes Music Store, tapez le nom d’un album, d’un morceau, d’un artiste ou d’un compositeur dans le champ de recherche.  Pour limiter votre recherche, tapez du texte dans la zone de recherche, appuyez sur la touche Retour ou Entrée de votre clavier, puis cliquez sur les boutons de la barre de recherche. Par exemple, pour limiter la recherche à des titres de morceaux, cliquez sur le bouton Morceau.  Pour rechercher une combinaison d’éléments, cliquez sur Recherche avancée dans la fenêtre de l’iTunes Music Store.  Pour revenir à la page principale de l’iTunes Music Store, cliquez sur le bouton Accueil dans l’angle supérieur gauche du Music Store. Pour acheter un morceau, un album ou un livre audio : 1 Cliquez sur Music Store dans la liste Source puis recherchez l’élément que vous souhaitez acheter. Vous pouvez double-cliquer sur un morceau ou un autre élément pour en écouter un extrait et vous assurer que c’est bien celui que vous voulez. Si la vitesse de votre connexion réseau est inférieure à 128 kbps, sélectionnez iTunes > Préférences puis cochez la case “Charger l’extrait complet avant lecture” dans l’onglet Store. 2 Cliquez sur Acheter le morceau, Acheter l’album ou Acheter le livre. L’élément est alors téléchargé sur votre ordinateur et le prix est débité de la carte de crédit indiquée sur votre compte Apple ou AOL.Chapitre 2 Fonctionnalités musicales 19 Pour vous abonner à un podcast ou le télécharger : 1 Cliquez sur Music Store dans la liste Source. 2 Cliquez sur le lien Podcasts sur la gauche de la page principale de l’iTunes Music Store. 3 Recherchez le podcast que vous souhaitez télécharger.  Pour télécharger un épisode de podcast uniquement, cliquez sur le bouton Obtenir le morceau, situé à côté de l’épisode.  Pour vous abonner à un podcast, cliquez sur le bouton S’abonner situé à côté de l’image du podcast. iTunes télécharge l’épisode le plus récent. Les nouveaux épisodes disponibles seront automatiquement téléchargés sur iTunes (lorsque vous êtes connecté à Internet). Pour voir vos podcasts, cliquez sur Podcasts dans la liste Source d’iTunes. Ajout de morceaux stockés sur votre ordinateur à la bibliothèque iTunes Si vous avez sur votre ordinateur des morceaux stockés dans un format géré par iTunes, vous pouvez les ajouter à iTunes. Pour ajouter des morceaux stockés sur votre ordinateur à la bibliothèque iTunes : m Faites glisser le dossier ou le disque contenant les fichiers audio vers l’élément Bibliothèque de la liste Source (ou choisissez Fichier > Ajouter à la bibliothèque puis sélectionnez le dossier ou le disque). Si iTunes prend en charge le format de fichier des morceaux, ceux-ci sont automatiquement ajoutés à la bibliothèque iTunes. Vous pouvez également faire glisser individuellement des fichiers audio dans iTunes. Remarque : si vous utilisez iTunes pour Windows, vous pouvez convertir les fichiers WMA non protégés au format AAC ou MP3. Cela peut être utile si vous disposez d’une bibliothèque de musique encodée au format WMA. Pour en savoir plus, ouvrez iTunes puis choisissez Aide > Aide iTunes et Music Store. Organisation de votre musique Grâce à iTunes, vous pouvez organiser à votre guise des morceaux et d’autres éléments dans des listes appelées listes de lecture. Vous pouvez par exemple créer des listes de lecture qui accompagnent votre séance d’exercice physique ou qui correspondent à une humeur particulière. Vous pouvez également créer des listes de lecture intelligentes qui se mettront automatiquement à jour selon les règles que vous aurez mises en place. Lorsque vous ajoutez à iTunes des morceaux qui correspondent à ces règles, ils seront automatiquement ajoutés à la liste de lecture intelligente. Vous pouvez créer autant de listes de lecture que vous le souhaitez avec n’importe quel des morceaux de la bibliothèque musicale de votre ordinateur. Le fait de placer un morceau dans une liste de lecture ne le supprime pas de la bibliothèque. 20 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Pour créer une liste de lecture dans iTunes : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter. 2 Tapez le nom de la liste de lecture dans la liste Source. Cliquez sur Bibliothèque, puis faites glisser un morceau ou un autre élément vers la liste de lecture de la liste Source. Pour sélectionner plusieurs morceaux, cliquez sur les diffé- rents morceaux en maintenant les touches Commande (x) ou Maj enfoncées. Pour créer une liste de lecture intelligente : m Sélectionnez Fichier > “Nouvelle liste de lecture intelligente” puis configurez les règles de votre liste de lecture. Remarque : vous pouvez également créer des listes de lecture sur l’iPod nano, appelées listes de lecture On-The-Go, lorsque l’iPod nano n’est pas connecté à votre ordinateur. Consultez “Création de listes de lecture On-The-Go sur l’iPod nano” à la page 27. Téléchargement de musique et de podcasts sur l’iPod nano Une fois votre musique importée et organisée dans iTunes, vous pouvez facilement la télécharger sur l’iPod nano. Pour configurer le téléchargement de musique de votre ordinateur sur l’iPod nano, vous devez connecter ce dernier à votre ordinateur puis utiliser les commandes d’iTunes pour modifier les réglages de l’iPod nano. Bouton AjouterChapitre 2 Fonctionnalités musicales 21 iTunes propose trois méthodes pour télécharger de la musique sur votre iPod nano :  Mettre à jour automatiquement tous les morceaux et listes de lecture : lorsque vous connectez l’iPod nano, il est automatiquement mis à jour avec les morceaux et autres éléments de la bibliothèque iTunes. Tous les autres morceaux se trouvant sur l’iPod nano sont supprimés.  Mettre à jour automatiquement les listes de lecture sélectionnées : lorsque vous connectez l’iPod nano, il est automatiquement mis à jour pour correspondre aux morceaux des listes de lecture sélectionnées dans iTunes.  Mettre à jour manuellement l’iPod nano : lorsque vous connectez l’iPod nano, vous pouvez faire glisser individuellement des morceaux et des listes de lecture vers l’iPod nano et supprimer individuellement les morceaux et les listes de lecture de l’iPod nano. Avec cette option, vous pouvez télécharger des morceaux à partir de plusieurs ordinateurs sans effacer ceux qui se trouvent sur l’iPod nano. Lorsque vous gérez les morceaux vousmême, vous devez éjecter l’iPod nano d’iTunes manuellement avant de le déconnecter. Mise à jour automatique de l’iPod nano L’iPod nano est configuré par défaut pour être automatiquement mis à jour avec tous les morceaux et toutes les listes de lecture dès que vous le connectez à votre ordinateur. C’est le moyen le plus simple de télécharger de la musique sur votre iPod nano. Pour cela, connectez l’iPod nano à votre ordinateur, laissez-le ajouter automatiquement des morceaux, des livres audio et d’autres éléments, puis déconnectez-le. Si vous avez ajouté des morceaux à iTunes depuis la dernière connexion de l’iPod nano, ils seront téléchargés sur l’iPod nano. Si vous avez supprimé des morceaux d’iTunes, ils seront également supprimés de l’iPod nano. Pour télécharger des morceaux sur l’iPod nano : m Il vous suffit de connecter l’iPod nano à votre ordinateur. Si l’iPod nano est configuré pour une mise à jour automatique, le téléchargement commence. Important : la première fois que vous connectez l’iPod nano à un ordinateur, un message vous demande si vous souhaitez transférer les morceaux automatiquement. Si vous acceptez, tous les morceaux, les livres audio et autres éléments sont supprimés de l’iPod nano et remplacés par ceux de l’ordinateur en question. Si vous refusez, il vous sera toujours possible de télécharger manuellement des morceaux sur l’iPod nanoiPod nano, sans supprimer ceux qui s’y trouvent déjà.22 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Pendant le téléchargement de musique de votre ordinateur sur l’iPod nano, la fenêtre d’état d’iTunes affiche la progression et l’icône de l’iPod nano clignote en rouge dans la liste Source. Une fois le téléchargement terminé, le message “L’iPod est à jour” apparaît dans iTunes. Si vous avez réglé iTunes pour le téléchargement manuel de la musique, vous pouvez réinitialiser l’application plus tard pour mettre à jour l’iPod nano automatiquement. Pour en savoir plus, consultez “Mise à jour manuelle de l’iPod nano” à la page 23. Pour réinitialiser iTunes pour la mise à jour automatique de l’iPod nano avec tous les morceaux et listes de lecture : 1 Ouvrez iTunes puis sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes. 2 Cliquez sur le bouton Options puis sur Musique. 3 Sélectionnez “Mettre à jour automatiquement tous les morceaux et listes de lecture”. Le téléchargement démarre automatiquement. Bouton OptionsChapitre 2 Fonctionnalités musicales 23 Mise à jour automatique de l’iPod nano avec les listes de lecture sélectionnées Configurer iTunes pour mettre à jour l’iPod nano avec les listes de lecture sélectionnées est particulièrement utile lorsque la quantité de musique stockée sur votre ordinateur est supérieure à la capacité de l’iPod nano. Seule la musique des listes de lecture que vous avez sélectionnées est téléchargée sur l’iPod nano. Pour configurer iTunes afin de mettre automatiquement l’iPod nano à jour avec les listes de lecture sélectionnées : 1 Ouvrez iTunes puis sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes. 2 Cliquez sur le bouton Options puis sur Musique. 3 Sélectionnez l’option “Ne mettre à jour automatiquement que les listes de lecture sélectionnées”. 4 Sélectionnez les listes de lecture voulues. Mise à jour manuelle de l’iPod nano Configurer iTunes pour pouvoir mettre à jour manuellement l’iPod nano vous offre une plus grande souplesse pour gérer la musique sur votre iPod nano. Vous pouvez ajouter et supprimer individuellement des morceaux ou d’autres éléments mais aussi d’ajouter des morceaux à l’iPod nano à partir de plusieurs ordinateurs sans effacer les morceaux déjà présents sur l’iPod nano Pour configurer iTunes afin de gérer manuellement les morceaux sur l’iPod nano : 1 Ouvrez iTunes puis sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes. 2 Cliquez sur le bouton Options puis sur Musique. 3 Sélectionnez l’option “Organiser les morceaux et listes de lecture manuellement”. Remarque : lorsque vous gérez les morceaux vous-même, vous devez éjecter votre iPod nano d’iTunes manuellement avant de le déconnecter. Pour ajouter un morceau ou un autre élément à l’iPod nano : m Dans iTunes, cliquez sur Bibliothèque et faites glisser le morceau ou autre élément vers l’icône de l’iPod nano dans la liste Source. Pour supprimer un morceau ou un autre élément de l’iPod nano : 1 Cliquez sur l’icône de l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes. 2 Sélectionnez un morceau ou autre élément sur l’iPod nano puis appuyez sur la touche Supprimer ou Arrière de votre clavier. Lorsque vous supprimez manuellement un morceau ou autre élément de l’iPod nano, il n’est pas supprimé de votre bibliothèque iTunes. Pour créer une nouvelle liste de lecture sur l’iPod nano : 1 Sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes puis cliquez sur le bouton Ajouter (+). 2 Faites glisser des morceaux vers la nouvelle liste de lecture.24 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Pour modifier une liste de lecture sur l’iPod nano : m Faites glisser un morceau vers une liste de lecture de l’iPod nano afin de l’y ajouter. Choisissez un morceau dans une liste de lecture et appuyez sur la touche Supprimer de votre clavier pour l’effacer. Téléchargement de podcasts sur l’iPod nano Les réglages de téléchargement de podcasts sur un iPod nano sont distincts de ceux du transfert de morceaux. Les réglages de transfert de podcasts n’influent pas sur ceux de transfert de morceaux et inversement. Vous pouvez manuellement télécharger des podcasts sur votre iPod nano ou configurer iTunes pour une mise à jour automatique de tous les podcasts ou seulement des podcasts sélectionnés. Pour configurer iTunes pour une mise à jour automatique des podcasts sur l’iPod nano : 1 Sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source iTunes puis cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Podcasts et sélectionnez l’une des options suivantes : Lorsque vous configurez iTunes pour une mise à jour automatique des podcasts de l’iPod nano, l’iPod nano est mis à jour chaque fois que vous le connectez à votre ordinateur. Pour configurer iTunes pour une gestion manuelle des podcasts : 1 Sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source iTunes puis cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Podcasts et sélectionnez “Organiser les morceaux manuellement”. Pour télécharger manuellement des podcasts sur l’iPod nano : m Dans iTunes, faites glisser les épisodes les plus récents des émissions depuis la liste de lecture Podcasts vers votre iPod nano. Pour régler iTunes pour procédez ainsi : Mettre à jour automatiquement tous les podcasts Sélectionnez “Actualiser automatiquement tous les podcasts”. Lorsque vous cliquez sur OK, iTunes met à jour les podcasts sur l’iPod nano de manière qu’ils soient identiques à ceux présents sur l’ordinateur. Mettre à jour automatiquement les podcasts sélectionnés Sélectionnez “N’actualiser automatiquement que les podcasts sélectionnés”, cochez les cases en regard des podcasts à mettre à jour, puis choisissez une option de mise à jour dans le menu local. Lorsque vous cliquez sur OK, iTunes met à jour les podcasts sélectionnés sur l’iPod nano de manière qu’ils soient identiques à ceux présents sur l’ordinateur. Limiter le nombre d’épisodes mis à jour automatiquement sur l’iPod nano Sélectionnez l’une des options de mise à jour automatique puis choisissez une option dans le menu local Mettre à jour :“tous les épisodes”, “seulement les épisodes cochés”, “seulement l’épisode le plus récent” ou “seulement les épisodes non lus”. Lorsque iTunes met à jour les podcasts de l’iPod nano, les épisodes autres que ceux que vous indiquez sont supprimés de l’iPod nano.Chapitre 2 Fonctionnalités musicales 25 Lecture de musique Après avoir téléchargé de la musique et d’autres fichiers audio sur votre iPod nano, vous pouvez les écouter. Servez-vous de la molette cliquable et du bouton central pour rechercher un morceau, un livre audio ou un podcast. Les éléments de menu Podcasts et Livres audio ne s’afficheront que si vous avez téléchargé ce type de fichier audio sur l’iPod nano. Pour rechercher et lire un morceau : m Sélectionnez Musique, recherchez un morceau, appuyez sur le bouton de lecture (’) et régalez-vous ! Lorsqu’un morceau est en cours de lecture, l’écran En lecture apparaît. Lorsque l’écran En lecture est affiché, vous pouvez utiliser la molette cliquable pour régler le volume. Le tableau suivant décrit les éléments de l’écran En Lecture de l’iPod nano. Écran En lecture Fonction Numéro du morceau Affiche le numéro du morceau en cours de lecture dans la séquence de morceaux actuelle. Pochette d’album Affiche les illustrations si elle sont intégrées au fichier audio du morceau. Icône Répéter (⁄) Apparaît si l’iPod nano est configuré pour répéter tous les morceaux. L’icône Répéter une fois (!) apparaît lorsque l’iPod nano est configuré pour répéter un seul morceau. Icône Aléatoire (¡) Apparaît si l’iPod nano est configuré pour lire de façon aléatoire des morceaux ou des albums. Informations du morceau Affiche le titre du morceau, le nom de l’artiste et le titre de l’album. Durée du morceau (barre de progression) Affiche le temps écoulé et le temps restant du morceau en cours de lecture. Appuyez sur le bouton central pour afficher le défileur, où un losange indique la position de lecture. Utilisez la molette cliquable pour écouter à un endroit différent du morceau, livre audio ou podcast. Icône Répéter Icône Aléatoire Durée du morceau Numéro du morceau Informations du morceau Pochette d’album26 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Selon le type de fichier audio que vous écoutez, vous pouvez appuyer sur le bouton central à plusieurs reprises dans l’écran En lecture pour afficher d’autres informations et options, telles que l’écran de classement pour les morceaux et livres audio, la pochette de l’album, les informations de podcast, la vitesse de lecture et plus encore. Cliquez sur le bouton Menu pour revenir à l’écran précédent. Configuration de l’iPod nano pour la lecture de morceaux dans un ordre aléatoire Vous pouvez configurer l’iPod nano pour la lecture de morceaux, d’albums ou de toute votre bibliothèque en ordre aléatoire. Pour configurer l’iPod nano de manière à ce qu’il mélange et commence la lecture de tous vos morceaux : m Sélectionnez l’option Mix de morceaux dans le menu principal de l’iPod nano. L’iPod nano entamera la lecture aléatoire de morceaux à partir de toute votre bibliothè- que musicale, en ignorant les livres audio et les podcasts. Pour configurer l’iPod nano de manière à ce qu’il lise toujours les morceaux ou les albums dans un ordre aléatoire : 1 Sélectionnez l’élément du menu Réglages dans le menu principal de l’iPod nano. 2 Réglez l’élément du menu Aléatoire sur Morceaux ou Albums. Lorsque vous configurez l’iPod nano pour lire les morceaux dans un ordre aléatoire en sélectionnant Réglages > Aléatoire, l’iPod nano lit de manière aléatoire les morceaux de la liste (album ou liste de lecture, par exemple) que vous avez choisi d’écouter. Lorsque vous configurez l’iPod nano de sorte qu’il lise des albums dans un ordre aléatoire, il lit tous les morceaux d’un album dans l’ordre, puis choisit aléatoirement un autre album dans la liste et le lit dans l’ordre. Configuration de l’iPod nano pour la répétition de morceaux Vous pouvez configurer l’iPod nano de sorte qu’il répète un morceau indéfiniment ou bien qu’il répète une suite de morceaux. L’iPod nano répète les morceaux de la liste que vous avez choisi d’écouter. Pour régler la répétition de morceaux sur l’iPod nano : m Sélectionnez l’élément du menu Réglages dans le menu principal de l’iPod nano.  Pour répéter tous les morceaux de la liste, réglez l’élément du menu Répéter sur Tous.  Pour lire un morceau en boucle, réglez l’élément du menu Répéter sur Un.Chapitre 2 Fonctionnalités musicales 27 Création de listes de lecture On-The-Go sur l’iPod nano Vous pouvez créer des listes de lecture sur l’iPod nano, appelées listes de lecture On-The-Go, lorsque l’iPod nano n’est pas connecté à votre ordinateur. Pour créer une liste de lecture On-The-Go : 1 Sélectionnez un morceau puis maintenez enfoncé le bouton central jusqu’à ce que le titre du morceau clignote. 2 Choisissez les autres morceaux que vous souhaitez ajouter. 3 Sélectionnez Musique > Listes de lecture > On-The-Go pour afficher votre liste de morceaux. Vous pouvez également ajouter des listes entières de morceaux en même temps. Par exemple, pour ajouter un album, sélectionnez le titre de l’album puis appuyez sur le bouton central. Maintenez-le enfoncé jusqu’à ce que le titre de l’album clignote. Pour lire les morceaux d’une liste de lecture On-The-Go : m Sélectionnez Musique > Listes de lecture > On-The-Go puis choisissez un morceau. Pour supprimer un morceau d’une liste de lecture On-The-Go : m Sélectionnez un morceau dans la liste de lecture et ne relâchez le bouton central que lorsque le titre clignote. Pour effacer tout le contenu de la liste de lecture On-The-Go : m Sélectionnez Musique > Listes de lecture > On-The-Go > Effacer liste. Pour enregistrer des listes de lecture On-The-Go sur votre iPod nano : m Sélectionnez Musique > Listes de lecture > On-The-Go > Enregistrer liste > Enregistrer liste. La première liste de lecture est enregistrée sous l’intitulé “Nouvelle liste 1” dans le menu Listes de lecture. La liste de lecture On-The-Go est effacée. Vous pouvez enregistrer autant de listes de lecture On-The-Go que vous le souhaitez. Après avoir enregistré une liste de lecture On-The-Go, vous ne pouvez plus en supprimer des morceaux. Pour copier des listes de lecture instantanées (On-The-Go) vers votre ordinateur : m Si l’iPod nano est réglé pour le transfert automatique des morceaux (voir “Mise à jour automatique de l’iPod nano” à la page 21) et que vous créez une liste de lecture On-The-Go, cette dernière sera automatiquement copiée vers iTunes lorsque vous connectez l’iPod nano. La nouvelle liste de lecture On-The-Go apparaîtra dans la liste des sources iTunes. Vous pouvez renommer ou supprimer la nouvelle liste de lecture, comme pour toute autre liste de lecture dans iTunes.28 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Évaluation des morceaux Vous pouvez attribuer à un morceau une note d’évaluation (de 1 à 5 étoiles) pour indiquer à quel point il vous plaît. Vous pouvez créer automatiquement des listes de lecture dans iTunes selon ces notes d’évaluation. Pour attribuer une note à un morceau : 1 Lancez la lecture du morceau. 2 Dans l’écran En lecture, appuyez sur le bouton central jusqu’à l’apparition de l’écran de classement (qui affiche soit des puces, soit des étoiles, soit les deux). 3 Servez-vous de la molette cliquable pour choisir une note. Remarque : il est impossible d’attribuer une note à un podcast. Mise en place du volume maximum Vous pouvez décider d’établir un volume maximum (c’est-à-dire une limite du niveau sonore) sur votre iPod nano, puis lui attribuer un code afin d’éviter que ce réglage soit modifié. Pour mettre en place un volume maximum sur votre iPod nano : 1 Sélectionnez Réglages > Volume maximum. La commande de volume affiche le volume actuel. 2 Utilisez la molette cliquable pour sélectionner le niveau sonore que vous souhaitez établir en tant que volume maximum. Vous pouvez appuyez sur Lire afin d’écouter le morceau en cours de sélection lorsque vous choisissez le niveau sonore. 3 Une fois le niveau sonore choisi, appuyez sur le bouton central pour définir ce niveau en tant que volume maximum. Dans la barre de volume, un triangle indique le volume maximum. 4 Lorsque l’écran Volume maximum est affiché, cliquez sur Définir le code pour mettre en place un code ; de cette manière, il faudra la saisir avant de pouvoir modifier le volume maximum. Cliquez sur Terminé pour valider le volume maximum établi sans mettre en place de code. 5 Si vous choisissez Définir le code, vous devez en saisir un :  Utilisez la molette cliquable pour sélectionner un chiffre à entrer dans la case du premier chiffre. Appuyez sur le bouton central pour confirmer votre choix et passer à la case suivante.  Utilisez la même méthode pour définir les autres chiffres du code. Vous pouvez utiliser le bouton Suivant/Avance rapide pour passer à la case suivante ou le bouton Précédent/ Retour rapide pour revenir à la case précédente. Lorsque vous vous trouvez dans la dernière case, appuyez sur le bouton central pour confirmer la totalité du code et revenir à l’écran précédent.Chapitre 2 Fonctionnalités musicales 29 Si vous montez le son au maximum après avoir mis en place un niveau sonore maximum, une icône de verrou apparaîtra à droite de la barre de volume de l’écran En lecture : cela vous indique que la limite établie a été atteinte. Remarque : le volume des morceaux et des autres fichiers audio peut varier selon leur mode d’enregistrement ou d’encodage. Consultez la section “Réglage de morceaux pour qu’ils soient lus au même volume” à la page 29 pour obtenir des informations sur la manière de mettre en place un niveau sonore relatif dans iTunes et sur l’iPod nano. Le niveau sonore peut également varier selon le type d’écouteurs ou de casque utilisés. À part l’accessoire iPod Radio Remote, les accessoires qui se branchent via le connecteur iPod Dock Connector ne prennent pas en charge l’établissement d’un volume maximum. Si vous avez défini un code, vous devez alors le saisir avant de modifier ou de supprimer le volume maximum. Pour modifier le volume maximum : 1 Sélectionnez Réglages > Volume maximum. 2 Si vous avez établi un code, saisissez-le en utilisant la molette cliquable pour sélectionner les chiffres et en appuyant sur le bouton central pour les valider. 3 Utilisez la molette cliquable pour modifier le niveau sonore établi en tant que volume maximum. 4 Appuyez sur le bouton central pour valider la modification. Pour supprimer le volume maximum : 1 Si vous écoutez de la musique sur votre iPod, appuyez sur Pause. 2 Sélectionnez Réglages > Volume maximum. 3 Si vous avez établi un code, saisissez-le en utilisant la molette cliquable pour sélectionner les chiffres et en appuyant sur le bouton central pour les valider. 4 Utilisez la molette cliquable pour déplacer la limite établie jusqu’au niveau le plus élevé sur la barre de volume. Cela annule toute restriction quant au volume. 5 Appuyez sur le bouton central pour valider la modification. Remarque : si vous avez oublié le code, vous avez la possibilité de restaurer l’iPod nano. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52 pour en savoir plus. Réglage de morceaux pour qu’ils soient lus au même volume iTunes peut régler automatiquement le volume des morceaux, de manière à ce qu’ils soient lus au même volume relatif. Vous pouvez configurer l’iPod nano de sorte qu’il utilise les réglages de volume d’iTunes.30 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Pour régler iTunes de sorte qu’il lise les morceaux au même niveau sonore : 1 Dans iTunes, sélectionnez iTunes > Préférences si vous utilisez un Mac ou sélectionnez Édition > Préférences si vous utilisez un PC sous Windows. 2 Cliquez sur Audio puis choisissez Égaliseur de volume. Pour régler l’iPod nano de manière à ce qu’il utilise les réglages de volume d’iTunes : m Sélectionnez Réglages > Égaliseur de volume. Si vous n’avez pas activé l’option Égaliseur de volume dans iTunes, la configurer sur l’iPod nano n’a aucun effet. Utilisation de l’égaliseur Vous pouvez utiliser les préréglages de l’égaliseur pour modifier le son de l’iPod nano et l’ajuster aux différents genres ou styles musicaux. Par exemple, pour améliorer l’acoustique d’un morceau rock, réglez l’égaliseur sur Rock. m Sélectionnez Réglages > Égaliseur puis choisissez un préréglage d’égaliseur. Si vous avez choisi un préréglage d’égaliseur pour un morceau dans iTunes et que l’égaliseur de l’iPod nano est désactivé (réglé sur Non), le morceau est lu selon le réglage d’iTunes. Voir l’Aide iTunes et Music Store pour en savoir plus. Configuration de l’iPod nano pour l’affichage des compilations Vous pouvez configurer l’iPod nano de telle sorte qu’il affiche un élément de menu nommé Compilations dans le menu Musique. Une compilation est un album constitué à partir de plusieurs sources, par exemple une musique de film ou un album de morceaux à succès. Vous pouvez choisir Musique > Compilations pour voir vos compilations. Pour configurer l’iPod nano pour un affichage de l’option Compilations dans le menu Musique : m Choisissez Réglages et réglez Compilations sur Oui. Affichage d’illustrations d’album sur l’iPod nano Vous pouvez configurer iTunes de manière à permettre à l’iPod nano d’afficher des illustrations d’album, puis ensuite les visionner sur l’iPod nano. Pour configurer iTunes de sorte que l’iPod nano affiche les illustrations d’album : 1 Ouvrez iTunes, sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 2 Sélectionnez l’option “Afficher les illustrations d’album sur votre iPod”. Bouton OptionsChapitre 2 Fonctionnalités musicales 31 Pour voir les illustrations d’album sur votre iPod nano : 1 Écoutez un morceau auquel est associé une illustration d’album. 2 Dans l’écran En lecture, appuyez deux fois sur le bouton central. Si vous ne voyez aucune illustration, soit ce morceau n’en possède pas, soit vous devez configurer iTunes pour permettre à l’iPod nano d’afficher une illustration. Pour en savoir plus sur les illustrations d’album, ouvrez iTunes puis choisissez Aide > Aide iTunes et Music Store. Affichage de paroles sur l’iPod nano Si vous saisissez les paroles d’un morceau dans iTunes, puis transférer ce morceau vers l’iPod nano, vous pouvez voir les paroles sur ce dernier. Pour obtenir plus d’informations sur la saisie de paroles, voir “Ajout de paroles” à la page 17. Pour afficher les paroles sur l’iPod nano lorsqu’un morceau est en cours de lecture : m Lorsque l’écran En lecture est affiché, cliquez sur le bouton central jusqu’à ce que les paroles apparaissent. Les paroles s’affichent à l’écran et vous pouvez les faire défiler pendant la lecture du morceau. Écoute de podcasts Les podcasts sont des sortes d’émissions de radio téléchargeables que vous pouvez vous procurer sur l’iTunes Music Store (voir “Téléchargement de podcasts sur l’iPod nano” à la page 24). Les podcasts s’organisent par émissions, épisodes (inclus dans les émissions) et chapitres (inclus dans les épisodes). Si vous interrompez l’écoute d’un podcast sur l’iPod, vous pourrez reprendre cette écoute à l’endroit où vous l’avez interrompue. Pour écouter un podcast : 1 Sélectionnez Musique > Podcasts, puis sélectionnez une émission. Les émissions s’affichent dans l’ordre chronologique inverse pour que vous puissiez commencer par écouter la plus récente. Un point bleu apparaît à côté des émissions et des épisodes que vous n’avez pas encore écoutés. 2 Choisissez un épisode à écouter. L’écran En lecture affiche l’émission, l’épisode, les informations sur la date mais aussi le temps écoulé et le temps restant. Appuyez sur le bouton central pour obtenir plus d’informations sur le podcast. Si le podcast inclut des illustrations, vous pourrez également les visualiser. Les illustrations du podcast peuvent être modifiées au cours d’un épisode : il est donc possible que vous visualisiez plusieurs images durant le podcast. Vous pouvez également télécharger des podcasts vidéo. Lorsque vous recherchez un podcast vidéo, vous pouvez seulement l’entendre ; vous ne pouvez pas le voir sur l’iPod nano.32 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Remarque : si le podcast que vous écoutez comporte des chapitres, vous pouvez appuyer sur le bouton Suivant/Avance rapide pour passer au chapitre suivant et Précédent/Retour rapide pour revenir au début du chapitre courant. Pour en savoir plus sur les podcasts, ouvrez iTunes puis sélectionnez Aide > Aide iTunes et Music Store. Recherchez alors “podcasts”. Écoute de livres audio Vous pouvez acheter et télécharger des livres audio sur l’iTunes Music Store ou sur audible.com et les écouter sur votre iPod nano. Vous pouvez utiliser iTunes pour télécharger des livres audio sur votre iPod nano de la même manière que vous téléchargez des morceaux. Si vous interrompez l’écoute d’un livre audio sur l’iPod nano, vous pourrez reprendre cette écoute à l’endroit où vous l’aviez interrompue. L’iPod nano ignore les livres audio lorsqu’il est en mode aléatoire, à moins que vous n’écoutiez des morceaux à partir de listes de lecture. Si le livre audio que vous écoutez comporte des chapitres, vous pouvez appuyer sur le bouton Suivant/Avance rapide pour passer au chapitre suivant et Précédent/Retour rapide pour revenir au début du chapitre courant. Vous pouvez lire des livres audio à des vitesses inférieures ou supérieures à la normale. Pour régler la vitesse de lecture d’un livre audio : m Sélectionnez Réglages > Livres audio puis choisissez une vitesse. Vous pouvez également régler la vitesse de lecture dans l’écran En lecture pendant que vous écoutez un livre audio. Appuyez sur le bouton central jusqu’à l’apparition de l’option Vitesse, puis utilisez la molette cliquable pour sélectionner Plus rapide ou Plus lent. Le choix d’une vitesse de lecture ne concerne que les livres audio achetés sur l’iTunes Music Store ou audible.com. Écoute de la radio FM Vous pouvez écouter la radio à l’aide de l’accessoire en option iPod Radio Remote pour l’iPod nano. Cet accessoire se fixe sur votre iPod nano à l’aide du câble de connecteur Dock. Pour en savoir plus sur l’utilisation des fonctions de radio avec l’iPod nano, consultez la documentation concernant l’accessoire iPod Radio Remote.3 33 3 Fonctionnalités concernant les photos Vous pouvez télécharger sur l’iPod nano des photos prises avec votre appareil photo numérique. Vous pouvez visionner vos photos sur l’iPod nano, aussi bien de façon individuelle que sous forme de diaporama. Consultez cette section pour en savoir plus sur l’importation et l’affichage de photos. Téléchargement de photos Vous pouvez importer des photos numériques depuis votre appareil photo numérique vers votre ordinateur, puis les télécharger pour les mémoriser et les visionner sur l’iPod nano. Importation de photos à partir d’un appareil photo vers votre ordinateur Vous pouvez importer des photos depuis un appareil photo numérique ou un lecteur de cartes photo. Pour importer des photos sur un Mac via iPhoto : 1 Connectez l’appareil photo ou le lecteur de cartes photo à votre ordinateur. Ouvrez l’application iPhoto (dans le dossier Applications) si elle ne s’ouvre pas automatiquement. 2 Cliquez sur Importer. Les images de l’appareil photo sont importées dans iPhoto. Vous pouvez importer d’autres images numériques dans iPhoto, comme des images téléchargées sur Internet. Pour en savoir plus sur l’importation et la manipulation de photos et d’autres images, ouvrez iPhoto puis choisissez Aide > Aide iPhoto.34 Chapitre 3 Fonctionnalités concernant les photos iPhoto fait partie d’une suite d’applications appelée iLife, en vente au site Web www.apple.com/fr/ilife. Il est possible qu’iPhoto soit déjà installé sur votre Mac, dans le dossier Applications. Si vous ne disposez pas d’iPhoto, vous pouvez importer des photos via l’application Transfert d’images. Pour importer des photos sur un Mac via l’application Transfert d’images : 1 Connectez l’appareil photo ou le lecteur de cartes photo à votre ordinateur. 2 Ouvrez l’application Transfert d’images (dans le dossier Applications) si celle-ci ne s’ouvre pas automatiquement. 3 Pour choisir des éléments spécifiques à télécharger, cliquez sur Télécharger certaines images. Ou, pour télécharger tous les éléments, cliquez sur Tout télécharger. Pour importer des photos sur un PC sous Windows : m Suivez les instructions fournies avec votre appareil photo numérique ou votre application de gestion de photos. Téléchargement de photos depuis votre ordinateur sur l’iPod nano Vous pouvez télécharger des photos à partir d’un dossier sur votre disque dur. Si vous utilisez un Mac et iPhoto 4.0.3 ou ultérieur, vous pouvez télécharger automatiquement des albums iPhoto. Si vous utilisez un PC sous Windows et Adobe Photoshop Album 1.0 ou ultérieur ou Adobe Photoshop Elements 3.0 ou ultérieur, vous pouvez télécharger automatiquement des collections de photos. La première fois que vous téléchargez des photos sur l’iPod nano, il se peut que l’opération prenne un certain temps selon le nombre de photos que contient votre photothèque.Chapitre 3 Fonctionnalités concernant les photos 35 Pour transférer des photos depuis un Mac ou PC sous Windows sur l’iPod nano en utilisant une application de gestion de photos : 1 Ouvrez iTunes, sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Photos puis sélectionnez “Synchronisez les photos depuis”.  Sur un Mac, choisissez iPhoto dans le menu local.  Sur un PC sous Windows, choisissez Photoshop Album ou Photoshop Elements dans le menu local. 3 Si vous souhaitez importer l’ensemble de vos photos, sélectionnez “Copier toutes les photos”. Si vous souhaiter importer des photos de certains albums ou collections uniquement, sélectionnez l’option “Copier uniquement les albums sélectionnés” puis sélectionnez les albums ou collections de votre choix. Remarque : certaines versions de Photoshop Album et Photoshop Elements ne prennent pas en charge les collections. Vous pouvez cependant les utiliser pour télécharger toutes vos photos. Chaque fois que vous connectez l’iPod nano à votre ordinateur, les photos sont téléchargées automatiquement. Pour télécharger des photos depuis un dossier de votre disque dur sur l’iPod nano : 1 Faites glisser les images de votre choix dans un dossier de votre ordinateur. Si vous souhaitez que les images apparaissent dans différents albums photo sur l’iPod nano, créez des dossiers à l’intérieur du dossier d’images principal et faites glisser les images dans les nouveaux dossiers. 2 Ouvrez iTunes, sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 3 Cliquez sur Photos puis sélectionnez “Synchronisez les photos depuis”. 4 Sélectionnez “Choisir un dossier” dans le menu local puis choisissez votre dossier d’images. Bouton Options Bouton Options36 Chapitre 3 Fonctionnalités concernant les photos Lorsque vous téléchargez des photos sur l’iPod nano, iTunes les optimise en vue de leur affichage à l’écran. Les fichiers d’images en pleine résolution ne sont pas transférés par défaut. Le téléchargement de fichiers d’images en pleine résolution est utile si vous souhaitez stocker vos images ou les déplacer d’un ordinateur à un autre, mais il n’est pas nécessaire pour afficher les images en pleine qualité sur l’iPod nano. Pour télécharger des fichiers d’images en pleine résolution sur l’iPod nano : 1 Ouvrez iTunes, sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Photos puis sélectionnez “Inclure les photos en pleine résolution”. iTunes copie les versions en pleine résolution des photos dans le dossier Photos de votre iPod nano. Importation de photos depuis l’iPod nano sur un ordinateur Si vous téléchargez des photos en pleine résolution depuis ordinateur sur l’iPod nano à l’aide des étapes précédentes, elles sont stockées dans un dossier Photos de l’iPod nano. Vous pouvez connecter l’iPod nano à un ordinateur puis importer ces photos sur l’ordinateur. L’iPod nano doit être configuré pour l’utilisation comme disque externe (consulter “Utilisation de l’iPod nano en tant que disque externe” à la page 38). Pour importer des photos depuis l’iPod nano sur un ordinateur : 1 Connectez l’iPod nano à l’ordinateur. 2 Faites glisser les fichiers images du dossier Photos de l’iPod nano vers le bureau ou vers une application de montage photo sur l’ordinateur. Remarque : vous pouvez également utiliser une application de montage photo, comme iPhoto, pour importer des photos stockées dans le dossier Photos. Visionnage de photos Vous pouvez visionner des photos manuellement ou sous forme de diaporama sur l’iPod nano. Affichage de photos sur l’iPod nano Pour afficher des photos sur l’iPod nano : 1 Sur l’iPod nano, sélectionnez Photos > Photothèque. Vous pouvez aussi sélectionner Photos puis un album photo pour afficher uniquement les photos de cet album. Les vignettes des photos apparaissent (cela peut prendre un moment). Bouton OptionsChapitre 3 Fonctionnalités concernant les photos 37 2 Sélectionnez la photo de votre choix puis appuyez sur le bouton central pour afficher une version en plein écran. À partir de n’importe quel écran d’affichage de photos, utilisez la molette cliquable pour faire défiler les photos. Utilisez les boutons Suivant/Avance rapide et Précédent/ Retour rapide pour passer à l’écran de photos suivant ou précédent. Visionnage de diaporamas Si vous le souhaitez, vous pouvez visionner un diaporama agrémenté de musique et de transitions sur l’iPod nano. Pour configurer les réglages d’un diaporama : m Sélectionnez Photos > Réglages de diaporama puis suivez les instructions ci-dessous : Pour visionner un diaporama sur l’iPod nano : m Choisissez une photo, un album ou un rouleau, puis appuyez sur le bouton Lecture/ Pause ou bien sélectionnez une photo en plein écran et appuyez sur le bouton central. Pour suspendre la musique et le diaporama, appuyez sur le bouton Lecture/Pause. Pour passer manuellement à l’écran de photos suivant ou précédent, appuyez sur le bouton Suivant/Avance rapide ou bouton Précédent/Retour rapide. Pour définir : Procédez ainsi : La durée d’affichage de chaque diapositive avant le passage à la suivante Sélectionnez Temps par diapo puis choisissez une durée. La musique qui agrémente les diaporamas Sélectionnez Musique puis choisissez une liste de lecture. Si vous utilisez iPhoto, vous pouvez choisir l’option D’iPhoto pour copier le réglage de musique d’iPhoto. Seuls les morceaux que vous avez téléchargés sur l’iPod nano sont lus. Les diapositives à répéter Réglez Répéter sur Oui. Les diapositives à afficher dans un ordre aléatoire Réglez Mix de photos sur Oui. Les diapositives à afficher avec des transitions Sélectionnez Transitions puis choisissez le type de transition.4 38 4 Fonctions et accessoires supplémentaires Votre iPod nano peut garder bien plus que des morceaux et avec lui, vous pouvez faire bien plus que d’écouter de la musique. Consultez cette section pour en savoir plus sur les fonctions supplémentaires de l’iPod nano, notamment son utilisation en tant que disque externe, son alarme, sa minuterie de mise en veille, ses horloges affichant l’heure dans d’autres régions du monde et sa fonction de synchronisation de contacts, de calendriers, de listes de tâches, de mémos vocaux et de notes. Apprenez à utiliser l’iPod nano comme chronomètre et à verrouiller l’écran. Renseignez-vous sur les accessoires disponibles pour l’iPod nano. Utilisation de l’iPod nano en tant que disque externe Vous pouvez utiliser l’iPod nano comme disque externe pour stocker et télécharger des fichiers de données. Remarque : pour télécharger sur l’iPod nano de la musique et d’autres fichiers audio, vous devez utiliser iTunes. Par exemple, les morceaux téléchargés via iTunes ne sont pas visibles dans le Finder Macintosh ou l’Explorateur Windows. De même, si vous copiez des fichiers de musique sur l’iPod nano dans le Finder Macintosh ou l’Explorateur Windows, vous ne pourrez pas les écouter sur l’iPod nano. Pour utiliser l’iPod nano comme disque externe : 1 Dans iTunes, sélectionnez iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Musique et sélectionnez “Activer l’utilisation comme disque dur”. Lorsque vous utilisez l’iPod nano comme disque externe, une icône de disque iPod nano apparaît sur le bureau si vous utilisez un Mac, tandis que si vous utilisez un PC sous Windows, la première lettre de disque disponible lui est attribuée dans l’Explorateur Windows. Bouton OptionsChapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires 39 Remarque : pour utiliser l’iPod nano en tant que disque externe, vous pouvez également cliquer sur Musique puis sélectionner “Organiser les morceaux et listes de lecture manuellement”. dans la fenêtre Options. Faites glisser des fichiers à partir de l’iPod nano ou vers lui afin de les copier. Si vous utilisez l’iPod nano principalement comme disque, il est recommandé d’empê- cher l’ouverture automatique d’iTunes à la connexion de l’iPod nano à votre ordinateur. Pour empêcher iTunes de s’ouvrir automatiquement quand vous connectez l’iPod nano à votre ordinateur : 1 Dans iTunes, sélectionnez iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Musique et désélectionnez l’option “Ouvrir iTunes à la connexion de cet iPod”. Utilisation des réglages supplémentaires Vous pouvez régler la date et l’heure, des horloges de fuseaux horaires différents et les fonctionnalités de l’alarme et de la mise en veille sur votre iPod nano. Vous pouvez utiliser l’iPod nano comme chronomètre ou pour jouer, et vous pouvez verrouiller l’écran de l’iPod nano. Réglage et affichage de la date et de l’heure La date et l’heure sont réglées automatiquement à partir de l’horloge de votre ordinateur lorsque vous connecté l’iPod nano mais vous pouvez modifier ces réglages. Pour régler les options de date et d’heure : 1 Choisissez Réglages > Date et Heure. 2 Choisissez une ou plusieurs des options suivantes : Bouton Options Pour : Procédez ainsi : Spécifier le fuseau horaire Sélectionnez Régler fuseau horaire puis choisissez un fuseau horaire dans la liste. Régler la date et l’heure Sélectionnez Régler date/heure. Utilisez la molette cliquable pour modifier la valeur sélectionnée. Appuyez sur le bouton central pour passer à la valeur suivante. Afficher l’heure dans un format différent Sélectionnez Heure puis appuyez sur le bouton central pour alterner l’horloge entre le format de 12 heures et celui de 24 heures. Afficher l’heure dans la barre de titre Sélectionnez Heure dans titre puis appuyez sur le bouton central pour choisir Oui ou Non. Vous pouvez lire l’heure dans chaque écran de menu de l’iPod nano.40 Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires Ajout d’horloges d’autres fuseaux horaires Pour ajouter des horloges d’autres fuseaux horaires à l’écran de votre iPod nano : 1 Sélectionnez Extras > Horloge. 2 Sélectionnez Nouv. horloge. 3 Choisissez une région puis une ville. Les horloges ajoutées s’affichent dans une liste. La dernière horloge ajoutée s’affiche à la fin. Pour supprimer une horloge : 1 Choisir l’horloge. 2 Sélectionnez Supprimer cette horloge puis confirmez en sélectionnant Supprimer sur l’écran suivant. Réglage de l’alarme Vous pouvez régler une alarme pour chacune des horloges de votre iPod nano. Pour utiliser l’iPod nano comme réveil : 1 Sélectionnez Extras > Horloge puis choisissez l’horloge dont vous souhaitez régler l’alarme. 2 Sélectionnez Alarme. 3 Activez l’alarme en la réglant sur Oui. 4 Sélectionnez Heure puis réglez l’heure à laquelle vous souhaitez que l’alarme se déclenche. 5 Choisissez un son. Si vous sélectionnez Bip, le haut-parleur interne diffusera l’alarme. Si vous choisissez une liste de lecture, vous devrez connecter l’iPod nano à des haut-parleurs ou à des écouteurs pour pouvoir entendre l’alarme. Une icône de cloche se trouve à côté des horloges dont l’alarme a été réglée. Réglage de la minuterie de mise en veille Vous pouvez configurer l’extinction automatique de l’iPod nano au bout d’un certaine période de lecture de musique ou d’un diaporama. Pour configurer la minuterie de mise en veille : 1 Sélectionnez Extras > Horloge puis choisissez une horloge. 2 Choisissez “Min. mise en veille” puis définissez la durée de lecture de l’iPod nano. Lorsque vous réglez la minuterie de mise en veille, une icône d’horloge et le nombre de minutes avant la mise en veille de l’iPod nano s’affichent sur l’écran En lecture de l’iPod nano.Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires 41 Utilisation du chronomètre Vous pouvez utiliser le chronomètre pendant que vous faites de l’exercice pour connaî- tre votre temps total et, si vous courrez sur une piste, vos temps de passage. Vous pouvez écouter de la musique tout en utilisant le chronomètre. Pour utiliser le chronomètre : 1 Choisissez Extras > Chronomètre > Minuterie. 2 Choisissez Démarrer pour lancer le chronomètre. 3 Choisissez Circuit après chaque tour pour enregistrer vos temps de passage. Le temps total de la session d’exercice et les temps de passage les plus récents s’affichent à l’écran. 4 Choisissez Pause pour interrompre la minuterie totale et la minuterie de circuit. Cliquez sur Reprendre pour lancer à nouveau les chronomètres. 5 Choisissez Terminé pour finir la session. L’iPod nano mémorise les dates, heures et statistiques de tours de circuit des sessions de chronomètre. Remarque : après le lancement du chronomètre, votre iPod reste actif tant que vous êtes dans l’écran Minuterie et le chronomètre continue à défiler. Si vous lancez le chronomètre, passez à un autre menu et que votre iPod n’est pas en train de lire de la musique, la minuterie du chronomètre s’arrête et votre iPod s’éteint automatiquement au bout de quelques minutes. Pour examiner ou supprimer une session de chronomètre : 1 Sélectionnez Extras > Chronomètre. Une liste de sessions enregistrées s’affiche à la suite de l’élément menu Minuterie. 2 Choisissez une session pour en consulter les données. Vous pouvez lire la date et l’heure du début de la session, la durée totale de la session, ainsi que le temps de passage le plus court, le plus long, moyen et le dernier. 3 Pour supprimer une session, appuyez sur le bouton central puis sélectionnez Supprimer. Jeux L’iPod nano vous propose quelques jeux. m Sélectionnez Extras > Jeux puis choisissez un jeu. Verrouillage de l’écran de votre iPod nano Vous pouvez définir une combinaison pour empêcher que votre iPod nano soit utilisé sans votre autorisation. Si vous verrouillez un iPod nano qui n’est pas connecté à un ordinateur, vous devez saisir la combinaison pour le déverrouiller et pouvoir l’utiliser.42 Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires Remarque : le verrouillage a une fonction différente de celle du bouton Hold, qui empêche d’allumer involontairement l’iPod nano. La combinaison empêche toute autre personne de visualiser l’écran de votre iPod nano. Pour définir une combinaison pour l’iPod nano : 1 Sélectionnez Extras > Verrouillage écran > Définir la combinaison. 2 Sur l’écran “Nouveau code :”, saisissez une combinaison :  Utilisez la molette cliquable pour sélectionner un chiffre à entrer dans la case du premier chiffre. Appuyez sur le bouton central pour confirmer votre choix et passer à la case suivante.  Utilisez la même méthode pour définir les autres chiffres de la combinaison. Vous pouvez utiliser le bouton Suivant/Avance rapide pour passer à la case suivante ou le bouton Précédent/Retour rapide pour revenir à la case précédente. Lorsque vous vous trouvez dans la dernière case, appuyez sur le bouton central pour confirmer la totalité de la combinaison et revenir à l’écran précédent. Pour verrouiller l’écran de l’iPod nano : m Sélectionnez Extras > Verrouillage écran > Activer le verrouillage > Verrouiller. Si vous venez de définir votre combinaison, l’élément Verrouiller sera déjà sélectionné à l’écran. Il suffit alors d’appuyer sur le bouton central pour verrouiller l’iPod nano. ∏ Astuce : en ajoutant l’élément de menu Verrouillage écran à votre menu principal, vous pourrez verrouiller rapidement l’écran de votre iPod nano. Consultez “Ajout ou suppression d’éléments depuis le menu principal” à la page 8. Il existe deux manière de déverrouiller votre iPod nano :  Saisissez la combinaison sur l’iPod nano en utilisant la molette cliquable pour sélectionner les chiffres et en appuyant sur le bouton central pour les valider. Si vous saisissez une combinaison incorrecte, elle clignote en rouge. Essayez à nouveau.  Connectez l’iPod nano à l’ordinateur principal avec lequel vous l’utilisez : l’iPod nano se déverrouille automatiquement. Remarque : si vous avez essayé ces solutions mais que l’iPod nano ne se déverrouille toujours pas, vous pouvez restaurer l’iPod nano. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52 pour en savoir plus. Pour modifier une combinaison déjà définie : 1 Sélectionnez Extras > Verrouillage écran > Modifier la combinaison. 2 Sur l’écran “Ancien code :”, saisissez la combinaison actuelle. 3 Sur l’écran “Nouveau code :”, saisissez une nouvelle combinaison. Remarque : si vous avez oublié la combinaison actuelle, la seule façon de l’effacer et d’en entrer une nouvelle est de restaurer le logiciel de l’iPod. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52 pour en savoir plus.Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires 43 Synchronisation de contacts, de calendriers et de listes de tâches Votre iPod nano peut mémoriser des contacts, des événements de votre calendrier et des listes de tâches qui vous accompagneront partout. Si vous utilisez Mac OS X v10.4 ou ultérieur, vous pouvez utiliser iTunes pour synchroniser les contacts de Carnet d’adresses et les calendriers iCal avec l’iPod nano. Si vous utilisez une version de Mac OS X antérieure à 10.4, vous pouvez utiliser iSync pour synchroniser vos informations. La synchronisation d’informations avec iSync requiert iSync 1.1 ou ulté- rieur et iCal 1.0.1 ou ultérieur. Si vous utilisez Windows 2000 ou Windows XP et que vous utilisez Outlook Express ou Microsoft Outlook 2003 ou ultérieur pour stocker vos contacts, vous pouvez utiliser iTunes pour synchroniser vos contacts avec l’iPod nano. Si vous utilisez Microsoft Outlook 2003 ou ultérieur pour tenir à jour un calendrier, vous pouvez également synchroniser ce dernier. Pour synchroniser les informations de contacts ou de calendriers (en utilisant Mac OS X version 10.4 ou ultérieure) : 1 Connectez l’iPod nano à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 3 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour synchroniser les contacts, cliquez sur Contacts puis sur “Synchroniser les contacts de Carnet d’adresses” et sélectionnez une option :  Pour synchroniser automatiquement tous les contacts, sélectionnez “Synchroniser tous les contacts”.  Pour synchroniser automatiquement des groupes de contacts, sélectionnez “Ne synchroniser que les groupes sélectionnés” et cochez les cases en regard des groupes à mettre à jour. Lorsque vous cliquez sur OK, iTunes met à jour l’iPod nano avec les informations de contacts indiquées de Carnet d’adresses. Si les contacts comprennent des photos, ces dernières sont copiées sur l’iPod nano. Lorsque vous affichez un contact sur l’iPod nano, la photo apparaît.  Pour synchroniser les calendriers, cliquez sur Calendriers puis sur “Synchroniser les calendriers iCal” et sélectionnez une option : Bouton Options44 Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires  Pour synchroniser automatiquement tous les calendriers, sélectionnez “Synchroniser tous les calendriers”.  Pour synchroniser automatiquement les calendriers sélectionnés, sélectionnez “Ne synchroniser que les calendriers sélectionnés” et cochez les cases en regard des calendriers à mettre à jour. Lorsque vous cliquez sur OK, iTunes met à jour l’iPod nano avec les calendriers indiqués. Pour synchroniser les contacts et les calendriers avec un ordinateur Mac et iSync (sous une version de Mac OS X antérieure à 10.4) : 1 Connectez l’iPod nano à votre ordinateur. 2 Ouvrez iSync puis choisissez Appareils> Ajouter un appareil. Cette opération n’est nécessaire que la première fois que vous utilisez iSync avec votre iPod nano. 3 Sélectionnez iPod nano puis cliquez sur Synchroniser. iSync télécharge les informations contenues dans iCal et Carnet d’adresses de Mac OS X sur votre iPod nano. La prochaine fois que vous voudrez synchroniser l’iPod nano, il vous suffira d’ouvrir iSync et de cliquer sur Synchroniser. Vous pouvez également choisir de synchroniser automatiquement l’iPod nano lors de sa connexion. Remarque : iSync télécharge les informations contenues dans votre ordinateur sur l’iPod nano. iSync ne vous permet pas de télécharger des informations de votre iPod nano vers votre ordinateur. Pour synchroniser vos contacts ou vos calendriers (à l’aide de Microsoft Outlook pour Windows ou d’Outlook Express pour Windows) : 1 Connectez l’iPod nano à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 3 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour synchroniser vos contacts, cliquez sur Contacts, cochez la case “Synchroniser les contacts depuis”, et sélectionnez Microsoft Outlook (le cas échéant) ou Outlook Express dans le menu contextuel. Choisissez ensuite les informations de contact que vous souhaitez transférer.  Pour synchroniser des calendriers (si vous utilisez Microsoft Outlook), cliquez sur Calendriers et cochez la case “Synchroniser les calendriers à partir de Microsoft Outlook”. Bouton OptionsChapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires 45 Vous pouvez également télécharger manuellement contacts et calendriers sur votre iPod nano. Pour ce faire, l’iPod nano doit être activé pour une utilisation comme disque externe (voir “Utilisation de l’iPod nano en tant que disque externe” à la page 38). Pour télécharger manuellement des contacts : 1 Connectez l’iPod nano puis ouvrez votre application préférée de courrier électronique ou de contacts. Le téléchargement de contacts est notamment possible avec Palm Desktop, Microsoft Outlook, Microsoft Entourage et Eudora. 2 Faites glisser les contacts depuis le carnet d’adresses de l’application vers le dossier Contacts de l’iPod. Dans certains cas, il peut être nécessaire d’exporter des contacts puis de faire glisser le ou les fichiers exportés vers le dossier Contacts de l’iPod. Consultez la documentation de votre application de courrier électronique ou de contacts. Pour télécharger manuellement des rendez-vous et d’autres événements de calendrier : 1 Exportez les événements de calendrier depuis n’importe quelle application de calendrier utilisant le format standard iCalendar (extension de fichier .ics) ou le format vCal (extension de fichier .vcs). 2 Faites glisser les fichiers dans le dossier Calendriers de l’iPod nano. Remarque : il est impossible de télécharger manuellement des listes de tâches sur l’iPod nano. Pour afficher les contacts sur l’iPod nano : m Sélectionnez Extras > Contacts. Pour afficher les événements du calendrier : m Sélectionnez Extras > Calendrier. Pour afficher les listes de tâches : m Sélectionnez Extras > Calendrier > Tâches. Mémorisation et lecture de notes Vous pouvez mémoriser et lire des notes texte sur l’iPod nano s’il est configuré pour l’utilisation comme disque dur (consultez la page 38). 1 Enregistrez un document en tant que fichier texte (.txt) à l’aide de n’importe quel programme de traitement de texte. 2 Placez le fichier dans le dossier Notes de l’iPod nano. Pour afficher les notes : m Sélectionnez Extras > Notes.46 Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires À propos des accessoires de l’iPod nano L’iPod nano vous est fourni avec un certain nombre d’accessoires mais bien d’autres sont disponibles à l’adresse www.apple.com/fr/ipodstore. Pour acheter des accessoires iPod nano, rendez-vous sur www.apple.com/fr/ipodstore. Parmi les accessoires disponibles, citons :  l’accessoire iPod Radio Remote ;  le socle iPod nano Dock ;  le socle iPod Universal Dock  le cordon avec écouteurs iPod nano Lanyard Headphones ;  le brassard iPod nano Armband ;  les écouteurs iPod In-Ear Headphones ;  l’adaptateur secteur USB iPod Power Adapter ;  le kit de voyage World Travel Adapter Kit (adaptateurs pour tous les pays) ;  des accessoires d’autres fabricants tels que haut-parleurs, casques, housses, microphones, batteries de rechange, adaptateurs stéréo pour voiture, adaptateurs secteur, etc. Pour utiliser ces écouteurs : m Connectez les écouteurs au port de sortie casque. Si vous le souhaitez, vous pouvez recouvrir les écouteurs de ces housses. Placez ensuite les écouteurs dans vos oreilles comme illustré. Avertissement : vous risquez une perte d’audition irréparable si vous utilisez un casque à volume sonore élevé. Vous pouvez vous habituer petit à petit à un volume de son plus élevé qui peut vous paraître normal mais entraîner une détérioration de votre audition. Si vos oreilles bourdonnent ou si les sons vous semblent sourds, arrêtez l’écoute et rendez-vous chez votre médecin pour vérifier votre audition. Plus le volume est élevé, plus vous risquez d’abîmer rapidement votre audition. Pour protéger votre audition, les experts donnent les conseils suivants :  Limiter la durée d’utilisation d’un casque à volume sonore élevé.  Éviter d’augmenter le volume pour bloquer le bruit ambiant.  Diminuer le volume si vous ne pouvez plus entendre les personnes voisines parler. Pour en savoir plus sur la mise en place d’un volume maximum sur l’iPod nano, consultez la section “Mise en place du volume maximum” à la page 28. Le cordon des écouteurs est réglable. Housses pour écouteurs5 47 5 Astuces et dépannage La plupart des problèmes de l’iPod nano peuvent être rapidement résolus si vous suivez les conseils de ce chapitre. Quelques suggestions La plupart des problèmes de l’iPod nano peuvent être résolus en le réinitialisant. Pour réinitialiser l’iPod nano : 1 Basculez le bouton Hold sur Hold puis désactivez-le à nouveau. 2 Maintenez enfoncés les boutons central et Menu pendant au moins 6 secondes jusqu’à l’apparition du logo Apple. Si votre iPod nano ne s’allume pas ou ne répond plus  Vérifiez que le bouton Hold est désactivé.  Si le problème persiste, connectez l’iPod nano à un port USB ou FireWire de votre ordinateur. La batterie de votre iPod nano peut avoir besoin d’être rechargée.  Si le problème persiste encore, il vous faudra peut-être réinitialiser votre iPod nano.  Si le problème persiste toujours, une restauration du logiciel de l’iPod nano est peut- être nécessaire. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52. Réinitialiser, réessayer, redémarrer, réinstaller, restaurer Souvenez-vous de ces suggestions de base si vous avez un problème avec votre iPod nano. Si les solutions suivantes ne suffisent pas, lisez plus loin pour apprendre à résoudre des problèmes spécifiques.  Réinitialisez votre iPod nano. Consultez “Quelques suggestions”, ci-dessous.  Réessayez avec un port USB différent si l’iPod nano n’apparaît pas dans iTunes.  Redémarrez votre ordinateur et assurez-vous que les mises à jour de logiciels les plus récentes sont installées.  Réinstallez les version les plus récentes sur le Web du logiciel de l’iPod et d’iTunes.  Restaurez votre iPod nano. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52.48 Chapitre 5 Astuces et dépannage Si vous souhaitez déconnecter l’iPod nano mais qu’un message à l’écran indique “Ne pas déconnecter”  Si l’iPod nano est en train de télécharger de la musique, attendez la fin du téléchargement.  Sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes puis cliquez sur le bouton d’éjection.  Si l’iPod nano disparaît de la liste Source d’iTunes mais que le message “Ne pas déconnecter” est toujours affiché sur l’écran de l’iPod nano, déconnectez l’iPod nano.  Si l’iPod nano ne disparaît pas de la liste Source d’iTunes, glissez l’icône de l’iPod nano du bureau vers la Corbeille (si vous utilisez un Mac) ou cliquez sur l’icône “Retirer le périphérique en toute sécurité” située dans zone de notification système en bas à droite de l’écran, puis sélectionnez votre iPod nano (si vous utilisez un PC sous Windows). Si le message “Ne pas déconnecter” est toujours affiché, redémarrez votre ordinateur puis éjectez à nouveau l’iPod nano. Si votre iPod nano ne lit plus la musique  Vérifiez que le bouton Hold est désactivé.  Assurez-vous que la fiche du casque est complètement enfoncée dans la prise casque.  Assurez-vous que le volume est correctement réglé. Si une icône en forme de verrou s’affiche à droite de la barre de volume, cela signifie qu’un volume maximum a été établi sur l’iPod nano. Vous pouvez le modifier ou le supprimer en choisissant Réglages > Volume maximum. Consultez “Mise en place du volume maximum” à la page 28.  Essayez d’appuyer sur le bouton Lecture/Pause. Votre iPod nano est peut-être en mode pause.  Assurez-vous d’utiliser iTunes 6.0.2 ou ultérieur (inclus sur le CD de l’iPod nano ou disponible au site Web www.apple.com/fr/itunes). L’iPod nano ne lira pas les morceaux achetés sur l’iTunes Music Store avec des versions antérieures d’iTunes avant que vous ayez mis à niveau iTunes puis téléchargé les morceaux.  Si vous utilisez le socle de l’iPod nano, assurez-vous que l’iPod nano y est correctement fixé et que tous les câbles sont connectés de manière adéquate.  Si vous utilisez le port de sortie du socle Dock, assurez-vous que vos haut-parleurs externes ou votre installation stéréo sont allumés et fonctionnent correctement. Si rien ne se produit lorsque vous connectez l’iPod nano à votre ordinateur  Assurez-vous que vous avez installé le logiciel à partir du CD de l’iPod.  Essayez la connexion à un autre port USB de votre ordinateur. Remarque : il est recommandé d’utiliser un port USB 2.0 pour connecter l’iPod nano. USB 1.1 est beaucoup plus lent que USB 2.0. Si votre PC sous Windows n’est pas équipé d’un port USB 2.0, vous pouvez dans certains cas acheter une carte USB 2.0. Pour obtenir plus d’informations, rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/ipdostore.Chapitre 5 Astuces et dépannage 49 Pour charger la batterie, connectez l’iPod nano à un port USB à forte alimentation ou FireWire de votre ordinateur. La connexion de l’iPod nano à un port USB de votre clavier ne permet pas de charger la batterie. Vous pouvez connecter l’iPod nano à un port FireWire via le câble optionnel iPod Dock Connector vers FireWire, mais uniquement pour charger l’iPod nano. Le transfert de données sur l’iPod nano via FireWire n’est pas géré.  Une réinitialisation de votre iPod nano est peut-être nécessaire (consultez la page 47).  Si vous connectez l’iPod nano à un ordinateur portable à l’aide du câble iPod Dock Connector vers USB 2.0, branchez l’ordinateur sur une source d’alimentation avant de connecter l’iPod nano.  Assurez-vous que vous disposez de l’ordinateur et du logiciel requis. Consultez “Si vous souhaitez effectuer une double vérification de la configuration requise” à la page 51.  Vérifiez la connexion des câbles. Débranchez le câble aux deux extrémités et assurezvous que rien ne s’est glissé dans les ports USB. Rebranchez alors le câble avec pré- caution. Assurez-vous que les connecteurs des câbles sont correctement orientés. Ils ne peuvent être insérés que dans un sens.  Essayez de redémarrer votre ordinateur.  Si aucune de ces suggestions n’aide à résoudre le problème, vous devrez éventuellement restaurer le logiciel de l’iPod. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52. Remarque : le câble iPod Dock Connector vers FireWire peut être utilisé uniquement pour charger la batterie et ne peut pas servir au téléchargement de morceaux ou d’autres fichiers audio sur l’iPod nano. Si un dossier avec un point d’exclamation apparaît sur l’écran de l’iPod nano  Une réinitialisation de votre iPod nano est peut-être nécessaire (voir la page 47).  Si le problème persiste, une recharge de la batterie de votre iPod nano est peut-être nécessaire. Connectez l’iPod nano à votre ordinateur puis laissez la batterie de recharger. Si le dossier apparaît toujours, réinitialisez à nouveau l’iPod nano.  Si le problème persiste encore, une mise à jour ou une restauration de l’iPod nano au logiciel le plus récent est peut-être nécessaire. Assurez-vous d’avoir installé le logiciel à partir du CD de l’iPod ou bien rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/ipod pour obtenir la version la plus récente du logiciel. Suivez les instructions de la page 53 pour mettre à jour ou restaurer le logiciel de l’iPod.50 Chapitre 5 Astuces et dépannage Si vous ne parvenez pas à télécharger un morceau ou un autre élément sur l’iPod nano Le morceau peut être encodé dans un format que l’iPod nano ne prend pas en charge. Les formats de fichiers audio suivants sont pris en charge par l’iPod nano. Ils comprennent les formats des livres audio et des podcasts :  AAC (M4A, M4B, M4P) (jusqu’à 320 kb/s)  Apple Lossless (format de compression haute qualité)  MP3 (jusqu’à 320 kb/s)  MP3 Variable Bit Rate (VBR)  WAV  AA (texte lu audible.com, formats 2, 3 et 4)  AIFF Un morceau encodé au format Apple Lossless possède la même qualité sonore qu’un CD tout en occupant deux fois moins d’espace qu’un morceau encodé au format AIFF ou WAV. Le même morceau encodé au format AAC ou MP3 utilise encore moins de place. Quand vous importez de la musique depuis un CD à l’aide d’iTunes, elle est convertie par défaut au format AAC. Si vous utilisez iTunes pour Windows, vous pouvez convertir les fichiers WMA non protégés au format AAC ou MP3. Cela peut être utile si vous disposez d’une bibliothèque de musique encodée au format WMA. L’iPod nano ne prend pas en charge les fichiers audio WMA, MPEG Layer 1 et MPEG Layer 2 et le format 1 d’audible.com. Si vous possédez dans iTunes un morceau qui n’est pas pris en charge par l’iPod nano, vous pouvez le convertir en un format que l’iPod nano prend en charge. Consultez l’Aide iTunes et Music Store pour en savoir plus. Si vous avez choisi par mégarde une langue pour l’iPod nano qui vous est étrangère Vous pouvez réinitialiser le choix de la langue. 1 Maintenez enfoncé le bouton Menu jusqu’à ce que le menu principal apparaisse. 2 Choisissez le cinquième élément du menu (Réglages). 3 Choisissez le dernier élément du menu (Réinitialiser tous les réglages). 4 Choisissez le deuxième élément du menu (Réinitialiser) et sélectionnez une langue. Les autres réglages de l’iPod nano tels que la répétition de morceaux, seront également réinitialisés. Remarque : si vous avez ajouté ou supprimé des éléments du menu principal de l’iPod nano (voir “Ajout ou suppression d’éléments depuis le menu principal” à la page 8), l’élément du menu Réglages se trouve éventuellement à un autre endroit. Si vous ne parvenez pas à trouver l’élément de menu “Réinitialiser tous les réglages”, vous pouvez restaurer votre iPod nano à son état d’origine et choisir une langue que vous comprenez. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52.Chapitre 5 Astuces et dépannage 51 Si rien ne se produit lorsque vous connectez l’iPod nano à un connecteur d’appareil photo Vous devez d’abord importer les photos de votre appareil photo vers votre ordinateur puis ensuite les télécharger sur l’iPod nano. Il n’est pas possible de connecter directement un appareil photo à l’iPod nano pour télécharger des photos. Certains autres accessoires de tierces parties ne peuvent pas être connectés directement à l’iPod nano. Rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/support/ipod pour en savoir plus. Si vous souhaitez effectuer une double vérification de la configuration requise Pour utiliser l’iPod nano, vous devez disposer des éléments suivants :  Une des configurations d’ordinateur suivantes :  Un ordinateur Macintosh doté d’un port USB (USB 2.0 recommandé).  Un PC sous Windows doté d’un port ou d’une carte USB (USB 2.0 recommandé).  Un des systèmes d’exploitation suivants : Mac OS X v10.3.9 ou ultérieur, Windows 2000 avec Service Pack 4 ou ultérieur ou Windows XP Édition Familiale ou Professionnel avec Service Pack 2 ou ultérieur.  iTunes 6.0.2 ou ultérieur (iTunes est inclus sur le CD de l’iPod).  Le logiciel de l’iPod (inclus sur le CD de l’iPod). Si votre PC Windows n’est pas doté d’un port USB à forte alimentation, vous pouvez acheter et installer une carte USB 2.0. Pour obtenir plus d’informations, rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/ipdostore. Remarque : vous pouvez connecter l’iPod nano à un port FireWire (IEEE1394) pour le recharger mais ce port ne peut pas être utilisé pour transférer de la musique ou d’autres fichiers audio. De plus, sur les ordinateurs Macintosh, iPhoto 4.0.3 ou ultérieur est recommandé pour le téléchargement de photos et d’albums sur l’iPod nano. Ce logiciel est facultatif. iPhoto est peut-être déjà installé sur votre Mac. Vérifiez dans le dossier Applications. Si vous disposez d’iPhoto 4, vous pouvez le mettre à jour en choisissant menu Pomme () > Mise à jour de logiciels. Port USB 2.0 à forte alimentation Port FireWire 400 à 6 broches (IEEE 1394)52 Chapitre 5 Astuces et dépannage Sur un PC sous Windows, l’iPod nano peut importer des collections de photos automatiquement à partir d’Adobe Photoshop Album 2.0 ou ultérieur ou d’Adobe Photoshop Elements 3.0 ou ultérieur, disponibles à l’adresse www.adobe.com. Ce logiciel est facultatif. L’iPod nano peut importer des photos numériques des dossiers du disque dur de votre ordinateur Macintosh ou de votre PC sous Windows. Si vous souhaitez utiliser votre iPod nano avec un Mac et un PC sous Windows Si vous utilisez votre iPod nano avec un Mac et que vous souhaitez l’utiliser avec un PC sous Windows (ou inversement), vous devez restaurer le logiciel de l’iPod pour l’utiliser avec l’autre ordinateur à l’aide du programme de mise à jour iPod Updater (consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” ci-dessous). La restauration du logiciel de l’iPod efface toutes les données de l’iPod nano, y compris tous les morceaux de musique. Il est impossible pour un iPod nano de passer d’un Mac à un PC sous Windows (ou inversement) sans perdre toutes les données sur l’iPod nano. Si vous verrouillez l’écran de votre iPod nano et que vous ne pouvez pas le déverrouiller Normalement, si vous connectez votre iPod nano à l’ordinateur avec lequel il est autorisé à fonctionner, votre iPod nano se déverrouille automatiquement. Si l’ordinateur autorisé à fonctionner avec votre iPod nano n’est pas disponible, vous pouvez connecter l’iPod nano à un autre ordinateur et utiliser le programme de mise à jour iPod Updater pour restaurer le logiciel de votre iPod. Consultez la section suivante pour en savoir plus. Si vous souhaitez modifier la combinaison de verrouillage de l’écran mais que vous ne vous souvenez pas de la combinaison actuelle, une restauration du logiciel de l’iPod sera nécessaire avant de pouvoir définir une nouvelle combinaison. Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod Vous pouvez utiliser le programme de mise à jour iPod Updater pour mettre à jour ou restaurer le logiciel de votre iPod. Apple met régulièrement à jour le logiciel de l’iPod pour améliorer ses performances ou lui ajouter des fonctionnalités. Il est recommandé de mettre à jour votre iPod nano et d’utiliser le logiciel le plus récent. Vous pouvez également restaurer le logiciel et rendre ainsi à l’iPod nano son état d’origine.  Si vous choisissez de mettre à jour, le logiciel sera mis à jour, mais vos réglages et morceaux seront conservés.  Si vous optez pour la restauration, toutes les données seront effacées de votre iPod nano, y compris les morceaux, fichiers, contacts, photos, informations de calendrier ou tout autre donnée. Tous les réglages d’origine de l’iPod nano seront rétablis.Chapitre 5 Astuces et dépannage 53 Pour mettre à jour ou restaurer l’iPod nano avec le logiciel le plus récent : 1 Allez au site Web www.apple.com/fr/support/ipod et téléchargez la dernière mise à jour de l’iPod. La mise à jour comprend le logiciel le plus récent pour tous les modèles d’iPod. 2 Double-cliquez sur le fichier d’installation du logiciel et suivez les instructions à l’écran pour installer la mise à jour de l’iPod. 3 Connectez l’iPod nano à votre ordinateur et ouvrez iTunes. Le programme de mise à jour iPod Updater s’ouvre. Si vous utilisez un PC sous Windows et que le programme de mise à jour iPod Updater ne s’ouvre pas automatiquement, vous pouvez le lancer en sélectionnant Démarrer > Programmes > iPod. 4 Suivez les instructions à l’écran pour mettre à jour ou restaurer le logiciel de l’iPod. Si vous utilisez le programme de mise à jour iPod Updater et qu’il ne détecte pas que l’iPod nano est connecté à votre ordinateur, réinitialisez l’iPod nano (consultez la page 47). Si vous souhaitez restaurer le logiciel de l’iPod et que vous ne disposez pas de connexion à Internet, vous pouvez utiliser l’application de mise à jour iPod Updater installée sur votre ordinateur en même temps que le logiciel du CD de l’iPod. Pour restaurer le logiciel de l’iPod à l’aide du programme de mise à jour iPod Updater fourni sur le CD de l’iPod :  Si vous possédez un Mac, vous pouvez trouver le programme de mise à jour iPod Updater dans Applications/Utilitaires/Programme de mise à jour du logiciel iPod.  Si vous possédez un PC sous Windows, vous pouvez trouver le programme en sélectionnant Démarrer > Programmes > iPod. Remarque : la date du programme de mise à jour fait partie de son nom et donc, si vous avez plusieurs versions, assurez-vous d’utiliser la plus récente.6 54 6 Sécurité et entretien Apprenez à nettoyer et à manipuler votre iPod nano en toute sécurité. Instructions de sécurité à propos de la configuration Lorsque vous installez et utilisez votre iPod nano, ne perdez pas de vue les points suivants :  Conservez ces instructions à portée de main pour que vous ou d’autres personnes puissiez vous y reporter.  Respectez toutes les instructions et les avertissements concernant votre iPod nano. Conseils généraux de sécurité, de nettoyage et de manipulation de l’appareil Avertissement : les appareils électriques peuvent s’avérer dangereux s’ils ne sont pas utilisés correctement. L’utilisation de ce produit ou de produits analogues doit toujours être supervisée par un adulte. Ne laissez jamais les enfants accéder à la partie interne de tout produit électrique ni manipuler aucun câble. Pour : procédez ainsi : Manipuler votre iPod nano avec précaution Veillez à ne pas le faire tomber votre iPod nano. Si vous craignez de le rayer, vous pouvez utiliser la housse incluse ou tout autre housse vendue séparément. Avertissement : les composants de votre iPod nano, y compris la batterie rechargeable, sont fragiles. Pour éviter d’endommager votre iPod nano, prenez garde à ne pas le faire tomber, le tordre ou l’écraser. Utiliser les écouteurs avec précaution L’utilisation des écouteurs n’est pas recommandée lorsque vous conduisez et constitue d’ailleurs une infraction au code de la route dans certains endroits. Soyez prudent et attentif au volant. Cessez d’utiliser votre iPod nano si vous vous rendez compte que cela vous distrait ou vous dérange lorsque vous conduisez un véhicule ou lorsque vous réalisez tout autre activité nécessitant votre attention. Chapitre 6 Sécurité et entretien 55 Éviter d’endommager votre audition Réglez le volume de votre iPod nano à un niveau raisonnable. Si vous entendez un sifflement dans les oreilles, diminuez le volume ou pensez à interrompre régulièrement l’utilisation de votre iPod nano. Pour en savoir plus sur la manière de mettre en place un volume maximum sur l’iPod nano, consultez la section “Mise en place du volume maximum” à la page 28. Avertissement : vous risquez une perte d’audition irréparable si vous utilisez un casque à un volume sonore élevé. Vous pouvez vous habituer petit à petit à un volume de son élevé qui peut vous paraître normal mais entraîner une détérioration de votre audition. Si vos oreilles bourdonnent ou si les sons vous semblent sourds, arrêtez l’écoute et rendez-vous chez votre médecin pour vérifier votre audition. Plus le volume est élevé, plus vous risquez d’abîmer rapidement votre audition. Pour protéger votre audition, les experts donnent les conseils suivants :  Limiter la durée d’utilisation d’un casque à volume sonore élevé.  Éviter d’augmenter le volume pour bloquer le bruit ambiant.  Diminuer le volume si vous ne pouvez plus entendre les personnes voisines parler. Utiliser les connecteurs et les ports convenablement N’essayez jamais de forcer l’entrée d’un connecteur dans un port. Si le connecteur et le port ne s’assemblent pas avec une relative facilité, c’est probablement parce qu’ils ne sont pas compatibles. Assurez-vous que le connecteur est compatible avec le port et que vous l’avez positionné correctement par rapport à ce dernier. Pour : procédez ainsi :56 Chapitre 6 Sécurité et entretien Réduire la possibilité d’abîmer l’appareil ou de blesser quelqu’un Évitez le contact avec des liquides (pluie, boissons, éclaboussures) et tenez votre iPod nano à l’écart d’éléments pouvant générer des infiltrations. Veillez à ne pas renverser d’aliments ou de liquides sur votre iPod nano. Si cela se produit, débranchez votre iPod nano avant de le nettoyer. Vous devrez éventuellement envoyer votre équipement à un fournisseur de services agréé. Avertissement : n’utilisez pas votre iPod nano dans ou près de l’eau ou dans tout autre lieu humide. Réparer votre iPod nano Pour toute réparation, reportez-vous à la section “En savoir plus, service et assistance” à la page 57. Avertissement : n’effectuez aucune réparation vous-même. N’essayez pas d’ouvrir votre iPod nano, de le démonter ou de retirer la batterie. Vous courez le risque de recevoir une décharge électrique et d’annuler la garantie limitée. L’appareil ne contient pas de pièces qui puissent être réparées par l’utilisateur. Nettoyer la partie externe de votre iPod nano Assurez-vous que votre iPod nano est débranché. Utilisez un chiffon doux, humide et non pelucheux. Évitez toute pénétration d’humidité dans les orifices de l’appareil. N’utilisez ni vaporisateur aérosol, ni dissolvant, ni alcool, ni abrasif. Conserver votre iPod nano à température normale Utilisez votre iPod nano dans un endroit où la température est toujours comprise entre 0 et 35 ºC. Dans des conditions de basses températures, l’autonomie de l’iPod nano peut diminuer temporairement. Rangez votre iPod nano dans un endroit où la température est toujours comprise entre -20º et 45 ºC. La température dans les voitures en stationnement pouvant dépasser cette fourchette, ne laissez pas l’iPod nano dans votre voiture. Remarque : lorsque vous utilisez votre iPod nano ou rechargez sa batterie, il est normal que la partie inférieure de son boîtier chauffe. Cette partie de l’iPod nano sert en effet de surface de refroidissement et transfère la chaleur de l’intérieur de l’appareil vers l’exté- rieur, où l’air est moins chaud. Pour : procédez ainsi :7 57 7 En savoir plus, service et assistance Vous trouverez plus d’informations sur l’utilisation de l’iPod nano dans l’aide à l’écran et sur le Web. Le tableau suivant décrit à quel endroit trouver de plus amples informations sur les services et les logiciels de l’iPod. Pour en savoir plus sur : Procédez ainsi : Le service et l’assistance, les forums et les téléchargements de logiciels Apple Rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/support/ipod. Les derniers guides d’initiation et astuces afin de tirer le meilleur parti de votre iPod nano Rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/support/ipod/howto. L’utilisation d’iTunes Ouvrez iTunes et sélectionnez Aide > Aide iTunes et Music Store. Pour obtenir un guide d’initiation iTunes en ligne (disponible uniquement dans certains pays), rendez-vous sur www.apple.com/fr/support/itunes. L’utilisation d’iPhoto (sous Mac OS X) Ouvrez iPhoto et sélectionnez Aide > Aide iPhoto. L’utilisation d’iSync (sous Mac OS X) Ouvrez iSync et sélectionnez Aide > Aide iSync. L’utilisation d’iCal (sous Mac OS X) Ouvrez iCal et sélectionnez Aide > Aide iCal. Les toutes dernières informations sur l’iPod nano Rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/ipod. L’enregistrement de l’iPod nano Si vous n’avez pas enregistré votre appareil en installant le logiciel à partir du CD de l’iPod, rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/register. La recherche du numéro de série de l’iPod nano Regardez au dos de votre iPod nano ou bien sélectionnez Réglages > Informations. L’obtention du service assuré par la garantie Suivez tout d’abord les conseils de ce fascicule, de l’aide à l’écran et des ressources en ligne, puis rendez-vous alors au site Web www.apple.com/fr/support.58 Communications Regulation Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the television or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the television or radio.  Move the computer farther away from the television or radio.  Plug the computer in to an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple-authorized service provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. IMPORTANT Changes or modifications to this product not authorized by Apple Computer, Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product was tested for EMC compliance under conditions that included the use of Apple peripheral devices and Apple shielded cables and connectors between system components. It is important that you use Apple peripheral devices and shielded cables and connectors between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. You can obtain Apple peripheral devices and the proper shielded cables and connectors through an Apple Authorized Reseller. For non-Apple peripheral devices, contact the manufacturer or dealer for assistance. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Computer, Inc. Product Compliance, 1 Infinite Loop M/S 26-A, Cupertino, CA 95014-2084, 408-974-2000. Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la classe B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. VCCI Class B Statement Communauté Européenne Conforme aux directives européennes 72/23/EEC et 89/336/EEC. 59 Disposal and Recycling Information Your iPod contains a battery. Dispose of your iPod according to your local environmental laws and guidelines. For information about Apple’s recycling program, go to www.apple.com/environment/summary.html. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Taiwan: Union Européenne-informations sur l’élimination : ce symbole signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Apple et l’environnement Chez Apple, nous sommes conscients de la responsabilité qui nous incombe de réduire les impacts écologiques de nos activités et de nos produits. Pour plus d’informations, rendez-vous sur www.apple.com/environment/summary.html. © 2006 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, FireWire, iCal, iLife, iPhoto, iPod, iTunes, Mac, Macintosh et Mac OS sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, le logo FireWire et Shuffle sont des marques d’Apple Computer Inc. Apple Store et iTunes Music Store sont des marques de service d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Les autres noms de produits et de sociétés sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Tout arrangement, accord ou garantie, le cas échéant, s’applique directement entre le revendeuret les utilisateurs potentiels. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. F019-0691/3-2006 Mac OS X Server Administration de serveur Pour Leopard 10.5K Apple Inc. © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. En vertu de la législation en vigueur sur les droits d’auteur, ce manuel ne peut pas être copié, dans son intégralité ou partiellement, sans l’accord préalable écrit d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tous les efforts nécessaires ont été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient les plus exactes possibles. Apple n’est pas responsable des erreurs d’impression ou de reproduction. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AirPort, AppleTalk, Final Cut Pro, FireWire, iCal, iDVD, iMovie, iPhoto, iPod, iTunes, Mac, Macintosh, le logo Mac, Mac OS, PowerBook, QuickTime et SuperDrive sont des marques d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, le logo FireWire et Safari sont des marques d’Apple Inc. AppleCare et Apple Store sont des marques de service d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. .Mac est une marque de service d’Apple Inc. PowerPC est une marque d’International Business Machines Corporation, utilisée sous licence. Les autres noms de sociétés et de produits mentionnés ici sont des marques de leurs détenteurs respectifs. La mention de produits tiers n’est effectuée qu’à des fins informatives et ne constitue en aucun cas une approbation ni une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité vis-à-vis des performances ou de l’utilisation de ces produits. Le produit décrit dans ce manuel incorpore une technologie de protection des droits d’auteur protégée par des revendications de procédé incluses dans certains brevets et autres droits de propriété intellectuelle détenus aux États-Unis par Macrovision Corporation et d’autres propriétaires de droits. L’utilisation de cette technologie de protection des droits d’auteur doit être autorisée par Macrovision Corporation et est réservée à un cadre domestique et à d’autres circonstances limitées, à moins de disposer d’une autorisation spéciale de la part de Macrovision Corporation. Tout désassemblage ou ingé- nierie inverse est interdit. Revendications de produit des brevets nº 4.631.603, 4.577.216, 4.819.098 et 4.907.093 (États-Unis) sous licence pour un usage limité. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. F019-0932/2007-09-01 3 1 Table des matières Préface 11 À propos de ce guide 11 Nouveautés d’Admin Serveur 12 Contenu de ce guide 12 Utilisation de l’aide à l’écran 13 Guides d’administration de Mac OS X Server 14 Visualisation de guides PDF à l’écran 14 Impression des guides PDF 15 Obtenir des mises à jour de documentation 15 Pour obtenir des informations supplémentaires Chapitre 1 17 Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge 17 Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server 18 Description des configurations de serveur 19 Configuration avancée en action 20 Améliorations apportées à Mac OS X Server Leopard 21 Normes standard prises en charge 24 L’héritage UNIX de Mac OS X Server Chapitre 2 25 Planification 26 Planification 26 Planification pour la mise à niveau ou la migration vers Mac OS X Server 10.5 27 Mise en place d’une équipe de planification 27 Identification des serveurs à mettre en place 28 Choix des services à héberger sur chaque serveur 29 Définition d’une stratégie de migration 29 Mise à niveau et migration à partir d’une version antérieure de Mac OS X Server 30 Migration à partir de Windows NT 30 Définition d’une stratégie d’intégration 30 Définition de la configuration de l’infrastructure matérielle 31 Définition de l’infrastructure minimale pour la configuration du serveur 32 Vérification de la disponibilité du matériel nécessaire pour le serveur 33 Limitation de la nécessité de déplacer des serveurs après la configuration 34 Définition de politiques de sauvegarde et de restauration4 Table des matières 34 Description des politiques de sauvegarde et de restauration 35 Description des types de sauvegarde 36 Description de la planification de sauvegardes 37 Description des restaurations 38 Autres considérations en matière de politique de sauvegarde 39 Outils de ligne de commande de restauration et de sauvegarde Chapitre 3 41 Outils d’administration 42 Admin Serveur 42 Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification 43 Interface d’Admin Serveur 45 Personnalisation de l’environnement d’Admin Serveur 45 Assistant du serveur 46 Gestionnaire de groupe de travail 47 Interface de Gestionnaire de groupe de travail 48 Personnalisation de l’environnement du Gestionnaire de groupe de travail 49 Répertoire 50 Interface de Répertoire 51 Utilitaire d’annuaire 51 Contrôle de serveur 53 Gestion des images système 54 Gestion de l’enchaînement de données 54 Utilitaires de ligne de commande 55 Xgrid Admin 56 Apple Remote Desktop Chapitre 4 57 Sécurité 57 À propos de la sécurité physique 58 À propos de la sécurité du réseau 58 Coupe-feu et filtres de paquets 59 Zone démilitarisée réseau 59 Réseaux locaux virtuels 60 Filtrage MAC 60 Chiffrement du transport 61 Chiffrement de la charge utile 61 À propos de la sécurité des fichiers 61 Autorisations d’accès aux fichiers et aux dossiers 62 À propos du chiffrement des fichiers 62 Suppression sécurisée 63 À propos de l’authentification et de l’autorisation 64 Signature unique 65 À propos des certificats, de SSL et de l’infrastructure à clé publique 66 Clés publiques et privéesTable des matières 5 67 Certificats 67 Autorités de certificat 68 Identités 68 Certificats auto-signés 68 Gestionnaire de certificats dans Admin Serveur 69 Préparation des certificats 70 Demande de certificat auprès d’une autorité de certificat 71 Création d’un certificat auto-signé 71 Création d’une autorité de certificat 73 Utilisation d’une AC pour créer un certificat destiné à quelqu’un d’autre 74 Importation d’un certificat 75 Gestion des certificats 75 Modification d’un certificat 75 Distribution d’un certificat public d’AC à des clients 76 Suppression d’un certificat 76 Renouvellement d’un certificat arrivé à expiration 77 Utilisation de certificats 77 SSH et les clés SSH 77 Ouverture de session SSH à base de clés 77 Génération d’une paire de clés pour SSH 79 Sécurité au niveau de l’administration 80 Définition de privilèges au niveau de l’administration 80 Sécurité au niveau du service 81 Définition d’autorisations de liste SACL 81 Pratiques d’excellence en matière de sécurité 84 Directives en matière de mots de passe 84 Création de mots de passe complexes Chapitre 5 85 Installation et déploiement 85 Vue d’ensemble de l’installation 87 Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server 88 Instructions matérielles pour l’installation de Mac OS X Server 88 Collecte des informations nécessaires 88 Préparation d’un ordinateur administrateur 89 À propos du disque d’installation du serveur 89 Configuration de services réseau 89 Connexion au répertoire au cours de l’installation 90 Installation du logiciel serveur sur un ordinateur en réseau 90 À propos du démarrage pour l’installation 90 Avant de démarrer 91 Accès à distance au DVD d’installation 92 Démarrage à partir du DVD d’installation 93 Démarrage à partir d’une partition alternative6 Table des matières 97 Démarrage à partir d’un environnement NetBoot 98 Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server 106 Identification du serveur distant lors de l’installation de Mac OS X Server 107 Installation interactive du logiciel serveur 107 Installation locale à partir du disque d’installation 109 Installation à distance à l’aide d’Assistant du serveur 111 Installation à distance à l’aide de VNC 112 Installation du logiciel serveur à l’aide de l’outil de ligne de commande installer 114 Installation de plusieurs serveurs 115 Mise à niveau d’un ordinateur de Mac OS X à Mac OS X Server 115 Comment rester à jour Chapitre 6 117 Configuration initiale du serveur 117 Informations nécessaires 117 Report de la configuration de serveur après l’installation 118 Connexion au réseau lors de la configuration initiale du serveur 118 Configuration de serveurs avec plusieurs ports Ethernet 119 À propos des réglages établis au cours de la configuration initiale du serveur 120 Spécification de l’utilisation initiale d’Open Directory 121 Mise à jour sans changer l’utilisation de répertoire 122 Configuration d’un serveur comme serveur autonome 122 Configuration d’un serveur pour la connexion à un système de répertoire 123 Utilisation de la configuration interactive de serveur 124 Configuration interactive d’un serveur local 125 Configuration interactive d’un serveur distant 127 Configuration interactive d’un lot de serveurs distants 128 Utilisation de la configuration automatique de serveurs 130 Création et enregistrement de données de configuration 130 Données de configuration enregistrées dans un fichier 132 Données de configuration enregistrées dans un répertoire 133 Stockage de copies de sauvegarde des données de configuration enregistrées 134 Transmission des fichiers de données de configuration aux serveurs 136 Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées 137 Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier 140 Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire 143 Détermination de l’état des configurations 143 Utilisation de la sous-fenêtre Destination pour les informations d’état de configuration 143 Gestion des échecs de configuration 144 Gestion des avertissements de configuration 144 Obtention d’informations d’état sur l’installation de la mise à niveau 145 Configuration des services 145 Ajout de services à l’affichage ServeurTable des matières 7 145 Configuration d’Open Directory 146 Configuration de la gestion des utilisateurs 146 Configuration des services de fichiers 147 Configuration du service d’impression 148 Configuration de service web 149 Configuration du service de messagerie 149 Configuration de services réseau 149 Configuration de services d’image système et de services de mise à jour de logiciels 150 Configuration de la diffusion de données 150 Configuration de Podcast Producer 150 Configuration du service WebObjects 151 Configuration du service iChat 151 Configuration du service iCal Chapitre 7 153 Gestion 154 Ports utilisés pour l’administration 154 Ports ouverts par défaut 154 Ordinateurs permettant d’administrer un serveur 155 Configuration d’un ordinateur administrateur 155 Administration au moyen d’un ordinateur non Mac OS X 156 Utilisation des outils d’administration 157 Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification 157 Ajout et suppression de serveurs dans Admin Serveur 158 Regroupement manuel de serveurs 159 Regroupement de serveurs à l’aide de groupes intelligents 159 Utilisation des réglages d’un serveur spécifique 162 Modification de l’adresse IP d’un serveur 162 Modification du nom d’hôte du serveur après la configuration 163 Modification du type de configuration du serveur 164 Administration des services 164 Ajout et suppression de services dans Admin Serveur 165 Importation et exportation des réglages de service 165 Contrôle de l’accès aux services 166 Utilisation de SSL pour l’administration à distance des serveurs 167 Gestion du partage 168 Autorisations d’administration par niveaux 169 Définition des autorisations d’administration 170 Notions élémentaires sur Gestionnaire de groupe de travail 170 Ouverture de Gestionnaire de groupe de travail et authentification 171 Administration de comptes 171 Gestion des utilisateurs et des groupes 172 Définition des préférences gérées 174 Utilisation de données de répertoire8 Table des matières 174 Personnalisation de l’environnement de Gestionnaire de groupe de travail 175 Gestion d’ordinateurs de versions antérieures à la version 10.5 à partir de serveurs de version 10.5 175 Assistants de configuration des services 176 Fichiers de données et de configuration critiques 180 Amélioration de la disponibilité des services 180 Élimination des points de défaillance uniques 181 Utilisation de Xserve pour obtenir une haute disponibilité 181 Utilisation d’une alimentation de réserve 182 Configuration du redémarrage automatique de votre serveur 183 Pour assurer de bonnes conditions de fonctionnement 183 Fourniture de répliques Open Directory 184 Agrégation de liens 185 Le protocole d’agrégation de liens (LACP, Link Aggregation Control Protocol) 185 Scénarios d’agrégation de liens 187 Configuration de l’agrégation de liens dans Mac OS X Server 189 Contrôle de l’état de l’agrégation de liens 190 Équilibrage de la charge 191 Vue d’ensemble des démons 191 Visualisation des démons en cours d’exécution 191 Contrôle des démons Chapitre 8 193 Contrôle 193 Planification d’une politique de contrôle 194 Planification d’une réponse de contrôle 194 Widget d’état du serveur 195 Contrôle de serveur 195 RAID Admin 196 Console 196 Outils de contrôle de disque 197 Outils de contrôle de réseau 198 Notification dans Admin Serveur 199 Contrôle des aperçus de l’état du serveur à l’aide d’Admin Serveur 201 Protocole SNMP (Simple Network Management Protocol) 201 Activation des rapports SNMP 201 Configuration de snmpd 204 Démons de notification et de contrôle des événements 205 Journalisation 205 Syslog 207 Journalisation de débogage du service de répertoire 207 Journalisation Open Directory 208 Journalisation AFP 208 Outils de contrôle supplémentairesTable des matières 9 Chapitre 9 209 Exemple de configuration 209 Un seul Mac OS X Server dans une petite entreprise 210 Configuration du serveur Annexe 221 Feuille d’opérations avancées de Mac OS X Server Glossaire 235 Index 257 11 Préface À propos de ce guide Le présent guide constitue le point de départ pour toute personne souhaitant administrer Mac OS X Leopard Server en mode de configuration avancée. Il contient des informations sur l’utilisation d’Admin Serveur pour la planification, les pratiques, les outils, l’installation, le déploiement, etc. Administration du serveur n’est pas le seul guide nécessaire pour administrer un serveur en mode avancé, mais il offre une vue d’ensemble sur la planification, l’installation et la maintenance de Mac OS X Server à l’aide d’Admin Serveur. Nouveautés d’Admin Serveur Admin Serveur, outil d’administration de serveur Apple à la fois puissant, flexible et très complet, est inclus avec Mac OS X Server 10.5. Ses capacités ont été renforcées en ce qui concerne la fiabilité et la prise en charge des normes standard. Admin Serveur bénéficie également de plusieurs améliorations :  Nouvelle interface revue et rationalisée.  Gestion des points de partage (une fonctionnalité qui provient de Gestionnaire de groupe de travail).  Notification des événements.  Administration par niveaux (autorisations administratives déléguées).  Possibilité d’afficher ou de masquer les services selon les besoins.  Vues d’ensemble simples et détaillées de l’état d’un ou de plusieurs serveurs.  Groupes de serveurs.  Groupes de serveurs intelligents.  Possibilité d’enregistrer et de restaurer facilement des configurations de services.  Possibilité d’enregistrer et de restaurer facilement des préférences Admin Serveur.12 PréfaceÀ propos de ce guide Contenu de ce guide Ce guide comprend les chapitres suivants :  Chapitre 1, « Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge, » fournit une brève vue d’ensemble des systèmes et des normes standard Mac OS X Server.  Chapitre 2, « Planification, » vous aide à planifier l’utilisation de Mac OS X Server.  Chapitre 3, « Outils d’administration, » constitue une référence sur les outils utilisés pour administrer des serveurs.  Chapitre 4, « Sécurité, » est un bref guide sur les politiques et pratiques en matière de sécurité.  Chapitre 5, « Installation et déploiement, » est un guide d’installation de Mac OS X Server.  Chapitre 6, « Configuration initiale du serveur, » est un guide sur la configuration de votre serveur après l’installation.  Chapitre 7, « Gestion, » explique comment utiliser Mac OS X Server et les services.  Chapitre 8, « Contrôle, » montre comment surveiller Mac OS X Server et comment y ouvrir une session. Remarque :étant donné qu’Apple publie régulièrement de nouvelles versions et mises à jour de ses logiciels, les illustrations de ce document peuvent être différentes de celles qui s’affichent à l’écran. Utilisation de l’aide à l’écran Visualisation Aide permet d’obtenir des instructions à l’écran tout en gérant Leopard Server. L’aide peut être affichée sur un serveur ou sur un ordinateur administrateur (Un ordinateur administrateur est un ordinateur Mac OS X sur lequel est installé le logiciel d’administration de serveur Leopard Server.) Pour obtenir de l’aide dans le cas d’une configuration avancée de Mac OS X Leopard Server : m Ouvrez Admin Serveur ou Gestionnaire de groupe de travail, puis :  Utilisez le menu Aide pour rechercher une tâche à exécuter.  Choisissez Aide > Aide Admin Serveur ou Aide > Aide Gestionnaire de groupe de travail avant d’explorer les rubriques d’aide et d’effectuer des recherches. L’Aide l’écran contient des instructions issues de Administration du serveur et d’autres guides d’administration avancés décrits dans « Guides d’administration de Mac OS X Server ».Préface À propos de ce guide 13 Pour visualiser les rubriques d’aide les plus récentes concernant les serveurs : m Assurez-vous que le serveur ou l’ordinateur administrateur est connecté à Internet pendant que vous consultez l’Aide. Visualisation Aide extrait automatiquement les rubriques d’aide les plus récentes depuis Internet et les stocke en mémoire cache. Lorsque vous n’êtes pas connecté à Internet, Visualisation Aide affiche les rubriques d’aide mises en cache. Guides d’administration de Mac OS X Server Premiers contacts traite de l’installation et de la configuration des configurations standard et de groupe de travail de Mac OS X Server. Pour les configurations avancées, consultez Administration du serveur, qui regroupe la planification, l’installation, la configuration et l’administration du serveur en général. Une série de guides supplémentaires, énumérés ci-dessous, décrit la planification, la configuration, ainsi que la gestion avancée des services individuels. Vous pouvez obtenir ces guides au format PDF sur le site web de documentation de Mac OS X Server : www.apple.com/fr/server/documentation Ce guide... explique comment : Premiers contacts et Feuille d’opération d’installation et de configuration Installer Mac OS X Server et le configurer pour la première fois. Administration de ligne de commande Installer, configurer et gérer Mac OS X Server à l’aide de fichier s de configuration et d’outils de ligne de commande UNIX. Administration des services de fichier Partager certains volumes ou dossiers de serveur entre les clients du serveur, à l’aide des protocoles AFP, NFS, FTP et SMB. Administration du service iCal Configurer et gérer le service de calendrier partagé d’iCal. Administration du service iChat Configurer et gérer le service de messagerie instantanée d’iChat. Configuration de la sécurité de Mac OS X Renforcer la sécurité des ordinateurs (clients) Mac OS X, comme l’exigent les entreprises et les organismes publics. Configuration de la sécurité de Mac OS X Server Renforcer la sécurité de Mac OS X Server et de l’ordinateur sur lequel il est installé, comme l’exigent les entreprises et les organismes publics. Administration du service de messagerie Configurer et gérer les services de messagerie IMAP, POP et SMTP sur le serveur. Administration des services de réseau Installer, configurer et administrer les services DHCP, DNS, VPN, NTP, coupe-feu IP, NAT et RADIUS sur le serveur. Administration d’Open Directory Configurer et gérer les services de répertoire et d’authentification, ainsi que configurer les clients autorisés à accéder aux services de répertoire. Administration de Podcast Producer Configurer et gérer le service Podcast Producer destiné à enregistrer, traiter et distribuer des podcasts.14 PréfaceÀ propos de ce guide Visualisation de guides PDF à l’écran Lorsque vous lisez la version PDF d’un guide à l’écran, vous pouvez :  Afficher les signets pour visualiser le plan du guide et cliquer sur un signet pour accéder directement à la section correspondante.  Rechercher un mot ou une phrase pour afficher une liste des endroits où ce mot ou cette phrase apparaît dans le document. Cliquez sur un de ces endroits pour afficher la page correspondante.  Cliquer sur une référence croisée pour accéder directement à la rubrique référencée. Cliquez sur un lien pour visiter le site web dans votre navigateur. Impression des guides PDF Si vous devez imprimer un guide, procédez comme suit pour économiser du papier et de l’encre :  Économisez de l’encre ou du toner en évitant d’imprimer la couverture.  Si vous disposez d’une imprimante couleur, économisez de l’encre en choisissant une option d’impression en niveaux de gris ou en noir et blanc dans une des sections de la zone de dialogue Imprimer. Administration du service d’impression Héberger les imprimantes partagées et gérer les files d’attente et travaux d’impression associés. Administration de QuickTime Streaming et Broadcasting Capturer et encoder du contenu QuickTime. Configurer et gérer le service QuickTime Streaming en vue de diffuser des données multimédias en temps réel ou à la demande. Administration du serveur Mettre en place l’installation et la configuration avancées du logiciel serveur et gérer des options qui s’appliquent à plusieurs services ou à l’intégralité du serveur. Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système Utiliser NetBoot, NetInstall et Mise à jour de logiciels pour automatiser la gestion du système d’exploitation et des autres logiciels utilisés par les ordinateurs clients. Mise à niveau et migration Utiliser des réglages de données et de services correspondant à une version antérieure de Mac OS X Server ou de Windows NT. Gestion des utilisateurs Créer et gérer des comptes utilisateur, des groupes et des ordinateurs. Configurer les préférences gérées des clients Mac OS X. Administration des technologies web Configurer et gérer des technologies web telles que les blogs, WebMail, wiki, MySQL, PHP, Ruby on Rails (RoR) et WebDAV. Xgrid Administration et informatique à hautes performances Configurer et gérer des grappes de calcul de systèmes Xserve et d’ordinateurs Mac. Glossaire Mac OS X Server Savoir à quoi correspondent les termes utilisés pour les produits de serveur et les produits de stockage. Ce guide... explique comment :Préface À propos de ce guide 15  Réduisez le volume du document imprimé et économisez du papier en imprimant plusieurs pages par feuille. Dans la zone de dialogue Imprimer, réglez Échelle sur 115 % (155 % pour Premiers contacts). Choisissez ensuite Mise en page dans le menu local sans titre. Si votre imprimante prend en charge l’impression recto verso (duplex), sélectionnez l’une des options proposées. Sinon, choisissez 2 dans le menu local Pages par feuille et, si vous le souhaitez, Simple extra fine dans le menu Bordure. (Si vous utilisez Mac OS X 10.4 ou antérieur, le réglage Échelle se trouve dans la zone de dialogue Format d’impression et les réglages relatifs à la mise en page dans la zone de dialogue Imprimer.) Il peut s’avérer utile d’agrandir les pages imprimées même si vous n’imprimez pas en recto verso, car la taille des pages PDF est inférieure à celle du papier d’imprimante standard. Dans la zone de dialogue Imprimer ou dans la zone de dialogue Format d’impression, essayez de régler Échelle sur 115 % (155 % pour Premiers contacts qui possède des pages de la taille d’un CD). Obtenir des mises à jour de documentation Apple publie régulièrement des pages d’aide révisées ainsi que de nouvelles éditions de ses guides. Certaines pages d’aide révisées sont des mises à jour des dernières éditions de ces guides.  Pour afficher les nouvelles rubriques d’aide à l’écran d’une application de serveur, assurez-vous que votre serveur ou votre ordinateur administrateur est connecté à Internet et cliquez sur le lien des dernières rubriques d’aide ou de mise à jour dans la page d’aide principale de l’application.  Pour télécharger les guides les plus récents en format PDF, rendez-vous sur le site web de documentation de Mac OS X Server : www.apple.com/fr/server/documentation/ Pour obtenir des informations supplémentaires Pour plus d’informations, consultez les ressources suivantes :  Documents Ouvrez-moi : mises à jour importantes et informations spécifiques. Recherchez-les sur les disques du serveur.  Site web de Mac OS X Server (www.apple.com/fr/server/macosx) : passerelle vers des informations détaillées sur de nombreux produits et technologies.  Site web de service et d’assistance Mac OS X Server (www.apple.com/fr/support/macosxserver) : accès à des centaines d’articles du service d’assistance d’Apple.  Groupes de discussions Apple, en anglais, (discussions.apple.com) : un moyen de partager questions, connaissances et conseils avec d’autres administrateurs.  Site web des listes d’envoi Apple, en anglais, (www.lists.apple.com) : abonnez-vous à des listes d’envoi afin de pouvoir communiquer par courrier électronique avec d’autres administrateurs.1 17 1 Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge Mac OS X Server, qui contient tout ce dont vous avez besoin pour fournir des services de groupe de travail et Internet reposant sur des normes standard, constitue une solution serveur de pointe, basée sur UNIX, facile à déployer et à gérer. Le présent chapitre contient les informations nécessaires pour prendre des décisions quant au lieu et à la manière de déployer Mac OS X Server. Il comporte des informations générales sur les options de configuration, sur les protocoles standard utilisés, sur ses racines UNIX, ainsi que sur les configurations de réseau et de coupe-feu nécessaires pour l’administration de Mac OS X Server. Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server L’ordinateur de bureau ou le serveur Macintosh sur lequel vous installez Mac OS X Server 10.5 Leopard doit être doté des éléments suivants :  Un processeur Intel ou PowerPC G4 ou G5 cadencé à 867 MHz ou plus.  FireWire intégré.  Au moins 1 Go de mémoire vive (RAM).  Au moins 10 gigaoctets (Go) d’espace disque disponible.  Un nouveau numéro de série pour Mac OS X Server 10.5. Le numéro de série utilisé avec une version antérieure de Mac OS X Server ne permet pas de s’enregistrer pour la version 10.5. Un lecteur de DVD intégré est pratique mais pas obligatoire. Les moniteurs et claviers sont optionnels. Vous pouvez installer le logiciel serveur sur un ordinateur sans moniteur ni clavier à l’aide d’un ordinateur administrateur. Pour en savoir plus, consultez la section « Configuration d’un ordinateur administrateur » à la page 155.18 Chapitre 1Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge Description des configurations de serveur Mac OS X Server peut adopter trois configurations de fonctionnement distinctes : la configuration avancée, la configuration de groupe de travail et la configuration standard. Les serveurs en configuration avancée sont plus flexibles et nécessitent davantage de compétences d’administration. Ils peuvent être personnalisés pour toute une série d’usages et de besoins. Une configuration avancée de Mac OS X Server donne à l’administrateur système expé- rimenté un contrôle complet sur la configuration des services pour lui permettre de faire face à toutes sortes de besoins au sein d’une organisation. Après la configuration initiale à l’aide d’Assistant réglages, vous pouvez utiliser de puissantes applications d’administration, telles qu’Admin Serveur et Gestionnaire de groupe de travail, ou des outils de ligne de commande pour configurer les réglages avancés des services fournis par le serveur. Les deux autres configurations constituent des sous-ensembles des services et des fonctionnalités possibles dans une configuration avancée. Elles disposent d’une application d’administration simplifiée, nommée Préférences du serveur, et sont destinées à des rôles plus spécifiques au sein d’une organisation. La configuration de groupe de travail de Mac OS X Server est destinée aux groupes de travail créés au sein d’organisations possédant déjà un serveur de répertoire. Une configuration de groupe de travail se connecte à un serveur de répertoire existant au sein de votre organisation et intègre les utilisateurs et groupes du répertoire de l’organisation à un répertoire de serveur de groupe de travail. La configuration standard de Mac OS X Server offre une configuration automatisée et une administration simplifiée pour un serveur indépendant au sein d’une petite organisation. Le tableau qui suit résume les fonctionnalités et les possibilités de chacune des configurations. Fonctionnalité Avancée Groupe de travail Standard Modification des réglages des services à l’aide de... Admin Serveur Préférences serveur Préférences serveur Les réglages des services sont... Non configurés Préréglés sur quelques valeurs par défaut courantes Préréglés sur les valeurs par défaut courantes Les utilisateurs et les groupes sont gérés à l’aide de... Gestionnaire de groupe de travail Préférences serveur Préférences serveur Les réglages des services d’utilisateur sont définis automatiquement Non Oui OuiChapitre 1 Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge 19 Pour en savoir plus sur les configurations Standard et Groupe de travail, ainsi que sur les services activés par défaut pour ces configurations, consultez la section Premiers contacts. Configuration avancée en action L’illustration qui suit montre plusieurs configurations avancées de Mac OS X Server en service au sein d’une grande organisation. Utilisable comme serveur autonome Oui Non Oui Utilisable comme maî- tre Open Directory Oui Non Oui Utilisable comme réplique Open Directory Oui Oui Non Utilisable comme passerelle réseau dédiée Oui Non Oui Utilisable comme réplique Active Directory Oui Non Non Surveillé et sauvegardé à l’aide de... Toute méthode implé- mentée par l’administrateur système Préférences du serveur Préférences du serveur Dépend d’une infrastructure de services existante Non Oui Non Dépend d’un système DNS existant bien structuré Oui Oui Non Fonctionnalité Avancée Groupe de travail Standard Internet AirPort Extreme DCHP, DNS, RADIUS, VPN Réplique Open Directory Dossiers de départ de partage de fichiers Création d’image système et mise à jour de logiciels QuickTime Streaming iCal, iChat et messagerie Maître Open Directory Web avec wiki et blog20 Chapitre 1Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge Chaque serveur est configuré pour fournir certains des services. Par exemple, l’un des serveurs fournit les services iCal, iChat et de messagerie pour toute l’organisation. Un autre assure la diffusion en continu de données QuickTime et Podcast Producer. Pour garantir une haute disponibilité des dossiers de départ et des points de partage, un serveur de fichiers principal et un serveur de fichiers de réserve disposent d’options de basculement IP configurées de telle sorte qu’en cas de défaillance du serveur principal, le serveur de réserve prend le relais de façon transparente. Le serveur de fichiers principal et le serveur de réserve utilisent un réseau de stockage Xsan pour accéder au même système de stockage RAID sans l’endommager. Pour une haute disponibilité des services de répertoire, des répliques Open Directory fournissent le service de répertoire si le maître Open Directory est déconnecté. Le domaine Open Directory dispose de comptes d’utilisateur, de groupe d’utilisateurs, d’ordinateurs et de groupes d’ordinateurs. Cela permet de gérer les préférences d’utilisateur Mac OS X au niveau du groupe d’utilisateurs et du groupe d’ordinateurs. Le service web permet d’héberger un site web sur Internet pour l’organisation. Il fournit également des sites web wiki sur un intranet pour les groupes de l’organisation. Améliorations apportées à Mac OS X Server Leopard Mac OS X Server comporte plus de 250 nouvelles fonctionnalités, ce qui constitue le plus grand nombre d’améliorations apportées au système d’exploitation serveur depuis le lancement de Mac OS X Server. Voici quelques une de ces améliorations :  Service Xgrid 2 : le service Xgrid 2 permet d’obtenir des performances de super-ordinateur en répartissant les calculs sur des ensembles d’ordinateurs Mac OS X dédiés ou partagés. Xgrid 2 comprend GridAnywhere, qui permet aux logiciels compatibles Xgrid de tourner où vous voulez, même si vous n’avez pas configuré de contrôleur ni d’agents, et Scoreboard, utilisé pour classer par ordre de priorité les agents à utiliser pour différentes tâches. Le contrôleur de cluster fournit un accès centralisé au pool de calcul distribué, appelé cluster de calcul.  Services de fichiers : les services de fichiers améliorés offrent un meilleur niveau de performances et de sécurité pour chacun des services de fichiers réseau, une prise en charge du protocole SMB nettement plus perfectionnée et un système NFS version 3 sécurisé à l’aide de l’authentification Kerberos et d’AutoFS.  iChat Server 2 : iChat Server 2 peut fédérer sa communauté d’utilisateurs avec des communautés issues d’autres systèmes de messagerie XMPP (Extensible Messaging and Presence Protocol), tels que Google Talk, pour permettre aux membres de la communauté du serveur iChat de dialoguer en ligne avec les membres des communautés fédérées.Chapitre 1 Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge 21  Service de messagerie : le service de messagerie prend dorénavant en charge la mise en grappe de systèmes de stockage de courrier lorsqu’il est utilisé avec Xsan. Il comprend également une fonction de messages d’absence. Ses performances dans le cadre de services de messagerie à 64 bits avec SMTP, IMAP et POP ont été améliorées.  Open Directory 4 : cette nouvelle version d’Open Directory comporte de nouvelles possibilités en matière de proxy LDAP, des autorisations couvrant plusieurs domaines, la réplication en cascade et les ensembles de répliques.  Authentification RADIUS : RADIUS permet l’authentification des clients qui se connectent au réseau via des bornes d’accès AirPort.  QuickTime Streaming Server 6 : le serveur QuickTime Streaming Server amélioré prend en charge l’adaptation du taux de bits 3GPP version 6 pour une diffusion en continu fluide vers des téléphones portables quel que soit l’encombrement du réseau. Il s’intègre avec Open Directory sur votre serveur lors de l’authentification de la livraison de contenu et offre de meilleures performances avec le service 64 bits.  Services web : les administrateurs de serveur web disposent maintenant d’Apache 2.2 (pour les nouvelles installations et les installations de mise à niveau) ou 1.3 (pour les systèmes mis à niveau par un système). MySQL 5, PHP et Apache sont intégrés. Ruby on Rails with Mongrel a été inclus pour simplifier le développement d’applications web. Normes standard prises en charge Mac OS X Server fournit des services de groupe de travail et Internet basés sur des normes standard. Plutôt que de développer des technologies de serveur propriétaires, Apple a décidé de s’appuyer sur les meilleurs projets open-source : Samba 3, OpenLDAP, Kerberos, Postfix, Apache, Jabber, SpamAssassin, etc. Mac OS X Server intègre ces technologies robustes et les améliore grâce à une interface de gestion unifiée et cohérente. Comme il est construit sur des normes standard ouvertes, Mac OS X Server est compatible avec les infrastructures réseau et informatiques existantes. Il utilise des protocoles natifs pour fournir des services de répertoire, de fichiers, de partage d’imprimante et l’accès réseau sécurisé à des clients Mac,Windows et Linux. Une architecture de services de répertoire basée sur des normes standard permet la gestion centralisée des ressources du réseau à l’aide de n’importe quel serveur LDAP, même des serveurs propriétaires tels que Microsoft Active Directory. La fondation open-source basée sur UNIX rend le portage et le déploiement d’outils existants sur Mac OS X Server particulièrement faciles.22 Chapitre 1Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge Voici quelques-unes des technologies basées sur des normes standard qui donnent à Mac OS X Server toute sa puissance :  Kerberos : Mac OS X Server intègre une autorité d’authentification basée sur la technologie Kerberos du MIT (RFC 1964) pour fournir aux utilisateurs un accès à signature unique à des ressources réseau sécurisées. L’utilisation de l’authentification Kerberos forte et de la signature unique maximise la sécurité des ressources réseau tout en fournissant aux utilisateurs un accès plus facile à une grande variété de services réseau compatibles avec Kerberos. Pour les services qui n’ont pas encore été kerbérisés, le service SASL intégré négocie le protocole d’authentification le plus strict possible.  OpenLDAP : Mac OS X Server comprend un serveur de répertoire LDAP robuste et un serveur de mot de passe Kerberos sûr pour fournir des services de répertoire et d’authentification aux clients Mac, Windows et Linux. Apple a construit le serveur Open Directory à partir d’OpenLDAP, le serveur LDAP open-source le plus répandu, afin qu’il puisse fournir des services de répertoire tant dans les environnements constitués uniquement de Mac que dans les environnements contenant différents types de plateformes. LDAP fournit un langage commun pour l’accès aux répertoires, ce qui permet aux administrateurs de consolider les informations provenant de diffé- rente plateformes et de définir un espace de noms unique pour toutes les ressources réseau. Cela signifie un seul répertoire pour tous les systèmes Mac, Windows et Linux du réseau.  RADIUS : le protocole RADIUS (Remote Authentication Dial-In User Service) est un protocole d’authentification, d’autorisation et de gestion de comptes utilisé par la norme de sécurité 802.1x pour contrôler l’accès au réseau par des clients en configuration mobile ou fixe. Mac OS X Server utilise RADIUS pour s’intégrer avec les bornes d’accès AirPort et faire office de base de données de filtre d’adresses MAC centrale. En configurant RADIUS et Open Directory, vous pouvez contrôler l’accès à votre réseau sans fil. Mac OS X Server utilise le projet de serveur FreeRADIUS. FreeRADIUS prend en charge les éléments nécessaires pour créer un serveur RADIUS : LDAP, MySQL, PostgreSQL, les bases de données Oracle, EAP, EAP-MD5, EAP-SIM, EAP-TLS, EAP-TTLS, EAP-PEAP et les sous-types LEAP de Cisco. Mac OS X Server prend en charge les serveurs proxy avec basculement et répartition de la charge.  Service de messagerie : Mac OS X Server utilise des technologies robustes issues de la communité open-source pour fournir des solutions de serveur de messagerie complètes et faciles à utiliser. La prise en charge complète des protocoles de courrier électronique Internet (IMAP, POP et SMTP) assure la compatibilité avec les clients de messagerie électronique standard sur les systèmes Mac, Windows et Linux.Chapitre 1 Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge 23  Technologies web : les technologies web de Mac OS X Server reposent sur le serveur web open-source Apache, le serveur HTTP le plus utilisé sur Internet. Grâce à des performances optimisées pour Mac OS X Server, Apache fournit un hébergement web rapide et fiable, ainsi qu’une architecture extensible pour la fourniture de contenus dynamiques et de services web sophistiqués. Comme le service web de Mac OS X Server repose sur Apache, vous pouvez ajouter des fonctionnalités avancées à l’aide de simples modules d’extension. Mac OS X Server contient tout ce dont les webmestres professionnels ont besoin pour déployer des services web sophistiqués : outils intégrés pour la publication collaborative, scripts incorporés, modules Apache, scripts CGI personnalisés, pages JavaServer Pages et servlets Java. Les sites utilisant des bases de données peuvent être liés à la base de données MySQL fournie. La capacité de connexion ODBC et JDBC à d’autres solutions de base de données est également prise en charge. Le service web prend également en charge le protocole WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning).  Services de fichiers : vous pouvez configurer les services de fichiers de Mac OS X Server de façon à autoriser les clients à accéder aux fichiers, applications et autres ressources partagées sur un réseau. Mac OS X Server prend en charge la plupart des grands protocoles de service pour une compatibilité maximum, notamment les protocoles suivants :  Apple Filing Protocol (AFP) pour partager des ressources avec des clients qui utilisent des ordinateurs Macintosh.  Server Message Block (SMB) pour partager des ressources avec des clients qui utilisent des ordinateurs Windows. Ce protocole est fourni par le projet open-source Samba.  Network File System (NFS) pour partager des fichiers et des dossiers avec des clients UNIX.  File Transfer Protocol (FTP) pour partager des fichiers avec toute personne utilisant un logiciel client FTP.  IPv6 : IPv6 est l’acronyme de « Internet Protocol Version 6 » (RFC 2460). IPv6 est le protocole Internet de nouvelle génération conçu pour remplacer le protocole Internet actuel, IP Version 4 (IPv4 ou juste IP). IPv6 améliore le routage et l’autoconfiguration de réseau. Il augmente le nombre d’adresses réseau à 3 x 1038 et rend NAT superflu. IPv6 devrait remplacer graduellement IPv4 pendant une période de transition de plusieurs années au cours de laquelle les deux protocoles devraient coexister. Les services réseau de Mac OS X Server sont entièrement compatibles avec IPv6 et prêts pour la transition vers ce système d’adressage de nouvelle génération, tout en demeurant totalement compatibles avec IPv4.24 Chapitre 1Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge  SNMP : le protocole SNMP (Simple Network Management Protocol) est utilisé pour surveiller l’état de fonctionnement de périphériques reliés à un réseau. Il s’agit d’un ensemble de normes standard rédigées par l’Internet Engineering Task Force (IETF) pour la gestion de réseau et comprenant un protocole Application Layer, un schéma de base de données et un ensemble d’objets de données. Mac OS X Server utilise la suite opensource net-snmp pour fournir le service SNMPv3 (c’est-à-dire RFC 3411-3418). L’héritage UNIX de Mac OS X Server Mac OS X Server dispose de fondations UNIX construites à partir du micro-noyau Mach et des dernières évolutions de la communauté open-source BSD (Berkeley Software Distribution). Ces fondations fournissent à Mac OS X Server une plateforme informatique 64 bits stable et à hautes performances pour le déploiement d’applications et de services hébergés sur serveur. Mac OS X Server est construit sur un système d’exploitation open-source appelé Darwin qui appartient à la famille BSD de systèmes similaires à UNIX. BSD est une famille de variantes de UNIX issues de la version Berkeley de UNIX. Mac OS X Server comporte en outre plus de 100 projets open-source, en plus des améliorations et extensions propriétaires apportées par Apple. La portion BSD du noyau Mac OS X provient principalement de FreeBSD, une version de 4.4BSD qui offre des fonctionnalités de mise en réseau, des performances, une sécurité et une compatibilité avancées. Les variantes de BSD sont généralement dérivées (parfois indirectement) de 4.4BSD-Lite Release 2 du groupe Computer Systems Research Group (CSRG) de l’université de Californie, à Berkeley. Bien que la portion BSD de Mac OS X provienne principalement de FreeBSD, elle comporte certaines modifications. Pour en savoir plus sur les modifications de bas niveau, consultez la documentation développeur d’Apple relative à Darwin.2 25 2 Planification Avant d’installer et de configurer Mac OS X Server, faites un peu de planification et familiarisez-vous avec les différentes options qui sont à votre disposition. Les principaux objectifs de la phase de planification sont de s’assurer que :  les serveurs que vous déployez répondent aux besoins des utilisateurs et administrateurs,  les conditions préalables en matière de serveur et de services et qui affectent l’installation et la configuration initiale ont été identifiées. La planification de l’installation est particulièrement importante si vous intégrez Mac OS X Server dans un réseau existant, si vous migrez à partir de versions antérieures de Mac OS X Server ou si vous prévoyez de mettre en place plusieurs serveurs. Mais même dans un environnement à un serveur unique, il est préférable d’évaluer rapidement les besoins auxquels répondra le serveur. Ce chapitre pourra servir de base à votre réflexion. Il ne fournit pas de guide de planification rigoureux et ne contient pas les détails nécessaires pour déterminer si vous devez implémenter un service particulier et évaluer les ressource dont vous avez besoin. Considérez simplement ce chapitre comme une occasion de réfléchir au meilleur moyen de bénéficier au maximum des avantages que présente Mac OS X Server dans votre environnement. Comme la conception, la planification n’est pas non plus forcément un processus linéaire. Il n’est pas nécessaire de suivre les sections de ce chapitre dans l’ordre. Diffé- rentes sections offrent des suggestions qui peuvent être mises en œuvre de manière simultanée ou itérative.26 Chapitre 2Planification Planification Lors de la phase de planification, vous devez déterminer de quelle manière vous prévoyez d’utiliser Mac OS X Server et identifier les opérations nécessaires avant son installation. Il peut s’avérer nécessaire, par exemple, de mettre un serveur existant à niveau avec la version 10.5 tout en continuant à héberger des services de répertoires, de fichiers et de messagerie pour les clients de votre réseau. Avant d’installer votre logiciel de serveur, nous vous recommandons de préparer les données à faire migrer vers votre nouveau serveur et de vous demander si le moment est opportun pour mettre en œuvre une nouvelle solution de services de répertoires. Lors de la phase de planification, vous décidez également quelles options d’installation et de configuration du serveur sont les plus adaptées à vos besoins. Par exemple, Premiers contacts contient un exemple illustrant l’installation et la configuration initiale d’un serveur dans un scénario de petite entreprise où le serveur fonctionne en mode de configuration standard. Planification pour la mise à niveau ou la migration vers Mac OS X Server 10.5 Si vous utilisez une version antérieure de Mac OS X Server et que vous souhaitez réutiliser les données et réglages, vous pouvez procéder à une mise à niveau ou à une migration vers la version 10.5. Vous pouvez procéder à une mise à niveau avec Leopard Server si vous utilisez Mac OS X Server 10.4 Tiger ou 10.3 Panther et que vous n’avez pas besoin de remplacer le matériel du serveur. La mise à niveau est simple, car elle préserve les données et réglages existants. La mise à niveau peut être effectuée à l’aide de n’importe laquelle des méthodes d’installation décrites dans ce chapitre ou des méthodes avancées décrites dans ce guide. Si vous ne pouvez pas procéder à une mise à niveau parce que vous devez, par exemple, formater le disque de démarrage ou remplacer le matériel de votre serveur, vous pouvez faire migrer vos données et réglages vers un ordinateur sur lequel vous avez déjà installé Leopard Server. La migration est prise en charge à partir de la dernière version de Mac OS X Server 10.4 Tiger, Mac OS X Server 10.3.9 Panther, Mac OS X Server 10.2.8 Jaguar et Windows NT 4 ou ultérieur. Pour obtenir des informations complètes sur la migration de données et de réglages vers un autre Mac ou Xserve, consultez la section Mise à niveau et migration. Le guide de mise à niveau et de migration fournit des instructions complètes pour la réutilisation de données et de réglages dans ces deux scénarios.Chapitre 2 Planification 27 Mise en place d’une équipe de planification Impliquez dans le processus de planification de l’installation des personnes représentant des points de vue différents et capables de vous aider à répondre aux questions suivantes :  Quels besoins quotidiens un serveur doit-il satisfaire ? Quelles sont les activités pour lesquelles les utilisateurs et les groupes de travail dépendront du serveur ? Si le serveur doit être employé dans une salle de cours, veillez à consulter le formateur qui gérera ses services et qui l’administrera au quotidien.  Quels sont les besoins à satisfaire en matière de gestion des utilisateurs ? Les ordinateurs des utilisateurs seront-ils sans disque et devront-ils donc démarrer via NetBoot ? Sera-t-il nécessaire de mettre en place la gestion des clients Macintosh et des répertoires de départ sur le réseau ? Les personnes ayant de l’expérience dans le domaine de l’administration de serveur doivent discuter avec les utilisateurs du serveur n’ayant pas de compétences techniques particulières, afin que ces derniers comprennent mieux l’intérêt de certains services.  Quels services existants non Apple, tel qu’Active Directory, le serveur devra-t-il intégrer ? Si vous avez prévu de remplacer un ordinateur Windows NT, envisagez d’utiliser pour cela Mac OS X Server, qui gère de manière complète les clients Windows. Assurezvous que les administrateurs qui connaissent ces autres systèmes participent au processus de planification.  Quelles sont les caractéristiques du réseau dans lequel le serveur sera installé ? Devrez-vous mettre à jour les alimentations électriques, les commutateurs ou d’autres composants réseau ? Le moment est-il venu de réorganiser les infrastructures où sont hébergés vos serveurs ? Une personne ayant des connaissances en matière de systèmes et de réseaux pourra contribuer à la prise de décision et remplir la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server incluse en annexe. Identification des serveurs à mettre en place Effectuez un inventaire des serveurs :  De combien de serveurs disposez-vous actuellement ?  Comment sont-ils utilisés ?  Comment optimiser l’utilisation des serveurs que vous souhaitez garder ?  Y a-t-il des serveurs que vous souhaitez supprimer ? Lesquels peuvent être remplacés par Mac OS X Server?  Avec quels serveurs non Apple faudra-t-il intégrer Mac OS X Server ? Pourquoi ?  Y a-t-il des serveurs Mac OS X Server à mettre à niveau avec la version 10.5 ?  Combien de nouveaux ordinateurs Mac OS X devront être mis en place ?28 Chapitre 2Planification Choix des services à héberger sur chaque serveur Identifiez quels services vous voulez héberger sur chaque Mac OS X Server et sur chaque serveur non Apple que vous choisissez d’utiliser. Pour répartir des services entre serveurs, vous devez connaître à la fois les utilisateurs et les services. Voici quelques exemples d’influence des options de services et des configurations matérielles et logicielles requises sur ce qui est installé sur chacun des serveurs :  Les implémentations de services de répertoire peuvent aller de l’utilisation des répertoires existants et de l’authentification Kerberos hébergée sur des serveurs non Apple à des répertoires Open Directory sur des serveurs disséminés partout dans le monde. Les services de répertoire nécessitent une analyse et une planification approfondies. Administration d’Open Directory peut vous aider à mieux comprendre les options et les possibilités.  Les dossiers de départ des utilisateurs du réseau peuvent être regroupés sur un seul serveur ou répartis sur plusieurs. Bien que l’on puisse déplacer les dossiers de départ en cas de besoin, vous risquez de devoir modifier un grand nombre d’enregistrements d’utilisateur et de point de partage. Par conséquent, mettez au point une stratégie qui demeurera valable pendant une durée raisonnablement longue. Pour en savoir plus sur les dossiers de départ, consultez la section Gestion des utilisateurs.  Certains services permettent de limiter l’espace disque sollicité par chaque utilisateur. Vous pouvez, par exemple, définir des quotas pour les dossiers de départ et pour le courrier des utilisateurs. Pensez aux quotas comme un moyen de maximiser l’espace disque disponible sur un serveur qui stocke des dossiers de départ et des bases de données de messagerie. Gestion des utilisateurs décrit les quotas relatifs aux dossiers de départ et au courrier au niveau des utilisateurs, tandis que Administration du service de messagerie décrit les quotas relatifs au courrier au niveau des services.  Les besoins en matière d’espace disque dépendent également des types de fichiers hébergés par le serveur. Ainsi, un environnement créatif nécessite de très importantes capacités de stockage du fait du volume important des fichiers de données multimédias, alors qu’une école primaire a des besoins de stockage de fichiers plus modestes. Administration des services de fichier décrit le partage de fichiers.  Si vous installez un serveur de diffusion de données en continu, allouez un espace disque suffisant pour assurer la diffusion en continu d’un certain nombre d’heures de vidéo ou de son. Pour connaître les configurations matérielle et logicielle requises et voir un exemple de configuration, consultez la section Administration de QuickTime Streaming et Broadcasting.  Le nombre d’ordinateurs client NetBoot que vous pouvez connecter à un serveur dépend du nombre de connexions Ethernet du serveur, du nombre d’utilisateurs, de la quantité de RAM et d’espace disque disponible, ainsi que d’autres facteurs. Le service DHCP doit être disponible. Pour obtenir des instructions sur la planification des capacités NetBoot, consultez la section Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système.Chapitre 2 Planification 29  Mac OS X Server offre une gestion complète des utilisateurs Windows. Vous pouvez regrouper les tâches de gestion sur des serveurs fournissant des services de contrô- leur principal de domaine ou bien répartir les services sur différents serveurs. Administration d’Open Directory et Administration des services de fichier décrivent les options disponibles.  Si vous voulez utiliser un RAID logiciel pour segmenter des disques ou les mettre en miroir, vous aurez besoin de deux lecteurs non FireWire ou plus sur un serveur. Pour en savoir plus, consultez l’aide en ligne d’Utilitaire de disque. Avant de prendre des décisions définitives quant à la répartition des services hébergés par les différents serveurs, familiarisez-vous avec les guides d’administration de chacun des services à déployer. Définition d’une stratégie de migration Si vous utilisez une version de Mac OS X Server comprise entre 10.2 et 10.4 ou un serveur Windows NT, examinez les opportunités de déplacement des données et des réglages vers Mac OS X Server 10.5. Mise à niveau et migration à partir d’une version antérieure de Mac OS X Server Si vous utilisez des ordinateurs sous Mac OS X Server 10.2, 10.3 ou 10.4, envisagez leur mise à niveau ou leur migration vers une configuration avancée de Mac OS X Server 10.5 Leopard. Si vous utilisez Mac OS X Server 10.4 ou 10.3 et que vous n’avez pas besoin de changer d’ordinateur, vous pouvez procéder à une installation de mise à niveau. La mise à niveau est simple, car elle préserve les données et réglages existants. Lorsque cette approche est impossible, vous pouvez migrer les données et les réglages. Vous devrez procéder à une migration, et non à une mise à niveau, dans les cas suivants :  Le disque dur d’un serveur 10.3 ou 10.4 doit être reformaté ou le serveur ne satisfait pas à la configuration minimale requise pour Leopard. Pour en savoir plus, consultez la section « Description de la configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 66.  Vous souhaitez déplacer vers un autre serveur les données et les réglages que vous utilisiez sur un serveur de version 10.3 ou 10.4.  Vous souhaitez déplacer les données et les réglages utilisés sur un serveur 10.2. La migration est prise en charge à partir des dernières versions de Mac OS X Server 10.4, 10.3 et 10.2. Une migration consiste à installer et configurer une configuration avancée de Leopard Server, à y restaurer les fichiers à partir du serveur antérieur et à effectuer les ajustements manuels nécessaires.30 Chapitre 2Planification Pour des informations complètes, lisez la section Mise à niveau et migration. Migration à partir de Windows NT Une configuration avancée de Leopard Server est capable de fournir divers services à des utilisateurs d’ordinateur Microsoft Windows 95, 98, ME, XP, NT 4 et 2000. En fournissant ces services, Leopard Server peut remplacer les serveurs Windows NT dans les petits groupes de travail. Pour plus d’informations sur la migration d’utilisateurs, de groupes, de fichiers et d’autres éléments depuis un serveur Windows NT vers Mac OS X Server, consultez la section Mise à niveau et migration. Définition d’une stratégie d’intégration Il y a deux aspects à prendre en compte lorsque vous intégrez Mac OS X Server à un environnement hétérogène :  la configuration de Mac OS X Server de manière à exploiter les services existants,  la configuration d’ordinateurs non Apple pour l’utilisation de Mac OS X Server. Le premier aspect concerne principalement l’intégration des services de répertoire. Déterminez quels ordinateurs Mac OS X Server utiliseront des répertoires existants (tels qu’Active Directory, LDAPv3 et NIS) et des services d’authentification existants (tels que Kerberos). Pour les options et les instructions, consultez la section Administration d’Open Directory. L’intégration peut se résumer à l’activation d’une option dans Utilitaire d’annuaire ou nécessiter la reconfiguration des services existants et des réglages de Mac OS X Server. Le deuxième aspect consiste principalement à déterminer le niveau de prise en charge que Mac OS X Server doit fournir aux utilisateurs d’ordinateurs Windows. Administration des services de fichier et Administration d’Open Directory contiennent des informations sur les différentes possibilités. Définition de la configuration de l’infrastructure matérielle Déterminez s’il est nécessaire d’apporter des modifications au site ou à la topologie du réseau avant d’installer et de configurer les serveurs.  Qui administrera le serveur, et de quel type d’accès au serveur auront besoin les administrateurs ? Les serveurs de salle de classe doivent être facilement accessibles aux instructeurs, tandis que ceux qui hébergent des informations de répertoire pour tout un réseau doivent être sécurisés en contrôlant l’accès aux locaux dans lesquels ils sont installés.Chapitre 2 Planification 31 Les outils d’administration de Mac OS X Server offrant une solution complète d’administration du serveur à distance, il est rare qu’un administrateur ait besoin d’accéder physiquement au serveur.  Certaines conditions de climatisation ou d’alimentation électrique doivent-elles être remplies ? Pour plus d’informations à ce sujet, consultez la documentation livrée avec le matériel du serveur.  Comptez-vous effectuer la mise à niveau d’éléments tels que des câbles, des commutateurs et des boîtiers d’alimentation ? Le moment est peut-être adéquat pour le faire.  Votre réseau TCP/IP et ses sous-réseaux sont-ils configurés pour prendre en charge les services et les serveurs que vous souhaitez déployer ? Définition de l’infrastructure minimale pour la configuration du serveur L’infrastructure de configuration de serveur est constituée des services et des serveurs que vous devez configurer en premier parce que d’autres en dépendent. Par exemple, si vous souhaitez utiliser Mac OS X Server pour fournir des services DHCP, une horloge de réseau et BootP à d’autres serveurs, vous devez configurer et activer le ou les serveurs fournissant ces services et démarrer ces derniers avant de configurer les serveurs qui en dépendent. Par ailleurs, si vous voulez automatiser la configuration des serveurs en utilisant des données de configuration stockées dans un répertoire, vous devez d’abord configurer les serveurs DHCP et les serveurs de répertoires. Le travail d’infrastructure de configuration requis dépend de la complexité de votre site et de vos objectifs. En général, les services DHCP, DNS et de répertoires sont souhaitables ou obligatoires pour un réseau moyen ou de grande taille :  La couche d’infrastructure la plus essentielle comprend des services de réseau tels que DHCP et DNS. Tous les services fonctionnent mieux si un service DNS est disponible sur le réseau, et de nombreux services requièrent son bon fonctionnement. Si vous n’hébergez pas de service DNS, consultez l’administrateur responsable du serveur DNS lorsque vous configurez vos propres serveurs. Les conditions de DNS requises pour les services individuels sont indiquées dans les guides d’administration propres à chaque service. La configuration de DHCP doit se faire en fonction de la topologie physique de votre réseau.  Autre composant d’infrastructure essentiel : les services de répertoire, qui sont nécessaires pour le partage des données entre services, serveurs et ordinateurs. Le type de données le plus couramment partagé est celui employé par les utilisateurs et les groupes, même si les informations de configuration telles que les enregistrements de montage et les autres données de répertoires sont également partagées.32 Chapitre 2Planification Les infrastructures de services de répertoire sont nécessaires lorsque vous souhaitez héberger des services d’authentification multi-plateformes ou que plusieurs services doivent utiliser les mêmes noms et mots de passe. Voici un exemple de l’ordre dans lequel vous pouvez configurer une infrastructure de serveurs comprenant les services DNS, DHCP et de répertoire. Les services peuvent être configurés sur le même serveur ou sur différents serveurs : 1 Installez le serveur DNS. 2 Installez DHCP. 3 Configurez DHCP pour indiquer l’adresse du serveur DNS et que celui-ci offre ses services aux clients DHCP. 4 Installez un serveur de répertoires comprenant si besoin est un service de contrôleur principal de domaine Windows. 5 Remplissez le répertoire avec les données des utilisateurs, des groupes et des dossiers de départ. Ce processus peut impliquer l’importation des utilisateurs et des groupes, la configuration des points de partage, la configuration des préférences gérées, etc. 6 Configurez DHCP pour indiquer l’adresse du serveur de répertoires et que celui-ci offre ses services aux clients DHCP. Vos besoins particuliers peuvent modifier cette séquence. Ainsi, si vous souhaitez utiliser des services tels que VPN, NAT ou coupe-feu IP, leur installation devra être prise en compte lors de la configuration de DNS et de DHCP. Vérification de la disponibilité du matériel nécessaire pour le serveur Il est parfois préférable d’attendre que tout le matériel soit en place avant de commencer la configuration du serveur. Par exemple, évitez de configurer un serveur dont vous souhaitez stocker les données en miroir tant que tous les disques à configurer pour la mise en miroir ne sont pas disponibles. De même, il vaut mieux attendre que le sous-système RAID soit en place avant d’installer un serveur de dossiers de départ ou tout serveur qui l’utilisera.Chapitre 2 Planification 33 Limitation de la nécessité de déplacer des serveurs après la configuration Essayez de placer un serveur dans son emplacement réseau final (sous-réseau IP) avant de le configurer pour la première fois. Si vous souhaitez éviter tout accès non autorisé ou prématuré au cours du démarrage, vous pouvez configurer un coupe-feu afin de protéger le serveur lors de la finalisation de sa configuration. Si vous ne pouvez pas éviter de déplacer un serveur après la configuration initiale, vous devez commencer par modifier les réglages qui dépendent de l’emplacement réseau. Par exemple, l’adresse IP et le nom d’hôte du serveur, stockés dans les deux répertoires et fichiers de configuration du serveur, doivent être mis à jour. Lorsque vous déplacez un serveur, respectez les règles suivantes :  Limitez la durée pendant laquelle le serveur se trouve dans son emplacement temporaire, de façon à limiter la quantité d’informations à modifier.  Reportez la configuration des services qui dépendent des réglages réseau, jusqu’à ce que le serveur se trouve à son emplacement final. Ces services incluent la réplication Open Directory, les réglages Apache (tels que les domaines virtuels), DHCP et d’autres réglages d’infrastructure réseau dont dépendent d’autres ordinateurs.  Attendez avant d’importer les comptes d’utilisateur finaux. Limitez-vous aux comptes de test afin de minimiser les informations réseau propres à l’utilisateur (telles que l’emplacement du dossier de départ) devant être modifiées après le déplacement.  Une fois que vous avez déplacé le serveur, vous pouvez modifier son adresse IP dans la sous-fenêtre Réseau de Préférences Système (ou utiliser l’outil networksetup). Quelques minutes après avoir modifié l’adresse IP ou le nom du serveur, Mac OS X Server utilise automatiquement l’outil de ligne de commande changeip pour mettre à jour le nom, l’adresse, d’autres données stockées dans le domaine Open Directory, le domaine de répertoire local et les fichiers de configuration de service sur le serveur. Il est parfois nécessaire d’ajuster manuellement des configurations réseau comme les entrées DNS du serveur ou son mappage statique DHCP. Pour obtenir des informations sur l’outil changeip, consultez sa page man et la section Administration de ligne de commande.  Reconfigurez la politique de recherche des ordinateurs (tels que les ordinateurs des utilisateurs et les serveurs DHCP) qui ont été configurés pour utiliser le serveur dans son emplacement d’origine.34 Chapitre 2Planification Définition de politiques de sauvegarde et de restauration Tous les systèmes de stockage finissent par tomber en panne un jour. L’usure de l’équipement, un accident ou un sinistre informatique peuvent provoquer la perte de vos données et de vos réglages de configuration. Avant d’installer un système de données, vous devriez donc mettre en place un plan destiné à empêcher la perte de données ou à en réduire l’impact. Description des politiques de sauvegarde et de restauration De très nombreuses raisons expliquent l’existence d’une politique de sauvegarde et de restauration. Vos données sont sujettes à des pannes de matériel causées par l’usure, des catastrophes naturelles ou provoquées par l’homme ou simplement la corruption des données. Vous ne pouvez pas empêcher certaines pertes de données, mais un plan de sauvegarde et de restauration vous permettra au moins de récupérer vos données. Ces politiques de sauvegarde et de restauration doivent être adaptées à votre situation, vos besoins et votre propre détermination par rapport aux données à sauvegarder, à la fréquence des sauvegardes et au temps et aux efforts à investir pour les restaurer. Les sauvegardes constituent un investissement en temps, en argent, en efforts d’administration et, souvent, en performances. Cet investissement permet toutefois d’obtenir un bénéfice net en termes d’intégrité des données. Vous pouvez éviter d’importants coûts financiers, juridiques et organisationnels si vous disposez d’une politique de sauvegarde et de restauration bien planifiée et bien exécutée. Ces politiques spécifient les procédures et les pratiques adaptées à vos besoins en matière de restauration. Il existe en substance trois types de besoins en matière de restauration :  Restauration d’un fichier supprimé ou corrompu.  Reprise après une défaillance de disque (ou la suppression de fichiers due à une catastrophe).  Archivage de données à des fins organisationnelles (comptabilité, obligations juridiques, etc.). Chaque besoin de restauration détermine le type, la fréquence et la méthode à utiliser pour sauvegarder vos données. Il est recommandé de conserver des sauvegardes quotidiennes de tous les fichiers. Cela permet de restaurer rapidement les fichiers écrasés ou supprimés. Vous disposez ainsi pour chaque jour d’une granularité au niveau du fichier : tout fichier peut être restauré le lendemain.Chapitre 2 Planification 35 Il existe d’autres niveaux de granularité. Il se peut, par exemple, que vous deviez restaurer les données de toute une journée à la fois. Dans ce cas, il y a granularité au niveau de l’instantané quotidien : elle vous permet de restaurer l’ensemble des données de votre organisation telles qu’elles étaient un jour donné. La gestion de tels instantanés quotidiens n’est toutefois pas toujours pratique. Vous pouvez alors décider de conserver un ensemble d’instantanés mobiles donnant une granularité au niveau de l’instantané quotidien uniquement pour le mois écoulé. De même, il est possible de se contenter de niveaux de restauration trimestriels, semestriels, etc. Il est également parfois nécessaire de disposer d’un stockage à des fins d’archivage, c’est- à-dire de données stockées accessibles uniquement dans des circonstances exceptionnelles. Le stockage à des fins d’archivage peut être permanent, ce qui signifie que les données sont conservées pour une durée illimitée. Votre organisation doit répondre aux questions suivantes :  Que doit-on sauvegarder ?  Quelle est la granularité requise pour les besoins de restauration ?  À quelle fréquence faut-il sauvegarder les données ?  Quelle doit être l’accessibilité des données (combien de temps prendra leur restauration) ?  Quels sont les processus mis en place pour récupérer après un sinistre informatique durant une procédure de sauvegarde ou de restauration ? Les réponses à ces questions font partie intégrante de votre politique de sauvegarde et de restauration. Description des types de sauvegarde Il existe de nombreux types de fichiers de sauvegarde (ils sont décrits plus loin) et, au sein de chaque type, de nombreux formats et méthodes différents. Chaque type de sauvegarde est utilisé à des fins différentes et implique des considérations différentes.  Images complètes : les images complètes sont des copies de données effectuées avec une précision de l’ordre de l’octet. Elles capturent l’état complet du disque dur jusqu’à la plus petite unité de stockage. Ces sauvegardes permettent aussi de conserver des copies du système de fichiers d’un disque et des portions inutilisées ou effacées du disque en question. Elles peuvent être utilisées pour réaliser une analyse détaillée des données du disque source. Une telle fidélité rend souvent la restauration de fichiers individuels plus difficile. Ils sont souvent compressés et ne sont décompressés que pour restaurer l’ensemble des fichiers.36 Chapitre 2Planification  Copies complètes au niveau du fichier : ces copies sont des fichiers de sauvegarde conservés en tant que doubles. Elles ne capturent pas les détails les plus fins sur les portions inutilisées du disque source, mais elles fournissent un enregistrement complet des fichiers tels qu’ils étaient au moment de la sauvegarde. Si l’un des fichiers est modifié, la prochaine sauvegarde complète au niveau du fichier effectue une copie de l’ensemble des données en plus du fichier qui a été modifié.  Sauvegardes incrémentales : les sauvegardes incrémentales commencent par des copies au niveau du fichier, mais ne copient que les fichiers qui ont été modifiés depuis la dernière sauvegarde. Cela offre l’avantage d’économiser l’espace de stockage et de capturer toutes les modifications en vigueur au moment où elles sont apportées.  Instantanés : un instantané est une copie des données telles qu’elles étaient dans le passé. Les instantanés peuvent être réalisés à partir de collections de fichiers ou, plus souvent, à partir de liens vers d’autres fichiers au sein d’un ensemble de fichiers de sauvegarde. Ils s’avèrent pratiques pour réaliser des sauvegardes de données volatiles (données souvent modifiées, telles que les bases de données en cours d’utilisation ou les serveurs de messagerie qui envoient et reçoivent des messages électroniques). Ces types de sauvegarde ne s’excluent pas mutuellement ; ils ne représentent que des approches différentes de la copie de données à des fins de sauvegarde. Ainsi, Time Machine de Mac OS X utilise une copie complète au niveau du fichier comme sauvegarde de base, puis des sauvegardes incrémentales pour créer des instantanés des données d’un ordinateur un jour donné. Description de la planification de sauvegardes La sauvegarde de fichiers demande du temps et des ressources. Avant de décider d’un plan de sauvegarde, posez-vous les questions suivantes :  Quelle est la quantité de données à sauvegarder ?  Combien de temps la sauvegarde va-t-elle durer ?  Quand la sauvegarde doit-elle avoir lieu ?  Quelles seront les autres tâches exécutées par l’ordinateur pendant ce temps ?  Quel type d’allocation de ressources sera nécessaire ? Par exemple : quelle est la bande passante réseau nécessaire pour supporter la charge ? Quel est l’espace disque nécessaire sur les lecteurs de sauvegarde ou combien de bandes de sauvegarde seront-elles nécessaires ? Quelle sera la charge sur les ressources informatiques pendant la sauvegarde ? Quels sont les besoins en personnel pour la sauvegarde ? Vous verrez que les différents types de sauvegarde requièrent des réponses différentes à ces questions. Par exemple, une copie de fichiers incrémentale peut prendre moins de temps et copier moins de données qu’une copie de fichiers complète (parce que seule une partie de l’ensemble de données a été modifiée depuis la dernière sauvegarde).Chapitre 2 Planification 37 Une sauvegarde incrémentale peut, par conséquent, être planifiée pendant une période d’utilisation normale, car l’impact sur les utilisateurs et le système peut être très faible. Une sauvegarde image complète, par contre, peut avoir un impact très important sur les utilisateurs et le système si elle est réalisée en période d’utilisation normale. Choix d’un schéma de rotation de sauvegarde Les schémas de rotation de sauvegarde déterminent la méthode la plus efficace de sauvegarde de données sur une période donnée. Comme exemple de schéma de rotation, on pourrait citer le schéma de rotation grand-père, père, fils. Dans ce schéma, vous pouvez réaliser des sauvegardes incrémentales quotidiennes (fils), des sauvegardes complè- tes hebdomadaires (père) et des sauvegardes complètes mensuelles (grand-père). Dans le schéma de rotation grand-père - père - fils, le nombre d’ensembles de données que vous utilisez par sauvegarde détermine la quantité d’historique de sauvegarde dont vous disposez. Par exemple,si vous utilisez huit ensembles de sauvegarde pour les sauvegardes quotidiennes, vous avez huit jours d’historique de sauvegarde hebdomadaire étant donné que vous recyclez les ensembles de données tous les huit jours. Description des restaurations Une politique ou une solution de sauvegarde ne peut être complète sans un plan de restauration des données. Les pratiques et les procédures adoptées peuvent varier en fonction de ce que l’on restaure. Votre organisation peut, par exemple, avoir des tolé- rances spécifiques concernant la durée de non-fonctionnement des systèmes critiques pendant la restauration des données. Les questions suivantes doivent être posées :  Combien de temps la restauration des données va-t-elle durer à chaque niveau de granularité ? Par exemple, combien de temps prendra la restauration d’un fichier ou d’un message électronique supprimé ? Combien de temps prendra la restauration d’une image complète de disque dur ? Combien de temps faudrait-il pour rétablir l’état de l’ensemble du réseau il y a trois jours plus ?  Quel est le processus le plus efficace pour chaque type de restauration ? Par exemple, pourquoi restaurer un état antérieur de la totalité du serveur pour un seul fichier ?  Quelle est la quantité de travail demandée à l’administrateur pour chaque type de restauration ? Quel est le niveau d’automatisation à atteindre pour exploiter au mieux le temps de l’administrateur ?  Dans quelles circonstances les restaurations sont elles lancées ? Quels sont les critè- res d’exécution d’une restauration ? (Qui, quoi et pourquoi)38 Chapitre 2Planification Les pratiques et les procédures de restauration doivent être testées régulièrement. Un ensemble de données de sauvegarde qui n’a pas prouvé sa capacité de restauration correcte ne peut pas être considéré comme une sauvegarde fiable. L’intégrité d’une sauvegarde se mesure à sa fidélité de restauration. Définition d’un mécanisme de vérification de sauvegarde Une sauvegarde n’a pas d’intérêt si vous ne pouvez pas l’utiliser pour restaurer des données perdues. Nous vous conseillons d’avoir une stratégie de restaurations test régulières. Certains fournisseurs de logiciels de tierces parties gèrent cette fonctionnalité. Si vous utilisez toutefois vos propres solutions de sauvegarde, vous devez développer les procédures de test nécessaires. Autres considérations en matière de politique de sauvegarde Tenez compte des points supplémentaires suivants pour votre politique de sauvegarde :  Faut-il utiliser la compression de fichiers ? Si oui, de quel type ?  Y a-t-il des sauvegardes et des archives sur site et hors site ?  Existe-t-il des considérations particulières quant au type de données stockées ? En ce qui concerne les fichiers Mac OS X, par exemple : l’utilitaire de sauvegarde peut-il préserver les métadonnées des fichiers, les branches de ressources et les privilèges des listes de contrôle d’accès (ACL) ? Sélection du type de support de sauvegarde Plusieurs facteurs peuvent vous aider à déterminer le type de support à utiliser :  Coût. Utilisez le coût par giga-octet pour déterminer le support à utiliser. Ainsi, si vos besoins en matière de stockage sont limités, vous pouvez justifier un coût par gigaoctet plus élevé, mais s’il vous faut un espace de stockage important, le coût devient un facteur important dans votre décision. L’une des solutions de stockage les plus économiques est celle offerte par les réseaux redondants de disques indépendants (RAID). Cette solution vous garantit non seulement un faible coût par giga-octet, mais ne nécessite en outre aucune des manipulations spéciales requises par d’autres types de stockage économiques tels que les bandes magnétiques.  Capacité. Si vous ne sauvegardez qu’une petite quantité de données, un support de stockage de faible capacité fera l’affaire. Mais si vous avez besoin de sauvegarder de grandes quantités de données, utilisez des périphériques à haute capacité tels qu’un réseau RAID.  Vitesse. Lorsque votre objectif est de rendre votre serveur disponible la majorité du temps, la vitesse de restauration devient un facteur déterminant pour le choix du support. Les systèmes de sauvegarde sur bande magnétique peuvent être très économiques, mais ils sont nettement moins rapides que les réseaux RAID.Chapitre 2 Planification 39  Fiabilité. Une rotation réussie est l’objectif de toute bonne stratégie de sauvegarde. Si vous ne pouvez pas restaurer les données perdues, les efforts et l’argent que vous aurez investis dans la sauvegarde des données seront gâchés, et la disponibilité de vos services sera compromise. Pour éviter la perte de données, il est donc essentiel que vous choisissiez un support très fiable. Les bandes magnétiques sont en ce sens plus sûres que les disques durs car elles ne contiennent pas de pièces mobiles.  Durée de vie des archives. Vous ne pouvez jamais savoir quand vous aurez besoin des données sauvegardées. C’est pourquoi vous devez opter pour un support conçu pour durer longtemps. Certains facteurs, tels que la poussière et l’humidité, peuvent endommager les supports de stockage et entraîner la perte de données. Outils de ligne de commande de restauration et de sauvegarde Mac OS X Server fournit plusieurs outils de ligne de commande de sauvegarde et restauration de données :  rsync. Utilisez cette commande pour synchroniser les copies de sauvegarde de vos données avec les originaux. L’outil rsync ne copie que les fichiers modifiés.  ditto. Utilisez cette commande pour exécuter des sauvegardes totales.  asr. Utilisez cette commande pour sauvegarder et restaurer un volume entier. Pour en savoir plus sur ces commandes, consultez la section Administration de ligne de commande. La fonctionnalité Time Machine de Leopard n’est pas recommandée pour la sauvegarde de fichiers de serveur ni la sauvegarde système de serveurs en configuration avancée. Remarque :la commande launchdctl permet d’automatiser la sauvegarde des données à l’aide des commandes sus-mentionnées. Pour en savoir plus sur l’utilisation de launchd, consultez la section Administration de ligne de commande.3 41 3 Outils d’administration Administrez Mac OS X Server au moyen d’applications graphiques ou d’utilitaires de ligne de commande. Les outils de Mac OS X Server permettent différentes approches d’administration de serveur :  Vous pouvez administrer les serveurs en local (directement sur le serveur utilisé) ou à distance à partir d’un autre serveur, d’un ordinateur Mac OS X ou d’un poste de travail UNIX.  Les applications graphiques, comme Admin Serveur et Gestionnaire de groupe de travail, facilitent l’administration du serveur et sécurisent les communications pour l’administration du serveur à distance. Vous pouvez utiliser ces applications sur un ordinateur Mac OS X Server (elles se trouvent dans le répertoire /Applications/Server/) ou sur un ordinateur Mac OS X sur lequel vous les avez installées en suivant les instructions de la section « Configuration d’un ordinateur administrateur » à la page 155.  Des utilitaires de ligne de commande sont accessibles pour les administrateurs qui préfèrent administrer le serveur à l’aide de commandes. Pour l’administration du serveur à distance, vous pouvez soumettre les commandes dans une session SSH (Secure Shell). Vous pouvez taper les commandes sur les ordinateurs Mac OS X Server et Mac OS X au moyen de l’application Terminal, qui se trouve dans le dossier /Applications/Utilitaires/. Vous pouvez également les exécuter à partir d’un ordinateur non Macintosh, comme décrit dans la rubrique « Administration au moyen d’un ordinateur non Mac OS X » à la page 155.42 Chapitre 3Outils d’administration Admin Serveur L’application Admin Serveur vous permet d’administrer des services sur un ou plusieurs ordinateurs Mac OS X Server. Admin Serveur vous permet également de spécifier des réglages prenant en charge plusieurs services, tels que la création et la gestion de certificats SSL, la gestion du partage de fichiers, ainsi que la définition des utilisateurs et groupes autorisés à accéder aux services. Les informations sur l’utilisation d’Admin Serveur pour gérer les services apparaissent dans les guides d’administration individuels et dans les informations à l’écran, accessibles via le menu Aide d’Admin Serveur. Les informations sur l’utilisation d’Admin Serveur pour la gestion des services figurent dans les différents guides d’administration et dans les sections suivantes. Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification Admin Serveur est installé dans le dossier /Applications/Server/, à partir duquel vous pouvez l’ouvrir dans le Finder. Vous pouvez également ouvrir Admin Serveur en cliquant sur l’icône correspondante dans le Dock ou sur le bouton Admin Serveur dans la barre d’outils du Gestionnaire de groupe de travail. Pour sélectionner un serveur à utiliser, tapez son adresse IP ou son nom DNS dans la zone de dialogue d’ouverture de session ou cliquez sur Serveurs disponibles pour le choisir dans une liste de serveurs. Tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe d’un administrateur de serveur, puis cliquez sur Se connecter.Chapitre 3 Outils d’administration 43 Interface d’Admin Serveur L’interface d’Admin Serveur est décrite ci-après. Chaque élément est expliqué dans le tableau ci-dessous. A B C D O K L M N E G F H I J44 Chapitre 3Outils d’administration A Liste de serveurs : contient les serveurs, les groupes, les groupes intelligents et, si vous le souhaitez, les services administrés pour chaque serveur. Sélectionnez un groupe pour afficher un résumé de l’état de tous les ordinateurs qui le composent. Sélectionnez un ordinateur pour afficher une vue d’ensemble et les réglages de serveur. Sélectionnez le service d’un serveur pour contrôler et configurer ce service. B Boutons contextuels : affichent les informations et les sous-fenêtres de configuration disponibles. C Barre d’outils : affiche les boutons contextuels disponibles. Si un bouton est grisé ou inactif, cela signifie que vous ne possédez pas les autorisations administratives pour y accéder. D Zone de travail principale : affiche l’état et les options de configuration. Ces informations sont différentes en fonction du service et du bouton contextuel sélectionné. E Serveurs disponibles : affiche l’explorateur de réseau local que vous pouvez utiliser pour découvrir des serveurs à ajouter à votre liste de serveurs. F Tous les serveurs : affiche tous les ordinateurs qui ont été ajoutés à Admin Serveur, quel que soit leur état. G Serveur : affiche le nom d’hôte du serveur géré. Sélectionnez-le pour afficher un résumé de l’état du matériel, du système d’exploitation, des services actifs et du système. H Service : affiche le service administré pour un serveur donné. Sélectionnez-le pour afficher l’état du service, des historiques et des options de configuration. I Groupe : affiche un groupe de serveurs créés par un administrateur. Sélectionnez-le pour afficher un résumé de l’état de tous les ordinateurs du groupe. Pour en savoir plus, consultez la section « Regroupement manuel de serveurs » à la page 158. J Groupe intelligent : affiche un groupe automatique composés de serveurs répondant à des critères de sélection prédéterminés. Pour en savoir plus, consultez la section « Regroupement de serveurs à l’aide de groupes intelligents » à la page 159. K Bouton Ajouter : affiche un menu local contenant des éléments que vous pouvez ajouter à la liste de serveurs :serveurs, groupes et groupes intelligents. L Bouton Action : affiche un menu local contenant les actions possibles pour le service ou le serveur sélectionné, comme déconnecter un serveur, partager l’écran du serveur, etc. M Bouton Réactualiser : permet d’envoyer une demande d’état à tous les ordinateurs qui figurent dans la liste de serveurs. N Bouton de démarrage/d’arrêt de service : ce bouton permet de démarrer ou d’arrêter le service sélectionné. O Barre d’action : contient des boutons et des menus locaux comportant des commandes permettant d’agir sur les serveurs ou les services sélectionnés dans la liste de serveurs. Utilisez ces commandes pour enregistrer ou annuler des modifications de réglages. Contient le bouton Ajouter, le bouton Action, le bouton de démarrage/d’arrêt de service, ainsi que les boutons Revenir et Enregistrer.Chapitre 3 Outils d’administration 45 Personnalisation de l’environnement d’Admin Serveur Pour contrôler l’environnement d’Admin Serveur, vous avez le choix entre les options ci-après.  Pour contrôler la liste des services à administrer, consultez la section « Ajout et suppression de services dans Admin Serveur » à la page 164.  Pour contrôler l’apparence des listes d’Admin Serveur, la fréquence d’actualisation et d’autres comportements, choisissez Admin Serveur > Préférences. Assistant du serveur Assistant du serveur est utilisé pour les tâches suivantes :  Les installations du serveur à distance.  La configuration initiale d’un serveur local.  La configuration initiale de serveurs distants.  La préparation de données pour la configuration automatisée d’une configuration avancée. La page de démarrage d’Assistant du serveur est illustrée ci-dessous. L’Assistant du serveur se trouve dans /Applications/Server/. Pour obtenir des informations sur l’utilisation d’Assistant du serveur, utilisez ses boutons Aide ou consultez le chapitre 6, « Configuration initiale du serveur, » à la page 117.46 Chapitre 3Outils d’administration Gestionnaire de groupe de travail Mac OS X Server comprend Gestionnaire de groupe de travail, un outil de gestion des utilisateurs que vous pouvez utiliser pour créer et gérer des comptes d’utilisateur, de groupe d’utilisateurs, d’ordinateur et de groupe d’ordinateurs. Vous pouvez aussi l’utiliser pour accéder à l’inspecteur, une fonctionnalité avancée qui permet de modifier des entrées Open Directory. Le Gestionnaire de groupe de travail est installé dans le dossier /Applications/Server/, à partir duquel vous pouvez l’ouvrir dans le Finder. Il est également possible d’ouvrir Gestionnaire de groupe de travail en cliquant sur Présentation > Gestionnaire de groupe de travail, dans la barre des menus d’Admin Serveur. Gestionnaire de groupe de travail fonctionne en association étroite avec un domaine de répertoire. Les domaines de répertoire sont similaires à des bases de données et sont optimisées pour le stockage d’informations de compte et le traitement de l’authentification. Les informations relatives au Gestionnaire de groupe de travail sont disponibles dans de nombreux documents :  Gestion des utilisateurs explique comment utiliser Gestionnaire de groupe de travail pour la gestion des comptes et des préférences. Ce guide explique aussi comment importer et exporter des comptes.  Administration d’Open Directory décrit comment utiliser l’inspecteur. Une fois que vous avez ouvert Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez ouvrir une fenêtre Gestionnaire de groupe de travail en choisissant Serveur > Nouvelle fenê- tre Gestionnaire de groupe de travail. Important :lorsque vous vous connectez à un serveur ou que vous vous authentifiez dans Gestionnaire de groupe de travail, assurez-vous que l’emploi des majuscules dans le nom que vous tapez respecte l’emploi des majuscules dans le nom d’administrateur de serveur ou de compte d’administrateur de domaine utilisé.Chapitre 3 Outils d’administration 47 Interface de Gestionnaire de groupe de travail L’interface de Gestionnaire de groupe de travail est décrite ci-après. Chaque élément est expliqué dans le tableau qui suit. A B C E D F G H I J48 Chapitre 3Outils d’administration Personnalisation de l’environnement du Gestionnaire de groupe de travail Il existe plusieurs moyens d’adapter l’environnement du Gestionnaire de groupe de travail :  Pour accéder aux préférences de Gestionnaire de groupe de travail, choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences. Vous pouvez configurer des options telles que la résolution des noms DNS, l’activation de l’inspecteur, l’obligation de saisir une requête de recherche pour afficher la liste des enregistrements et le nombre maximum d’enregistrements à afficher.  Pour personnaliser la barre d’outils, choisissez Affichage > Personnaliser la barre d’outils.  Pour inclure des utilisateurs et groupes prédéfinis dans les listes d’utilisateurs et de groupes, choisissez Affichage > Afficher les utilisateurs et groupes du système.  Pour ouvrir Admin Serveur, cliquez sur le bouton de barre d’outils Admin Serveur. A Admin Serveur : cliquez sur ce bouton pour ouvrir l’application Admin Serveur. B Boutons de réglages : cliquez sur Comptes pour afficher ou modifier des réglages de compte ou sur Préférences pour afficher ou modifier des réglages de préférences. C Barre d’outils : cliquez sur les icônes pour exécuter les commandes en question. La barre d’outils est personnalisable. D Chemin d’accès au répertoire : utilisez ce chemin pour voir le répertoire que vous modifiez. Cliquez sur l’icône représentant un globe pour sélectionner un domaine de répertoire. Cliquez sur le cadenas pour vous authentifier. E Onglets de type d’enregistrement : utilisez ces onglets pour afficher les enregistrements des utilisateurs, des groupes, des ordinateurs ou tous les enregistrements. L’onglet Inspecteur apparaît également si l’inspecteur est activé. F Filtres de texte : utilisez-les pour filtrer les noms d’enregistrement. G Liste des enregistrements : utilisez cette liste pour afficher tous les noms d’enregistrement correspondant au type d’enregistrement sélectionné. H Barre de sélection : utilisez cette barre pour voir le nombre d’enregistrements trouvés et sélectionnés. I Zone de travail principale : utilisez-la pour travailler sur les options de compte, de préférences et de configuration. La zone de travail principale varie en fonction du type d’utilisateur, de groupe ou de préférences. J Zone d’action : utilisez cette zone pour enregistrer et annuler des modifications, ainsi que pour appliquer des configurations prédéfinies aux enregistrements sélectionnés.Chapitre 3 Outils d’administration 49 Répertoire Répertoire permet aux utilisateurs d’accéder à des informations partagées sur les personnes, les groupes, les emplacements et les ressources de l’organisation. Ils peuvent utiliser Répertoire pour partager des contacts, ajouter des groupes, configurer des services de groupe et gérer les coordonnées de leurs contacts. Lorsqu’un utilisateur consulte les informations d’une autre personne, il n’accède pas seulement à ses coordonnées. Si la personne a fourni une photo, l’utilisateur peut voir à quoi il ou elle ressemble. Il peut voir le superviseur et les supérieurs hiérarchiques directs de la personne. Il a accès aux groupes publics auxquels la personne appartient. Il peut également imprimer une carte sur laquelle est indiqué le lieu où se trouve cette personne. Répertoire exploite plusieurs applications Mac OS X. Les utilisateurs peuvent créer des contacts partagés à partir d’entrées de Carnet d’adresses, cliquer sur des adresses électroniques pour envoyer des messages à l’aide de Mail ou charger des services web de groupe dans Safari.50 Chapitre 3Outils d’administration Interface de Répertoire L’interface de Répertoire est décrite ci-après. Chaque élément est expliqué dans le tableau ci-dessous. A Champ Rechercher : utilisez ce champ pour faire des recherches parmi les différents types d’enregistrement. Les nombres qui apparaissent à gauche des boutons de type d’enregistrement indiquent le nombre d’enregistrements répondant aux critères de recherche. B Boutons de type d’enregistrement : cliquez sur ces boutons pour afficher les types d’enregistrement de répertoire correspondants. C Liste des résultats : utilisez cette liste pour afficher les résultats de la recherche d’enregistrements. D Enregistrement : affiche l’enregistrement sélectionné dans la liste de résultats. E Bouton Ajouter : utilisez ce bouton pour ajouter un enregistrement de personne, de groupe, d’emplacement ou de ressource. F Bouton Modifier : cliquez sur ce bouton pour modifier l’enregistrement sélectionné. A B C E D FChapitre 3 Outils d’administration 51 Utilitaire d’annuaire Utilitaire d’annuaire est la principale application permettant de configurer les connexions d’un ordinateur Mac OS X à Open Directory, Active Directory et à d’autres domaines de répertoire et de définir la politique de recherche et les protocoles de détection de services de l’ordinateur. L’interface d’Utilitaire d’annuaire est décrite ci-après avec des options de configuration avancée. Utilitaire d’annuaire est installé sur les ordinateurs Mac OS X Server et Mac OS X dans /Applications/Utilitaires/. Pour obtenir des informations sur la façon d’utiliser Utilitaire d’annuaire, consultez la section Administration d’Open Directory ou l’Aide Utilitaire d’annuaire. Contrôle de serveur Utilisez Contrôle de serveur pour surveiller le matériel Xserve local ou distant et pour déclencher des notifications par courrier électronique lorsque les circonstances l’imposent. Contrôle de serveur fournit des informations sur le système d’exploitation, les lecteurs de disque, l’alimentation, la température du boîtier et du processeur, les ventilateurs, la sécurité et le réseau.52 Chapitre 3Outils d’administration L’interface de Contrôle de serveur est illustrée ci-dessous. Contrôle de serveur est installé dans le répertoire /Applications/Server/ lorsque vous installez votre serveur ou configurez un ordinateur administrateur. Pour ouvrir Contrôle de serveur, cliquez sur l’icône de l’application dans le Dock ou double-cliquez sur son icône dans le répertoire /Applications/Server/. Dans Admin Serveur, choisissez Présentation > Contrôle de serveur. Pour identifier le serveur Xserve à surveiller, cliquez sur Ajouter un serveur, identifiez le serveur et tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe d’un administrateur du serveur. Pour spécifier la fréquence d’actualisation des données, utilisez le menu local « Mettre à jour tous les » de la sous-fenêtre Infos. Pour gérer différentes listes de serveurs Xserve à contrôler, choisissez Fichier > Exporter ou Fichier > Importer. Pour regrouper toutes les listes en une seule, choisissez Fichier > Fusionner. Les témoins LED du système figurant sur les parties avant et arrière d’un serveur Xserve s’allument lorsque le service est requis. Utilisez Contrôle de serveur pour savoir plus exactement pourquoi les témoins s’allument. Vous pouvez également allumer les témoins d’un serveur Xserve afin de l’identifier dans une baie de serveurs. Pour cela, sélectionnez le serveur et cliquez sur Témoin système dans la sous-fenêtre Infos. Pour configurer l’application Contrôle de serveur de sorte qu’elle vous avertisse par courrier électronique de tout changement de l’état du serveur Xserve, cliquez sur Modifier les notifications. Pour chaque serveur, configurez les conditions dont vous souhaitez être averti. Le message électronique peut provenir de Contrôle de serveur ou du serveur lui-même.Chapitre 3 Outils d’administration 53 Contrôle de serveur conserve des historiques de l’activité sur chaque serveur Xserve. Pour afficher un journal, cliquez sur Afficher l’historique. L’historique indique par exemple le nombre de fois où Contrôle de serveur a tenté de contacter le serveur et quelles connexions ont réussi. Les historiques indiquent également les modifications de l’état du serveur. Ces historiques n’incluent pas l’activité système sur le serveur. Pour plus d’informations, reportez-vous à l’aide de Contrôle de serveur. Gestion des images système Vous pouvez utiliser les applications Mac OS X Server suivantes pour configurer et gérer des images NetBoot et NetInstall :  L’Utilitaire d’images de système permet de créer des images disque Mac OS X. Il est installé avec le logiciel Mac OS X Server dans le dossier /Applications/Server/.  Admin Serveur permet d’activer et de configurer le service NetBoot et les services connexes. Il est installé avec le logiciel Mac OS X Server dans le dossier /Applications/Server/.  PackageMaker permet de créer des fichiers d’installation que vous pouvez utiliser pour ajouter des logiciels à des images disque. Utilisez Xcode Tools pour accéder à PackageMaker. Vous trouverez un programme d’installation d’Xcode Tools sur le DVD d’installation du serveur, dans le dossier Other Installs.  Property List Editor permet de modifier des listes de propriétés telles que NBImageInfo.plist. Vous pouvez accéder à Property List Editor à partir d’Xcode Tools. L’interface d’Utilitaire d’images de système est illustrée ci-dessous.54 Chapitre 3Outils d’administration Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système contient des instructions sur l’utilisation de toutes ces applications. Gestion de l’enchaînement de données Administration de QuickTime Streaming et Broadcasting contient des instructions sur l’administration de QuickTime Streaming Server (QTSS) à l’aide d’Admin Serveur. Administration de QuickTime Streaming et Broadcasting décrit aussi QTSS Publisher, une application facile à utiliser pour gérer des données et les préparer pour la diffusion en continu ou le téléchargement progressif. Utilitaires de ligne de commande Si vous êtes administrateur et préférez travailler dans un environnement de ligne de commande, Mac OS X Server s’y prête aisément. À partir de l’application Terminal dans Mac OS X, vous pouvez utiliser les shells UNIX intégrés (sh, csh, tsh, zsh, bash) afin d’utiliser les outils d’installation et de configuration du logiciel serveur, ainsi que configurer et contrôler des services. Vous pouvez également soumettre des commandes à partir d’un ordinateur non Mac OS X. Lorsque vous administrez des serveurs distants, vous travaillez de façon sécurisée dans une session SSH (Secure Shell). Administration de ligne de commande décrit Terminal, SSH, les commandes d’administration de serveur et les fichiers de configuration.Chapitre 3 Outils d’administration 55 Xgrid Admin Vous pouvez utiliser Xgrid Admin pour surveiller des contrôleurs, grilles et travaux Xgrid locaux ou distants. Vous pouvez ajouter des contrôleurs et des agents afin de surveiller et de spécifier les agents qui n’ont pas encore rejoint de grille. Vous pouvez également utiliser Xgrid Admin pour interrompre, arrêter ou redémarrer des travaux. L’interface d’Utilitaire d’images de système est illustrée ci-dessous. Xgrid Admin est installé dans /Applications/Server/ lors de l’installation du serveur ou de la configuration d’un ordinateur administrateur. Pour ouvrir Xgrid Admin, double-cliquez sur l’icône Xgrid Admin dans /Applications/Server/. Pour plus d’informations, reportez-vous à l’aide de Xgrid Admin.56 Chapitre 3Outils d’administration Apple Remote Desktop Apple Remote Desktop (ARD), que vous pouvez acheter séparément, est une application de gestion d’ordinateurs en réseau, facile à utiliser. Elle simplifie la configuration, la surveillance et la maintenance des ordinateurs distants et vous permet d’interagir avec les utilisateurs. L’interface d’Apple Remote Desktop est illustrée ci-dessous. ARD permet de contrôler et d’observer des écrans d’ordinateur, de configurer des ordinateurs et d’installer des logiciels. Vous pouvez entrer en communication avec un ou plusieurs utilisateurs à la fois pour leur fournir une aide ou une assistance. Vous pouvez effectuer des opérations élémentaires de dépannage des problèmes de réseau. Vous pouvez également générer des rapports d’audit des caractéristiques du matériel et des logiciels installés. Vous pouvez également utiliser ARD pour contrôler l’installation sur un ordinateur que vous démarrez à partir d’un disque d’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, car cette application inclut une fonctionnalité de visualiseur VNC. Pour en savoir plus sur Apple Remote Desktop, visitez www.apple.com/fr/remotedesktop/.4 57 4 Sécurité Des politiques et des pratiques de sécurité vigilantes peuvent réduire le risque en matière d’intégrité du système et de confidentialité des données. Mac OS X Server est bâti sur des fondations UNIX robustes qui intègrent à leur architecture de nombreuses fonctionnalités de sécurité. Des technologies de pointe basées sur des normes standard protègent votre serveur, votre réseau et vos données. Ces technologies comprennent notamment un coupe-feu intégré avec analyse de paquets à état, des services puissants de chiffrement et d’authentification, des architectures de sécurité des données et la prise en charge des listes de contrôle d’accès (ACL). La lecture de ce chapitre peut servir de base à votre réflexion. Il ne constitue pas un guide de planification rigoureux et ne contient pas les détails dont vous avez besoin pour déterminer s’il faut mettre en place une politique de sécurité particulière et en évaluer les besoins en ressources. Considérez plutôt ce chapitre comme une occasion de planifier et d’établir les politiques de sécurité nécessaires dans votre environnement. Vous trouverez plus d’informations dans Configuration de la sécurité de Mac OS X Server et Configuration de la sécurité de Mac OS X. À propos de la sécurité physique La sécurité physique d’un serveur est un aspect souvent négligé de la sécurité des ordinateurs. N’oubliez pas que toute personne qui a accès physiquement à un ordinateur (par exemple, qui peut en ouvrir le boîtier ou y connecter un clavier, etc.) a un contrôle presque total sur l’ordinateur et les données qui s’y trouvent. Une personne ayant accès physiquement à un ordinateur peut ainsi :  redémarrer l’ordinateur à partir d’un autre disque dur externe en contournant tous les mécanismes d’ouverture de session existants ;  retirer les disques durs et utiliser des techniques de récupération de données ;  installer des enregistreurs de frappe matériels sur le clavier d’administration local ;58 Chapitre 4Sécurité Vous devez déterminer, au sein de votre propre organisation et de votre environnement, quelles sont les précautions nécessaires, efficaces et rentables pour protéger la valeur de vos données et de votre réseau. Si vous faites partie d’une organisation où la salle des serveurs est protégée par des barrières allant du sol au plafond, par exemple, pensez à sécuriser également les conduites d’air qui mènent à la salle. D’autres organisations opteront pour un simple rack à serveurs ou un mot de passe Open Firmware. À propos de la sécurité du réseau La sécurité du réseau est aussi importante pour l’intégrité des données que la sécurité physique. Bien que la plupart des gens comprennent immédiatement la nécessité de mettre sous clé un serveur coûteux, ils ne voient pas toujours de manière évidente la nécessité de restreindre l’accès aux données qui se trouvent sur ce serveur. Les sections qui suivent contiennent des suggestions, des techniques et des technologies pour vous aider à sécuriser votre réseau. Coupe-feu et filtres de paquets De la même façon qu’une cloison pare-feu agit comme une barrière physique qui protège de la chaleur et des dommages provoqués par la chaleur au sein d’un bâtiment ou dans un véhicule, un coupe-feu réseau agit comme une barrière pour protéger vos ressources réseau en empêchant le piratage de données par des sources externes. Le service de coupe-feu de Mac OS X Server est un logiciel qui protège les applications réseau exécutées sur le serveur Mac OS X Server. L’activation du service de coupe-feu est similaire à l’érection d’un mur destiné à limiter l’accès. Le service de coupe-feu analyse les paquets IP entrants et les rejette ou les accepte sur la base d’un ensemble de règles que vous avez créé. Vous pouvez restreindre l’accès à tout service IP exécuté par le serveur ou personnaliser des règles pour tous les clients entrants ou pour une plage d’adresses IP clientes. Les services, tels que les services web et FTP, sont identifiés sur le serveur par un numéro de port TCP (Transmission Control Protocol) ou UDP (User Datagram Protocol). Lorsqu’un ordinateur tente de se connecter à un service, le service de coupe-feu analyse la liste des règles afin de retrouver le numéro de port correspondant. Lorsqu’une règle s’applique à la transmission de paquets de la connexion, l’action spécifiée dans la règle (par exemple, autoriser ou refuser) est exécutée. La nécessité d’appliquer des règles supplémentaires peut ensuite être évaluée en fonction de l’action.Chapitre 4 Sécurité 59 Zone démilitarisée réseau Dans le domaine de la sécurité de réseau informatique, une zone démilitarisée (ZD) est une zone du réseau (un sous-réseau) qui se trouve entre le réseau interne d’une organisation et un réseau externe comme Internet. Les connexions du réseau externe et du réseau interne vers la zone démilitarisée sont autorisées, tandis que les connexions de la zone démilitarisée sont limitées au réseau externe et ne sont pas autorisées vers le réseau interne. Cela permet à une organisation de fournir des services au réseau externe tout en protégeant le réseau interne contre d’éventuelles menaces provenant d’un hôte se trouvant dans la zone démilitarisée. Toute personne qui compromet un hôte de la zone démilitarisée ne pourra pas se connecter au réseau interne. La zone démilitarisée est souvent utilisée pour connecter des serveurs qui doivent être accessibles à partir du réseau externe ou d’Internet, comme les serveurs de courrier, les serveurs web et les serveurs DNS. Les connexions à partir du réseau externe vers la zone démilitarisée sont souvent contrôlées à l’aide de coupe-feu et de la conversion des adresses. Une zone démilitarisée peut être créée en configurant un coupe-feu : chaque réseau est connecté à un port différent du coupe-feu. C’est ce que l’on appelle une configuration de coupe-feu à trois jambes. Cette configuration a l’avantage de la simplicité, mais la faiblesse d’un point de défaillance unique. Une autre approche consiste à utiliser deux coupe-feu, une zone démilitarisée connectée au deux coupe-feu entre les deux, et à connecter l’un des coupe-feu au réseau interne et l’autre au réseau externe. Cela offre en outre l’avantage d’empêcher des erreurs de configuration accidentelles autorisant l’accès du réseau externe au réseau interne. On appelle ce type de configuration un coupe-feu avec sous-réseau protégé. Réseaux locaux virtuels Mac OS X Server permet la prise en charge des réseaux locaux virtuels (VLAN) 802.1q sur les ports Ethernet et les cartes PCI gigabit Ethernet disponibles ou intégrées dans les serveurs Xserve. Un réseau local virtuel permet à plusieurs ordinateurs se trouvant sur différents réseaux locaux physiques de communiquer entre eux comme s’ils se trouvaient sur le même réseau local. Cette solution présente comme avantages une utilisation plus efficace de la bande passante réseau et une meilleure sécurité, car le trafic de diffusion ou de multidiffusion n’est envoyé qu’aux ordinateurs situés sur le segment de réseau commun. La prise en charge des réseaux locaux virtuels par le Xserve G5 est conforme à la norme standard IEEE 802.1q.60 Chapitre 4Sécurité Filtrage MAC Le filtrage MAC (ou le filtrage d’adresses de couche 2) fait référence à un contrôle d’accès dans lequel l’adresse MAC d’une interface réseau, ou adresse Ethernet (adresse 42 bits assignée à chaque interface réseau), est utilisée pour déterminer l’accès au réseau. Les adresses MAC sont propres à chaque carte. L’utilisation du filtrage MAC sur un réseau autorise et refuse l’accès au réseau à certains périphériques, plutôt qu’à certains utilisateurs ou types de trafic réseau. Les utilisateurs individuels ne sont pas identifiés par une adresse MAC,seuls les périphériques le sont, de sorte qu’une personne autorisée doit disposer d’une liste de périphériques autorisés qu’elle utilise pour accéder au réseau. En théorie, le filtrage MAC permet à un administrateur réseau d’autoriser ou de refuser l’accès au réseau à des hôtes et des périphériques associés à l’adresse MAC, mais il existe en pratique des méthodes permettant d’éviter cette forme de contrôle d’accès par la modification de l’adresse (spoofing) ou l’échange physique de cartes réseau entre hôtes. Chiffrement du transport Le transfert sécurisé de données sur un réseau implique le chiffrement du contenu des paquets envoyés d’un ordinateur à l’autre. Mac OS X Server peut fournir les protocoles de chiffrement TLS (Transport Layer Security) et son prédécesseur, SSL (Secure Sockets Layer), qui sécurisent les communications sur Internet telles que la navigation web, le courrier électronique et d’autres transferts de données. Ces protocoles de chiffrement permettent aux applications clientes et serveur de communiquer d’une façon conçue pour empêcher l’écoute électronique, la falsification et la contrefaçon de messages. TLS utilise la cryptographie pour fournir l’authentification aux extrémités et la confidentialité des communications sur Internet. Ces connexions chiffrées authentifient le serveur (s’assurent de son identité), mais le client demeure non authentifié. Pour bénéficier d’une authentification mutuelle (dans laquelle chaque côté de la connexion est assurée de l’identité de l’autre), vous devez utiliser une infrastructure à clé publique (ICP) sur les clients qui se connectent. Mac OS X Server utilise OpenSSL et a intégré le chiffrement du transport dans les outils et services suivants :  SSH  VPN  Service web  Service de messagerie  Services de répertoire  Serveur iChatChapitre 4 Sécurité 61 Chiffrement de la charge utile Plutôt que de chiffrer le transfert d’un fichier sur le réseau, vous pouvez chiffrer le contenu du fichier. Les fichiers bénéficiant d’un chiffrement puissant peuvent être interceptés pendant le transit, mais ils demeurent illisibles. La plupart des systèmes de chiffrement du transport requièrent la participation des deux parties qui interviennent de la transaction. Certains services (comme le service de messagerie SMTP) ne peuvent pas utiliser ces techniques d’une façon fiable ; le chiffrement du fichier proprement dit demeure alors la seule méthode fiable de protection du contenu du fichier. Pour en savoir plus sur le chiffrement de fichiers, consultez la section « À propos du chiffrement des fichiers » à la page 62. À propos de la sécurité des fichiers Par défaut, les fichiers et les dossiers sont la propriété de l’utilisateur qui les a créés. Une fois créés, les éléments conservent leurs privilèges (combinaison entre propriété et autorisations), même lorsqu’on les déplace, à moins que ces privilèges ne soient modifiés explicitement par leur propriétaire ou un administrateur. C’est pourquoi les nouveaux fichiers et dossiers que vous créez ne sont pas accessibles par les utilisateurs clients s’ils ont été créés dans un dossier pour lequel ces utilisateurs ne possèdent pas de privilèges. Lorsque vous configurez des points de partage, assurez-vous que les éléments autorisent des privilèges d’accès appropriés pour les utilisateurs avec lesquels vous voulez les partager. Autorisations d’accès aux fichiers et aux dossiers Mac OS X Server prend en charge deux types d’autorisations d’accès aux fichiers et aux dossiers :  Autorisations standard POSIX (Portable Operating System Interface)  Listes de contrôle d’accès (ACL) Les autorisations POSIX vous permettent de contrôler l’accès aux fichiers et dossiers sur la base de trois catégories d’utilisateurs : Propriétaire, Groupe et Tout le monde. Bien que ces autorisations permettent un contrôle adéquat des personnes qui accè- dent à un fichier ou un dossier, elles n’ont pas la flexibilité et la granularité dont beaucoup d’organisations ont besoin pour gérer des environnements d’utilisateurs élaborés. Les autorisations des listes de contrôle d’accès fournissent un ensemble plus étendu d’autorisations pour un fichier ou un dossier et permettent de désigner plusieurs utilisateurs et groupes comme propriétaires. Les listes de contrôle d’accès sont de plus compatibles avec Windows Server 2003 et Windows XP, ce qui vous donne une plus grande flexibilité dans un environnement multiplateforme.62 Chapitre 4Sécurité Pour en savoir plus sur les autorisations de fichier, consultez les sections Administration des services de fichier et Configuration de la sécurité de Mac OS X Server. À propos du chiffrement des fichiers Mac OS X dispose d’un certain nombre de technologies de chiffrement de fichiers, à savoir :  FileVault : FileVault effectue un chiffrement à la volée sur le dossier de départ de chaque utilisateur. Il chiffre donc l’ensemble du répertoire dans un volume virtuel, qui est monté, et déchiffre les données selon les besoins.  Secure VM : Secure VM chiffre la mémoire virtuelle système (les données de mémoire écrites temporairement sur le disque dur). En tant que tel, il n’est pas utilisé pour chiffrer des fichiers d’utilisateur, mais confère plus de sécurité à votre système en empêchant la lecture et l’exploitation des fichiers de mémoire virtuelle.  Utilitaire de disque :Utilitaire de disque peut créer des images disque dont le contenu est chiffré et protégé par mot de passe. Les images disque fonctionnent comme un support amovible, tel qu’un disque dur ou une carte mémoire flash USB, mais n’existent que sous la forme d’un fichier stocké sur l’ordinateur. Une fois que vous avez créé l’image disque chiffrée, il suffit de double-cliquer dessus pour la monter sur votre système. Tous les fichiers que vous faites glisser sur l’image montée sont chiffrés et stockés dans l’image disque. Vous pouvez ensuite envoyer l’image disque à d’autres utilisateurs de Mac OS X. S’ils disposent du mot de passe de déverrouillage, ils peuvent extraire les fichiers que vous avez verrouillés dans l’image disque. Pour en savoir plus, sachez que les méthodes de chiffrement de fichiers suivantes sont décrites dans le Guide de configuration de la sécurité de Mac OS X Server :  Création d’une nouvelle image disque chiffrée.  Création d’une image disque chiffrée à partir de données existantes. Suppression sécurisée Lorsque vous placez un fichier dans la Corbeille et que vous videz cette dernière, ou lorsque vous supprimez un fichier à l’aide de l’outil UNIX « rm », les fichiers proprement dits ne sont pas supprimés du disque dur. Ils sont simplement déplacés de la liste des fichiers contrôlés et protégés par le système d’exploitation. Tous espace de votre disque dur considéré comme de l’espace libre (dans lequel le système d’exploitation peut placer un fichier) contient plus que probablement des fichiers qui ont été supprimés auparavant. Ces fichiers peuvent être récupérés à l’aide d’utilitaires d’analyse et d’annulation de suppression. Pour supprimer totalement des données, vous devez utiliser une méthode de suppression plus sûre. Les experts en sécurité recommandent d’écraser plusieurs fois les fichiers supprimés et l’espace libre à l’aide de données aléatoires.Chapitre 4 Sécurité 63 Mac OS X Server fournit les outils suivants pour supprimer des fichiers de façon sûre :  Vider la Corbeille en mode sécurisé (une commande du menu Finder que l’on peut utiliser à la place de la commande « Vider la Corbeille »).  srm (un utilitaire UNIX qui supprime les fichiers de façon sûre et que l’on peut utiliser à la place de « rm »). À propos de l’authentification et de l’autorisation L’authentification consiste à vérifier l’identité d’une personne, tandis que l’autorisation consiste à vérifier qu’une personne authentifiée dispose de l’autorité requise pour effectuer une certaine action. L’authentification est donc nécessaire pour l’autorisation. Dans le contexte informatique, lorsque vous saisissez un nom d’utilisateur et un mot de passe, vous êtes authentifié sur l’ordinateur parce qu’il part du principe qu’une seule personne (en l’occurrence, vous) connaît à la fois le nom d’utilisateur et le mot de passe. Une fois que vous êtes authentifié, le système d’exploitation vérifie si vous figurez dans des listes de personnes autorisées à accéder à certains fichiers et, si vous êtes autorisé à y accéder, vous autorise l’accès à ces fichiers. Comme l’autorisation ne peut pas se faire sans authentification, le terme autorisation est parfois utilisé pour la combinaison de l’authentification et de l’autorisation. Sous Mac OS X Server, les utilisateurs qui tentent d’utiliser différents services (comme ouvrir une session sur un poste de travail conscient des répertoires ou monter un volume distant) doivent s’authentifier en fournissant un nom d’utilisateur et un mot de passe pour que les privilèges d’utilisateur puissent être déterminés. Il y a plusieurs façons d’authentifier des utilisateurs :  Authentification Open Directory. Basée sur le protocole normalisé SASL (Simple Authentication and Security Layer), l’authentification Open Directory prend en charge de nombreuses méthodes d’authentification, notamment CRAM-MD5, APOP, WebDAV, SHA-1, LAN Manager, NTLMv1 et NTLMv2. C’est la façon la plus efficace d’authentifier des utilisateurs Windows. Les méthodes d’authentification peuvent être désactivées de façon sélective pour rendre le stockage des mots de passe sur le serveur plus sûr. Par exemple, si aucun client n’utilise les services Windows, vous pouvez désactiver les méthodes d’authentification NTLMv1 et LAN Manager pour empêcher le stockage de mots de passe sur le serveur à l’aide de ces méthodes. Toute personne parvenant, d’une façon ou d’une autre, à accéder à votre base de données de mots de passe ne pourrait pas exploiter les failles de ces méthodes d’authentification pour pirater des mots de passe.64 Chapitre 4Sécurité L’authentification Open Directory vous permet de configurer des politiques de mots de passe pour des utilisateurs individuels ou pour tous les utilisateurs dont les enregistrements sont stockés dans un répertoire particulier, avec des exceptions si nécessaire. L’authentification Open Directory permet aussi de spécifier des politiques de mots de passe pour des répliques de répertoire individuelles. Vous pouvez, par exemple, spécifier une longueur de mot de passe minimum ou exiger qu’un utilisateur change de mot de passe à sa prochaine ouverture de session. Vous pouvez aussi désactiver l’ouverture de session pour les comptes inactifs ou après un certain nombre de tentatives infructueuses d’ouverture de session.  Authentification Kerberos 5. L’authentification Kerberos permet l’intégration dans des environnements Kerberos existants. Le centre de distribution de clés (Key Distribution Center ou KDC) de Mac OS X Server prend entièrement en charge les politiques de mots de passe que vous configurez sur le serveur. L’utilisation de Kerberos permet également de bénéficier d’une fonctionnalité appelée la signature unique, décrite dans la section qui suit. Les services suivants de Mac OS X Server prennent en charge l’authentification Kerberos : AFP (Apple Filing Protocol), courrier électronique, FTP (File Transfer Protocol), SSH (Secure Shell), fenêtre d’ouverture de session, LDAPv3, VPN (Virtual Private Network), serveur iChat, économiseur d’écran et Apache (via le protocole SPNEGO).  Stockage de mots de passe dans des comptes utilisateur. Cette approche peut être utile lors de la migration de comptes utilisateur à partir de versions antérieures du serveur. Il se peut toutefois qu’elle ne prenne pas en charge les clients qui nécessitent certains protocoles d’authentification sûrs pour le réseau comme APOP.  Authentification LDAPv3 non Apple. Cette approche est disponible pour les environnements dans lesquels un serveur LDAPv3 est configuré pour authentifier les utilisateurs.  RADIUS (protocole d’authentification pour le contrôle de l’accès au réseau de clients à configurations mobiles ou fixes). Pour en savoir plus sur RADIUS dans Mac OS X Server, consultez la section Administration des services de réseau. Signature unique Mac OS X Server utilise Kerberos pour l’authentification par signature unique, ce qui évite aux utilisateurs de devoir saisir un nom d’utilisateur et un mot de passe pour chaque service séparément. Avec la signature unique, l’utilisateur saisit toujours un nom d’utilisateur et un mot de passe dans la fenêtre d’ouverture de session. Par contre, une fois la session ouverte, il ne doit plus saisir de nom d’utilisateur ni de mot de passe pour accéder au service de fichiers Apple, au service de messagerie ni aux autres services qui utilisent l’authentification Kerberos. Pour utiliser la signature unique, les utilisateurs et les services doivent être kerbérisés, c’est-à-dire configurés pour l’authentification Kerberos, et doivent utiliser le même centre de distribution de clés Kerberos.Chapitre 4 Sécurité 65 Les comptes utilisateur qui résident dans un répertoire LDAP de Mac OS X Server et qui possèdent le type de mot de passe Open Directory utilisent le centre de distribution de clés intégré du serveur. Ces comptes utilisateur sont configurés automatiquement pour Kerberos et la signature unique. Les services kerbérisés de ce serveur utilisent également le centre de distribution de clés intégré du serveur et sont configurés automatiquement pour la signature unique. Ce centre de distribution de clés Mac OS X Server peut aussi authentifier des utilisateurs pour des services fournis par d’autres serveurs. Une configuration minimale est suffisante pour que d’autres serveurs sous Mac OS X Server puissent utiliser le centre de distribution de clés de Mac OS X Server. Kerberos a été développé au MIT pour fournir une authentification et une communication sécurisées sur des réseaux ouverts tels qu’Internet. Kerberos fournit des preuves d’identité aux deux parties. Il vous permet de prouver qui vous êtes auprès des services réseau que vous voulez utiliser. Il prouve aussi à vos applications que les services réseau sont authentiques et n’ont pas fait l’objet d’une opération de spoofing (mystification). Comme d’autres systèmes d’authentification, Kerberos ne fournit toutefois pas d’autorisation. Chaque service réseau détermine lui-même ce qu’il vous autorise à faire en fonction de l’identité établie. Kerberos permet à un client et à un serveur de s’identifier mutuellement de façon nettement plus sûre que les méthodes d’authentification par mot de passe et par question-réponse traditionnelles. Kerberos fournit aussi un environnement à signature unique dans lequel les utilisateurs ne doivent s’authentifier qu’une fois par jour, par semaine ou par période, ce qui rend l’authentification moins lourde. Mac OS X Server et Mac OS X 10.3 à 10.5 prennent en charge la version 5 de Kerberos. À propos des certificats, de SSL et de l’infrastructure à clé publique Mac OS X Server prend en charge de nombreux services utilisant le protocole SSL (Secure Socket Layer) pour le transfert de données chiffrées. SSL utilise un système d’infrastructure à clé publique (ICP) pour générer et maintenir des certificats d’identité pour les services dans lesquels SSL a été activé. Les systèmes d’infrastructure à clé publique permettent aux deux parties d’une transaction de données de s’authentifier mutuellement et d’utiliser des clés de chiffrement et d’autres informations qui figurent dans les certificats d’identité, afin de chiffrer et de déchiffrer les messages qui transitent entre les deux parties. Une infrastructure à clé publique permet à toutes les parties qui communiquent de bénéficier de la confidentialité, de l’intégrité des messages et de l’authentification de la source des messages sans devoir échanger d’informations secrètes au préalable.66 Chapitre 4Sécurité La technologie SSL fait appel à un système d’ICP pour sécuriser la transmission de données et l’authentification des utilisateurs. Elle crée un canal de communication sécurisé initial permettant de négocier une transmission de clé secrète plus rapidement. Mac OS X Server utilise SSL pour fournir une transmission de données chiffrées pour le service de courrier électronique, le service web et le service de répertoire. Les sections qui suivent contiennent d’autres informations concernant certains aspects importants des infrastructures à clé publique :  « Clés publiques et privées » à la page 66.  « Certificats » à la page 67.  « Autorités de certificat » à la page 67.  « Identités » à la page 68. Clés publiques et privées Dans un ICP, deux clés numériques sont créées : la clé publique et la clé privée. La clé privée n’est pas distribuée à tout le monde et est souvent chiffrée par une phrase clé. La clé publique, par contre, est distribuée aux parties qui communiquent. Les fonctionnalités de base des clés peuvent être résumées comme suit : Les services web, de courrier électronique et de répertoire utilisent la clé publique avec SSL pour négocier une clé partagée pendant la durée de la connexion. Ainsi, un serveur de messagerie envoie sa clé publique à un client se connectant et entame la négociation pour l’établissement d’une connexion sécurisée. Le client se connectant utilise la clé publique pour chiffrer une réponse à la négociation. Comme le serveur de messagerie dispose de la clé privée, il peut déchiffrer la réponse. La négociation continue jusqu’à ce que le serveur de messagerie et le client disposent d’un secret partagé pour chiffrer le trafic entre les deux ordinateurs. Type de clé Fonctionnalités Publique  Permet de chiffrer des messages qui ne peuvent être déchiffrés que par une personne possédant la clé privée correspondante.  Permet de vérifier la signature qui figure sur un message provenant d’une clé privée. Privée  Permet de signer numériquement un message ou un certificat pour en établir l’authenticité.  Permet de déchiffrer des messages chiffrés avec la clé publique.  Permet de chiffrer des messages qui ne peuvent être déchiffrés que par la clé privée elle-même.Chapitre 4 Sécurité 67 Certificats Les clés publiques se trouvent souvent dans des certificats. Un utilisateur peut signer numériquement des messages à l’aide de sa clé privée et les autres utilisateurs peuvent vérifier la signature à l’aide de la clé publique qui se trouve dans le certificat du signataire émis par une autorité de certificat (AC) au sein de l’ICP. Un certificat de clé publique (on parle parfois aussi de certificat d’identité) est un fichier de format déterminé (Mac OS X Server utilise le format x.509) contenant les éléments suivants :  La moitié clé publique d’une paire clé privée-clé publique.  Des informations relatives à l’identité de l’utilisateur de la clé, telles que le nom et les coordonnées.  Une période de validité (durée pendant laquelle on peut être sûr de l’exactitude du certificat).  L’URL d’une personne possédant l’autorité nécessaire pour révoquer le certificat (son centre de révocation).  La signature numérique d’une autorité de certificat ou de l’utilisateur de la clé. Autorités de certificat Une autorité de certificat (AC) est une entité accompagnée d’un certificat associé qui signe et émet des certificats d’identité numériques établissant que la partie identifiée est digne de confiance. En ce sens, il s’agit d’une tierce partie de confiance entre deux transactions. Dans les systèmes x.509, les AC sont hiérarchiques par nature, chacune étant certifiée par d’autres AC jusqu’à une autorité racine suprême. Une autorité racine est une AC qui béné- ficie de la confiance de suffisamment de ou de toutes les parties intéressées de sorte qu’elle ne doive pas être authentifiée par une autre tierce partie. La hiérarchie des certificats va toujours du bas vers le haut, avec un certificat d’autorité racine au sommet. Une AC peut être une entreprise qui, en échange d’une commission, signe et émet un certificat de clé publique proclamant que l’AC atteste que la clé publique du certificat appartient bien à son propriétaire, comme indiqué dans le certificat. D’une certaine façon, l’AC est une sorte de notaire numérique. Pour effectuer une demande de certificat auprès d’une AC, il est nécessaire de fournir ses coordonnées et des informations sur son identité, ainsi que la clé publique. L’AC vérifie l’identité du demandeur afin que les utilisateurs puissent être sûrs que les certificats émis par cette AC appartiennent bien au demandeur identifié.68 Chapitre 4Sécurité Identités Les identité, dans le contexte du gestionnaire de certificats de Mac OS X Server, sont la combinaison d’un certificat signé pour les deux clés d’une paire de clés d’une ICP. Les identités sont utilisées par le trousseau système et sont disponibles pour les différents services qui prennent en charge SSL. Certificats auto-signés Les certificats auto-signés sont des certificats signés numériquement par la clé privée de la paire de clés incluse dans le certificat. Cette solution remplace la signature du certificat par une AC. En signant un certificat vous-même, vous attestez que vous êtes bien celui que vous prétendez être. Aucune tierce partie de confiance n’est impliquée. Gestionnaire de certificats dans Admin Serveur L’application Gestionnaire de certificats de Mac OS X Server est intégrée à Admin Serveur pour vous aider à créer, utiliser et maintenir des identités pour les services pour lesquels SSL est activé. L’interface d’Admin Serveur est illustrée ci-dessous (avec le Gestionnaire de certificats sélectionné). Gestionnaire de certificats fournit la gestion intégrée de certificats SSL dans Mac OS X Server pour tous les services qui permettent l’utilisation de certificats SSL.Chapitre 4 Sécurité 69 Gestionnaire de certificats permet de créer des certificats auto-signés et des demandes de signature de certificat (en anglais Certificate-Signing Requests ou CSR) pour obtenir un certificat signé par une AC. Les certificats, auto-signés ou signés par une AC, sont accessibles par les services qui prennent en charge SSL. Les identités, qui étaient auparavant créées et stockées dans des fichiers OpenSSL, peuvent également être importées dans Gestionnaire de certificats et sont alors accessibles à tous les services prenant en charge SSL. Gestionnaire de certificats dans Admin Serveur ne vous permet pas de signer et d’émettre des certificats en tant qu’AC ni de signer et d’émettre des certificats en tant qu’autorité racine. Si vous avez besoin de ces fonctions, vous pouvez utiliser l’application Assistant AC d’Apple qui se trouve dans /Applications/Utilitaires/. Elle permet d’obtenir ces fonctions, ainsi que d’autres. Les certificats auto-signés et émis par une AC créés dans Assistant AC d’Apple peuvent être utilisés dans Gestionnaire de certificats par simple importation. Gestionnaire de certificats affiche les informations suivantes pour chaque certificat :  Le nom du domaine pour lequel le certificat a été émis.  Les dates de validité.  L’autorité signataire (par exemple, l’entité de l’AC ou, si le certificat est auto-signé, la mention « Self-Signed »). Préparation des certificats Pour pouvoir utiliser SSL dans les services de Mac OS X Server, vous devez d’abord créer ou importer des certificats. Vous pouvez créer votre propre certificat auto-signé, générer une demande de signature de certificat (CSR) à envoyer à une AC ou importer un certificat préalablement créé avec OpenSSL. Sélectionnez une AC pour signer votre demande de certificat. Si vous n’avez pas d’AC pour signer votre demande, vous pouvez devenir votre propre AC, puis importer vos certificats d’AC dans la base de données de confiance racine de tous les ordinateurs que vous gérez. Si vous utilisez un certificat auto-signé, envisagez d’utiliser une AC auto-signée afin de signer une CSR à utiliser pour vos services, puis importez le certificat public de votre AC dans le trousseau système de tous les ordinateurs clients. Ces deux options partent du principe que vous avez le contrôle des ordinateurs clients.70 Chapitre 4Sécurité Demande de certificat auprès d’une autorité de certificat Gestionnaire de certificats vous aide à créer une demande de signature de certificat (CSR) à envoyer à votre AC désignée. Pour demander un certificat signé : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur qui possède des services prenant en charge SSL. 2 Cliquez sur Certificats. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste Certificats. 4 Saisissez les informations relatives à l’identité. Le nom usuel est le nom de domaine complet du serveur qui va utiliser les services pour lesquels SSL est activé. 5 Saisissez les dates de validité de début et de fin. 6 Sélectionnez une taille pour la clé privée (la taille par défaut est 1024 bits). 7 Saisissez une phrase clé pour la clé privée. Cette phrase clé devrait être plus sûre qu’un simple mot de passe. Il est recommandé d’utiliser au moins 20 caractères, de mélanger majuscules et minuscules, nombres et/ou signes de ponctuation, de ne pas répéter de caractères et de ne pas utiliser de termes figurant dans un dictionnaire. 8 Cliquez sur le bouton en forme d’engrenage et choisissez « Créer une demande de signature de certificats ». 9 Suivez les instructions à l’écran pour demander un certificat signé à l’AC que vous avez choisie. Vous pouvez, par exemple, le faire en ligne ou fournir l’adresse électronique. 10 Cliquez sur Envoyer la demande. 11 Cliquez sur Terminé pour enregistrer les informations d’identité. Lorsque l’AC répond au message électronique, elle l’inclut dans le texte d’un message électronique. 12 Assurez-vous à nouveau que le certificat est sélectionné dans le champ Certificats. 13 Cliquez sur le bouton en forme d’engrenage, puis choisissez « Ajouter un certificat signé ou renouvelé de l’autorité de certificat ». 14 Copiez les caractères entre « ==Begin CSR== » et « ==End CSR== » dans la zone de texte. 15 Cliquez sur OK. 16 Cliquez sur Enregistrer.Chapitre 4 Sécurité 71 Création d’un certificat auto-signé Lorsque vous créez une identité dans Gestionnaire de certificats, vous créez un certificat auto-signé. Gestionnaire de certificats crée une paire clé privée-clé publique possé- dant la taille de clé spécifiée (entre 512 et 2048 bits) dans le trousseau système. Il crée ensuite le certificat auto-signé correspondant dans le trousseau système. Une CSR est également générée pendant la création du certificat auto-signé. Elle n’est pas stockée dans le trousseau, mais écrite sur disque à l’emplacement /etc/certificates/ cert.nom.usuel.tld.csr, où « nom.usuel.tld » est le nom usuel du certificat émis. Pour créer un certificat auto-signé : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur qui possède les services prenant en charge SSL. 2 Cliquez sur Certificats. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 4 Saisissez les informations relatives à l’identité. Le nom usuel est le nom de domaine complet du serveur qui va utiliser les services pour lesquels SSL est activé. 5 Saisissez les dates de validité de début et de fin. 6 Sélectionnez une taille pour la clé privée (la taille par défaut est 1024 bits). 7 Saisissez une phrase clé pour la clé privée. Cette phrase clé devrait être plus sûre qu’un simple mot de passe. Il est recommandé d’utiliser au moins 20 caractères, de mélanger majuscules et minuscules, nombres et signes de ponctuation, de ne pas répéter de caractères et de ne pas utiliser de termes figurant dans un dictionnaire. 8 Cliquez sur Terminé pour enregistrer les informations d’identité. 9 Cliquez sur Enregistrer. Création d’une autorité de certificat Si vous voulez pouvoir signer le certificat de quelqu’un d’autre, vous devez créer une autorité de certificat (AC). Les autorités de certificat sont parfois appelées certificats racine. En utilisant le certificat racine, vous deviendrez la tierce partie de confiance pour les transactions de ce certificat, vous portant ainsi garant de l’identité du détenteur du certificat. Si vous faite partie d’une organisation importante, vous pouvez décider d’émettre ou de signer des certificats pour des personnes de votre organisation, afin de bénéficier des avantages de sécurité offerts par les certificats avec vos propres services informatiques. Il se peut toutefois que certaines organisations externes ne reconnaissent pas ou ne fassent pas confiance à votre autorité en matière de signature.72 Chapitre 4Sécurité Pour créer une AC : 1 Démarrez Trousseau d’accès. Trousseau d’accès est un utilitaire qui se trouve dans le répertoire /Applications/Utilitaires/. 2 Dans le menu Trousseau d’accès, sélectionnez Assistant Certificat > Créer une autorité de certificat. L’Assistant Certificat démarre. Il va vous guider tout au long du processus de création de l’AC. 3 Choisissez de créer une Autorité de certification racine auto-signée. 4 Fournissez à Assistant Certificat les informations requises, puis cliquez sur Continuer. Pour créer une AC, vous allez devoir fournir les informations suivantes :  Une adresse électronique.  Le nom de l’autorité émettrice (vous ou votre organisation). Vous devez aussi spécifier s’il faut ignorer les valeurs par défaut et s’il faut faire de cette AC l’AC par défaut de l’organisation. Si vous n’avez pas d’AC par défaut pour votre organisation, autorisez Assistant Certificat à faire de la présente AC l’AC par défaut. Dans la plupart des cas, il n’est pas recommandé d’ignorer les valeurs par défaut. Si vous ne les ignorez pas, passez directement à l’étape 16. 5 Si vous préférez ignorer les valeurs par défaut, fournissez les informations suivantes dans les écrans qui suivent :  Un numéro de série unique pour le certificat racine.  Le nombre de jours de fonctionnement de l’autorité de certificat avant son expiration.  Le type de certificat utilisateur que cette AC signe.  Si vous voulez créer pour l’AC un site web auquel les utilisateurs peuvent accéder pour la distribution des certificats d’AC. 6 Cliquez sur Continuer. 7 Fournissez à Assistant Certificat les informations requises, puis cliquez sur Continuer. Pour créer une AC, vous allez devoir fournir les informations suivantes :  L’adresse électronique de la partie responsable des certificats.  Le nom de l’autorité de certificat (vous ou votre organisation).  Le nom de l’organisation.  Le nom d’unité de l’organisation.  L’emplacement de l’autorité émettrice. 8 Sélectionnez une taille de clé et un algorithme de chiffrement pour le certificat d’AC, puis cliquez sur Continuer.Chapitre 4 Sécurité 73 Une clé de grande taille demande plus de calculs de la part des ordinateurs, mais est nettement plus sûre. L’algorithme à sélectionner dépend plus de vos besoins en termes d’organisation que de considérations techniques. Les algorithmes DSA et RSA sont tous deux des algorithmes de chiffrement forts. L’algorithme DSA est une norme standard du gouvernement fédéral des États-Unis pour les signatures numériques. L’algorithme RSA constitue une avancée plus récente dans le domaine des algorithmes. 9 Sélectionnez une taille de clé et un algorithme de chiffrement pour les certificats à signer, puis cliquez sur Continuer. 10 Sélectionnez les extensions d’utilisation de clé dont vous avez besoin pour le certificat d’AC, puis cliquez sur Continuer. Vous devez sélectionner au minimum Signature et Signature de certificat. 11 Sélectionnez les extensions d’utilisation de clé dont vous avez besoin pour les certificats à signer, puis cliquez sur Continuer. Les sélections d’utilisation de clé par défaut sont basées sur le type de clé sélectionné auparavant dans l’assistant. 12 Spécifiez d’autres extensions à ajouter au certificat d’AC, puis cliquez sur Continuer. Vous devez sélectionner « Inclure l’ext. de contraintes élémentaires » et « Utiliser ce certificat comme autorité de certification ». 13 Spécifiez éventuellement d’autres extensions à ajouter au certificat d’AC, puis cliquez sur Continuer. Aucune n’est obligatoire. 14 Sélectionnez le trousseau « Système » pour stocker le certificat d’AC. 15 Choisissez de faire confiance aux certificats de cet ordinateur signés par l’AC que vous avez créée. 16 Cliquez sur Continuer et authentifiez-vous comme administrateur pour créer le certificat et la paire de clés. 17 Lisez et suivez les instructions qui figurent à la dernière page de l’Assistant Certificat. Vous pouvez maintenant émettre des certificats destinés à des parties de confiance et signer des demandes CSR. Utilisation d’une AC pour créer un certificat destiné à quelqu’un d’autre Vous pouvez utiliser votre certificat d’AC pour émettre un certificat pour quelqu’un d’autre. On appelle parfois cette opération signer une demande de signature de certificat (CSR). En le faisant, vous affirmez que vous êtes une partie de confiance et que vous pouvez vérifier l’identité du détenteur du certificat.74 Chapitre 4Sécurité Pour que vous puissiez créer un certificat destiné à une autre personne, cette dernière doit d’abord générer une demande de signature de certificat. Elle peut utiliser l’Assistant Certificat pour générer la demande de signature de certificat et vous envoyer la demande par message électronique. Vous devez ensuite utiliser le texte de la demande de signature de certificat pour créer le certificat. Pour créer un certificat destiné à quelqu’un d’autre : 1 Démarrez Trousseau d’accès. Trousseau d’accès est un utilitaire qui se trouve dans le répertoire /Applications/Utilitaires/. 2 Dans le menu de Trousseau d’accès, sélectionnez Assistant Certificat > Créer un certificat pour quelqu’un d’autre en tant qu’autorité de certificat. L’Assistant Certificat démarre et vous guide tout au long du processus de création de l’AC. 3 Faites glisser la demande de signature de certificat dans la zone cible. 4 Choisissez l’AC émettrice et signez la demande. Vous pouvez aussi ignorer les valeurs par défaut de la demande. 5 Cliquez sur Continuer. Si vous ignorez les valeurs par défaut de la demande, fournissez à l’Assistant Certificat les informations requises, puis cliquez sur Continuer. Le certificat est maintenant signé. L’application de courrier électronique par défaut s’ouvre avec le certificat signé comme pièce jointe. Importation d’un certificat Vous pouvez importer un certificat et une clé privée OpenSSL préalablement générés dans Gestionnaire de certificats. Les éléments sont stockés comme éléments disponibles dans la liste des identités et sont disponibles pour les services pour lesquels SSL a été activé. Pour importer un certificat de type OpenSSL existant : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur qui possède les services prenant en charge SSL. 2 Cliquez sur Certificats. 3 Cliquez sur le bouton Importer. 4 Saisissez le nom et le chemin du fichier du certificat existant. Vous pouvez aussi parcourir le disque et spécifier son emplacement. 5 Saisissez le nom et le chemin du fichier de clé privée existant. Vous pouvez aussi parcourir le disque et spécifier son emplacement. 6 Saisissez la phrase clé de la clé privée. 7 Cliquez sur Importer.Chapitre 4 Sécurité 75 Gestion des certificats Une fois qu’un certificat a été créé et signé, vous n’avez plus grand chose à faire. Les certificats ne peuvent être modifiés que dans Admin Serveur et ne peuvent plus être modifiés une fois qu’une AC les a signés. Les certificats auto-signés peuvent être modifiés. Vous devez supprimez les certificats si les informations qu’ils possèdent (informations de contact, etc.) ne sont plus exactes ou si vous pensez que la paire de clés a été compromise. Modification d’un certificat Une fois que la signature de certificat d’une AC a été ajoutée, le certificat ne peut plus être modifié. Il est toutefois possible de modifier des certificats auto-signés. Tous les champs du certificat (y compris le nom de domaine et la phrase clé de la clé privée, la taille de la clé privée, etc.) peuvent être modifiés. Si l’identité a été exportée sur disque à partir du trousseau système, elle doit être réexportée. Pour modifier un certificat : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur qui possède des services prenant en charge SSL. 2 Cliquez sur Certificats. 3 Sélectionnez l’identité certificat à modifier. Il doit s’agir d’un certificat auto-signé. 4 Cliquez sur le bouton Modifier (/). 5 Cliquez sur Modifier. Distribution d’un certificat public d’AC à des clients Si vous utilisez des certificats auto-signés, un avertissement est affiché dans la plupart des applications d’utilisateur pour vous avertir que l’autorité de certificat n’est pas reconnue. D’autres logiciels, tels que le client LDAP, refusent purement et simplement d’utiliser SSL si l’AC du serveur est inconnue. Mac OS X Server n’est livré qu’avec des certificats provenant d’AC commerciales connues. Pour empêcher cet avertissement, votre certificat d’AC doit être exporté vers chaque ordinateur client qui se connecte au serveur sécurisé. Pour distribuer le certificat d’AC auto-signé : 1 Copiez le certificat d’AC auto-signé (le fichier nommé ca.crt) sur chaque ordinateur client. Il est préférable de le distribuer à l’aide d’un support non réinscriptible tel qu’un CD-R. L’utilisation de supports non réinscriptibles empêche la corruption du certificat. 2 Ouvrez l’outil Trousseau d’accès en double-cliquant sur l’icône ca.crt à l’emplacement où le certificat a été copié sur l’ordinateur client.76 Chapitre 4Sécurité 3 Ajoutez le certificat au trousseau système à l’aide de Trousseau d’accès. Vous pouvez aussi utiliser la commande certtool dans Terminal : sudo certtool i ca.crt k=/System/Library/Keychains/Systems Désormais, toute application cliente qui procède à des vérifications par rapport au trousseau système (comme Safari et Mail) reconnaît tous les certificats signés par votre AC. Suppression d’un certificat Lorsqu’un certificat est arrivé à expiration ou a été compromis, vous devez le supprimer. Pour supprimer un certificat : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur qui possède des services prenant en charge SSL. 2 Cliquez sur Certificats. 3 Sélectionnez l’identité certificat à supprimer. 4 Cliquez sur le bouton Suprimmer (-) et sélectionnez Supprimer. 5 Cliquez sur Enregistrer. Renouvellement d’un certificat arrivé à expiration Tous les certificats ont une date d’expiration. Vous devez donc mettre à jour les certificats lorsqu’ils expirent. Pour renouveler un certificat arrivé à expiration : 1 Demandez un nouveau certificat à l’AC. Si vous êtes votre propre AC, créez-en un nouveau à l’aide de votre propre certificat racine. 2 Dans Admin Serveur, sélectionnez dans la liste Serveurs le serveur possédant le certificat en cours d’expiration. 3 Cliquez sur Certificats. 4 Sélectionnez l’identité certificat à modifier. 5 Cliquez sur le bouton d’action, puis choisissez « Ajouter un certificat signé ou renouvelé de l’autorité de certificat ». 6 Collez le certificat renouvelé dans le champ de texte, puis cliquez sur OK. 7 Cliquez sur le bouton Modifier pour rendre le certificat modifiable. 8 Réglez les dates du certificat. 9 Cliquez sur Enregistrer.Chapitre 4 Sécurité 77 Utilisation de certificats Dans Admin Serveur, les différents services comme le service web, le service de courrier électronique, le service VPN, etc., affichent une liste déroulante reprenant les certificats sélectionnables par l’administrateur. Comme l’apparence des services varie, l’emplacement de la liste déroulante varie également. Consultez le guide d’administration relatif au service que vous tentez d’utiliser avec un certificat. SSH et les clés SSH SSH est un protocole réseau qui établit un canal sécurisé entre votre ordinateur et un ordinateur distant. Il utilise la cryptographie à clé publique pour authentifier l’ordinateur distant. Il assure également le chiffrement du trafic et l’intégrité des données échangées entre les deux ordinateurs. SSH est souvent utilisé pour ouvrir une session sur une machine distante afin d’y exécuter des commandes, mais il permet aussi de créer un tunnel de données sécurisé en réexpédiant ces données via un port TCP arbitraire. De plus, il peut transférer des fichiers à l’aide des protocoles SFTP et SCP associés. Par défaut, un serveur SSH écoute le trafic sur le port TCP 22 standard. Mac OS X Server utilise OpenSSH comme base pour ses outils SSH. Ouverture de session SSH à base de clés L’authentification à base de clés est utile pour des tâches telles que l’automatisation des transferts et des sauvegardes de fichiers et la création de scripts de basculement parce qu’il permet aux ordinateurs de communiquer sans exiger la saisie d’un mot de passe par un utilisateur. Il n’est pas sûr de copier la clé privée d’un ordinateur sur un autre ordinateur. Important :l’authentification à base de clés comporte des risques. Si la clé privée que vous générez est compromise, des utilisateurs non autorisés peuvent accéder à vos ordinateurs. Vous devez déterminer si les avantages de l’authentification à base de clés valent le risque. Génération d’une paire de clés pour SSH La présente section décrit brièvement le processus de configuration de l’ouverture de session SSH à base de clés sous Mac OS X et Mac OS X Server. Pour configurer SSH à base de clés, vous devez générer les clés que les deux ordinateurs vont utiliser pour établir et valider leurs identités mutuelles.78 Chapitre 4Sécurité Pour ce faire, exécutez les commandes suivantes dans Terminal : 1 Vérifiez s’il existe un dossier .ssh dans votre dossier de départ en saisissant la commande : ls -ld ~/.ssh. Si .ssh apparaît dans les résultats, passez à l’étape 2. Si .ssh n’apparaît pas dans les résultats, exécutez mkdir ~/.ssh et continuez à l’étape 2. 2 Dans le shell, allez dans le répertoire ssh masqué en saisissant la commande suivante : cd ~/.ssh 3 Générez les clés publique et privée en saisissant la commande suivante : ssh-keygen -b 1024 -t dsa -f id_dsa -P '' Le drapeau -b règle la longueur des clés sur 1024 bits, -t indique qu’il faut utiliser l’algorithme de hachage DSA, -f définit le nom de fichier comme id_dsa et -P suivi de deux apostrophes simples définit le mot de passe de la clé privée comme étant nul. Un mot de passe de clé privée nul permet d’automatiser les connexions SSH. 4 Créez un fichier de clé autorisée vierge en saisissant la commande suivante : touch authorized_keys2 5 Copiez la clé publique dans le fichier de clé autorisée en saisissant la commande suivante : cat id_dsa.pub >> authorized_keys2 6 Changez les autorisations de la clé privée en saisissant la commande suivante : chmod 400 id_dsa Les autorisations de la clé privée doivent être définies de façon à ce que le fichier ne puisse pas être lu par tout le monde. 7 Copiez la clé publique et les listes de clés autorisées dans le dossier de départ de l’utilisateur spécifié sur l’ordinateur distant en saisissant la commande suivante : scp authorized_keys2 username@remotemachine:~/.ssh/ Si vous devez établir une communication dans les deux sens entre des serveurs, répé- tez le processus ci-dessus sur le second ordinateur. Ce processus doit être répété pour tout utilisateur devant ouvrir une session SSH à base de clés. L’utilisateur root n’est pas une exception. Le dossier de départ de l’utilisateur root sur Mac OS X Server se trouve à l’emplacement /var/root/. SSH à base de clés avec exemple de script Une grappe de serveurs constitue un environnement idéal pour utiliser le SSH à base de clés. Le script Perl suivant est un exemple de trivial de création de script qui ne doit pas être implémenté. Il montre simplement comment se connecter via un tunnel SSH à tous les serveurs définis dans la variable serverList, exécuter softwareupdate, installer les mises à jour disponibles et redémarrer l’ordinateur si nécessaire. Le script part du principe que le SSH à base de clés a été configuré correctement pour l’utilisateur root sur tous les serveurs à mettre à jour.Chapitre 4 Sécurité 79 #!/usr/bin/perl # \@ est la séquence d’échappement pour le symbole « @ ». my @serverList = ('root\@serveurexemple1.exemple.com', 'root\@serveurexemple2.exemple.com'); foreach $server (@serverList) { open SBUFF, "ssh $server -x -o batchmode=yes 'softwareupdate -i -a' |"; while() { my $flag = 0; chop($_); #check for restart text in $_ my $match = "Veuillez redémarrer immédiatement"; $count = @{[$_ =~ /$match/g]}; if($count > 0) { $flag = 1; } } close SBUFF; if($flag == 1) { `ssh $server -x -o batchmode=yes shutdown -r now` } } Sécurité au niveau de l’administration Mac OS X Server peut utiliser un autre niveau de contrôle d’accès pour plus de sécurité. Il est possible d’affecter des administrateurs à des services qu’ils peuvent configurer. Ces limitations sont définies serveur par serveur. Cette méthode peut être utilisée par un administrateur sans restrictions pour assigner des droits administratifs à d’autres utilisateurs du groupe admin. Cela donne un modèle d’administration par niveaux dans lequel certains administrateurs ont plus deprivilèges que d’autres pour les services assignés. Cela permet d’obtenir une méthode de contrôle d’accès pour des fonctionnalités et des services de serveur individuels. Exemple : Alice (administratrice en chef) contrôle tous les services d’un serveur donné et peut limiter la capacité d’autres utilisateurs du groupe admin (comme Robert et Catherine) à modifier des réglages sur le serveur. Elle peut assigner l’administration des services DNS et de coupe-feu à Robert tout en laissant l’administration du service de messagerie à Catherine. Dans ce scénario, Catherine ne peut pas modifier le coupe-feu ni aucun autre service à l’exception du service de courrier électronique. De même, Robert ne peut pas modifier les services qui ne lui ont pas été assignés.80 Chapitre 4Sécurité Les contrôles d’administration par niveaux sont effectifs dans Admin Serveur et dans l’outil de ligne de commande serveradmin. Ils ne permettent pas d’empêcher la modification des différents fichiers de configuration UNIX à travers tout le système. Les fichiers de configuration UNIX doivent être protégés par des autorisations de type POSIX ou des listes de contrôle d’accès. Définition de privilèges au niveau de l’administration Vous pouvez désigner les services que d’autres utilisateurs du groupe admin peuvent modifier. Pour ce faire, l’administrateur qui procède à cette désignation doit disposer d’un accès total non modifié. Le processus de définition des privilèges au niveau de l’administration est décrit dans « Autorisations d’administration par niveaux » à la page 168. Sécurité au niveau du service Vous pouvez utiliser une liste de contrôle d’accès de service (SACL) pour désigner ceux qui sont autorisés à utiliser un service donné. Il ne s’agit pas d’un moyen d’authentification, mais d’une liste des personnes possédant les droits d’accès appropriés pour utiliser un service donné. Les listes SACL vous permettent d’ajouter un niveau de contrôle d’accès aux autorisations standard et par liste de contrôle d’accès normales. Seuls les utilisateurs et les groupes qui figurent dans une SACL ont accès au service en question. Par exemple, pour empêcher des utilisateurs d’accéder à des points de partage AFP sur un serveur, y compris à des dossiers de départ, supprimez-les de la liste SACL du service AFP. L’application Admin Serveur de Mac OS X Server vous permet de configurer des listes SACL. Open Directory authentifie les comptes utilisateur et les listes SACL autorisent l’utilisation des services. Si Open Directory vous authentifie, la liste SACL de la fenêtre d’ouverture de session détermine si vous pouvez ouvrir une session, la liste SACL du service AFP détermine si vous pouvez vous connecter au service de fichiers Apple, et ainsi de suite.Chapitre 4 Sécurité 81 Définition d’autorisations de liste SACL Les listes SACL vous permettent de désigner les utilisateurs et groupes qui ont accès aux services de Mac OS X Server, notamment aux services AFP, FTP et de fichiers Windows. Pour définir des autorisations de liste SACL pour un service : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez le serveur dans la listes Serveurs. 3 Cliquez sur Réglages. 4 Cliquez sur Accès. 5 Pour restreindre l’accès à tous les services ou désélectionner cette option afin de définir des autorisations d’accès par service, sélectionnez « Pour tous les services ». 6 Si vous avez désélectionné « Pour tous les services », sélectionnez un service dans la liste Service. 7 Pour accorder un accès sans restriction aux services, cliquez sur « Autoriser tous 8 les utilisateurs et groupes ». Pour restreindre l’accès à certains utilisateurs et groupes : a Sélectionnez « Autoriser les utilisateurs et groupes ci-dessous ». b Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ouvrir le volet Utilisateurs et groupes. c Faites glisser des utilisateurs et des groupes depuis le volet Utilisateurs et groupes jusque dans la liste. 9 Cliquez sur Enregistrer. Pratiques d’excellence en matière de sécurité Les administrateurs de serveur sont chargés de s’assurer que des mesures de sécurité raisonnables sont prises pour protéger un serveur contre d’éventuelles attaques. Un serveur compromis met en danger non seulement les ressources et les données qu’il contient, mais aussi les ressources et les données qui se trouvent sur les autres systè- mes connectés. Un système compromis peut être utilisé comme base pour lancer une attaque sur d’autres système à l’intérieur ou à l’extérieur de votre réseau. Assurer la sécurité de serveurs nécessite de trouver un équilibre entre le coût d’implé- mentation des mesures de sécurité d’une part et la probabilité d’une attaque réussie et l’impact de cette attaque d’autre part. Il n’est pas possible d’éliminer tous les risques de sécurité pour un serveur sur un réseau, mais il est possible de réduire les probabilités de brèche et de lutter plus efficacement contre les attaques réalisées.82 Chapitre 4Sécurité Les pratiques d’excellence pour l’administration d’un système de serveur comprennent notamment :  Effectuer la mise à jour de vos système avec les correctifs de sécurité et les mises à jour critiques.  Rechercher régulièrement de nouvelles mises à jour.  Installer les outils antivirus appropriés et les utiliser de manière régulière, ainsi que mettre régulièrement à jour les logiciels et les fichiers de définitions de virus. Bien que les ordinateurs Mac soient beaucoup moins menacés par les virus que les ordinateurs Windows, les risques de contamination ne sont pas nuls.  Restreindre l’accès physique au serveur. Comme l’accès local permet généralement à un intrus de contourner la plupart des systèmes de sécurité, protégez la salle des serveurs, les racks de serveurs et les jonctions du réseau. Utilisez des verrous de sécurité. Le verrouillage des systèmes est une mesure de sécurité à conseiller.  S’assurer qu’il existe une protection adéquate contre les dommages physiques aux serveurs et veiller au bon fonctionnement de la climatisation de la salle des serveurs.  Prendre toutes les précautions supplémentaires nécessaires pour sécuriser les serveurs. Par exemple, activer les mots de passe Open Firmware, chiffrer les mots de passe chaque fois que c’est possible et sécuriser les supports de sauvegarde.  Sécuriser l’accès logique au serveur. Par exemple, supprimer ou désactiver les comptes qui ne sont plus nécessaires. Les comptes des parties extérieures doivent être désactivés lorsqu’ils ne sont pas utilisés.  Configurer des listes SACL si nécessaire. Utilisez ces listes pour spécifier qui peut accéder aux services.  Configurer des listes ACL si nécessaire. Servez-vous de ces listes pour contrôler qui peut accéder aux points de partage et à leur contenu.  Protéger tout compte possédant des privilèges root ou d’administrateur système en adoptant les pratiques de mot de passe recommandées faisant appel à des mots de passe complexes. Pour obtenir des informations plus spécifiques sur les mots de passe, consultez la section « Directives en matière de mots de passe » à la page 84 .  Ne pas utiliser de comptes administrateur (du groupe « admin » UNIX) pour un usage quotidien. Restreindre l’utilisation des privilèges d’administration en n’utilisant jamais le nom d’utilisateur admin et le mot de passe correspondant pour un usage quotidien.  Sauvegarder régulièrement les données critiques du système et conserver les copies de sauvegarde dans un emplacement hors site sûr.Chapitre 4 Sécurité 83 Vos supports de sauvegarde ne vous serviraient à rien s’ils étaient détruits avec l’ordinateur pendant un incendie de la salle des ordinateurs. Les plans de sauvegarde/restauration doivent être testés pour s’assurer que la restauration fonctionne.  Analyser régulièrement les historiques d’audit système et enquêter sur tous les motifs de trafic inhabituel.  Désactiver les services qui ne sont pas nécessaires sur votre système. En effet, toute vulnérabilité qui se produit dans un service de votre système peut compromettre l’ensemble du système. Dans certains cas, la configuration par défaut d’un système peut conduire à des vulnérabilités exploitables dans les services qui ont été implicitement activés et dont les options par défaut sont peu fiables. L’activation d’un service ouvre un port à partir duquel les utilisateurs peuvent accé- der à votre système. Bien que l’activation d’un service de coupe-feu contribue à empêcher les accès non autorisés, un port de service inactif constitue un point faible susceptible d’être exploité par un attaquant.  Activer le service de coupe-feu sur les serveurs, en particulier à la frontière du réseau. Le coupe-feu de votre serveur est sa première ligne de défense contre les accès non autorisés. Pour en savoir plus, consultez le chapitre sur la configuration du service de coupe-feu dans Administration des services de réseau. Si votre serveur est particulièrement sujet aux attaques, envisagez l’achat d’un coupe-feu matériel de tierces parties comme ligne de défense supplémentaire.  Si nécessaire, installer un coupe-feu local sur les serveurs critiques ou sensibles. Implémenter un coupe-feu local protège le système contre les attaques qui pourraient venir de l’intérieur du réseau de l’organisation ou d’Internet.  Pour une protection supplémentaire, implémenter un réseau privé virtuel local (VPN) qui fournit un tunnel chiffré sécurisé pour toutes les communications entre un ordinateur client et une application serveur. Certains périphériques de réseau fournissent une combinaison de fonctions : coupe-feu, détection des intrusions et VPN.  Administrer les serveurs à distance. Assurez l’administration de vos serveurs à distance en vous servant d’applications telles que Admin Serveur, Contrôle de serveur, Admin RAID et Apple Remote Desktop. La réduction de l’accès physique aux systèmes limite les risques de mauvaises surprises.84 Chapitre 4Sécurité Directives en matière de mots de passe De nombreuses applications et de nombreux services exigent que l’on crée des mots de passe pour s’authentifier. Mac OS X contient des applications qui aident à créer des mots de passe complexes (à l’aide d’Assistant mot de passe) et à stocker vos mots de passe en toute sécurité (à l’aide de Trousseau d’accès). Création de mots de passe complexes Suivez les conseils ci-dessous pour créer des mots de passe complexes :  Utilisez un mélange de caractères alphabétiques (majuscules et minuscules), numériques et spéciaux (comme ! et @).  N’utilisez pas de mots ou de combinaisons de mots disponibles dans un dictionnaire, quelle qu’en soit la langue.  Ne vous contentez pas d’ajouter un nombre à un mot alphabétique (par exemple, « fou-fou2 ») si votre mot de passe doit contenir un nombre.  Ne remplacez pas des lettres par des chiffres ou des symboles qui leur ressemblent (par exemple, « V3RT » au lieu de « VERT »).  N’utilisez pas de noms propres.  N’utilisez pas de dates.  Créez des mots de passe d’au moins 12 caractères. Les mots de passe longs sont généralement plus sûrs que les mots de passe courts.  Utilisez des mots de passe impossibles à deviner, même par quelqu’un qui connaît bien vos centres d’intérêts.  Créez des mots de passe aussi aléatoires possibles. Vous pouvez utiliser Assistant mot de passe (qui se trouve dans /System/Bibliothèque/ CoreServices/ pour vérifier la complexité de vos mots de passe.5 85 5 Installation et déploiement Que vous installiez Mac OS X Server sur un seul serveur ou sur une grappe de serveurs, sachez qu’il existe des outils et des processus pour vous aider à réussir l’installation et le déploiement. Sur certains ordinateurs, Mac OS X Server est installé d’origine. Sur d’autres ordinateurs, le logiciel serveur doit être installé. Par exemple, si vous installez Leopard Server sur un ordinateur équipé de Mac OS X, vous transformez cet ordinateur en serveur sous Mac OS X Server. L’installation de Leopard Server sur un serveur existant équipé de Mac OS X Server 10.2 à 10.4 met à niveau le logiciel serveur avec la version 10.5. Si Leopard Server est déjà installé, une nouvelle installation actualise l’environnement du serveur. Le présent chapitre contient des instructions destinées à une nouvelle installation de Leopard Server à l’aide de diverses méthodes. Vue d’ensemble de l’installation Vous avez déjà planifié le nombre et le type de serveurs à installer. Étape 1 :Assurez-vous que vous disposez de la configuration requise Assurez-vous que le serveur cible est conforme à la configuration requise. Pour en savoir plus, consultez les sections :  « Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 87  « Instructions matérielles pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 88 Étape 2 :Rassemblez les informations Rassemblez toutes les informations dont vous avez besoin avant de commencer. Cela permet non seulement d’effectuer une installation sans problèmes, mais peut également vous aider à prendre certaines décisions en matière de planification. Pour en savoir plus, consultez les sections :  Chapitre 2, « Planification, » à la page 25.86 Chapitre 5Installation et déploiement  Annexe , « Feuille d’opérations avancées de Mac OS X Server, » à la page 221.  « À propos du disque d’installation du serveur » à la page 89. Étape 3 :Configurez l’environnement Si vous ne contrôlez pas l’ensemble de l’environnement réseau (serveurs DNS, serveur DHCP, coupe-feu, etc.), vous devez coordonner vos efforts avec l’administrateur réseau avant l’installation. Un système DNS opérationnel avec recherches inversées complètes, ainsi qu’un coupe-feu autorisant la configuration constituent le strict minimum pour l’environnement de configuration. Si vous prévoyez de connecter le serveur à un système de répertoire existant, vous devez aussi coordonner vos efforts avec ceux de l’administrateur de répertoire. Consultez les sections suivantes :  « Connexion au répertoire au cours de l’installation » à la page 89.  « Installation du logiciel serveur sur un ordinateur en réseau » à la page 90. Si vous administrez le serveur à partir d’un autre ordinateur, vous devez créer un ordinateur d’administration. Pour en savoir plus, consultez la section « Préparation d’un ordinateur administrateur » à la page 88. Étape 4 :Démarrez l’ordinateur à partir d’un disque d’installation Vous ne pouvez pas effectuer d’installation sur le disque à partir duquel l’ordinateur a démarré, mais vous pouvez procéder à une mise à niveau. Pour les installations spéciales et les mises à niveau, vous devez démarrer le serveur à partir d’un disque d’installation plutôt que du disque cible. Consultez les sections suivantes :  « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90.  « Accès à distance au DVD d’installation » à la page 91.  « Démarrage à partir du DVD d’installation » à la page 92.  « Démarrage à partir d’une partition alternative » à la page 93.  « Démarrage à partir d’un environnement NetBoot » à la page 97. Étape 5 :Préparez le disque cible Si vous procédez à une installation spéciale, vous devez préparer le disque cible en vous assurant qu’il possède le bon format et le bon schéma de partition. Consultez les sections suivantes :  « Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 98.  « Sélection d’un système de fichiers » à la page 99.  « Partitionnement d’un disque dur » à la page 100.  « Création d’un ensemble RAID » à la page 102.  « Effacement d’un disque ou d’une partition » à la page 105.Chapitre 5 Installation et déploiement 87 Étape 6 :Démarrez le programme d’installation Le programme d’installation prend des logiciels du disque de démarrage et des paquets du logiciel serveur et les installe sur le disque cible. Consultez les sections suivantes :  « Identification du serveur distant lors de l’installation de Mac OS X Server » à la page 106  « Installation interactive du logiciel serveur » à la page 107  « Installation locale à partir du disque d’installation » à la page 107  « Installation à distance à l’aide d’Assistant du serveur » à la page 109  « Installation à distance à l’aide de VNC » à la page 111  « Installation du logiciel serveur à l’aide de l’outil de ligne de commande installer » à la page 112 Étape 7 :Configurez les services Redémarrez depuis le disque cible pour passer à l’étape de configuration. Pour en savoir plus sur la configuration du serveur, consultez la section « Configuration initiale du serveur » à la page 117. Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server L’ordinateur de bureau ou le serveur Macintosh sur lequel vous installez Mac OS X Server 10.5 Leopard doit être doté des éléments suivants :  Un processeur Intel ou PowerPC G4 ou G5 cadencé à 867 MHz ou plus.  FireWire intégré.  Au moins 1 Go de mémoire vive (RAM).  10 Go minimum d’espace disque disponible.  Un nouveau numéro de série pour Mac OS X Server 10.5. Le numéro de série utilisé avec une version antérieure de Mac OS X Server ne permet pas de s’enregistrer pour la version 10.5. Un lecteur de DVD intégré est pratique mais pas obligatoire. Les moniteurs et claviers sont optionnels. Vous pouvez installer le logiciel serveur sur un ordinateur sans moniteur ni clavier à l’aide d’un ordinateur administrateur. Pour en savoir plus, consultez la section « Préparation d’un ordinateur administrateur » à la page 88. Si vous utilisez un disque d’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, vous pouvez contrôler l’installation depuis un autre ordinateur avec le visualiseur VNC. Un visualiseur VNC open-source est disponible. Apple Remote Desktop, décrit à la page 56, contient des fonctionnalités de visualiseur VNC.88 Chapitre 5Installation et déploiement Instructions matérielles pour l’installation de Mac OS X Server Lors de l’installation du logiciel serveur sur un système Xserve, la procédure à suivre pour démarrer l’ordinateur en vue de l’installation dépend du type de matériel Xserve.Les procédures sont décrites dans le Guide de l’utilisateur Xserve ou dans le guide Présentation fourni avec le système Xserve. Collecte des informations nécessaires Utilisez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server pour noter les informations relatives à chacun des serveurs que vous souhaitez installer. Les paragraphes suivants fournissent des explications complémentaires sur les éléments de la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server. La Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server se trouve dans l’Annexe, à la page 221. Préparation d’un ordinateur administrateur Vous pouvez utiliser un ordinateur administrateur pour installer, configurer et administrer Mac OS X Server à partir d’un autre ordinateur. Un ordinateur administrateur est un ordinateur équipé de Mac OS X 10.5 ou de Mac OS X Server Leopard que l’on utilise pour administrer des serveurs distants. En fait, si vous installez et configurez Mac OS X Server sur un ordinateur doté d’un moniteur et d’un clavier, cet ordinateur est déjà un ordinateur administrateur. Pour définir un ordinateur équipé de Mac OS X comme ordinateur administrateur, vous devez installer un autre logiciel. Important :si vous disposez d’applications et d’outils administratifs provenant de Mac OS X Server 10.4 Tiger ou antérieur, ne les utilisez pas avec Leopard Server. Pour activer l’administration à distance de Mac OS X Server à partir d’un ordinateur Mac OS X : 1 Assurez-vous que la version 10.5 Leopard de Mac OS X est installée sur l’ordinateur Mac OS X. 2 Assurez-vous que l’ordinateur dispose d’au moins 1 Go de RAM et 1 Go d’espace disque disponible. 3 Insérez le CD Administration Tools. 4 Ouvrez le dossier du programme d’installation. 5 Ouvrez ServerAdministrationSoftware.mpkg pour lancer le programme d’installation et suivez les instructions à l’écran.Chapitre 5 Installation et déploiement 89 À propos du disque d’installation du serveur Vous pouvez installer le logiciel serveur à l’aide du disque Mac OS X Server Install Disc. Ce disque d’installation contient tout ce dont vous avez besoin pour installer Mac OS X Server. Il contient également un dossier nommé Other Installs comprenant des programmes d’installation pour la mise à niveau d’un ordinateur Mac OS X avec Mac OS X Server et pour l’installation séparée de logiciels d’administration de serveur, l’application Répertoire, l’application Capture de podcast, le logiciel X11 et les outils de développement Xcode. Outre le disque d’installation, Mac OS X Server est livré avec le CD Administration Tools. Vous pouvez utiliser ce CD pour configurer un ordinateur administrateur. Ce disque contient également les programmes d’installation de l’application Répertoire, de l’application Capture de podcast et de l’application QTSS Publisher. Pour les administrateurs avancés, ce disque contient les programmes d’installation de PackageMaker et de Property List Editor. Configuration de services réseau Pour pouvoir procéder à l’installation, vous devez disposer des réglages suivants pour votre service réseau ou les configurer :  DNS : vous devez disposer d’un nom de domaine complet pour l’adresse IP de chaque serveur dans le système DNS. La zone DNS doit disposer de l’enregistrement de recherche inversée pour la paire nom et adresse. L’absence de système DNS stable et opérationnel avec recherche inversée provoque des pannes de service et des comportements inattendus.  DHCP : il est recommandé de ne pas assigner d’adresses IP dynamiques aux serveurs. Si votre serveur reçoit son adresse IP via DHCP, configurez un mappage statique sur le serveur DHCP afin qu’il reçoive chaque fois la même adresse IP (via son adresse Ethernet).  Coupe-feu ou routage : en plus du ou des coupe-feu exécutés sur votre serveur, le routeur de sous-réseau peut mettre en place certaines restrictions en matière de trafic réseau. Assurez-vous que l’adresse IP du serveur est disponible pour le trafic que vous prévoyez de gérer et les services que vous prévoyez d’exécuter. Connexion au répertoire au cours de l’installation Si vous souhaitez utiliser un serveur en tant que maître Open Directory, assurez-vous qu’il dispose d’une connexion Ethernet active à un réseau sécurisé avant de procéder à l’installation et la configuration initiale.90 Chapitre 5Installation et déploiement Installation du logiciel serveur sur un ordinateur en réseau Lorsque vous démarrez un ordinateur depuis un disque d’installation du serveur, le protocole SSH démarre automatiquement afin que les installations à distance puissent être réalisées. Important :avant d’installer ou de réinstaller Mac OS X Server, assurez-vous que le réseau est sécurisé. En effet, SSH donne à d’autres personnes l’accès à l’ordinateur par le réseau. Définissez, par exemple, la topologie du réseau de façon à ce que seuls les utilisateurs de confiance puissent accéder au sous-réseau de l’ordinateur serveur. À propos du démarrage pour l’installation L’ordinateur ne peut pas procéder à une installation sur son propre volume de démarrage. Vous devez donc démarrer d’une autre façon, par exemple :  Supports optiques, DVD.  Volumes alternatifs (autres partitions du disque dur ou disques FireWire externes).  Netboot. L’ordinateur doit effectuer l’installation à partir du disque ou de l’image ayant servi à son démarrage. Monter un autre point de partage avec un programme d’installation ne marchera pas. Le programme d’installation utilise certains fichiers actuellement actifs sur la partition du système ayant servi au démarrage pour la nouvelle installation. Avant de démarrer Si vous procédez à une installation spéciale plutôt qu’à la mise à jour d’un serveur existant, sauvegardez toutes les informations utilisateur qui se trouvent sur le disque ou la partition sur lequel vous installez le logiciel serveur. Si vous procédez à la mise à niveau d’un serveur existant, assurez-vous que d’éventuelles données de configuration enregistrées ne seront pas détectées et utilisées pour installer automatiquement une configuration avancée. Assistant du serveur recherche d’éventuelles données de configuration enregistrées sur tous les disques montés et dans tous les répertoires auxquels le serveur est configuré pour accéder. Les données de configuration enregistrées écraseront les réglages existants du serveur. Pour en savoir plus sur la configuration automatique d’un serveur, consultez la section « Utilisation de la configuration automatique de serveurs » à la page 128.Chapitre 5 Installation et déploiement 91 Accès à distance au DVD d’installation Lorsque vous l’utilisez comme disque de démarrage, le DVD d’installation fournit certains services pour l’accès à distance. Lorsque vous démarrez à partir du DVD, SSH et VNC sont disponibles. VNC vous permet d’utiliser un visualiseur VNC (tel qu’Apple Remote Desktop) pour afficher l’interface utilisateur comme si vous utilisiez le clavier, la souris et le moniteur de l’ordinateur distant. Tout ce que vous pouvez faire directement sur l’ordinateur à l’aide du clavier et de la souris est disponible à distance et localement. Les seules exceptions sont la réinitialisation forcée, d’autres manipulations matérielles et le maintien de touches enfoncées au démarrage. SSH vous permet l’accès par ligne de commande à l’ordinateur avec des privilèges d’administrateur. Pour accéder à l’ordinateur avec VNC : 1 Démarrez l’ordinateur cible à partir du DVD d’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur. La procédure à suivre dépend du type de matériel cible. Pour en savoir plus sur les options de disque de démarrage, consultez la section « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90. 2 Utilisez votre visualiseur VNC pour établir une connexion au serveur cible. 3 Identifiez le serveur cible. Si le serveur cible fait partie d’une liste de serveurs disponibles fournie par le visualiseur VNC, sélectionnez-le dans cette liste. Sinon, vous devrez saisir une adresse IP au format IPv4 (000.000.000.000). Si vous ignorez l’adresse IP et que le serveur distant réside sur le sous-réseau local, utilisez la commande sa_srchr pour identifier les ordinateurs du sous-réseau local sur lesquels vous pouvez installer le logiciel serveur :saisissez ce qui suit à partir d’un ordinateur sur lequel les outils Mac OS X Server sont installés : /system/library/serversetup/sa_srchr 224.0.0.1 Cette commande renvoie l’adresse IP et l’EthernetID (ainsi que d’autres informations) des serveurs du sous-réseau local qui ont démarré à partir du disque d’installation. 4 Lorsque vous êtes invité à fournir un mot de passe, saisissez les huit premiers chiffres du numéro de série matériel intégré au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si vous effectuez l’installation sur un vieil ordinateur qui ne dispose pas de numéro de série de matériel intégré, tapez le mot de passe 12345678. Si vous utilisez Apple Remote Desktop comme visualiseur VNC, saisissez le mot de passe sans préciser de nom d’utilisateur.92 Chapitre 5Installation et déploiement Pour accéder à l’ordinateur avec SSH : 1 Démarrez l’ordinateur cible à partir du DVD d’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur. La procédure à suivre dépend du type de matériel cible. Pour en savoir plus sur les options de disque de démarrage, consultez la section « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90. 2 Utilisez Terminal pour ouvrir une connexion shell sécurisée au serveur cible. Le nom d’utilisateur est root et le mot de passe est constitué des huit premiers chiffres du numéro de série matériel intégré du serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si vous effectuez l’installation sur un vieil ordinateur qui ne dispose pas de numéro de série de matériel intégré, tapez le mot de passe 12345678. Si vous ignorez l’adresse IP et que le serveur distant réside sur le sous-réseau local, utilisez la commande sa_srchr pour identifier les ordinateurs du sous-réseau local sur lesquels vous pouvez installer le logiciel serveur :saisissez ce qui suit à partir d’un ordinateur sur lequel les outils Mac OS X Server sont installés : /system/library/serversetup/sa_srchr 224.0.0.1 Cette commande renvoie l’adresse IP et l’EthernetID (ainsi que d’autres informations) des serveurs du sous-réseau local qui ont démarré à partir du disque d’installation. Démarrage à partir du DVD d’installation C’est la méthode la plus simple pour démarrer l’ordinateur si vous avez un accès physique au serveur et si ce dernier dispose d’un lecteur optique. Si le serveur cible est un Xserve équipé d’un lecteur de DVD intégré, démarrez le serveur à partir du DVD d’installation en suivant les instructions du Guide de l’utilisateur Xserve relatives au démarrage à partir d’un disque système. Si le serveur cible ne dispose pas de lecteur de DVD intégré, vous pouvez utiliser un lecteur de DVD FireWire externe. Vous pouvez également installer le logiciel serveur sur un système Xserve sans lecteur de DVD en déplaçant son module de disque vers un autre système Xserve doté, lui, d’un tel lecteur. Application d’installation ou outil d’installation dans l’application TerminalChapitre 5 Installation et déploiement 93 Pour démarrer l’ordinateur à partir du disque d’installation. 1 Allumez l’ordinateur et insérez le disque d’installation de Mac OS X Server dans le lecteur de DVD. 2 Si vous utilisez un lecteur de DVD intégré, redémarrez l’ordinateur en maintenant la touche C enfoncée. Vous pouvez relâcher la touche C lorsque le logo Apple s’affiche. Vous pouvez aussi redémarrer l’ordinateur en maintenant la touche Option enfoncée, en sélectionnant l’icône représentant le disque d’installation et en cliquant sur la flè- che vers la droite. Vous devez utiliser cette méthode si vous démarrez à partir d’un lecteur de DVD externe. 3 Si vous procédez à une installation sur un Xserve, la procédure de démarrage à partir d’un DVD peut être différente. Pour en savoir plus, consultez le Guide de l’utilisateur ou le guide Présentation inclus avec votre Xserve. 4 Après le redémarrage de l’ordinateur, choisissez la langue à utiliser pendant l’installation, puis cliquez sur le bouton représentant une flèche. Le programme d’installation est à présent en cours d’exécution. Démarrage à partir d’une partition alternative Pour une installation sur un seul serveur, il se peut que la préparation au démarrage à partir d’une partition alternative prenne plus de temps que la simple utilisation du DVD d’installation. La création de l’image, l’analyse et la restauration de l’image sur une partition de démarrage peut prendre plus de temps qu’une installation unique à partir d’un DVD. Par contre, si vous procédez régulièrement à des réinstallations, si vous créez une installation basée sur un lecteur FireWire externe pour plusieurs ordinateurs ou si vous avez besoin d’un autre type de distribution en masse (pour des serveurs Xserve en grappe sans lecteur de DVD par exemple), cette méthode peut s’avérer très efficace. Cette méthode convient bien à l’installation sur des ordinateurs auxquels vous n’avez pas un accès physique aisé. Avec suffisamment de préparation, cette méthode peut être modifiée pour déployer aisément en masse des copies de Mac OS X Server dont vous possédez les licences. Pour utiliser cette méthode, vous devez disposer d’une installation existante quelconque sur l’ordinateur. Elle est destinée aux environnements dans lesquels un certain niveau d’infrastructure existante de Mac OS X Server est présent, mais elle peut ne pas convenir pour une première installation de serveur. Pour démarrer à partir d’une partition alternative, il y a quatre étapes élémentaires.94 Chapitre 5Installation et déploiement Étape 1 :Préparez les disques et les partitions sur l’ordinateur cible Avant de commencer, vous devez disposer d’au moins deux partitions sur l’ordinateur cible. La première servira de partition de démarrage initiale et finale, la seconde de partition temporaire pour le programme d’installation. Vous pouvez utiliser un seul disque contenant plusieurs partitions ou plusieurs disques. Utilisez l’application Utilitaire de disque pour préparer les disques. Pour en savoir plus sur la préparation et le partitionnement d’un disque dur, consultez l’aide d’Utilitaire de disque. Étape 2 :Créez une image restaurable du DVD d’installation Cette étape ne doit pas nécessairement être réalisée sur l’ordinateur cible. Elle peut être effectuée sur un ordinateur administrateur, mais il doit y avoir assez d’espace disque pour créer une image de l’ensemble du DVD d’installation. Pour créer une image du DVD d’installation : 1 Insérez le DVD d’installation. 2 Lancez Utilitaire de disque. 3 Sélectionnez l’icône de la première session sous l’icône du lecteur optique. Elle se trouve dans la liste des périphériques, dans la partie gauche de la fenêtre. 4 Choisissez Fichier > Nouvelle > « image disque de ». 5 Donnez un nom à l’image, sélectionnez un type d’image (Lecture seule, Lire/écrire ou Comprimé), puis cliquez sur Enregistrer. 6 Une fois l’image créée, sélectionnez-la dans la liste de gauche. 7 Dans le menu, choisissez Images > Examiner une image pour la restaurer. 8 Saisissez un nom d’utilisateur et un mot de passe d’administrateur. L’image disque du programme d’installation peut maintenant être restaurée sur votre partition supplémentaire. ∏ Astuce :si vous préférez travailler avec la ligne de commande, vous pouvez utiliser hdiutil pour créer l’image disque et asr pour examiner l’image afin de la restaurer. Toutes les commandes doivent être exécutées avec des privilèges de super-utilisateur ou de root. La commande suivante, par exemple, crée une image disque nommée « Installer.dmg » à partir du périphérique disk1s1 : hdiutil create -srcdevice disk1s1 Installer.dmg La commande suivante examine l’image « Installer.dmg » et la prépare à la restauration : asr imagescan --source Installer.dmgChapitre 5 Installation et déploiement 95 Étape 3 :Restauration de l’image sur une partition alternative Vous pouvez restaurer l’image disque sur une partition de l’ordinateur ou sur un disque dur externe. Une fois que la restauration est terminée, la partition restaurée fonctionne comme le DVD d’installation. Assurez-vous que la partition alternative fait au moins la taille de l’image disque. La restauration de l’image disque sur la partition efface toutes les données qui figurent sur la partition. Pour restaurer l’image : 1 Démarrez l’ordinateur cible. 2 Assurez-vous que l’image ne réside pas sur la partition qui va être effacée. 3 Lancez Utilitaire de disque. 4 Dans la liste de périphériques qui se trouve dans la partie gauche de la fenêtre, sélectionnez l’image du DVD d’installation. 5 Cliquez sur Restaurer. 6 Faites glisser l’image d’installation de la partie gauche de la fenêtre vers le champ Source. 7 Faites glisser la partition alternative de la liste des périphériques qui se trouve dans la partie gauche de la fenêtre vers le champ Destination. 8 Sélectionnez Effacer la destination. 9 Cliquez sur Restaurer. Si vous préférez travailler avec la ligne de commande, utilisez l’outil asr pour restaurer l’image sur la partition. L’utilisation d’asr requiert des privilèges de super-utilisateur ou de root. La syntaxe de base est : sudo asr restore -s -t --erase Ainsi, pour restaurer une image nommée « Installer.dmg » sur la partition « ExtraHD », la syntaxe serait : asr restore -s Installer.dmg -t ExtraHD --erase Pour en savoir plus sur asr et ses possibilités, consultez la page man de l’outil. ∏ Astuce : vous pouvez utiliser asr pour restaurer un disque sur un réseau en multidiffusant les blocs vers les ordinateurs clients. La fonctionnalité de serveur de multidiffusion d’asr permet de placer une copie de l’image d’installation sur une partition de tous les ordinateurs capables de recevoir les paquets de multidiffusion. Pour configurer cette opération, vous aurez besoin des informations figurant dans la page man de l’outil. Comme l’outil asr peut aussi aller chercher l’image cible sur un serveur HTTP en utilisant des URL http ou https comme source, l’image ne doit pas nécessairement résider sur l’ordinateur cible.96 Chapitre 5Installation et déploiement Étape 4 :Sélectionnez la partition alternative en tant que disque de démarrage. Une fois que la partition est restaurée, elle peut servir de disque de démarrage et d’installation pour votre serveur. Vous devez maintenant démarrer l’ordinateur à partir de la partition. Une fois que l’ordinateur est en service, vous disposez d’un programme d’installation Mac OS X Server, comme si vous aviez démarré l’ordinateur à partir du DVD. Pour démarrer l’ordinateur à partir du disque d’installation : 1 Allumez l’ordinateur et maintenez la touche Option enfoncée. 2 Sélectionnez l’icône représentant la partition d’installation, puis cliquez sur la flèche vers la droite. Vous devez utiliser cette méthode si vous démarrez à partir d’un lecteur de DVD externe. Si vous procédez à une installation sur un Xserve, la procédure de démarrage à partir d’un DVD peut être différente. Pour en savoir plus, consultez le Guide de l’utilisateur de Xserve ou le guide Présentation qui accompagnait votre Xserve. 3 Après le redémarrage de l’ordinateur, choisissez la langue à utiliser pendant l’installation, puis cliquez sur le bouton représentant une flèche. Le programme d’installation est à présent en cours d’exécution. Si vous préférez travailler avec la ligne de commande, vous pouvez définir le volume de démarrage à l’aide de l’outil systemsetup. Sous Mac OS X Server 10.4 ou ultérieur, l’outil systemsetup se trouve dans /usr/sbin/systemsetup. Si vous utilisez le client Mac OS X pendant ce processus, l’outil se trouve dans /Système/Bibliothèque/CoreServices/RemoteManagement/ARDAgent.app/Contents/Support/systemsetup. Vous devrez utiliser les options de commande -liststartupdisks et -setstartupdisk pour rechercher le volume d’installation que vous venez de restaurer et le sélectionner comme disque de démarrage. Toutes les commandes émises avec systemsetup doivent être exécutées avec des privilèges de super-utilisateur ou de root. Voici un exemple de commande permettant de sélectionner le disque de démarrage : systemsetup -setstartupdisk “/Volumes/Mac OS X Server Install Disk” Exécutez ensuite la commande shutdown -r pour redémarrer. Pour en savoir plus sur systemsetup, consultez la section Administration de ligne de commande et la page man de l’outil.Chapitre 5 Installation et déploiement 97 Démarrage à partir d’un environnement NetBoot Si vous disposez d’une infrastructure NetBoot, elle constitue la façon la plus simple de réaliser des installations et des déploiements de masse. Cette méthode peut être utilisée pour des grappes de serveurs dépourvus de lecteur optique ou de logiciel système, comme vous pouvez le voir dans l’illustration ci-dessous : Elle peut aussi être utilisée dans des environnements où un grand nombre de serveurs doit être déployé de façon efficace. Cette section n’explique pas comment créer l’infrastructure NetBoot requise. Si vous voulez configurer des options NetBoot et NetInstall pour votre réseau, vos serveurs et vos ordinateurs clients, consultez la section Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système. Cette section contient des instructions permettant de créer une image NetInstall à partir du disque d’installation de Mac OS X Server et de démarrer un serveur à partir de cette image. Il n’est pas nécessaire de préparer le disque dur. Étape 1 :Créez une image NetInstall à partir du DVD d’installation Cette étape ne doit pas nécessairement être réalisée sur l’ordinateur cible. Elle peut être réalisée sur un ordinateur administrateur disposant de l’espace disque suffisant pour créer une image de l’ensemble du DVD d’installation. 1 Lancez Utilitaire d’images de système, dans /Applications/Server/. 2 Sélectionnez le DVD d’installation à gauche, puis l’image NetInstall à droite. 3 Cliquez sur Continuer. 4 Saisissez le nom et la description de l’image. Ces informations seront visibles par les clients qui sélectionneront l’image en tant que disque de démarrage. 5 Cliquez sur Créer, puis sélectionnez un emplacement pour l’enregistrement de l’image disque. Serveurs cible Serveurs cible NetBoot Mac OS X Server Commencer l’installation du serveur Ordinateur administrateur Destination98 Chapitre 5Installation et déploiement Une fois terminée, cette image peut être utilisée avec un serveur NetBoot pour démarrer un serveur en vue d’une installation. Pour en savoir plus sur les images NetInstall et Utilitaire d’images de système, y compris sur les options de personnalisation, consultez la section Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système. Étape 2 :Démarrez l’ordinateur à partir du serveur NetBoot Il existe quatre manières de procéder, selon votre environnement.  Dans l’interface utilisateur graphique de l’ordinateur cible, sélectionnez le disque NetInstall dans la sous-fenêtre Disque de démarrage de Préférences Système.  Redémarrez l’ordinateur tout en maintenant la touche « n » enfoncée. Le premier serveur NetBoot qui répondra à l’ordinateur démarrera ce dernier à l’aide de son image par défaut.  Redémarrez l’ordinateur tout en maintenant la touche Option enfoncée. L’ordinateur affiche les disques de démarrage disponibles soit localement sur l’ordinateur, soit à distance sur les serveurs NetBoot et NetInstall. Sélectionnez un disque et poursuivez le démarrage.  Utilisez la ligne de commande localement ou à distance pour spécifier le serveur NetBoot à partir duquel l’ordinateur doit démarrer : sudo bless --netboot --server bsdp://serveur.exemple.com Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server Avant de réaliser une installation spéciale de Mac OS X Server, vous pouvez partitionner le disque dur de l’ordinateur serveur en plusieurs volumes, créer un ensemble RAID ou bien effacer le disque ou la partition cible. Si vous utilisez un disque d’installation de Mac OS X Server 10.5ou ultérieur, vous pouvez réaliser ces tâches depuis un autre ordinateur en réseau en utilisant un visualiseur VNC, tel qu’Apple Remote Desktop, avant de lancer une installation spéciale. AVERTISSEMENT :avant de partitionner un disque, de créer un ensemble RAID ou d’effacer un disque ou une partition d’un serveur existant, conservez toutes les données de l’utilisateur que vous souhaitez sauvegarder en les copiant sur un autre disque ou une autre partition.Chapitre 5 Installation et déploiement 99 Sélection d’un système de fichiers Un système de fichiers est une méthode de stockage et d’organisation de fichiers informatiques et des données qu’ils contiennent sur un périphérique de stockage tel qu’un disque dur. Mac OS X Server prend en charge plusieurs types de système de fichiers pour le stockage sur disque dur. Chaque système de fichiers a ses propres avantages. À vous de choisir celui qui répond le mieux aux besoins de votre organisation. Pour en savoir plus, consultez ce qui suit : developer.apple.com/technotes/tn/tn1150.html Les systèmes suivants sont disponibles : Mac OS étendu (journalisé), ou HFS+J Le système de fichiers HFS+J est le système de fichiers par défaut de Mac OS X Server. Un volume HFS+J dispose d’un journal facultatif permettant d’accélérer la restauration lors du montage d’un volume démonté de façon incorrecte (après une coupure de courant ou un plantage par exemple). Le journal accélère et simplifie la restauration des structures du volume dans un état cohérent, sans qu’il soit nécessaire d’analyser l’ensemble des structures. Le journal n’est utilisé que pour les structures et les métadonnées des volumes ; il ne protège pas le contenu des branches de ressources. En d’autres mots, ce journal protège l’intégrité des structures de disque sous-jacentes, mais pas les données qui pourraient être endommagées en raison d’une erreur d’écriture ou d’une coupure de courant accidentelle. Pour plus d’informations sur HFS+J, consultez la documentation développeur Apple à l’adresse : developer.apple.com/documentation/MacOSX/Conceptual/BPFileSystem/Articles/Comparisons.html Mac OS X étendu (sensible à la casse, journalisé), ou HFSX HFSX est une extension de HFS Plus et permet aux volumes d’avoir des noms de fichier et de répertoire sensibles à la casse. La présence de noms sensibles à la casse signifie qu’il peut y avoir en même temps dans le même répertoire deux objets dont les noms ne diffèrent que par la casse des lettres. Vous pourriez par exemple avoir comme noms de fichier uniques Bob, BOB et bob au sein du même répertoire. Les volumes sensibles à la casse sont pris en charge comme volumes de démarrage. Un système de fichiers HFSX pour Mac OS X Server doit être sélectionné spécifiquement lors de l’effacement d’un volume et la préparation de l’installation initiale. HFSX est un format disponible pour l’option « Effacer et installer » pour les installations locales. HFSX n’est pas un format disponible pour les installations contrôlées à distance. Si vous prévoyez d’utiliser NFS, utilisez le format sensible à la casse HFSX.100 Chapitre 5Installation et déploiement Un volume HFSX peut être soit sensible à la casse, soit insensible à la casse. La sensibilité à la casse (ou l’insensibilité à la casse) est étendue à l’ensemble du volume ; ce réglage s’applique à tous les noms de fichier et de répertoire du volume. Pour déterminer si un volume HFSX est sensible à la casse, utilisez le champ keyCompareType de l’en-tête B-tree du fichier de catalogue. La valeur kHFSBinaryCompare indique que le volume est sensible à la casse. La valeur kHFSCaseFolding indique que le volume est insensible à la casse. Remarque :ne présupposez jamais qu’un volume HFSX est sensible à la casse. Utilisez toujours keyCompareType pour le vérifier. Sachez également que les logiciels de tierce partie ne fonctionnent pas toujours correctement avec la sensibilité à la casse. Important :les noms sensibles à la casse n’ignorent pas les caractères ignorables Unicode. Cela signifie qu’un même répertoire peut posséder plusieurs noms considérés comme équivalents selon les règles de comparaison Unicode, mais différents sur un volume HFSX sensible à la casse. Partitionnement d’un disque dur Partitionner le disque dur permet de créer un volume destiné au logiciel système du serveur et un ou plusieurs autres pour les données et les autres logiciels. Le partitionnement efface le contenu du disque. La taille minimale recommandée pour une partition d’installation est de 20 Go. Un volume plus important est recommandé pour les configurations standard ou les configurations de groupe de travail, car elles conservent les dossiers partagés et les sites web de groupe sur le volume de démarrage avec le logiciel serveur. Effacer un disque revient à créer une seule partition de volume sur un disque et à effacer ce volume. Pensez à consacrer un disque dur ou un volume de disque dur partitionné au logiciel serveur. Placez les logiciels supplémentaires, les points de partage, les sites web, etc. sur d’autres disques ou volumes. Avec cette approche, vous pouvez mettre à niveau ou réinstaller le logiciel serveur sans affecter les autres logiciels ni les données utilisateur. Si vous devez stocker des logiciels ou des données supplémentaires sur le volume système, la mise en miroir sur un autre disque constitue une solution intéressante. ∏ Astuce : une ou deux partitions supplémentaires vides sur le disque d’installation cible peut vous donner plus de flexibilité lors de l’installation et du déploiement. Cet espace supplémentaire peut, par exemple, vous permettre de placer temporairement en miroir votre installation courante avant de réaliser une mise à jour ou de bénéficier d’un disque d’installation rapide.Chapitre 5 Installation et déploiement 101 Partitionnement d’un disque à l’aide d’Utilitaire de disque Vous pouvez utiliser le programme d’installation pour ouvrir l’application Utilitaire de disque, puis utiliser cette dernière pour effacer le volume cible ou tout autre volume. Vous pouvez effacer le volume cible à l’aide du format Mac OS étendu, Mac OS étendu (journalisé), Mac OS étendu (sensible à la casse) ou Mac OS étendu (sensible à la casse, journalisé). Il n’est pas possible de partitionner le disque de démarrage ni d’effacer le volume de démarrage actif. 1 Lancez Utilitaire de disque. Si vous êtes dans le programme d’installation, Utilitaire de disque est accessible à partir du menu Utilitaires. Sinon, lancez l’application à partir de /Applications/Utilitaires/Utilitaire de disque. 2 Sélectionnez le disque à partitionner. Vous ne pouvez pas sélectionner votre disque de démarrage actuel. Sélectionner un volume sur le disque vous permettra d’effacer le volume, mais ne créera pas un autre schéma de partition. 3 Cliquez sur Partition. 4 Choisissez votre schéma de partition et suivez les instructions présentées dans la fenê- tre pour définir tous les paramètres nécessaires. 5 Cliquez sur Appliquer. Vous trouverez dans l’Aide Utilitaire de disque des instructions sur le partitionnement du disque dur en plusieurs volumes, sur la création d’un ensemble RAID et sur l’effacement du disque ou de la partition cible. Pour afficher cette aide, ouvrez Utilitaire de disque sur un autre ordinateur Macintosh doté de Mac OS X 10.5 et choisissez Aide > Aide Utilitaire de disque. Partitionnement d’un disque à l’aide de la ligne de commande Vous pouvez utiliser l’outil de ligne de commande diskutil pour partitionner et effacer un disque dur. Pour utiliser cette méthode, vous devez normalement utiliser un shell distant (SSH) pour ouvrir une session sur l’ordinateur qui vient de démarrer. L’outil de partition de disques est diskutil. Comme dans Utilitaire de disque, vous pouvez effacer le volume cible à l’aide du format Mac OS étendu, du format Mac OS étendu (journalisé), du format Mac OS étendu (sensible à la casse) et du format Mac OS étendu (sensible à la casse, journalisé).  Vous ne pouvez pas partitionner le disque de démarrage ni effacer le volume de démarrage actif.  Toutes les opérations diskutil potentiellement destructives doivent être réalisées avec des privilèges de super-utilisateur ou de root.102 Chapitre 5Installation et déploiement Pour en savoir plus sur diskutil et sur d’autres usages de cet outil, consultez la section Administration de ligne de commande. Pour obtenir la syntaxe complète de la commande diskutil, consultez la page man de l’outil. La commande à utiliser dépend du format de disque et du matériel utilisé. Veillez à utiliser des arguments de ligne de commande adaptés à vos propres besoins. En guise d’exemple, la commande suivante permet de partitionner un disque dur unique de 120 Go en deux volumes HFS+ de 60 Go journalisés (« Démarrage » et « Données ») permettant de démarrer un ordinateur Macintosh à processeur PowerPC. La syntaxe de base est : diskutil partitionDisk périphérique nombreDePartitions APMFormat La commande est donc : diskutil partitionDisk disk0 2 APMFormat JournaledHFS+ Démarrage 50% JournaledHFS+ Données 50% Création d’un ensemble RAID Si vous installez Mac OS X Server sur un ordinateur doté de plusieurs disques durs internes, vous pouvez créer une matrice redondante de disques indépendants (RAID) pour optimiser la capacité de stockage, améliorer les performances et augmenter la fiabilité en cas de défaillance de disque. Un ensemble RAID en miroir, par exemple, augmente la fiabilité en écrivant vos données simultanément sur deux disques ou plus. Si l’un des disques est défaillant, votre serveur utilise automatiquement l’un des autres disques de l’ensemble RAID. Utilitaire de disque permet de configurer un ensemble RAID. Il propose deux types d’ensembles RAID et une option de disque supplémentaire :  Un ensemble RAID entrelacé (RAID 0) répartit les fichiers sur les différents disques qui composent l’ensemble. Un ensemble RAID entrelacé améliore les performances de vos logiciels parce qu’il permet de lire et d’écrire sur tous les disques de l’ensemble en même temps. Vous pouvez utiliser un ensemble RAID entrelacé si vous travaillez avec des fichiers volumineux tels que les fichiers vidéonumériques.  Un ensemble RAID en miroir (RAID 1) duplique les fichiers sur les différents disques qui composent l’ensemble. Comme ce schéma maintient deux copies des fichiers ou plus, il fournit des copies de sauvegarde permanentes de ces derniers. Il peut en outre vous aider à garder des données disponibles en cas de défaillance de l’un des disques de l’ensemble. La mise en miroir est recommandée si vous disposez de fichiers ou d’applications partagés auxquels les utilisateurs accèdent fréquemment.Chapitre 5 Installation et déploiement 103 Vous pouvez configurer la mise en miroir RAID après avoir installé Mac OS X Server si le disque utilisé pour l’installation n’est pas partitionné. Afin d’éviter toute perte de données, vous devez configurer la mise en miroir RAID le plus tôt possible.  Un ensemble de disques concaténés vous permet d’utiliser plusieurs disques comme s’il s’agissait d’un volume unique. Il ne s’agit pas d’un véritable ensemble RAID et cette solution n’améliore ni la redondance ni les performances. Vous pouvez combiner différents ensembles RAID pour combiner leurs avantages. Vous pouvez, par exemple, créer un ensemble RAID qui combine l’accès rapide aux disques d’un ensemble RAID entrelacé et la protection des données d’un ensemble RAID en miroir. Pour ce faire, créez deux ensembles RAID d’un type, puis un ensemble RAID d’un autre type en utilisant les deux premiers ensembles RAID comme disques. Les ensembles RAID que vous combinez doivent tous être créés à l’aide d’Utilitaire de disque ou de diskutil dans Mac OS X 10.4 ou ultérieur. La méthode de partitionnement utilisée sur les disques ne peut pas être mixte (la plateforme PPC est au format APMFormat, la plateforme Intel est au format GPTFormat) au sein d’un même ensemble RAID. Les ordinateurs Mac Pro et les Xserve à processeur Intel peuvent démarrer à partir d’un volume RAID logiciel. Certains Mac à processeur Intel ne prennent pas en charge le démarrage à partir de volumes RAID logiciels. Si vous tentez de démarrer ces Mac à processeur Intel à partir d’un volume RAID logiciel, il se peut que l’ordinateur affiche un point d’interrogation clignotant lors du démarrage. Les ordinateurs suivants ne prennent pas en charge le démarrage à partir de volumes RAID logiciels :  iMac (début 2006)  Mac mini (début 2006) Aucun Mac à processeur PPC ne prend en charge le démarrage à partir de volumes RAID logiciels. Si vous avez besoin d’une prise en charge plus sophistiquée de RAID, pensez aux réseaux RAID matériels. Ils disposent d’un matériel RAID dédié et d’une capacité de stockage pouvant dépasser 5 téraoctets. Création d’un ensemble RAID à l’aide d’Utilitaire de disque Vous pouvez utiliser le programme d’installation pour ouvrir l’application Utilitaire de disque, puis utiliser cette dernière pour créer l’ensemble RAID à partir de disques disponibles. Il n’est pas nécessaire d’effacer les disques avant de créer l’ensemble. La création d’un ensemble RAID efface le contenu des disques concernés.104 Chapitre 5Installation et déploiement Les volumes de l’ensemble RAID peuvent être au format Mac OS étendu, Mac OS étendu (journalisé), Mac OS étendu (sensible à la casse), Mac OS étendu (sensible à la casse, journalisé) et MS-DOS FAT. Pour en savoir plus sur les formats de volume, consultez la section « Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 98. Vous ne pouvez pas créer un ensemble RAID à partir du disque de démarrage actif. 1 Lancez Utilitaire de disque. Si vous êtes dans le programme d’installation, Utilitaire de disque est accessible via le menu Utilitaires. Sinon, lancez l’application à partir de /Applications/Utilitaires/Utilitaire de disque. 2 Sélectionnez le disque à intégrer à l’ensemble RAID. Vous ne pouvez pas sélectionner le disque de démarrage actif. Lors de la création d’ensembles RAID ou de l’ajout de disques, il est recommandé de spécifier l’ensemble du disque plutôt qu’une partition du disque. 3 Cliquez sur RAID. 4 Sélectionnez le type d’ensemble RAID souhaité. 5 Faites glisser les disques vers la fenêtre. 6 Suivez les instructions présentées dans la fenêtre pour définir tous les paramètres nécessaires. 7 Cliquez sur Créer. Vous trouverez dans l’Aide Utilitaire de disque des instructions sur le partitionnement du disque dur en plusieurs volumes, sur la création d’un ensemble RAID et sur l’effacement du disque ou de la partition cible. Pour afficher cette aide, ouvrez Utilitaire de disque sur un autre ordinateur Macintosh doté de Mac OS X 10.5 et choisissez Aide > Aide Utilitaire de disque. Création d’un ensemble RAID à l’aide de la ligne de commande Vous pouvez utiliser l’outil de ligne de commande diskutil pour créer un ensemble RAID. Pour utiliser cette méthode, vous devez normalement utiliser un shell distant (SSH) pour ouvrir une session sur l’ordinateur qui vient de démarrer. L’outil de création d’ensembles RAID est diskutil. Tout comme Utilitaire de disque, diskutil permet de créer un volume RAID au format Mac OS étendu, Mac OS étendu (journalisé), Mac OS étendu (sensible à la casse), Mac OS étendu (sensible à la casse, journalisé) ou MS-DOS FAT. N’oubliez toutefois pas ce qui suit :  Vous ne pouvez pas créer un ensemble RAID à partir du disque de démarrage actif.  Lors de la création d’ensembles RAID ou de l’ajout de disques, spécifiez l’ensemble du disque plutôt qu’une partition du disque.Chapitre 5 Installation et déploiement 105  Toutes les opérations diskutil potentiellement destructives doivent être réalisées avec des privilèges de super-utilisateur ou de root. Pour en savoir plus sur diskutil et sur d’autres usages de cet outil, consultez la section Administration de ligne de commande. Pour la syntaxe complète de la commande diskutil, consultez la page man de l’outil. La commande à utiliser dépend de vos besoins en matière de réseau RAID. Utilisez des arguments de ligne de commande adaptés à vos propres besoins. En guise d’exemple, la commande suivante crée un ensemble RAID en miroir (RAID 1) à partir des deux premiers disques installés dans l’ordinateur (disk0 et disk1), le volume RAID résultant étant appelé DonnéesEnMirroir. La syntaxe de base est : diskutil createRAID mirror nomDeL’ensemble format périphérique périphérique ... La commande est donc : diskutil createRAID mirror DonnéesEnMirroir JournaledHFS+ disk0 disk1 Effacement d’un disque ou d’une partition Vous disposez, selon vos outils préférés et votre environnement informatique, de plusieurs options pour effacer un disque :  Effacement d’un disque à l’aide du programme d’installation : vous avez la possibilité d’effacer un disque ou une partition lorsque vous utilisez le programme d’installation de Mac OS X Server. Lorsque vous sélectionnez le volume cible dans le programme d’installation, vous pouvez aussi sélectionner une option permettant d’effacer le disque ou la partition cible lors de l’installation à l’aide du format Mac OS étendu (journalisé). Il s’agit du format recommandé pour un volume de démarrage Mac OS X Server.  Effacement d’un disque à l’aide d’Utilitaire de disque : vous pouvez utiliser le programme d’installation pour ouvrir l’application Utilitaire de disque, puis utiliser cette dernière pour effacer le volume cible ou tout autre volume. Vous pouvez effacer le volume cible à l’aide du format Mac OS étendu ou Mac OS étendu (journalisé). Vous pouvez effacer d’autres volumes à l’aide du format Mac OS étendu (sensible à la casse) ou du format Mac OS étendu (sensible à la casse, journalisé). Le programme d’installation de Mac OS X Server permet d’effacer, mais pas de partitionner un disque ou une partition. Lorsque vous sélectionnez le volume cible dans le programme d’installation, vous pouvez aussi sélectionner une option permettant d’effacer le disque ou la partition cible lors de l’installation à l’aide du format Mac OS étendu (journalisé). Il s’agit du format recommandé pour un volume de démarrage Mac OS X Server.106 Chapitre 5Installation et déploiement Vous trouverez dans l’Aide Utilitaire de disque des instructions sur le partitionnement du disque dur en plusieurs volumes, sur la création d’un ensemble RAID et sur l’effacement du disque ou de la partition cible. Pour afficher cette aide, ouvrez Utilitaire de disque sur un autre ordinateur Macintosh doté de Mac OS X 10.5 et choisissez Aide > Aide Utilitaire de disque.  Effacement d’un disque à l’aide de la ligne de commande : vous pouvez utiliser la ligne de commande pour effacer des disques à l’aide de l’outil diskutil. Effacer un disque à l’aide de diskutil provoque la perte de toutes les partitions du volume. La commande d’effacement d’un disque complet est : diskutil eraseDisk format nom [OS9Drivers | APMFormat | MBRFormat | GPTFormat] périphérique Par exemple : diskutil eraseDisk JournaledHFS+ MacProHD GPTFormat disk0 Il existe également une option permettant de supprimer les données de façon sécurisée en écrasant plusieurs fois le disque à l’aide de données aléatoires. Pour plus de détails, consultez la page man de diskutil. Pour effacer un volume particulier sur un disque, vous devez utiliser une commande légèrement différente : diskutil eraseVolume format nom périphérique Par exemple : diskutil eraseVolume JournaledHFS+ PartitionSansTitre /Volumes/PartitionOriginale Pour en savoir plus sur diskutil et sur d’autres usages de cet outil, consultez la section Administration de ligne de commande. Pour la syntaxe complète de la commande diskutil, consultez la page man de l’outil. Identification du serveur distant lors de l’installation de Mac OS X Server Pour les installations de serveurs distants, vous devez connaître les informations suivantes concernant le serveur cible :  L’identité du serveur cible : lorsque vous utilisez Assistant du serveur, vous devez soit reconnaître le serveur cible parmi une liste de serveurs sur votre sous-réseau local, soit saisir son adresse IP (au format IPv4 : 000.000.000.000) s’il réside sur un sous-réseau différent.Les informations relatives aux serveurs figurant dans la liste comprennent l’adresse IP, le nom d’hôte et l’adresse MAC (Media Access Control), également appelée adresse matérielle ou adresse Ethernet. Si vous utilisez un visualiseur VNC pour contrôler à distance l’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, il est possible qu’il vous permette de sélectionner le serveur cible parmi une liste de serveurs VNC disponibles. Si ce n’est pas le cas, vous devez saisir l’adresse IP du serveur (au format IPv4 :000.000.000.000).Chapitre 5 Installation et déploiement 107 L’adresse IP du serveur cible est assignée par un serveur DHCP sur le réseau. S’il n’existe pas de serveur DHCP, le serveur cible utilise une adresse de type 169.xxx.xxx unique parmi les serveurs du sous-réseau local. Vous pouvez modifier l’adresse IP ultérieurement, lors de la configuration du serveur. Si vous ignorez l’adresse IP et que le serveur distant se trouve sur le sous-réseau local, utilisez la commande sa_srchr pour identifier les ordinateurs du sous-réseau local sur lesquels vous pouvez installer le logiciel serveur :saisissez ce qui suit à partir d’un ordinateur existant sur lequel les outils Mac OS X Server sont installés : /system/library/serversetup/sa_srchr 224.0.0.1 Cette commande renvoie l’adresse IP et l’EthernetID (ainsi que d’autres informations) des serveurs du sous-réseau local qui ont démarré à partir du disque d’installation.  Le mot de passe prédéfini du serveur cible : ce mot de passe est constitué des huit premiers chiffres du numéro de série matériel incorporé au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Les ordinateurs plus anciens ne possèdent pas de numéro de série incorporé ; pour ces systèmes, utilisez la suite de chiffres 12345678. Installation interactive du logiciel serveur Vous pouvez utiliser le disque d’installation pour installer le logiciel serveur de manière interactive sur un serveur local ou un serveur distant, ou sur un ordinateur sur lequel Mac OS X est préinstallé. Installation locale à partir du disque d’installation Vous pouvez installer Mac OS X Server directement sur un ordinateur équipé d’un écran, d’un clavier et d’un lecteur optique, comme dans l’illustration ci-dessous : Si vous disposez d’un DVD d’installation, le lecteur optique doit être en mesure de lire les disques DVD. Vous pouvez aussi procéder à l’installation directement sur un ordinateur sans écran, clavier ni lecteur optique capable de lire votre disque d’installation. Dans ce cas, démarrez l’ordinateur cible en mode disque cible et reliez-le à un ordinateur administrateur à l’aide d’un câble FireWire. Application d’installation ou outil d’installation dans l’application Terminal108 Chapitre 5Installation et déploiement Utilisez l’ordinateur administrateur pour installer le logiciel serveur sur le disque ou sur une partition de l’ordinateur cible (qui apparaît sous la forme d’une icône de disque sur l’ordinateur administrateur). Ces instructions supposent que vous avez démarré l’ordinateur à l’aide du DVD d’installation, d’une partition d’installation ou d’un disque NetInstall. Si ce n’est pas le cas, consultez les instructions à ce sujet qui commencent à la section « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90. Pour installer le logiciel serveur localement : 1 Après le démarrage de l’ordinateur, choisissez la langue que le serveur doit utiliser, puis cliquez sur Continuer. 2 Lorsque le programme d’installation s’ouvre, si vous souhaitez effectuer une installation spéciale, vous pouvez si vous le souhaitez utiliser le menu Utilitaires pour ouvrir l’application Utilitaire de disque et préparer le disque ou la partition cible. Si vous n’avez pas préparé votre disque pour l’installation, vous pouvez le faire maintenant à l’aide d’Utilitaire de disque. Pour plus d’instructions sur la préparation de votre disque pour l’installation, consultez la section « Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 98. 3 Avancez dans les sous-fenêtres du programme d’installation en suivant les instructions affichées. 4 Lorsque la sous-fenêtre Sélectionner une destination apparaît, choisissez un disque ou un volume (partition) cible en vous assurant que celui-ci se trouve à l’état adéquat. Si vous procédez à une installation spéciale, vous pouvez cliquer sur Options pour formater le disque ou le volume de destination au format Mac OS étendu (journalisé). Sélectionnez Effacer pour formater le disque au format Mac OS étendu (journalisé), puis cliquez sur OK. Si le volume que vous avez sélectionné contient Mac OS X Server 10.3.9 ou 10.2.8 et que vous souhaitez procéder à une mise à niveau, cliquez sur Options, sélectionnez « Ne pas effacer », puis cliquez sur OK. Important :lorsque vous effectuez une mise à niveau, assurez-vous que les données de configuration enregistrées ne sont pas détectées par inadvertance et utilisées par le serveur. Si vous utilisez des données de configuration enregistrées, les réglages de serveur ne sont pas compatibles avec les réglages enregistrés et peuvent provoquer des comportements inattendus. Pour en savoir plus, consultez la section « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136. 5 Avancez dans les sous-fenêtres du programme d’installation en suivant les instructions affichées. Lorsque l’installation est terminée, l’ordinateur redémarre et vous pouvez procéder à la configuration initiale du serveur.Chapitre 5 Installation et déploiement 109 6 Si vous utilisez un ordinateur administrateur pour une installation sur un serveur en mode disque cible et connecté à l’aide d’un câble FireWire : a Quittez Assistant du serveur lorsqu’il démarre automatiquement sur l’ordinateur administrateur. b Éteignez l’ordinateur administrateur et le serveur. c Démarrez l’ordinateur administrateur et le serveur normalement (pas en mode disque cible). Vous pouvez maintenant utiliser Assistant du serveur à partir de l’ordinateur administrateur et configurer le serveur à distance. Le Chapitre 6, « Configuration initiale du serveur, » à la page 117 explique comment configurer un serveur localement ou à distance. Installation à distance à l’aide d’Assistant du serveur Pour installer Mac OS X Server sur un serveur distant à partir du DVD d’installation, d’une partition d’installation ou d’un disque NetInstall, vous avez besoin d’un ordinateur administrateur à partir duquel vous pouvez utiliser Assistant du serveur pour gérer l’installation, comme dans l’illustration ci-dessous : Une fois que l’ordinateur a démarré, vous pouvez contrôler et gérer autant de serveurs que vous le souhaitez à partir d’un ordinateur d’administration. Important :si vous disposez d’applications et d’outils administratifs provenant de Mac OS X Server 10.4 Tiger ou antérieur, ne les utilisez pas avec Leopard Server. Ordinateur administrateur Sous-réseau 1 Sous-réseau 2 Bienvenue >programme d’installation >programme d’installation110 Chapitre 5Installation et déploiement Si vous souhaitez utiliser l’interface utilisateur du programme d’installation, vous pouvez utiliser VNC pour afficher le programme d’installation distant et communiquer avec ce dernier. Pour en savoir plus, consultez la section « Installation à distance à l’aide de VNC » à la page 111. Ces instructions supposent que vous avez démarré l’ordinateur à l’aide du DVD d’installation, d’une partition d’installation ou d’un disque NetInstall. Si ce n’est pas le cas, consultez les instructions à ce sujet qui commencent à la section « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90. Pour installer le logiciel sur un serveur distant à l’aide d’Assistant du serveur : 1 Une fois que l’ordinateur cible a démarré à partir du DVD d’installation, d’une partition d’installation ou d’un disque NetInstall, lancez Assistant du serveur qui se trouve dans le dossier /Applications/Server/ de l’ordinateur administrateur. Vous n’avez pas besoin d’être administrateur sur l’ordinateur local pour utiliser Assistant du serveur. 2 Sélectionnez l’option Installer le logiciel sur un serveur distant. 3 Pour chaque serveur cible prévu, identifiez le serveur cible et ajoutez-le à la liste. S’il se trouve sur le sous-réseau local, sélectionnez-le dans la liste, sinon, cliquez sur le bouton Ajouter (+) et saisissez une adresse IP au format IPv4 (000.000.000.000). Si vous disposez déjà d’une liste de serveurs enregistrée, chargez-la maintenant en choisissant Fichier > Charger la liste de serveurs. 4 Lorsque vous êtes invité à fournir un mot de passe, saisissez les huit premiers chiffres du numéro de série matériel intégré au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si vous effectuez l’installation sur un vieil ordinateur qui ne dispose pas de numéro de série de matériel intégré, tapez le mot de passe 12345678. 5 Une fois que vous avez ajouté tous les serveurs à la liste, enregistrez cette dernière en vue d’un usage ultérieur en choisissant Fichier > Enregistrer la liste de serveurs. 6 Avancez dans les écrans d’installation en suivant les instructions affichées. 7 Lorsque la sous-fenêtre Volumes apparaît, sélectionnez un disque ou un volume (partition) cible, assurez-vous qu’il ou elle est dans l’état adéquat, puis cliquez sur Continuer.Chapitre 5 Installation et déploiement 111 Si le volume que vous avez sélectionné contient Mac OS X Server 10.4.10 ou 10.3.9 et que vous souhaitez procéder à une mise à niveau, sélectionnez « Ne pas effacer ». Sinon, sélectionnez Effacer pour formater le disque au format Mac OS étendu (journalisé). Cliquez sur OK. 8 Avancez dans les écrans d’installation en suivant les instructions affichées. Pendant l’installation, vous pouvez ouvrir une autre fenêtre Assistant du serveur pour installer le logiciel serveur sur d’autres ordinateurs.Pour cela, choisissez Fichier > Nouvelle fenêtre. Une fois l’installation terminée, le serveur cible redémarre et vous pouvez procéder à la configuration initiale du serveur. Le Chapitre 6, « Configuration initiale du serveur, » à la page 117 vous indique comment procéder. Installation à distance à l’aide de VNC Si vous utilisez un disque d’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, vous pouvez contrôler l’installation depuis un autre ordinateur en utilisant un visualiseur VNC open-source ou Apple Remote Desktop. Vous pouvez ainsi contrôler à distance la pré- paration du disque ou de la partition cible avant de procéder à l’installation. Vous pouvez partitionner le disque dur en plusieurs volumes, créer un ensemble RAID ou bien effacer le disque ou la partition cible. Le processus d’installation à distance à l’aide de VNC est identique au processus d’installation locale effectué avec un clavier et un moniteur, sauf que vous devez d’abord vous connecter au serveur VNC sur l’ordinateur cible à l’aide d’un client VNC tel qu’Apple Remote Desktop. Pour en savoir plus sur la connexion à un ordinateur ayant démarré à partir d’un DVD d’installation, consultez la section « Accès à distance au DVD d’installation » à la page 91. Pour en savoir plus sur l’exécution locale du programme d’installation, consultez la section « Installation locale à partir du disque d’installation » à la page 107. AVERTISSEMENT :lorsque vous procédez à une mise à niveau, assurez-vous que les données de configuration enregistrées ne sont pas détectées par inadvertance et utilisées par le serveur. Si vous utilisez des données de configuration enregistrées, les réglages de serveur ne sont pas compatibles avec les réglages enregistrés et peuvent provoquer des comportements inattendus. Pour en savoir plus, consultez la section « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136.112 Chapitre 5Installation et déploiement Installation du logiciel serveur à l’aide de l’outil de ligne de commande installer L’outil installer permet d’installer le logiciel serveur sur un ordinateur local ou distant à partir de la ligne de commande.Pour en savoir plus sur le programme d’installation :  Consultez la section Administration de ligne de commande.  Ouvrez l’application Terminal et tapez installer, installer -help ou man installer. Ces instructions supposent que vous avez démarré l’ordinateur à l’aide du DVD d’installation, d’une partition d’installation ou d’un disque NetInstall. Si ce n’est pas le cas, consultez les instructions à ce sujet qui commencent à la section « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90. Pour installer le logiciel serveur à l’aide de la commande installer : 1 Ouvrez une session de ligne de commande avec le serveur cible en choisissant l’une des options suivantes :  Installation d’un serveur local : lorsque le programme d’installation s’ouvre, ouvrez l’application Terminal en choisissant Utilitaires > Ouvrir Terminal.  Installation d’un serveur distant :à partir de Terminal sur un ordinateur administrateur ou à partir d’une station de travail UNIX, établissez comme utilisateur root une session SSH avec le serveur en remplaçant par l’adresse IP du serveur cible : ssh root@ ∏ Si vous ignorez l’adresse IP et que le serveur distant se trouve sur le sous-réseau local, utilisez la commande sa_srchr pour identifier les ordinateurs du sous-réseau local sur lesquels vous pouvez installer le logiciel serveur : /system/library/serversetup/sa_srchr 224.0.0.1 monordinateur.exemple.com#PowerMac4,4###Mac OS X Server 10.5#RDY4PkgInstall#2.0#512 Vous pouvez également utiliser Assistant du serveur pour générer les informations relatives aux ordinateurs sur le sous-réseau local. Ouvrez Assistant du serveur,sélectionnez « Installer le logiciel sur un ordinateur distant », puis cliquez sur Continuer pour accéder à la sous-fenêtre Destination et générer une liste de serveurs en attente d’installation. 2 Lorsque vous êtes invité à fournir un mot de passe, saisissez les huit premiers chiffres du numéro de série matériel intégré au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si l’ordinateur cible a été configuré en tant que serveur, vous trouverez également le numéro de série du matériel dans /Système/Bibliothèque/ServerSetup/SerialNumber. Si vous effectuez l’installation sur un vieil ordinateur qui ne dispose pas de numéro de série de matériel intégré, tapez le mot de passe 12345678.Chapitre 5 Installation et déploiement 113 3 Identifiez le volume du serveur cible sur lequel vous souhaitez installer le logiciel serveur. Pour répertorier les volumes disponibles pour l’installation du logiciel serveur à partir du disque d’installation, tapez la commande suivante : /usr/sbin/installer -volinfo -pkg /System/Installation/Packages/ OSInstall.mpkg Vous pouvez également identifier une image NetInstall que vous avez créée et montée: /usr/sbin/installer -volinfo -pkg /Volumes/ServerNetworkImage10.5/ System/Installation/Packages/OSInstall.mpkg La liste affichée dépend de votre environnement ; l’exemple ci-dessous présente trois volumes disponibles : /Volumes/Mount 01 /Volumes/Mount1 /Volumes/Mount02 4 Si vous ne l’avez pas encore fait, préparez les disques pour l’installation. Pour en savoir plus sur la préparation des disques pour l’installation, consultez la section « Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 98. Si Mac OS X Server 10.4.10 ou 10.3.9 est installé sur le volume cible, l’exécution de l’outil installer permet de mettre à niveau le serveur avec la version 10.5 en conservant les fichiers des utilisateurs. Si vous ne procédez pas à une mise à niveau mais à une installation spéciale, sauvegardez les fichiers d’utilisateur à conserver, puis utilisez la commande diskutil pour effacer le volume et le formater en autorisant la journalisation : /usr/sbin/diskutil eraseVolume HFS+ "Mount 01" "/Volumes/Mount 01" /usr/sbin/diskutil enableJournal "/Volumes/Mount 01" Vous pouvez également utiliser diskutil pour partitionner le volume et configurer la mise en miroir. Pour en savoir plus sur cette commande, consultez la page man diskutil. Important :ne stockez pas de données sur le disque dur ou la partition où est installé le système d’exploitation. Vous évitez de cette manière la perte de données dans l’éventualité d’une réinstallation ou d’une mise à niveau du logiciel système. Si vous devez stocker des logiciels ou données supplémentaires sur la partition système, envisagez une mise en miroir du disque. 5 Installez le système d’exploitation sur un volume figurant dans la liste générée à l’étape 3. Par exemple, pour utiliser Montage 01 dans l’exemple de l’étape 4 pour une installation à partir du disque d’installation de serveur, tapez : /usr/sbin/installer -verboseR -lang en -pkg /System/Installation/ Packages/OSInstall.mpkg -target "/Volumes/Mount 01" Si vous utilisez une image NetInstall, la commande l’identifie comme indiqué à l’étape 3.114 Chapitre 5Installation et déploiement Lorsque vous saisissez le paramètre -lang, utilisez l’une des valeurs suivantes :en (pour anglais), de (pour allemand), fr (pour français) ou ja (pour japonais). Au cours de l’installation, l’état d’avancement des opérations est affiché. Tandis que l’installation progresse, vous pouvez ouvrir une autre fenêtre Terminal pour installer le logiciel serveur sur un autre ordinateur. 6 Lorsque l’installation est terminée, redémarrez le serveur en saisissant : /sbin/reboot ou /sbin/shutdown -r Assistant du serveur s’ouvre automatiquement dès que l’installation est terminée. Vous pouvez maintenant configurer le serveur. Pour en savoir plus, consultez la section « Configuration initiale du serveur » à la page 117. Installation de plusieurs serveurs Vous pouvez utiliser Assistant du serveur, le visualiseur VNC ou l’outil installer pour lancer plusieurs installations du logiciel serveur. Après avoir utilisé Assistant du serveur pour lancer l’installation du logiciel serveur sur plusieurs ordinateurs distants, vous pouvez choisir Fichier > Nouvelle fenêtre pour installer le logiciel sur un autre lot d’ordinateurs. Lorsque vous exécutez Assistant du serveur à partir d’un ordinateur d’administration pour l’installation sur plusieurs ordinateurs, regroupez les configurations matérielles identiques. Par exemple, choisissez tous les ordinateurs Xserve Intel ou tous les Mac mini G4. Après avoir utilisé un visualiseur VNC pour contrôler l’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur sur un ordinateur distant, vous pouvez utiliser ce même visualiseur VNC pour établir une connexion à un autre ordinateur distant et contrôler l’installation réalisée sur ce dernier.Comme elle implique de communiquer séparément avec chaque serveur, cette méthode d’installation sur plusieurs serveurs est moins efficace. La méthode d’installation la plus efficace serait entièrement automatisée. Ouvrir l’application Terminal et utiliser l’outil installer pour lancer séparément l’installation de chaque logiciel serveur n’offre pas cet avantage. Vous pouvez toutefois procéder de manière efficace en créant un script pour l’outil de ligne de commande (en utilisant des valeurs connues pour les adresses IP des serveurs, par exemple) afin d’automatiser plusieurs installations simultanées. Pour automatiser entièrement l’installation de serveurs, vous devez créer un script pour l’outil installer et disposer d’un contrôle poussé sur l’infrastructure réseau.Chapitre 5 Installation et déploiement 115 Si vous souhaitez, par exemple, inclure des adresses IP connues et les numéros de série matériel appropriés dans votre script, vous ne pouvez pas vous fier à des adresses IP assignées de façon aléatoire. Vous pouvez utiliser des adresses statiques assignées par DHCP pour supprimer cette incertitude et faciliter la création du script. Les méthodes, les langages de script et les diverses possibilités sont trop nombreuses pour être énumérés dans ce guide. Mise à niveau d’un ordinateur de Mac OS X à Mac OS X Server Vous pouvez utiliser le DVD d’installation de Mac OS X Server 10.5 pour mettre à niveau un ordinateur de bureau possédant les caractéristiques suivantes :  Mac OS X 10.5 ou ultérieur déjà installé;  disposant d’un processeur Intel;  ayant été introduit pendant l’été 2006 ou plus tard;  disposant de la configuration requise décrite dans « Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 87. Pour mettre à niveau un ordinateur de Mac OS X à Mac OS X Server : 1 Démarrez l’ordinateur depuis le disque dur, selon la procédure habituelle. N’utilisez pas de disque d’installation. 2 Insérez le DVD d’installation, ouvrez le dossiers Other Installs, puis double-cliquez sur MacOSXServerInstall.mpkg pour exécuter le programme d’installation. Lorsque l’installation est terminée, votre ordinateur redémarre automatiquement et Assistant du serveur s’ouvre pour vous permettre de configurer le serveur. 3 Après le redémarrage du serveur, utilisez Mise à jour de logiciels pour installer les mises à jour du logiciel serveur. Comment rester à jour Une fois que vous avez configuré le serveur, il est recommandé de le mettre à jour chaque fois qu’Apple publie des mises à jour de logiciel serveur. Il existe différentes façons d’accéder aux mises à jour de Mac OS X Server :  Dans Admin Serveur, sélectionnez un serveur dans la liste Serveurs, puis cliquez sur le bouton Mises à jour du serveur.  Utilisez la sous-fenêtre Mise à jour de logiciels dans les Préférences Système.  Utilisez l’outil de ligne de commande softwareupdate.  Utilisez le service de mise à jour de logiciels de serveur.  Téléchargez une image disque de la mise à jour de logiciel sur : www.apple.com/fr/support/downloads6 117 6 Configuration initiale du serveur Les caractéristiques élémentaires de Mac OS X Server sont définies lors de la configuration du serveur. Le serveur peut fonctionner dans trois configurations différentes :avancée, standard et groupe de travail. Ces instructions s’appliquent à la configuration avancée. Après l’installation du logiciel serveur, l’étape suivante consiste à configurer le serveur. Il y a plusieurs manières de configurer un serveur :  En configurant un ou plusieurs serveurs de manière interactive.  En automatisant la configuration des serveurs par l’enregistrement des données de configuration dans un fichier ou dans un répertoire. Les serveurs à configurer sont ensuite paramétrés de manière à accéder à ces données. Informations nécessaires Pour comprendre et enregistrer des informations pour chaque serveur à configurer, consultez la section Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server dans l’annexe, page 221. Les paragraphes suivants fournissent des explications complémentaires sur certains éléments de la feuille d’opérations. Si vous effectuez une mise à niveau depuis Mac OS X Server version 10.4.10 ou 10.3.9, Assistant du serveur affiche les réglages de serveur existants, mais vous pouvez les modifier. Prenez note, dans la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server, des réglages à utiliser par le serveur version 10.5. Report de la configuration de serveur après l’installation Assistant du serveur s’ouvre automatiquement sur un serveur non configuré et attend que vous commenciez la procédure de configuration. Pour configurer le serveur ulté- rieurement, vous pouvez reporter le processus de configuration en utilisant le clavier, la souris et le moniteur du serveur.118 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Pour reporter la configuration de Mac OS X Server : m Dans Assistant du serveur, appuyez sur Commande + Q sur le clavier du serveur, puis cliquez sur Éteindre. Assistant du serveur réapparaît au redémarrage du serveur. Si vous configurez un serveur sans clavier ni moniteur, vous pouvez saisir des commandes dans l’application Terminal pour éteindre le serveur à distance. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la ligne de commande afin de se connecter à un ordinateur distant et de l’éteindre, consultez la section Administration de ligne de commande. Connexion au réseau lors de la configuration initiale du serveur Essayez de placer un serveur dans son emplacement réseau final (sous-réseau) avant de le configurer pour la première fois. Si vous souhaitez éviter tout accès non autorisé ou prématuré au cours du démarrage, vous pouvez configurer un coupe-feu afin de proté- ger le serveur lors de la finalisation de sa configuration. Si vous ne pouvez pas éviter de déplacer un serveur après la configuration initiale, vous devez commencer par modifier les réglages qui dépendent de l’emplacement réseau. Par exemple, l’adresse IP et le nom d’hôte du serveur, stockés dans les répertoires et fichiers de configuration du serveur, doivent être mis à jour. Pour plus d’informations, consultez la section « Modification du nom d’hôte du serveur après la configuration » à la page 162. Configuration de serveurs avec plusieurs ports Ethernet Votre serveur est équipé d’un port Ethernet intégré et éventuellement d’autres ports intégrés ou ajoutés. Lorsque vous utilisez l’Assistant du serveur pour configurer de manière interactive un ou plusieurs serveurs, tous les ports Ethernet disponibles d’un serveur sont répertoriés ; sélectionnez-en un ou plusieurs à activer et à configurer. Lorsque vous travaillez avec l’Assistant du serveur en mode hors connexion, cliquez sur un bouton Ajouter afin de créer manuellement une liste de ports à configurer. Si vous activez plusieurs ports, indiquez l’ordre dans lequel les ports doivent être utilisés par le serveur lors du routage du trafic vers le réseau. Bien que le serveur reçoive le trafic réseau sur un port actif quelconque, le trafic réseau initié par le serveur est acheminé via le premier port actif. Pour obtenir une description des attributs de configuration des ports, consultez la section Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server dans l’annexe.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 119 À propos des réglages établis au cours de la configuration initiale du serveur Au cours de la configuration du serveur, les réglages de base suivants sont établis :  Le choix de la langue utilisée pour l’administration du serveur et le clavier de l’ordinateur est défini.  Le numéro de série du logiciel serveur est défini.  Un utilisateur administrateur de serveur est défini et le dossier de départ de l’utilisateur est créé.  La définition des points de partage AFP et FTP par défaut, tels que Éléments partagés, Utilisateurs et Groupes.  La configuration de base des informations Open Directory. Au moins un domaine de répertoire local est créé. Vous pouvez également configurer un répertoire LDAP pouvant être utilisé par d’autres ordinateurs, ou configurer le serveur afin d’obtenir les informations de répertoire à partir d’autres serveurs.  Le nom d’hôte, le nom d’ordinateur et le nom d’hôte local sont définis. Vous pouvez spécifier le nom de l’ordinateur et le nom d’hôte local, mais Assistant du serveur règle le nom d’hôte sur AUTOMATIC dans /etc/hostconfig. Avec ce réglage, le nom d’hôte du serveur est le premier nom qui est vrai dans cette liste :  Le nom fourni par le serveur DHCP ou BootP pour l’adresse IP principale.  Le premier nom renvoyé par une requête DNS inversé (adresse-vers-nom) pour l’adresse IP principale.  Le nom d’hôte local.  Le nom « localhost ».  Les interfaces réseau (ports) sont configurées. Les réglages TCP/IP et Ethernet sont définis pour chaque port que vous souhaitez activer.  La configuration éventuelle du service d’horloge réseau. Si vous procédez à la mise à niveau, les réglages de base actuels s’affichent au cours du processus de configuration, mais vous pouvez les modifier. D’autres réglages, tels que les points de partage que vous avez définis et les services que vous avez configurés, sont préservés. Pour obtenir une description des actions et des éléments à mettre à niveau, reportez-vous à la section Mise à niveau et migration. Vous ne pouvez réaliser qu’une seule fois la configuration initiale du serveur sans réinstaller ce dernier. Il existe toutefois d’autres moyens permettant de modifier les réglages établis lors de la configuration. Vous pouvez par exemple utiliser Admin Serveur ou Utilitaire d’annuaire pour gérer les réglages Open Directory.120 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Spécification de l’utilisation initiale d’Open Directory Durant la procédure de création d’une configuration avancée, vous devez indiquer la façon dont le serveur stocke initialement les comptes utilisateur et d’autres informations de répertoire et comment il y accède. Vous devez choisir si le serveur se connecte à un système de répertoire ou fonctionne comme un serveur autonome. Après la configuration, vous pouvez soit créer ou modifier une connexion à un système de répertoire à l’aide d’Utilitaire d’annuaire, soit utiliser Admin Serveur pour transformer le serveur en maître ou en réplique Open Directory afin de modifier les réglages de service Open Directory du serveur. Pour plus d’informations sur la modification de services de répertoire, consultez la section Administration d’Open Directory. Lors de la configuration initiale d’un serveur, vous spécifiez sa configuration de services de répertoire. Les options sont les suivantes :  Aucune modification, option disponible uniquement lors de la mise à niveau à partir de Mac OS X Server 10.4.10 ou 10.3.9.  Serveur autonome, option utilisée pour configurer uniquement un domaine de répertoire local sur le serveur.  Connecté à un système de répertoire, option utilisée pour configurer le serveur pour obtenir les informations de répertoire d’un domaine de répertoire partagé déjà configuré sur un autre serveur. Dans toutes ces situations, l’authentification Open Directory est configurée sur le serveur et utilisée par défaut pour tout nouvel utilisateur ajouté aux domaines résidant sur le serveur. Si vous configurez plusieurs serveurs et qu’un ou plusieurs d’entre eux hébergent un répertoire partagé, configurez-les avant les serveurs qui utiliseront ces répertoires partagés. Remarque :si vous connectez Mac OS X Server 10. 5 à un domaine de répertoire Mac OS X Server 10.2 ou antérieur, les utilisateurs définis dans l’ancien domaine de répertoire ne peuvent pas être authentifiés avec la méthode MS-CHAPv2. Cette méthode peut s’avérer nécessaire pour authentifier de manière sécurisée les utilisateurs pour le service VPN de Mac OS X Server 10.5. Open Directory prend en charge l’authentification MS-CHAPv2 dans Mac OS X Server version 10.5, mais le serveur de mot de passe de Mac OS X Server version 10.2 ne prend pas en charge cette authentification.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 121 Après la configuration, utilisez si nécessaire les applications Utilitaire d’annuaire ou Admin Serveur pour parachever la configuration de répertoire du serveur. Utilitaire d’annuaire permet de configurer des connexions à plusieurs répertoires, y compris Active Directory et d’autres systèmes de répertoires non Apple, et de spécifier une stratégie de recherche (l’ordre dans lequel le serveur doit effectuer la recherche dans les domaines). Admin Serveur permet de configurer des répliques d’un maître Open Directory et de gérer les autres aspects de la configuration du service de répertoires d’un serveur. Administration d’Open Directory peut vous aider à choisir l’option de configuration d’utilisation de répertoire adaptée à vos besoins. Si vous effectuez une mise à niveau, le meilleur choix est « Aucune modification ». Si vous configurez un nouveau serveur, le plus simple est de choisir « Serveur autonome ». Après la configuration initiale du serveur, vous pouvez employer Utilitaire d’annuaire ou Admin Serveur pour ajuster et finaliser la configuration de répertoire. Mise à jour sans changer l’utilisation de répertoire Lorsque vous configurez un serveur en cours de mise à niveau de la version 10.2.8 ou 10.3.9 vers la version 10.5 et que vous souhaitez qu’il exploite la même configuration de répertoire qu’auparavant, choisissez Aucune modification dans la sous-fenêtre Utilisation du répertoire d’Assistant du serveur. Même lorsque vous souhaitez changer la configuration de répertoire du serveur, le choix le plus sûr reste Aucune modification, en particulier si vous envisagez de modifier la configuration de répertoire partagé d’un serveur. Vous pouvez, par exemple, passer de l’hébergement d’un répertoire à l’utilisation du répertoire partagé d’un autre serveur et vice versa ou effectuer la migration d’un domaine NetInfo partagé vers LDAP. Ces opérations de modification de l’utilisation du répertoire sont à réaliser après la configuration du serveur, de façon à préserver l’accès aux informations de répertoire relatives à votre réseau. Pour plus d’informations sur les options d’utilisation de répertoire et sur la façon d’employer Utilitaire d’annuaire et Admin serveur pour effectuer des modifications de répertoire, consultez la section Administration d’Open Directory. Pour plus d’informations sur la manière de continuer à utiliser les données de répertoire existantes lorsque vous modifiez les réglages de service de répertoire, consultez la section Mise à niveau et migration. Si vous choisissez l’option « Aucune modification » et que le serveur n’utilisait pas de serveur de mot de passe, l’authentification Open Directory est configurée. Lorsque vous ajoutez des utilisateurs à un domaine de répertoire Apple résidant sur le serveur, les mots de passe sont validés par défaut en utilisant l’authentification Open Directory.122 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Configuration d’un serveur comme serveur autonome Un serveur autonome stocke et lit les informations de compte dans son domaine de répertoire local. Le serveur autonome utilise son domaine de répertoire local pour authentifier les clients auprès de ses services de fichiers, de courrier électronique et autres. Les autres serveurs et ordinateurs clients ne peuvent accéder au domaine de répertoire local du serveur autonome. L’authentification Open Directory est également configurée sur le serveur. Par défaut, elle est utilisée lorsqu’un utilisateur est ajouté au domaine local. Lorsqu’un utilisateur tente de se connecter au serveur ou d’utiliser l’un des services réclamant une authentification, le serveur authentifie l’utilisateur en consultant la base de données locale. Si l’utilisateur a un compte sur le système et fournit le mot de passe correct, l’authentification aboutit. Configuration d’un serveur pour la connexion à un système de répertoire S’il est connecté à un autre système de répertoire, votre serveur stocke les informations de compte et y accède dans le répertoire partagé d’un autre serveur et peut utiliser l’autre système de répertoire pour authentifier les clients auprès des services de fichiers, de courrier électronique et autres. Votre serveur peut également utiliser son domaine de répertoire local pour les comptes et l’authentification. Vous pouvez intégrer votre serveur dans une multitude de systèmes de répertoire en choisissant l’une des options suivantes lors de la configuration :  Serveur Open Directory :votre serveur peut utiliser LDAP pour stocker des informations sur un serveur Open Directory et y accéder. Avec cette option, vous devez connaître le nom DNS ou l’adresse IP du serveur Open Directory.  Tel que spécifié par le serveur DHCP : votre serveur obtient les informations de connexion à un système de répertoire auprès d’un serveur DHCP. Le serveur DHCP doit être configuré pour fournir l’adresse et la base de recherche d’un serveur LDAP (DHCP option 95). Le service de répertoire et le service DHCP sont indépendants l’un par rapport à l’autre. Ils ne doivent pas forcément être fournis par le même serveur.  Autre serveur de répertoire :si vous devez intégrer le serveur à un autre type de système de répertoire ou à plusieurs systèmes de répertoire, choisissez cette option et configurez les connexions ultérieurement à l’aide de l’application Utilitaire d’annuaire. Cette option permet d’intégrer votre serveur à quasiment tous les services de répertoire actuels, tels que Microsoft Active Directory, Novell eDirectory, un autre répertoire non Apple ou un domaine NIS. Pour plus d’informations sur l’utilisation de l’Utilitaire d’annuaire, consultez la section Administration d’Open Directory ou ouvrez l’Utilitaire d’annuaire, puis utilisez le menu Aide.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 123 Si vous configurez votre serveur afin qu’il se connecte à un serveur Open Directory disposant de Mac OS X Server version 10.3 ou antérieure, il se peut que vous ne puissiez pas bénéficier de certaines fonctionnalités :  Le service VPN nécessite l’authentification MS-CHAP2 qui n’est pas disponible avec les versions 10.2 ou antérieures.  Les répliques ne sont pas prises en charge par les versions 10.2 et antérieures.  La configuration Kerberos est beaucoup plus complexe dans la version 10.2. En outre, la synchronisation automatique de Kerberos et du serveur de mot de passe requiert la version 10.3 ou ultérieure.  Dans la version 10.3 et les versions antérieures, la liaison à des répertoires de confiance, la prise en charge des sous-domaines LDAP et les commandes d’Utilitaire d’annuaire ne sont pas disponibles. Utilisation de la configuration interactive de serveur Le moyen le plus simple de configurer un petit nombre de serveurs est de faire appel au processus d’Assistant du serveur, après avoir établi une connexion avec chacun des serveurs tour à tour. Vous devez fournir les données de configuration des serveurs de manière interactive, puis lancer immédiatement la configuration.La solution interactive est intéressante si vous avez peu de serveurs à configurer. La méthode interactive permet de configurer un serveur local ou un ou plusieurs serveurs distants. Pour exploiter cette démarche, ouvrez Assistant du serveur, connectez-vous à un ou plusieurs serveurs cibles, fournissez les données de configuration, puis lancez immédiatement la configuration. Il s’agit de la technique utilisée pour configurer un serveur local, comme décrit à la section « Configuration interactive d’un serveur local » à la page 124. Vous pouvez également utiliser cette méthode interactive pour configurer un serveur distant à partir d’un ordinateur administrateur. Pour obtenir des instructions, consultez la section « Configuration interactive d’un serveur distant » à la page 125. Lorsque plusieurs serveurs distants peuvent utiliser les mêmes données de configuration, vous pouvez fournir ces données, puis lancer la configuration simultanée de tous les serveurs au moyen d’un processus de configuration par lot. Si vous exécutez Assistant du serveur à partir d’un ordinateur d’administration pour configurer plusieurs serveurs, regroupez les configurations matérielles identiques. Par exemple, choisissez tous les ordinateurs Intel Xserve ou tous les Mac mini G4.124 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Pour cette technique, représentée à gauche dans la figure ci-dessous, les identifiants réseau de tous les serveurs cibles doivent être définis via DHCP ou BootP. Pour obtenir des instructions, consultez la section « Configuration interactive d’un lot de serveurs distants » à la page 127. Pour personnaliser la configuration de serveurs individuels, vous pouvez gérer chacune d’elles séparément à partir d’une fenêtre distincte d’Assistant du serveur. Cette manière de procéder est représentée à droite dans l’illustration ci-dessus. Pour obtenir des instructions, consultez la section « Configuration interactive d’un serveur distant » à la page 125. Bien que l’illustration précédente montre des serveurs cibles se trouvant sur le même sousréseau que l’ordinateur administrateur dans un cas et sur un sous-réseau différent dans l’autre, les deux méthodes de configuration peuvent être employées indifféremment. Si le serveur cible est sur un autre sous-réseau, vous devez fournir son adresse IP. Assistant du serveur affiche une liste contenant les serveurs situés sur le même sous-réseau, afin que vous puissiez en sélectionner un ou plusieurs directement dans la liste. Configuration interactive d’un serveur local Après avoir installé le logiciel serveur sur un serveur, vous pouvez utilisez la méthode interactive pour le configurer localement si vous avez la possibilité d’accéder physiquement à l’ordinateur. Cette procédure s’applique à la configuration de serveur Avancée. Les instructions fournies ici ne sont pas compatibles avec les modes Standard et Groupe de travail. Sous-réseau 1 Bienvenue Bienvenue Bienvenue Sous-réseau 2Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 125 Pour configurer de manière interactive un serveur local : 1 Remplissez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server disponible dans l’annexe. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à la section « Informations nécessaires » à la page 117. Assistant du serveur réapparaît au redémarrage du serveur. 2 Tapez les données de configuration notées sur la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server au fur et à mesure de votre progression dans les sous-fenêtres de l’Assistant, en suivant les instructions à l’écran. Vérifiez que tout serveur DHCP ou DNS que doit employer le serveur que vous configurez est bien en cours d’exécution. Une fois les données de configuration saisies, Assistant du serveur en affiche le résumé. 3 Révisez les données de configuration que vous avez saisies et, si nécessaire, cliquez sur Revenir pour les modifier. 4 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format utilisable pour une configuration automatique du serveur (un fichier de configuration ou une fiche de répertoire enregistré), cliquez sur Enregistrer sous. Pour chiffrer un fichier de configuration ou un enregistrement de répertoire, sélectionnez « Enregistrer au format crypté », puis tapez et confirmez une phrase secrète. Vous devez fournir la phrase secrète avant qu’un fichier de configuration chiffré puisse être utilisé par un serveur cible. 5 Pour lancer la configuration du serveur local, cliquez sur Appliquer. 6 Au terme de la configuration du serveur, cliquez sur Redémarrer. Vous pouvez maintenant ouvrir une session sous l’identité de l’administrateur créé pendant la configuration, afin de configurer les services. Configuration interactive d’un serveur distant Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, vous pouvez utiliser la méthode interactive pour le configurer à distance à partir d’un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. Pour configurer de manière interactive un serveur distant : 1 Remplissez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server disponible dans l’annexe. Pour obtenir des informations supplémentaires, reportez-vous à la section « Informations nécessaires » à la page 117. 2 Assurez-vous que le serveur cible est en cours d’exécution. 3 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur qui se trouve dans /Applications/Server. Vous n’avez pas besoin d’être administrateur sur l’ordinateur administrateur pour utiliser l’Assistant du serveur.126 Chapitre 6Configuration initiale du serveur 4 Dans la sous-fenêtre Bienvenue, sélectionnez « Configurer un serveur distant » et cliquez sur Continuer. 5 Dans la sous-fenêtre Destination, placez une coche dans la colonne Appliquer du serveur distant à configurer, tapez son mot de passe prédéfini dans le champ Mot de passe, puis cliquez sur Continuer pour vous connecter au serveur. Si le serveur cible n’apparaît pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour l’ajouter ou Actualiser pour voir s’il est disponible. 6 Sélectionnez la configuration de serveur Avancée. 7 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez la langue à employer pour administrer le serveur cible. 8 Si vous utilisez des données de configuration enregistrées, procédez comme suit : Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées à employer. Si les données de configuration enregistrées sont chiffrées, tapez la phrase secrète lorsque vous y êtes invité. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Si vous saisissez manuellement les données de configuration, procédez comme suit : Cliquez sur Continuer et saisissez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les sous-fenêtres de l’assistant, en suivant les instructions affichées, puis cliquez sur Continuer. Vérifiez que tout serveur DHCP ou DNS que doit employer le serveur que vous configurez est bien en cours d’exécution. 10 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par Assistant du serveur et cliquez si nécessaire sur Revenir pour modifier vos données. 11 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format utilisable pour une configuration automatique du serveur (en tant qu’enregistrement de répertoire ou fichier de configuration enregistré), cliquez sur Enregistrer sous. Pour chiffrer un fichier de configuration ou un enregistrement de répertoire, sélectionnez « Enregistrer au format crypté », puis tapez une phrase secrète et confirmez-la. Vous devez fournir la phrase secrète avant qu’un fichier de configuration chiffré puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Pour lancer la configuration du serveur cible distant, cliquez sur Appliquer. 13 Au terme de la configuration du serveur, cliquez sur Continuer. Le serveur cible redémarre et vous pouvez ouvrir une session sous l’identité d’administrateur de serveur créée pendant la configuration, afin de configurer les services.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 127 Configuration interactive d’un lot de serveurs distants Vous pouvez employer la méthode interactive pour configurer un lot de serveurs si :  tous les serveurs sont accessibles à partir d’un ordinateur administrateur;  tous les serveurs utilisent le même type de processeur (Intel ou PowerPC, par exemple);  tous les serveurs utilisent les même données de configuration, à l’exception du numéro de série du logiciel serveur et des identités réseau (nom d’hôte, nom d’ordinateur et nom d’hôte local);  les identités réseau sont fournies par un serveur DHCP ou BootP. Si vous exécutez Assistant du serveur à partir d’un ordinateur d’administration pour configurer plusieurs serveurs, regroupez les configurations matérielles identiques. Choisissez par exemple tous les ordinateurs Intel Xserve ou tous les Mac mini G4. Si plusieurs serveurs possèdent des fichiers de configuration différents, vous pouvez ouvrir une nouvelle fenêtre Assistant du serveur pour chaque lot de serveurs. Cela permet de regrouper les serveurs par plateforme, par réglages, par sous-réseau ou par tout autre critère de votre choix. Pour configurer plusieurs serveurs distants de manière interactive, par lot : 1 Complétez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server avec les réglages à utiliser pour tous les serveurs que vous souhaitez configurer. La Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server se trouve sur le disque d’installation de Mac OS X Server, dans le dossier Documentation. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à la section « Informations nécessaires » à la page 117. Dans la Pré- face sont indiqués les autres emplacements de la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server. 2 Assurez-vous que les serveurs cibles et tous serveurs DHCP ou DNS qu’ils doivent employer sont en cours d’exécution. 3 Sur un ordinateur administrateur capable de se connecter à tous les serveurs cibles, ouvrez l’Assistant du serveur dans /Applications/Server/. Vous n’avez pas besoin d’être administrateur sur l’ordinateur administrateur pour utiliser l’Assistant du serveur. 4 Dans la sous-fenêtre Bienvenue, sélectionnez « Configurer un serveur distant » et cliquez sur Continuer. 5 Dans la sous-fenêtre Destination, placez une coche dans la colonne Appliquer de chaque serveur distant à configurer. Tapez ensuite le mot de passe prédéfini dans la case Mot de passe de chaque serveur et cliquez sur Continuer pour vous connecter aux serveurs. Si un serveur cible à configurer n’est pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour l’y ajouter. 6 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez la langue à employer pour administrer les serveurs cibles.128 Chapitre 6Configuration initiale du serveur 7 Si vous utilisez des données de configuration enregistrées, procédez comme suit : Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées à employer. Si les données de configuration enregistrées sont chiffrées, tapez la phrase secrète lorsque vous y êtes invité. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 8 Si vous saisissez manuellement les données de configuration, procédez comme suit : Cliquez sur Continuer et saisissez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les sous-fenêtres de l’assistant, en suivant les instructions affichées, puis cliquez sur Continuer. Vérifiez que tout serveur DHCP ou DNS que doit employer le serveur que vous configurez est bien en cours d’exécution. 9 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par Assistant du serveur et cliquez si nécessaire sur Revenir pour modifier vos données. 10 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format utilisable pour une configuration automatique du serveur (en tant qu’enregistrement de répertoire ou fichier de configuration enregistré), cliquez sur Enregistrer sous. Pour chiffrer un fichier de configuration ou un enregistrement de répertoire, sélectionnez « Enregistrer au format crypté », puis tapez une phrase secrète et confirmez-la. Vous devez fournir la phrase secrète avant qu’un fichier de configuration chiffré puisse être utilisé par un serveur cible. 11 Pour démarrer la configuration du serveur, cliquez sur Appliquer. 12 Pour lancer la configuration du serveur cible distant, cliquez sur Appliquer. 13 Au terme de la configuration du serveur, cliquez sur Continuer. Les serveurs cibles redémarrent et vous pouvez ouvrir une session sous l’identité de l’administrateur de serveur créé pendant la configuration, afin de configurer leurs services. Utilisation de la configuration automatique de serveurs Si vous devez configurer un nombre plus important de serveurs, pensez à utiliser la configuration automatique de serveurs. Cette méthode permet également d’enregistrer les données de configuration afin de les réutiliser si vous devez réinstaller par la suite le logiciel serveur. La méthode automatique est utile lorsque :  vous avez un nombre plus important de serveurs à configurer;  vous souhaitez préparer la configuration de serveurs pas encore disponibles;  vous souhaitez enregistrer des données de configuration à des fins de sauvegarde;  vous devez réinstaller fréquemment des serveurs.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 129 Pour utiliser la configuration automatique de serveurs, lancez Assistant du serveur afin de spécifier des données de configuration pour chaque ordinateur ou lot d’ordinateurs ; enregistrez ensuite les données dans un fichier ou un répertoire afin de créer des données de configuration, comme indiqué dans l’illustration suivante : Enfin, fournissez les données de configuration aux serveurs cibles. Pour fournir les données, vous pouvez recourir à des méthodes différentes, telles que le stockage des fichiers sur disque dur ou sur support amovible ou leur enregistrement dans des entrées de répertoire. Par défaut, les données de configuration enregistrées sont chiffrées pour plus de sécurité. Lors de son premier démarrage, le serveur recherche les données de configuration automatique pour effectuer sa propre configuration avant de lancer Assistant réglages. La configuration automatique du serveur implique deux étapes principales : Étape 1 :Création des fichiers de données de configuration Pour créer des fichiers de données de configuration, vous pouvez vous reporter aux sections suivantes.  « Données de configuration enregistrées dans un fichier » à la page 130.  « Données de configuration enregistrées dans un répertoire » à la page 132.  « Création et enregistrement de données de configuration » à la page 130.  « Stockage de copies de sauvegarde des données de configuration enregistrées » à la page 133. Étape 2 :Mise à disposition des fichiers de données de configuration pour un serveur nouvellement installé Les sections suivantes décrivent la mise à disposition des données pour les serveurs :  « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136.  « Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier » à la page 137.  « Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire » à la page 140. Ordinateur administrateur Données de configuration dans un répertoire Données de configuration dans un fichier130 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Création et enregistrement de données de configuration Pour travailler à partir de données de configuration enregistrées, établissez une straté- gie pour nommer, chiffrer, stocker et transférer les données. Une manière de créer des données de configuration consiste à utiliser le mode hors connexion d’Assistant du serveur et à utiliser les données de configuration sans se connecter à des serveurs particuliers. Spécifiez les données de configuration, puis enregistrez-les dans un fichier ou un répertoire accessible à partir des serveurs cibles, comme indiqué dans les deux sections qui suivent. Les serveurs cibles sur lesquels le logiciel Mac OS X Server 10.5 a été installé détectent automatiquement la présence des données de données de configuration enregistrées et les utilisent pour se configurer eux-mêmes. Vous pouvez définir des données de configuration génériques utilisables pour configurer n’importe quel serveur. Par exemple, vous pouvez définir des données de configuration génériques pour un serveur en commande, ou configurer 50 ordinateurs Xserve qui doivent être configurés de manière identique. Vous pouvez également enregistrer des données de configuration adaptées à un serveur en particulier. Important :lorsque vous effectuez une mise à niveau, assurez-vous que les données de configuration enregistrées ne sont pas détectées par inadvertance et utilisées par le serveur. Si les données de configuration enregistrées sont utilisées, les réglages existants du serveur seront remplacés par les réglages enregistrés. Pour plus d’informations, reportez-vous àla section « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136. Données de configuration enregistrées dans un fichier Lorsque vous enregistrez des données de configuration dans un fichier, un serveur cible détecte ce fichier et l’utilise si :  Les données de configuration détectées par le serveur cible ne se trouvent pas dans un répertoire que le serveur peut exploiter. Pour plus d’informations sur la détection et l’utilisation de données de répertoire par un serveur afin de se configurer luimême, reportez-vous à la section « Données de configuration enregistrées dans un répertoire » à la page 132.  Le fichier de configuration se trouve sur un volume monté localement dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. Un serveur cible recherche dans les volumes par ordre alphabétique des noms de périphériques. Le périphérique monté comme système de fichiers peut être le disque dur du serveur, un iPod, un DVD, un CD, un disque FireWire, un disque USB ou tout autre périphérique connecté physiquement au serveur (par exemple, /Volumes/AdminiPod/ Auto Server Setup/monserveur.exemple.com.plist).Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 131  Le nom du fichier de configuration est l’un de ceux qui suivent (lors de la recherche de fichiers de configuration, les serveurs cibles recherchent les noms dans l’ordre indiqué) : .plist (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.plist). .plist (par exemple, 10.0.0.4.plist). .plist (par exemple, monserveur.plist). .plist (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.plist). .plist (par exemple, monserveur.exemple.com.plist). .plist (par exemple, 10.0.plist correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.plist (fichier que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). Si le numéro de série spécifié dans le fichier n’est pas associé à une licence de site, vous devrez le définir manuellement après l’installation. Utilisez Admin Serveur ou la commande suivante dans l’application Terminal :serversetup -setServerSerialNumber.  La phrase secrète correcte est fournie au serveur quand les données de configuration sont chiffrées. Vous pouvez employer l’Assistant du serveur pour fournir une phrase secrète de manière interactive ou dans un fichier texte. Placez le fichier de phrase secrète sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/ . Le fichier de phrase secrète peut porter l’un de ces noms. Les serveurs cibles recherchent les noms dans l’ordre suivant : .pass (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.pass). .pass (par exemple, 10.0.0.4.pass). .pass (par exemple, monserveur.pass). .pass (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.pass). .pass (par exemple, monserveur.exemple.com.pass). .pass (par exemple, 10.0.pass correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Si le numéro de série du logiciel serveur n’est pas associé à une licence de site, vous devrez le définir manuellement après l’installation. Utilisez Admin Serveur ou la commande suivante dans Terminal :serversetup -setServerSerialNumber.132 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Si vous souhaitez réutiliser les données de configuration enregistrées après avoir réinstaller un serveur, vous pouvez stocker les fichiers de configuration du serveur dans une petite partition locale qui ne sera pas effacée lorsque vous réinstallerez le serveur. Les fichiers de configuration sont détectés et réutilisés après chaque réinstallation. Données de configuration enregistrées dans un répertoire Cette démarche requiert un minimum d’intervention pour configurer plusieurs serveurs, mais nécessite la présence d’une infrastructure DHCP et de répertoires. À l’aide d’Assistant du serveur, enregistrez les données de configuration dans un répertoire existant pour lequel l’ordinateur que vous utilisez est configuré et où les serveurs récemment installés doivent lire les données de configuration. Le système du répertoire doit accepter les données de configuration enregistrées. Open Directory offre une prise en charge intégrée des données de configuration stockées. Pour stocker des données de configuration dans un répertoire non Apple, vous devez d’abord étendre son système (voir Administration d’Open Directory). Lorsque vous enregistrez des données de configuration dans un répertoire, un serveur cible les détecte et les utilise si :  Le serveur cible obtient ses noms de réseau (nom d’hôte, nom d’ordinateur et nom d’hôte local) ainsi que sa configuration de port à partir d’un serveur DHCP.  Le serveur DHCP est configuré pour identifier l’adresse IP du serveur de répertoire où sont stockées les données de configuration. Pour obtenir des instructions de configuration de serveur DHCP, consultez la section Administration des services de réseau.  Les serveurs de répertoire et DHCP sont en cours d’exécution.  Les données de configuration sont stockées dans le répertoire, sur le chemin d’accès /AutoServerSetup/, et dans un enregistrement portant l’un des noms ci-dessous. Les serveurs cibles recherchent ces noms dans l’ordre suivant : (incluez les zéros au début, mais ignorez les deux-points ; par exemple, 0030654dbcef). (par exemple, 10.0.0.4). (par exemple, monserveur). (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234). (par exemple, monserveur.exemple.com). (par exemple, 10.0 correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2).Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 133 generic (enregistrement que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). Si le numéro de série spé- cifié dans le fichier n’est pas associé à une licence de site, vous devrez le définir manuellement après l’installation. Utilisez Admin Serveur ou la commande suivante dans l’application Terminal :serversetup -setServerSerialNumber.  La phrase secrète correcte est fournie au serveur (les données de configuration stockées dans un répertoire doivent toujours être chiffrées). Vous pouvez employer Assistant du serveur pour fournir une phrase secrète de manière interactive ou dans un fichier texte. Placez le fichier de phrase secrète sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/ , où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. Un serveur cible recherche dans les volumes par ordre alphabétique des noms de périphériques. Le fichier de phrase secrète peut porter l’un des noms suivants. Les serveurs cibles recherchent ces noms dans l’ordre suivant : .pass (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.pass). .pass (par exemple, 10.0.0.4.pass). .pass (par exemple, monserveur.pass). .pass (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.pass). .pass (par exemple, monserveur.exemple.com.pass). .pass (par exemple, 10.0.pass correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Si le numéro de série du logiciel serveur n’est pas associé à une licence de site, vous devrez le définir manuellement après l’installation. Utilisez Admin Serveur ou la commande suivante dans Terminal :serversetup -setServerSerialNumber. Stockage de copies de sauvegarde des données de configuration enregistrées Les données de configuration enregistrées ne servent pas uniquement à l’automatisation de la configuration de plusieurs serveurs. Elles permettent également de reconfigurer les serveurs si vous avez besoin de réinstaller le logiciel serveur. Il est possible de conserver des copies de sauvegarde des fichiers de données de configuration sur un serveur de fichiers du réseau. De la même façon, vous pouvez stocker les fichiers de données de configuration dans une partition locale qui ne sera pas effacée lorsque vous réinstallerez le logiciel serveur.134 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Utilisation du chiffrement avec des fichiers de données de configuration Les données de configuration enregistrées sont chiffrées par défaut pour plus de sécurité.Avant qu’un serveur puisse s’autoconfigurer en utilisant des données chiffrées, il doit pouvoir accéder à la phrase secrète employée lors du chiffrement des données. La phrase secrète peut être fournie soit de manière interactive (en utilisant l’Assistant du serveur), soit à partir d’un fichier sur un volume local du serveur cible. Vous pouvez par exemple stocker le fichier avec la phrase secrète sur un iPod, puis connecter ce dernier à chacun des serveurs ayant besoin de la phrase secrète. Un serveur dont l’adresse IP serait 10.0.0.4 utiliserait ainsi le fichier /Volumes/MyIPod/Auto Server Setup/ 10.0.0.4.pass. Transmission des fichiers de données de configuration aux serveurs Utilisation de fichiers dans le système de fichiers Lorsque vous placez un fichier de configuration sur un volume (CD, DVD, iPod, clé USB, partition de disque) monté localement sur un serveur installé mais pas configuré, ce dernier détecte le fichier et l’utilise pour se configurer. Vous pouvez, par exemple, stocker plusieurs fichiers de configuration sur un iPod, puis connecter l’iPod au premier serveur pour lequel existe un fichier de configuration, comme le montre l’illustration suivante : Vous pouvez ensuite connecter l’iPod au serveur suivant : iPod iPodChapitre 6 Configuration initiale du serveur 135 Chaque serveur reconnaît son propre fichier puisqu’il a été nommé en utilisant l’un de ses identifiants et que son emplacement est connu. Ainsi, un serveur dont les huit premiers caractères du numéro de série seraient WXYZ1234 utiliserait le fichier suivant pour s’autoconfigurer :/Volumes/MyIPod/Auto Server Setup/ WXYZ1234.plist. Une autre solution consiste à utiliser l’adresse IP d’un serveur comme identifiant. Un serveur dont l’adresse IP est 10.0.0.4 utiliserait le fichier suivant :/Volumes/MyIPod/Auto Server Setup/10.0.0.4.plist. Vous pouvez également utiliser un seul fichier nommé « generic.plist » par exemple, pour configurer plusieurs serveurs si les données de configuration n’ont pas besoin d’être individualisées et que les identités réseau des serveurs sont fournies via DHCP. Pour plus d’informations sur l’attribution d’un nom aux fichiers de configuration et sur leur utilisation, consultez la section « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136. Utilisation des réglages du répertoire Le serveur cible peut également se configurer à l’aide de données de configuration stockées dans un répertoire. Il doit alors être configuré pour accéder à ce dossier. Bien que le stockage de données de configuration dans un dossier soit la manière la plus automatisée de configurer plusieurs serveurs, cette approche suppose au préalable une infrastructure afin que les serveurs cibles puissent trouver les données de configuration stockées dans le répertoire. Les composants essentiels de l’infrastructure sont les services DHCP et Open Directory, comme le montre l’illustration ci-dessous : Le serveur Open Directory de cet exemple héberge un répertoire LDAP dans lequel ont été enregistrées des données de configuration. L’adresse du serveur Open Directory est abonnée au service DHCP, exécuté sur un autre serveur dans le cas présent. Le service DHCP fournit l’adresse du serveur Open Directory aux serveurs cibles lorsqu’il affecte des adresses IP à ces serveurs. Les serveurs cibles détectent les données de configuration qui ont été stockées à leur intention dans le répertoire LDAP et les utilisent pour s’autoconfigurer. Serveur Open Directory Serveur DHCP136 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Vous pouvez enregistrer les données de configuration dans un répertoire Apple OpenLDAP ou dans tout autre répertoire gérant le système d’extensions Apple pour les données de configuration enregistrées. Ce système d’extensions est présenté dans Administration d’Open Directory. Pour plus d’informations sur l’attribution d’un nom aux fichiers de configuration et sur leur utilisation, consultez la section « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136. Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées Un serveur récemment installé se règle lui-même en se basant sur les données de configuration enregistrées via la séquence de recherche ci-après. Lorsque le serveur trouve des données de configuration correspondant aux critères décrits, il interrompt la recherche et utilise ces données pour se configurer. 1 Le serveur recherche des fichiers de configuration sur les volumes montés localement, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * est un nom de système de fichiers. Il effectue une recherche alphabétique dans les volumes par nom de périphérique, en recherchant un fichier portant l’extension « .plist » et nommé à l’aide de son adresse MAC, son adresse IP, son nom DNS partiel, son numéro de série de matériel intégré, son nom DNS complet, son adresse IP partielle ou generic.plist, dans cet ordre. 2 Le serveur recherche ensuite dans un répertoire, pour lequel il est configuré, un enregistrement de configuration, dans un chemin d’accès nommé « AutoServerSetup ». Il recherche les enregistrements nommés à l’aide de son adresse MAC, son adresse IP, son nom DNS partiel (monserveur), son numéro de série de matériel intégré, son nom DNS complet (monserveur.exemple.com), son adresse IP partielle ou « generic », dans cet ordre. Si les données de configuration sont chiffrées, le serveur a besoin de la phrase secrète correcte avant de pouvoir effectuer ses réglages. Vous pouvez employer l’Assistant du serveur pour fournir la phrase secrète de manière interactive ou bien vous pouvez la fournir dans un fichier texte stocké dans /Volumes/*/Auto Server Setup/. Le serveur cible effectue une recherche alphabétique dans les volumes par nom de système de fichiers, en recherchant un fichier portant l’extension « .pass » et nommé à l’aide de son adresse MAC, son adresse IP, son nom DNS partiel, son numéro de série de matériel intégré, son nom DNS complet, son adresse IP partielle ou generic.plist, dans cet ordre. Important :lorsque vous effectuez une mise à niveau, assurez-vous que les données de configuration enregistrées ne sont pas détectées par inadvertance et utilisées par le serveur que vous mettez à niveau. Si des données de configuration enregistrées sont utilisées, les réglages existants du serveur sont remplacés par les réglages enregistrés.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 137 Les deux sections suivantes fournissent plus de détails sur la manière d’utiliser des données de configuration enregistrées. Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, vous pouvez le configurer automatiquement en utilisant des données enregistrées dans un fichier. Pour enregistrer et appliquer les données de configuration à partir d’un fichier : 1 Complétez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server pour chaque serveur à configurer. La Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server est disponible dans l’annexe. 2 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur qui se trouve dans /Applications/Server. Vous n’avez pas besoin d’être administrateur sur l’ordinateur administrateur pour utiliser l’Assistant du serveur. 3 Dans la sous-fenêtre Bienvenue, sélectionnez « Enregistrer les infos de configuration avancées dans un fichier ou une fiche de répertoire » pour travailler en mode hors connexion (connexion serveur inutile). 4 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez la langue à employer pour administrer les serveurs cibles. 5 Si vous voulez créer un fichier de configuration, passez à l’étape 6. Pour utiliser un fichier de configuration existant, passez à l’étape 7. Si vous comptez créer un fichier de configuration générique pour configurer plusieurs serveurs, prenez soin de ne pas spécifier de noms de réseau (nom d’ordinateur et nom d’hôte local) et assurez-vous que chaque interface réseau (port) est réglée pour être configurée « Via DHCP » ou « Via BootP ». 6 Cliquez sur Continuer et saisissez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les sous-fenêtres de l’Assistant, en suivant les instructions affichées. 7 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées sur lesquelles vous voulez travailler. Si les données de configuration enregistrées sont chiffrées, tapez la phrase secrète lorsque vous y êtes invité. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 8 Dans la sous-fenêtre Interfaces de réseau, cliquez sur Ajouter pour spécifier les interfaces de réseau. 9 Une fois les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par Assistant du serveur et cliquez si nécessaire sur Revenir pour modifier les données. 10 Cliquez sur Enregistrer sous, puis sélectionnez Fichier de configuration.138 Chapitre 6Configuration initiale du serveur 11 Pour chiffrer le fichier, sélectionnez « Enregistrer au format crypté », puis tapez une phrase secrète et confirmez-la. Vous devez fournir la phrase secrète avant qu’un fichier de configuration chiffré puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Cliquez sur OK, accédez à l’emplacement de destination du fichier, attribuez un nom au fichier en utilisant l’une des options suivantes, puis cliquez sur Enregistrer. Lors de la recherche de fichiers de configuration, les serveurs cibles recherchent les noms dans l’ordre indiqué : .plist (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.plist). .plist (par exemple, 10.0.0.4.plist). .plist (par exemple, monserveur.plist). .plist (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.plist). .plist (par exemple, monserveur.exemple.com.plist). .plist (par exemple, 10.0.plist correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.plist (fichier que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). 13 Placez le fichier dans un emplacement où les serveurs cibles peuvent le détecter. Un serveur peut détecter un fichier de configuration s’il réside sur un volume monté localement dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. Il peut s’agir du disque dur du serveur ou d’un iPod, d’un DVD, d’un CD, d’un disque FireWire, d’un disque USB ou de tout autre périphérique connecté au serveur. Par exemple, si vous possédez un iPod nommé AdminiPod, le chemin d’accès utilisé sera /Volumes/AdminiPod/Auto Server Setup/. 14 Si les données de configuration sont chiffrées, rendez la phrase secrète accessible aux serveurs cibles. Vous pouvez fournir la phrase secrète de manière interactive, à l’aide de l’Assistant du serveur ou dans un fichier texte. Pour fournir la phrase secrète dans un fichier, suivez l’étape 15. Pour la fournir de manière interactive, passez à l’étape 16. 15 Pour fournir une phrase secrète dans un fichier, créez un fichier texte, tapez la phrase secrète du fichier de configuration enregistré sur la première ligne, puis enregistrez le fichier sous l’un des noms suivants (lors de la recherche de fichiers de configuration, les serveurs cibles recherchent ces noms dans l’ordre indiqué).Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 139 .pass (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.pass). .pass (par exemple, 10.0.0.4.pass). .pass (par exemple, monserveur.pass). .pass (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.pass). .pass (par exemple, monserveur.exemple.com.pass). .pass (par exemple, 10.0.pass correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Enregistrez le fichier de phrase secrète sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. 16 Pour fournir de manière interactive une phrase secrète, utilisez l’Assistant du serveur sur un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. a Dans la sous-fenêtre Bienvenue ou Destination, choisissez Fichier > Fournir la phrase secrète. b Dans la zone de dialogue, tapez l’adresse IP, le mot de passe et la phrase secrète du serveur cible. c Cliquez sur Envoyer. 17 Si vous utilisez un fichier de configuration générique et que le numéro de série ne correspond pas à une licence de site, vous devez, après la configuration, saisir le numéro de série du serveur à l’aide d’Admin Serveur ou de la ligne de commande. Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur, cliquez sur Réglages, puis sur Général. Vous pouvez également utiliser ssh dans l’application Terminal, afin de vous connecter au serveur et saisir la commande serversetup -setServerSerialNumber. Pour une description de la disposition d’un fichier de configuration enregistré et pour en savoir plus sur la commande serversetup, consultez la section Administration de ligne de commande.140 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, vous pouvez le configurer automatiquement en utilisant des données enregistrées dans un répertoire. Cette méthode nécessite un répertoire et une infrastructure DHCP en place, comme dans la procédure ci-dessous. Pour enregistrer et appliquer des données de configuration dans une fiche de répertoire : 1 Assurez-vous que le répertoire dans lequel vous souhaitez enregistrer les données de configuration existe, que son système accepte les données de configuration enregistrées et qu’il est accessible à partir de votre ordinateur administrateur. Administration d’Open Directory décrit la configuration et l’accès aux répertoires. Il pré- sente également le système pour les données de configuration enregistrées. La gestion des données de configuration enregistrées est intégrée aux répertoires Apple OpenLDAP mais le système des autres répertoires doit être étendu pour accepter ce type de données. 2 Complétez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server pour chaque serveur à configurer. La Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server est disponible dans l’annexe. 3 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/Server. Vous n’avez pas besoin d’être administrateur sur l’ordinateur administrateur pour utiliser l’Assistant du serveur. 4 Dans la sous-fenêtre Bienvenue, sélectionnez « Enregistrer les infos de configuration avancées dans un fichier ou une fiche de répertoire » pour travailler en mode hors connexion (connexion serveur inutile). 5 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez la langue à employer pour administrer les serveurs cibles. 6 Si vous voulez créer une nouvelle configuration, passez à l’étape 7. Pour travailler avec une configuration existante, passez à l’étape 8. Si vous créez des données de configuration génériques, prenez soin de ne pas spécifier de noms de réseau (nom d’ordinateur et nom d’hôte local) et assurez-vous que l’interface réseau (port) est définie pour être configurée « Via DHCP » ou « Via BootP ». 7 Cliquez sur Continuer et saisissez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les sous-fenêtres de l’Assistant, en suivant les instructions affichées.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 141 8 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées sur lesquelles vous voulez travailler. Si les données de configuration enregistrées sont chiffrées, tapez la phrase secrète lorsque vous y êtes invité. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Dans la sous-fenêtre Interfaces de réseau, cliquez sur Ajouter pour spécifier les interfaces de réseau. 10 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par Assistant du serveur et cliquez si nécessaire sur Revenir pour modifier vos données. 11 Cliquez sur Enregistrer sous, puis sélectionnez Fiche de répertoire. 12 Pour chiffrer le fichier, sélectionnez « Enregistrer au format crypté », puis tapez une phrase secrète et confirmez-la. Avant qu’un enregistrement de répertoire chiffré soit utilisable par un serveur cible, vous devez fournir la phrase secrète. 13 Spécifiez le répertoire dans lequel vous souhaitez enregistrer la configuration, puis cliquez sur OK. À l’invite, saisissez les informations requises pour vous authentifier en tant qu’administrateur de domaine de répertoire. Les réglages sont enregistrés dans le répertoire dans AutoServerSetup. Les serveurs cibles recherchent les noms d’enregistrement dans l’ordre suivant : (incluez les zéros au début, mais ignorez les deux-points ; par exemple, 0030654dbcef). (par exemple, 10.0.0.4). (par exemple, monserveur). (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234). (par exemple, monserveur.exemple.com). (par exemple, 10.0 correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic (enregistrement que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). 14 Assurez-vous que l’infrastructure correcte est en place de façon à ce que les serveurs devant employer la fiche de configuration stockée puissent la retrouver. Le serveur de répertoire stockant la fiche de configuration doit être en cours d’exécution. Le protocole DHCP doit être configuré pour identifier le serveur de répertoire auprès des serveurs cibles via l’Option 95. De plus, il faudra éventuellement configurer le DNS si vos données de répertoire comportent des noms DNS.142 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Pour plus d’informations sur l’infrastructure, consultez la section « Définition de l’infrastructure minimale pour la configuration du serveur » à la page 31. Administration d’Open Directory etAdministration des services de réseau fournissent des instructions de configuration des répertoires et de DHCP. 15 Si les données de configuration sont chiffrées, rendez la phrase secrète accessible aux serveurs cibles. Vous pouvez fournir la phrase secrète de manière interactive, à l’aide de l’Assistant du serveur ou dans un fichier texte. Pour fournir la phrase secrète dans un fichier, suivez l’étape 16. Pour la fournir de manière interactive, passez à l’étape 17. 16 Pour fournir une phrase secrète dans un fichier, créez un fichier texte, tapez la phrase secrète du fichier de configuration enregistré sur la première ligne, puis enregistrez le fichier sous l’un des noms suivants : Les serveurs cibles recherchent ces noms dans l’ordre suivant : .pass (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.pass). .pass (par exemple, 10.0.0.4.pass). .pass (par exemple, monserveur.pass). .pass (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.pass). .pass (par exemple, monserveur.exemple.com.pass). .pass (par exemple, 10.0.pass correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Placez le fichier de phrase secrète sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous le répertoire /Volumes. 17 Pour fournir de manière interactive une phrase secrète, utilisez l’Assistant du serveur sur un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. a Dans la sous-fenêtre Bienvenue ou Destination, choisissez Fichier > Fournir la phrase secrète. b Dans la zone de dialogue, tapez l’adresse IP, le mot de passe et la phrase secrète du serveur cible. c Cliquez sur Envoyer. 18 Si vous utilisez une fiche de configuration générique et que le numéro de série du serveur ne correspond pas à une licence de site, vous devez indiquer le numéro de série du serveur à l’aide d’Admin Serveur ou de la ligne de commande à l’issue de la configuration.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 143 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur, cliquez sur Réglages, puis sur Général. Pour utiliser la ligne de commande, utilisez ssh dans l’application Terminal afin de vous connecter au serveur et saisissez la commande serversetup -setServerSerialNumber. Pour une description du système de données de configuration enregistrées dans un répertoire, consultez la section Administration d’Open Directory. Pour plus d’informations sur serversetup, consultez la section Administration de ligne de commande. Détermination de l’état des configurations Lorsque la configuration est terminée, le serveur redémarre et affiche la fenêtre d’ouverture de session. Si la configuration échoue, vous en serez informé de plusieurs façons. Utilisation de la sous-fenêtre Destination pour les informations d’état de configuration L’Assistant du serveur affiche les informations d’erreurs dans sa sous-fenêtre Destination. Pour y accéder, dans la sous-fenêtre Bienvenue, sélectionnez « Configurer un serveur distant » et cliquez sur Continuer. Si le serveur ne figure pas dans la liste, cliquez sur Ajouter. Sélectionnez le serveur et examinez les informations affichées. Vous pouvez enregistrer une liste de serveurs à contrôler dans la sous-fenêtre Destination, en choisissant Fichier > Enregistrer la liste de serveurs. Lorsque vous souhaitez surveiller l’état de ces serveurs, utilisez Fichier > Charger la liste de serveur. Gestion des échecs de configuration Lorsqu’une configuration de serveur échoue, un historique d’erreurs est créé dans /Système/Bibliothèque/ServerSetup/Configured/POR.err sur le serveur cible.Le contenu de cet historique peut être affiché et le fichier d’historique effacé sur un ordinateur administrateur distant. Double-cliquez sur l’icône d’erreur d’un serveur dans la sous-fenêtre Destination de l’Assistant du serveur. Si vous y êtes invité, fournissez le mot de passe prédéfini et cliquez sur Envoyer. Le contenu de l’historique est affiché et vous pouvez cliquer sur Supprimer pour effacer le fichier d’historique. La configuration ne peut pas être redémarrée tant que ce fichier n’a pas été effacé.144 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Si la configuration échoue parce qu’un fichier de phrase secrète est introuvable lors de l’utilisation de données de configuration enregistrées dans un fichier ou une fiche de répertoire, vous pouvez :  Utiliser l’Assistant du serveur pour indiquer de manière interactive une phrase secrète. Dans la sous-fenêtre Destination, choisissez Fichier > Fournir la phrase secrète.  Indiquer la phrase secrète dans un fichier texte. Placez le fichier de phrase secrète sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous / Volumes. Un serveur cible recherche dans les volumes par ordre alphabétique des noms de périphériques. Si la configuration d’un serveur distant échoue pour une raison ou une autre, réinstallez le logiciel serveur et recommencez la configuration initiale. Si la configuration d’un serveur local échoue, redémarrez l’ordinateur, exécutez de nouveau Assistant du serveur, puis redémarrez la configuration. Vous pouvez également réinstaller le logiciel serveur. Gestion des avertissements de configuration Lorsque la configuration est terminée, mais qu’il existe une condition nécessitant votre attention, un historique d’avertissement est créé dans /Bibliothèque/Logs/ServerAssistant.POR.status sur le serveur cible. Cliquez sur le lien ServerAssistant.status sur le bureau du serveur cible afin d’ouvrir ce fichier. Voici quelques-uns des messages que vous pouvez rencontrer dans l’historique :  Le numéro de série du logiciel serveur n’est pas valide. Ouvrez Admin Serveur, sélectionnez le serveur dans la liste Serveurs, cliquez sur Réglages, puis sur Général. Tapez le numéro de série correct, puis cliquez sur Enregistrer.  Étant donné que ce serveur a été configuré avec un fichier ou un enregistrement de répertoire générique et que le numéro de série ne correspond pas à une licence de site, vous devez saisir le numéro de série du logiciel serveur à l’aide d’Admin Serveur. Ouvrez Admin Serveur,sélectionnez le serveur dans la liste Serveurs, cliquez sur Réglages, puis sur Général. Tapez le numéro de série correct, puis cliquez sur Enregistrer.  L’administrateur de serveur défini dans les données de configuration existe déjà sur le serveur que vous avez mis à niveau. Obtention d’informations d’état sur l’installation de la mise à niveau Lorsque vous effectuez une mise à niveau, des fichiers d’historique peuvent être enregistrés sur le serveur cible. Pour plus d’informations sur les historiques de mise à niveau, reportez-vous aux informations de mise à niveau dans Mise à niveau et migration.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 145 Configuration des services Après avoir défini une configuration avancée, vous devez configurer les services à l’aide d’Admin serveur et ajouter des utilisateurs et des groupes à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail. Les sections suivantes abordent la configuration initiale de services individuels et vous indiquent où trouver des instructions pour personnaliser les services en fonction de vos besoins. Ajout de services à l’affichage Serveur Pour pouvoir configurer un service, vous devez l’ajouter à l’affichage des serveurs dans Admin Serveur. Par défaut, aucun service n’est affiché pour votre serveur. Au fur et à mesure que vous sélectionnez des services à administrer, les sous-fenêtres de configuration adéquates deviennent disponibles dans une liste sous le nom de votre ordinateur. La première fois que vous lancez Admin serveur et que vous vous connectez à un serveur nouvellement installé, vous êtes invité à sélectionner les services à installer et à configurer sur ce serveur. Les services que vous sélectionnez dans la liste sont affichés au fur et à mesure sous le nom d’hôte du serveur dans la liste des serveurs. Pour pouvoir être activé ou configuré, un service doit être ajouté à la liste des services administrés. Pour changer de services à administrer : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case de chaque service à activer. Configuration d’Open Directory À moins que votre serveur ne doive être intégré au système de répertoire d’un autre fabricant ou que l’architecture de répertoire d’un serveur que vous mettez à niveau doive être immédiatement modifiée, vous pouvez commencer à utiliser immédiatement les répertoires que vous avez configurés pendant la configuration du serveur. Administration d’Open Directory fournit des instructions concernant tous les aspects de la configuration de l’authentification et des domaines Open Directory, y compris :  la configuration de l’accès d’un ordinateur client à des données de répertoire partagé ;  la réplique de répertoires LDAP et des informations d’authentification de maîtres Open Directory ;  l’intégration avec Active Directory et d’autres répertoires non Apple ;  la configuration de la signature unique ;  l’utilisation de Kerberos et d’autres techniques d’authentification.146 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Configuration de la gestion des utilisateurs À moins d’utiliser un serveur exclusivement pour héberger du contenu Internet (comme des pages web) ou pour créer une grappe de calcul, vous serez probablement amené à configurer des comptes d’utilisateur en plus du ou des comptes d’administrateur créés lors de la configuration du serveur. Gestion des utilisateurs vous explique comment utiliser Gestionnaire de groupe de travail pour établir une connexion au répertoire, définir les réglages d’utilisateur, configurer des comptes de groupe et des listes d’ordinateurs, définir des préférences gérées ou importer des comptes. Pour configurer un compte utilisateur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Authentifiez-vous en tant qu’administrateur de répertoire auprès du répertoire. 3 Dans la partie supérieure de la fenêtre de l’application, cliquez sur le bouton Comptes pour sélectionner le répertoire auquel ajouter des utilisateurs. 4 Cliquez sur le bouton Nouvel utilisateur. 5 Spécifiez les réglages d’utilisateur dans les différentes sous-fenêtres. Vous pouvez configurer des comptes d’utilisateur en utilisant le Gestionnaire de groupe de travail pour importer les réglages à partir d’un fichier. Configuration des services de fichiers Lorsque vous activez les services de partage de fichiers, les utilisateurs peuvent partager des éléments dans les dossiers sélectionnés. Activez et configurez les services de fichiers et les points de partage à l’aide d’Admin Serveur. Dans les versions de Mac OS X Server antérieures à Leopard Server, les points de partage étaient créés à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail. Depuis lors, cette fonctionnalité a été dévolue à Admin Serveur. Administration des services de fichier fournit des instructions de gestion des points de partage et de configuration du partage de fichiers avec tous les protocoles. Pour configurer le partage de fichiers : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case appropriée pour chaque service de fichiers à activer. Pour partager des fichiers avec des ordinateurs Macintosh, activez le service de fichiers Apple (service AFP). Pour partager des fichiers avec des ordinateurs Windows, activez le service SMB. Pour fournir l’accès File Transfer Protocol (FTP), activez le service FTP.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 147 Pour un partage avec des ordinateurs UNIX, activez le service NFS. 4 Sélectionnez Partage de fichiers dans la barre d’outils. 5 Sélectionnez un volume ou un dossier à partager. 6 Sélectionnez « Partager cet élément » pour chaque dossier ou volume à partager. 7 Cliquez sur les autres onglets afin de spécifier des attributs pour le point de partage. Configuration du service d’impression Lorsque vous activez le service d’impression, les utilisateurs de serveurs peuvent partager des imprimantes réseau PostScript ou des imprimantes PostScript et non PostScript connectées directement au serveur. Une file d’attente est configurée automatiquement pour toute imprimante USB connectée au serveur. Aucune file d’imprimante n’est automatiquement configurée pour les imprimantes réseau, mais il est facile d’en ajouter. Pour configurer une file d’imprimante partagée : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case Service d’impression. 4 Dans la liste située sous le serveur, sélectionnez Service d’impression. Si le service n’est pas en cours d’exécution, cliquez sur le bouton de démarrage du service. 5 Cliquez sur Files d’attente. 6 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 7 Choisissez un protocole de connexion, identifiez une imprimante, puis cliquez sur OK. Les utilisateurs d’ordinateurs Mac OS X peuvent à présent ajouter l’imprimante à l’aide de Configuration d’imprimante. Pour plus d’informations sur la configuration des services d’impression, consultez la section Administration du service d’impression.148 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Configuration de service web Vous pouvez utiliser le serveur HTTP Apache fourni avec Mac OS X Server pour héberger des sites web d’utilisateurs ou de serveur. Si vous avez activé le service web dans Assistant du serveur, votre serveur est prêt à fournir des pages HTML à partir de dossiers du serveur et de dossiers d’utilisateurs.  Pour visualiser le site de serveur principal, ouvrez un navigateur web sur un ordinateur ayant accès au serveur et tapez l’adresse IP ou le nom de domaine du serveur.  Pour visualiser le site d’un utilisateur, ajoutez une barre oblique (/), un tilde (~) et le diminutif de l’utilisateur après l’adresse du serveur. Par exemple, tapez http://192.268.2.1/~utilisateur Pour activer le service web s’il n’est pas en cours d’exécution : 1 Si vous disposez des fichiers HTML de votre site principal, copiez-les dans le dossier Documents du répertoire /Bibliothèque/WebServer. Si les fichiers de votre site sont organisés en dossiers, copiez la structure des dossiers entière dans le dossier Documents. Dans le cas d’un site d’utilisateur, les fichiers sont placés dans le dossier Sites du dossier de départ de l’utilisateur. Assurez-vous que les fichiers et les dossiers de contenu web possèdent les autorisations et les options de propriétaire requises. Pour un accès web normal ou un accès WebDAV en lecture seule, les fichiers doivent pouvoir être lus par l’utilisateur www, et les dossiers (y compris l’ensemble des dossiers existants) doivent pouvoir être lus et interrogés par celui-ci. En outre, pour un accès WebDAV en lecture/écriture, l’utilisateur www doit pouvoir écrire dans les fichiers et dans le dossier immédiatement supérieur. Si vous ne disposez pas encore de vos fichiers HTML, vous pouvez toujours activer le service web pour voir comment il fonctionne à l’aide des pages de démarrage par défaut fournies avec Mac OS X Server. 2 Ouvrez Admin Serveur. 3 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 4 Cochez la case du service web. 5 Dans la liste sous le serveur, cliquez sur le bouton du service web. 6 Si le service n’est pas en cours d’exécution, cliquez sur le bouton Démarrer le service dans la barre d’outils. Administration des technologies web décrit de nombreux aspects du service web et explique notamment comment configurer SSL sur un site, activer WebMail et utiliser WebDAV pour le partage de fichiers.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 149 Configuration du service de messagerie Pour que vos utilisateurs puissent bénéficier de la totalité du service de messagerie disponible, vous devez définir d’autres réglages dont la configuration dépasse le cadre de ce guide. Administration du service de messagerie fournit des instructions de configuration et de gestion d’un serveur de messagerie. Configuration de services réseau Si vous voulez qu’un serveur héberge l’un des services réseau suivants, recherchez les instructions de configuration correspondantes dans Administration des services de réseau :  service DHCP  DNS  Service de coupe-feu  NAT (Network Address Translation)  RADIUS  VPN  service d’horloge réseau Configuration de services d’image système et de services de mise à jour de logiciels Pour plus d’informations sur l’utilisation de NetBoot et de NetInstall afin de simplifier la gestion et l’installation de systèmes d’exploitation clients et d’autres logiciels, consultez la section Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système. Il indique comment créer des images disque et configurer Mac OS X Server de façon que d’autres ordinateurs Macintosh puissent démarrer ou installer via le réseau, à partir de ces images. Le même guide décrit comment configurer le service de mise à jour de logiciels, lequel vous permet de personnaliser les mises à jour des logiciels Apple sur les ordinateurs clients. Pour activer NetBoot et NetInstall pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service NetBoot.150 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Configuration de la diffusion de données Pour en savoir plus sur la manière d’administrer un serveur de diffusion en continu de flux de données en temps réel ou à la demande vers des ordinateurs clients, consultez la section Administration de QuickTime Streaming et Broadcasting. Pour activer le service QuickTime Streaming pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service QuickTime Streaming. Configuration de Podcast Producer Pour plus d’informations sur la gestion d’un serveur de production de podcasts fournissant des données de syndication à des ordinateurs clients, consultez la section Administration de Podcast Producer. Pour activer le service Podcast Producer pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service Podcast Producer. Configuration du service WebObjects Si vous souhaitez développer des applications WebObjects, reportez-vous à la bibliothèque de référence WebObjects, disponible sur le site developer.apple.com/referencelibrary/WebObjects/ (en anglais). Si vous souhaitez configurer un serveur d’applications WebObjects, reportez-vous à la section Déploiement de la bibliothèque de référence WebObjects. Administration des technologies web fournit des informations supplémentaires sur le service WebObject. Pour activer le service WebObject pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service WebObject.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 151 Configuration du service iChat Outre les services déjà décrits permettant aux utilisateurs de communiquer (par exemple, les services de messagerie et de fichiers, ou encore les comptes et préférences de groupe), vous pouvez configurer un serveur iChat. La configuration du service iChat à l’aide d’Admin Serveur est décrite dans Administration du service iChat. Pour activer le service iChat pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service iChat. Configuration du service iCal En activant le service iCal, vous pouvez partager et modifier des calendriers pour les utilisateurs et les groupes. Une application de calendrier compatible avec CalDAV permet de partager, de visualiser et de modifier des calendriers avec d’autres personnes. La configuration du service iCal à l’aide d’Admin Serveur est décrite dans Administration du service iCal. Pour activer le service iCal pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service iCal.7 153 7 Gestion Ce chapitre explique comment effectuer la gestion continue de vos systèmes, notamment en configurant des ordinateurs administrateurs, en désignant des administrateurs et en maintenant la durée de fonctionnement des services. Il comprend les sections suivantes :  « Ports utilisés pour l’administration » à la page 154.  « Ports ouverts par défaut » à la page 154.  « Ordinateurs permettant d’administrer un serveur » à la page 154.  « Utilisation des outils d’administration » à la page 156.  « Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification » à la page 157.  « Ajout et suppression de serveurs dans Admin Serveur » à la page 157.  « Regroupement manuel de serveurs » à la page 158.  « Regroupement de serveurs à l’aide de groupes intelligents » à la page 159.  « Utilisation des réglages d’un serveur spécifique » à la page 159.  « Administration des services » à la page 164.  « Autorisations d’administration par niveaux » à la page 168.  « Notions élémentaires sur Gestionnaire de groupe de travail » à la page 170.  « Administration de comptes » à la page 171.  « Gestion d’ordinateurs de versions antérieures à la version 10.5 à partir de serveurs de version 10.5 » à la page 175.  « Assistants de configuration des services » à la page 175.  « Fichiers de données et de configuration critiques » à la page 176.  « Amélioration de la disponibilité des services » à la page 180.  « Configuration du redémarrage automatique de votre serveur » à la page 182.  « Équilibrage de la charge » à la page 190.  « Vue d’ensemble des démons » à la page 191.154 Chapitre 7Gestion Ports utilisés pour l’administration Les ports ci-dessous doivent être activés pour assurer le fonctionnement des applications d’administration Apple. En outre, d’autres ports doivent être activés pour chaque service à exécuter sur votre serveur. Pour un guide de référence sur les ports, consultez la section Administration des services de réseau et le manuel du service approprié. Ports ouverts par défaut Après l’installation, le coupe-feu est désactivé par défaut en mode de serveur avancé, ce qui signifie que tous les ports sont ouverts. Lorsque le coupe-feu est activé, tous les ports sont bloqués sauf ceux de la liste ci-dessous pour toutes les adresses IP d’origine : Ordinateurs permettant d’administrer un serveur Pour administrer un serveur localement au moyen des applications d’administration graphiques (dans /Applications/Server/), ouvrez une session sur le serveur en tant qu’administrateur, puis démarrez l’application. Pour administrer un serveur distant, ouvrez les applications sur un ordinateur administrateur. Un ordinateur administrateur est un ordinateur Mac OS X Server ou Mac OS X 10.5 ou ultérieur quelconque, sur lequel les outils d’administration ont été installés à partir du CD Mac OS X Server Admin Tools. Consultez la section « Configuration d’un ordinateur administrateur » à la page 155. Numéro et type de port Outil utilisé 22 TCP Shell de ligne de commande SSH 311 TCP Admin Serveur (avec SSL) 625 TCP Gestionnaire de groupe de travail 389, 686 TCP Répertoire 80 TCP Gestion de QuickTime Streaming 4111 TCP Xgrid Admin Numéro et type de port Service 22 TCP Shell de ligne de commande SSH 311 TCP Admin Serveur (avec SSL) 626 UDP Prise en charge du numéro de série 625 TCP Format de répertoire distant ICMP (entrée et sortie) ping standard 53 UDP Résolution de nom DNSChapitre 7 Gestion 155 Vous pouvez exécuter les outils de ligne de commande à partir de l’application Terminal (dans le répertoire /Applications/Utilitaires/) et sur n’importe quel ordinateur Mac OS X Server ou Mac OS X. Vous pouvez également exécuter les utilitaires de ligne de commande depuis un poste de travail UNIX. Configuration d’un ordinateur administrateur Un ordinateur administrateur est un ordinateur équipé de Mac OS X ou Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, qui vous permet d’administrer des serveurs distants. Dans l’illustration ci-dessous, les flèches vont des ordinateurs administrateurs vers les serveurs qu’ils permettent d’administrer. Une fois que vous avez installé et configuré un ordinateur Mac OS X Server doté d’un moniteur, d’un clavier et d’un lecteur optique, il constitue un ordinateur administrateur. Pour transformer un ordinateur équipé de Mac OS X en ordinateur administrateur, vous devez installer des logiciels supplémentaires. Pour activer l’administration à distance de Mac OS X Server à partir d’un ordinateur Mac OS X : 1 Assurez-vous que l’ordinateur Mac OS X est doté de Mac OS X version 10.5 ou ulté- rieure, et d’au moins 512 Mo de mémoire RAM et 1 Go d’espace disque inutilisé. 2 Insérez le CD Mac OS X Server Admin Tools. 3 Ouvrez le dossier du programme d’installation. 4 Démarrez le programme d’installation (ServerAdministrationSoftware.mpkg) et suivez les instructions à l’écran. Administration au moyen d’un ordinateur non Mac OS X Vous pouvez utiliser un ordinateur non Mac OS X prenant en charge SSH (comme un poste de travail UNIX) pour administrer Mac OS X Server à l’aide des utilitaires de ligne de commande. Pour plus d’informations, consultez la section Administration de ligne de commande. Serveurs Mac OS X Ordinateur administrateur Mac OS X156 Chapitre 7Gestion Vous pouvez également utiliser un ordinateur capable d’exécuter un visualiseur VNC pour administrer Mac OS X Server. L’utilisation de VNC pour administrer le serveur est similaire à l’utilisation locale du clavier, de la souris et du moniteur. Pour activer un serveur VNC sur l’ordinateur Mac OS X Server, exécutez le partage d’écran dans la sous-fenêtre Partage des Préférences Système. Utilisation des outils d’administration Les informations relatives à chaque outil d’administration sont disponibles aux pages indiquées dans le tableau ci-dessous. L’application Admin Serveur vous permet d’administrer des services sur un ou plusieurs ordinateurs Mac OS X Server. Admin Serveur vous permet également de spécifier des réglages qui prennent en charge plusieurs services, tels que la création et la gestion de certificats SSL, ainsi que la définition des utilisateurs et groupes autorisés à accéder aux services. Utilisez cette application ou cet outil Pour Consultez Programme d’installation Installer le logiciel serveur ou mettre à niveau la version 10.2 ou 10.3 page 85 Assistant du serveur Configurer un serveur en version 10.5 page 123 Gestionnaire de groupe de travail Administrer des comptes et leurs pré- férences gérées. page 170 Admin Serveur Configurer et surveiller des services et l’accès administrateur, configurer des points de partage. Configurer et administrer la diffusion en continu de données QuickTime page 159 page 42 Outils d’image système Gérer des images de disque NetBoot et NetInstall. page 53 Contrôle de serveur Contrôler l’équipement Xserve. page 195 QTSS Publisher Gérer les données et les préparer pour la diffusion en continu ou le téléchargement progressif. page 54 Apple Remote Desktop (facultatif) Surveiller et contrôler d’autres ordinateurs Macintosh. page 54 Utilitaires de ligne de commande Administrer un serveur au moyen d’un shell de commande UNIX. page 54 Xgrid Admin Surveiller des contrôleurs, des grilles et des tâches Xgrid localement ou à distance. page 55Chapitre 7 Gestion 157 Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification Admin Serveur est installé dans /Applications/Server/. Vous pouvez ouvrir Admin Serveur dans le Finder ou en cliquant sur l’icône correspondante dans le Dock ou sur le bouton Admin dans la barre d’outils de Gestionnaire de groupe de travail. Pour sélectionner un serveur à utiliser, tapez son adresse IP ou son nom DNS dans la zone de dialogue d’ouverture de session ou cliquez sur Parcourir pour le choisir dans une liste de serveurs. Tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe d’un administrateur de serveur, puis cliquez sur Se connecter. Ajout et suppression de serveurs dans Admin Serveur Les serveurs que vous pouvez administrer avec Admin Serveur apparaissent dans la liste Serveurs, sur le côté gauche de la fenêtre de l’application. Vous pouvez ajouter un serveur dans la liste Serveurs et ouvrir une session sur ce serveur en procédant de deux manières différentes :  Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans la barre d’action inférieure et choisissez Ajouter un serveur.  Choisissez Serveur > Ajouter un serveur dans la barre de menus. Lors de la prochaine ouverture d’Admin Serveur, tout ordinateur ajouté ici sera affiché dans la liste. Pour modifier l’ordre des serveurs dans la liste, glissez-les à la nouvelle position de votre choix.158 Chapitre 7Gestion Vous pouvez supprimer un serveur de la liste Serveurs de façon similaire. Sélectionnez tout d’abord le serveur à supprimer, puis effectuez l’une des actions suivantes :  Cliquez sur le bouton Effectuer l’action dans la barre d’action inférieure et choisissez Se déconnecter, puis Serveur distant.  Choisissez Serveur > Se déconnecter, puis Serveur > Serveur distant dans la barre des menus. Si un serveur de la liste Serveurs est affiché en gris, double-cliquez sur le serveur ou cliquez sur le bouton Se connecter dans la barre d’outils afin d’ouvrir une nouvelle session. Sélectionnez l’option « Mémoriser ce mot de passe dans mon trousseau » lorsque vous ouvrez une session pour activer la reconnexion automatique à la prochaine ouverture d’Admin Serveur. Regroupement manuel de serveurs Admin Serveur affiche les ordinateurs par groupes dans la section Liste des serveurs de la fenêtre de l’application. La liste par défaut des serveurs s’appelle Tous les serveurs. Il s’agit de la liste de tous les ordinateurs administrés possibles que vous avez ajoutés et auprès desquels vous êtes authentifiés. Vous pouvez créer d’autres groupes pour organiser à votre gré les ordinateurs du réseau. Les groupes de serveurs possèdent les caractéristiques suivantes :  Vous pouvez créer autant de listes que vous le souhaitez.  Les serveurs peuvent figurer dans plusieurs listes.  Les groupes peuvent être constitués selon n’importe quel schéma d’organisation imaginable :géographique, fonctionnel, matériel, voire esthétique.  Vous pouvez cliquer sur un nom de groupe pour afficher une vue d’ensemble de tous les serveurs du groupe. Vous pouvez partir de la liste Tous les serveurs pour définir des groupes de serveurs ciblés plus spécifiques. Pour ce faire, commencez par créer des listes vides, puis ajoutezy ultérieurement des serveurs figurant dans la liste Tous les serveurs. Pour créer un groupe de serveurs : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste Serveur dans le bas de la fenêtre Admin Serveur. 2 Sélectionnez Ajouter un groupe, puis donnez un nom au groupe. Pour renommer un groupe, cliquez sur son nom, puis immobilisez le pointeur de la souris quelques secondes au-dessus du nom. Ce dernier devrait alors devenir modifiable. 3 Faites glisser les serveurs du groupe Tous les serveurs vers le nouveau groupe.Chapitre 7 Gestion 159 Regroupement de serveurs à l’aide de groupes intelligents Admin Serveur affiche les ordinateurs par groupes dans la section Liste des serveurs de la fenêtre de l’application. La liste par défaut des serveurs s’appelle Tous les serveurs. Il s’agit d’une liste de tous les ordinateurs administrés possibles que vous avez ajoutés et auxquels vous êtes authentifiés. Il est possible de créer des listes de serveurs qui se remplissent automatiquement en fonction de critères personnalisés. Une fois que vous avez créé un groupe intelligent, tout serveur ajouté à la liste Tous les serveurs (ou à une autre liste spécifiée) correspondant aux critères est ajouté de façon dynamique au groupe intelligent. Vous pouvez vous baser sur certains ou sur tous les critères suivants :  Services visibles  Services en cours d’exécution  Débit réseau  Utilisation du CPU  Adresse IP  Version du système d’exploitation Pour créer un groupe de serveurs intelligent : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste Serveur dans le bas de la fenêtre Admin Serveur. 2 Sélectionnez « Ajouter un groupe intelligent ». 3 Attribuez un nom au groupe intelligent. 4 Définissez les critères d’affichage des serveurs dans la liste, puis cliquez sur OK. Le groupe s’affiche dans la liste Serveur. Utilisation des réglages d’un serveur spécifique Pour utiliser les réglages de serveur généraux, sélectionnez un serveur dans la liste Serveurs. La barre d’outils comporte alors un certain nombre de boutons qui affichent des options de configuration ou des onglets d’options de configuration.160 Chapitre 7Gestion L’illustration ci-dessous présente la sous-fenêtre Réglages d’un serveur : Le tableau suivant contient un descriptif résumé de chaque bouton : Un clic sur Réglages vous donne accès aux sous-fenêtres ci-dessous :  Sous-fenêtre Général :cliquez sur Général pour utiliser le numéro de série du serveur ou activer la prise en charge du protocole SNMP, NTP ou SSH, de la Gestion à distance et de la fonction de synchronisation des dossiers de départ mobiles côté serveur. Bouton de barre d’outils Affichage Aperçu Informations sur le matériel, les logiciels, les services et l’état du serveur. Historiques Historique système et historique des systèmes de sécurité. Graphiques Historique graphique de l’activité du serveur. Partage Options de configuration pour la définition des dossiers de partage de fichiers, des points de partage et du montage automatique. Màj du serveur Mise à jour de logiciels disponibles auprès d’Apple pour mettre à jour les logiciels du serveur. Certificats Certificats de sécurité du serveur. Réglages Réglages réseau du serveur, numéro de série du logiciel serveur, contrôles d’accès aux services et autres informations.Chapitre 7 Gestion 161 SNMP est l’abréviation de Simple Network Management Protocol, une norme qui facilite la surveillance et la gestion de l’ordinateur. Le serveur utilise le projet open source net-snmp pour son implémentation de SNMP. Bien qu’aucun des outils d’administration du serveur n’utilise ou ne nécessite SNMP, son activation permet la surveillance et la gestion du serveur à partir de logiciels SNMP tiers, tels que HP OpenView. Utilisez la case NTP (Network Time Protocol) pour activer le service NTP. Pour en savoir plus sur le protocole NTP, consultez la section Administration des services de réseau. SSH est l’abréviation de Secure Shell. Le serveur utilise le projet open-source OpenSSH pour son implémentation de SSH. Lorsque vous activez SSH, vous pouvez utiliser des outils de ligne de commande pour administrer le serveur à distance. SSH est également utilisé pour d’autres tâches d’administration à distance de serveurs, telles que la configuration initiale du serveur, la gestion du partage, ou encore l’affichage des chemins du système de fichiers et du contenu des dossiers dans les outils d’administration du serveur. SSH doit être activé lors de la création d’une réplique Open Directory, mais il peut ensuite être désactivé. Gestion à distance permet d’administrer le serveur à l’aide d’Apple Remote Desktop. Vous devez activer et désactiver l’administration d’Apple Remote Desktop dans cette sous-fenêtre plutôt que dans la sous-fenêtre Partage des Préférences Système. Le suivi des fichiers côté serveur pour la synchronisation des dossiers de départ mobiles est une fonction des dossiers de départ mobiles. Consultez la section Gestion des utilisateurs pour en savoir plus sur l’activation de cette fonction.  Sous-fenêtre Réseau :cliquez sur Réseau pour visualiser ou modifier le nom d’ordinateur ou le nom d’hôte local du serveur ou pour visualiser la liste des interfaces réseau de ce serveur et leurs informations d’adressage. Le nom d’ordinateur est le nom qu’un utilisateur voit lors de l’exploration du réseau (/Réseau). Le nom d’hôte local est généralement dérivé du nom d’ordinateur, mais il peut être modifié. Le tableau des interfaces réseau indique le nom de l’interface, le type d’adressage (IPv4 ou IPv6), l’adresse IP et le nom DNS trouvés par la recherche inversée de l’adresse.  Sous-fenêtre Date et heure :cliquez sur Date et heure pour régler la date et l’heure du serveur, la préférence de source NTP et le fuseau horaire. Administration des services de réseau fournit des informations supplémentaires sur le protocole NTP.  Sous-fenêtre Notifications :cliquez sur Notifications pour configurer les notifications automatiques d’événements Mac OS X Server. Vous devez indiquer l’adresse électronique et le déclencheur de notifications dans cette sous-fenêtre. « Notification dans Admin Serveur » à la page 198 fournit des informations plus détaillées sur les notifications.162 Chapitre 7Gestion  Sous-fenêtre Accès :cliquez sur Accès pour contrôler les accès utilisateur à certains services et pour attribuer des privilèges d’administration aux utilisateurs. Lorsque vous sélectionnez l’onglet Services, vous configurez l’accès aux services pour les utilisateurs et les groupes (listes ACL des services). Vous pouvez configurer le même accès à tous les services, ou bien sélectionner un service et personnaliser ses réglages d’accès. Les contrôles d’accès sont simples. Choisissez entre autoriser tous les utilisateurs et groupes à utiliser les services, ou autoriser uniquement certains utilisateurs et groupes à utiliser les services. L’onglet Administrateurs vous permet d’accorder aux utilisateurs des privilèges d’administration ou de contrôle des services du serveur. « Définition des autorisations d’administration » à la page 169 fournit des informations plus détaillées sur ces réglages.  Sous-fenêtre Services :cliquez sur Services pour afficher ou masquer des services de ce serveur dans Admin Serveur. Modification de l’adresse IP d’un serveur Vous pouvez modifier l’adresse IP d’un serveur à partir de la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système ou à l’aide de l’outil networksetup. changeip est invoqué dès qu’un changement d’adresse réseau est détecté, indépendamment des circonstances de la modification. L’outil changeip parcourt tous les fichiers de configuration et les emplacements de stockage de l’adresse IP du serveur pour effectuer les remplacements nécessaires. L’adresse IP du serveur peut être modifiée sans qu’il soit nécessaire d’invoquer changeip à partir de la ligne de commande. Modification du nom d’hôte du serveur après la configuration Lorsque vous procédez à la configuration initiale du serveur dans le cadre d’une nouvelle installation, Assistant du serveur définit la valeur du nom d’hôte en affectant la valeur AUTOMATIC au paramètre de nom d’hôte dans /etc/hostname. Avec ce réglage, le nom d’hôte du serveur est le premier nom qui est vrai dans cette liste :  Le nom fourni par le serveur DHCP ou BootP pour l’adresse IP principale  Le premier nom renvoyé par une requête DNS inversé (adresse-vers-nom) pour l’adresse IP principale  Le nom d’hôte local  Le nom « localhost » Si vous souhaitez modifier le nom d’hôte après la configuration initiale, n’utilisez pas la sous-fenêtre Partage des Préférences Système pour modifier le nom d’ordinateur du serveur ; utilisez l’outil de ligne de commande changeip. Pour plus de détails, consultez la section Administration de ligne de commande ou la page man de changeip.Chapitre 7 Gestion 163 Modification du type de configuration du serveur Après avoir installé un serveur en configuration Standard ou Groupe de travail, il est possible de transformer cette configuration en configuration Avancée. Tous les réglages précédemment définis dans les Préférences Système sont conservés dans la nouvelle configuration. Aucun approvisionnement automatique des services de l’utilisateur ne se produit à nouveau. Le coupe-feu Préférences du serveur, distinct du coupe-feu Admin Serveur, est désactivé par la conversion de la configuration du serveur en configuration Avancée. Vous devrez activer et configurer le coupe-feu via Admin Serveur. Une fois la conversion effectuée, l’administration du serveur se fait à l’aide d’Admin Serveur et d’autres outils associés. Préférences Système ne peut être utilisé ; la conversion est irréversible et n’a lieu qu’une fois. Pour modifier la configuration de votre serveur : 1 Configurez un ordinateur d’administration, doté d’Admin Serveur, de Gestionnaire de groupe de travail et d’autres outils d’administration. Pour obtenir des instructions spécifiques, consultez la section « Configuration d’un ordinateur administrateur » à la page 155. 2 Lancez Admin Serveur et ouvrez une session sur le serveur à convertir. Pour plus d’informations sur l’ouverture de session, consultez la section « Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification » à la page 157. Une zone de dialogue apparaît pour vous demander si vous souhaitez convertir le mode de configuration du serveur en mode Avancé. 3 Cliquez sur « Convertir à Avancé ». Le serveur n’est plus en mode de configuration Standard ou Groupe de travail.164 Chapitre 7Gestion Administration des services Pour utiliser un service particulier sur un serveur sélectionné dans la liste Serveurs d’Admin Serveur, cliquez sur le service dans la liste affichée sous le serveur. Vous pouvez afficher les informations relatives à un service (historiques, graphiques, etc.) et gérer ses réglages. Voici un exemple de sous-fenêtre de configuration de service dans Admin Serveur. Pour démarrer ou arrêter un service, sélectionnez-le, puis cliquez sur Démarrer ou sur Arrêter dans la barre d’outils inférieure. Ajout et suppression de services dans Admin Serveur Admin Serveur n’affiche que les services que vous administrez et masque toutes les autres sous-fenêtres de configuration de service tant qu’elles ne sont pas nécessaires. Pour pouvoir administrer un service, vous devez l’activer pour un serveur spécifique. Il apparaît alors sous le nom du serveur dans la liste principale Serveur. Pour ajouter ou supprimer un service dans Admin Serveur : 1 Sélectionnez le serveur destiné à héberger le service souhaité. 2 Cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils. 3 Cliquez sur Services. 4 Sélectionnez le service souhaité, puis cliquez sur Enregistrer. Le service, prêt pour la configuration, est alors affiché dans la liste.Chapitre 7 Gestion 165 Importation et exportation des réglages de service Pour copier des réglages de service d’un serveur vers un autre ou pour les enregistrer dans un fichier de liste de propriétés en vue de leur réutilisation, exécutez la commande d’exportation des réglages de service dans Admin Serveur. Pour exporter des réglages : 1 Sélectionnez le serveur souhaité. 2 Choisissez Serveur > Exporter > Réglages de service dans la barre des menus. 3 Sélectionnez les services dont vous souhaitez copier les réglages. 4 Cliquez sur Enregistrer. Le fichier créé contient toutes les informations de configuration de service sous la forme d’un document XML plist. Pour importer des réglages : 1 Sélectionnez le serveur cible destiné à recevoir les réglages. 2 Choisissez Serveur > Importer > Réglages de service dans la barre des menus. 3 Recherchez le fichier de service enregistré et sélectionnez-le. Cette fonction ne reconnaît que les documents XML plist, comme celui qui a été généré lors de l’exportation des réglages. 4 Cliquez sur Ouvrir. Contrôle de l’accès aux services Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour configurer les utilisateurs et groupes qui peuvent utiliser les services hébergés par un serveur. Vous devez définir l’accès aux services pour les utilisateurs et les groupes (SACL). Vous pouvez configurer le même accès à tous les services, ou bien sélectionner un service et personnaliser ses réglages d’accès. Les contrôles d’accès sont simples. Choisissez entre autoriser tous les utilisateurs et groupes à utiliser les services, ou autoriser uniquement certains utilisateurs et groupes à utiliser les services.166 Chapitre 7Gestion L’illustration suivant représente la sous-fenêtre SACL dans Admin Serveur : Sélectionnez un serveur dans la liste Serveurs, cliquez sur Réglages, sur Accès, puis sur Services. Vous pouvez spécifier séparément les contrôles d’accès des services individuels, ou définir un ensemble de contrôles qui s’appliquent à tous les services hébergés par le serveur. Utilisation de SSL pour l’administration à distance des serveurs Vous pouvez définir le niveau de sécurité des communications entre Admin Serveur et les serveurs distants en choisissant Admin Serveur > Préférences. Par défaut, Admin Serveur considère que toutes les communications établies avec des serveurs distants sont chiffrées par SSL. Cette option utilise un certificat auto-signé de 128 bits installé dans le répertoire /etc/servermgrd/ssl.crt à l’installation du serveur. Les communications utilisent HTTPS (port 311). Si cette option n’est pas possible, le protocole HTTP (port 687) est utilisé et du texte clair est échangé entre Admin Serveur et le serveur distant. Pour renforcer la sécurité, cochez également la case « Exiger une signature numérique valide (SSL) ».L’option « Exiger une signature numérique valide (SSL) » est désactivée par défaut. Elle utilise un certificat SSL installé sur un serveur distant afin de garantir que le serveur distant est un serveur valide.Chapitre 7 Gestion 167 Avant d’activer cette option, suivez les instructions décrites dans « Demande de certificat auprès d’une autorité de certificat », relatives à la création d’une demande de signature de certificat (CSR, Certificate Signing Request), l’obtention d’un certificat SSL auprès d’une autorité de certification et l’installation de ce certificat sur chaque serveur distant. Au lieu de placer les fichiers dans le répertoire /etc/httpd/, stockez-les dans /etc/servermgrd/. Vous pouvez également générer un certificat avec signature automatique et l’installer sur le serveur distant. Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour configurer et gérer les certificats SSL, autosignés ou émis, utilisés par le service de messagerie, le service web, le service Open Directory et d’autres services qui les prennent en charge. « Gestionnaire de certificats dans Admin Serveur » à la page 68 fournit des instructions d’utilisation d’Admin Serveur pour créer, organiser et utiliser des certificats de sécurité pour les services compatibles SSL. Les guides d’administration des services individuels décrivent comment configurer des services spécifiques pour l’utilisation de SSL. Si vous souhaitez définir des niveaux d’authentification SSL supérieurs, consultez les informations disponibles sur le site www.modssl.org. Gestion du partage Pour utiliser des points de partage et des listes de contrôle d’accès, cliquez sur l’icône Partage dans la barre d’outils d’Admin Serveur. Pour en savoir plus, consultez la section Administration des services de fichier.168 Chapitre 7Gestion L’illustration ci-dessous représente la sous-fenêtre de configuration Partage de fichiers dans Admin Serveur. Autorisations d’administration par niveaux Les versions précédentes de Mac OS X Server comportaient deux classes d’utilisateurs : les administrateurs et tous les autres utilisateurs. Les administrateurs pouvaient modifier les réglages de n’importe quel service ou les données de répertoire ainsi que les mots de passe et les politiques de mots de passe. Dans Mac OS X Server 10.5, vous pouvez désormais accorder à des utilisateurs et à des groupes certaines autorisations administratives sans les ajouter au groupe « admin » UNIX (c’est-à-dire sans en faire des administrateurs). Il existe deux niveaux d’autorisation :  Administrer :ce niveau d’autorisation est analogue à celui qui est attribué aux membres du groupe admin UNIX. Vous êtes autorisé à apporter n’importe quelle modification à un serveur ou à un service désigné (et à lui seul).  Contrôler :ce niveau d’autorisation permet de visualiser les sous-fenêtres Aperçu, les sous-fenêtres Historique et d’autres sous-fenêtres d’informations dans Admin Serveur, ainsi que les données d’état général du serveur dans les listes d’état des serveurs. Vous n’avez accès à aucun réglage de service enregistré.Chapitre 7 Gestion 169 Tout utilisateur ou groupe peut recevoir ces autorisations pour tous les services ou pour certains services sélectionnés. Les autorisations sont stockées par serveur. Les seuls utilisateurs autorisés à modifier la liste d’accès d’administration par niveaux sont les utilisateurs appartenant réellement au groupe admin UNIX. L’application Admin Serveur procédera à l’actualisation nécessaire pour indiquer quelles sont les opérations possibles en fonction des autorisations d’un utilisateur. Ainsi, certains services sont masqués ou leur sous-fenêtre Réglages est estompée si vous ne disposez que d’une autorisation de contrôle pour ces services. Comme cette fonctionnalité est appliquée côté serveur, les autorisations ont également une incidence sur l’utilisation des outils de ligne de commande serveradmin, dscl, dsimport et pwpolicy, car tous ils sont tous limités aux autorisations configurées pour l’administrateur. Définition des autorisations d’administration Vous pouvez décider si un utilisateur ou un groupe peut contrôler ou administrer un serveur ou un service sans lui attribuer l’ensemble des privilèges d’un administrateur UNIX. L’affectation d’autorisations effectives à des utilisateurs crée une administration par niveaux dans laquelle le nombre de tâches d’administration affectées à certains utilisateurs est limité. Pour affecter des autorisations : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Accès. 3 Cliquez sur l’onglet Administrateurs. 4 Indiquez si les autorisations d’administration doivent s’appliquer à tous les services ou à certains services du serveur. 5 Si vous choisissez de définir des autorisations par service, sélectionnez la case appropriée pour chaque service à activer. Si vous définissez des autorisations par service, assurez-vous que les administrateurs possèdent un accès à tous les services actifs du serveur. 6 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter un utilisateur ou un groupe à partir de la fenêtre des utilisateurs et des groupes. Pour supprimer des autorisations d’administration, sélectionnez un utilisateur ou un groupe, puis cliquez sur le bouton Supprimer (-). 7 Pour chaque utilisateur ou groupe, sélectionnez un niveau d’autorisations en regard de son nom. Vous pouvez choisir Contrôler ou Administrer.170 Chapitre 7Gestion Les capacités d’administration du serveur par Admin Serveur sont limitées par ce réglage quand le serveur est ajouté à la liste Serveur. Notions élémentaires sur Gestionnaire de groupe de travail Utilisez Gestionnaire de groupe de travail pour administrer les comptes suivants : comptes utilisateur, comptes de groupe et listes d’ordinateurs. Vous pouvez également l’utiliser pour définir les préférences des comptes utilisateur, des comptes de groupe, des ordinateurs Mac OS X et accéder à l’Inspecteur, une fonctionnalité avancée qui permet la modification des entrées Open Directory. Les sections suivantes décrivent l’utilisation générale de Gestionnaire de groupe de travail. Des instructions relatives aux tâches d’administration spécifiques sont disponibles dans l’aide de Gestionnaire de groupe de travail et dans plusieurs guides :  Gestion des utilisateurs explique comment utiliser Gestionnaire de groupe de travail pour gérer des comptes utilisateur, des comptes de groupe, des listes d’ordinateurs, des préférences et pour importer et exporter des comptes.  Administration des services de fichier décrit l’administration des points de partage à l’aide de la fonction Partage de Gestionnaire de groupe de travail.  Administration d’Open Directory fournit des informations sur l’utilisation de l’Inspecteur. Ouverture de Gestionnaire de groupe de travail et authentification Gestionnaire de groupe de travail est installé dans /Applications/Server/, vous pouvez l’ouvrir dans le Finder, dans le Dock ou en sélectionnant Présentation > Gestionnaire de groupe de travail dans la barre des menus d’Admin Serveur :  Lorsque vous ouvrez Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur que vous utilisez sans vous authentifier, vous avez un accès en lecture seule aux informations affichées dans le domaine local. Pour apporter des modifications, cliquez sur l’icône représentant un cadenas afin de vous authentifier en tant qu’administrateur de serveur. Cette procédure est la plus indiquée lorsque vous administrez différents serveurs et que vous travaillez avec divers domaines de répertoire.  Pour vous authentifier en tant qu’administrateur d’un serveur particulier, qu’il soit local ou distant, tapez l’adresse IP du serveur ou son nom DNS dans la fenêtre d’ouverture de session ou cliquez sur la zone du chemin d’accès aux répertoires dans la fenêtre Gestionnaire de groupe de travail pour choisir un autre serveur de répertoire. Tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe d’un administrateur du serveur, puis cliquez sur Se connecter. Procédez de cette manière si vous travaillez la plupart du temps avec le même serveur. Après avoir ouvert Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez ouvrir l’une de ses fenêtres pour un autre ordinateur en cliquant sur Nouvelle fenêtre dans la barre d’outils ou en choisissant Serveur > Se connecter.Chapitre 7 Gestion 171 Important :lorsque vous vous connectez à un serveur dans Gestionnaire de groupe de travail, veillez à ce que l’utilisation des majuscules et minuscules pour le nom d’utilisateur complet ou abrégé soit la même que dans le compte d’utilisateur. Administration de comptes Admin Serveur ne permet pas de gérer les comptes utilisateur et l’appartenance aux groupes. Pour ajouter et supprimer des utilisateurs et des groupes, utilisez Gestionnaire de groupe de travail. Pour en savoir plus sur l’administration de comptes, consultez la section Gestion des utilisateurs. Ce qui suit constitue un bref aperçu de l’administration de comptes à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail. Nous vous conseillons toutefois de consulter d’autres ressources documentaires, car l’administration de comptes ne se résume pas aux informations fournies ici. Gestion des utilisateurs et des groupes Une fois que vous avez ouvert une session dans Gestionnaire de groupe de travail, la fenêtre du compte apparaît, affichant une liste de comptes d’utilisateur. Il s’agit initialement des comptes stockés dans le dernier noeud de répertoire figurant dans le chemin de recherche du serveur. Lorsque vous utilisez d’autres fenêtres de Gestionnaire de groupe de travail, telles que Préférences, cliquez sur Comptes dans la barre d’outils pour revenir à la fenêtre des comptes. L’illustration ci-dessous montre un exemple de sous-fenêtre de configuration d’enregistrement d’utilisateur dans Gestionnaire de groupe de travail.172 Chapitre 7Gestion Pour spécifier les répertoires dans lesquels sont stockés les comptes que vous souhaitez utiliser, cliquez sur l’icône en forme de globe. Pour utiliser différents comptes dans différentes fenêtres de Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Nouvelle fenêtre dans la barre d’outils. Pour administrer les comptes répertoriés, cliquez sur le bouton Utilisateurs, Groupes, Ordinateurs ou Groupes d’ordinateurs sur le côté gauche de la fenêtre. Vous pouvez filtrer les comptes répertoriés en utilisant la liste de recherche au-dessus de la liste des comptes. Pour actualiser la liste des comptes, cliquez sur le bouton Actualiser dans la barre d’outils. Pour simplifier la définition des attributs initiaux d’un compte à sa création, utilisez des préréglages. Un compte prédéfini est un modèle de compte. Pour créer un préréglage, sélectionnez un compte, configurez toutes les valeurs à votre convenance, puis choisissez Enregistrer le préréglage dans le menu local Préréglages, au bas de la fenêtre. Pour travailler uniquement avec les comptes correspondant à des critères spécifiques, cliquez sur Rechercher dans la barre d’outils. Les fonctions Rechercher incluent l’option permettant la modification simultanée des comptes sélectionnés. Pour importer ou exporter des comptes, sélectionnez ceux qui vous intéressent, puis choisissez Serveur > Importer ou Serveur > Exporter. Définition des préférences gérées Pour utiliser des préférences gérées pour les comptes d’utilisateur, les comptes de groupe ou les listes d’ordinateurs, cliquez sur l’icône Préférences dans la barre d’outils de Gestionnaire de groupe de travail.Chapitre 7 Gestion 173 L’illustration ci-dessous représente la sous-fenêtre d’aperçu de la gestion des préférences d’utilisateur dans Gestionnaire de groupe de travail : Cliquez sur Détails pour utiliser l’éditeur de préférences afin de modifier des manifestes de préférences. L’illustration ci-dessous constitue un exemple de feuille d’éditeur de préférences dans Gestionnaire de groupe de travail.174 Chapitre 7Gestion Utilisation de données de répertoire Pour modifier des données de répertoire brutes, utilisez l’Inspecteur de Gestionnaire de groupe de travail. L’illustration ci-dessous représente la sous-fenêtre Inspecteur de l’enregistrement dans Gestionnaire de groupe de travail : Pour afficher l’inspecteur : 1 Choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences. 2 Activez « Afficher l’onglet « Toutes les fiches » et l’inspecteur », puis cliquez sur OK. 3 Ensuite, cliquez sur le bouton Tous les enregistrements (qui ressemble à un oeil de boeuf) pour accéder à l’Inspecteur. 4 Utilisez le menu local situé au-dessus de la liste Nom afin de sélectionner les fiches qui vous intéressent. Par exemple, vous pouvez utiliser les utilisateurs, les groupes, les ordinateurs, les points de partage et beaucoup d’autres objets de répertoire. Personnalisation de l’environnement de Gestionnaire de groupe de travail Il existe plusieurs moyens d’adapter l’environnement de Gestionnaire de groupe de travail :  Pour contrôler l’affichage des comptes dans Gestionnaire de groupe de travail, ainsi que d’autres comportements, choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences.Chapitre 7 Gestion 175  Pour personnaliser la barre d’outils, choisissez Affichage > Personnaliser la barre d’outils.  Pour inclure des utilisateurs et groupes prédéfinis dans les listes d’utilisateurs et de groupes, choisissez Affichage > Afficher les utilisateurs et groupes du système.  Pour ouvrir Admin Serveur afin de contrôler et de modifier des services sur des serveurs particuliers, cliquez sur l’icône Admin Serveur dans la barre d’outils. Gestion d’ordinateurs de versions antérieures à la version 10.5 à partir de serveurs de version 10.5 Les serveurs Mac OS X Server 10.4 peuvent être administrés à l’aide des outils d’administration de serveur de la version 10.5. Il est possible d’utiliser Gestionnaire de groupe de travail sur un serveur de version 10.5 pour gérer des clients Mac OS X dotés de Mac OS X 10.3 ou ultérieur. Une fois que vous avez modifié un enregistrement d’utilisateur à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail en version 10.5, cet enregistrement n’est plus accessible que via Gestionnaire de groupe de travail en version 10.5. Les préférences de clients Mac OS 9 peuvent être gérées à l’aide de Gestionnaire Macintosh depuis un serveur 10.5 uniquement si vous effectuez une mise à niveau avec la version 10.5. Vous pouvez utiliser une mise à niveau pour installer la version 10.5 sur un serveur doté de la version 10.3.9 ou de la version 10.2.8. Assistants de configuration des services Admin Serveur possède des assistants destinés à vous guider durant la configuration des services lorsque la procédure n’est pas limitée à une seule sous-fenêtre de configuration. Ces assistants vous proposent toutes les sous-fenêtres de configuration nécessaires à l’activation complète d’un service. Les assistants sont disponibles pour les services suivants :  Configuration de la passerelle :cet assistant vous aide à configurer votre serveur en tant que passerelle réseau. Ouvrez l’assistant en cliquant sur un bouton dans la partie inférieure droite de la page d’aperçu du service NAT.  Courrier électronique :cet assistant vous aide à configurer le service de courrier électronique pour les messages entrants et les messages sortants. Ouvrez l’assistant en cliquant sur un bouton dans la partie inférieure droite de la page d’aperçu du service de courrier électronique.  RADIUS :cet assistant vous aide à configurer l’authentification RADIUS pour des points d’accès sans fil Apple AirPort. Ouvrez l’assistant en cliquant sur un bouton dans la partie inférieure droite de la page d’aperçu du service RADIUS.176 Chapitre 7Gestion  Xgrid :cet assistant vous aide à configurer des contrôleurs Xgrid. Ouvrez l’assistant en cliquant sur un bouton dans la partie inférieure droite de la page d’aperçu du service Xgrid. Fichiers de données et de configuration critiques Lors de la sauvegarde de données et de réglages système, veillez plus particulièrement à assurer la sauvegarde de tous vos fichiers de configuration critiques. La nature et la fréquence de vos sauvegardes dépend des politiques de sauvegarde, d’archivage et de restauration de votre organisation. Pour plus d’informations sur la création d’une politique de sauvegarde et de restauration, consultez la section « Définition de politiques de sauvegarde et de restauration » à la page 34. Le tableau ci-dessous présente la liste des fichiers et données de configuration de services disponibles sur Mac OS X Server. Général Service iCal Serveur iChat Notifications Type de fichiers Emplacement États de service /System/Bibliothèque/LaunchDaemons/* Fichiers de configuration SSH et clés publiques/privées de l’hôte /etc/ssh/* Trousseau système /Bibliothèque/Keychains/System.keychain Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/caldavd/caldavd.plist Données /Bibliothèque/CalendarServer/Documents/ Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/jabberd/* Données mysqldump jabberd2 > jabberd2.backup.sql Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/emond.d/ /etc/emond.d/rules/ /Bibliothèque/Keychains/System.keychainChapitre 7 Gestion 177 QuickTime Streaming Server Service de coupe-feu Service NAT Services de messagerie Le tableau ci-dessous présente les fichiers de configuration et les emplacements de stockage des données de service de messagerie. Messagerie—SMTP Server Postfix Messagerie—POP/IMAP Server Cyrus Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /Bibliothèque/QuickTimeStreamingServer/Config/* /Bibliothèque/QuickTimeStreamingServer/Playlists/* /Bibliothèque/Application Support/Apple/QTSS Publisher/* Données :(emplacements par défaut) /Bibliothèque/QuickTimeStreamingServer/Movies/* ~user/Sites/Streaming/* Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/ipfilter/* Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/nat/* Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/postfix/ Données :(emplacements par défaut) /var/spool/postfix/ Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/imapd.conf /etc/cyrus.conf Données :(emplacement par défaut de la base de données du courrier) /var/imap (stockage des données du courrier électronique) /var/spool/imap178 Chapitre 7Gestion Les emplacements personnalisés sont définis dans /etc/impad.conf à l’aide des clés suivantes avec des valeurs par défaut : Courrier—Amavisd Courrier—Clam AV Courrier—Mailman Courrier—SpamAssassin Emplacements personnalisés Clé : paire de valeurs Emplacement de la base de données de courrier configdirectory :/var/imap Emplacement de stockage des données de courrier partition-default : /var/spool/imap Partitions de stockage de données supplémentaires (sans valeur par défaut) partition-xxx : /var/spool/mail_xxx Il peut exister plusieurs partitions de stockage de données supplé- mentaires Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/amavisd.conf Données :(emplacements par défaut) /var/amavis/ Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/clamav.conf /etc/freshclam.conf Données :(emplacements par défaut) /var/clamav/ /var/virusmails/ Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /var/mailman/ Données :(emplacements par défaut) /var/mailman/ Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/mail/spamassassin/local.cf Données :(emplacements par défaut) /etc/mail/spamassassin/Chapitre 7 Gestion 179 Service MySQL PHP Service web L’emplacement par défaut du contenu web est configurable et généralement modifié et étendu pour inclure plusieurs répertoires WebDAV et de contenu hôte virtuels. Remarque :les fichiers d’historique de service web constituent une source importante de recettes pour certains sites et leur sauvegarde doit être envisagée. Leur emplacement (configurable) peut être défini à l’aide d’Admin Serveur. Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration Il n’existe pas de fichier de configuration pour MySQL, mais l’administrateur peut en créer un qui doit alors être sauvegardé : /etc/my.cnf Données :(emplacements par défaut) /var/mysql/ mysqldump --all-databases > all.sql Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration Il n’existe pas de fichier de configuration pour PHP, mais l’administrateur peut en créer un (en copiant /etc/php.ini.default dans /etc/ php.ini, puis en le modifiant). Dans ce cas, le fichier suivant doit être sauvegardé : /etc/php.ini Données :(emplacements par défaut) Emplacement désigné par l’administrateur Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/httpd/* (pour Apache 1.3) /etc/apache2/* (pour Apache 2.2) /etc/webperfcache/* /Bibliothèque/Keychains/System.keychain Données :(emplacements par défaut) /Bibliothèque/WebServer/Documents/ /Bibliothèque/Logs/WebServer/* /Bibliothèque/Logs/Migration/webconfigmigrator.log (outil de migration de configuration Apache)180 Chapitre 7Gestion Serveur wiki et blog Amélioration de la disponibilité des services L’élimination des points de défaillance uniques et l’utilisation de Xserve et d’un maté- riel RAID constituent certains des éléments pouvant contribuer à augmenter la disponibilité de votre serveur. Vous pouvez aussi recourir à des options aussi bien simples, comme le recours à une alimentation de réserve, le redémarrage automatique, la garantie de conditions de fonctionnement adéquates (niveaux de température et d’humidité adaptés par exemple), etc.), qu’avancées (agrégation de liens, équilibrage de charge, réplique Open Directory, sauvegarde de données, etc.). Élimination des points de défaillance uniques Pour améliorer la disponibilité de votre serveur, réduisez ou éliminez les points de défaillance uniques. On qualifie de point de défaillance unique tout composant d’un environnement de serveur qui provoque la panne de ce dernier s’il est lui-même défaillant. Voici quelques exemples de points de défaillance uniques :  le système informatique;  le disque dur;  l’alimentation. Bien qu’il soit pratiquement impossible d’éliminer tous les points de défaillance uniques, essayez au moins de les réduire autant que possible. Ainsi, l’utilisation d’un système de sauvegarde et du basculement IP dans Mac OS X Server permet d’éliminer l’ordinateur comme point de défaillance unique. Même s’il est possible qu’un ordinateur principal et son ordinateur de réserve tombent en panne en même temps ou l’un après l’autre, la probabilité d’un tel événement demeure négligeable. Une autre manière d’éviter la défaillance d’un ordinateur est d’utiliser une source d’alimentation de réserve et d’utiliser un système RAID matériel pour effectuer une copie miroir du disque dur. Avec le RAID matériel, si le disque principal est victime d’une défaillance, le système peut toujours accéder aux mêmes données sur le disque miroir, comme c’est le cas avec Xserve. Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/wikid/* /Bibliothèque/Application Support/Apple/WikiServer (thèmes wiki et fichiers modèles) Données :(emplacements par défaut) /Bibliothèque/Collaboration/ Fichiers d’historique :(emplacement par défaut) /Bibliothèque/Logs/wikid/*Chapitre 7 Gestion 181 Utilisation de Xserve pour obtenir une haute disponibilité Xserve est conçu pour garantir une fiabilité élevée et donc une haute disponibilité. Bien que des ordinateurs de bureau tels que le Power Mac G5 ou le Mac Pro permettent d’assurer des services Mac OS X Server de manière très fiable, Xserve possède les fonctionnalités supplémentaires suivantes qui en font la solution idéale dans les situations requérant une haute disponibilité.  Xserve comporte huit ventilateurs. En cas de panne de l’un de ces ventilateurs, les sept autres accélèrent pour compenser la défaillance et permettre à votre serveur de continuer à fonctionner.  Une architecture de disques indépendante isole électriquement les disques de façon à empêcher que la défaillance d’un seul des disques n’entraîne une indisponibilité ou une dégradation des performances des disques restants, un problème souvent rencontré avec lesimplémentations SCSI multidisque.  Xserve exploite la logique de code correcteur d’erreurs (ECC, Error Correction Code) pour protéger le système contre les données endommagées et les erreurs de transmission. Chaque DIMM possède un module de mémoire supplémentaire qui stocke les données de somme de contrôle de chaque transaction. Le contrôleur système se sert de ces données ECC pour identifier les erreurs portant sur un seul bit et les corrige à la volée, évitant ainsi des arrêts système inopinés. Dans le cas très rare d’une erreur portant sur plusieurs bits, le contrôleur système détecte l’erreur et déclenche une notification système afin d’empêcher les mauvaises données de corrompre d’autres opérations. Vous pouvez configurer le logiciel Contrôle de serveur de manière à ce qu’il vous avertisse si le taux d’erreurs dépasse le seuil défini.  Xserve intègre l’écriture en miroir RAID matérielle qui protège votre serveur contre toute défaillance en cas de panne de disque principal. Pour plus d’informations sur Xserve, consultez le site www.apple.com/fr/xserve/. Utilisation d’une alimentation de réserve Dans l’architecture d’une solution de serveur, l’alimentation constitue un point de défaillance unique. Si l’alimentation est interrompue, vos serveurs s’éteignent sans pré- venir. Pour éviter toute interruption soudaine des services, pensez à ajouter une source d’alimentation de réserve. En fonction de votre application, vous pouvez choisir entre un générateur électrique de réserve et un périphérique d’alimentation sans interruption (UPS), qui vous permettront de gagner assez de temps pour avertir les utilisateurs de l’interruption imminente des services.182 Chapitre 7Gestion Utilisation d’UPS avec Xserve Xserve n’assure pas la connectivité de port série aux périphériques UPS, mais peut contrôler l’alimentation UPS via le réseau si l’unité UPS est équipée d’une carte réseau. Pour en savoir plus, renseignez-vous auprès des fournisseurs de périphériques UPS. L’illustration suivante représente un Xserve connecté à un onduleur via un réseau : Configuration du redémarrage automatique de votre serveur Vous pouvez configurer les options Économiseur d’énergie de votre ordinateur Mac OS X Server afin que ce dernier redémarre automatiquement s’il s’éteint à cause d’une panne de courant ou en cas de blocage du système. L’illustration ci-dessous représente la sous-fenêtre Économiseur d’énergie des Préférences Système : Xserve Appareil UPS Source d’alimentation Alimentation de secours Réseau localChapitre 7 Gestion 183 Les options de redémarrageautomatique sont les suivantes :  Redémarrage automatique après une panne de courant. L’unité de gestion de l’alimentation démarre le serveur automatiquement après une panne de courant.  Redémarrage automatique après un blocage. L’unité de gestion de l’alimentation démarre automatiquement le serveur dès que le serveur ne répond plus, souffre d’une panique de noyau ou se bloque. Lorsque vous sélectionnez l’option de redémarrage automatique après un blocage, Mac OS X Server génère le démon wdticklerd qui commande toutes les 30 secondes à votre ordinateur de redémarrer au bout de cinq minutes. À chaque fois que la commande est envoyée, la minuterie de redémarrage est réinitialisée. Par conséquent, la minuterie n’atteint jamais cinq minutes tant que le serveur fonctionne. Si l’ordinateur se bloque, l’unité de gestion de l’alimentation le redémarre à l’issue des cinq minutes. Pour activer le redémarrage automatique : 1 Ouvrez une session sur le serveur en tant qu’administrateur. 2 Ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Économiseur d’énergie. 3 Cliquez sur Options. 4 Sélectionnez des options de redémarrage sous Autres options. 5 Fermez les Préférences Système Pour assurer de bonnes conditions de fonctionnement La surchauffe est l’un des facteurs capables de causer un dysfonctionnement de vos serveurs. Ce problème est particulièrement susceptible de survenir si vous regroupez des ordinateurs en grappe dans un espace réduit. D’autres facteurs, tels que l’humidité et les variations électriques importantes, peuvent être préjudiciables à votre serveur. Pour protéger vos serveurs, veillez à les placer dans un endroit où vous pouvez contrô- ler ces facteurs et leur garantir des conditions de fonctionnement idéales. Pour connaî- tre ces conditions, vérifiez quelles sont les consignes indiquées pour vos systèmes en matière d’électricité et d’environnement. Assurez-vous également que le local dans lequel vous déployez votre serveur est équipé d’une alarme incendie et établissez un plan de secours anti-incendie. Fourniture de répliques Open Directory Si vous prévoyez de fournir des services Open Directory, vous devez penser à créer des répliques de votre maître Open Directory. Si le serveur maître est défectueux, les ordinateurs client pourront accéder à la réplique. Pour en savoir plus, consultez la section consacrée à la configuration de répliques Open Directory dans Administration d’Open Directory.184 Chapitre 7Gestion Agrégation de liens Bien que peu fréquentes, les défaillances de commutateur, de câble ou de carte d’interface réseau peuvent entraîner l’indisponibilité de votre serveur. Pour éliminer ce type de points de défaillance unique, vous pouvez utiliser l’agrégation de liens. Également appelée IEEE 802.3ad, cette technologie est intégrée à Mac OS X et à Mac OS X Server. L’agrégation de liens consiste à agréger ou combiner dans un lien logique unique plusieurs liens physiques en connectant votre Mac à un périphérique d’agrégation de liens (un commutateur ou un autre Mac). Le résultat est un lien à tolérance de pannes doté d’une bande passante égale à la somme des bandes passantes des liens physiques. Par exemple, vous pouvez configurer un Xserve avec quatre ports 1 Gbit/s (en1, en2, en3 et en4) et utiliser la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système pour créer une configuration de port d’agrégation de liens (bond0) combinant en1, en2, en3 et en4 en un seul lien logique. Le lien logique en résultant aura une bande passante de 4 Gbit/s. Ce lien offrira également une tolérance de pannes. Toute défaillance d’un ou de plusieurs liens physiques a pour effet de réduire la bande passante de votre Xserve, mais ce dernier peut toujours gérer les requêtes dès lors que les liens physiques ne sont pas tous simultané- ment défaillants. L’illustration suivante représente quatre ports Ethernet réunis en une seule et même interface : server1.exemple.com 400 Mbit/s 4 x 100 Mbit/s bond0 en1 en2 en3 en4 AlternerChapitre 7 Gestion 185 L’agrégation de liens vous permet également de tirer parti de votre matériel existant ou de matériel peu onéreux pour élargir la bande passante de votre serveur. Par exemple, vous pouvez former un agrégat de liens à partir d’une combinaison de plusieurs liens de 100 Mbit/s ou de liens de 1 Gbit/s. Le protocole d’agrégation de liens (LACP, Link Aggregation Control Protocol) L’agrégation de liens IEEE 802.3ad définit un protocole dénommé Link Aggregation Control Protocol (LACP) et utilisé par Mac OS X Server pour agréger (combiner) plusieurs ports en un agrégat de liens (un port virtuel) destiné aux connexions TCP et UDP. Lorsque vous définissez un agrégat de liens, les nœuds de part et d’autre de l’agrégat (par exemple, un ordinateur et un commutateur) utilisent LACP sur chaque lien physique pour :  déterminer si le lien peut être agrégé,  maintenir et contrôler l’agrégation. Si un nœud ne reçoit pas régulièrement de paquets LACP de son homologue (l’autre nœud de l’agrégat), il considère que ce dernier n’est plus actif et supprime le port de l’agrégat. Outre LACP, Mac OS X Server utilise un algorithme de distribution de cadres pour mapper une conversation sur un port spécifique. Cet algorithme n’envoie de paquets au système situé à l’autre extrémité de l’agrégat que si la réception de paquets y est activée. En d’autres termes, l’algorithme n’envoie pas de paquets si l’autre système « n’est pas à l’écoute ». Mapper une conversation sur un port particulier permet de garantir qu’aucune réorganisation de paquets n’aura lieu. Scénarios d’agrégation de liens Voici trois scénarios courants d’agrégation qu’il est possible de configurer :  Ordinateur-ordinateur  Ordinateur-commutateur  Ordinateur-paire de commutateurs Ces scénarios sont décrits dans les sections suivantes.186 Chapitre 7Gestion Ordinateur-ordinateur Dans ce scénario, vous connectez directement les deux serveurs (voir illustration suivante) à l’aide des liens physiques de l’agrégat de liens. Cela permet aux deux serveurs de communiquer à une vitesse plus élevée sans l’aide d’un commutateur. Cette configuration est idéale pour assurer la redondance dorsale. Ordinateur-commutateur Dans ce scénario, représenté ci-dessous, vous connectez votre serveur à un commutateur configuré pour l’agrégation de liens 802.3ad. Le commutateur devra disposer d’une bande passante de traitement du trafic entrant égale ou plus importante que celle de l’agrégat de liens (lien logique) que vous définissez sur votre serveur. Par exemple, si vous créez un agrégat de quatre liens 1 Gbit/s, vous devrez utiliser un commutateur capable de traiter le trafic entrant (provenant de clients) à 4 Gbit/s ou plus. Faute de quoi, l’avantage que constitue une bande passante plus large dans l’agrégat de liens ne sera pas totalement accompli. Remarque :pour en savoir plus sur la configuration de votre commutateur pour l’agrégation de liens 802.3ad, consultez la documentation fournie par le fabricant du commutateur. 4 x 100 Mbit/s server1.exemple.com Clients 4 x 1 Gbit/s 10 Gbit/sChapitre 7 Gestion 187 Ordinateur-paire de commutateurs Ce scénario, représenté dans l’illustration suivante, constitue une version améliorée du scénario ordinateur-commutateur puisque deux commutateurs sont utilisés pour éviter que le commutateur ne constitue un point de défaillance unique. Par exemple, vous pouvez connecter deux liens de l’agrégat de liens sur le commutateur principal et le reste des liens sur le commutateur de réserve. Ce dernier demeure inactif tant que le commutateur principal est actif. Si ce dernier tombe en panne, le commutateur de réserve prend le relais de façon transparente pour l’utilisateur. Bien que ce scénario ajoute de la redondance, dont l’avantage est de protéger le serveur contre toute indisponibilité en cas de défaillance du commutateur, il réduit en revanche la bande passante. Configuration de l’agrégation de liens dans Mac OS X Server Pour configurer votre Mac OS X Server pour l’agrégation de liens, vous devez disposer d’un Mac équipé d’au moins deux ports Ethernet compatibles IEEE 802.3ad. Vous devez également vous munir d’au moins un commutateur compatible IEEE 802.3ad ou d’un autre ordinateur Mac OS X Server équipé du même nombre de ports. server1.exemple.com 3 x 1 Gbit/s 2 x 1 Gbit/s188 Chapitre 7Gestion La création d’un agrégat de liens s’effectue dans la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système(voir l’exemple suivant) : Pour créer un agrégat de liens : 1 Ouvrez une session sur le serveur en tant qu’utilisateur administrateur. 2 Ouvrez Préférences Système. 3 Cliquez sur Réseau. 4 Cliquez sur le bouton représentant un engrenage et choisissez « Gérer des interfaces virtuelles » dans le menu local. 5 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) et sélectionnez « Nouvel agrégat de liens » dans le menu local. Remarque :cette option n’apparaît que si vous disposez d’au moins deux interfaces Ethernet dans votre système. 6 Tapez le nom de l’agrégat de liens dans le champ Nom. 7 Sélectionnez les ports à agréger à partir de la liste. 8 Cliquez sur Créer. 9 Cliquez sur Terminé. Par défaut, le système donne à l’agrégat de liens le nom d’interface bond , où est un nombre indiquant la priorité. Par exemple, le premier agrégat de liens est appelé bond0, le deuxième bond1 et le troisième bond2.Chapitre 7 Gestion 189 Le nom d’interface bond attribué par le système diffère du nom que vous donnez à la configuration de port d’agrégat de liens. Le nom d’interface est utilisé dans la ligne de commande, mais le nom de la configuration de port est réservé à la sous-fenê- tre Réseau des Préférences Système. Ainsi, le résultat de la commande ifconfig -a fait référence à l’agrégat de liens en utilisant le nom d’interface, pas le nom de la configuration de port : … bond0: flags=8843 mtu 1500 inet6 fe80::2e0:edff:fe08:3ea6 prefixlen 64 scopeid 0xc inet 10.0.0.12 netmask 0xffffff00 broadcast 10.0.0.255 ether 00:e0:ed:08:3e:a6 media: autoselect (100baseTX ) status: active supported media: autoselect bond interfaces: en1 en2 en3 en4 Vous ne pouvez pas supprimer une connexion de lien à partir de la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système. Vous devez le supprimer via la feuille « Gérer des interfaces virtuelles » utilisée pour le créer. Contrôle de l’état de l’agrégation de liens Vous pouvez contrôler l’état d’un agrégat de liens dans Mac OS X et Mac OS X Server à l’aide de la sous-fenêtre État de la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système. Pour contrôler l’état d’un agrégat de liens : 1 Ouvrez Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans la liste d’interfaces réseau à gauche, choisissez l’interface virtuelle de port d’agré- gat de liens. 4 Cliquez sur Avancé dans la partie inférieure droite de la fenêtre. 5 Sélectionnez l’onglet État de la connexion. La sous-fenêtre État affiche une liste dans laquelle une rangée est attribuée à chaque lien physique de l’agrégat de liens. Pour chaque lien, vous pouvez voir le nom de l’interface réseau, sa vitesse, son réglage de duplex, les témoins d’état du trafic entrant et sortant et une évaluation d’ensemble de l’état. Remarque :les témoins d’état Envoi et Réception possèdent un code couleur. La couleur verte signifie que le lien est actif et connecté. La couleur jaune signifie que le lien est actif mais n’est pas connecté. La couleur rouge signifie que le lien ne peut ni envoyer ni recevoir de trafic. 6 Pour consulter davantage d’informations à propos d’un lien, cliquez sur l’entrée correspondante dans la liste.190 Chapitre 7Gestion Équilibrage de la charge La surcharge de serveur est l’un des facteurs pouvant entraîner l’indisponibilité de vos services. Un serveur a des ressources limitées et ne peut gérer qu’un nombre restreint de requêtes à la fois. Si le serveur est surchargé, il ralentit et risque même de se bloquer. L’une des manières de résoudre ce problème est de répartir la charge au sein d’un groupe de serveurs (grappe de serveurs) à l’aide d’un périphérique d’équilibrage de la charge de tierce partie. Les clients envoient leurs requêtes au périphérique qui les transmet au premier serveur disponible en fonction d’un algorithme prédéfini. Les clients ne voient qu’une adresse virtuelle unique, celle du périphérique d’équilibrage de la charge. De nombreux périphériques d’équilibrage de charge font également office de commutateurs (voir illustration suivante), offrant ainsi deux fonctions en une, ce qui réduit la quantité de matériel nécessaire. Remarque :un périphérique d’équilibrage de charge doit être capable de traiter le trafic agrégé (combiné) des serveurs qui y sont connectés. Il constituerait sinon un goulet d’étranglement réduisant la disponibilité de vos serveurs. Grappe de serveurs Clients Interrupteur d’équilibrage de charge du serveurChapitre 7 Gestion 191 L’équilibrage de la charge présente plusieurs avantages :  Haute disponibilité. La répartition de la charge entre plusieurs serveurs contribue à réduire les risques qu’un serveur puisse tomber en panne du fait d’une surcharge de serveur.  Tolérance aux pannes. Si un serveur tombe en panne, le trafic est redirigé de façon transparente vers d’autres serveurs. Une brève interruption du service peut survenir si, par exemple, un serveur tombe en panne alors qu’un utilisateur est en train de télécharger un fichier depuis l’emplacement de stockage partagé, mais l’utilisateur peut toujours se reconnecter et relancer le processus de téléchargement.  Extensibilité. Si la demande de services augmente, vous pouvez ajouter d’autres serveurs à votre grappe de façon transparente.  Performances accrues. Vous pouvez répondre plus rapidement aux requêtes des utilisateurs en les envoyant aux serveurs les moins occupés. Vue d’ensemble des démons Lorsqu’un utilisateur ouvre une session sur un système Mac OS X, un certain nombre de processus sont déjà en cours d’exécution. La plupart de ces processus sont appelés démons. Un démon est un processus d’arrière-plan qui fournit un service aux utilisateurs du système. Le démon cupsd, par exemple, coordonne les demandes d’impression, tandis que le démon httpd répond aux requêtes de consultation de pages web. Visualisation des démons en cours d’exécution Pour afficher les démons en cours d’exécution sur votre système, utilisez l’application Moniteur d’activité (dans /Applications/Utilitaires/). Cette application permet d’afficher des informations sur tous les processus, y compris l’utilisation des ressources. Les démons suivants sont affichés indépendamment des services activés :  launchd (processus de tâche programmée et de surveillance)  servermgrd (processus d’interface d’outils d’administration)  serialnumberd (processus de conformité de licence)  mDNSresponder (processus de découverte de services sur réseau local) Contrôle des démons Bien que certains systèmes de type UNIX utilisent d’autres outils, Mac OS X Server a recours au démon launchd pour contrôler les tâches programmées et l’initialisation des processus. launchd Le démon launchd est une alternative aux outils UNIX courants suivants :init, rc, scripts init.d et rc.d, SystemStarter, inetd et xinetd, atd, crond et watchdogd. Tous ces services doivent être considérés comme obsolètes et les administrateurs sont vivement encouragés à attribuer les tâches de gestion de processus à launchd.192 Chapitre 7Gestion Le système launchd comporte deux utilitaires :le démon launchd et l’utilitaire launchctl. Le démon launchd a également remplacé init comme premier processus généré dans Mac OS X et il est, par conséquent, responsable du lancement du système au démarrage. Le démon launchd gère les démons au niveau système et au niveau utilisateur. Il peut :  démarrer des démons sur demande;  contrôler des démons pour s’assurer qu’ils sont en cours d’exécution. launchd utilise des fichiers de configuration pour définir les paramètres d’exécution des services et des démons. Les fichiers de configuration sont des fichiers de listes de propriétés stockés dans les sous-répertoires LaunchAgents et LaunchDaemons des dossiers Bibliothèque. Pour plus d’informations sur la création des fichiers de configuration de launchd, consultez la page de documentation destinée aux développeurs : developer.apple.com/documentation/MacOSX/Conceptual/BPSystemStartup/Articles/ LaunchOnDemandDaemons.html L’utilitaire launchctl est un outil de ligne de commande utilisé pour :  charger et décharger des démons;  démarrer et arrêter des tâches contrôlées par launchd;  obtenir des statistiques d’utilisation de système pour launchd et ses processus enfants;  définir des réglages d’environnement.8 193 8 Contrôle Un contrôle efficace contribue à détecter les problèmes potentiels avant leur apparition et d’être averti suffisamment tôt lorsqu’ils se produisent. La détection des problèmes potentiels vous permet de prendre les mesures nécessaires pour les résoudre avant qu’ils n’influent sur la disponibilité de vos serveurs. Être averti suffisamment tôt de l’apparition d’un problème vous permet en outre de prendre rapidement les mesures qui s’imposent et de minimiser l’interruption des services. Ce chapitre décrit brièvement la planification d’une politique de contrôle, la façon d’utiliser les outils de contrôle et la façon de trouver des informations supplémentaires. Planification d’une politique de contrôle La collecte de données concernant vos systèmes est une fonction de base pour une administration efficace. Chaque type de collecte de données répond à un objectif précis.  Collecte de données historiques :les données historiques sont collectées à des fins d’analyse. Elles peuvent être utilisées dans le cadre de la planification et de la budgé- tisation informatiques et servir de ligne de base pour les conditions normales d’exploitation du serveur. Quels sont les types de données nécessaires pour y parvenir ? Combien de temps doivent-elles être conservées ? À quelle fréquence doiventelles être mises à jour ? Sur quelle période passée doivent-elles être collectées ?  Contrôle en temps réel :le contrôle en temps réel génère des alertes et détecte les problèmes à mesure qu’ils surviennent. Que contrôlez-vous ? À quelle fréquence ? Ces données révèlent-elles ce que vous voulez savoir ? Certaines de ces collectes en temps réel servent-elles réellement à des fins d’historique ?194 Chapitre 8Contrôle Planification d’une réponse de contrôle La réponse apportée au contrôle est aussi importante que la collecte de données. De la même façon qu’une politique de sauvegarde est inutile sans stratégie de restauration, une politique de contrôle n’a pas de sens sans politique de réponse. Pour une réponse de contrôle, il est nécessaire de considérer un certain nombre de facteurs :  Quelles sont les méthodes de réponse appropriées ? En d’autres termes, dans quel cadre la réponse interviendra-t-elle ?  Quel est le délai de réponse ? Que peut-on considérer comme intervalle acceptable entre l’incident et la réponse ?  Quels sont les points à prendre en compte en ce qui concerne le dimensionnement ? Le plan de réponse peut-il traiter toutes les fréquences d’incident, quelles soient attendues ou non ?  L’environnement est-il doté de systèmes de contrôle ? Comment déterminer si la politique de contrôle collecte les données requises et si les réponses sont pertinentes et fournies à temps ? Avez-vous testé le système de contrôle récemment ? Widget d’état du serveur Le widget Dashboard d’état du serveur procure un accès rapide et des informations dans le cadre d’un système individuel. Il permet de contrôler l’activité de Mac OS X Server version 10.5 à partir de n’importe quel ordinateur équipé de Leopard ou de Leopard Server. État du serveur affiche des graphiques actualisés toutes les heures, tous les jours ou toutes les semaines sur l’activité du processeur, la charge réseau et l’utilisation des disques. Vous pouvez également afficher jusqu’à six services actifs et leurs rapports d’état. En cliquant sur le service, vous pouvez ouvrir la sous-fenêtre d’aperçu du service approprié dans Admin Serveur. Pour configurer le widget d’état du serveur : 1 Ajoutez le widget au Dashboard comme vous le feriez pour un autre widget. 2 Saisissez l’adresse IP ou le nom de domaine du serveur. 3 Fournissez un nom et un mot de passe d’ouverture de session d’administration ou de contrôle. 4 Cliquez sur Terminé. Pour changer l’adresse du serveur, le nom ou le mot de passe d’ouverture de session, cliquez sur le bouton d’information (i) en haut du widget et modifiez les réglages appropriés.Chapitre 8 Contrôle 195 Contrôle de serveur L’application Contrôle de serveur peut, dès qu’elle détecte des problèmes critiques, émettre des avertissements via courrier électronique, téléphone portable ou notification par messageur. Des capteurs intégrés détectent les facteurs de fonctionnement essentiels, tels que l’alimentation, la température et l’état de fonctionnement de plusieurs composants clés, et en établissent le rapport. L’interface Contrôle de serveur vous donne la possibilité de détecter rapidement les problèmes. Dans la fenêtre principale, Contrôle de serveur affiche chaque serveur sur une ligne séparée, en indiquant les informations de température correspondantes et l’état de chacun de ses composants, notamment les ventilateurs, les disques, les modules de mémoire, les systèmes d’alimentation et les connexions Ethernet. Un témoin d’état vert indique que le composant est OK, un témoin jaune signale un avertissement et un témoin rouge est synonyme d’erreur. Contrôle de serveur fonctionne pour uniquement pour les systèmes Xserve. Pour en savoir plus sur Contrôle de serveur, choisissez Aide Contrôle de serveur dans le menu d’Aide de Contrôle de serveur. RAID Admin À l’instar de Contrôle de serveur, vous pouvez configurer Admin RAID de façon à ce qu’il envoie un message par courrier électronique ou par radiomessagerie dès qu’un composant montre des signes de défaillance. Admin RAID affiche l’état de chaque unité et de chacun de ses composants, disques, fibre channel et connexions réseau notamment. Admin RAID utilise des témoins d’état verts, jaunes et rouges. Vous pouvez également le configurer de façon à ce qu’il vous envoie un courrier électronique ou une page lorsqu’un composant est en difficulté. De plus, Admin RAID vous fournit une vue d’ensemble de l’état des unités Xserve RAID affichées dans la fenêtre principale. Pour en savoir plus sur Admin RAID, choisissez Aide Admin RAID dans le menu d’Aide d’Admin RAID.196 Chapitre 8Contrôle Console Utilisez Console pour contrôler les fichiers d’historique afin de détecter d’éventuels problèmes susceptibles de provoquer la défaillance de votre serveur. Par exemple, vous pouvez contrôler le fichier /var/log/httpd/access_log de votre serveur web à la recherche de signes de déni d’attaques de service. Si vous détectez ces signes, vous pouvez immédiatement mettre en œuvre une réponse planifiée afin d’empêcher l’indisponibilité de votre serveur web. Pour améliorer l’efficacité de votre contrôle des fichiers d’historique, envisagez de l’automatiser à l’aide des commandes AppleScript ou Terminal telles que grep et cron. Pour plus d’informations sur l’utilisation de grep et de cron, consultez la section Administration de ligne de commande. Outils de contrôle de disque Si votre espace disque est épuisé, votre serveur risque de ne plus être fiable et il tombera probablement en panne. Pour éviter cela, vous devez constamment contrôler l’utilisation de l’espace disque sur vos serveurs et supprimer ou sauvegarder des fichiers afin de libérer de l’espace. Mac OS X Server est fourni avec de nombreux outils de ligne de commande que vous pouvez utiliser pour contrôler l’espace disque sur votre ordinateur :  df. Cette commande vous indique la quantité d’espace utilisée et la quantité disponible sur chaque volume monté. Par exemple, la commande suivante dresse la liste des volumes locaux et affiche l’utilisation des disques : df -Hl Filesystem Size Used Avail Capacity Mounted on /dev/disk0s9 40G 38G 2.1G 95% / Dans cet exemple, le disque dur est presque rempli puisque seuls 2,1 Go sont encore disponibles. Dans ce cas, il est recommandé de réagir immédiatement pour libérer de l’espace sur votre disque dur avant que sa capacité ne soit dépassée et que cela n’entraîne des problèmes pour vos utilisateurs.  du. Cette commande vous indique la quantité utilisée par des répertoires ou fichiers donnés. Par exemple, la commande suivante vous indique la quantité d’espace occupée par le répertoire de départ de chaque utilisateur : sudo du -sh /Users/* 3.2M /Users/Shared 9.3M /Users/omar 8.8M /Users/jay 1.6M /Users/liliChapitre 8 Contrôle 197 Le fait de savoir qui emploie le plus d’espace sur le disque dur vous permet de contacter les utilisateurs concernés pour leur demander de supprimer les fichiers dont ils n’ont plus besoin. Remarque :avec Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez définir des quotas de disque pour les utilisateurs et générer des rapports d’utilisation des disques. Pour plus d’informations, consultez la section Gestion des utilisateurs.  diskspacemonitor. Cette commande vous permet d’automatiser le processus de contrôle de l’utilisation de l’espace disque. Dès que la quantité d’espace libre descend sous le niveau que vous avez spécifié, diskspacemonitor exécute des scripts de shell qui vous envoient une notification. Cette commande définit deux niveaux d’action :  Alerte — Vous envoie un message d’avertissement lorsque l’utilisation de l’espace disque atteint 75 %.  Récupération — Archive les fichiers rarement utilisés et supprime les fichiers superflus lorsque l’utilisation de l’espace disque atteint 85 %. Pour plus d’informations sur ces commandes, consultez la page man correspondante ou la section Administration de ligne de commande. Outils de contrôle de réseau Une dégradation des performances de réseau et d’autres problèmes de réseau peuvent avoir un impact négatif sur la disponibilité de vos services. Les outils de contrôle réseau ci-après peuvent vous avertir suffisamment tôt d’éventuels problèmes, afin que vous puissiez prendre les mesures nécessaires pour éviter ou minimiser toute période d’immobilisation.  Pour contrôler l’activité du réseau, exécutez l’utilitaire tcpdump de Mac OS X Server. Cet utilitaire imprime les en-têtes des paquets entrants et sortants sur une interface réseau qui concorde avec les paramètres spécifiés. L’utilisation de tcpdump pour contrôler le trafic sur le réseau est particulièrement judicieuse lorsque l’on tente de détecter des dénis d’attaque de service. Par exemple, la commande suivante contrôle l’ensemble du trafic entrant au niveau du port 80 de votre ordinateur : sudo tcpdump -i en0 dst port 80 Si vous détectez un nombre inhabituel de requêtes émanant d’une même source, vous pouvez utiliser le service de coupe-feu pour bloquer le trafic issu de cette source. Pour plus d’informations sur tcpdump, consultez la page man correspondante ou la section Administration de ligne de commande.198 Chapitre 8Contrôle  Pensez à utiliser des scripts Ruby ou Perl, des scripts de shell ou des AppleScripts pour automatiser le processus de contrôle. Par exemple, l’utilisation de tcpdump pour contrôler le trafic peut s’avérer longue et fastidieuse, ce qui signifie que l’automatisation est nécessaire.  Pensez à utiliser Ethereal, un outil open-source X11 renifleur de paquets qu’il est possible d’exécuter dans l’environnement X11 sous Mac OS X Server. À la différence de tcpdump, cet outil possède une interface utilisateur graphique et un ensemble d’outils performants d’analyse de réseau. Pour en savoir plus sur Ethereal, rendez-vous sur le site www.ethereal.com/.  Vous pouvez utiliser d’autres outils de tierce partie qui analysent automatiquement le trafic réseau et vous avertissent en cas de problème. Notification dans Admin Serveur Admin Serveur possède un système de notification facile à utiliser et capable de vous tenir informé de l’état du disque dur ou des logiciels de votre serveur. Admin Serveur envoie un message électronique à n’importe quelle adresse (locale ou non) si :  l’espace disponible est inférieur à un certain pourcentage sur n’importe quel disque dur du système ;  des paquets de mise à jour de logiciels sont disponibles sur le site Apple. Pour utiliser la fonction de courrier électronique, le serveur lance le processus SMTP (courrier sortant) sur le serveur. Assurez-vous que le coupe-feu autorise le trafic SMTP provenant du serveur. Pour définir une notification : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Notifications. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous le champ Adresses à avertir, puis ajoutez une adresse. 4 Répétez cette procédure autant de fois que nécessaire, puis cliquez sur Enregistrer.Chapitre 8 Contrôle 199 Contrôle des aperçus de l’état du serveur à l’aide d’Admin Serveur Admin Serveur possède plusieurs moyens d’afficher un aperçu d’état :sous la forme d’informations détaillées pour un serveur individuel ou sous la forme d’une vue d’ensemble simplifiée de plusieurs serveurs. Pour afficher un aperçu d’état concernant un seul serveur : m Sélectionnez un serveur dans la liste Serveur. L’illustration ci-dessous montre un exemple de sous-fenêtre Aperçu pour un serveur. Cet aperçu indique le matériel de base, les versions de système d’exploitation, les services actifs, des graphiques d’historique du CPU, l’historique du débit du réseau et l’espace disque.200 Chapitre 8Contrôle Pour afficher un aperçu d’état concernant plusieurs serveurs : m Sélectionnez un groupe de serveurs, un groupe intelligent, le groupe Tous les serveurs ou le groupe Serveurs disponibles. L’illustration ci-dessous montre un exemple de sous-fenêtre Aperçu pour un groupe de serveurs. Cet aperçu comporte les informations suivantes :  nom d’hôte,  version du système d’exploitation,  graphique d’utilisation actuelle du CPU (pour afficher des nombres plus spécifiques, survolez cet élément avec la souris),  débit réseau actuel,  espace disque utilisé (pour afficher des nombres plus spécifiques, survolez cet élé- ment avec la souris),  durée de fonctionnement,  nombre d’utilisateurs connectés aux services de fichiers. Vous pouvez trier la liste par colonne.Chapitre 8 Contrôle 201 Protocole SNMP (Simple Network Management Protocol) Le protocole SNMP est un protocole couramment utilisé pour contrôler l’état d’un équipement réseau (routeurs et commutateurs intelligents par exemple), d’ordinateurs et d’autres périphériques réseau tels que des onduleurs. Mac OS X Server utilise NetSNMP pour implémenter SNMP v1, SNMP v2c et SNMP v3 à l’aide d’IPv4 et d’IPv6. SNMPv2 est le protocole d’accès par défaut et la chaîne communautaire en lecture seule par défaut est « public ». Activation des rapports SNMP L’accès SNMP n’est pas activé par défaut sur Mac OS X Server. Pour utiliser les outils SNMP afin d’obtenir des données sur votre système Mac OS X Server, configurez le service, puis activez-le. Pour activer SNMP 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Général. 3 Sélectionnez « Serveur de gestion de réseau (SNMP) ». 4 Cliquez sur Enregistrer. Si SNMP est actif, quiconque ayant établi une route vers l’hôte SNMP peut collecter des données SNMP à partir de celui-ci. 5 Utilisez la ligne de commande pour configurer les paramètres SNMP de base. Le processus SNMP ne démarre pas tant que /etc/snmpd.conf n’a pas été configuré pour le site actuel. Pour plus d’informations sur la procédure de configuration, consultez la section « Configuration de snmpd » à la page 201. Remarque :la configuration par défaut de snmpd utilise le port privilégié 161. Pour cette raison, elle doit être exécutée par root ou à l’aide de setuid. Nous vous conseillons de n’utiliser setuid en tant que root que si vous êtes conscient des conséquences possibles. Dans le cas contraire, faites-vous aider ou procurez-vous des informations supplémentaires. Les options disponibles pour snmpd modifient l’UID et le GID du processus après son démarrage. Pour plus d’informations, consultez la page man de snmpd. Configuration de snmpd Le fichier de configuration (.conf) de snmpd réside généralement dans /etc/snmpd.conf. Si vous possédez une variable d’environnement SNMPCONF,snmpd lit les fichiers snmpd.conf et snmpd.local.conf dans ces répertoires. Pour indiquer d’autres fichiers de configuration, le processus snmpd peut être lancé avec l’option -c. Pour plus d’informations sur l’utilisation des fichiers conf, consultez la page man de snmpd.202 Chapitre 8Contrôle Les fichiers de configuration peuvent être créés et installés plus élégamment à l’aide du script intégré /usr/bin/snmpconf. En tant que root, exécutez ce script avec l’option -i pour installer le fichier dans /usr/share/snmp/. Autrement, l’emplacement par défaut du fichier est le dossier de départ de l’utilisateur (~/). Seul l’utilisateur root est autorisé à écrire dans /usr/share/snmp/. Comme snmpd lit ses fichiers de configuration au démarrage, les modifications apportées aux fichiers de configuration nécessitent que le processus soit arrêté puis relancé. Vous pouvez arrêter snmpd à l’aide de ProcessViewer ou à partir de la ligne de commande (kill -HUP ). Pour activer et configurer SNMP : m Utilisez la commande /usr/bin/snmpconf. Elle permet d’ouvrir un assistant de configuration basique sous forme de texte, afin de définir le nom communautaire et d’enregistrer les informations dans le fichier de configuration. Le fichier de configuration snmp se trouve dans /usr/share/snmp/snmpd.conf. Exemple de configuration SNMP Étape 1 :Personnalisez les données 1 Pour personnaliser les données fournies par snmpd, ajoutez un fichier snmpd.conf à l’aide de /usr/bin/snmpconf en tant que root ou à l’aide de sudo, en exécutant cette commande : /usr/bin/snmpconf -i S’il existe des fichiers de configuration, vous pouvez les lire dans l’assistant et incorporer leur contenu au résultat obtenu par l’assistant. 2 Choisissez de lire dans le fichier en indiquant son emplacement :/etc/snmp/snmpd.conf. Une série de menus texte est alors affichée. 3 Effectuez vos choix dans cet ordre : a Sélectionnez un fichier :1 (snmpd.conf) b Sélectionnez une section :5 (configuration des informations système) c Sélectionnez une section :1 (emplacement [généralement physique] du système) d Emplacement du système :tapez une chaîne de caractères ici — « salle_serveur », par exemple. e Sélectionnez une section :f (terminer) f Sélectionnez une section :f (terminer) g Sélectionnez un fichier :q (quitter) Vous venez de créer un fichier snmpd.conf avec la date du jour comme date de création. Assurez-vous que le fichier existe en saisissant ls -l /usr/share/snmpd.conf.Chapitre 8 Contrôle 203 Étape 2 :Redémarrez snmpd pour valider les modifications 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Général. 3 Désélectionnez « Serveur de gestion de réseau (SNMP) ». 4 Cliquez sur Enregistrer. Vous pouvez également effectuer cette procédure en interrompant, en tant que root, le processus smnpd, puis en le redémarrant à partir de la ligne de commande : /usr/sbin/snmpd Étape 3 :Collectez des informations SNMP provenant de l’hôte m Pour accéder aux informations disponibles via SNMP que vous venez d’ajouter, exécutez cette commande à partir d’un hôte sur lequel les outils SNMP sont installés : /usr/bin/snmpget -c public system.sysLocation.0 Remplacez par le nom véritable de l’hôte cible. Vous devriez voir l’emplacement que vous venez d’indiquer. Dans cet exemple, vous verriez : SNMPv2_MIB::system.sysLocation.0 = STRING:\”salle_serveur\” Les autres options du menu sont : /usr/bin/snmpget -c public system.sysContact.0 /usr/bin/snmpget -c public system.sysServices.0 Le « .0 » final indique que vous recherchez l’objet index. Le mot « public » est le nom de la communauté snmp que vous n’avez pas modifié. Pour plus d’informations sur l’un de ces éléments ou sur la syntaxe snmp, reportez-vous aux didacticiels disponibles sur net-snmp.sourceforge.net. Outils à utiliser avec SNMP Outre snmpget, il existe d’autres outils snmp installés, ainsi que des suites de tierce partie, gratuites ou payantes, présentant différents niveaux de complexité et des fonctions de génération de rapports. Informations supplémentaires Des informations supplémentaires sur SNMP sont disponibles à partir des sources ci-dessous. Pages man La saisie de man -k snmp dans Terminal génère la liste des pages man connues. Sites web Projet Net SNMP :  www.net-snmp.org  net-snmp.sourceforge.net204 Chapitre 8Contrôle Ouvrages Essential SNMP, de Douglas Mauro et Kevin Schmidt Éditeur :O’Reilly (deuxième édition, septembre 2005) ISBN :0-596-00840-6, 460 pages Démons de notification et de contrôle des événements Pour contrôler et journaliser les événements système, le système d’exploitation exé- cute plusieurs démons qui interceptent les messages provenant des applications et les consignent dans un journal ou agissent sur ces événements. Il existe deux démons principaux de notification :syslogd et emond.  syslogd :le démon syslogd est une méthode UNIX standard de contrôle de systèmes. Il consigne les messages conformément aux réglages figurant dans /etc/syslog.conf. Vous pouvez examiner les fichiers de sortie spécifiés dans cette configuration à l’aide d’un utilitaire d’impression ou d’édition standard, car il s’agit de fichiers en texte clair. Les administrateurs peuvent modifier ces réglages pour définir avec précision les élé- ments à contrôler. La plupart des administrateurs analysent automatiquement les fichiers d’historique à l’aide de scripts qui effectuent une action prédéfinie dès qu’une information donnée est rencontrée. Ces notifications personnalisées, qui varient en qualité et en utilité, peuvent être personnalisées selon les besoins particuliers du créateur du script. Il est possible de configurer le démon syslogd pour qu’il échange des informations sur le fichier d’historique avec un serveur distant (pour ce faire, modifiez /System/ Bibliothèque/LaunchDaemons/com.apple.syslogd.plist). Cette opération n’est pas conseillée, car syslogd n’utilise pas de connexion sécurisée pour envoyer des messages d’historique sur Internet.  emond :le démon emond constitue le système de contrôle d’événements de Mac OS X Server v10.5. Il s’agit d’un processus unifié qui gère les événements transmis par d’autres processus, agit sur ces événements en fonction d’un ensemble de règles définies, puis envoie un message de notification à l’administrateur. Actuellement, emond est le moteur qu’utilise le système de notification par courrier électronique d’Admin Serveur. Il n’est pas utilisé pour les notifications de Contrôle de serveur. Le service de haut niveau reçoit des événements émanant du client enregistré, puis analyse si l’événement doit être traité conformément aux règles fournies par le service au moment de son enregistrement. Si une réponse est nécessaire, l’action associée à l’événement est effectuée. Pour ce faire, le démon emond se compose de trois parties principales :le moteur de règles, les événements auxquels il peut répondre et les actions qu’il peut entreprendre.Chapitre 8 Contrôle 205 Le moteur de règles d’emond fonctionne comme suit. Il :  lit les informations de configuration dans /etc/emond.d/emond.conf ;  lit les règles dans les fichiers plist figurant dans le répertoire /etc/emond.d/rules/ ;  traite l’événement de démarrage ;  accepte les événements jusqu’à la fin de l’exécution ;  applique les règles associées à l’événement, les déclenchant au gré des besoins ;  effectue les actions spécifiées par les règles qui ont été déclenchées ;  s’exécute au niveau le moins privilégié possible (aucun). Journalisation Mac OS X Server conserve des fichiers d’historique UNIX standard et des historiques de processus propres à Apple. Les historiques du système d’exploitation sont disponibles dans :  /var/log  /Bibliothèques/Historiques  ~/Bibliothèques/Historiques Chaque processus est responsable de ses propres historiques, du niveau d’historique et du niveau de détail. Chaque processus ou application peut écrire son propre fichier d’historique ou utiliser un historique système standard tel que syslog. L’application Console (dans /Applications/Utilitaires) vous permet de lire ces historiques et d’autres historiques en texte clair, quel que soit leur emplacement. La plupart des services de Mac OS X Server possèdent une sous-fenêtre de journalisation dans Admin Serveur. Vous pouvez y définir les niveaux journalisation et afficher les historiques d’un service particulier. Syslog L’historique système (system log, syslog) est un emplacement polyvalent consolidé, destiné aux messages d’historique des processus. syslog possède plusieurs niveaux de détail d’historique. Si la journalisation est réglée sur le niveau minimal, aucun message détaillé n’est enregistré ; en revanche, le niveau maximal a pour effet de conserver tous les détails, ce qui augmente la taille des historiques et peut les rendre inexploitables. AVERTISSEMENT :les formats de fichier et les réglages figurant dans emond.conf et dans les fichiers plist de règles ne font pas l’objet d’une documentation destinée aux utilisateurs. Leur modification n’est pas prise en charge et risque de rendre le système de notification inutilisable.206 Chapitre 8Contrôle Le niveau de journalisation que vous utilisez pour syslog peut être adapté en fonction du processus concerné et doit correspondre au niveau nécessaire pour une notification et un débogage efficaces. Niveaux de journalisation syslog (par ordre croissant) Fichier de configuration syslog Le fichier de configuration est disponible dans /etc/syslog.conf. Chaque ligne présente le format suivant : . « fonction » correspond au nom du processus qui écrit dans l’historique, tandis que « chemin du fichier d’historique » correspond au chemin d’accès POSIX standard au fichier d’historique. Il est possible d’utiliser des astérisques (*) comme caractères géné- riques. Par exemple, le réglage correspondant au noyau est le suivant : kern.* /var/log/system.log Dans cet exemple, le fichier /var/log/system.log recevra tous les messages d’historique émanant du noyau quel que soit leur niveau. De même, le réglage suivant active la journalisation de tous les messages de niveau Urgence provenant de tous les processus dans un fichier d’historique personnalisé nommé « emergencies » : *.emerg /var/log/emergencies.log Nom du niveau Indicateur de niveau dans syslog.conf Quantité de détails Aucun .none Aucun Urgence .emerg Minimal Alerte .alert Erreur .err Avertissement .warn Avis .notice Info .info Déboguer .debug MaximalChapitre 8 Contrôle 207 Journalisation de débogage du service de répertoire Si vous souhaitez recevoir les informations de débogage envoyées par les processus du service de répertoire alors que vous utilisez Open Directory, choisissez une méthode de journalisation différente de systemlog. Vous devez activer manuellement la journalisation de débogage sur le processus. Une fois activée, cette journalisation de débogage écrit des messages dans le fichier d’historique, à l’emplacement suivant : /Bibliothèque/Logs/DirectoryService/DirectoryService.debug.log Les commandes suivantes doivent être exécutées avec des autorisations de superutilisateur (sudo ou root) : Pour activer ou désactiver manuellement la journalisation de débogage des services de répertoire : killall -USR1 DirectoryService Pour lancer le débogage au démarrage : touch /Library/Preferences/DirectoryService/.DSLogAPIAtStart Remarque :l’historique de débogage ne possède pas sa propre documentation et n’est pas conçu pour une journalisation normale. Il contient de très nombreuses informations difficiles à comprendre. Il affiche les appels d’API, les requêtes de modules et les réponses correspondantes. Journalisation Open Directory Le fichier de configuration se trouve dans /etc/openldap, les historiques dans /var/log/slapd.log. Chaque transaction de répertoire génère un historique de transaction distinct dans la base de données OpenLDAP. Les historiques de base de données et de transaction sont disponibles dans /var/db/openldap/openldap-data. Le processus slapd, qui régit l’utilisation d’Open Directory, possède un paramètre de plus destiné à une journalisation supplémentaire. Pour activer cette dernière, lancez la commande suivante : slapconfig -enablesslapdlog Pour exécuter slapd en mode de débogage : 1 Arrêtez slapd et retirez-le de la liste de surveillance de launchd : launchctl unload /System/Library/LaunchDaemons/org.openldap.plist 2 Redémarrez slapd en mode débogage : sudo /usr/libexec/slapd -d 99208 Chapitre 8Contrôle Journalisation AFP La partie serveur du protocole AFP (Apple File Service Protocol) assure le suivi des accès et des erreurs, mais ne possède pas beaucoup d’informations de débogage. Vous pouvez cependant ajouter la journalisation coté client aux clients AFP, afin de contribuer à la surveillance et au dépannage des connexions AFP. Pour activer la journalisation côté client : Effectuez toutes ces actions sur l’ordinateur client AFP. 1 Réglez le niveau de débogage du client (niveaux 0 à 8) : defaults write com.apple.AppleShareClientCore -dict-add afp_debug_level 4 2 Désignez le destinataire des messages d’historique du client (dans le cas présent,syslog) : defaults write com.apple.AppleShareClientCore -dict-add afp_debug_syslog 1 3 Activez la réception des messages de débogage du client dans syslog : Pour ce faire, ajoutez *.debug /var/log/debug.log au fichier syslogd.conf. 4 Redémarrez le processus syslog. Outils de contrôle supplémentaires Vous pouvez utiliser d’autres outils pour effectuer le contrôle de Mac OS X Server. Il existe plusieurs logiciels de contrôle de serveur de tierce partie, ainsi qu’un outil de contrôle Apple supplémentaire. La présence d’outils de tierce partie dans la liste ci-dessous ne signifie pas qu’Apple en recommande l’utilisation ou fournit une assistance pour ces produits. Ils sont mentionnés ici à titre d’information.  Apple Remote Desktop :les nombreuses fonctionnalités de ce logiciel permettent d’interagir avec des ordinateurs sous Mac OS X et Mac OS X Server, d’obtenir des rapports sur ces ordinateurs et d’assurer leur suivi. Il possède d’excellente fonctions d’administration et de génération de rapports.  Nagios (outil de tierce partie) :cet outil est une application open-source de contrôle de système et de réseau informatique.  Growl (outil de tierce partie) :cet outil est un service de notification extensible et centralisé qui prend en charge la notification locale et distante.9 209 9 Exemple de configuration L’exemple de configuration figurant dans ce chapitre illustre une des manières de configurer les infrastructures de répertoire et de réseau Mac OS X Server pour une petite entreprise. Un seul Mac OS X Server dans une petite entreprise Dans cet exemple, Mac OS X Server fournit des services de répertoire, de réseau et de productivité aux employés d’une petite entreprise : L’entreprise utilise un réseau local dans ses bureaux pour partager des fichiers et une imprimante. L’acquisition de Mac OS X Server a rendu possible l’implémentation d’un intranet utilisant les services DNS et DSL d’un FAI (fournisseur d’accès à Internet). Mac OS X Server (exemple.com) DSL Internet Imprimante partagée Clients Windows Clients Mac OS X Alterner Serveur DNS du FAI Client Mac OS X 192.168.0.1 VPN 210 Chapitre 9Exemple de configuration Voici un résumé des caractéristiques de cette étude de cas :  Un répertoire LDAP maître Open Directory sur le serveur centralise la gestion des utilisateurs, y compris l’authentification des utilisateurs Mac OS X et Windows.  Le service DNS du FAI fournit un nom de domaine DNS à l’entreprise (« exemple.com »).  Un serveur DNS exécuté sous Mac OS X Server fournit les services d’attribution de noms au serveur, à l’imprimante et à tout autre périphérique intranet disposant d’une adresse IP statique.  Un coupe-feu entre le serveur et Internet protège l’intranet de tout accès non autorisé.  Le service NAT permet aux utilisateurs de l’intranet de partager l’adresse IP du FAI pour accéder à Internet. Le service VPN, pour sa part, permet aux employés d’accéder en toute sécurité à l’intranet via Internet s’ils sont amenés à travailler en déplacement.  Le service DHCP sur Mac OS X Server attribue une adresse IP dynamique à chacun des ordinateurs clients de l’intranet. Le serveur et l’imprimante possèdent une adresse statique, mais les ordinateurs clients disposent chacun d’une adresse dynamique. Configuration du serveur Les étapes suivantes résument la configuration de Mac OS X Server pour cette petite entreprise fictive. Pour obtenir des informations complètes relatives à la configuration des services de répertoire, reportez-vous au guide Administration d’Open Directory. Pour en savoir plus sur la configuration d’un service réseau (coupe-feu IP, DHCP, etc.), reportez-vous au guide Administration des services de réseau. Étape 1 :configurez le réseau 1 Assurez-vous que le serveur possède deux interfaces Ethernet (ports) :une pour la connexion de l’intranet (réseau local, LAN) et une pour la connexion du modem DSL. Utilisez l’interface la plus rapide pour la connexion au serveur. Une connexion à 10 Mbits est plus que suffisante pour la connexion DSL. 2 Connectez le serveur au réseau local par le biais de l’interface la plus rapide. Dans notre exemple, le serveur est branché sur un commutateur permettant de connecter des ordinateurs clients et une imprimante partagée. Nous ferons désormais référence à cette interface sous le nom d’interface interne. Les périphériques intranet doivent être connectés à un concentrateur ou un commutateur à l’aide de câbles Ethernet CAT-5 de bonne qualité. Un commutateur à haut débit de 10/100/1000 mégabits est capable de prendre en charge les fonctionnalités de serveur avancées, telles que NetBoot, dont le fonctionnement optimal est lié à la vitesse de connexion. 3 Connectez le serveur au modem DSL à l’aide de l’autre interface Ethernet. Nous ferons désormais référence à cette interface sous le nom d’interface externe.Chapitre 9 Exemple de configuration 211 Étape 2 :contactez le fournisseur d’accès à Internet pour configurer les serveurs DNS externes Les serveurs de noms du FAI doivent servir la zone de l’entreprise, exemple.com, contenant toutes les adresses IP publiques de tous les serveurs et services disponibles pour Internet (par exemple, le serveur web de l’entreprise et sa passerelle VPN). En d’autres termes, la zone gérée par le FAI contient uniquement les adresses IP publiques et le serveur de noms du FAI fournit la redondance nécessaire. Le FAI doit aussi fournir les recherches DNS bidirectionnelles relatives au domaine de la zone pour toute adresse IP externe utilisée. Étape 3 :configurez un ordinateur d’administration 1 Installez les outils d’administration de serveur qui se trouvent sur le DVD Server Tools. Choisissez un ordinateur doté de Mac OS X 10.5 sur lequel installer les outils. Assurezvous que la communication réseau entre l’ordinateur administrateur et le serveur cible fonctionne. Pour obtenir des instructions complémentaires, consultez la section « Préparation d’un ordinateur administrateur » à la page 88. 2 Remplissez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server située en annexe à la page 221. Ces informations seront nécessaires pour les différentes sous-fenêtres de l’assistant. Étape 4 :configurez le serveur et le répertoire maître 1 Démarrez le serveur à partir du DVD d’installation. La procédure à suivre dépend du type de matériel installé sur le serveur. Pour notre exemple, partons du principe que l’ordinateur possède un clavier et un lecteur DVD. Allumez l’ordinateur, insérez le DVD d’installation dans le lecteur optique, puis redémarrez l’ordinateur tout en maintenant la touche C du clavier enfoncée. Le chapitre 5, « Installation et déploiement » à la page 85 contient des instructions relatives à d’autres méthodes d’installation, telles que l’installation sur un serveur sans lecteur optique ou l’installation depuis un environnement NetInstall. 2 Démarrez l’Assistant réglages sur l’ordinateur administrateur. 3 Une fois l’Assistant réglages ouvert, choisissez « Installer Mac OS X Server sur un ordinateur distant ». AVERTISSEMENT :cet exemple présuppose que le FAI fournit la résolution DNS dans les deux sens pour l’adresse IP publique et le nom d’ordinateur du serveur. Si ce n’est pas le cas (par exemple, si la configuration de votre FAI n’est pas encore effectuée ou si vous comptez exécuter votre propre serveur de noms sur le serveur même), choisissez Serveur autonome à l’étape 4, puis transformez-le en maître ou réplique Open Directory seulement après avoir configuré un serveur DNS.212 Chapitre 9Exemple de configuration 4 Avancez dans les écrans d’installation en suivant les instructions affichées. Si vous devez formater le disque cible, consultez la section « Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 98 pour suivre les instructions de préparation de disques en vue de l’installation de Mac OS X Server. Le serveur redémarre une fois l’installation terminée. 5 Après avoir redémarré, rouvrez Assistant du serveur, puis choisissez l’option « Configurer un ordinateur distant ». 6 Utilisez les sous-fenêtres Langue et Clavier pour refléter la langue d’administration du serveur. 7 Dans la sous-fenêtre Compte d’administrateur, saisissez les nom et mot de passe de l’administrateur du serveur, puis cliquez sur Continuer. 8 Si vous ne retrouvez pas le serveur récemment installé dans la sous-fenêtre Noms de réseau, cliquez sur le bouton Ajouter (+), tapez l’adresse IP, saisissez les nom et mot de passe par défaut de l’administrateur, puis cliquez sur Continuer. Pour en savoir plus, consultez la section « Connexion au réseau lors de la configuration initiale du serveur » à la page 118. 9 Avancez dans les écrans d’installation en suivant les instructions affichées. 10 Assurez-vous que la sous-fenêtre Interfaces réseau contient la liste des interfaces Ethernet internes et externes. 11 Assurez-vous que l’interface externe est la première mentionnée dans la sous-fenêtre Interfaces réseau. La première interface de la liste correspond à l’interface principale, ou interface par défaut. Le trafic réseau provenant du serveur est acheminé vers l’interface principale. VPN l’utilise comme réseau public et traite toutes les autres interfaces de la liste comme réseau privé. 12 Cliquez sur Continuer. La sous-fenêtre Connexion TCP/IP apparaît pour chaque interface Ethernet. 13 Pour l’interface externe, choisissez Manuellement dans la liste locale Configurer IPv4, puis saisissez l’adresse IP, le masque de sous-réseau et la ou les adresses IP de serveurs DNS que votre FAI vous a fournies. Pour une configuration à double interface telle que celle de notre exemple, toutes les requêtes DNS sont acheminées à l’interface principale. Par conséquent, si vous exécutez le service DNS sur votre serveur, saisissez également l’adresse IP publique de la passerelle dans le champ Serveurs de nom. Pour une configuration manuelle, placez l’interface en haut de la liste de façon à ce qu’elle soit consultée avant les serveurs de votre FAI, puis cliquez sur Continuer.Chapitre 9 Exemple de configuration 213 14 Si vous comptez utiliser l’Assistant réglages de passerelle (accessible à partir de la section Service NAT d’Admin Serveur) pour configurer les réglages du réseau, vous n’avez pas à configurer d’interface interne. Dans le cas contraire, saisissez les valeurs suivantes pour l’interface interne, puis cliquez sur Continuer :  Configurer IPv4 : Manuellement  Adresse IP :192.168.0.1 (les valeurs 192.168 sont réservées aux réseaux locaux internes)  Masque de sous-réseau :255.255.0.0  Routeur :192.168.0.1  Serveurs DNS :192.168.0.1 15 Dans la sous-fenêtre Utilisation du répertoire, choisissez Maître Open Directory pour configurer un répertoire LDAP partagé sur le serveur ;sélectionnez ensuite « Activer le contrôleur de domaine principal Windows », puis saisissez un nom de domaine/groupe de travail. Ces réglages permettent de configurer un PDC Windows afin que les employés utilisant une station de travail Windows NT, Windows 2000 ou Windows XP puissent ouvrir une session sur le PDC, changer de mot de passe durant leur session et disposer de profils d’utilisateur itinérant et de dossiers de départ réseau sur le serveur. Un seul compte utilisateur suffit à chaque utilisateur pour ouvrir une session à partir d’une station de travail Windows ou d’un ordinateur Mac OS X et accéder au même dossier de départ réseau. 16 Cliquez sur Continuer. 17 Suivez les dernières instructions de l’assistant, puis cliquez sur Appliquer pour lancer la configuration du serveur. Le serveur redémarre une fois la configuration terminée. 18 Ouvrez une session sur le serveur sous l’identité de l’administrateur que vous avez défini à l’aide de l’Assistant du serveur. 19 Configurez les réglages réseau du serveur. Pour ce faire, la méthode la plus simple consister à passer par l’Assistant réglages de passerelle (voir l’étape 4). Vous pouvez également configurer chaque service réseau à l’aide d’Admin Serveur (voir étapes 5 à 8). Étape 5 :utilisez l’Assistant réglages de passerelle pour automatiser la configuration réseau du serveur 1 Ouvrez Admin Serveur sur l’ordinateur administrateur. 2 Si vous ne l’avez pas encore fait, connectez-vous au serveur et authentifiez-vous sous l’identité de l’administrateur que vous avez défini à l’aide de l’Assistant du serveur. 3 Sélectionnez le serveur et ajoutez les services à utiliser. Pour cette étape, sélectionnez le service NAT et le service Coupe-feu.214 Chapitre 9Exemple de configuration 4 Dans la sous-fenêtre Vue d’ensemble du serveur que vous configurez, cliquez sur le service NAT. 5 Ouvrez l’Assistant réglages de passerelle en cliquant sur le bouton situé dans la sous-fenêtre de la vue d’ensemble du service NAT. 6 Suivez les instructions affichées dans les sous-fenêtres en fournissant les informations demandées. Dans la sous-fenêtre Port WAN, sélectionnez le port configuré comme interface externe lors de la configuration initiale. Dans la sous-fenêtre Réglages VPN, activez VPN, puis spécifiez un secret partagé à utiliser pour les connexions client. Dans la sous-fenêtre Ports LAN, sélectionnez le port destiné à servir d’interface interne. 7 Une fois que l’Assistant réglages de passerelle a terminé la configuration du réseau et que vous avez fermé l’application, passez à l’étape 9. Étape 6 :configurez le coupe-feu 1 Ouvrez Admin Serveur sur l’ordinateur administrateur. 2 Si ce n’est pas encore fait, connectez-vous au serveur et authentifiez-vous sous l’identité de l’administrateur que vous avez défini à l’aide de l’Assistant du serveur. 3 Dans la liste des services, cliquez sur Coupe-feu. 4 Cliquez sur « Démarrer le coupe-feu » dans la barre d’action inférieure. 5 Cliquez sur Réglages, puis sélectionnez Services. 6 Choisissez « Modifier les services pour » le groupe d’adresses intitulé « 192.168-net ». 7 Choisissez « Autorisé » pour les services que vous voulez mettre à la disposition des employés travaillant au bureau. Sélectionnez au moins Service DNS, DHCP et NetBoot. 8 Choisissez « Modifier les services pour » le groupe d’adresses intitulé « Quelconque ». 9 Cliquez sur Services et sélectionnez « Autorisé » pour les services que vous voulez mettre à la disposition des clients externes à travers le coupe-feu. Sélectionnez au moins L2TP VPN, IKE et DHCP. 10 Cliquez sur Enregistrer. Étape 7 :configurez le service DNS Le DNS de Leopard Server gère les informations de zone (par exemple, tous les noms d’hôte complets du site local, tels que « site1.exemple.com ») en mappant cette zone privée sur des adresses IP locales privées. Cela permet d’éviter d’avoir à ajouter des serveurs publics au DNS local.Chapitre 9 Exemple de configuration 215 De plus, une zone de réexpédition DNS est configurée pour rechercher dans les enregistrements DNS du FAI tout ce qui est introuvable dans la zone DNS locale (telles les adresses IP des serveurs web d’autres organisations, comme www.apple.com). Remarque :comme nous l’avons mentionné à l’étape 2, cet exemple part du principe que votre FAI assure les services de résolution DNS bidirectionnelle pour la zone de votre entreprise , notamment la résolution de l’adresse IP publique du serveur. Le serveur de noms interne utilise par conséquent une zone interne telle que qui conserve les adresses IP privées du serveur et de tous les autres périphériques du réseau local. 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez DNS dans la liste des services. 2 Cliquez sur Zones, sur le bouton Ajouter (+) sous la liste Zones, puis sélectionnez « Ajouter une zone principale ». 3 Sélectionnez la zone par défaut, puis adaptez-la à votre entreprise. Dans notre cas, les réglages sont les suivants :  Nom de la zone principale :exemple.com  Adresse du serveur de noms :192.168.0.1  Adresse de l’admin. :admin@exemple.com 4 Ajoutez un enregistrement de machine à la zone en sélectionnant cette dernière, en cliquant sur « Ajouter un enregistrement », puis en sélectionnant « Ajouter une machine (A) » via le bouton local. 5 Sélectionnez l’enregistrement de machine situé sous le nom de la zone, modifiez-le en adoptant les réglages ci-dessous, puis cliquez sur Enregistrer une fois terminé.  Nom de la machine : myserver  Adresse IP : 192.168.0.1 6 À l’aide des réglages suivants, ajoutez d’autres ordinateurs à la zone. Par exemple, pour ajouter une imprimante, cliquez sur le bouton Ajouter, indiquez des valeurs applicables à l’imprimante, puis cliquez sur OK :  Adresse IP : 192.168.100.2  Nom : laserprinter_2000 7 Cliquez sur Réglages pour régler le serveur de façon à ce qu’il recherche à l’extérieur tout nom de domaine qu’il ne contrôle pas. 8 Dans la liste « Adresses IP du réexpéditeur », cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter les adresses DNS fournies par le FAI. 9 Cliquez sur Enregistrer, puis cliquez sur Démarrer le DNS.216 Chapitre 9Exemple de configuration Étape 8 :configurez le service DHCP Cette étape permet de configurer un serveur DHCP fournissant des adresses IP dynamiques aux ordinateurs des employés, ainsi que l’identité des serveurs DNS, LDAP et WINS à utiliser. Si la politique de recherche d’un ordinateur client est réglée sur Automatique (à l’aide de l’application Utilitaire d’annuaire sur l’ordinateur client), l’identité des serveurs DNS, LDAP et WINS est fournie en même que temps que les adresses IP. 1 Dans Admin Serveur, assurez-vous que le service DNS est en cours d’exécution. 2 Sélectionnez DHCP dans la liste des services. 3 Cliquez sur Sous-réseaux. 4 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour définir la plage d’adresses à attribuer de manière dynamique. Cette plage doit être suffisamment étendue pour accueillir tous les ordinateurs clients, présents et futurs. Veillez à exclure quelques adresses (en début ou en fin de plage) de façon à les réserver aux périphériques nécessitant une adresse IP statique ou aux utilisateurs du VPN. Voici quelques exemples de valeurs :  Masque de sous-réseau : 255.255.0.0  Adresse IP de début de plage : 192.168.0.2  Adresse IP de fin de plage : 192.168.0.102  Interface réseau : en1  Routeur : 192.168.0.1 5 Assurez-vous que la sous-fenêtre DNS contient les valeurs suivantes :  Domaine par défaut : exemple.com  Serveurs de nom : 192.168.0.1 6 Cliquez sur LDAP pour configurer le service DHCP afin d’identifier le serveur que vous configurez comme source d’informations de répertoire pour les clients recevant des adresses IP dynamiques. Le serveur que vous configurez doit être identifié dans le champ Nom du serveur, car vous l’avez configuré comme maître Open Directory lorsque vous avez utilisé Assistant du serveur. Les autres réglages sont facultatifs pour cet exemple. 7 Cliquez sur WINS pour configurer DHCP afin de fournir des paramètres propres à Windows aux clients recevant des adresses IP dynamiques ; indiquez ensuite les valeurs suivantes :  Serveur primaire WINS/NBNS : 192.168.0.1  Type de nœud NBT : Diffusion (nœud-b)Chapitre 9 Exemple de configuration 217 8 Cliquez sur Enregistrer, activez l’interface Ethernet interne, puis cliquez sur Démarrer le DHCP. Étape 9 :configurez le service NAT 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez NAT dans la liste des services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Sélectionnez l’interface externe dans le menu local « Interface réseau externe ». 4 Cliquez sur Enregistrer, puis sur Démarrer le NAT. Étape 10 :configurez le service VPN 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez VPN dans la liste des services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Activez L2TP via IPSec pour les utilisateurs d’ordinateurs Mac OS X 10.5, les utilisateurs de stations de travail Linux ou UNIX et les utilisateurs de Windows XP. Bien qu’il soit également possible d’utiliser PPTP, L2TP procure plus de sécurité car il exploite le protocole IPSec. 4 Saisissez des adresses IP de début et de fin pour indiquer au serveur VPN la plage qu’il peut attribuer aux clients. Ne reprenez pas les adresses servies par le serveur DHCP. Évitez également celles que vous spécifiez si vous activez le protocole PPTP. 5 Saisissez un secret partagé suffisamment complexe dans le champ « Secret partagé ». Utilisez par exemple des chiffres, des symboles et des caractères en majuscules et en minuscules pour former des combinaisons inhabituelles. La longueur recommandée est de 8 à 12 caractères. 6 Activez le protocole PPTP si les employés nécessitent un accès à l’intranet soit à partir de postes de travail Windows autres que des ordinateurs Windows XP, soit à partir d’ordinateurs Mac OS X 10.2, lorsqu’ils travaillent en déplacement. Pour prendre en charge des clients Windows de versions plus anciennes et non compatibles avec PPTP 128 bits, sélectionnez « Autoriser les clés de cryptage 40 bits, outre celles de 128 bits ». 7 Saisissez des adresses IP de début et de fin pour indiquer au serveur VPN la plage qu’il peut attribuer aux clients. Ne reprenez pas les adresses servies par le serveur DHCP. Évitez également celles que vous avez spécifiées au moment de l’activation du protocole L2TP via IPSec. 8 Cliquez sur Enregistrer, puis cliquez sur Démarrer le VPN.218 Chapitre 9Exemple de configuration Étape 11 :configurez les services de productivité L’infrastructure nécessaire pour configurer les services de fichiers, les services d’impression et d’autres services de productivité est désormais disponible. Suivez les instructions fournies dans les guides d’administration appropriés (dont la liste est présentée à la page 13) pour configurer les services qui vous intéressent. De nombreux services, tels que le service de fichiers Apple, requièrent une configuration minimale. Démarrez-les simplement à l’aide d’Admin Serveur. Étape 12 :créez des comptes utilisateurs et leurs dossiers de départ 1 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail. 2 Si vous ne l’avez pas encore fait, connectez-vous au serveur et authentifiez-vous sous l’identité de l’administrateur que vous avez défini à l’aide de l’Assistant du serveur. Le répertoire LDAP maître Open Directory est modifiable. Vous pouvez ajouter un compte pour chaque employé à ce répertoire maître. 3 Cliquez sur le bouton Nouvel utilisateur. 4 Spécifiez les réglages d’utilisateur dans les différentes sous-fenêtres. Le guide Gestion des utilisateurs vous indique comment configurer tous les attributs des comptes utilisateur, notamment les dossiers de départ. Il explique également comment gérer des utilisateurs en configurant des comptes de groupe et des listes d’ordinateurs, et comment configurer les préférences permettant de personnaliser les environnements de travail des clients Macintosh. Les guides Gestion des utilisateurs et Administration d’Open Directory expliquent comment mettre en place la prise en charge spécifique des utilisateurs de postes de travail Windows. Étape 13 :configurez les ordinateurs clients Les informations suivantes s’appliquent aux ordinateurs Mac OS X 10.5. 1 Si nécessaire, configurez les clients Mac OS X afin qu’ils obtiennent des informations du serveur DHCP. Les ordinateurs Mac OS X 10.5 sont configurés pour obtenir des adresses IP via DHCP et récupérer les informations de répertoire LDAP à partir du serveur DHCP. Une fois que vous avez configuré le service DHCP à l’aide d’informations relatives à un répertoire LDAP, ces informations sont transmises aux clients Mac OS X lorsqu’ils reçoivent leur adresse IP du serveur DHCP. Les réglages suivants sont préconfigurés :  Les préférences Réseau sont définies de façon à exploiter le protocole DHCP. Pour accéder au réglage, ouvrez les Préférences Système, ouvrez les préférences Réseau, sélectionnez l’interface Ethernet interne, puis l’option « Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle » ou « Via DHCP » dans le menu local Configurer IPv4.Chapitre 9 Exemple de configuration 219  La politique de recherche de l’ordinateur est réglée pour être définie automatiquement. Pour accéder à ce réglage, ouvrez Utilitaire d’annuaire (dans /Applications/Utilitaires/), puis cliquez sur Authentification. Si le cadenas est fermé, cliquez dessus et authentifiez-vous en tant qu’administrateur. Sélectionnez Automatique dans le menu local Rechercher, puis cliquez sur Appliquer.  La fourniture d’informations LDAP par DHCP est activée. Pour accéder à ce réglage, ouvrez Utilitaire d’annuaire et cliquez sur Services. Si le cadenas est fermé, cliquez dessus et authentifiez-vous en tant qu’administrateur. Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. Cliquez sur « Utiliser le serveur LDAP fourni par DHCP », puis sur OK. 2 Configurez les clients Mac OS X afin qu’ils puissent utiliser le serveur VPN. 3 Ouvrez l’application Connexion à Internet (dans /Applications/), puis cliquez sur VPN dans la barre d’outils. 4 Sélectionnez L2TP via IPSec ou PPP, puis cliquez sur Continuer. 5 Dans le menu local Configurations, choisissez Modifier les configurations. 6 Saisissez l’adresse IP externe communiquée par le FAI, les nom et mot de passe de l’utilisateur de l’ordinateur et, si vous avez choisi l’option L2TP via IPSec, le secret partagé. 7 Cliquez sur OK. 221 Annexe Feuille d’opérations avancées de Mac OS X Server Saisissez les réglages du serveur dans les tableaux ci-dessous : Nom du serveur : Élément Description Vos informations Identité du serveur distant pour l’installation et la configuration Pour l’installation et la configuration interactives d’un serveur distant sur le sous-réseau local, l’une de ces valeurs du serveur : - Adresse IP au format IPv4 (000.000.000.000) - Nom d’hôte (serveur.exemple.com) - Adresse MAC (00:03:93:71:26:52) Pour les installations et configurations à partir de la ligne de commande ou d’un sous-réseau distant, l’adresse IP du serveur cible au format IPv4. Mot de passe prédé- fini (pour l’installation et la configuration à distance) Les huit premiers chiffres du numéro de série matériel du serveur cible, imprimé sur une étiquette collée sur l’ordinateur. Pour les anciens ordinateurs ne portant pas ce type de numéro, tapez 12345678. Type d’installation Mise à niveau à partir de la version 10.3.9 ou de la dernière version 10.4, installation complète sans formatage de disque ou installation spéciale. Le volume (partition) cible est effacé lorsque vous effectuez une nouvelle installation. Disque ou partition cible. Nom du disque ou de la partition (volume) cible. Format de disque (lorsque l’effacement du disque est validé) Format du disque cible. Dans la plupart des cas, utilisez Mac OS Étendu (journalisé). Vous pouvez aussi utiliser le format Mac OS étendu ou le format HFS+ sensible à la casse. Partitionnement de disque (lorsque l’effacement du disque est validé) Indiquez si vous souhaitez partitionner le disque cible. La taille minimum recommandée d’une partition de disque cible est de 4 Go.222 Annexe Feuille d’opérations avancées de Mac OS X Server Mise en miroir RAID (lorsque l’effacement du disque est validé et que vous disposez d’un deuxième disque physique sur le serveur cible) Indiquez si vous souhaitez configurer la mise en miroir RAID. Le deuxième disque est utilisé automatiquement si le disque principal n’est pas disponible. Si le disque cible comporte une partition unique et que le deuxième disque physique comporte une partition unique sans aucune donnée, vous pouvez configurer la mise en miroir RAID après l’installation. Cependant, afin d’éviter toute perte de données, configurez la mise en miroir RAID le plus tôt possible. Utilisation de données de configuration enregistrées Si vous voulez utiliser les données de configuration enregistrées pour configurer ce serveur, identifiez le fichier ou le répertoire dans lequel elles sont stockées . Si les données sont chiffrées, identifiez également la phrase secrète. Si vous souhaitez enregistrer des réglages dans un fichier ou un répertoire, utilisez l’une des deux lignes suivantes. Enregistrement des données de configuration dans un fichier Nommez le fichier à l’aide de l’une des options suivantes :  .plist (notez les zéros initiaux mais omettez les deux-points, par exemple, 0030654dbcef.plist) ;  .plist (par exemple, 10.0.0.4.plist) ;  .plist (par exemple, monserveur.plist) ;  .plist (huit premiers caractères, par exemple, ABCD1234.plist) ;  .plist (par exemple, monserveur.exemple.com.plist) ;  .plist (par exemple, 10.0.plist correspond à 10.0.0.4 et 10.0.1.2) ;  générique.plist (fichier que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). Si vous chiffrez le fichier, vous pouvez enregistrer la phrase secrète dans un fichier nommé selon les conventions ci-dessus, mais utilisez l’extension .pass plutôt que .plist. Placez les fichiers à un emplacement où ils pourront être détectés par le ou les serveurs cibles. Un serveur peut détecter les fichiers qui résident sur un volume monté localement dans/Volumes/*/ Auto Server Setup/, où * correspond à n’importe quel périphérique monté sous /Volumes. Élément Description Vos informationsAnnexe Feuille d’opérations avancées de Mac OS X Server 223 Enregistrement de données de configuration dans un répertoire Accédez au répertoire dans lequel vous souhaitez enregistrer la configuration, puis nommez l’enregistrement de configuration à l’aide d’une des options suivantes :  (par exemple, 10.0.0.4) ;  (par exemple, monserveur) ;  » (par exemple, « Ordinateur de Jean »), mais il peut être modifié à loisir. Le nom d’ordinateur est utilisé pour parcourir les serveurs de fichiers du réseau, les files d’attente d’impression, la détection Bluetooth®, les clients Apple Remote Desktop et toute autre ressource réseau identifiant des ordinateurs par leur nom d’ordinateur plutôt que par leur adresse réseau. Ce nom sert également de base pour le nom d’hôte local par défaut. nom de portIdentifiant unique attribué à un port Fibre Channel. nom DNSNom unique d’un ordinateur, utilisé dans le système DNS (Domain Name System) pour convertir les adresses IP et les noms. Également appelé nom de domaine. NTPInitiales de « Network Time Protocol » (protocole d’horloge réseau). Protocole réseau utilisé pour synchroniser les horloges d’ordinateurs connectés à un réseau avec une horloge de référence donnée. Ce protocole permet de s’assurer que tous les ordinateurs d’un réseau affichent tous la même heure. Open DirectoryArchitecture de services de répertoire Apple, capable d’accéder à des informations autorisées concernant des utilisateurs et des ressources réseau à partir de domaines de répertoire utilisant les protocoles LDAP ou Active Directory, ou des fichiers de configuration BSD et des services de réseau. Open SourceTerme désignant le développement coopératif de logiciels par la communauté Internet. Le principe de base consiste à impliquer le maximum de personnes dans l’écriture et la mise au point du code en publiant le code source et en encourageant la formation d’une large communauté de développeurs qui feront part de leurs modifications et améliorations. ordinateur administrateurOrdinateur Mac OS X sur lequel vous avez installé les applications d’administration du serveur à partir du CD Mac OS X Server Admin. ordinateur invitéOrdinateur ne disposant pas d’un compte d’ordinateur. ouvrir une sessionSignifie démarrer une session sur un ordinateur (généralement en s’authentifiant en tant qu’utilisateur disposant d’un compte sur l’ordinateur) afin d’obtenir des services ou d’accéder à des fichiers. Il est important de faire la distinction entre l’ouverture de session et la connexion, cette dernière impliquant simplement l’établissement d’un lien physique avec l’ordinateur.248 Glossaire paquet d’installationFichier portant l’extension .pkg. Un paquet d’installation contient des ressources pour l’installation d’une application, notamment l’archive, les documents Ouvrez-moi et la licence, ainsi que des scripts d’installation. par défautAction automatique exécutée par un programme à moins que l’utilisateur n’en décide autrement. partitionSous-division de la capacité d’un disque physique ou logique. Les partitions sont constituées de blocs contigus sur le disque. passerelleNœud réseau faisant l’interface entre deux réseaux. Le terme fait souvent référence à un ordinateur assurant le lien entre un réseau local privé et un réseau WAN public, que ce soit avec ou sans NAT (Network Address Translation). Un routeur est un type particulier de passerelle qui relie des segments de réseau associés. période de bailDurée limitée pendant laquelle des adresses IP sont attribuées. L’utilisation de périodes courtes permet au protocole DHCP de réattribuer des adresses IP sur les réseaux comportant plus d’ordinateurs que d’adresses IP disponibles. PHPInitiales de « PHP Hypertext Preprocessor » (à l’origine, acronyme de « Personal Home Page », page d’accueil personnelle). Langage de script incorporé à HTML et utilisé pour créer des pages web dynamiques. point à pointUne des trois topologies physiques que Fibre Channel utilise pour interconnecter des nœuds. La topologie point à point consiste en une seule connexion entre deux nœuds. Voir aussi boucle arbitrée, tissu. point de montageEn diffusion en continu, chaîne utilisée pour identifier un flux en direct tel qu’un flux de séquence vidéo relayé ou non ou un flux MP3. Les points de montage qui décrivent des flux de séquence vidéo en direct se terminent toujours par l’extension .sdp. Point to Point Tunneling ProtocolVoir PPTP. politique de mot de passeEnsemble de règles déterminant la composition et la validité du mot de passe d’un utilisateur. politique de rechercheListe des domaines de répertoire parmi lesquels un ordinateur Mac OS X nécessitant des informations de configuration effectue ses recherches. Également, ordre dans lequel les domaines sont interrogés. Parfois appelée chemin de recherche. portSorte d’emplacement de messagerie virtuel. Un serveur utilise des numéros de port pour déterminer quelle application doit recevoir les paquets de données. Les coupe-feu utilisent des numéros de port pour déterminer si les paquets de données sont autorisés à transiter par un réseau local. Le terme « port » fait généralement réfé- rence à un port TCP ou UDP.Glossaire 249 POSIXInitiales de « Portable Operating System Interface for UNIX ». Famille de normes standard de systèmes UNIX ouverts, permettant d’écrire des applications dans un seul environnement cible au sein duquel elles peuvent être exécutées de manière identique sur un grand nombre de systèmes. PPTPInitiales de « Point to Point Tunneling Protocol ». Protocole de transport réseau utilisé pour les connexions VPN. Il constitue le protocole VPN standard sous Windows et utilise le mot de passe de l’utilisateur pour produire une clé de chiffrement. préférences géréesPréférences du système ou d’application contrôlées par les administrateurs. Gestionnaire de groupe de travail permet aux administrateurs de contrôler les réglages de certaines préférences système pour les clients gérés Mac OS X. privilègesDroit d’accéder à des zones restreintes d’un système ou d’effectuer certaines tâches (telles que les tâches de gestion) du système. processusProgramme en cours d’exécution et qui monopolise une partie de la mémoire. protocoleEnsemble de règles qui déterminent la manière dont les données sont échangées entre deux applications. QTSS PublisherApplication Apple (incluse avec Mac OS X Server) destinée à la gestion de données multimédias et de listes de lecture QuickTime et à la préparation de données en vue de leur diffusion en continu et de leur téléchargement. QuickTime Streaming Server (QTSS)Voir QTSS. RADIUSInitiales de « Remote Authentication Dial-In User Service » (service d’authentification d’utilisateur par connexion à distance). RAIDRedundant Array of Independent (or Inexpensive) Disks. Regroupement de plusieurs disques durs physiques en une matrice de disques, dont le rôle est soit de fournir un accès à débit élevé aux données stockées, soit d’effectuer une copie en miroir des données de façon à ce qu’elles puissent être reconstruites en cas de défaillance de disque, soit les deux. La matrice RAID est présentée au système de stockage en tant qu’unité de stockage logique unique. Voir aussi matrice RAID et niveau RAID. RAID 0Schéma RAID dans lequel les données sont distribuées également sur les segments composant une matrice de disques. RAID 0 accélère le transfert de données, mais n’assure aucune protection des données. RAID 0+1Combinaison de RAID 0 et de RAID 1. Ce schéma RAID est créé en entrela- çant des données sur plusieurs paires de disques en miroir. RAID 1Schéma RAID qui crée une paire de disques en miroir avec des copies identiques des mêmes données. Il fournit un degré élevé de disponibilité des données.250 Glossaire RAID 5Schéma RAID répartissant des données et des informations de parité sur une matrice de disques, un bloc à la fois, chaque disque fonctionnant indépendamment. Cela permet d’obtenir des performances maximales en lecture lors de l’accès à des fichiers volumineux. récursivitéProcessus de conversion complète des noms de domaine en adresses IP. Une requête DNS non récursive permet la référence à d’autres serveurs DNS pour convertir l’adresse. En règle générale, les applications des utilisateurs dépendent du serveur DNS pour effectuer cette fonction, mais les autres serveurs DNS n’ont pas à effectuer de requête récursive. répertoireVoir dossier. répertoire de départVoir dossier de départ. répertoire de départ localVoir dossier de départ local. réseau géréÉléments que les clients gérés sont autorisés à voir quand ils cliquent sur l’icône Réseau d’une fenêtre du Finder. Les administrateurs contrôlent ce réglage à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail. Également appelé présentation de réseau. réseau localVoir LAN. ROM de démarrageInstructions de bas niveau utilisées par un ordinateur dans les premières étapes du démarrage. rootCompte qui n’est limité par aucune protection ni restriction sur un système. Les administrateurs système utilisent ce compte pour apporter des modifications à la configuration du système. royaumeTerme général utilisé pour plusieurs applications. Voir royaume WebDAV, royaume Kerberos. royaume KerberosDomaine d’authentification comprenant les utilisateurs et les services enregistrés auprès du même serveur Kerberos. Les utilisateurs et services enregistrés délèguent au serveur Kerberos la vérification de l’identité de chacun. royaume WebDAVPartie d’un site web, généralement un dossier ou un répertoire, défini pour fournir l’accès à des utilisateurs et des groupes WebDAV. SACLInitiales de « Service Access Control List » (liste de contrôle d’accès aux services). Vous permet de spécifier les utilisateurs et les groupes qui ont accès à des services particuliers. Voir ACL. SambaLogiciel open-source fournissant à des clients Windows, via le protocole SMB, l’accès aux fichiers, à l’impression, à l’authentification, à l’autorisation, à la résolution de noms et aux services réseau.Glossaire 251 sauvegardeEnsemble de données stockées à des fins de récupération au cas où la copie originale des données serait perdue ou deviendrait inaccessible. sauvegarderAction consistant à créer une sauvegarde. schémaEnsemble d’attributs et de types d’enregistrements ou de classes servant de plan pour les informations d’un domaine de répertoire. secret partagéValeur définie à chaque nœud d’une connexion VPN L2TP et servant de base de clé de chiffrement pour négocier les connexions d’authentification et de transport des données. Secure Sockets LayerVoir SSL. segmentPartition d’un disque faisant partie d’une matrice RAID. segmenterÉcrire des données sur des segments successifs composant une matrice RAID ou un LUN. Server Message BlockVoir SMB. serveurOrdinateur fournissant des services (service de fichiers, service de courrier électronique ou service Web, par exemple) à d’autres ordinateurs ou périphériques de réseau. serveur autonomeServeur qui fournit des services sur un réseau, mais qui n’obtient pas de services de répertoire auprès d’un autre serveur, ni ne fournit des services de répertoire à d’autres ordinateurs. Serveur d’applicationsLogiciel qui exécute et gère d’autres applications, généralement des applications web accessibles à l’aide d’un navigateur web. Les applications gérées résident sur le même ordinateur que le serveur d’applications. serveur de fichiersOrdinateur chargé de servir des fichiers à des clients. Un serveur de fichiers peut être un ordinateur polyvalent capable d’héberger des applications supplé- mentaires ou un ordinateur capable uniquement de transférer des fichiers. serveur de mots de passeVoir serveur de mots de passe Open Directory. serveur de nomsServeur d’un réseau qui tient à jour une liste des noms de domaines et des adresses IP associées à chaque nom. Voir aussi DNS,WINS. serveur RADIUSOrdinateur du réseau fournissant une base de données centralisée d’informations d’authentification pour les ordinateurs sur le réseau.252 Glossaire service de journal webService Mac OS X Server permettant aux utilisateurs et aux groupes de créer et d’utiliser des blogs de façon sécurisée. Le service de journal web repose sur l’authentification Open Directory pour vérifier l’identité des auteurs et des lecteurs de blogs. En cas d’accès via un site web acceptant le protocole SSL, le service de journal web utilise le chiffrement SSL pour sécuriser davantage l’accès aux blogs. services de répertoireServices fournissant au logiciel système et aux applications un accès uniforme aux domaines de répertoire et à d’autres sources d’informations relatives aux utilisateurs et aux ressources. shellProgramme exécutant d’autres programmes. Vous pouvez utiliser un shell pour communiquer avec l’ordinateur en tapant des commandes à l’invite du shell. Voir aussi interface de ligne de commande. signature numériqueSignature électronique permettant de vérifier l’identité de l’expéditeur d’un message. SLP DAInitiales de « Service Location Protocol Directory Agent ». Protocole qui enregistre les services disponibles sur un réseau et permet aux utilisateurs d’y accéder aisé- ment. Lorsqu’un service est ajouté au réseau, il utilise le protocole SLP pour s’enregistrer. SLP DA utilise un point de dépôt centralisé pour les services réseau enregistrés. SMBProtocole SMB (Server Message Block). Protocole permettant à des ordinateurs clients d’accéder à des fichiers et à des services de réseau. Il peut être utilisé via TCP/IP, Internet ou d’autres protocoles. Les services SMB utilisent ce protocole pour fournir l’accès aux serveurs, aux imprimantes et à d’autres ressources réseau. SMTPInitiales de « Simple Mail Transfer Protocol » (protocole simple de transfert de courrier). Protocole servant à envoyer et à transférer du courrier électronique. Sa capacité à mettre les messages entrants en file d’attente est limitée. SMTP n’est donc géné- ralement utilisé que pour envoyer des messages, tandis que le protocole POP ou IMAP est utilisé pour recevoir des messages. SNMPInitiales de « Simple Network Management Protocol » (protocole simple de gestion de réseau). Ensemble de protocoles standard utilisés pour gérer et contrôler des périphériques réseau multiplateformes. sous-domaineParfois appelé nom d’hôte. Partie du nom de domaine d’un ordinateur sur Internet. N’inclut pas l’indicateur de domaine ou de domaine de premier niveau (par exemple .com, .net, .fr, .be). Le nom de domaine « www.exemple.com » est constitué du sous-domaine « www », du domaine « exemple » et du domaine de premier niveau « com ». sous-répertoireRépertoire appartenant à un autre répertoire.Glossaire 253 sous-réseauRegroupement, sur un même réseau, d’ordinateurs clients organisés par emplacement (par exemple, selon les différents étages d’un bâtiment) ou par emploi des ressources (par exemple, tous les étudiants en classe de seconde). L’utilisation des sous-réseaux simplifie l’administration du réseau global. Voir aussi sous-réseau IP. sous-réseau IPPartie d’un réseau IP, éventuellement un segment de réseau physiquement indépendant, partageant une adresse réseau avec d’autres parties du réseau et identifiée par un numéro de sous-réseau. SpotlightMoteur de recherche complet servant à effectuer des recherches parmi vos documents, vos images, vos séquences vidéo, vos documents PDF, vos messages électroniques, vos événements de calendrier et vos préférences système. Il permet de rechercher un élément d’après le texte qu’il contient, son nom de fichier ou des informations qui lui sont associées. SSLInitiales de « Secure Sockets Layer » (couche sécurisée pour sockets réseau). Protocole Internet permettant d’envoyer des informations authentifiées et chiffrées à travers Internet. Les versions les plus récentes de SSL sont connues sous le nom de TLS (Transport Level Security). système de fichiersSchéma de stockage de données sur des périphériques de stockage et qui permet aux applications de lire et d’écrire des fichiers sans s’occuper de détails de niveau inférieur. TCPInitiales de « Transmission Control Protocol » (protocole de contrôle des transmissions). Méthode utilisée conjointement avec le protocole IP (Internet Protocol) pour envoyer des données, sous la forme d’unités de message, d’un ordinateur à un autre à travers Internet. Le protocole IP gère la livraison effective des données, tandis que le protocole TCP assure le suivi des unités de données (chaque message est divisé en unités, appelées « paquets », qui permettent leur acheminement efficace sur Internet). téraoctetVoir To. texte clairTexte n’ayant pas été chiffré. texte en clairDonnées non chiffrées. ToTéraoctet. 1 099 511 627 776 (2 40 ) octets. tousTout utilisateur pouvant ouvrir une session sur un serveur de fichiers : un utilisateur enregistré ou un invité, un utilisateur FTP anonyme ou encore un visiteur de site web. transfert de zoneMéthode selon laquelle les données d’une zone sont répliquées (copiées) sur des serveurs DNS d’autorité. Les serveurs DNS esclaves demandent des transferts de zone à leurs serveurs maîtres afin d’en acquérir les données.254 Glossaire tunnelingTechnologie permettant à un protocole de réseau d’envoyer ses données en adoptant le format d’un autre protocole. type d’enregistrementCatégorie particulière d’enregistrements, faisant référence, par exemple, à des utilisateurs, des ordinateurs et des montages. Un domaine de répertoire peut contenir un nombre différent d’enregistrements pour chaque type d’enregistrements. URLInitiales de « Uniform Resource Locator » (localisateur uniforme de ressources). Adresse d’un ordinateur, d’un fichier ou d’une ressource, accessible à travers un réseau local ou Internet. L’URL se compose du nom du protocole nécessaire pour accéder à la ressource, d’un nom de domaine identifiant un ordinateur particulier sur Internet et d’une description hiérarchique de l’emplacement d’un fichier sur l’ordinateur. utilisateur invitéUtilisateur autorisé à ouvrir une session sur un serveur sans nom d’utilisateur et mot de passe. Utilitaire d’images de réseauUtilitaire fourni avec le logiciel Mac OS X Server, permettant de créer des images disque pour les services NetBoot et Installation en réseau. Les images disque peuvent contenir le système d’exploitation Mac OS X, des applications ou les deux. Virtual Private NetworkVoir VPN. volumeAllocation d’unité de stockage montable, qui se comporte, du point de vue du client, comme un disque dur local, une partition de disque dur ou un volume réseau. Dans Xsan, les volumes sont composés d’une ou de plusieurs réserves de stockage. Voir aussi disque logique. VPNvirtual private network. Réseau utilisant le chiffrement et d’autres technologies pour assurer des communications sécurisées à travers un réseau public, généralement Internet. Les VPN sont de façon générale moins chers que les réseaux privés réels à lignes privées, mais ils reposent sur l’utilisation du même système de chiffrement aux deux extrémités. Le chiffrement peut être assuré par un logiciel de coupe-feu ou par des routeurs. WANInitiales de « Wide area network » (réseau étendu). Réseau maintenu au sein d’établissements géographiquement distincts, contrairement à un réseau LAN (réseau local) qui est limité à un établissement. Votre interface WAN correspond généralement à celle qui est connectée à Internet. WebDAVWeb-based Distributed Authoring and Versioning. Environnement de création en direct permettant à des utilisateurs clients de prendre des pages web, de les modifier, puis de les rendre à leur site d’origine sans interruption de ce dernier. wide area networkVoir WAN.Glossaire 255 wikiSite web permettant à des utilisateurs de modifier des pages de façon collaborative et d’accéder aisément aux pages précédentes à l’aide d’un navigateur web. Windows Internet Naming ServiceVoir WINS. WINSInitiales de « Windows Internet Naming Service » (service de noms Internet pour Windows). Service de résolution de noms utilisé par les ordinateurs Windows pour faire correspondre le nom des clients aux adresses IP. Un serveur WINS peut se trouver sur un réseau local ou à l’extérieur sur Internet. zone de réexpéditionZone DNS ne conservant aucune donnée et chargée de réexpé- dier les requêtes DNS vers une autre zone. zone esclaveEnregistrements de la zone DNS conservés par un serveur DNS secondaire. Une zone esclave reçoit ses données par le biais de transferts de zone depuis la zone maîtresse du serveur DNS principal. zone maîtresseEnregistrements de la zone DNS conservés par un serveur DNS principal. Une zone maîtresse est répliquée par des transferts de zone à des zones esclaves sur des serveurs DNS secondaires. 257 Index Index A accès installation à distance91 LDAP22 listes de contrôle d’accès61 listes de contrôle d’accès (ACL)80 listes de contrôle d’accès à un service (SACL)80, 81 restrictions en matière d’adresses IP58 utilisateur162, 165 utilitaire Trousseau d’accès72 Voir aussi autorisations ACL (listes de contrôle d’accès)61 administrateur79, 80, 81, 168, 169 Admin RAID195 Admin Serveur authentification42, 43, 68, 157 certificats68, 166 contrôle de l’accès165 et la création d’images système53 état du serveur199 gestion des services164 outil d’administration157 ouverture42, 43, 68, 157 personnalisation45 système de notification198 vue d’ensemble11, 42, 43, 68 adressage IPv623 adresse IP modification de l’adresse IP du serveur162 adresses. Voir adresses IP adresses IP et coupe-feu<>coupe-feu89 changement de serveur33 installation d’un serveur distant91, 107 restriction d’accès58 serveurs sur des sous-réseaux différents124 vue d’ensemble23 agrégation de liens184, 185, 186, 187, 189 aide, utilisation12 Apple Remote Desktop (ARD)56, 161, 208 archivage des données d’un serveur35, 39 ARD. Voir Apple Remote Desktop asr outil39, 94 Assistant du serveur45, 109, 117, 123 Assistant réglages de passerelle175 authentification Admin Serveur42, 43, 68, 157 Gestionnaire de groupe de travail170 Kerberos22, 64, 123 mots de passe63, 84, 107 MS-CHAPv2120 Open Directory63 RADIUS21, 22, 64, 175 SASL63 serveur autonome122 services de trousseau176 signature unique64 SSH à base de clés77, 78 et TLS60 utilisateurs63, 65, 78, 120 vue d’ensemble63 Voir aussi certificats authentification à base de clés77, 78 authentification MS-CHAPv2120 authentification par signature unique64 autorisation63 Voir aussi authentification autorisations administrateur79, 80, 168, 169 dossiers61 fichiers61 liste de contrôle d’accès à un service (SACL)81 types61 autorité de certificat (AC)258 Index création71 création de certificats provenant d’une73 demande de certificats à une69, 70, 71, 73 distribution à des clients75 introduction67 vue d’ensemble67 Voir aussi ICP B Berkeley Software Distribution. Voir BSD BSD (Berkeley Software Distribution)24 C certificat racine71 certificats et Admin Serveur68, 166 auto-signés68, 71, 75 clés privées66 clés publiques66 création71, 73 demande69, 70 gestion75 identités68 importation74 modification75 préparation69 racine71 renouvellement76 et services77 suppression76 vue d’ensemble65, 67 certificats auto-signés68, 71, 75 certificats d’identité. Voir certificats certificats de clé publique. Voir certificats changeip outil33 chiffrement60, 61, 62, 66, 134 Voir aussi SSL clé privée66, 68 clients certificats75 comptes de groupe172 journalisation côté client208 et NetBoot28 Voir aussi utilisateurs collecte de données historiques193 comptes. Voir comptes utilisateur; Gestionnaire de groupe de travail comptes de groupe172 comptes mobiles161 comptes utilisateur authentification65 configuration146 gérés, préférences de172 gestion de171 groupe172 mobiles161 mots de passe63 Voir aussi utilisateurs configuration agrégation de liens187 authentification63 automatique128, 135, 136, 137, 140 avancée19, 20, 122 configuration par lots pour plusieurs serveurs127 connexion au répertoire121, 122 connexion au réseau118, 186, 187 contrôle de l’état143, 144 dépannage143, 144 DHCP89, 122 enregistrement des données de configuration130, 132, 133, 134, 136, 137, 140 Ethernet118 exemple209 feuille d’opérations221 historiques144 infrastructure de serveurs31 interactive123, 124, 125, 127 introduction18, 117 Open Directory119, 120, 121, 122, 135, 140, 145 report117 serveur autonome120 serveur distant123, 125, 127 services145, 146, 147, 148, 149, 150, 151, 175 SSL166 transmission des fichiers de données de configuration aux serveurs134, 135 types de117, 163 types de serveur18 vue d’ensemble des réglages119 configuration matérielle requise87, 88, 103 configuration requise environnement d’exploitation183 infrastructure30, 31 logiciels87, 89 matériel17, 32, 87, 88, 103 configuration requise en matière d’infrastructure30, 31 configuration requise en matière d’infrastructure matérielle30 configuration requise pour l’environnement d’exploitation183 Console196 Contrôle de serveur51, 195 contrôle en temps réel193 copies complètes au niveau du fichier36 copies de sauvegarde fichiers critiques176 courrier électronique. Voir service de messagerie cryptographie à clé publique77Index 259 CSR (demande de signature de certificat)69, 70, 71, 73 D Darwin (système d’exploitation principal)24 Demande de signature de certificat. Vo démon launchd39, 191 démons, vue d’ensemble191 démon slapd207 démon snmpd201 dépannage du serveur143, 144 df , outil196 diffusion, configuration150 diffusion de données en continu21, 28, 54, 150, 177 diskspacemonitor, outil197 diskutiloutil101, 104, 106 disques effacement de l’espace libre105 gestion à partir de la ligne de commande196 gestion via la ligne de commande101, 106 mise en miroir102 outils de contrôle196 partitions93, 100, 101, 103, 105 préparation de l’installation98, 99, 100, 101, 102, 103, 104, 105 quotas28 Voir aussi RAID dittooutil39 documentation13, 14, 15 domaine de répertoire local, serveur autonome122 domaine de répertoire partagé22, 120 domaines, répertoire21, 89 Voir aussi Open Directory Domain Name System. Voir DNS données, diffusion en continu. Voir diffusion de données en continu dossiers28, 61, 161 dossiers de départ28, 161 du , outil196 DVD, installation92 Dynamic Host Configuration Protocol. Voir DHCP E emond, démon204 ensemble RAID concaténé103 entrelacement102 équilibrage de la charge190 Ethernet60, 118, 187 exportation de réglages de service165 F fichiers configuration206 considérations en matière de stockage28 copies complètes au niveau du fichier36 de sauvegarde176 données de configuration130, 132, 136, 137 sauvegarde34, 38 secret partagé66 sécurité61, 62 fichiers de configuration php179 fichiers de secret partagé66 File Transfer Protocol. Voir FTP FileVault62 FTP (File Transfer Protocol)23 G Gestionnaire de certificats68, 74 Gestionnaire de groupe de travail administration de comptes171 authentification170 ouverture46, 170 personnalisation48, 174 vue d’ensemble46, 47 vue d’ensemble de l’administration170 groupe de travail, type de configuration18 Groupes158, 159, 165, 169, 171 Growl, application208 H HFS+J, volume99 HFSX, volume99 historiques contrôle196, 204, 205, 207, 208 dépannage de la configuration144 services web179 I ICP (infrastructure à clé publique)60, 65, 66 image complète, type de sauvegarde35 images. Voir images disque; NetBoot; NetInstall images disque chiffrement62 installation avec28 installation avec des53, 94, 97 importation certificats74 réglages de service165 infrastructure à clé publique. Voir ICP Inspecteur174 installation accès à distance88, 91, 106, 109 à partir de versions antérieures du système d’exploitation85, 88 à partir de versions de système d’exploitation antérieures26, 29 collecte des informations88 configuration des services réseau89 configuration requise87, 88 configuration requise en matière d’30260 Index configuration requise en matière d’infrastructure31 connexions aux répertoires89 démarrage pour90, 92, 93, 97 disque d’installation du serveur89 identification des serveurs106 avec images disque28, 53, 94, 97 interactive107, 109, 111 logiciel serveur90, 112 méthode de la ligne de commande112 mise à jour115 mise à niveau115 modification du nom d’hôte162 ordinateur administrateur88 planification25, 26, 27, 28, 29, 30 préparation du disque98, 99, 100, 101, 102, 103, 104, 105 report de la configuration117 stratégie d’intégration30 sur plusieurs serveurs114 vue d’ensemble85 instantanés, données36 Interfaces réseau161 J journalisation, système de fichiers99 K KDC (Kerberos Key Distribution Center). Voir Kerberos Kerberos22, 64, 123 L LACP (Link Aggregation Control Protocol)185 launchctl outil192 LDAP (Lightweight Directory Access Protocol)22 lecteurs. Voir disques Link Aggregation Control Protocol. Voir LACP liste de contrôle d’accès à un service (SACL)80, 81 listes d’ordinateurs171, 172 listes de contrôle d’accès (ACL)80 listes de contrôle d’accès à un service. Voir SACL M MAC (Media Access Control), adresses60, 106 Mac OS X administration depuis155, 175 considérations en matière d’installation88 mise à niveau à partir de115 Mac OS X Server configuration120 configuration requise17 introduction17, 18 normes standard prises en charge21 outils d’administration41 stratégie d’intégration30 et UNIX24 Voir aussi configuration; installation maître Open Directory89 matériel, configuration requise17, 32 migration26, 29, 30 Mise à jour de logiciels115 Mise à jour de logiciels, service149 mise à niveau à partir de Mac OS X115 à partir de versions de serveur antérieures26, 29 et données de configuration enregistrées130 comparaison avec la migration26, 30 mise en miroir, disque102 modules open source PHP179 modules open-source Kerberos22, 64, 123 OpenLDAP22 OpenSSL60 Voir aussi Open Directory mots de passe63, 84, 107 N Nagios, application208 NAT (Network Address Translation)177 NetInstall53, 97 Network Address Translation. Voir NAT Network File System. Voir Network Time Protocol. Voir NTP NFS (Network File System)23 niveau d’autorisation Contrôler168 nom d’hôte local119, 161 modification162 nom d’ordinateur161 nom de l’ordinateur119 NTP (network time protocol)161 numéro de série, serveur92 O Open Directory authentification63 configuration119, 120, 121, 122, 135, 140, 145 et les listes de cont80 historiques207 vue d’ensemble21 Open Directory, réplique123, 183 OpenLDAP22 OpenSSL60 ordinateur administrateur88, 154, 155, 156 ordinateurs, administrateur88, 154, 155, 156 ordinateurs client et NetBoot28 ordinateurs portables161 outil renifleur de paquets Ethereal198Index 261 outils de ligne de commande administration de serveur54 et autorisations169 contrôle de démon191 contrôle de l’espace disque196 effacement de disques106 installation du logiciel serveur112 outils de restauration39 outils de sauvegarde39 partitionnement de disques101 ouverture de session, authentification77, 78 P PackageMaker53 paquets de données, filtrage58 partage de fichiers146, 167 partitions, disque93, 100, 101, 103, 105 Podcast Producer150 points de défaillance uniques180 points de partage61, 167 Portable Operating System Interface. Voir POSIX ports état154 Ethernet118 liste de154 TCP77 POSIX (Portable Operating System Interface)61 préférences172 préférences Date et heure161 préférences gérées, définition172 préréglages172 privilège, administrateur80, 168, 169 privilèges, administrateur Voir aussi autorisations procédures de configuration. Voir configuration; installation programme d’installationoutil112, 114 Property List Editor53 protocoles service de fichiers23, 208 service réseau31, 89, 122, 161, 162 vue d’ensemble23 Voir aussi protocoles spécifiques Q QuickTime Streaming Server (QTSS)21, 54, 177 quotas, espace disque28 R RADIUS (Remote Authentication Dial-In User Service)21, 22, 64, 175 RAID (matrice redondante de disques indépendants)29, 102, 103, 104 redémarrage, automatique182 Remote Authentication Dial-In User Service. Voir RADIUS répertoire, domaines121, 122 répertoire, domaines de174 répertoire, vue d’ensemble49, 50 répertoires. Voir services de répertoire; domaines, répertoire; dossiers réplication64 réplique Open Directory64 répliques123, 183 réseau ordinateur-commutateur186 réseau ordinateur-ordinateur186 réseau ordinateur-paire de commutateurs187 réseaux , outils de contrôle197, 201, 202, 203 configurations de connexions118, 186, 187 connexion initiale à la configuration du serveur118 environnement pour l’installation86 Ethernet60, 118, 187 sécurité58, 59, 60, 61 restauration, données34, 37 rsync outil39 S SASL (Simple Authentication and Security Layer)63 sauvegardes considérations en matière de politique34, 38 données de configuration du serveur133, 134 outils de ligne de commande39 planification36 schéma de rotation37 types35 types de support38 validation38 sauvegardes incrémentales36 Secure SHell. Voir SSH Secure Sockets Layer. Voir SSL Secure VM62 sécurité administrateur79, 80, 168, 169 au niveau du service80, 81 autorisation63 fichier61, 62 installation90 physique57 pratiques d’excellence81 réglages166 réseau58, 59, 60, 61 SASL63 service de coupe-feu58, 59, 89, 177 SSH77, 78, 91, 92, 161, 176 SSL60, 65, 66, 68, 166 TLS60 vue d’ensemble57262 Index Voir aussi accès; authentification; certificats; SSL Server Message Block, protocole. Voir SMB serveur autonome120, 122 serveur d’horloge161 serveurs ajout157 autonomes120, 122 configuration requise en matière d’infrastructure30, 31 considérations en matière de déplacement33 démarrage90, 97 dépannage143, 144 équilibrage de la charge190 exemple209 feuille d’opérations de configuration221 groupes de158, 159 horloge161 numéros de série des92 outils d’administration41, 42, 54, 55, 153, 156 outils de fiabilité180, 181, 182, 183, 184, 185, 187, 189 réglages de base119, 159 suppression157 surveillance de l’état193, 194, 195, 196, 197, 198, 199 Voir aussi configuration; installation; serveurs distants serveurs de réserve configuration avancée20 serveurs distants accès91 Apple Remote Desktop56, 161, 208 configuration123, 125, 127 identification106 installation à partir de ou sur88, 91, 106, 109 serveurs LDAPv364 service AFP (Apple Filing Protocol)23, 208 service d’images système149 Service d’impression147 service de calendriers. Voir service iCal service de conversation. VoiriChat service de coupe-feu58, 59, 89, 177 service de journal web180 service de messagerie21, 22, 149, 175, 177 service DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol)31, 89, 122 service DNS (système de noms de domaine)31, 89 service iCal151, 176 Service iChat20, 151, 176 service MySQL179 service NetBoot28, 53, 97 services configuration145, 146, 147, 148, 149, 150, 151, 175 contrôle de l’accès162, 165 exportation de réglages165 gestion de175 importation de réglages165 planification pour la distribution28 sécurité77, 80, 81 visualisation162, 164 Voir aussi services spécifiques services de fichiers20, 23, 146, 208 services de répertoire et configuration automatique132, 135, 140 configuration avancée122 domaines de répertoire21, 89, 121, 122, 174 historiques207 planification28 Voir aussi Open Directory services de trousseau176 services réseau configuration149 DHCP31, 89, 122 DNS31, 89 installation89 NAT177 NTP161 planification31 réseau local virtuel59 VPN123 Voir aussi adresses IP services web20, 21, 148, 179 service Xgrid 220, 176 signature numérique166 Simple Network Management Protocol. Voir SNMP SMB (Server Message Block)23 SNMP (Simple Network Management Protocol) outil de contrôle201, 202, 203 définition24 réglages161 sous-réseaux118, 124 SSH (Secure Shell Host)77, 78, 91, 92 SSH (secure Shell host)161, 176 SSL (Secure Sockets Layer)60, 65, 66, 68, 166 standard, type de configuration18 syslog, fichier de configuration205 syslogd, démon204 système de notification51, 161, 176, 198, 204 Voir aussi historiques systèmes de fichiers données de configuration134 sauvegarde39 sélection99 Voir aussi volumes T TCP (Transmission Control Protocol)58, 77 tcpdump, outil197 technologies web23 Time Machine39Index 263 TLS (Transport Layer Security), protocole60 Transmission Control Protocol. Voir TCP Transport Layer Security, protocole. Voir TLS Trousseau d’accès, utilitaire72 U UDP (User Datagram Protocol)58 UNIX24 UPS (alimentation sans interruption)181, 182 User Datagram Protocol, protocole. Voir UDP utilisateurs accès administratif pour79, 80, 168, 169 authentification63, 65, 78, 120 autorisations169 certificats67 contrôle de l’accès162, 165 dossiers de départ28, 161 gestion171 groupes165, 169, 171 quotas relatifs à l’espace disque28 et répertoire49 Windows29, 63 Voir aussi clients; comptes utilisateur; Gestionnaire de groupe de travail utilisateurs Windows29 Utilitaire d’annuaire51 Utilitaire d’images de système53 utilitaire de disque62, 101, 103, 105 utilitaire UNIX srm63 V Vider la Corbeille en mode sécurisé63 virtual private network. Voir VPN VLAN (Virtual Local Area Network)59 VNC (Virtual Network Computing)87, 91, 111, 114 volumes démarrage90, 97 données de configuration134 effacement105, 106 et le partitionnement100, 101 pris en charge99 RAID102, 103 sauvegarde39 VPN (virtual private network)123 W WebObjects, serveur d’applications150 widget Dashboard d’état du serveur194 wikis180 Windows, utilisateurs63 Windows NT30 X Xgrid Admin55 Xsan20 Xserve et Contrôle de serveur51 et fiabilité du serveur181, 182 instructions d’installation du matériel88 prise en charge des réseaux locaux virtuels59 Z zone démilitarisée, réseau59 Mac OS X Server Premiers contacts Pour la version 10.3 ou ultérieureK Apple Computer, Inc. © 2003 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Le propriétaire ou l'utilisateur autorisé d'un exemplaire enregistré du logiciel Mac OS X Server peut reproduire cette publication aux fins d'apprentissage du logiciel. Toute reproduction ou diffusion d'un extrait de cette publication à des fins commerciales, telle que la vente de reproductions ou la fourniture de services à titre onéreux, est interdite. Tout a été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient exactes. Apple Computer, Inc., n'est pas responsable des erreurs d'impression ou de typographie. Le logo Apple est une marque d'Apple Computer Inc. déposée aux États-Unis et dans d'autres pays. L'utilisation de ce logo à des fins commerciales via le clavier (Option-G) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple, AirPort, AppleScript, AppleShare, AppleTalk, ColorSync, FireWire, iMac, Keychain, Mac, Macintosh, Power Mac, Power Macintosh, QuickTime, Sherlock, WebObjects et Xserve sont des marques d'Apple Computer, Inc., déposées aux États-Unis et dans d'autres pays. eMac, Extensions Manager, Finder et iPod sont des marques d'Apple Computer, Inc. Adobe et PostScript sont des marques d'Adobe Systems Incorporated. Java et tous les logos et marques Java sont des marques de Sun Microsystems, Inc. déposées aux États-Unis et dans d'autres pays. Netscape Navigator est une marque de Netscape Communications Corporation. RealAudio est une marque de Progressive Networks Inc. UNIX est une marque déposée aux États-Unis et dans d'autres pays, sous licence exclusive de X/Open Company Ltd. Remarque : Apple améliore continuellement les performances et le design de ses produits. Il se peut que certaines illustrations de ce manuel soient légèrement différentes de votre version du logiciel. F022-1318-A 3 1 Table des matières Préface 9 À propos de ce guide 9 Nouveautés de la version 10.3 9 Performance et évolutivité supérieures 10 Configuration, gestion et contrôle améliorés 11 Services de réseau et de répertoires enrichis 12 Intégration Windows perfectionnée 13 Nouvelles fonctions de gestion des groupes de travail et du bureau 13 Contenu du guide 13 Partie I : Introduction à Mac OS X Server 13 Partie II : Installation et configuration initiale 13 Glossaire 14 Informations complémentaires Partie I Introduction à Mac OS X Server Chapitre 1 19 Fonctionnement de Mac OS X Server 20 Entreprises 21 Établissements d'enseignement supérieur 22 Ateliers et classes K-12 24 PME/PMI 25 Clusters informatiques 26 Environnements créatifs 27 Fournisseurs de services Web Chapitre 2 29 Services de Mac OS X Server 29 Services du noyau 30 Open Directory 30 Utilisation de répertoires Apple 31 Utilisation d'autres répertoires 31 Politiques de recherche 31 Authentification 32 Signature unique4 Table des matières 32 Détection de services de réseau 33 Gestion des utilisateurs 33 Comptes d'utilisateur 33 Comptes de groupe 33 Répertoires de départ 33 Gestion des utilisateurs Macintosh 34 Gestion des utilisateurs Windows 35 Services d'images système 35 NetBoot 35 Installation en réseau 36 Services de fichiers 36 Partage 37 Service de fichiers Apple 37 Services Windows 38 Service NFS 38 FTP (File Transfer Protocol) 39 Service d'impression 39 Service Web 40 Service de courrier 40 Services de réseau 41 DHCP 41 DNS 42 Coupe-feu 42 NAT 43 VPN 43 IP failover 43 Diffusion de contenu multimédia 44 Gestion des serveurs d'applications 44 Apache Tomcat 45 JBoss 45 WebObjects 45 Intégration dans des environnements existants 46 Haute disponibilité 46 Administration de serveur Chapitre 3 47 Administration du serveur 47 Utilisation des outils d'administration 48 Ordinateurs permettant d'administrer un serveur 49 Configuration d'un ordinateur administrateur 49 Administration au moyen d'un ordinateur non Mac OS X 50 Programme d'installation 50 Assistant du serveur 50 Format de répertoireTable des matières 5 51 Gestionnaire de groupe de travail 51 Ouverture de Gestionnaire de groupe de travail et authentification 52 Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail 56 Admin Serveur 56 Ouverture de l'application Admin Serveur et authentification 57 Utilisation de l'application Admin Serveur 60 Administration des images système 60 Contrôle de serveur 61 Administration des diffusions multimédias 61 Apple Remote Desktop 62 Utilitaires de ligne de commande 62 Gestionnaire Macintosh 62 Utilisation de serveurs version 10.2 à partir de serveurs version 10.3 Partie II Installation et configuration initiale Chapitre 4 65 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration 65 Planification 66 Installation du logiciel serveur 66 Installation locale à partir des disques d'installation du serveur 67 Installation à distance à partir des disques d'installation du serveur 68 Automatisation de l'installation de serveurs avec une image disque 69 Configuration initiale du serveur 70 Configuration interactive des serveurs 71 Automatisation de la configuration du serveur 74 Configuration des services 74 Rester à jour Chapitre 5 75 Avant de commencer 75 Mise en place d'une équipe de planification 76 Identification des serveurs à mettre en place 76 Chois des services à héberger sur chaque serveur 78 Définition d'une stratégie de migration 78 Définition d'une stratégie d'intégration 79 Définition de la configuration de l'infrastructure matérielle 79 Infrastructures de configuration du serveur 80 Vérification de la disponibilité du matériel nécessaire 81 Définition de la stratégie d'installation et de configuration à utiliser 81 Recherche et organisation des informations Chapitre 6 83 Installation du logiciel serveur 83 Configuration système requise pour l'installation de Mac OS X Server6 Table des matières 84 Informations préalables 84 Mise à jour depuis la version 10.1 ou 10.2 85 Préparation des disques pour l'installation de Mac OS X Server 86 Instructions matérielles pour l'installation de Mac OS X Server 86 Identification du serveur distant lors de l'installation de Mac OS X Server 86 Installation interactive du logiciel serveur depuis les disques d'installation 87 Utilisation du programme d'installation pour une installation locale depuis les disques d'installation 88 Utilisation de l'application Assistant du serveur pour une installation à distance depuis les disques d'installation 89 Installation du logiciel serveur sur un ordinateur avec Mac OS X version 10.3 préinstallé 90 Automatisation de l'installation du logiciel serveur avec une image disque 90 Installation du logiciel serveur à l'aide de l'outil de ligne de commande installer 92 Installation de logiciels serveur en option Chapitre 7 93 Configuration initiale du serveur 94 Informations nécessaires 94 Enregistrement des données de configuration 98 Spécification de l'utilisation initiale d'Open Directory 101 Utilisation de la configuration interactive de serveur 101 Configuration interactive d'un serveur local 102 Report de la configuration de serveur local après l'installation 102 Configuration interactive d'un serveur distant 103 Configuration interactive d'un lot de serveurs distants 105 Configuration interactive de plusieurs serveurs distants tour à tour 106 Utilisation de la configuration automatique de serveur 106 Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier 109 Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire 112 Détermination de l'état des configurations 112 Configuration des services 113 Configuration d'Open Directory 113 Configuration de la gestion des utilisateurs 113 Configuration des services de fichiers 114 Configuration du service d'impression 115 Configuration de service Web 115 Configuration du service de courrier 116 Configuration de services réseau 116 Configuration des services d'image système 116 Configuration de l'enchaînement et de la diffusion de données 116 Configuration d'un serveur d'applicationsTable des matières 7 Annexe A 117 Feuille de travail de Mac OS X Server Annexe B 127 Exemple de configuration 127 Mac OS X Server dans une petite entreprise 128 Configuration du serveur Glossaire 135 Index 145 9 Préface À propos de ce guide Ce guide est un outil d'orientation parmi les fonctions de Mac OS X Server version 10.3 et les étapes de sa configuration initiale. Il a pour but de vous aider à préparer votre serveur à répondre aux besoins de vos utilisateurs et de votre entreprise. Nouveautés de la version 10.3 Mac OS X Server version 10.3 s'appuie sur les fonctions, qui ont fait le succès de la version 10.2, en les enrichissant de perfectionnements majeurs dans les domaines suivants : • Performance et évolutivité • Configuration, gestion et contrôle • Services de répertoires et de réseau • Intégration Windows • Gestion des groupes de travail et du bureau Performance et évolutivité supérieures Les perfectionnements apportés à Mac OS X Server dans sa version 10.3 en termes de performance et d'évolutivité permettent d'améliorer des services réseau clé. Ces perfectionnements comprennent : • Darwin 7. Mac OS X Server version 10.3 intègre Darwin 7, dernière version du système d'exploitation Apple en code libre basé sur UNIX. Darwin continue à exploiter et à capitaliser les dernières avancées en provenance de la communauté “open source”. S'inspirant largement du code très stable de FreeBSD 4.4, Darwin 7 inclut également certains des derniers perfectionnements de FreeBSD 5. • Performance accrue. Pour des services réseau et systèmes de fichiers améliorés, Mac OS X Server version 10.3 gère désormais les entrées/sorties (E/S) asynchrones, les systèmes de fichiers jusqu'à 16 To et les trames étendues (Jumbo Frames) pour les paquets Ethernet volumineux. Le système de fichiers par défaut est désormais HFS+ avec journalisation et une nouvelle option de respect des différences de casse pour HFS+ facilite la compatibilité avec les applications UNIX patrimoniales sur Mac OS X Server. 10 Préface À propos de ce guide • Optimisé pour le G5. Mac OS X Server version 10.3 gère les systèmes Apple G5. Bénéficiant des performances accrues et de la vitesse d'horloge du processeur 64 bits ultra-rapide, Mac OS X Server permet également aux utilisateurs de tirer parti des capacités avancées de l'architecture G5, telles que les calculs double précision en natif (64 bits) et la possibilité de gérer jusqu'à 4 Go de mémoire physique. Configuration, gestion et contrôle améliorés La facilité d'utilisation et la simplicité continuent de faire de Mac OS X l'outil de choix pour le déploiement et la maintenance de solutions serveur en code libre. La version 10.3 intègre les améliorations suivantes : • Configuration automatique. La configuration automatique permet de configurer des ensembles complets de serveurs aussi aisément que s'il s'agissait d'un seul serveur. Cette nouvelle fonction puissante permet de configurer les services réseau et services par défaut à partir de paramètres de configuration stockés sur un serveur de répertoires, une unité de sauvegarde externe FireWire, USB, ou même un iPod. Lors du premier démarrage des systèmes Mac OS X Server, ceux-ci recherchent automatiquement ces informations de configuration sur les disques durs disponibles et dans le serveur de répertoires. En l'espace de quelques secondes, le serveur localise les données de configuration sauvegardées et se configure automatiquement. • Nouvelle application Admin Serveur. Les outils d'administration de serveur distant de Mac OS X Server ont été fusionnés et enrichis dans la version 10.3. Admin Serveur offre une administration intégrée des services et gère désormais OpenLDAP, DNS, NAT, VPN, Serveur Enchaînement QuickTime, NTP et SNMP. La nouvelle application Admin Serveur est dotée d'une interface à fenêtre unique pour la gestion et le contrôle de l'intégralité de vos services réseau : • Vous pouvez activer et désactiver les services à l'aide d'un seul bouton, modifier les réglages, visualiser les historiques et graphiques d'activité en temps réel, contrôler l'espace disque et même surveiller l'activité du réseau et de l'unité centrale (UC). • La gestion multiple de serveurs depuis une fenêtre Serveur Admin unique est aisée et vous pouvez même reproduire les configurations de services par un simple glisser-déposer d'un serveur à l'autre. • Utilitaire d'images de réseau amélioré. Le nouvel Utilitaire d'images de réseau facilite la création, la modification et l'ajout de paquets aux images disque pour les services NetBoot et Installation en réseau. Utilitaire d'images de réseau propose également un plus grand nombre d'options d'administration, notamment un clônage de système plus aisé et une installation de logiciel plus rapide via Apple Software Restore. • Nouvel Inspecteur de répertoires. Un nouvel Inspecteur de répertoires, accessible depuis Gestionnaire de groupe de travail, permet de consulter et de modifier les données LDAP brutes pour un contrôle précis des enregistrements de répertoires. • Nouveaux outils Ligne de commandes. De nouveaux outils Ligne de commandes permettent une configuration et une gestion du serveur perfectionnées depuis le terminal. Préface À propos de ce guide 11 Services de réseau et de répertoires enrichis Les services de réseau et de répertoires de Mac OS X Server version 10.3 ont été considérablement enrichis pour offrir un plus grand nombre de possibilités en termes d'évolutivité, de performance et de puissance : • Open Directory 2. Solution LDAP puissante avec authentification Kerberos. Mac OS X Server version 10.3 intègre Open Directory 2, la dernière version de l'architecture Apple de services d'authentification et de répertoires basée sur les standards. Open Directory dote Mac OS X Server de services d'authentification et de répertoires à l'échelle du réseau, via LDAP, SASL et Kerberos. Open Directory 2 apporte à Mac OS X Server version 10.3 évolutivité, disponibilité et fonctions avancées. • Signature unique. Open Directory 2 inclut désormais le service Key Distribution Center (KDC) de Kerberos (développé par le MIT), offrant une authentification réseau sécurisée et la signature unique ; cette fonction permet aux utilisateurs de s'identifier une seule fois, à l'aide d'un mot de passe unique, pour accéder à l'ensemble des services du réseau gérés par Kerberos. La signature unique simplifie le déroulement de la session utilisateur et offre la sécurité d'une authentification fiable. • Nouveau serveur de courrier hautes-performances. Mac OS X Server version 10.3 comprend un tout nouveau serveur de courrier basé sur les programmes en code libre Postfix SMTP et Cyrus IMAP ainsi que sur les serveurs POP. Ce nouveau serveur de courrier, capable de gérer des dizaines de milliers d'utilisateurs, possède les caractéristiques suivantes : • Compatibilité avec les protocoles de courrier standard d'Internet, tels que SMTP, IMAP et POP • Base de données hautes-performances pour l'indexation des courriers stockés sur le serveur • Cryptage SSL (Secure Sockets Layer) sous SMTP, IMAP et POP pour le transport sécurisé et confidentiel de courrier entre le serveur et les ordinateurs clients • Architecture ouverte pour une intégration aisée des logiciels tiers de filtrage des messages non sollicités et des virus • Mailman pour la gestion des listes de diffusion. • Serveur d'applications Java hautes-performances. Mac OS X Server s'affirme comme l'outil le plus aisé de développement et de déploiement d'applications basées sur le standard Sun J2EE (Java 2 Enterprise Edition). Il comprend un serveur d'applications JBoss intégré pour l'exécution des applications J2EE, dont les composants Enterprise Java Bean (EJB). Mac OS X Server version 10.3 dispose également de nouveaux outils de déploiement d'applications bénéficiant d'une interface utilisateur graphique qui facilite la configuration des applications J2EE existantes pour leur hébergement sous Mac OS X Server. • Serveur Enchaînement QuickTime 5. Mac OS X Server version 10.3 intègre Serveur Enchaînement QuickTime 5, nouvelle version du serveur d'enchaînement Apple basé sur les standards. Pour une gestion plus aisée, la configuration et le contrôle de QTSS sont désormais intégrés à Admin Serveur. Les nouvelles fonctions et améliorations QTSS 5 incluent : 12 Préface À propos de ce guide • QTSS Publisher. Ce nouvel outil de gestion des données QuickTime facilite le chargement de contenus vers le serveur et le téléchargement depuis celui-ci, la création et la planification de listes de lecture, l'optimisation de séquences et la génération de séquences de référence. • Mises à jour des listes de lecture en temps réel. Il est possible d'effectuer des modifications instantanément et de manière transparente pour les utilisateurs. • Gestion à partir des répertoires de départ. Diffusion des séquences à partir des répertoires de départ du réseau des utilisateurs. • Déploiement et configuration du serveur Web Apache améliorés. Mac OS X Server version 10.3 bénéficie d'une interface utilisateur enrichie pour la configuration d'Apache, le serveur Web le plus utilisé au monde. Intégrée à Admin Serveur, la nouvelle interface du serveur Web facilite la configuration et la gestion de sites Web en nombre et le déploiement d'options de configuration avancées, telles que la redirection d'URL, les alias de sites Web et les réglages de gestion des royaumes. • Serveur VPN pour un accès réseau à distance sécurisé. Mac OS X Server version 10.3 inclut un nouveau serveur VPN (Virtual Private Network) permettant un accès à distance sécurisé des ordinateurs individuels à votre réseau local (LAN). La technologie VPN offre un trafic IP sécurisé sur un réseau public TCP/IP au moyen de la “tunnellisation” chiffrant toutes les données transitant entre le système client et le réseau hôte. Le serveur VPN Apple, offrant une capacité de gestion de centaines de clients VPN par serveur, constitue la solution idéale pour les petites et moyennes entreprises. Intégration Windows perfectionnée Mac OS X Server ayant pour vocation d'offrir une solution serveur complète dans les environnements réseau mixtes, la version 10.3 renforce cette vocation par une gestion améliorée des clients Windows et du serveur de répertoires Windows propriétaire. • Samba 3. Mac OS X Server version 10.3 est désormais livré avec Samba 3. Cette dernière version du projet vedette en code libre offre des services de fichiers et d'impression hautement fiables et performants aux clients Windows via le protocole de partage de fichiers natif SMB/CIFS. Il est conforme au standard Unicode de codage des noms de fichiers et d'utilisateurs multilingues sur 16 bits. Samba 3 est également compatible avec les services PDC (Primary Domain Controller), fonction intégrée à Open Directory 2 permettant la connexion et l'authentification des utilisateurs Windows directement depuis la fenêtre d'ouverture de session du PC. • Répertoires de départ du réseau pour les clients Windows. Open Directory 2 gère les profils itinérants, équivalent Windows des répertoires de départ du réseau. Mac OS X Server version 10.3 peut désormais héberger les répertoires de départ et de groupe auxquels peuvent accéder tant les clients Mac que Windows. • Services VPN pour Windows. Le serveur VPN intégré à Mac OS X Server version 10.3 gère les clients Windows via PPTP ou L2TP/IPSec. Préface À propos de ce guide 13 • Intégration simplifiée avec Active Directory. Mac OS X Server version 10.3 peut désormais accéder aux enregistrements d'utilisateurs, de groupes et d'ordinateurs stockés sur le serveur de répertoire Microsoft propriétaire sans devoir modifier le schéma Active Directory. Il reconnaît également l'implémentation Microsoft de Kerberos pour l'accès aux services authentifiés hébergés sous Mac OS X Server. Nouvelles fonctions de gestion des groupes de travail et du bureau Mac OS X Server version 10.3 améliore la gestion des bureaux des clients Macintosh : • Gestion d'image perfectionnée. Vous pouvez créer une image NetBoot ou Installation en réseau reproduisant un système existant. La source de l'image peut être un volume ou une partition. D'autres améliorations apportées à la gestion d'image ont trait au filtrage des clients, et NetBoot sans disque pour les clients Mac OS X. • Comptes mobiles. Gestionnaire de groupe de travail permet de configurer des comptes mobiles. Les comptes mobiles permettent à l'utilisateur de Mac OS X Version 10.3 de travailler hors connexion, en continuant de se connecter via le nom d'utilisateur et le mot de passe réseau et de conserver les mêmes réglages des préférences gérées. • Gestion améliorée des préférences. Gestionnaire de groupe de travail possède aussi de nouvelles commandes de système pour les parcs de machines en laboratoire, telles que le mode Économie d'énergie et la gestion de la déconnexion automatique. Contenu du guide Ce guide est organisé en deux parties et un glossaire. Partie I : Introduction à Mac OS X Server Lisez les chapitres de cette partie pour vous familiariser avec des scénarios type d'utilisation de Mac OS X S, ses services et son administration. Partie II : Installation et configuration initiale Les différents chapitres de cette partie vous expliquent comment installer le logiciel serveur et configurer un serveur pour la première fois. La Partie II comprend deux annexes. Annexe A : Feuille de travail Mac OS X Server Utilisez cette feuille de travail pour préparer les informations dont vous aurez besoin lors de l'installation et de la configuration de Mac OS X Server. Annexe B : Exemple de configuration Cette exemple illustre une installation et une configuration initiale type de Mac OS X Server selon un petit scénario d'utilisation professionnelle. Glossaire Reportez-vous au glossaire pour consulter une courte définition des termes utilisés dans ce guide.14 Préface À propos de ce guide Informations complémentaires Mac OS X Server est accompagné d'une série de guides présentant les services offerts ainsi que les instructions relatives à leur configuration, leur gestion et la résolution des problèmes qui leur sont rattachés. La plupart de ces documents sont inclus dans le disque Outils d'administration Mac OS X Server. Tous sont disponibles pour téléchargement au format PDF à l'adresse www.apple.com/server/documentation/ Ce guide Vous indique comment Migration Mac OS X Server vers la version 10.3 ou ultérieure Réutiliser sur Mac OS X Server version 10.3 les données et les réglages de services utilisés sous les versions précédentes du serveur. Gestion des utilisateurs Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Créer et gérer les comptes d'utilisateur, de groupe et d'ordinateur. Configurer les préférences gérées pour les clients Mac OS 9 et Mac OS X. Administration des services de fichiers Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Partager des volumes ou dossiers de serveur sélectionnés parmi les clients du serveur via les protocoles suivants : AFP, NFS, FTP, et SMB. Administration du service d'impression Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Héberger les imprimantes partagées et gérer les files d'attente et travaux d'impression associés. Administration de l'image système Mac OS X version 10.3 ou ultérieure Créer des images disque et configurer le serveur de sorte que d'autres ordinateurs Macintosh puissent démarrer à partir ces images sur le réseau. Ce guide traite de NetBoot et Installation en réseau. Administration du service de courrier Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Installer, configurer et administrer les services de courrier sur le serveur. Administration des technologies Web Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Configurer et gérer un serveur Web, dont WebDAV, WebMail, et les modules Web. Administration des services de réseau Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Installer, configurer et administrer DHCP, DNS, VPN, NTP, coupe-feu IP et services NAT sur le serveur. Administration Open Directory Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Gérer les services de répertoires et d'authentification. Administration du Serveur Enchaînement QuickTime Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Configurer et gérer les services d'enchaînement QuickTime. Administration des services Windows Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Configurer Mac OS X Server pour la fourniture de services aux utilisateurs Windows. Préface À propos de ce guide 15 Pour plus d'informations, consultez les ressources suivantes : • Les fichiers Ouvrez-moi contiennent des mises à jour importantes et des informations spécifiques. Recherchez-les sur les disques du serveur. • L'aide en ligne, accessible depuis le menu Aide de toutes les applications serveur, fournit des instructions relatives à toutes les tâches d'administration ainsi que des informations de dernière minute et des mises à jour disponibles sur le Web. • Les pages Web Support et Base de connaissance (Knowledge Base) apportent des réponses aux questions courantes et des informations de dernière minute. Vous les trouverez sur le site www.apple.com/fr/support/ Administration du serveur d'applications Java Mac OS X Server Configurer et administrer un serveur d'applications JBoss sur Mac OS X Server. Administration de la ligne de commandes Mac OS X Server version 10.3 ou supérieure Utiliser les commandes et les fichiers de configuration pour exécuter les tâches d'administration du serveur via l'interpréteur de commandes UNIX. L'utilisation de la fonction IP failover est documentée dans ce guide. Ce guide Vous indique comment1 Partie 1 : Introduction à Mac OS X Server Les chapitres de cette partie du guide présentent Mac OS X Server ainsi que les applications et outils disponibles pour l'administration de ses services. Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Chapitre 3 Administration du serveur 1 19 1 Fonctionnement de Mac OS X Server Mac OS X Server répond aux besoins de nombreux environnements. Ce chapitre offre une brève visite guidée des services et configurations présentant un intérêt particulier dans certains scénarios courants : • Entreprises • Établissements d'enseignement supérieur • Ateliers et classes K-12 • PME/PMI • Clusters informatiques • Environnements créatifs • Fournisseurs de services Web20 Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server Entreprises Dans les grandes entreprises, Mac OS X Server permet de prendre en charge les besoins spéciaux des services et des groupes de travail tout en centralisant les services d'entreprise. • Open Directory vous permet de gérer les données de répertoire depuis un emplacement centralisé, tout en les répartissant de façon géographique au moyen de réplications. • La liste des autres services d'entreprise peut inclure DNS (Domain Name System), DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol), VPN (Virtual Private Network), les services de courrier, Web, de diffusion et JBoss. • JBoss est un serveur d'applications mettant en oeuvre les technologies Enterprise Edition (J2EE) et s'exécutant sur Java 1.4.1. L'implémentation de Mac OS X Server comprend des outils d'administration faciles à utiliser pour configurer et contrôler les serveurs d'applications. Grâce à ses fonctionnalités de cluster, JBoss peut s'exécuter sur plusieurs Xserve. Service de diffusion QuickTime et Web Services DHCP, VPN et DNS Service de courrier Mac OS X Server Mac OS X Server Mac OS X Server Mac OS X Server Mac OS X Servers Mac OS X Server Mac OS X Server Serveurs Back-office Répliques de répertoire Open Directory LDAP Service Web, d'impression locale et de fichiers Répertoires de départ AFP Windows PDC pour les répertoires de base Windows Serveurs de groupes de travail JBoss Open Directory Active Directory InternetChapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server 21 • Mac OS X Server s'intègre parfaitement aux services d'entreprise existants, des systèmes de répertoire aux implémentations SNMP (Simple Network Management Protocol). • Outre l'hébergement de domaines Open Directory répliqués pour l'authentification locale, les serveurs de chaque service peuvent être personnalisés selon les besoins des groupes de travail. Si un service utilise de nombreux ordinateurs Windows, vous pouvez configurer Mac OS X Server comme contrôleur de domaine principal (PDC) afin de pouvoir héberger les répertoires de départ Windows. Vous pouvez également offrir aux utilisateurs Windows la prise en charge VPN, le partage de fichiers et d'imprimantes et l'intégration d'Active Directory. Établissements d'enseignement supérieur Les collèges et les universités ont des environnements informatiques hétérogènes étant donné la diversité d'étudiants et de systèmes informatiques qu'ils utilisent. Mac OS X Server convient parfaitement à ce type d'environnement grâce à sa capacité d'intégration aux infrastructures variées de services, protocoles et répertoires existantes. Services Web et de courrier Serveur LDAP Services de fichiers, d'impression, de répertoires et de réseau Serveur de fichiers NFS UNIX Mac OS X Server Mac OS X Server Mac OS X Server Serveur Windows NT Clients Macintosh Clients Windows Clients UNIX KDC Internet22 Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server • La grande diversité d'ordinateurs clients ( Macintosh, Windows, UNIX, Linux) exige la prise en charge d'un accès flexible aux fichiers. Les services de fichiers IP hautement évolutifs dans Mac OS X Server permettent l'accès aux fichiers depuis tout point du réseau au moyen des protocoles AFP (Apple Filing Protocol), NFS (Network File System), FTP (File Transfer Protocol) et SMB (Server Message Block). • Mac OS X Server peut héberger les répertoires de départ des utilisateurs de tous les ordinateurs clients. • Les informations relatives aux utilisateurs et aux ressources réseau peuvent être récupérées par Mac OS X Server à partir des systèmes de répertoire existants, comme les serveurs LDAP (Lightweight Directory Access Protocol), Active Directory et NIS (Network Information Service). • Il est également possible d'authentifier les utilisateurs Mac OS X Server via un système LDAP ou KDC (Kerberos Key Distribution Center) existant. • La fonction d'installation réseau facilite la modification illimitée des configurations logicielles (à partir du réseau) de centaines d'ordinateurs clients Macintosh. Elle automatise la configuration des ordinateurs d'ateliers et de facultés, facilite la mise à niveau des logiciels et rétablit rapidement l'état préconfiguré d'origine des ordinateurs. • Mac OS X Server intègre un service de comptabilité de mise en attente des travaux d'impression compatible avec PostScript via le protocole LPR (Line Printer Remote), le protocole standard TCP (Transmission Control Protocol) et le protocole Windows SMB. • Étant donné la complexité des réseaux des établissements d'enseignement supérieur, les services réseau sont stratégiques. Les services DNS et DHCP peuvent être configurés sur Mac OS X Server pour aider les services et les ordinateurs clients à rechercher des ressources en réseau. Le filtrage IP permet de protéger les données sensibles à l'aide d'un coupe-feu de sécurité. Ateliers et classes K-12 Dans les scénarios pédagogiques K-12, les étudiants doivent pouvoir accéder à leurs propres fichiers et se plonger dans leurs devoirs par voie électronique ou sur papier. Ils doivent également avoir accès aux applications (comme iLife) qui facilitent l'apprentissage, sans pour autant pouvoir en utiliser d'autres non pédagogiques (telles qu'iChat).Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server 23 Les enseignants requièrent la prise en charge des services de fichiers pour pouvoir placer en ligne les plans de cours et les documents pédagogiques. Ils doivent également pouvoir récupérer et éventuellement mettre à jour les dossiers des étudiants et autres informations administratives, le tout centralisé sur un serveur distant. • Le service de gestion des clients Mac OS X Server permet de contrôler les environnements de travail Macintosh des étudiants. Par exemple, vous pouvez contrôler les applications auxquelles les étudiants ont accès. Vous pouvez aussi définir les préférences des applications, les modèles et autres réglages du bureau de sorte que tous travaillent dans le même environnement. • Tous les secteurs scolaires ont un serveur LDAP ou Active Directory configuré en tant que serveur de répertoire. Mac OS X Server peut utiliser ces référentiels centralisés pour accéder aux informations sur les étudiants et enseignants, mais l'hébergement des autres services, comme le partage de fichiers et d'imprimantes, se fait sur le serveur d'un atelier ou d'une classe. • Les étudiants utilisant des portables Macintosh, comme iBooks, ont la possibilité de faire leurs devoirs à domicile grâce aux comptes mobiles offrant accès à un environnement semblable à leur classe. Les préférences sont stockées dans le cache du portable afin d'être disponibles hors connexion. • Le service d'impression Mac OS X Server permet aux enseignants de gérer l'utilisation des imprimantes de la classe, y compris celles non PostScript (à jet d'encre). Service d’impression Services de gestion des clients Mac OS X Server Clients Mac OS X Clients Mac OS 9 Service de fichiers Serveur de répertoires 24 Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server PME/PMI Les petites (moins de 100 employés) et moyennes (de 100 à 500 employés) entreprises tirent parti des services de partage de fichiers et d'imprimantes, des services réseau et des applications de courrier, Web et de celles de base de données inter plates-formes. Les services de répertoire et réseau illustrés ci-dessous résident sur un serveur Mac OS X Server, tandis que ceux de courrier, Web et autres de productivité des employés sont hébergés sur un autre. Dans les petites entreprises toutefois, tous les services peuvent résider sur un seul et même serveur. • Le coupe-feu entre Mac OS X Server et Internet protège le réseau intranet de l'entreprise contre tout accès non autorisé. • Un serveur DNS d'autorisation hébergé par une autre entreprise assure la résolution des noms de domaine (exemple.com), tandis que les services DNS sur Mac OS X Server fournissent les noms des périphériques intranet (tels qu'imprimantes et ordinateurs clients) possédant des adresses IP statiques. • Les services DHCP fournissent des adresses IP dynamiques à certains clients Macintosh et Windows. • Le service VPN permet aux employés d'accéder hors du bureau au réseau intranet pour utiliser les services de courrier, de fichiers, etc. À l'instar des autres services décrits, VPN prend en charge les clients Macintosh et Windows. Services Web, de courrier de fichiers, d'impression et d'applications Internet Clients Windows Clients Mac OS X Services Open Directory, DNS, DHCP, VPN, NAT et de coupe-feu IP Coupe-feu Serveur DNS de référence Client Mac OS X Mac OS X Server Mac OS X server VPN DSL/câbleChapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server 25 • Le service NAT (Network Address Translation) permet aux employés de partager une connexion Internet unique. Ce protocole convertit toutes les adresses IP des clients en une adresse IP pour les communications sur Internet. Clusters informatiques Les clusters de Xserve offrent une méthode rentable et efficace de traitement informatique intensif nécessaire à la recherche génétique, la production vidéo et autres applications sollicitant énormément la bande passante. • Un serveur Xserve dans une baie de serveurs est généralement configuré comme un ordinateur maître, appelé noeud de tête. Le noeud de tête exécute NetBoot et le programme d'installation réseau, et héberge les services de répertoire et autres périphériques partagés pour le reste des ordinateurs dans la baie, servant au traitement des données et aux calculs numériques. • Le noeud de tête peut également être configuré en tant que serveur de fichiers AFP et NFS et implémenter un coupe-feu IP protégeant le cluster contre tout accès non autorisé. • Entre autres utilisateurs, les scientifiques et les vidéastes peuvent configurer et contrôler à distance, à partir d'ordinateurs Mac OS X, des applications et des bases de données résidant sur les Xserve. Applications Administration du serveur Bases de données des applications et moteurs informatiques NetBoot, installation en réseau, services de répertoires et de fichiers, service de coupe-feu26 Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server • Mac OS X Server offre aux scientifiques et aux chercheurs des shells, des langages de script, des compilateurs et des utilitaires UNIX courants pour développer des logiciels spécialisés. Le serveur comprend une suite complète d'outils de développement, notamment le compilateur de ligne de commande gcc et l'outil de développement Project Builder. Vous pouvez écrire, compiler et déboguer au moyen des langages C, C++, Objective-C ou Java. Project Builder permet de transférer des applications de ligne de commande vers Mac OS X et Mac OS X Server ou de les améliorer via une interface utilisateur Mac OS X. • Un ordinateur administrateur, tel qu'un iBook exécutant des applications d'administration Mac OS X Server, peut être utilisé pour gérer le réseau entier. Environnements créatifs Mac OS X Server prend en charge les besoins de workflow des esprits créatifs qui conçoivent et produisent des projets vidéo et audio. • Le célèbre serveur Web HTTP Apache en code libre est intégré à Mac OS X Server. • La technologie WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning), intégrée au service Web de Mac OS X Server, vous permet d'utiliser un serveur Web comme serveur de fichiers Internet. Les utilisateurs peuvent créer et accéder aux documents sur le Web à partir d'ordinateurs Mac OS X. WebDAV prend en charge la gestion des fichiers et les modifications en équipe, y compris pendant l'exécution du site Web. • Le service de diffusion QuickTime vous permet de diffuser en temps réel des données vidéo sur des ordinateurs clients au moyen d'un protocole de diffusion standard. Service d’impression Mac OS X Server Internet Clients Windows Clients Mac OS X Service de fichiers Services WebDAV Services de diffusion QuickTime et Web Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server 27 • AFP vous permet l'échange de fichiers volumineux entre les membres d'un groupe de travail. Sur un Xserve, vous pouvez augmenter la bande passante de votre infrastructure de transfert de fichiers à l'aide de paquets Ethernet Jumbo Frame ou les deux interfaces Ethernet intégrées. Fournisseurs de services Web Mac OS X Server offre la gamme de services complète pour héberger des sites de commerce électronique ou fournir d'autres services Internet exigeant disponibilité et évolutivité. Vous pouvez configurer des ordinateurs Mac OS X Server de sorte qu'ils soient accessibles à plusieurs utilisateurs et entreprises. Le terme batterie de serveurs est parfois employé pour désigner l'ensemble des serveurs Web accédant au contenu du même site et fournissant conjointement des services à un groupe d'utilisateurs particulier. De cette façon, si un serveur vient à tomber en panne, un autre prend aussitôt le relais. Vous pouvez aussi dédier des serveurs à l'usage exclusif d'entreprises ne souhaitant pas héberger leurs propres services. Internet Mac OS X Servers Mac OS X Server “batterie” Services de diffusion QuickTime, Web et FTP Mac OS X Servers Service WebDAV Mac OS X Server Mac OS X Server Ordinateur Mac OS X pour l’administration du serveur “batterie” Xserve RAID QuickTime Broadcaster JBoss Service de courrier Services Web et de courrier spécialisés28 Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server • Un seul serveur peut héberger de nombreux sites Web. Vous pouvez héberger chaque site avec sa propre adresse IP (multi-hébergement) ou configurer plusieurs sites avec une adresse IP unique (hébergement virtuel). • Le service Web Mac OS X Server vous permet de configurer une protection SSL (Secure Sockets Layer) pour des connexions sécurisées à Internet. • Mac OS X Server intègre la prise en charge de Perl, Java Servlets, JavaServer Pages et PHP Hypertext Preprocessor (PHP). • Le serveur de diffusion QuickTime vous permet de diffuser des données multimédia en temps réel, dont les diffusions QuickTime Broadcaster en direct. • Xserve RAID offre des capacités de stockage étendues. • La prise en charge d'une disponibilité élevée comprend le redémarrage automatique après une panne de courant ou la défaillance d'un service et les services de secours IP. Ces derniers peuvent être configurés via IP sur FireWire, qui vous permet d'interconnecter des serveurs redondants sans utiliser les ports Ethernet (Go).2 29 2 Services de Mac OS X Server Mac OS X Server combine une base UNIX robuste avec des standards libres et la simplicité d'emploi du Macintosh. Ce chapitre présente les services offerts par Mac OS X et vous indique comment trouver plus d'informations à leur sujet. Services du noyau Mac OS X Server est basé sur Darwin, le noyau du système d'exploitation Mac OS X. Darwin intègre des services de système d'exploitation Mach 3.0 basés sur UNIX 4.4 BSD (Berkeley Software Distribution), des fonctions de réseau hautes performances et la prise en charge de plusieurs systèmes de fichiers intégrés. Le système avancé de protection et de gestion de la mémoire de Darwin est l'un des facteurs clés de la stabilité du système. Darwin assure une fiabilité en allouant à chaque application et processus un espace d'adressage propre. Le kernel Mach augmente la sémantique standard de la mémoire virtuelle par abstraction des objets de mémoire, ce qui permet à Mac OS X de gérer simultanément plusieurs environnements applicatifs tout en améliorant le confort et la productivité des utilisateurs. Mac OS X se distingue par sa simplicité d'emploi. Il offre des performances élevées en matière d'affichage grâce aux technologies OpenGL, Quartz et QuickTime. Mac OS X Server exploite ces possibilités en fournissant aux administrateurs des applications sécurisées de gestion de serveur puissantes mais qui restent simples d'emploi. Toutefois, les administrateurs peuvent aussi travailler à partir d'une ligne de commande. Un environnement shell complet comprenant de nombreux utilitaires UNIX courants offre une gamme complète de techniques d'administration à partir de la ligne de commande. Dans ce qui suit, vous apprendrez quels services sont fournis par Mac OS X Server pour étendre son noyau Mac OS X et prendre en charge des clients réseau Macintosh, Windows, UNIX et Linux. Pour plus d'informations sur les outils d'administration de serveur, voir le chapitre 3, “Administration du serveur”, à la page 47.30 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Open Directory Open Directory est l'architecture sur laquelle se base Mac OS X pour les services de répertoires. Les services de répertoires permettent au serveur et ses clients (utilisateurs et services) de trouver et de récupérer les informations nécessaires pour l'authentification, la découverte de ressources réseau, entre autres activités système essentielles. Les informations sur les utilisateurs et les groupes sont nécessaires pour authentifier les utilisateurs lorsqu'ils ouvrent une session et les autoriser à accéder aux services et fichiers. Les informations sur les ressources réseau permettent de rendre visibles les imprimantes et autres périphériques réseau. Les services de répertoires récupèrent ces informations à partir de répertoires, référentiels d'informations sur les utilisateurs et les ressources informatiques. Open Directory permet à votre serveur de récupérer des informations à partir : • de répertoires sur des ordinateurs Mac OS X Server, • de répertoires sur des serveurs non Apple, • de fichiers de configuration sur des serveurs Mac OS X Server ou autres. Open Directory est également compatible avec plusieurs autres protocoles pour la découverte de ressources réseau : • Rendezvous • Server Message Block (SMB) • AppleTalk • Service Location Protocol (SLP) Le guide d'administration Open Directory fournit des informations complètes sur la configuration et l'utilisation d'Open Directory. Vous trouverez plus de détails sur quelques-unes des nombreuses fonctions d'Open Directory. Utilisation de répertoires Apple Mac OS X Server peut héberger des répertoires LDAP et des domaines NetInfo existants : • NetInfo est le système de répertoires en vigueur de Mac OS X. Tout ordinateur Mac OS X dispose d'un répertoire local NetInfo qui stocke des informations uniquement visibles à partir de l'ordinateur où il se trouve. La version 10.3 de Mac OS X Server peut être configurée pour prendre en charge les répertoires NetInfo existants, mais le principal moyen de stocker des informations devant être partagées avec d'autres ordinateurs est Open Directory LDAP fondé sur OpenLDAP. • Les répertoires Open Directory LDAP sont des répertoires LDAPv3 qui stockent les données partagées, que d'autres ordinateurs doivent pouvoir utiliser. Les répertoires Open Directory LDAP sont faciles à gérer, peuvent être répliqués pour des besoins de sauvegarde ou d'amélioration des performances et acceptent un volume d'informations beaucoup plus élevé que les répertoires NetInfo. Les répertoires Apple permettent un contrôle de la lecture/écriture des données.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 31 Utilisation d'autres répertoires Open Directory vous permet d'exploiter les informations que vous avez définies dans des répertoires non Apple et dans des fichiers à plat : • Sur d'autres serveurs LDAPv3, • Sur des serveurs Active Directory, • Dans des fichiers de configuration Berkeley Software Distribution (BSD), • Dans des fichiers Network Information System (NIS) Sun Microsystems. Mac OS X Server offre une prise en charge complète des communications SSL (Secure Sockets Layer) et la lecture/écriture pour les répertoires LDAPv3. Politiques de recherche Avant qu'un utilisateur ne puisse se connecter à un client ou à un serveur Mac OS X (ouverture de session), il doit taper un nom et un mot de passe associés à un compte d'utilisateur connu de l'ordinateur. Les ordinateurs Mac OS X peuvent trouver les comptes d'utilisateur situés dans un répertoire de leur politique de recherche. Une politique de recherche se réduit à une liste de répertoires que l'ordinateur parcourt lorsqu'il a besoin de données de configuration. Vous pouvez configurer la politique de recherche des ordinateurs Mac OS X sur les ordinateurs eux-mêmes en utilisant l'application Directory Access. Automatisez la configuration des répertoires clients Mac OS X en utilisant l'Option 95 de DHCP, gérée par Mac OS X Server, qui permet au serveur DHCP d'indiquer au client Mac OS X à partir de quel serveur il doit obtenir les informations de répertoire et de lui fournir une adresse IP. Authentification Il existe plusieurs options pour authentifier les utilisateurs : • Authentification Open Directory. L'authentification Open Directory, qui se fonde sur le protocole standard Simple Authentication and Security Layer (SASL), gère de nombreuses méthodes d'authentification, parmi lesquelles CRAM-MD5, APOP, WebDAV, NT/LAN Manager 2 et SHA-1. Il s'agit de la méthode recommandée pour l'authentification d'utilisateurs Windows. L'authentification Open Directory vous permet de définir des politiques de mot de passe pour un ou tous les utilisateurs dont les fiches sont stockées dans un répertoire donné, avec des exceptions si nécessaire. L'authentification Open Directory vous permet aussi de définir des politiques de mot de passe pour chaque réplique de répertoire. Vous pouvez par exemple spécifier une longueur de mot de passe minimum ou obliger un utilisateur à changer de mot de passe lors de sa prochaine ouverture de session. Vous pouvez également désactiver l'ouverture de session pour les comptes inactifs ou après un nombre défini de tentatives de connexion infructueuses. 32 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server • Authentification Kerberos v5. L'utilisation de l'authentification Kerberos permet une intégration dans des environnements Kerberos existants. Vous pouvez aussi installer un centre de distribution de clés (Key Distribution Center ou KDC) sur Mac OS X Server, qui gère les politiques de mot de passe que vous définissez sur le serveur. L'utilisation de Kerberos offre également une fonction de signature unique décrite à la section suivante. Les services suivants de Mac OS X Server gèrent l'authentification Kerberos : AFP, courrier, FTP, SSH et fenêtre d'ouverture de session. • Stockage des mots de passe dans les comptes utilisateurs. Cette approche peut être utile lors de la migration de comptes utilisateurs depuis des versions antérieures de serveur. Toutefois, elle ne sera peut-être pas compatible avec des clients nécessitant des protocoles d'authentification sécurisés au niveau réseau, tels qu'APOP. • Authentification LDAPv3 non Apple. Cette approche est disponible pour les environnements dans lesquels un serveur LDAPv3 est déjà installé pour authentifier les utilisateurs. Signature unique Lorsqu'un utilisateur Mac OS X est authentifié avec Kerberos, il n'a pas besoin de saisir un nom d'utilisateur et un mot de passe chaque fois qu'il utilise un service gérant l'authentification Kerberos. L'utilisateur entre nom et mot de passe Kerberos à l'ouverture de la session, sans devoir les saisir à nouveau lorsqu'il fait appel aux services de fichiers ou de courrier Apple ou à un autre service gérant l'authentification Kerberos. Détection de services de réseau Les informations concernant les serveurs de fichiers et les autres services ont tendance à changer beaucoup plus souvent que les informations sur les utilisateurs ; de ce fait, elles ne sont généralement pas stockées dans des répertoires, mais découvertes en fonction des besoins. Open Directory peut détecter des services de réseau afin d'en révéler l'existence et l'emplacement. Pour leur part, les services s'identifient au moyen de protocoles standard. Open Directory accepte les protocoles de détection de services suivants : • Rendezvous, protocole Apple qui utilise le service DNS en multidiffusion, • SMB, protocole utilisé par Microsoft Windows, • AppleTalk, protocole en vigueur de Mac OS pour les services de fichiers, • SLP, standard libre pour la découverte de services de fichiers et d'impression.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 33 Gestion des utilisateurs Mac OS X Server facilite la gestion de l'accès des utilisateurs Macintosh, Windows, UNIX et Linux aux ressources réseau, aux fichiers et aux services. Le guide de gestion des utilisateurs comprend une description complète des fonctions de gestion des utilisateurs du serveur. Voici quelques-unes de ces fonctions. Comptes d'utilisateur Les comptes d'utilisateur contiennent les informations requises pour prouver l'identité d'un utilisateur : nom, mot de passe et identifiant. D'autres informations de compte d'utilisateur sont requises par plusieurs services afin de déterminer les droits de l'utilisateur et de personnaliser éventuellement son environnement. Comptes de groupe Les comptes de groupe permettent de gérer facilement un ensemble d'utilisateurs aux besoins similaires. Ils stockent les identités des utilisateurs qui leur appartiennent ainsi que des informations pour personnaliser l'environnement de travail des membres. Répertoires de départ Un répertoire de départ est un dossier servant à stocker les fichiers et préférences d'un utilisateur. Les autres utilisateurs peuvent voir ce répertoire et lire des fichiers dans le dossier Public, sans pouvoir toutefois (par défaut) accéder au reste du contenu. Mac OS X Server peut héberger des répertoires de départ pour des utilisateurs Macintosh, UNIX et Windows. Avec un répertoire de départ, ces utilisateurs ont accès à leurs applications, documents et réglages individuels, quel que soit l'ordinateur sur lequel ils ont ouvert une session. Vous pouvez imposer des quotas de disque sur les répertoires de départ afin de réguler l'utilisation du disque du serveur par les utilisateurs dotés de répertoires de départ. Gestion des utilisateurs Macintosh Mac OS X Server offre une personnalisation de l'environnement de travail pour les utilisateurs d'ordinateurs Mac OS 9 et Mac OS X : • Vous trouverez ci-après un résumé de la gestion des préférences et des comptes mobiles. • Pour plus d'informations sur l'automatisation des images du système d'exploitation sur les ordinateurs clients Macintosh, voir “Services d'images système” à la page 35. Gestion des préférences Vous pouvez utiliser Mac OS X Server pour gérer l'environnement de travail des clients Mac OS 9 et Mac OS X. Pour gérer les clients Mac OS 9, utilisez le Gestionnaire Macintosh. Pour gérer les clients Mac OS X, utilisez le Gestionnaire de groupe de travail. 34 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Les préférences que vous définissez pour chaque compte (d'utilisateur, de groupe et d'ordinateur) procurent à vos utilisateurs Macintosh une apparence uniforme de bureau, d'application et de réseau, quel que soit l'ordinateur Macintosh qu'ils utilisent. La gestion des clients Mac OS X présente plusieurs avantages : • Lorsque vous mettez à jour des comptes d'utilisateur, de groupe ou d'ordinateur, les utilisateurs Mac OS X gérés héritent automatiquement des modifications. Pour leur part, les comptes Mac OS 9 doivent être mis à jour séparément à l'aide de Macintosh Manager. • Vous disposez d'un contrôle direct accru sur les préférences système individuelles. • Les répertoires de départ réseau et les répertoires pouvant être configurés pour être utilisés par des groupes peuvent être montés automatiquement à l'ouverture de session. • Vous pouvez utiliser l'Option 95 de DHCP pour identifier un serveur à partir duquel un ordinateur client récupère des informations à l'ouverture de session. La configuration du service de répertoires est automatiquement téléchargée à partir du réseau. Elle définit les politiques d'accès au réseau, les préférences et la configuration du bureau sans qu'il soit nécessaire de configurer directement l'ordinateur client. • Vous pouvez définir des comptes mobiles pour gérer des utilisateurs se servant de leur ordinateur à la fois en et hors réseau. Comptes mobiles Les comptes mobiles permettent à l'utilisateur d'un ordinateur Mac OS X version 10.3 ou ultérieure de travailler hors ligne tout en pouvant : • ouvrir une session avec le nom et le mot de passe réseau, • travailler avec des réglages de préférences gérés comme sur un ordinateur en ligne. Gestion des utilisateurs Windows Vous pouvez offrir plus de fonctions aux utilisateurs Windows en installant un contrôleur de domaine principal (Primary Domain Controller ou PDC) sur Mac OS X Server et en définissant des réglages. Le serveur peut alors • fournir une authentification de domaine Open Directory pour les clients Windows NT 4.x, Windows 2000 et Windows XP, • héberger des répertoires de départ pour les utilisateurs Windows du domaine, • gérer les transferts de profils utilisateurs pour les répertoires de départ. Un compte utilisateur peut comprendre des attributs à la fois Macintosh et Windows. Les utilisateurs peuvent donc ouvrir des sessions à partir des deux types d'ordinateurs. Les utilisateurs Windows peuvent également utiliser les services de fichiers, d'impression et VPN de Mac OS X Server, comme décrit dans les sections ultérieures de ce chapitre. Le guide d'administration des services Windows explique comment configurer les nombreuses options spécifiques à Windows et gérées par Mac OS X Server.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 35 Services d'images système Vous pouvez créer des images disques et configurer Mac OS X Server pour les héberger afin que des ordinateurs Mac OS 9 ou Mac OS X puissent s'installer ou démarrer à partir de ces images via le réseau. Les images NetBoot sont utilisées pour le démarrage à distance et les images d'installation en réseau sont utilisées pour les installations à distance. La source de l'image peut être un CD, un DVD ou un DMG (image disque). Vous pouvez aussi créer l'image d'un système dont la configuration est celle souhaitée pour les ordinateurs clients. Dans ce cas, la source de l'image est un volume ou une partition. Le guide d'administration des images système fournit des informations complètes sur Netboot et l'installation en réseau. NetBoot NetBoot permet aux clients Macintosh, y compris ceux Mac OS X sans disque dur local, de démarrer à partir d'une image de disque système située sur un serveur Mac OS X plutôt que sur le disque de l'ordinateur client : • NetBoot simplifie l'administration de déploiements à grande échelle de systèmes Macintosh en réseau ou de baies de serveurs Xserve. Il est particulièrement utile pour les entreprises où un grand nombre d'ordinateurs doivent être configurés de manière identique ; il permettra par exemple à un fournisseur de services Web de configurer simultanément plusieurs serveurs Web. • NetBoot permet aussi d'installer plusieurs images disques afin de pouvoir démarrer les clients sous Mac OS 9 ou Mac OS X, voire de personnaliser l'environnement Macintosh pour différents groupes d'ordinateurs. • NetBoot permet aux administrateurs de configurer et de mettre à jour instantanément les ordinateurs clients en actualisant simplement une image de démarrage stockée sur le serveur. Toutes les modifications apportées au serveur sont automatiquement reportées sur les clients lorsqu'ils redémarrent. Les systèmes compromis ou altérés de quelque autre façon peuvent être instantanément restaurés par simple redémarrage. Installation en réseau L'installation en réseau est un service d'installation géré de façon centrale qui permet aux administrateurs d'installer, restaurer ou mettre à niveau des ordinateurs Macintosh de manière sélective. Inutile d'insérer une série de CD pour installer un système : toutes les données d'installation se trouvent sur le serveur. Voici quelques-uns des avantages de l'installation en réseau : • Il s'agit de la solution idéale pour la migration de systèmes d'exploitation, l'installation de logiciels avec licence de site ou personnalisés, la restauration de salles d'informatique ainsi que la création d'une nouvelle image d'ordinateurs de bureau ou portables.36 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server • Dans une structure, vous pouvez définir des images d'installation personnalisées pour divers services : marketing, ingénierie et ventes par exemple. • Vous pouvez établir des scripts post-installation qui lancent des actions après l'installation d'un logiciel ou d'une image système. • Vous pouvez créer une image à installation automatique. Ce type d'image comprend les réponses à toutes les questions habituelles du programme d'installation. Ainsi, lorsque l'utilisateur démarre à partir de l'image, celle-ci installe son contenu sur l'ordinateur client sans intervention de l'utilisateur. Services de fichiers Mac OS X Server facilite le partage de fichiers à l'aide de protocoles natifs de différents types d'ordinateurs clients. Les services de fichiers Mac OS X Server incluent : • Le service de fichiers Apple, qui utilise le protocole AFP (Apple Filing Protocol) et permet de partager des ressources avec des clients utilisant Mac OS 8, Mac OS 9 et Mac OS X. • Les services Windows, qui utilisent le protocole SMB (Server Message Block) pour permettre de partager des ressources avec les clients Windows et leur fournir le service de résolution de noms. Ces services gèrent les utilisateurs de Microsoft Windows 95, 98, ME (Millennium Edition), XP, NT 4.0 et 2000. • Le service FTP (File Transfer Protocol), qui permet de partager des fichiers avec quiconque via FTP. • Le service NFS (Network File System), qui permet de partager des fichiers et des dossiers avec les utilisateurs disposant du logiciel client NFS (utilisateurs UNIX). Le guide d'administration des services de fichiers décrit comment installer et gérer les services de fichiers Mac OS X Server. Le guide d'administration des services Windows fournit des informations sur le partage des fichiers avec les utilisateurs Windows. Partage Vous devez désigner des points de partage pour partager des fichiers. Un point de partage correspond à un dossier, un disque dur (ou partition) ou encore à un CD que vous rendez accessible sur le réseau. Il s'agit du point d'accès au niveau supérieur d'un groupe d'éléments partagés. Vous pouvez utiliser un point de partage avec plusieurs protocoles : AFP, Windows et FTP. Sur les ordinateurs clients Mac OS X, vous trouverez les points de partage dans le répertoire /Network et à l'aide de la commande Se connecter au serveur du Finder. Sur les ordinateurs Mac OS 9, l'accès se fait à l'aide du Sélecteur. Sur les ordinateurs Windows, les utilisateurs emploient le voisinage réseau.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 37 Service de fichiers Apple Le protocole AFP (Apple Filing Protocol) permet aux utilisateurs clients Macintosh de se connecter à leur serveur et d'accéder aux dossiers et aux fichiers comme si ces derniers se trouvaient sur leur propre ordinateur. Le protocole AFP offre : • le partage des fichiers via TCP/IP pour les clients Macintosh, • une reconnexion automatique lorsque la connexion au serveur de fichiers est interrompue, • le partage de fichiers cryptés (AFP via SSH), • la création automatique de répertoires de départ utilisateurs, • l'authentification Kerberos v5 pour les clients Mac OS X version 10.2 et ultérieures, • des contrôles d'accès méticuleux pour gérer les connexions client et l'accès en invité, • la déconnexion automatique des clients au bout d'une période d'inactivité, • la gestion d'IPv6 pour les clients et le serveur AFP. AFP vous permet également de partager à nouveau les montages NFS à l'aide de AFP. Cette fonction est une façon pour les clients hors réseau local d'accéder aux volumes NFS via une connexion AFP sûre et authentifiée. Le protocole permet également aux clients Mac OS 9 d'accéder aux services de fichiers NFS sur les réseaux UNIX traditionnels. Services Windows Le service de fichiers Windows dans Mac OS X Server permet aux clients Windows de se connecter à Mac OS X Server avec SMB via TCP/IP. Lorsque vous activez le service de fichiers Windows, vous pouvez également activer plusieurs autres services natifs Windows : • WINS (Windows Internet Naming Service), grâce auquel les clients de plusieurs sous-réseaux peuvent exécuter des résolutions nom/adresse, • la navigation, qui permet aux clients de naviguer afin de trouver des serveurs disponibles dans les sous-réseaux. Le service de fichiers Windows offre plusieurs moyens de gérer les verrouillages pour les points de partage Windows : • Il offre un moyen d'optimiser les performances des points de partage qui ne sont employés que par les clients Windows. Le verrouillage opportuniste est désactivé par défaut parce qu'il est incompatible avec NFS et AFP. Les verrouillages opportunistes, qui permettent aux clients une mise en cache client plus dynamique, ne sont pris en compte que par SMB. • Le verrouillage strict permet de vérifier le verrouillage à chaque accès à un fichier, que ce soit en lecture ou en écriture. Il est utile pour les applications ne gérant pas le verrouillage. Le verrouillage strict est activé par défaut.38 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Service NFS NFS (Network File System) est le protocole utilisé pour les services de fichiers sur les ordinateurs UNIX. Le terme NFS désignant le partage est exportation. Vous pouvez exporter un élément partagé soit vers un ensemble d'ordinateurs clients, soit vers “Monde”. L'exportation d'un volume NFS vers “Monde” permet à toute personne accédant à votre serveur d'accéder également à ce volume. NFS ne gère pas l'authentification nom/mot de passe. Il se base sur des adresses IP client pour authentifier les utilisateurs ainsi que des autorisations clients, ce qui n'est pas une méthode sécurisée sur la plupart des réseaux. Pour cette raison, n'utilisez NFS que si vous vous trouvez sur un réseau local (LAN), avec des ordinateurs clients de confiance ou dans un environnement qui ne peut pas utiliser le partage de fichiers Apple ou Windows. Si vous disposez d'un accès Internet et pensez effectuer des exportations vers Monde, il est préférable que votre serveur soit protégé par un coupe-feu. Vous pouvez partager à nouveau les montages NFS en utilisant AFP, Windows et FTP de manière à ce que les utilisateurs puissent accéder aux volumes NFS d'une manière plus restreinte. FTP (File Transfer Protocol) Le service FTP permet aux ordinateurs de transférer des fichiers via Internet. Les clients utilisant un système d'exploitation gérant FTP peuvent se connecter à votre serveur de fichiers FTP et télécharger des fichiers, en fonction des autorisations que vous avez définies. La plupart des navigateurs Internet et bon nombre d'applications gratuites peuvent être utilisés pour accéder à votre serveur FTP. Dans Mac OS X Server, le service FTP gère l'authentification Kerberos v5 et, pour la majorité des clients FTP, la reprise des transferts de fichiers interrompus. Mac OS X Server gère également la conversion de fichiers dynamiques, ce qui permet aux utilisateurs de demander des versions d'informations compressées ou décompressées sur le serveur. FTP est généralement considéré comme un protocole peu sûr, les noms et mots de passe d'utilisateur étant distribués en clair sur Internet. Etant donné les problèmes de sécurité posés par l'authentification FTP, la plupart des serveurs FTP sont utilisés en tant que serveurs de distribution de fichiers Internet pour des utilisateurs FTP anonymes. Mais à partir de Mac OS X Server version 10.3, FTP gère l'authentification Kerberos, mode d'authentification fiable sur un serveur FTP. Mac OS X Server gère le protocole FTP anonyme et empêche par défaut les utilisateurs FTP d'effacer, de renommer et d'écraser des fichiers, ainsi que de modifier des autorisations de fichiers. L'administrateur de serveur doit autoriser les téléchargements par les utilisateurs FTP anonymes de façon explicite, et ce dans un point de partage spécifique.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 39 Service d'impression Le service d'impression de Mac OS X Server permet le partage d'imprimantes en réseau et en connexion directe entre clients d'un réseau. Ce service permet également une gestion des files, le contrôle des tâches d'impression, une consignation complet et l'utilisation de quotas. Le service d'impression vous permet de : • partager des imprimantes réseau PostScript avec des clients Mac OS 9 (PAP, LaserWriter 8), Mac OS X (IPP, LPR/LPD), Windows (SMB/CIFS) et UNIX (LPR/LPD), • partager des imprimantes PostScript ou non directement connectées à un serveur Mac OS X à partir de clients Mac OS X version 10.2 et ultérieures, • partager des imprimantes USB directement connectées avec des clients Mac OS X version 10.2 et ultérieures, • vous connecter à des imprimantes réseau à l'aide d'AppleTalk, LPR et IPP, ainsi qu'à des imprimantes Direct-Connect (TWAIN) à l'aide d'USB, • faciliter la découverte d'imprimantes pour les utilisateurs via Open Directory, • imposer des quotas d'impression par utilisateur ou par imprimante pour limiter l'utilisation des imprimantes. Le guide d'administration du service d'impression fournit les informations nécessaires pour les tâches d'installation et d'administration. Service Web Le service Web de Mac OS X Server est basé sur Apache, un serveur Web HTTP libre. Le serveur est livré avec Apache 1.3 et Apache 2.0. Les logiciels libres autorisent quiconque à consulter et éditer le code source afin de le modifier et de l'améliorer. Cette caractéristique a contribué à populariser Apache qui est aujourd'hui le serveur Web le plus utilisé sur Internet. Le service Web comporte un cache frontal hautes performances qui améliore les performances des sites Web utilisant des pages HTML statiques. Ce cache évite au serveur d'avoir à accéder à chaque requête aux fichiers de données statiques. Le service Web gère également le protocole WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning). Avec WebDAV, vos utilisateurs clients peuvent prendre des pages Web, les modifier, puis les replacer sans devoir interrompre le fonctionnement du site. De plus, les utilisateurs Mac OS X peuvent utiliser un serveur Web WebDAV comme s'il s'agissait d'un serveur de fichiers. La gestion SSL (Secure Sockets Layer) du service Web permet un cryptage et une authentification sécurisés pour les sites Web de commerce électronique et les documents confidentiels. Un certificat numérique simple d'emploi fournit une preuve infalsifiable de l'identité de votre site Web.40 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Mac OS X Server offre une gestion complète des sites Web dynamiques : • Le service Web gère Java Servlets, JavaServer Pages, MySQL, PHP, Perl ainsi que les scripts UNIX et Mac CGI. • Mac OS X Server comprend un serveur JBoss ainsi que des outils d'administration de haut niveau pour sa gestion. Voir “Gestion des serveurs d'applications” à la page 44 pour plus d'informations sur JBoss. Le guide d'administration des technologies Web fournit des informations sur la configuration et la gestion des services Web. Service de courrier Mac OS X Server fournit un serveur de courrier robuste et complet gérant les protocoles SMTP, POP et IMAP et permettant de choisir une solution de stockage du courrier soit locale, soit basée sur un serveur. Les fonctions pour le courrier sortant (SMTP) sont les suivantes : • L'agent de transfert de courrier SMTP est basé sur Postfix. Pour des informations complètes sur cet agent libre, voir www.postfix.org • Pour l'authentification, les méthodes suivantes sont disponibles : PLAIN, LOGIN, CRAM-MD5 et Kerberos v5. Les principales caractéristiques pour le courrier entrant (POP et IMAP) sont les suivantes : • L'agent d'accès au courrier est un serveur Cyrus POP et IMAP. Voir asg.web.cmu.edu/ cyrus/ pour plus d'informations sur cet agent. • Pour IMAP, les types d'authentification disponibles sont texte en clair, PLAIN, LOGIN, CRAM-MD5 et Kerberos v5. Pour POP, il s'agit de texte en clair, APOP et Kerberos v5. • La base de données du courrier est extrêmement rapide. • Il est possible d'établir des règles d'absence et des quotas pour chaque utilisateur. • Mailman permet de créer et de gérer des listes de diffusion. Mac OS X Server gère aussi SquirrelMail pour la consultation du courrier sur le Web. Pour plus d'informations sur SquirrelMail, voir www.squirrelmail.org Le guide d'administration du service de courrier vous indique comment installer et configurer le service de courrier. Le guide d'administration des technologies Web décrit comment activer WebMail, l'implémentation Mac OS X Server de SquirrelMail. Services de réseau Mac OS X Server comporte les services de réseau ci-dessous pour mieux gérer les communications Internet sur votre réseau TCP/IP : • Dynamic Host Configuration Protocol (DHCP) • Domain Name System (DNS) • Coupe-feuChapitre 2 Services de Mac OS X Server 41 • Network Address Translation (NAT) • Virtual Private Network (VPN) • Service d'horloge réseau • Fonction de reprise IP Le guide d'administration des services réseau fournit des informations complètes sur tous ces services, sauf IP failover, qui est décrit dans le guide d'administration de la ligne de commande. DHCP Le protocole DHCP vous aide à gérer et à distribuer des adresses IP aux ordinateurs clients du serveur, et ce de façon dynamique. À partir d'un bloc d'adresses IP défini par vos soins, votre serveur localise une adresse non utilisée et la “loue” aux ordinateurs clients en fonction des besoins. Le protocole DHCP s'avère particulièrement utile lorsqu'une organisation dispose d'un nombre de clients supérieur à celui d'adresses IP. Celles-ci ne sont attribuées que dans la mesure où elles sont nécessaires. Celles qui ne trouvent pas preneur sont disponibles pour d'autres clients. Comme vous l'avez appris dans la section “Politiques de recherche” à la page 31, vous pouvez automatiser la configuration des services de répertoires des clients Mac OS X en utilisant l'Option 95 de votre serveur DHCP. Cette option recommandée permet aux ordinateurs clients de connaître leurs réglages de répertoires par l'intermédiaire d'un serveur DHCP. DNS Grâce au service DNS, les utilisateurs peuvent se connecter à une ressource de réseau, telle qu'un serveur Web ou de fichiers, en spécifiant un nom d'hôte (par exemple, serveur.apple.com) plutôt qu'une adresse IP (telle que “192.168.11.12”). DNS est une base de données distribuée qui affecte des adresses IP des noms de domaine. Un serveur fournissant le service DNS conserve une liste de noms ainsi que les adresses IP qui leur sont associées. Lorsqu'un ordinateur a besoin de l'adresse IP correspondant à un nom, il envoie un message au serveur DNS (également appelé serveur de noms). Le serveur de noms cherche l'adresse IP et la renvoie à l'ordinateur. S'il ne la trouve pas en local, il envoie des messages à d'autres serveurs de noms sur Internet pour l'obtenir. Vous aurez besoin du serveur DNS si vous utilisez les services de courrier SMTP ou si vous souhaitez créer des sous-domaines dans votre domaine principal. Vous utiliserez également le service DNS si vous hébergez plusieurs sites Web. Si vous ne disposez pas d'un fournisseur d'accès à Internet (FAI) gérant le service DNS pour votre réseau, vous pouvez configurer un serveur DNS pour Mac OS X Server. Mac OS X Server fournit des outils d'administration pour la gestion de la configuration des services, le contrôle des zones et le suivi des événements. Il offre une interface graphique pour42 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server • activer les transferts de zone et la récursion, • spécifier les interfaces sur lesquelles écouter les requêtes DNS, • gérer les listes d'hôtes bloqués, • travailler avec les fichiers d'historique, • gérer les zones et leurs fiches. Coupe-feu Le service de coupe-feu protège votre serveur et son contenu des intrus. Il assure un coupe-feu logiciel en analysant les paquets IP entrants et en les acceptant ou en les refusant en fonction des filtres que vous avez définis. Vous pouvez définir des restrictions sur l'ensemble du serveur pour les paquets provenant d'adresses IP spécifiques. Vous pouvez aussi limiter l'accès à chacun des services (Web, courrier, FTP…) en définissant des filtres pour les ports utilisés par ces derniers. Le coupe-feu IP peut être employé pour bloquer l'accès aux ports de certains services ou pour ne permettre l'accès qu'à certains ports. De plus, le coupe-feu IP est muni d'un mécanisme sophistiqué, l'inspection des paquets, permettant de s'assurer qu'un paquet entrant est bien une réponse légitime à une requête sortante ou qu'il fait partie d'une session en cours, ce qui permet d'accepter des paquets qui seraient refusés autrement. NAT La traduction d'adresses réseau (Network Address Translation ou NAT) est un moyen de connecter plusieurs ordinateurs à Internet (ou à tout autre réseau IP) à partir d'une seule adresse IP. Elle convertit les adresses IP que vous attribuez aux ordinateurs sur votre réseau interne en une adresse pouvant être utilisée pour les communications Internet. Ainsi, la borne d'accès AirPort utilise le service NAT. Par défaut, une borne affecte à l'aide du service DHCP des adresses IP aux ordinateurs du réseau Ethernet. Le service NAT convertit ensuite ces adresses lorsque l'un de ces ordinateurs cherche à accéder à Internet. Le service NAT est de plus en plus répandu parce qu'il permet de réduire le nombre d'adresses IP utilisées. Il augmente aussi la sécurité de l'accès Internet en n'acceptant que des connexions provenant du réseau interne. L'application Admin Serveur de Mac OS X Server vous permet d'administrer le service NAT. Vous pouvez aussi utiliser l'outil de ligne de commande ipfw ou le service Coupefeu pour configurer les traductions NAT spécifiques à votre réseau.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 43 VPN Mac OS X Server vous permet de mettre en place un réseau privé virtuel (Virtual Private Network ou VPN). Le protocole VPN est un protocole de transmission réseau utilisant le cryptage ainsi que d'autres technologies pour fournir des communications sécurisées sur un réseau public. En général, ce réseau public est l'Internet, mais les VPN sont également employés pour les connexions entre plusieurs intranets d'une même entreprise ou pour relier les réseaux de deux entreprises et former un extranet. Les VPN transmettent des paquets IP cryptés de telle manière que seuls les destinataires légitimes puissent les interpréter, protégeant ainsi le contenu des messages en cas d'interception des paquets. Mac OS X Server vous permet de définir et de gérer des politiques VPN qui acceptent différentes options d'authentification et d'autorisation et divers paramètres de connexion réseau. Le service VPN de Mac OS X Server est compatible avec les clients Mac OS X, Windows et UNIX et gère l'authentification forte avec MS-CHAP et IPSec. IP failover Vous pouvez configurer la fonction IP failover pour augmenter la disponibilité du serveur. Il s'agit d'un système qui permet de configurer un serveur de secours destiné à remplacer le serveur principal en cas de panne. Le serveur de secours prend en charge l'adresse IP du serveur en panne, qui la récupère à son tour dès qu'il est de nouveau en ligne. Le système IP failover s'avère très utile pour les serveurs DNS, les serveurs Web hébergeant des sites Web, les serveurs de diffusion de données et d'autres serveurs demandant une faible duplication de données. Diffusion de contenu multimédia Le Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS), vous permet de diffuser du contenu multimédia en temps réel à l'aide des protocoles standard RTSP/RTP. QTSS gère les formats de fichier MPEG-4, MP3 et QuickTime. Vous pouvez envoyer via Internet des données, en direct ou préenregistrées, aux utilisateurs Macintosh et Windows ou en retransmettre à d'autres serveurs d'enchaînement. Vous pouvez choisir le flux monodiffusion, qui permet d'envoyer un flux à chaque client en particulier, ou une multidiffusion, qui envoie le flux à un groupe de clients. • Pour plus d'informations sur QTSS, consultez le site Web QuickTime (www.apple.com/fr/quicktime/products/qtss/). • Pour plus d'informations sur la gestion des services de diffusion en temps réel sur Mac OS X Server, reportez-vous au guide d'administration du Serveur Enchaînement QuickTime.44 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Deux applications QuickTime livrées avec Mac OS X Server permettent de préparer les contenus à diffuser : • QTSS Publisher permet d'envoyer le contenu au serveur de diffusion et de le préparer pour sa diffusion. Ses fonctions principales sont les suivantes : création et gestion de listes de lecture, génération de sites Web basés sur des répertoires de contenu et modification des annotations de contenu. Le guide d'administration du Serveur Enchaînement QuickTime décrit comment utiliser QTSS Publisher. • Quicktime Broadcaster permet une diffusion en direct. Il permet de diffuser des données audio et vidéo sur Internet et est fourni avec des paramètres de diffusion prédéfinis, tout en autorisant la création de réglages personnalisés. Construit sur l'architecture QuickTime, QuickTime Broadcaster vous permet de diffuser des données en direct au moyen de la majorité des codecs gérés par QuickTime. Pour plus d'informations sur QuickTime Broadcaster, ouvrez la page www.apple.com/fr/quicktime/ et cliquez sur le lien Quicktime Broadcaster. Gestion des serveurs d'applications Un serveur d'application est un logiciel qui exécute et gère d'autres applications, généralement des applications Web, auxquelles les utilisateurs accèdent via un navigateur Web. Les applications gérées se trouvent sur le même ordinateur que le serveur d'applications. L'une des fonctions du serveur d'applications est de s'assurer que les applications qu'il gère sont toujours disponibles. Par exemple, si une application échoue ou ne répond plus, le serveur d'applications la redémarre. Certains serveurs d'applications offrent un équilibrage des charges, en les répartissant entre deux ou plusieurs ordinateurs. Cette section traite de trois technologies serveur intégrées proposées par Mac OS X Serveur : Apache Tomcat, JBoss et WebObjects. Toutes trois sont préinstallées avec le serveur et peuvent être employées avec Apache Axis, également préinstallé. Axis est une plate-forme en code libre Java permettant la mise en œuvre de services Web via SOAP (Simple Object Access Protocol), un protocole basé sur XML. Pour plus d'informations sur SOAP, voir www.w3.org/TR/SOAP/ Le guide d'administration des technologies Web fournit plus d'informations sur les applications libres et les modules livrés avec Mac OS X Server. Apache Tomcat Tomcat est un conteneur en code libre JavaServer Pages (JSP)/servlet qui est employé dans l'implémentation de référence officielle pour les technologies Java Servlet et JavaServer Pages. • Les spécifications de Java Servlet se trouvent à l'adresse java.sun.com/products/servlets/ • Les spécifications de JavaServer Pages se trouvent à l'adresse java.sun.com/products/jsp/Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 45 JBoss JBoss est un serveur d'applications Java complet couramment employé. Il fournit une plate-forme J2EE complète (Java 2 Enterprise Edition, avec des fonctions telles que : • un conteneur Enterprise Java Bean (EJB), • Java Management Extensions (JMX), • Java Connector Architecture (JCA). Mac OS X Server fournit des outils visuels simples d'emploi pour configurer et contrôler JBoss et pour simplifier le déploiement d'applications JBoss. Le guide d'administration de JBoss décrit comment gérer le serveur JBoss de Mac OS X Server. Si vous vous intéressez à la programmation en J2EE, consultez le document "Java Enterprise Applications", disponible à l'adresse www.apple.com/server/documentation/ (en anglais). • Pour plus d'informations sur J2EE, voir java.sun.com/j2ee/ • Pour plus d'informations sur JBoss, voir www.jboss.org/ Par défaut, JBoss utilise Tomcat en tant que conteneur d'applications Web, même si vous pouvez en utiliser d'autres, tels que Jetty. WebObjects WebObjects est la solution Apple pour le développement et le déploiement rapide d'applications e-commerce et d'autres applications Internet. Les applications WebObjects peuvent se connecter à plusieurs bases de données et générer des codes HTML de manière dynamique. WebObjects offre un ensemble complet d'outils et de bibliothèques d'exécution qui facilitent le développement de services Web basés sur les standards et d'applications serveur Java. Mac OS X Server est fourni avec les bibliothèques d'exécution WebObjects et une licence de déploiement illimitée, ce qui en fait la plate-forme idéale pour vos applications WebObjects compatibles J2EE. En option, vous pouvez acquérir les outils de développement WebObjects sur l'Apple Store (www.apple.com/francestore/), ainsi que dans les boutiques et chez les revendeurs Apple. Pour plus d'informations et de documentation à ce sujet, consultez la page Web de WebObjects à l'adresse : www.apple.com/fr/webobjects/ Intégration dans des environnements existants Il existe de nombreux moyens d'intégrer Mac OS X Server à un environnement existant. Open Directory offre plusieurs options pour utiliser des informations de répertoires : • Vous pouvez utiliser un centre de distribution de clés Kerberos ou Active Directory pour authentifier les utilisateurs. • Vous pouvez partager les informations stockées dans un système de répertoires LDAPv3 accessible à partir de votre serveur.46 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server • Vous pouvez récupérer des informations de configuration à partir de fichiers de configuration Berkeley Software Distribution (BSD) ou de fichiers Network Information System (NIS) Sun Microsystems. Votre serveur peut offrir un service de réseau privé virtuel, le partage de fichiers et d'imprimantes et l'authentification Open Directory aux utilisateurs Windows. Vous pouvez également héberger des répertoires de départ d'utilisateurs Windows si vous installez un contrôleur de domaine principal sur Mac OS X Server. Plusieurs guides vous fourniront des instructions pour paramétrer un serveur afin qu'il fonctionne avec les produits d'autres éditeurs : • Le guide d'administration Open Directory fournit des instructions pour l'intégration dans des systèmes de répertoires existants. • Le guide d'administration des services Windows décrit comment configurer les services d'impression et de fichiers, ainsi que la gestion des contrôleurs de domaine principal pour les utilisateurs Windows. • Le guide de gestion des utilisateurs décrit comment configurer les options Windows pour chacun des utilisateurs. Haute disponibilité Les fonctions de Mac OS X Server qui favorisent une haute disponibilité sont les suivantes : • Réplique LDAP Apple Open Directory (voir le guide d'administration Open Directory) • IP failover (voir le guide d'administration de la ligne de commande) • Redémarrage automatique après un échec matériel ou logiciel • Contrôle de l'espace disque (voir le guide d'administration de la ligne de commande pour des informations sur les scripts de défilement et l'outil diskspacemonitor) • RAID logiciel (voir l'aide en ligne de l'Utilitaire de disque) • Disques HFS journalisés (voir le guide d'administration de la ligne de commandes pour savoir comment utiliser la journalisation des disques) • Contrôle à distance du serveur (voir le chapitre 3, “Administration du serveur”, à la page 47) Administration de serveur Mac OS X Server fournit une gamme complète d'outils et d'applications pour la gestion de vos serveurs. Tant pour l'installation initiale du serveur que pour la configuration des services ou sa gestion quotidienne, les administrateurs peuvent utiliser des interfaces graphiques ou des outils de ligne de commande à partir du serveur ou d'un ordinateur Mac OS X sur lequel vous avez installé les applications livrées avec le serveur. Consultez le chapitre 3, “Administration du serveur”, pour plus d'informations sur les outils et les applications de Mac OS X Server.3 47 3 Administration du serveur Administrez Mac OS X Server au moyen d'applications graphiques ou d'utilitaires de ligne de commande. Ces outils offrent diverses approches d'administration de serveur : • Vous pouvez administrer les serveurs en local (directement sur le serveur utilisé) ou à distance à partir d'un autre serveur, d'un ordinateur Mac OS X ou d'un poste de travail UNIX. • Les applications graphiques, comme Admin Serveur et Gestionnaire de groupe de travail, facilitent l'administration du serveur et sécurisent les communications pour l'administration du serveur à distance. Vous pouvez utiliser ces applications sur un ordinateur Mac OS X Server (elles se trouvent dans le répertoire /Applications/Server/) ou sur un ordinateur Mac OS X où vous les avez installées comme décrit dans “Configuration d'un ordinateur administrateur” à la page 49. • Des utilitaires de ligne de commande sont accessibles pour les administrateurs qui préfèrent administrer le serveur à l'aide de commandes. Pour l'administration du serveur à distance, vous pouvez soumettre les commandes dans une session SSH (Secure Shell). Vous pouvez entrer les commandes sur les ordinateurs Mac OS X Server et Mac OS X au moyen de l'application Terminal, qui se trouve dans le dossier / Applications/Utilities/. Vous pouvez également les soumettre depuis un ordinateur non Macintosh, comme décrit dans “Administration au moyen d'un ordinateur non Mac OS X” à la page 49. Utilisation des outils d'administration Les informations relatives à chaque outil d'administration sont disponibles aux pages indiquées dans le tableau ci-dessous. Application ou outil Sert à Pour plus d'informations, voir Programme d'installation Installer le logiciel serveur ou mettre à niveau la version 10.1 ou 10.2 la page 50 Assistant du serveur Configurer la version 10.3 du serveur pour la première fois la page 5048 Chapitre 3 Administration du serveur La section suivante décrit comment configurer un ordinateur sur lequel utiliser ces applications et outils. Ordinateurs permettant d'administrer un serveur Pour administrer un serveur local au moyen d'une application graphique (disponible dans le répertoire /Applications/Server/), ouvrez une session sur le serveur en tant qu'administrateur, puis démarrez l'application. Pour administrer un serveur distant, lancez l'application sur un ordinateur administrateur (tout ordinateur Mac OS X Server, Mac OS X 10.3 ou version supérieure sur lequel est installée l'application). Vous pouvez exécuter les utilitaires de ligne de commande à partir de l'application Terminal (dans le répertoire/Applications/Utilities/) et sur n'importe quel ordinateur Mac OS X Server ou Mac OS X. Vous pouvez également exécuter les utilitaires de ligne de commande depuis un poste de travail UNIX. Format de répertoire Configurer l'accès aux données dans les répertoires, définir une politique de recherche et activer les protocoles de détection de services la page 50 Gestionnaire de groupe de travail Administrer les comptes d'utilisateurs, de groupes et d'ordinateurs ainsi que les points partagés et la gestion des clients pour les utilisateurs Mac OS X la page 51 Admin Serveur Configurer et contrôler des services Configurer et administrer la diffusion multimédia QuickTime la page 56 la page 61 Outils d'image système Gérer les images de disque NetBoot et d'installation en réseau la page 60 Contrôle de serveur Contrôler l'équipement Xserve la page 60 Apple Remote Desktop Surveiller et contrôler d'autres ordinateurs Macintosh la page 61 Utilitaires de ligne de commande Administrer un serveur au moyen d'un shell de commande UNIX la page 62 Gestionnaire Macintosh Administrer la gestion des clients pour les utilisateurs Mac OS 9 la page 62 Application ou outil Sert à Pour plus d'informations, voirChapitre 3 Administration du serveur 49 Configuration d'un ordinateur administrateur Un ordinateur administrateur est équipé de Mac OS X ou Mac OS X Server version 10.3 ou supérieure, qui vous permet d'administrer les serveurs distants. Dès que vous avez installé et configuré un ordinateur Mac OS X Server doté d'un moniteur, un clavier et un lecteur optique, celui-ci est un ordinateur administrateur. Pour définir un ordinateur équipé de Mac OS X comme ordinateur administrateur, vous devez installer un autre logiciel. Dans la figure ci-dessous, les flèches vont des ordinateurs administrateurs vers les serveurs qu'ils permettent d'administrer. Pour définir un ordinateur équipé de Mac OS X comme ordinateur administrateur : 1 Assurez-vous que l'ordinateur Mac OS X possède la version 10.3 ou supérieure. En outre, vérifiez que l'ordinateur a au moins 128 Mo de RAM et 1 Go d'espace disque disponible. 2 Insérez le CD des outils d'administration Mac OS X Server. 3 Démarrez le programme d'installation (ServerAdmin.pkg) et suivez les instructions à l'écran. Administration au moyen d'un ordinateur non Mac OS X Vous pouvez utiliser un ordinateur non Mac OS X prenant en charge SSH (comme un poste de travail UNIX) pour administrer Mac OS X Server à l'aide des utilitaires de ligne de commande. Pour plus d'informations, consultez le guide d'administration des lignes de commande. Ordinateur administrateur Mac OS X Mac OS X Servers50 Chapitre 3 Administration du serveur Programme d'installation Exécutez le programme d'installation pour installer le logiciel serveur sur un serveur local à partir des CD d'installation fournis. Ce programme permet d'effectuer les tâches suivantes : • nouvelle installation de Mac OS X Server, qui installe la version 10.3 après effacement et formatage du disque de destination, • mise à niveau des versions 10.1 ou 10.2 vers la version 10.3 sans effacer aucune donnée. Pour des informations sur l'utilisation du programme d'installation, voir le chapitre 6, “Installation du logiciel serveur”. Assistant du serveur L'Assistant du serveur, qui se trouve dans le répertoire /Applications/Server/, est utilisé pour la première configuration du serveur et les installations distantes. Cette application flexible prend en charge divers scénarios de configuration : • Configurations locales et distantes • Installations du serveur à distance • Configurations d'un ou plusieurs serveurs • Préparation des données pour la configuration automatique du serveur Pour des informations sur l'utilisation de l'Assistant du serveur, voir le chapitre 7, “Configuration initiale du serveur”. Format de répertoire Format de répertoire est la principale application permettant de configurer les connexions à un ordinateur Mac OS X local ou distant avec des répertoires Open Directory, ainsi que de définir la stratégie de recherche de l'ordinateur et les protocoles de détection de services. L'application Format de répertoire est installée sur les ordinateurs Mac OS X Server et Mac OS X dans le répertoire /Applications/Utilities/ L'application Format de répertoire fournie avec la version 10.3 peut être utilisée pour configurer des ordinateurs versions 10.2 et 10.3. Pour des informations sur l'utilisation de Format de répertoire, voir le guide d'administration Open Directory.Chapitre 3 Administration du serveur 51 Gestionnaire de groupe de travail Le Gestionnaire des groupe de travail permet d'administrer des comptes d'utilisateurs, de groupes et d'ordinateurs, d'utiliser les préférences clients gérées pour les utilisateurs Mac OS X, d'administrer les points partagés et d'accéder à l'Inspecteur, fonction avancée autorisant des modifications brutes aux entrées Open Directory. Les informations relatives au Gestionnaire de groupe de travail sont disponibles dans de nombreux documents : • Le guide de gestion des utilisateurs décrit l'utilisation du Gestionnaire de groupe de travail pour l'administration des comptes et des préférences. • Le guide d'administration des services de fichiers décrit l'administration des points partagés à l'aide de la fonction de partage du Gestionnaire de groupe de travail. • Le guide d'administration Open Directory décrit l'utilisation de l'Inspecteur. • Le guide d'administration des services Windows décrit l'administration des utilisateurs de postes de travail Windows à l'aide du Gestionnaire de groupe de travail. • Le guide d'administration du service d’impression décrit la définition des quotas d'impression de chaque utilisateur à l'aide du Gestionnaire de groupe de travail. Ouverture de Gestionnaire de groupe de travail et authentification Le Gestionnaire de groupe de travail est installé dans le répertoire /Applications/Server/ Pour l'ouvrir, cliquez sur son icône dans le Dock ou dans la barre d'outils de l'application Admin Serveur : • Pour ouvrir le Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur que vous utilisez sans authentification, choisissez Afficher les répertoires dans le menu du serveur lorsque la boîte de dialogue d'ouverture de session du Gestionnaire de groupe de travail s'affiche. Vous avez un accès en lecture seule aux informations qu'il contient. Pour apporter des modifications, cliquez sur l'icône symbolisant un verrou afin de vous authentifier en tant qu'administrateur. Cette procédure est la plus indiquée lorsque vous administrez différents serveurs et que vous travaillez avec divers domaines de répertoire. • Pour vous authentifier en tant qu'administrateur d'un serveur particulier, qu'il soit local ou distant, tapez l'adresse IP du serveur ou son nom DNS dans la fenêtre d'ouverture de session ou cliquez sur Parcourir pour effectuer votre sélection dans une liste de serveurs. Tapez le nom d'utilisateur et le mot de passe d'un administrateur du serveur, puis cliquez sur Se connecter. Procédez de cette manière si vous travaillez la plupart du temps avec le même serveur. Après avoir ouvert le Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez ouvrir l'une de ses fenêtres pour un autre ordinateur en cliquant sur Se connecter dans la barre d'outils ou en choisissant Serveur > Se connecter.52 Chapitre 3 Administration du serveur Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail Une fois la session ouverte, une fenêtre affiche la liste des comptes d'utilisateurs. Il s'agit initialement des comptes stockés dans le dernier noeud de répertoire figurant dans le chemin de recherche du serveur. Voici comment s'initier aux principales tâches possibles avec cette application : • Pour administrer des comptes d'utilisateurs, de groupes ou d'ordinateurs, cliquez sur l'icône Comptes dans la barre d'outils. Dans la partie gauche, cliquez sur le bouton d'utilisateur, de groupe ou d'ordinateur pour afficher la liste des comptes qui existent actuellement dans le ou les répertoires que vous utilisez. Pour spécifier les répertoires dans lesquels sont stockés les comptes que vous voulez utiliser, cliquez sur l'icône en forme de globe au-dessus de la liste des comptes. Vous pouvez afficher la liste des comptes dans des répertoires dans le chemin de recherche du serveur auquel vous êtes connecté. Pour utiliser simultanément des comptes stockés dans différents répertoires ou utiliser différentes vues des comptes dans un même répertoire, ouvrez plusieurs fenêtres du Gestionnaire de groupe de travail en cliquant sur l'icône Nouvelle fenêtre dans la barre d'outils. Pour filtrer la liste des comptes à l'écran, utilisez la liste de recherche déroulante qui se trouve au-dessus de la liste des comptes. Pour actualiser la liste des comptes, cliquez sur le bouton Actualiser dans la barre d'outils.Chapitre 3 Administration du serveur 53 Pour simplifier la définition des attributs initiaux d'un compte à sa création, vous pouvez utiliser des préréglages. Un compte préréglé est un modèle de compte. Pour créer un préréglage, sélectionnez un compte, configurez toutes les valeurs à votre convenance, puis choisissez Enregistrer le préréglage dans le menu local Préréglages, au bas de la fenêtre. • Pour appliquer les préférences clients gérées aux comptes d'utilisateurs, de groupes ou d'ordinateurs, cliquez sur l'icône Préférences dans la barre d'outils. 54 Chapitre 3 Administration du serveur • Pour travailler avec des points partagés, cliquez sur l'icône Partage dans la barre d'outils. Chapitre 3 Administration du serveur 55 • Pour afficher l'Inspecteur, choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences. Activez l'affichage de l'Inspecteur puis cliquez sur OK. Ensuite, cliquez sur le bouton Tous les enregistrements (qui ressemble à un oeil de boeuf) pour accéder à l'Inspecteur. • Pour contrôler l'environnement du Gestionnaire de groupe de travail, vous avez le choix entre plusieurs options. Pour contrôler l'affichage des utilisateurs et des groupes dans le Gestionnaire de groupe de travail, que ce soit au moyen de transactions SSL ou autres, choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences. Pour personnaliser la barre d'outils, choisissez Affichage > Personnaliser la barre d'outils. • Pour importer ou exporter des comptes d'utilisateurs et de groupes, choisissez Serveur > Importer ou Serveur > Exporter, respectivement. • Pour récupérer des informations en ligne, utilisez le menu Aide. Vous y obtiendrez de l'aide sur les tâches d'administration que le Gestionnaire de groupe de travail permet d'effectuer, ainsi que d'autres rubriques relatives à Mac OS X Server. • Pour ouvrir Admin Serveur afin de contrôler et utiliser des services sur des serveurs particuliers, cliquez sur l'icône Admin dans la barre d'outils. 56 Chapitre 3 Administration du serveur Admin Serveur L'application Admin Serveur vous permet d'administrer des services sur un ou plusieurs ordinateurs Mac OS X Server. Ouverture de l'application Admin Serveur et authentification L'application Admin Serveur est installée dans le répertoire /Applications/Server/ Pour l'ouvrir, cliquez sur l'icône Admin Serveur dans le Dock ou sur le bouton Admin dans la barre d'outils du Gestionnaire de groupe de travail. Pour sélectionner un serveur à utiliser, tapez son adresse IP ou son nom DNS dans la fenêtre d'ouverture de session ou cliquez sur Parcourir pour le choisir dans une liste de serveurs. Tapez le nom d'utilisateur et le mot de passe d'un administrateur, puis cliquez sur Se connecter. Pour administrer plusieurs serveurs à partir d'une fenêtre Admin Serveur, il vous suffit de cliquer sur Ajouter un serveur dans la barre d'outils après avoir ouvert Admin Serveur, puis ouvrez une session sur le serveur. La prochaine fois que vous ouvrirez Admin Serveur, tout serveur ajouté apparaîtra dans la liste. Vous pouvez vous connecter à un serveur version 10.2 à l'aide de l'application Admin Serveur. Dans ce cas, vous ne pouvez pas modifier ses services mais vous pouvez en contrôler l'état.Chapitre 3 Administration du serveur 57 Utilisation de l'application Admin Serveur Voici quelques conseils généraux relatifs à l'utilisation de l'application Admin Serveur. Des instructions détaillées relatives à son utilisation pour gérer des services individuels sont disponibles dans le guide d'administration spécifique au service. • Les serveurs que vous pouvez administrer après l'ouverture de l'application Admin Serveur figurent dans la liste Ordinateurs & services. Pour ajouter un serveur à la liste Ordinateurs & services, cliquez sur Ajouter un serveur dans la barre d'outils, puis ouvrez une session sur le serveur. La prochaine fois que vous ouvrirez Admin Serveur, tout serveur ajouté apparaîtra dans la liste. Pour restreindre les éléments affichés dans la liste Ordinateurs & services, sélectionnez ceux que vous voulez afficher dans le menu local au-dessus de la liste. Pour modifier l'ordre des serveurs dans la liste, glissez-les à la nouvelle position de votre choix. Si un serveur dans la liste est grisé, double-cliquez dessus ou cliquez sur le bouton Se connecter dans la barre d'outils pour ouvrir une nouvelle session. Cochez la case Ajouter au trousseau lorsque vous ouvrez la session afin d'activer la reconnexion automatique à la prochaine ouverture d'Admin Serveur. Pour supprimer un serveur de la liste Ordinateurs & services, sélectionnez-le, choisissez Serveur > Se déconnecter, puis Serveur > Supprimer Serveur. • Vous pouvez définir le niveau de sécurité des communications entre Admin Serveur et les serveurs distants en choisissant Admin Serveur > Préférences.58 Chapitre 3 Administration du serveur Par défaut, l'option Utiliser des connexions sécurisées (SSL) est activée et toutes les communications avec les serveurs distants sont cryptées à l'aide de SSL. Cette option utilise un certificat auto-signé de 128 bits dans le répertoire /etc/servermgrd/ssl.crt/ à l'installation du serveur. Les communications utilisent le protocole HTTPS (port 311). Si cette option n'est pas activée, le protocole HTTP (port 687) est utilisé et le texte clair est échangé entre Admin Serveur et le serveur distant. Pour renforcer la sécurité, cochez également la case Exiger une signature numérique valide. L'option utilise un certificat SSL installé sur n'importe quel serveur distant à administrer au moyen de l'application Admin Serveur afin de vous assurer que le serveur distant est valide. Avant d'activer cette option, suivez les instructions décrites dans le guide d'administration des technologies Web, relatives à la création d'une demande de signature de certificat (CSR, Certificate Signing Request), l'obtention d'un certificat SSL auprès d'une autorité de certification et l'installation de celui-ci sur chaque serveur distant. Au lieu de placer les fichiers dans le répertoire /etc/httpd/, stockez-les dans /etc/servermgrd/ Si vous voulez définir des niveaux d'authentification SSL supérieurs, visitez le site www.modssl.org. • Pour utiliser les réglages généraux du serveur, sélectionnez un serveur dans la liste Ordinateurs & services. Cliquez sur Vue d'ensemble pour afficher les informations relatives au serveur. Cliquez sur Historiques pour afficher les journaux système, les mises à jour logicielles, etc. Cliquez sur Système pour afficher les informations relatives aux ports et aux volumes utilisés par le serveur. Cliquez sur Graphiques pour afficher l'historique graphique des activités du serveur. Cliquez sur Mise à jour pour mettre à jour le logiciel du serveur à l'aide de Mise à jour de logiciels. Cliquez sur Réglages pour modifier des valeurs comme le nom d'ordinateur du serveur et son numéro de série et activer les services SNMP, NTP et Gestionnaire Macintosh. • Pour utiliser un service particulier sur un serveur, cliquez dessus dans la liste affichée sous le serveur (Ordinateurs & services). Vous pouvez afficher les informations relatives à un service (historiques, graphiques, etc.) et gérer ses réglages. Vous trouverez des instructions détaillées dans les guides d'administration de chaque service. Pour démarrer ou arrêter un service, sélectionnez-le dans la liste Ordinateurs & services, puis cliquez sur Démarrer le service ou Arrêter le service dans la barre d'outils. • Pour copier les réglages du service d'un serveur à un autre ou pour les enregistrer dans un fichier de liste des propriétés en vue de leur réutilisation ultérieure, cliquez sur l'icône glisser-déposer lorsqu'elle est visible dans l'angle inférieur droit. Chapitre 3 Administration du serveur 59 Sélectionnez le service dont vous voulez copier les réglages, puis cliquez sur Réglages pour les afficher. Cliquez ensuite sur l'icône glisser-déposer. L'icône prend alors la forme d'une version miniature de la fenêtre Réglages. Pour enregistrer les réglages dans un fichier de liste des propriétés, faites glisser la fenêtre miniature sur votre Bureau ou dans un dossier. Pour appliquer les réglages sur un autre serveur, ouvrez une autre fenêtre Admin Serveur, puis faites glisser la fenêtre miniature des réglages vers le service qui doit hériter de ses valeurs. • Pour désactiver les modifications apportées aux réglages d'un service au-delà d'un certain délai d'inactivité, choisissez Admin Serveur > Préférences. Sélectionnez Verrouiller auto la vue après et indiquez la durée, par défaut de 60 minutes. Pour désactiver les modifications à la demande, choisissez Affichage > Verrouiller la vue. Pour activer de nouveau les modifications, choisissez Afficher > Déverrouiller la vue et réauthentifiez-vous en tapant le nom d'utilisateur et le mot de passe utilisés pour ouvrir la session. • Pour récupérer des informations en ligne, utilisez le menu Aide. Vous y obtiendrez de l'aide sur les tâches d'administration que l'application Admin Serveur permet d'effectuer, ainsi que d'autres rubriques relatives à Mac OS X Server. • Pour contrôler l'environnement d'administration, vous avez le choix entre plusieurs options. Pour contrôler l'apparence des listes Admin Serveur, la fréquence d'actualisation automatique et d'autres comportements, choisissez Admin Serveur > Préférences. Pour personnaliser la barre d'outils, choisissez Affichage > Personnaliser la barre d'outils. Pour ajouter dans la barre d'outils un raccourci vers une vue particulière de d'Admin Serveur, allez au volet de votre choix, puis choisissez Affichage > Ajouter un raccourci vers la vue. • Pour accéder au Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur l'icône de l'application dans la barre d'outils.60 Chapitre 3 Administration du serveur Administration des images système Pour créer et administrer les images NetBoot et d'installation en réseau, vous pouvez utiliser plusieurs applications : • NetBoot Desktop Admin vous permet de modifier des images Mac OS 9. • L'Utilitaire d'images de réseau vous permet de créer et de modifier des images Mac OS X, y compris les images de l'installation réseau qui recréent une partition ou un volume existant. • Admin Serveur vous permet d'organiser les images NetBoot et d'utiliser des filtres contrôlant la visibilité des images à partir des ordinateurs clients. • PackageMaker permet de créer des progiciels d'installation réseau. Le guide d'administration des images système contient des instructions sur l'utilisation de toutes ces applications. Contrôle de serveur Utilisez Contrôle de serveur pour contrôler le matériel Xserve et envoyer des notifications par courrier électronique lorsque les circonstances le requièrent. Contrôle de serveur vous offre des informations sur le système d'exploitation installé, les lecteurs, l'alimentation, la température du processeur et du boîtier, les ventilateurs, la sécurité et le réseau. Contrôle de serveur est installé dans le répertoire /Applications/Server/ lorsque vous installez votre serveur ou configurez un ordinateur administrateur. Pour ouvrir Contrôleur de serveur, cliquez sur l'icône de l'application dans le Dock ou doublecliquez sur son icône dans le répertoire /Applications/Server/. Utilisez cette application pour contrôler des serveurs Xserve locaux ou distants : Chapitre 3 Administration du serveur 61 • Pour identifier le serveur Xserve à contrôler, cliquez sur Ajouter un serveur, identifiez le serveur qui vous intéresse et tapez le nom d'utilisateur et le mot de passe d'un administrateur du serveur. • Sélectionnez la fréquence d'actualisation des données dans le menu local Mettre à jour tous les, dans le volet Infos. • Choisissez Fichier > Exporter ou Fichier > Importer pour gérer les différentes listes de serveurs Xserve à contrôler. Choisissez Fichier > Fusionner pour regrouper toutes les listes en une. • Les témoins LED des faces avant et arrière des serveurs Xserve s'allument lorsqu'une réparation est requise. Utilisez Contrôle de serveur pour savoir exactement pourquoi les témoins s'allument. Vous pouvez également allumer les témoins d'un serveur Xserve afin de l'identifier dans une baie de serveurs. Pour cela, sélectionnez le serveur et cliquez sur Témoin système dans le volet Infos. • Cliquez sur Modifier les notifications pour configurer l'application Contrôle de serveur de sorte qu'elle vous avertisse par courrier électronique de tout changement de l'état du serveur Xserve. Pour chaque serveur, configurez les conditions dont vous souhaitez être averti. Le message électronique peut provenir de Contrôle de serveur ou du serveur lui-même. • Contrôle de serveur conserve des historiques de l'activité sur chaque serveur Xserve. Cliquez sur Afficher l'historique pour afficher un journal. Les historiques indiquent par exemple le nombre de fois où Contrôle de serveur a tenté de contacter le serveur et quelles connexions ont réussi. Ils indiquent également les modifications de l'état du serveur. Ces historiques n'incluent pas l'activité du système sur le serveur. Administration des diffusions multimédias Le guide d'administration des services de diffusion QuickTime contient des instructions utiles sur le sujet. Pour administrer les services de diffusion QuickTime, vous devez utiliser l'application Admin Serveur. Apple Remote Desktop Apple Remote Desktop, que vous pouvez acheter en option, simplifie la modification des réglages de plusieurs ordinateurs clients. Par exemple, à partir d'un seul ordinateur administrateur dans un atelier, vous pouvez facilement configurer tous les clients pour utiliser une image NetBoot au démarrage. Pour plus d'informations sur Apple Remote Desktop, visitez le site www.apple.com/remotedesktop/62 Chapitre 3 Administration du serveur Utilitaires de ligne de commande Si vous êtes administrateur et préférez travailler dans un environnement de ligne de commande, Mac OS X Server s'y prête aisément. À partir de l'application Terminal dans Mac OS X, vous pouvez utiliser les shells UNIX intégrés (sh, csh, tsh, zsh, bash) afin d'utiliser les outils d'installation et de configuration du logiciel du serveur, ainsi que configurer et contrôler des services. Vous pouvez également soumettre des commandes à partir d'un ordinateur non Mac OS X. Lorsque vous administrez des serveurs distants, vous travaillez de façon sécurisée dans une session SSH (Secure Shell). Le guide d'administration des lignes de commande décrit les commandes et les fichiers de configuration des applications Terminal, SSH et Admin Serveur. Gestionnaire Macintosh Utilisez Gestionnaire Macintosh pour administrer la gestion des clients pour des ordinateurs clients Mac OS 9. Vous pouvez l'utiliser localement (au niveau du serveur) ou à distance (à partir d'un ordinateur Mac OS 9 ou Mac OS X sur le même réseau que Mac OS X Server). Ouvrez Gestionnaire Macintosh en cliquant sur son icône dans le Dock. Connectez-vous à l'aide d'un nom et d'un mot de passe d'utilisateur administrateur de serveur, du Gestionnaire Macintosh ou de groupe de travail. En tant qu'administrateur de serveur, vous bénéficiez automatiquement des autorisations d'administrateur global pour le Gestionnaire Macintosh. Admin Serveur assure également la prise en charge du Gestionnaire Macintosh. Pour des informations sur l'utilisation du Gestionnaire Macintosh, consultez le guide de gestion des utilisateurs. Utilisation de serveurs version 10.2 à partir de serveurs version 10.3 Lorsque vous avez ouvert une session sur Mac OS X Server 10.3, vous pouvez administrer un serveur version 10.2 : • Admin Serveur, qui se trouve dans le répertoire /Applications/Server/, vous permet de contrôler l'état d'un serveur version 10.2. • Format de répertoire, qui se trouve dans le répertoire /Applications/Utilities/, vous permet de configurer des serveurs et des ordinateurs version 10.2. • Gestionnaire de groupe de travail, qui se trouve dans le répertoire /Applications/ Server/, vous permet de gérer les comptes, préférences et réglages de partage version 10.2.II Partie II : Installation et configuration initiale Les chapitres de cette partie du guide décrivent l'installation du logiciel serveur et la première configuration d'un serveur. Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Chapitre 5 Avant de commencer Chapitre 6 Installation du logiciel serveur Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Annexe B Exemple de configuration4 65 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Avant d'installer et de configurer Mac OS X Server, effectuez un minimum de planification et familiarisezvous avec les options possibles. Ce chapitre est une synthèse des informations contenues dans les chapitres suivants. Il passe en revue les étapes de l'installation et de la configuration initiale du serveur, ainsi que les options dont vous disposez à chaque étape. Planification Lors de la phase de planification, vous déterminez de quelle manière vous prévoyez d'utiliser Mac OS X Server et si des opérations s'avèrent nécessaires avant son installation. Il se peut par exemple que vous souhaitiez passer un serveur existant à la version 10.3 tout en continuant à héberger des services de répertoires, de fichiers et de courrier pour les clients de votre réseau. Avant d'installer votre logiciel serveur, vous devrez peut-être préparer les données à faire migrer vers votre nouveau serveur, et vous demander si le moment est opportun pour mettre en œuvre une nouvelle solution de services de répertoires. Le chapitre 5, “Avant de commencer”, à la page 75, vous aidera à comprendre ce que vous devez faire en premier lieu et ce que vous pouvez remettre à plus tard. Lors de la phase de planification, vous décidez aussi quelles options d'installation et de configuration du serveur sont les plus adaptées à vos besoins. L’annexe B, “Exemple de configuration”, à la page 127, présente un exemple illustrant l'installation et la configuration d'un serveur dans le contexte d'une petite entreprise. Plan Installer le logiciel serveur Configurer le serveur Configurer les services Se mettre à jour 66 Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Installation du logiciel serveur Sur certains ordinateurs, Mac OS X Server version 10.3 est installé d'office. Toutefois, vous serez parfois amené à installer le logiciel serveur, par exemple pour effectuer une mise à jour à partir d'un serveur 10.1 ou 10.2, pour transformer en serveur un ordinateur équipé de Mac OS X ou pour restaurer entièrement votre environnement de serveur. Vous pouvez installer le logiciel du serveur • à partir des disques d'installation du serveur, • à partir d'une image d'installation que vous configurez et stockez sur le disque (installation automatisée). Le chapitre 6, “Installation du logiciel serveur”, à la page 83, fournit des instructions détaillées sur toutes les options d'installation résumées dans les sections suivantes. Installation locale à partir des disques d'installation du serveur Si le serveur cible dispose d'un clavier et d'un écran ainsi que d'un lecteur optique, vous pouvez lancer l'installation de Mac OS X Server en initialisant le serveur à partir d'un disque d'installation. Le programme d'installation, automatiquement lancé après le démarrage, permet d'installer le logiciel du serveur en se laissant guider par une interface graphique. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Utilisation du programme d'installation pour une installation locale depuis les disques d'installation” à la page 87. Si vous préférez utiliser la ligne de commande, lancez l'application Terminal à partir du menu du programme d'installation et suivez les instructions dans “Installation du logiciel serveur à l'aide de l'outil de ligne de commande installer” à la page 90. >installer ouChapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration 67 Installation à distance à partir des disques d'installation du serveur Si le serveur cible ne dispose pas d'un clavier ou d'un écran ou s'il ne s'agit pas de l'ordinateur que vous utilisez, vous pouvez employer un ordinateur administrateur pour installer le logiciel du serveur à partir des disques d'installation du serveur. Un ordinateur administrateur est un ordinateur Mac OS X Server version 10.3 ou Mac OS version 10.3 sur lequel vous avez installé les logiciels de gestion de serveur. La section “Configuration d'un ordinateur administrateur” à la page 49 vous indique comment installer un ordinateur administrateur Mac OS X. Le serveur cible peut se trouver sur le même sous-réseau que l'ordinateur administrateur ou sur un autre. Si le serveur cible dispose d'un lecteur optique, initialisez-le en utilisant un disque d'installation du serveur puis utilisez l'Assistant du serveur de l'ordinateur administrateur pour démarrer l'installation. Si vous devez installer un logiciel serveur sur plusieurs ordinateurs, vous pouvez initialiser chacun d'eux à partir d'un disque d'installation, puis ouvrir une fenêtre d'Assistant du serveur pour chaque installation à effectuer. Voir “Utilisation de l'application Assistant du serveur pour une installation à distance depuis les disques d'installation” à la page 88 pour plus d'informations. Ordinateur administrateur Sous-réseau 1 Sous-réseau 2 Bienvenue >installer >installer68 Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Vous pouvez également utiliser la ligne de commande. Après avoir initialisé le serveur cible, connectez-vous à lui avec SSH à partir d'un ordinateur administrateur et suivez les instructions à la section “Installation du logiciel serveur à l'aide de l'outil de ligne de commande installer” à la page 90. Si vous souhaitez installer le logiciel serveur sur plusieurs ordinateurs, initialisez-les à partir d'un disque d'installation, puis ouvrez une fenêtre de Terminal pour chaque installation. Si le serveur cible est un système XServe sans lecteur optique intégré, vous pouvez utiliser celui d'un ordinateur administrateur connecté au système via un câble FireWire. Démarrez le Xserve en mode disque cible, ce qui permet au serveur cible d'apparaître comme un disque dur FireWire sur l'ordinateur de l'administrateur. (Lorsque vous utilisez ce mode, une icône de disque s'affiche sur le bureau de l'ordinateur administrateur pour chaque partition du disque dur de Xserve.) À partir de l'ordinateur administrateur, procé- dez à l'installation depuis un disque d'installation sur l'un des volumes Xserve montés. Dans ce cas, vous devez terminer une installation avant d'en commencer une autre. Il existe d'autres modes d'installation sur un système Xserve dépourvu de lecteur optique interne. Vous pouvez par exemple initialiser le serveur à partir d'un lecteur optique externe relié au système Xserve via un câble FireWire. Vous pouvez aussi initialiser le serveur à l'aide du lecteur optique d'un deuxième système Xserve équipé. Dans les deux cas, après le démarrage, utilisez un ordinateur administrateur pour lancer l'installation du logiciel serveur. Vous trouverez des instructions pour l'utilisation du mode disque cible et de lecteurs optiques externes dans les documents "Introduction à Xserve" et "Guide de l'utilisateur Xserve" fournis avec les systèmes Xserve. Automatisation de l'installation de serveurs avec une image disque Si vous avez besoin d'installer le logiciel serveur sur un nombre important d'ordinateurs ou avez fréquemment besoin de réinstaller ce logiciel, vous pouvez automatiser l'installation en utilisant une image d'installation stockée sur un disque à la place des disques d'installation. Ordinateur administrateurChapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration 69 Consultez le guide d'administration des images système pour plus d'informations sur la manière de créer et de déployer des images d'installation en réseau à partir d'un CD, d'un DVD ou d'un volume ou d'une partition existants. Configuration initiale du serveur Après avoir installé le logiciel serveur, l'étape suivante consiste à configurer le serveur. C'est lors de configuration du serveur que ses caractéristiques de base sont définies. Par exemple : • Le choix la langue utilisée pour l'administration du serveur et le clavier de l'ordinateur. • La définition d'un utilisateur administrateur et la création du répertoire de départ de l'utilisateur. • La définition des points de partage AFP et FTP par défaut, tels que Éléments partagés, Utilisateurs et Groupes. • La configuration de base des informations Open Directory. Au moins un domaine local NetInfo est créé. Vous pouvez aussi configurer un domaine LDAP Apple. • Le choix des noms d'hôte, d'ordinateur et Rendezvous du serveur. • La configuration des interfaces réseau (ports). • La configuration éventuelle du service d'horloge réseau. • L'activation éventuelle de services ne nécessitant pas de configuration supplémentaire. Par défaut, pour renforcer la sécurité, les seuls processus du serveur en service sont ceux indispensables aux fonctions de base du système. Les services accessibles depuis l'extérieur, tels que courrier, Web et services de fichiers, sont désactivés par défaut et les ports correspondants fermés. Vous ne pouvez réaliser qu'une seule fois la configuration initiale du serveur sans réinstaller celui-ci. Si vous avez besoin de modifier l'un des réglages établis lors de la configuration, il existe d'autres moyens de le faire. Vous pouvez par exemple utiliser Admin Serveur ou Format de répertoire pour gérer les réglages Open Directory. Il y a plusieurs manières de configurer un serveur : • en configurant un ou plusieurs serveurs de manière interactive, • en automatisant la configuration des serveurs en enregistrant les données de configuration dans un fichier ou dans un répertoire. Les serveurs à configurer sont ensuite paramétrés de manière à accéder à ces données. Consultez Le chapitre 7, “Configuration initiale du serveur”, à la page 93, pour des informations détaillées sur toutes les options de configuration du serveur, résumées ci-dessous.70 Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Configuration interactive des serveurs Le moyen le plus simple de configurer un petit nombre de serveurs est de faire appel au processus guidé d'Assistant du serveur, après avoir établi une connexion avec chacun des serveurs tour à tour. Vous fournissez alors les données de configuration des serveurs de manière interactive et démarrez ensuite immédiatement la configuration. Il s'agit de la technique utilisée pour configurer un serveur local, comme décrit à la section “Configuration interactive d'un serveur local” à la page 101. Vous pouvez également utiliser cette méthode interactive pour configurer un serveur distant à partir d'un ordinateur administrateur. Voir “Configuration interactive d'un serveur distant” à la page 102 pour plus de détails. Lorsque plusieurs serveurs distants peuvent utiliser les mêmes données de configuration, vous pouvez fournir celles-ci puis lancer la configuration simultanée de tous les serveurs : il est alors question d'une configuration par lot. Cette technique, représentée à gauche dans l'illustration ci-dessous, nécessite que les identifiants réseau de tous les serveurs cibles soient définis à l'aide de DHCP ou de BootP. Voir “Configuration interactive d'un lot de serveurs distants” à la page 103 pour plus d'instructions. Sous-réseau 1 Sous-réseau 2 Bienvenue Bienvenue BienvenueChapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration 71 Si vous souhaitez personnaliser la configuration des serveurs, vous pouvez gérer chacune d'elles séparément à partir d'une fenêtre distincte de l'Assistant du serveur. Cette manière de procéder est représentée à droite dans l'illustration ci-dessus. Voir “Configuration interactive de plusieurs serveurs distants tour à tour” à la page 105 pour plus de détails. Bien que l'illustration montre des serveurs cibles se trouvant sur le même sous-réseau que l'ordinateur administrateur dans un cas et sur un sous-réseau différent dans l'autre, les deux méthodes peuvent être employées indifféremment. Si le serveur cible est sur un sous-réseau différent, vous devez fournir son adresse IP. Les serveurs se trouvant sur le même sous-réseau sont indiqués par l'Assistant du serveur ; il suffit dans ce cas de sélectionner un ou plusieurs serveurs dans la liste. Automatisation de la configuration du serveur Si vous devez configurer un nombre plus important de serveurs, la configuration automatisée peut être la bonne solution. Cette méthode permet aussi d'enregistrer les données de configuration afin de les réutiliser pour réinstaller par la suite un logiciel serveur. Utilisez l'Assistant du serveur pour spécifier les données de configuration, puis enregistrez ces données dans un fichier ou un répertoire. Utilisation de données de configuration stockées dans un fichier Lorsque vous placez un fichier de configuration sur un volume (CD, iPod, "clé" USB, partition de disque) monté localement sur un serveur installé mais pas configuré, ce dernier détecte le fichier et l'utilise automatiquement pour se configurer. Ordinateur administrateur Données de configuration stockées dans un répertoire Données de configuration stockées dans un fichier72 Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Vous pouvez par exemple stocker plusieurs fichiers de configuration sur un iPod, puis connecter l'iPod au premier serveur pour lequel existe un fichier de configuration, avant de le connecter au serveur suivant, et ainsi de suite. Chaque serveur reconnaît son propre fichier puisqu''il a été nommé en utilisant l'un de ses identifiants et que son emplacement est connu. Ainsi, un serveur dont les huit premiers caractères du numéro de série seraient WXYZ1234 utiliserait le fichier suivant pour s'autoconfigurer : /Volumes/MyIPod/Auto Server Setup/ WXYZ1234.plist. Une autre solution consiste à utiliser l'adresse IP d'un serveur comme identifiant. Un serveur dont l'adresse IP serait 10.0.0.4 utiliserait ainsi le fichier /Volumes/MyIPod/Auto Server Setup/10.0.0.4.plist. Vous pouvez aussi utiliser un seul fichier nommé “generique.plist” par exemple, pour configurer plusieurs serveurs si les données de configuration n'ont pas besoin d'être individualisées et que les identités réseau des serveurs sont fournies par DHCP. Voir “Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier” à la page 106 pour plus de détails. iPod iPodChapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration 73 Utilisation de données de configuration stockées dans un répertoire Le serveur cible peut également se configurer à l'aide de données de configuration stockées dans un répertoire. Il doit alors être paramétré pour accéder à ce dossier. En fait, le serveur cherche des données de configuration dans tout dossier pour lequel il est paramétré avant de consulter des systèmes de fichiers montés localement. Bien que le stockage de données de configuration dans un dossier soit la manière la plus automatisée de configurer plusieurs serveurs, cette approche suppose au préalable une infrastructure afin que les serveurs cibles puissent trouver les données de configuration stockées dans le répertoire. Les composants essentiels de l'infrastructure sont les services DHCP et Open Directory, comme le montre l'illustration ci-dessous. Le serveur Open Directory de cet exemple héberge un répertoire LDAP dans lequel ont été enregistrées des données de configuration. L'adresse du serveur Open Directory est abonnée au service DHCP, exécuté sur un autre serveur dans le cas présent. Le service DHCP fournit l'adresse du serveur Open Directory aux serveurs cibles lorsqu'il affecte des adresses IP à ces serveurs. Les serveurs cibles détectent automatiquement les données de configuration qui ont été stockées à leur intention dans le répertoire LDAP et les utilisent pour s'autoconfigurer. Vous pouvez enregistrer les données de configuration dans un répertoire Apple OpenLDAP ou dans tout autre répertoire gérant le système d'extensions Apple pour les données de configuration enregistrées. Ce système d'extensions est documenté dans le guide d'administration Open Directory. Voir “Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire” à la page 109 pour plus de détails. Utilisation du cryptage Par défaut, les données de configuration enregistrées sont cryptées pour plus de sécurité. Avant qu'un serveur puisse s'autoconfigurer en utilisant des données cryptées, il doit pouvoir accéder à la phrase codée employée lors du cryptage des données. Serveur DHCP Serveur Open Directory 74 Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration La phrase codée peut être fournie soit de manière interactive (en utilisant l'Assistant du serveur), soit à partir d'un fichier sur un volume local du serveur cible. Vous pouvez par exemple stocker le fichier avec la phrase codée dans un dongle, puis connecter celui-ci à chacun des serveurs ayant besoin de la phrase codée. Un serveur avec l'adresse IP 10.0.0.4 utilisera le fichier /Volumes/MyIPod/SA_Keys/10.0.0.4.pass. Configuration des services Au terme de la configuration initiale du serveur, vous pouvez : • terminer la migration des données à partir d'un ancien serveur, si c'est nécessaire, • configurer les services que vous souhaitez fournir en utilisant les outils d'administration de serveur décrits dans Le chapitre 3, “Administration du serveur”, à la page 47. Rester à jour Lorsque des mises à jour de Mac OS X Server sont disponibles, utilisez l'onglet Mise à jour de logiciels des Préférences Système, l'outil de ligne de commande softwareupdate ou le bouton Mise à jour d'Admin Serveur pour vous les procurer.5 75 5 Avant de commencer Avant d'installer et de configurer Mac OS X Server, prenez le temps d'effectuer un minimum de planification. Les principaux objectifs de la phase de planification sont de s'assurer que : • les serveurs que vous déployez répondent aux besoins des utilisateurs et administrateurs, • les conditions préalables en matière de serveur et de services et qui affectent l'installation et la configuration initiale ont été identifiées. La planification de l'installation est particulièrement importante si vous intégrez Mac OS X Server dans un réseau existant, si vous migrez à partir de versions antérieures de Mac OS X Server ou si vous prévoyez de mettre en place plusieurs serveurs. Mais même dans un environnement à un serveur unique, il est préférable d'évaluer rapidement les besoins auxquels répondra le serveur. Ce chapitre pourra servir de base à votre réflexion. Il ne présente pas un algorithme de planification rigoureux. Il ne fournit pas non plus les détails nécessaires pour déterminer s'il faut implémenter un service donné ou évaluer les ressources qu'il nécessite. Considérez simplement ce chapitre comme une occasion de faire une pause et de réfléchir à la manière d'optimiser les avantages que présente Mac OS X Server dans votre environnement. Pas plus que la conception, la planification n'est forcément un processus linéaire. Sachez que l'un ordre des sections de ce chapitre n'est en rien obligatoire. Différentes sections offrent des suggestions qui peuvent être mises en œuvre de manière simultanée ou itérative. Mise en place d'une équipe de planification Impliquez dans le processus de planification de l'installation des personnes représentant différents points de vue :76 Chapitre 5 Avant de commencer • Quels sont les besoins au jour le jour que doit satisfaire un serveur ? Pour quelles activités les utilisateurs et les groupes de travail dépendront-ils du serveur ? Si le serveur doit être employé dans une salle de cours, veillez à ce que le formateur qui gérera ses services et l'administrera au quotidien ait son mot à dire. • Quels besoins devront être satisfaits en matière de gestion des utilisateurs ? L'initialisation des ordinateurs doit-elle se faire à l'aide de NetBoot ? Sera-t-il nécessaire de mettre en place une gestion des clients Macintosh et des répertoires de départ du réseau ? Les personnes ayant de l'expérience dans le domaine de l'administration de serveurs doivent discuter avec des utilisateurs du serveur n'ayant pas de compétences techniques particulières afin que ces derniers comprennent mieux l'intérêt de certains services. • Quels services existants non Apple, tel qu'Active Directory, le serveur devra-t-il intégrer ? Si vous avez prévu de remplacer un ordinateur Windows NT, envisagez d'utiliser pour cela Mac OS X Server, qui gère de manière complète les clients Windows. Assurez-vous que les administrateurs qui connaissent ces autres systèmes participent au processus de planification. • Quelles sont les caractéristiques du réseau dans lequel le serveur sera installé ? Devrez-vous mettre à jour les alimentations électriques, les commutateurs ou d'autres composants réseau ? Le moment est-il venu de réorganiser les infrastructures où sont hébergés vos serveurs ? Une personne ayant des connaissances en matière de systèmes et de réseaux pourra contribuer à la prise de décision et remplir la feuille de travail de la page 117. Identification des serveurs à mettre en place Effectuez un inventaire des serveurs : • De combien de serveurs disposez-vous actuellement ? • Comment sont-ils utilisés ? • Comment optimiser l'utilisation des serveurs que vous souhaitez garder ? • Y a-t-il des serveurs que vous souhaitez supprimer ? Lesquels peuvent être remplacés par Mac OS X Server? • Avec quels serveurs non Apple faudra-t-il intégrer Mac OS X Server ? Pourquoi ? • Y a-t-il des serveurs Mac OS X Server devant être passés à la version 10.3 ? • Combien de nouveaux ordinateurs Mac OS X devront être mis en place ? Chois des services à héberger sur chaque serveur Identifiez quels services vous voulez héberger sur chaque Mac OS X Server et sur chaque serveur non Apple que vous choisissez d'utiliser. Pour distribuer des services entre serveurs, vous devez connaître à la fois les utilisateurs et les services. Voici quelques exemples d'influence des options de services et des configurations matérielles et logicielles requises sur ce qui est installé sur chacun des serveurs :Chapitre 5 Avant de commencer 77 • Les implémentations de services de répertoires peuvent aller de l'utilisation des répertoires existants et d'une authentification Kerberos hébergée sur des serveurs non Apple à des répertoires Apple LDAP répliqués sur des serveurs situés partout dans le monde. Les services de répertoires, plus sans doute que n'importe quel autre type de service, demandent une analyse et une planification approfondie. Le guide d'administration Open Directory peut vous aider à comprendre les options et les possibilités. • Les répertoires de départ pour les utilisateurs du réseau peuvent être regroupés sur un seul serveur ou distribués sur plusieurs. Ils peuvent être déplacés en cas de besoin, mais vous risquez alors de devoir modifier un grand nombre de fiches d'utilisateurs et de points de partage. Par conséquent, développez une stratégie valable pendant une durée raisonnablement longue. Consultez le guide de gestion des utilisateurs pour plus d'informations sur les répertoires de départ. • Certains services permettent de limiter l'espace disque sollicité par chaque utilisateur. Vous pouvez par exemple mettre en place des quotas à la fois pour les répertoires de départ et pour le courrier des utilisateurs. Pensez aux quotas en tant que moyen d'augmenter l'espace disque disponible sur un serveur qui stocke des répertoires de départ et des bases de données de courrier. Les guides de gestion des utilisateurs et d'administration du service de courrier décrivent les quotas de répertoires de départ et de courrier, respectivement. • Les besoins en matière d'espace disque dépendent également des types de fichiers hébergés par le serveur. Pour les environnements créatifs, il est nécessaire de prévoir de très importantes capacités de stockage du fait du volume important des fichiers d'images, vidéo etc., alors qu'une école primaire aura des besoins beaucoup plus modestes. Le guide d'administration des services de fichiers décrit le partage de fichiers. • Si vous prévoyez de mettre en place un serveur de diffusion de données multimédias, vous devrez allouer un espace disque suffisant pour un certain nombre d'heures de diffusion de vidéo ou de son. Reportez-vous au guide d'administration du Serveur Enchaînement QuickTime pour connaître les configurations matérielles requises et obtenir un exemple de configuration. • Le nombre d'ordinateurs clients NetBoot que vous pouvez connecter à un serveur dépend du nombre de connexions Ethernet du serveur, de celui d'utilisateurs et d'autres facteurs, en particulier l'existence de services DHCP. Consultez le guide d'administration des images système pour des instructions concernant la planification des capacités de NetBoot. • Mac OS X Server offre une gestion complète des utilisateurs Windows. Vous pouvez regrouper les tâches de gestion sur des serveurs fournissant des services de contrôleur principal de domaine ou bien répartir les services sur différents serveurs. Le guide d'administration des services Windows décrit les options disponibles. • Si vous voulez utiliser un RAID logiciel pour segmenter des disques ou les mettre en miroir, vous aurez besoin de deux lecteurs non Firewire ou plus sur un serveur. Consultez l'aide en ligne de l'Utilitaire de disque pour plus d'informations.78 Chapitre 5 Avant de commencer Avant de prendre des décisions définitives quant à l'hébergement des services par les différents serveurs, familiarisez-vous avec les guides d'administration de chacun des services que vous souhaitez déployer. Définition d'une stratégie de migration Si vous utilisez des ordinateurs avec des versions de Mac OS X Server antérieures à 10.3, il est intéressant de les passer à la version 10.3. Si vous utilisez Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2, vous pouvez souvent mettre à jour votre serveur pendant le processus d'installation. Cette approche s'avère simple car les données et les réglages que vous utilisiez auparavant sont automatiquement préservés. Lorsque cette approche est impossible, vous pouvez migrer les données et les réglages. Préférez la migration lorsque : • un disque dur d'un serveur version 10.1 ou 10.2 a besoin d'être reformaté ou ne satisfait à la configuration matérielle minimum de la version 10.3 (voir “Configuration système requise pour l'installation de Mac OS X Server” à la page 83) ; • vous souhaitez transférer sur un autre serveur les données et les réglages que vous utilisiez sur un serveur de version 10.1 ou 10.2 ; • vous utilisiez un serveur d'une version antérieure à 10.1. Lisez le guide de migration pour savoir quelles données et quels réglages de services peuvent être préservés et réutilisés dans la version 10.3. Le guide de migration fournit des instructions tant pour la réutilisation de matériel serveur existant (migration sur place) que pour la migration d'un ordinateur à un autre. Définition d'une stratégie d'intégration Il y a deux aspects à prendre en compte lorsque vous intégrez Mac OS X Server à un environnement hétérogène : • la configuration de Mac OS X Server de manière à exploiter les services existants, • la configuration d'ordinateurs non Apple pour l'utilisation de Mac OS X Server. Le premier aspect concerne principalement l'intégration des services de répertoires. Déterminez quels ordinateurs Mac OS X Server utiliseront des répertoires existants (Active Directory, LDAPv3, NIS) et des services d'authentification existants (tels que Kerberos). Reportez-vous au guide d'administration Open Directory pour les options disponibles et plus d'instructions. L'intégration peut simplement consister à activer une option dans Format de répertoire ou supposer la reconfiguration des services existants et des réglages de Mac OS X Server. Le deuxième aspect dépend largement du niveau de prise en charge que vous souhaitez offrir aux utilisateurs Windows de Mac OS Server. Le guide d’administration des services Windows vous dira quelles options sont disponibles. Chapitre 5 Avant de commencer 79 Définition de la configuration de l'infrastructure matérielle Déterminez s'il est nécessaire d'apporter des modifications au site ou à la topologie du réseau avant d'installer et de configurer les serveurs. • Qui administrera le serveur, et de quel type d'accès au serveur auront besoin les administrateurs ? Les serveurs de salles de classes doivent être facilement accessibles aux instructeurs alors que ceux qui hébergent des informations de répertoire pour tout le réseau doivent être sécurisés par un accès protégé dans des locaux. Les outils d'administration de Mac OS X Server offrant une solution complète d'administration du serveur à distance, il est très rare qu'un administrateur de serveur ait besoin d'accéder physiquement au serveur. • Certaines conditions de climatisation ou d'alimentation électriques doivent-elles être remplies ? Voyez la documentation livrée avec le serveur pour plus d'informations. • Avez-vous pensé à mettre à jour des éléments tels que câbles, commutateurs et alimentations électriques ? Le moment est peut-être adéquat pour le faire. • Votre réseau et vos sous-réseaux TCP/IP sont-ils configurés pour gérer les services et les serveurs que vous prévoyez de déployer ? Infrastructures de configuration du serveur Les infrastructures de configuration du serveur sont les services et les serveurs qui doivent être installés en premier car d'autres en dépendent. Par exemple, si vous souhaitez utiliser Mac OS Server pour fournir des services DHCP, une horloge réseau et BootP à d'autres serveurs que vous allez configurer par la suite, vous devez configurer et activer le ou les serveurs fournissant ces services avant de configurer ceux qui en dépendent. Par ailleurs, si vous voulez automatiser la configuration des serveurs en utilisant des données de configuration stockées dans un répertoire, les serveurs DHCP et de répertoires doivent être configurés au préalable. Le travail d'infrastructure de configuration requis dépend de la complexité de votre site et de vos objectifs. En général, les services DHCP, DNS et de répertoires sont souhaitables ou obligatoires pour un réseau moyen ou de grande taille : • La couche d'infrastructure la plus essentielle comprend des services de réseau tels que DHCP et DNS. Tous les services fonctionnent mieux si DNS se trouve sur le réseau. Si vous n'hébergez pas de service DNS, consultez l'administrateur responsable du serveur DNS lorsque vous configurez vos propres serveurs. La configuration de DHCP doit se faire en fonction de la topologie physique de votre réseau.80 Chapitre 5 Avant de commencer • Autre composant d'infrastructure essentiel : les services de répertoires, qui sont nécessaires pour le partage des données entre services, serveurs et ordinateurs. Le type de données le plus couramment partagé est celui employé par les utilisateurs et les groupes, même si les informations de configuration telles que les enregistrements de montage et les autres données de répertoires sont également partagées. Les infrastructures de services de répertoires sont nécessaires lorsque vous souhaitez héberger des services d'authentification multi-plateformes ou que plusieurs services doivent utiliser les mêmes noms et mots de passe. Voici un exemple d'ordre possible d'installation des infrastructures de serveur comprenant DNS, DHCP et services de répertoires ; ces services peuvent être installés sur un ou plusieurs serveurs : 1 Installez le serveur DNS. 2 Installez DHCP. 3 Configurez DHCP pour indiquer l'adresse du serveur DNS et que celui-ci offre ses services aux clients DHCP. 4 Installez un serveur de répertoires comprenant si besoin est un service de contrôleur principal de domaine Windows. 5 Ajoutez au répertoire des données sur les utilisateurs, groupes et répertoires de départ. Ce processus implique par exemple d'importer des utilisateurs et des groupes, de configurer des points de partage et des préférences gérées. 6 Configurez DHCP pour indiquer l'adresse du serveur de répertoires et que celui-ci offre ses services aux clients DHCP Vos besoins particuliers peuvent modifier cette séquence. Ainsi, si vous souhaitez utiliser des services tels que VPN, NAT ou coupe-feu IP, leur installation devra être prise en compte lors de la configuration de DNS et de DHCP. L’annexe B, “Exemple de configuration”, à la page 127 illustre les étapes possibles de configuration des infrastructures de répertoires et de réseau Mac OS X Server pour une petite entreprise. Vérification de la disponibilité du matériel nécessaire Il peut être préférable d'attendre que tout le matériel soit en place avant de commencer la configuration du serveur. Ainsi, évitez de configurer un serveur dont vous souhaitez stocker les données en miroir tant que tous les disques dont vous avez besoin ne sont pas disponibles. Il est également préférable d'attendre que le sous-système RAID soit en place avant d'installer un serveur de répertoires de départ ou tout serveur qui y fera appel.Chapitre 5 Avant de commencer 81 Définition de la stratégie d'installation et de configuration à utiliser Examinez les options d'installation et de configuration du serveur (voir le chapitre 4, “Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration”, à la page 65). Choisissez la ou les options que vous souhaitez utiliser, puis reportez-vous à la page 84 pour les conditions préliminaires à l'installation et à la page 94 pour la configuration initiale du serveur. Recherche et organisation des informations Pour chaque serveur que vous configurez, remplissez la feuille de travail de la page 117. Celle-ci regroupe toutes les données dont vous avez besoin pour parcourir rapidement les options d'installation et de configuration à utiliser.6 83 6 Installation du logiciel serveur Vous pouvez installer Mac OS X Server version 10.3 en tant que mise à jour de la version 10.1 ou 10.2 ou sa version complète. Consultez plus bas la configuration système requise ainsi que la section “Informations préalables” à la page 84 avant de suivre les instructions d'installation du tableau cidessous. Configuration système requise pour l'installation de Mac OS X Server Mac OS X Server version 10.3 peut être installé sur les ordinateurs suivants : • Xserve • G5 • Power Mac G4 • Macintosh Server G4 • Macintosh Server G3 • Power Mac G3 • iMac • eMac Les instructions concernant le sujet suivant Se trouvent Utilisation du programme d'installation pour une installation locale depuis les disques d'installation la page 87 Utilisation de l'Assistant du serveur pour une installation à distance depuis les disques d'installation la page 88 Installation du logiciel serveur sur un ordinateur avec Mac OS X version 10.3 préinstallé la page 89 Automatisation de l'installation du logiciel serveur la page 90 Utilisation de l'outil ligne de commande installer la page 90 Installation des logiciels serveur en option la page 9284 Chapitre 6 Installation du logiciel serveur L'ordinateur doit être équipé des éléments suivants : • 128 Mo minimum de mémoire vive (RAM), 256 Mo pour les serveurs fortement sollicités et exécutant de nombreux services, • 4 Go minimum d'espace disque disponible, • Un port USB intégré. Les moniteurs et claviers sont optionnels. Vous pouvez installer le logiciel serveur sur un ordinateur sans moniteur ni clavier à l'aide d'un ordinateur administrateur. La section “Configuration d'un ordinateur administrateur” à la page 49 décrit l'installation de ce type d'ordinateur. Informations préalables Utilisez l’annexe A, “Feuille de travail de Mac OS X Server”, à la page 117 pour consigner les informations relatives à chacun des serveurs que vous souhaitez installer. Les paragraphes suivants fournissent des explications complémentaires sur les éléments de la feuille de travail. Mise à jour depuis la version 10.1 ou 10.2 La version 10.3 peut être installée sur un ordinateur équipé de Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2. Le processus de mise à jour installe et configure Mac OS X Server version 10.3 tout en préservant automatiquement les données et réglages de services existants. La mise à jour de la version 10.1 ou 10.2 vers la version 10.3 peut être réalisée dans les cas suivants : • Le disque dur du serveur actuel ne doit pas être reformaté. • La configuration matérielle du serveur actuel est conforme aux spécifications requises pour l'installation de la version 10.3. Pour plus de détails, consultez la section “Configuration système requise pour l'installation de Mac OS X Server” à la page 83. La mise à jour depuis la version 10.1 ou 10.2 porte automatiquement sur les éléments suivants : • Réglages DNS • Réglages coupe-feu • Réglages de la fonction IP failover • Réglages et base de données de courrier • Réglages et base de données MySQL • Réglages QTSS des listes de lecture, admin et serveur central • Réglages et fichiers de service Web • Réglages des services de répertoires, dont les services de mot de passe • Réglages de Format de répertoire, dont la politique de recherche et les configurations complémentaires • Répertoires de départ • Point de partageChapitre 6 Installation du logiciel serveur 85 • Réglages AFP • Réglages SMB • Réglages FTP • Données du Gestionnaire Macintosh • Réglages et images NetBoot • Réglages DHCP Préparation des disques pour l'installation de Mac OS X Server Lors de l'installation de la version complète, le contenu de la partition ou du disque de destination est écrasé et certaines tâches préparatoires sont nécessaires : • Sauvegardez toute information stockée sur le disque ou la partition de destination que vous souhaitez conserver. Pour plus d'informations sur la migration de données et réglages, reportez-vous au guide de migration. • Dans la plupart des cas, formatez l'unité de destination en utilisant le format Mac OS Étendu (journalisé). Vous pouvez également utiliser le format Mac OS Étendu ou le format HFS+ sensible aux différences de casse. Ce dernier est utile lorsque la casse des noms de fichiers est importante, notamment si Mac OS X Server doit être compatible avec des applications Unix existantes. Tous les disques formatés dans ce format sont également journalisés. • Une autre solution consiste à partitionner le disque de destination et configurer une des partitions en tant que destination du logiciel serveur. Le volume minimum recommandé pour une telle partition est de 4 Go. Important : ne stockez pas de données sur le disque dur ou la partition où est installé le système d'exploitation. De cette façon, vous évitez la perte de données dans l'éventualité d'une réinstallation ou d'une mise à niveau du système. • Vous pouvez éventuellement configurer le disque de destination pour une écriture miroir RAID, ce qui crée un disque de sauvegarde utilisé automatiquement en cas d'indisponibilité du disque principal. Vous pouvez formater un disque ou une partition au format Mac OS Étendu (journalisé) depuis le programme d'installation au format Mac OS Étendu depuis l'Utilitaire de disque. Pour formater un disque ou une partition au format HFS+ sensible à la casse, utilisez l'application Terminal. Par exemple : 1 Choisissez un volume Mac OS Étendu (par exemple /Volumes/MyHFSPlus) à convertir au format HFS sensible à la casse. 2 Ouvrez l'application Terminal. 3 Effacez puis reformatez le volume en tant qu'unité de démarrage ; dans l'exemple suivant MyCaseSensitive est le nouveau nom de volume : sudo diskutil eraseVolume "Case-sensitive HFS+" MyCaseSensitive bootable /Volumes/MyHFSPlus86 Chapitre 6 Installation du logiciel serveur Pour plus d'informations sur la création d'un volume HFS+ sensible à la casse, reportezvous à la page d'aide de diskutil et au guide d'administration de la ligne de commande. Les instructions fournies plus loin dans ce chapitre indiquent quand effectuer les tâches de préparation des disques. Instructions matérielles pour l'installation de Mac OS X Server Lors de l'installation du logiciel serveur sur un système Xserve, la procédure à suivre pour démarrer l'ordinateur en vue de l'installation dépend du type de matériel Xserve. Les procédures sont documentées dans le “Guide de l'utilisateur Xserve” et dans le “Introduction à Xserve” accompagnant le système Xserve. Identification du serveur distant lors de l'installation de Mac OS X Server Pour les installations de serveurs distants, vous devez connaître les informations suivantes concernant le serveur cible : • Son identité du serveur cible. Lors de l'utilisation de l'Assistant du serveur, vous devez pouvoir reconnaître le serveur cible parmi une liste de serveurs sur votre sous-réseau local, ou saisir son adresse IP (au format IPv4—000.000.000.000) s'il réside dans un autre sous-réseau. Les informations relatives aux serveurs répertoriés incluent l'adresse IP, le nom DNS et l'adresse MAC (Media Access Control), également appelée adresse matérielle ou adresse Ethernet. L'adresse IP est attribuée par un serveur DHCP sur le réseau ; s'il n'existe pas de serveur DHCP, le serveur cible utilise une adresse 169.xxx.xxx.xxx unique parmi les serveurs sur le sous-réseau local. Vous pouvez modifier l'adresse IP ultérieurement, lors de la configuration du serveur. • Le mot de passe prédéfini. Le mot de passe est constitué des huit premiers chiffres du numéro de série de matériel incorporé au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Les ordinateurs plus anciens ne possèdent pas de numéro de série incorporé ; pour ces systèmes, utilisez la suite de chiffres 12345678. Installation interactive du logiciel serveur depuis les disques d'installation Vous pouvez installer le logiciel serveur de manière interactive via les disques d'installation : • Sur un serveur local • Sur un serveur distant • Sur un ordinateur avec Mac OS X préinstalléChapitre 6 Installation du logiciel serveur 87 Utilisation du programme d'installation pour une installation locale depuis les disques d'installation Mac OS X Server peut être installé directement sur un ordinateur muni d'un moniteur, d'un clavier et d'un lecteur de disque optique. Pour installer le logiciel serveur localement : 1 Si vous installez la version complète du logiciel plutôt que la mise à jour, sauvegardez au préalable toute information stockée sur le disque ou la partition de destination que vous souhaitez conserver. 2 Allumez l'ordinateur et insérez le premier disque d'installation de Mac OS X Server dans le lecteur de disque optique. 3 Redémarrez l'ordinateur en maintenant appuyée la touche C de votre clavier. L'initialisation de l'ordinateur s'effectue depuis le disque d'installation. Vous pouvez relâcher la touche C lorsque le logo Apple s'affiche. 4 Lorsque le programme d'installation s'ouvre, vous pouvez éventuellement, dans le cas d'une installation de la version complète, préparer le disque de destination à l'aide de l'application Utilitaire de disque ou Terminal du menu Installation. L'Utilitaire de disque permet de formater le disque au format Mac OS Étendu. La commande diskutil de Terminal formate le disque au format HFS+ sensible à la casse. Important : ne stockez pas de données sur le disque dur ou la partition où est installé le système d'exploitation. De cette façon, vous évitez la perte de données dans l'éventualité d'une réinstallation ou d'une mise à niveau du système. 5 Avancez dans les écrans d'installation en suivant les instructions affichées. 6 Lorsque l'écran Sélectionner une destination apparaît, choisissez un disque ou un volume (partition) de destination en vous assurant que celui-ci se trouve à l'état adéquat. En cas d'installation de la version complète, vous pouvez choisir Installation > Ouvrir Utilitaire de disque ou Installation > Ouvrir Terminal pour suivre une dernière fois les étapes préparatoires sur le disque avant de sélectionner le volume de destination et de cliquer sur Continuer. Vous pouvez également cliquer sur Options pour formater le disque ou volume de destination au format Mac OS Étendu (journalisé) ; sélectionnez alors Effacer et formater puis cliquez sur OK. En cas d'installation de la mise à jour sur un ordinateur équipé de Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2, cliquez sur Options puis sélectionnez Ne pas effacer. Cliquez ensuite sur OK. 7 Au cours de l'installation, l'état d'avancement des opérations est affiché. Insérez le disque d'installation suivant lorsque le système vous y invite. Lorsque l'installation est terminée, le serveur redémarre automatiquement et vous pouvez procéder à la configuration initiale du serveur. Le chapitre 7, “Configuration initiale du serveur”, à la page 93 vous indique comment procéder.88 Chapitre 6 Installation du logiciel serveur Utilisation de l'application Assistant du serveur pour une installation à distance depuis les disques d'installation L'installation de Mac OS X Server sur un serveur distant depuis les disques d'installation requiert l'accès à l'ordinateur cible, ainsi qu'un ordinateur administrateur depuis lequel gérer l'installation. Pour installer le logiciel sur un serveur distant à l'aide des disques d'installation : 1 Si vous installez la version complète du logiciel plutôt que la mise à jour sur un ordinateur équipé de Mac OS X version 10.2, sauvegardez toute information stockée sur le disque ou la partition de destination que vous souhaitez conserver. Utilisez éventuellement l'application Utilitaire de disque ou Terminal localement (menu Applications/Utilitaires) pour préparer l'unité de destination. L'Utilitaire de disque permet de formater le disque au format Mac OS Étendu. La commande diskutil de Terminal formate le disque au format HFS+ sensible à la casse. Important : ne stockez pas de données sur le disque dur ou la partition où est installé le système d'exploitation. De cette façon, vous évitez la perte de données dans l'éventualité d'une réinstallation ou d'une mise à niveau du système. 2 Démarrez l'ordinateur cible depuis le premier disque d'installation. La procédure à suivre dépend du type de matériel cible. Si le serveur cible est muni d'un clavier et d'un lecteur de disque optique, insérez le premier disque d'installation dans le lecteur. Redémarrez ensuite l'ordinateur en maintenant appuyée la touche C de votre clavier. Si le serveur cible est un système Xserve équipé d'un lecteur de disque optique interne, démarrez le serveur depuis le premier disque d'installation en suivant les instructions du Guide de l'utilisateur Xserve relatives au démarrage depuis un disque système. Si le serveur cible est un système Xserve sans lecteur de disque optique interne, vous pouvez démarrer celui-ci en mode disque cible et insérer le disque d'installation dans le lecteur optique de votre ordinateur administrateur. Vous pouvez également utiliser un lecteur optique FireWire externe ou un autre système Xserve pour démarrer le serveur depuis le disque d'installation. Les instructions relatives à l'utilisation du mode disque cible et des lecteurs optiques externes sont fournies dans les documents Introduction à Xserve ou Guide de l'utilisateur Xserve accompagnant le serveur Xserve. 3 Sur un ordinateur administrateur, choisissez Applications/Server puis ouvrez Assistant du serveur. Sélectionnez l'option Installer le logiciel sur un serveur distant. 4 Identifiez le serveur cible. Si celui-ci se trouve sur le sous-réseau local, sélectionnez-le dans la liste. Sinon, cliquez sur Serveur à l'adresse IP puis saisissez une adresse IP au format IPv4 (000.000.000.000).Chapitre 6 Installation du logiciel serveur 89 5 Lorsque vous êtes invité à fournir un mot de passe, saisissez les huit premiers chiffres du numéro de série de matériel intégré au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si vous effectuez l'installation sur un ordinateur plus ancien ne disposant pas de numéro de série matériel intégré, tapez 12345678. 6 Avancez dans les écrans d'installation en suivant les instructions affichées. 7 Lorsque l'écran Sélectionner une destination apparaît, choisissez un disque ou un volume (partition) cible en vous assurant que celui-ci se trouve à l'état adéquat. Puis sélectionnez-le et cliquez sur Continuer. Si le volume sélectionné comporte Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2 à mettre à jour, cliquez sur Options puis sélectionnez Ne pas effacer. Sinon, sélectionnez Effacer et formater pour formater le disque au format Mac OS X Étendu (journalisé). Cliquez ensuite sur OK. Au cours de l'installation, l'état d'avancement des opérations est affiché. Insérez le disque d'installation suivant lorsque le système vous y invite. Tandis que l'installation progresse, vous pouvez ouvrir une autre fenêtre Assistant du serveur pour installer le logiciel serveur sur un autre ordinateur ; choisissez pour cela Fichier > Nouvelle fenêtre. Lorsque l'installation est terminée, le serveur redémarre automatiquement et vous pouvez procéder à la configuration initiale du serveur. Le chapitre 7, “Configuration initiale du serveur”, à la page 93 vous indique comment procéder. Installation du logiciel serveur sur un ordinateur avec Mac OS X version 10.3 préinstallé Suivez les instructions ci-dessous pour installer le logiciel serveur sur un ordinateur livré équipé de Mac OS X version 10.3. Pour installer le logiciel serveur sur l'ordinateur : 1 Démarrez l'ordinateur depuis le disque dur, selon la procédure habituelle. N'utilisez pas le premier disque d'installation. 2 Insérez le deuxième disque d'installation, puis double-cliquez sur MacOSXServerInstall.mpkg pour lancer le programme d'installation. 3 Lorsque l'installation est terminée, votre ordinateur redémarre automatiquement et l'Assistant du serveur s'ouvre pour vous permettre de configurer le serveur. 4 Après redémarrage du serveur, installez, le cas échéant, toute mise à jour du logiciel serveur à l'aide de Mise à jour de logiciels dans les Préférences Système.90 Chapitre 6 Installation du logiciel serveur Automatisation de l'installation du logiciel serveur avec une image disque Si vous devez installer le logiciel serveur sur un grand nombre de serveurs ou le réinstaller fréquemment, vous pouvez automatiser l'installation via une image d'installation résidant sur le disque dur plutôt que sur les disques d'installation. Reportez-vous au guide d'administration des images système pour des instructions relatives à la création et au déploiement d'images d'Installation réseau créées depuis un CD, DVD, volume ou partition. Après initialisation d'un ordinateur Xserve depuis une image d'installation NetBoot, vous pouvez utiliser l'Assistant du serveur pour configurer le serveur à distance. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Configuration interactive d'un serveur distant” à la page 102. Installation du logiciel serveur à l'aide de l'outil de ligne de commande installer L'outil installer permet d'installer le logiciel serveur sur un ordinateur local ou distant à partir de la ligne de commande. Pour plus d'informations sur installer : • Reportez-vous au guide d'administration de la ligne de commande. • Ouvrez l'application Terminal et saisissez installer, installer -help, ou man installer. Pour installer le logiciel serveur à l'aide de la commande installer : 1 Démarrez l'ordinateur cible depuis le premier disque d'installation. La procédure à suivre dépend du type de matériel cible. Si le serveur cible est muni d'un clavier et d'un lecteur de disque optique, insérez le premier disque d'installation dans le lecteur. Redémarrez ensuite l'ordinateur en maintenant appuyée la touche C de votre clavier. Si le serveur cible est un système Xserve équipé d'un lecteur de disque optique interne, démarrez le serveur depuis le premier disque d'installation en suivant les instructions du Guide de l'utilisateur Xserve relatives au démarrage depuis un disque système. Si le serveur cible est un système Xserve sans lecteur de disque optique interne, vous pouvez démarrer celui-ci en mode disque cible et insérer le disque d'installation dans le lecteur optique de votre ordinateur administrateur. Vous pouvez également utiliser un lecteur optique FireWire externe ou d'un autre système Xserve pour démarrer le serveur depuis le disque d'installation. Les instructions relatives à l'utilisation du mode disque cible et des lecteurs optiques externes sont fournies dans les documents Introduction à Xserve ou Guide de l'utilisateur Xserve accompagnant le serveur Xserve. 2 Avant de débuter l'installation, identifiez le volume du serveur cible où vous souhaitez installer le logiciel serveur.Chapitre 6 Installation du logiciel serveur 91 Pour afficher la liste des volumes disponibles pour l'installation du logiciel serveur, saisissez : /usr/sbin/installer -volinfo -pkg /Volumes/Mac\ OS\ X\ Server\ Install\ Disk\ 1/ System/Installation/Packages/OSInstall.mpkg La liste affichée dépend de votre environnement ; l'exemple ci-dessous présente trois volumes disponibles : /Volumes/Mount 01 /Volumes/Mount1 /Volumes/Mount02 3 Si le volume cible comporte Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2, l'exécution de la commande installer met automatiquement le serveur à jour avec la version 10.3 tout en préservant les fichiers utilisateur. Si vous n'effectuez pas de mise à jour mais installez la version complète, sauvegardez les fichiers utilisateur à conserver, puis saisissez les commandes diskutil suivantes pour effacer le volume, le formater et autoriser la journalisation : /usr/sbin/diskutil eraseVolume HFS+ "Mount 01" "/Volumes/Mount 01" /usr/sbin/diskutil enableJournal "/Volumes/Mount 01" Par ailleurs, Diskutil permet de partitionner le volume et de configurer l'écriture miroir. Pour plus d'informations sur diskutil, consultez sa page d'aide. Important: ne stockez pas de données sur le disque dur ou la partition où est installé le système d'exploitation. De cette façon, vous évitez la perte de données dans l'éventualité d'une réinstallation ou d'une mise à niveau du système. 4 Si vous réalisez l'installation sur un serveur local, choisissez Installation > Ouvrir Terminal à l'ouverture de l'Assistant du serveur afin de lancer l'application Terminal. Si vous réalisez l'installation sur un serveur distant, depuis l'application Terminal sur un ordinateur administrateur ou depuis une station de travail Unix, établissez une session SSH avec le serveur comme utilisateur racine, en spécifiant pour le paramètre l'adresse IP du serveur cible : ssh root@ Si vous ignorez l'adresse IP et que le serveur distant réside dans le sous-réseau local, utilisez la commande sa_srchr pour identifier tous les ordinateurs du sous-réseau local : cd / /system/library/serversetup/sa_srchr 224.0.0.1 monordinateur.exemple.com#PowerMac4,4## #Mac OS X Server 10.3#RDY4PkgInstall#2.0#51292 Chapitre 6 Installation du logiciel serveur Vous pouvez également utiliser l'Assistant du serveur pour générer les informations relatives aux ordinateurs sur le sous-réseau local. Ouvrez Assistant du serveur, sélectionnez Installer le logiciel sur un ordinateur distant puis cliquez sur Continuer pour accéder à l'écran Destination et générer les informations. 5 Lorsque vous êtes invité à fournir un mot de passe, saisissez les huit premiers chiffres du numéro de série de matériel intégré au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si vous effectuez l'installation sur un ordinateur plus ancien ne disposant pas de numéro de série de matériel intégré, tapez 12345678. 6 Installez le système d'exploitation sur un volume de la liste obtenue à l'étape 2. Par exemple, pour utiliser Mount 01, saisissez : /usr/sbin/installer -verboseR -lang English -pkg /Volumes/Mac\ OS\ X\ Server\ Install\ Disk\ 1/ System/Installation/Packages/OSInstall.mpkg -target "/Volumes/Mount 01" 7 Au cours de l'installation, l'état d'avancement des opérations est affiché. Tandis que l'installation progresse, vous pouvez ouvrir une autre fenêtre Terminal pour installer le logiciel serveur sur un autre ordinateur. 8 Lorsque l'installation est terminée, redémarrez le serveur. Saisissez pour cela : /sbin/reboot ou /sbin/shutdown -r 9 Pour terminer l'installation à l'aide d'un disque d'installation complémentaire, utilisez la commande sa_srchr afin de localiser le serveur en attente. Spécifiez pour le paramètre l'adresse utilisée à l'étape 4 : /system/library/serversetup/sa_srchr 10 Lorsque la réponse sa_srchr inclut la chaîne “#InstallInProgress”, insérez le disque d'installation suivant pour terminer automatiquement l'installation : monordinateur.exemple.com#PowerMac4,4## #Mac OS X Server 10.3#InstallInProgress#2.0#2080 11 Lorsque l'installation est terminée, l'Assistant du serveur s'ouvre automatiquement. Installation de logiciels serveur en option Pour installer le Gestionnaire Macintosh, insérez le disque Outils d'administration Mac OS X Server et conformez-vous aux instructions d'installation fournies. Pour installer NetBoot pour Mac OS 9, téléchargez une copie de l'image du CD “NetBoot pour Mac OS 9” depuis le site www.info.apple.fr7 93 7 Configuration initiale du serveur Les caractéristiques élémentaires de Mac OS X Server sont définies lors de la configuration initiale du serveur. Reportez-vous à la section “Informations nécessaires” à la page 94 avant de suivre les instructions détaillées d'installation auxquelles renvoie le tableau suivant. Pour plus d'informations sur Voir ces instructions À Configuration interactive de serveurs Utilisation de la configuration interactive de serveur Configuration interactive d'un serveur local Report de la configuration de serveur local après l'installation Configuration interactive d'un serveur distant Configuration interactive d'un lot de serveurs distants Configuration interactive de plusieurs serveurs distants tour à tour la page 101 la page 101 la page 102 la page 102 la page 103 la page 105 Configuration automatique de serveurs Utilisation de la configuration automatique de serveur Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire la page 106 la page 106 la page 109 Contrôle et dépannage Détermination de l'état des configurations la page 112 Que faire après la configuration initiale Configuration des services la page 11294 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Informations nécessaires Reportez-vous à l’annexe A, “Feuille de travail de Mac OS X Server”, à la page 117 pour comprendre et consigner les informations pour chaque serveur à configurer. Les informations ci-dessous fournissent des explications supplémentaires sur certains éléments de la feuille de travail. Si vous effectuez une mise à jour de Mac OS X Serveur version 10.1 ou 10.2, l'Assistant du serveur affiche les réglages du serveur de la version 10.1 ou 10.2, qui restent modifiables. Consignez dans la feuille de travail les réglages à utiliser par le serveur version 10.3. Enregistrement des données de configuration Pour travailler à partir de données de configuration enregistrées, établissez une stratégie pour nommer, crypter et stocker les données. Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées Un serveur récemment installé se règle lui-même en se basant sur les données de configuration enregistrées via la séquence de recherche ci-après. Lorsque le serveur trouve des données de configuration correspondant aux critères décrits, il interrompt la recherche et utilise ces données pour opérer ses réglages. 1 Un serveur cherche d'abord dans un répertoire pour lequel il est configuré un enregistrement de configuration, dans un chemin d'accès nommé “AutoServerSetup”. Il recherche des enregistrements nommés à partir de son adresse MAC, son adresse IP, son numéro de série matériel interne, son nom d'hôte ou “generique”. 2 Le serveur recherche ensuite des fichiers de configuration sur les volumes montés localement, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * est un nom de système de fichiers. Il recherche dans les volumes, par ordre alphabétique des noms de périphé- riques, un fichier d'extension “.plist” et nommé à partir de son adresse MAC, son adresse IP, son numéro de série matériel interne, son nom d'hôte ou generique.plist. Si les données de configuration sont cryptées, le serveur a besoin de la phrase codée correcte avant de pouvoir effectuer ses réglages. Vous pouvez employer l'Assistant du serveur pour fournir la phrase codée interactivement ou dans un fichier texte stocké dans /Volumes/*/SA_Keys/. Le serveur cible recherche dans les volumes, par ordre alphabétique des noms de système de fichiers, un fichier d'extension “.pass” et nommé à partir de son adresse MAC, son adresse IP, son numéro de série matériel interne, son nom d'hôte ou generique.pass, dans cet ordre. Les deux sections suivantes fournissent plus de détails sur l'emploi des données de configuration enregistrées.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 95 Utilisation de données de configuration enregistrées dans un fichier Lorsque vous enregistrez des données de configuration dans un fichier, un serveur cible détecte automatiquement celui-ci et l'utilise si : • Les données de configuration détectées par le serveur cible ne se trouvent pas dans un répertoire que le serveur peut exploiter. Reportez-vous à “Utilisation de données de configuration enregistrées dans un répertoire” à la page 96 pour plus d'informations sur la détection et l'utilisation de données de répertoire par un serveur pour se régler lui-même. • Le fichier de configuration se trouve sur un volume monté localement dans / Volumes/*/Auto Server Setup/, où * est tout périphérique monté sous /Volumes. Un serveur cible parcourt les volumes par ordre alphabétique des noms de périphériques. Le périphérique monté comme système de fichiers peut être le disque dur du serveur ou un iPod, un CD, un disque FireWire, un disque USB ou tout autre périphérique connecté au serveur. Par exemple, /Volumes/AdminiPod/Auto Server Setup/monserveur.exemple.com.plist. • Le nom du fichier de configuration est l'un de ceux qui suivent (lors de la recherche de fichiers de configuration, les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) : .plist (insérez les zéros à gauche mais omettez les deuxpoints). Par exemple, 0030654dbcef.plist. .plist. Par exemple, 10.0.0.4.plist. .plist. Par exemple, monserveur.plist. .plist (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.plist. .plist. Par exemple, monserveur.exemple.com.plist. .plist. Par exemple, 10.0.plist (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.plist (fichier que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). • La phrase codée correcte est fournie au serveur si les données de configuration sont cryptées. Vous pouvez employer l'Assistant du serveur pour fournir une phrase codée interactivement ou dans un fichier texte. Placez le fichier de phrase codée sur un volume monté localement du serveur cible, dans /Volumes/*/SA_Keys/. Le fichier de phrase codée peut porter l'un des noms ci-après (les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) :96 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur .pass (insérez les zéros à gauche mais omettez les deux-points). Par exemple, 0030654dbcef.pass. .pass. Par exemple, 10.0.0.4.pass. .pass. Par exemple, monserveur.pass. .pass (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.pass. .pass. Par exemple, monserveur.exemple.com.pass. .pass. Par exemple, 10.0.pass (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Si vous voulez réutiliser les données de configuration enregistrées après réinstallation d'un serveur, vous pouvez stocker le ou les fichiers de configuration du serveur dans une petite partition locale qui ne sera pas effacée lorsque vous réinstallerez le serveur. Les fichiers de configuration sont automatiquement détectés et réutilisés après chaque réinstallation. Utilisation de données de configuration enregistrées dans un répertoire Cette démarche permet le moins d'intervention possible pour configurer plusieurs serveurs mais requiert une infrastructure DHCP et de répertoires. À l'aide de l'Assistant du serveur, vous enregistrez les données de configuration dans un répertoire existant, pour lequel l'ordinateur que vous utilisez est configuré et où les serveurs récemment installés doivent lire les données de configuration. Le système du répertoire doit accepter les données de configuration enregistrées. Les répertoires Apple OpenLDAP gèrent d'emblée les données de configuration enregistrées. Pour stocker des données de configuration dans un autre répertoire, vous devez d'abord étendre son système, comme décrit dans le guide d'administration Open Directory. Lorsque vous enregistrez des données de configuration dans un répertoire, un serveur cible les détecte automatiquement et les utilise si : • Le serveur cible obtient ses noms de réseau (nom d'hôte, nom d'ordinateur et nom Rendezvous) ainsi que sa configuration de port à partir d'un serveur DHCP. • Le serveur DHCP est configuré pour identifier l'adresse IP du serveur de répertoire où sont stockées les données de configuration. Reportez-vous au guide d'administration des services réseau pour des instructions de configuration de serveur DHCP. • Les serveurs de répertoire et DHCP sont en cours d'exécution. • Les données de configuration sont stockées dans le répertoire, dans le chemin d'accès /AutoServerSetup/ et un enregistrement portant l'un de ces noms (les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) :Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 97 (insérez les zéros à gauche mais omettez les deux-points). Par exemple, 0030654dbcef. . Par exemple, 10.0.0.4. . Par exemple, monserveur. (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234. . Par exemple, monserveur.exemple.com. . Par exemple, 10.0 (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique (enregistrement que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). • La phrase codée correcte est fournie au serveur (les données de configuration stockées dans un répertoire doivent toujours être cryptées). Vous pouvez employer l'Assistant du serveur pour fournir une phrase codée interactivement ou dans un fichier texte. Placez le fichier de phrase codée sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/SA_Keys/, où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. Un serveur cible recherche dans les volumes par ordre alphabétique des noms de périphériques. Le fichier de phrase codée peut porter l'un des noms ci-après (les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) : .pass (insérez les zéros à gauche mais omettez les deuxpoints). Par exemple, 0030654dbcef.pass. .pass. Par exemple, 10.0.0.4.pass. .pass. Par exemple, monserveur.pass. .pass (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.pass. .pass. Par exemple, monserveur.exemple.com.pass. .pass. Par exemple, 10.0.pass (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Stockage de copies de sauvegarde des données de configuration enregistrées Les données de configuration enregistrées ne servent pas uniquement à l'automatisation de la configuration de plusieurs serveurs. Elles permettent également de reconfigurer les serveurs si vous avez besoin d'y réinstaller le logiciel serveur.98 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Il est possible de conserver des copies de sauvegarde des fichiers de données de configuration sur un serveur de fichiers du réseau. De la même façon, vous pouvez stocker les fichiers de données de configuration dans une partition locale qui ne sera pas effacée lorsque vous réinstallerez le logiciel serveur. Spécification de l'utilisation initiale d'Open Directory Lors de la configuration initiale d'un serveur, vous spécifiez sa configuration de services de répertoire. Voici les possibilités : • Aucune modification, disponible uniquement lors de la mise à jour de Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2, • Serveur autonome, servant uniquement à configurer un domaine de répertoire NetInfo local sur le serveur, • Maître Open Directory, servant à configurer un domaine Apple LDAP sur le serveur pour un partage par les autres ordinateurs, • Connecté à un système de répertoire, servant à configurer le serveur pour obtenir les informations de répertoire d'un domaine de répertoire partagé déjà configuré sur un autre serveur. Dans toutes ces situations, l'authentification Open Directory est configurée sur le serveur et utilisée par défaut pour tout nouvel utilisateur ajouté aux domaines résidant sur le serveur. Si vous configurez plusieurs serveurs et qu'un ou plusieurs d'entre eux hébergent un répertoire partagé, configurez-les avant les serveurs qui utiliseront ces répertoires partagés. Après configuration, utilisez si nécessaire les applications Format de répertoire ou Admin Serveur pour affiner la configuration de répertoire du serveur. Format de répertoire permet de configurer les connexions avec plusieurs domaines de répertoire et de spécifier une politique de recherche (ordre dans lequel le serveur doit rechercher dans les domaines). Admin Serveur permet de configurer la réplique et de gérer d'autres aspects de la configuration de service de répertoire d'un serveur. Le guide d'administration Open Directory vous aidera à choisir les options adéquates de configuration d'utilisation de répertoire. S'il s'agit d'une mise à jour, le meilleur choix est habituellement Aucune modification. Si vous configurez un nouveau serveur, le choix le plus simple est Serveur autonome. Après la configuration initiale du serveur, vous pouvez employer Format de répertoire ou Admin Serveur pour ajuster et finaliser la configuration de répertoire. Mise à jour sans changer l'utilisation de répertoire Lorsque vous configurez un serveur passé de la version 10.1 ou 10.2 à la version 10.3 et désirez qu'il exploite la même configuration de répertoire qu'auparavant, choisissez Aucune modification dans le panneau Utilisation de répertoire de l'Assistant du serveur.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 99 Même lorsque vous voulez changer la configuration de répertoire du serveur, le choix le plus sûr reste Aucune modification, particulièrement si vous envisagez de modifier la configuration de répertoire partagé d'un serveur. Par exemple, vous pouvez passer de l'hébergement d'un répertoire à l'utilisation d'un répertoire partagé d'un autre serveur et vice versa ou migrez d'un domaine NetInfo partagé vers LDAP. Ces opérations sont à réaliser après la configuration serveur, de façon à préserver l'accès aux informations sur les répertoires en réseau. Reportez-vous au guide d'administration Open Directory pour en savoir plus sur les options d'utilisation de répertoire et l'emploi de Format de répertoire et d'Admin Serveur afin de modifier des répertoires. Reportez-vous à Migration vers Mac OS X Server Version 10.3 pour plus d'informations sur l'emploi de données de répertoire existantes lorsque vous changez les réglages de service de répertoire. Si vous choisissez Aucune modification, l'authentification Open Directory est configurée si l'option Serveur de mot de passe n'était pas utilisée sur le serveur. Lorsque vous ajoutez des utilisateurs à un domaine de répertoire Apple résidant sur le serveur, les mots de passe sont validés par défaut en utilisant l'authentification Open Directory. Configuration d'un serveur comme serveur autonome Lorsque vous ne désirez pas que le serveur que vous configurez héberge ou utilise des informations de répertoire partagé, choisissez l'option d'utilisation de répertoire Serveur autonome dans Assistant du serveur. Cette option concerne uniquement un domaine NetInfo local. S'agissant d'un domaine local, les données qui y sont stockées ne sont accessibles que par le serveur que vous configurez. L'authentification Open Directory est également configurée sur le serveur. Par défaut, elle est utilisée lorsqu'un utilisateur est ajouté au domaine local. Lorsqu'un utilisateur tente de se connecter au serveur ou d'utiliser l'un des services réclamant une authentification, le serveur authentifie l'utilisateur en consultant la base de données locale. Si l'utilisateur a un compte sur le système et fournit le mot de passe correct, l'authentification aboutit. Configuration d'un serveur pour héberger un maître Open Directory Si vous voulez que le serveur que vous configurez héberge un répertoire LDAP Apple pour son propre usage et celui d'autres ordinateurs, choisissez l'option d'utilisation de répertoire Maître Open Directory dans Assistant du serveur. Cette option : • configure le domaine LDAP Apple sur le serveur, • active l'authentification Open Directory pour la validation de tous les utilisateurs définis dans le domaine NetInfo local et le domaine LDAP Apple partagé, • configure un KDC Kerberos sur le serveur, • active éventuellement un contrôleur de domaine principal Windows sur le serveur, ce qui permet à votre serveur d'authentifier et fournir des répertoires de départ aux utilisateurs d'ordinateurs sous Windows NT4.x, Windows 9x et Windows XP.100 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Pour configurer la réplique pour le répertoire LDAP Apple, utilisez Admin Serveur une fois la configuration achevée. Pour définir des connexions de répertoire supplémentaires, utilisez Format de répertoire. Reportez-vous au guide d'administration Open Directory pour plus d'informations sur la configuration de répertoire. L'authentification Open Directory est configurée sur le serveur et utilisée par défaut pour tous les utilisateurs ajoutés aux domaines qui résident sur le serveur. Configuration d'un serveur pour la connexion à un système de répertoire Si vous voulez que le serveur que vous configurez emploie un répertoire partagé sur un autre ordinateur, choisissez l'option d'utilisation de répertoire Connecté à un système de répertoire dans Assistant du serveur. Choisissez ensuite l'une des options suivantes : • Tel que spécifié par le serveur DHCP, configurant un serveur pour recevoir l'identité d'un serveur de répertoire LDAP ou NetInfo partagé du serveur DHCP qui lui fournit son adresse IP. Le répertoire LDAP peut être un répertoire LDAP Apple ou un répertoire LDAP d'un autre éditeur. • Répertoire LDAP Apple, qui vous permet d'indiquer que l'adresse de Mac OS X Server hébergeant le répertoire LDAP doit être obtenue en utilisant DHCP, ou de spécifier l'adresse IP ou nom de domaine du serveur. • Répertoire NetInfo, qui vous permet d'indiquer comment le serveur en cours de configuration devra localiser le serveur hébergeant un domaine partagé. Choisissez l'une de ces options : Broadcast, DHCP, Adresse IP statique. Cette dernière suppose que vous fournissiez l'adresse IP du serveur NetInfo et la balise NetInfo du domaine de répertoire, habituellement “network”. • Autre système de répertoire, qui est l'option à choisir lorsque vous désirez employer une option de répertoire différente des trois ci-dessus. Après configuration du serveur, utilisez Format de répertoire pour spécifier la configuration de répertoire du serveur. Reportez-vous au guide d'administration Open Directory pour plus d'informations.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 101 Vous pouvez configurer un serveur pour qu'il utilise un répertoire NetInfo sur Mac OS X Server version 10.0 et ultérieure ou un répertoire LDAP sur la version 10.2. Cependant, il est possible que vous ne bénéficiez pas de certaines fonctions de la version 10.3 : • Le service PDC Windows nécessite un répertoire maître LDAP version 10.3. • VPN a besoin de la version 10.3 si vous voulez employer l'authentification MS-CHAP2. • La réplique de serveur de mot de passe est impossible sur la version 10.2. • La configuration Kerberos est beaucoup plus complexe dans la version 10.2. Utilisation de la configuration interactive de serveur La solution interactive est intéressante lorsque vous avez peu de serveurs à configurer. Pour exploiter cette démarche, ouvrez l'Assistant du serveur, connectez-vous à un ou plusieurs serveurs cibles, fournissez les données de configuration, puis démarrez immédiatement la configuration. La méthode interactive permet de configurer un serveur local ou un ou plusieurs serveurs distants. Configuration interactive d'un serveur local Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, la méthode interactive permet de le configurer en local si vous avez possibilité d'accéder physiquement à l'ordinateur. Pour configurer interactivement un serveur local : 1 Remplissez la feuille de travail Mac OS X Server qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 2 Au redémarrage du serveur, l'Assistant du serveur est automatiquement ouvert. 3 Entrez les données de configuration consignées sur la feuille de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. Vérifiez que tout serveur DHCP ou DNS que doit employer le serveur que vous configurez est bien en cours d'exécution. 4 Une fois entrées les données de configuration, l'Assistant du serveur affiche un résumé des données. 5 Vérifiez les données de configuration que vous avez entrées. Cliquez éventuellement sur Revenir pour les modifier. 6 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format réutilisable (un fichier de configuration ou une fiche de répertoire enregistré), cliquez sur Enregistrer sous. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Lorsque vous utilisez des données de configuration enregistrées dans un fichier ou répertoire pour configurer un serveur, vous devez employer Admin Serveur pour entrer le numéro de série une fois la configuration du serveur achevée.102 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Vous devez fournir la phrase codée pour qu'un fichier de configuration crypté puisse être utilisé par un serveur cible. 7 Pour démarrer la configuration du serveur, cliquez sur Appliquer. Au terme de la configuration du serveur, cliquez sur Redémarrer. Vous pouvez maintenant ouvrir une session sous l'identité de l'administrateur créé pendant la configuration afin de configurer les services. Report de la configuration de serveur local après l'installation Une fois terminée l'installation du logiciel serveur sur un ordinateur local, l'ordinateur redémarre et l'Assistant du serveur s'ouvre automatiquement. Si vous désirez reporter la configuration du serveur à plus tard, appuyez sur les touches Commande-Q. L'ordinateur s'éteint. À son prochain démarrage, l'Assistant du serveur s'ouvrira automatiquement. Configuration interactive d'un serveur distant Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, la méthode interactive permet de le configurer à distance à partir d'un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. Pour configurer interactivement un serveur distant : 1 Remplissez la feuille de travail de Mac OS X Server qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 2 Assurez-vous que le serveur cible est en cours d'exécution. 3 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/ Server/ 4 Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Configurer un serveur distant et cliquez sur Continuer. 5 Dans le panneau Destination, placez une marque de cochage dans la colonne Appliquer du serveur distant à configurer, puis tapez son mot de passe de préréglage dans la case Mot de passe et cliquez sur Continuer pour vous connecter au serveur. Si le serveur cible n'apparaît pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour l'ajouter ou Actualiser pour voir s'il est disponible. 6 Dans le panneau Langue, choisissez la langue à employer pour administrer le serveur cible, puis cliquez sur Continuer. 7 Suivez l'étape 8 si vous voulez utiliser des données de configuration enregistrées. Sinon, passez à l'étape 9.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 103 8 Dans le panneau Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées à employer. Si les données de configuration enregistrées sont cryptées, tapez la phrase codée lorsque nécessaire. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Entrez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. Vérifiez que tout serveur DHCP ou DNS que doit employer le serveur que vous configurez est bien en cours d'exécution. 10 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par l'Assistant du serveur et cliquez éventuellement sur Revenir pour modifier les données. 11 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format réutilisable (fichier de configuration ou fiche de répertoire), cliquez sur Enregistrer sous. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Lorsque vous utilisez des données de configuration enregistrées dans un fichier ou répertoire pour configurer un serveur, vous devez employer Admin Serveur pour entrer le numéro de série une fois la configuration du serveur achevée. Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Vous devez fournir la phrase codée avant qu'un fichier de configuration crypté puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Pour démarrer la configuration du serveur, cliquez sur Appliquer. Au terme de la configuration du serveur, cliquez sur Continuer. Le serveur cible redémarre automatiquement et vous pouvez ouvrir une session sous l'identité de l'administrateur créé pendant la configuration afin de configurer les services. Configuration interactive d'un lot de serveurs distants Vous pouvez employer la méthode interactive pour configurer un lot de serveurs si : • tous les serveurs sont accessibles à partir d'un ordinateur administrateur, • tous les serveurs utilisent les même données de configuration à l'exception des identités réseau (nom d'hôte, nom d'ordinateur et nom Rendezvous) et du numéro de série du logiciel serveur, • les identités réseau sont fournies par un serveur DHCP ou BootP. Pour configurer plusieurs serveurs distants interactivement, par lot : 1 Remplissez la feuille de travail Mac OS X Server avec les réglages à employer pour tous les serveurs à configurer qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 2 Assurez-vous que les serveurs cibles et tous serveurs DHCP ou DNS qu'ils doivent employer sont en cours d'exécution.104 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 3 Sur un ordinateur administrateur capable de se connecter à tous les serveurs cibles, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/Server/ 4 Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Configurer un serveur distant et cliquez sur Continuer. 5 Dans le panneau Destination, placez une marque de cochage dans la colonne Appliquer des serveurs distants à configurer. Tapez ensuite le mot de passe de préréglage dans la case Mot de passe de chaque serveur et cliquez sur Continuer pour vous connecter aux serveurs. Si un serveur cible à configurer n'est pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour l'y ajouter. 6 Dans le panneau Langue, indiquez la langue à employer pour administrer les serveurs cibles, puis cliquez sur Continuer. 7 Suivez l'étape 8 si vous voulez utiliser des données de configuration enregistrées. Sinon, passez à l'étape 9. 8 Dans le panneau Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées à employer. Si les données de configuration enregistrées sont cryptées, tapez la phrase codée lorsque nécessaire. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Entrez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. Lorsque vous y êtes invité, entrez le numéro de série de chaque serveur cible. 10 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par l'Assistant du serveur et cliquez éventuellement sur Revenir pour modifier les données. 11 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format réutilisable (fichier de configuration ou fiche de répertoire), cliquez sur Enregistrer sous. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Lorsque vous utilisez des données de configuration enregistrées dans un fichier ou répertoire pour configurer un serveur, vous devez employer Admin Serveur pour entrer le numéro de série une fois la configuration du serveur achevée. Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Vous devez fournir la phrase codée avant qu'un fichier de configuration crypté ne puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Pour démarrer la configuration du serveur, cliquez sur Appliquer. Lorsque la configuration du serveur est achevée, cliquez sur Continuer. Les serveurs cibles redémarrent automatiquement et vous pouvez ouvrir une session sous l'identité de l'administrateur créé pendant la configuration afin de configurer leurs services.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 105 Configuration interactive de plusieurs serveurs distants tour à tour Vous pouvez employer la méthode interactive pour configurer plusieurs serveurs en utilisant plusieurs fenêtres Assistant du serveur sur un ordinateur administrateur. Pour configurer interactivement plusieurs serveurs distants tour à tour : 1 Remplissez la feuille de travail Mac OS X Server pour chaque serveur à configurer qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 2 Assurez-vous que les serveurs cibles et tous serveurs DHCP ou DNS qu'ils doivent employer sont en cours d'exécution. 3 Sur un ordinateur administrateur capable de se connecter à tous les serveurs cibles, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/Server/ 4 Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Configurer un serveur distant et cliquez sur Continuer. 5 Dans le panneau Destination, cochez l'un des serveurs distants à configurer. Tapez ensuite le mot de passe de préréglage dans la case Mot de passe du serveur et cliquez sur Continuer pour vous connecter au serveur. Si le serveur à configurer n'est pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour l'y ajouter. 6 Dans le panneau Langue, choisissez la langue à employer pour administrer le serveur cible, puis cliquez sur Continuer. 7 Suivez l'étape 8 si vous voulez utiliser des données de configuration enregistrées. Sinon, passez à l'étape 9. 8 Dans le panneau Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées à employer. Si les données de configuration enregistrées sont cryptées, tapez la phrase codée lorsque nécessaire. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Entrez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. 10 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par l'Assistant du serveur et cliquez éventuellement sur Revenir pour modifier les données. 11 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format réutilisable (fichier de configuration ou fiche de répertoire), cliquez sur Enregistrer sous. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Lorsque vous utilisez des données de configuration enregistrées dans un fichier ou répertoire pour configurer un serveur, vous devez employer Admin Serveur pour entrer le numéro de série une fois la configuration du serveur achevée.106 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Vous devez fournir la phrase codée avant qu'un fichier de configuration crypté puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Pour démarrer la configuration du serveur, cliquez sur Appliquer. 13 Pour travailler sur la configuration d'un autre serveur avant la fin de celle en cours, choisissez Fichier > Nouvelle fenêtre et répétez les étapes 4 à 12. Lorsque sa configuration est achevée, le serveur cible redémarre automatiquement et vous pouvez ouvrir une session sous l'identité de l'administrateur créé pendant la configuration afin de configurer ses services. Utilisation de la configuration automatique de serveur La méthode automatique est utile lorsque vous : • avez un nombre plus important de serveurs à configurer, • voulez préparer la configuration de serveurs pas encore disponibles, • voulez enregistrer des données de configuration à titre de sauvegarde, • devez réinstaller fréquemment des serveurs. Une manière d'employer cette méthode est d'utiliser le mode hors connexion de l'Assistant du serveur et travailler sur les données de configuration sans vous connecter à des serveurs particuliers. Vous spécifiez les données de configuration, puis les enregistrez dans un fichier ou dans un répertoire accessible depuis les serveurs cibles. Ceux sur lesquels le logiciel Mac OS X Server version 10.3 a été installé détectent automatiquement la présence des données de configuration enregistrées et les utilisent pour se configurer eux-mêmes. Il est possible de créer une configuration enregistrée générique pour configurer n'importe quel serveur, tel qu'un serveur en commande ou cinquante Xserve configurables à l'identique, initialement du moins. Vous pouvez aussi enregistrer des données de configuration adaptées à un serveur particulier. Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, vous pouvez le configurer automatiquement en utilisant des données enregistrées dans un fichier. Pour enregistrer et appliquer les données de configuration d'un fichier : 1 Remplissez la feuille de travail Mac OS X Server pour chaque serveur à configurer qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 2 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/Server/Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 107 3 Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Enregistrer la configuration dans une fiche de répertoires ou fichiers pour travailler en mode hors connexion (connexion serveur inutile). 4 Dans le panneau Langue, spécifiez la langue à employer pour administrer le ou les serveurs cibles, puis cliquez sur Continuer. 5 Si vous voulez créer un nouveau fichier de configuration, suivez l'étape 6. Pour travailler avec un fichier de configuration existant, passez à l'étape 7. Si vous prévoyez de créer un fichier de configuration générique pour configurer plusieurs serveurs, vérifiez que vous ne spécifiez pas de noms de réseau (nom d'hôte, nom d'ordinateur et nom Rendezvous) et que l'interface réseau (port) est réglée pour être configurée via Utilisation de DHCP ou Utilisation de BootP. 6 Entrez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. 7 Dans le panneau Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées sur lesquelles vous voulez travailler. Si les données de configuration enregistrées sont cryptées, tapez la phrase codée lorsque nécessaire. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 8 Dans le panneau Interfaces de réseau, cliquez sur Ajouter pour spécifier les interfaces de réseau. 9 Une fois spécifiées toutes les données de configuration, vérifiez le résumé affiché par l'Assistant du serveur et cliquez éventuellement sur Revenir pour modifier les données. 10 Cliquez sur Enregistrer sous, puis sélectionnez Fichier de configuration. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Ultérieurement dans ce processus, vous utiliserez Admin Serveur pour entrer le numéro de série après configuration d'un serveur cible. 11 Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Vous devez fournir la phrase codée avant qu'un fichier de configuration crypté puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Cliquez sur OK, accédez à l'emplacement où vous voulez enregistrer le fichier, nommez celui-ci en utilisant l'une des options suivantes et cliquez sur Enregistrer (lors de la recherche de fichiers de configuration, les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) : .plist (insérez les zéros à gauche mais omettez les deuxpoints). Par exemple, 0030654dbcef.plist. .plist. Par exemple, 10.0.0.4.plist. .plist. Par exemple, monserveur.plist.108 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur .plist (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.plist. .plist. Par exemple, monserveur.exemple.com.plist. .plist. Par exemple, 10.0.plist (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.plist (fichier que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). 13 Placez le fichier à un emplacement où le ou les serveurs cibles peuvent le détecter. Un serveur peut détecter un fichier de configuration s'il réside sur un volume monté localement dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. Il peut s'agir du disque dur du serveur ou un iPod, CD, disque FireWire, disque USB ou autre périphérique connecté au serveur. Par exemple, si vous avez un iPod nommé AdminiPod, le chemin d'accès consulté sera /Volumes/AdminiPod/Auto Server Setup/. 14 Si les données de configuration sont cryptées, rendez accessible la phrase codée au(x) serveur(s) cible(s). Vous pouvez fournir la phrase codée interactivement, à l'aide de l'Assistant du serveur ou dans un fichier texte. Pour fournir la phrase codée dans un fichier, suivez l'étape 15. Pour la fournir interactivement, passez à l'étape 16. 15 Pour fournir une phrase codée dans un fichier, créez un fichier texte et tapez à la première ligne la phrase codée du fichier de configuration enregistré. Sauvegardez le fichier en utilisant l'un des noms suivants (les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) : .pass (insérez les zéros à gauche mais omettez les deuxpoints). Par exemple, 0030654dbcef.pass. .pass. Par exemple, 10.0.0.4.pass. .pass. Par exemple, monserveur.pass. .pass (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.pass. .pass. Par exemple, monserveur.exemple.com.pass. .pass. Par exemple, 10.0.pass (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Placez le fichier de phrase codée sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/SA_Keys/, où * est tout périphérique monté sous /Volumes.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 109 16 Pour fournir interactivement une phrase codée, utilisez l'Assistant du serveur sur un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. Dans le panneau Bienvenue, choisissez Fichier > Fournir la phrase codée. Dans le zone de dialogue, entrez l'adresse IP, le mot de passe et la phrase codée du serveur cible. Cliquez sur Envoyer. 17 Utilisez l'Assistant du serveur pour entrer le numéro de série du logiciel serveur du serveur cible. Reportez-vous au guide d'administration de la ligne de commande pour une description de l'organisation d'un fichier de configuration enregistré. Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, vous pouvez le configurer automatiquement en utilisant des données enregistrées dans un répertoire. Cette méthode nécessite un répertoire et une infrastructure DHCP préexistants, comme décrit ci-dessous. Pour enregistrer et appliquer des données de configuration dans une fiche de répertoire : 1 Vérifiez que le répertoire dans lequel vous voulez enregistrer les données de configuration existe, que son système accepte les données de configuration enregistrées et qu'il est accessible depuis votre ordinateur administrateur. Le guide d'administration Open Directory décrit comment configurer et accéder aux répertoires. Il présente également le système pour les données de configuration enregistrées. La gestion des données de configuration enregistrées est intégrée aux répertoires Apple OpenLDAP mais le système des autres répertoires doit être étendu pour accepter ce type de données. 2 Remplissez la feuille de travail de Mac OS X Server pour chaque serveur à configurer qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 3 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/ Server/ 4 Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Enregistrer la configuration dans une fiche de répertoires ou fichiers pour travailler en mode hors connexion (connexion serveur inutile). 5 Dans le panneau Langue, spécifiez la langue à employer pour administrer le ou les serveurs cibles, puis cliquez sur Continuer. 6 Si vous voulez créer une nouvelle configuration, suivez l'étape 7. Pour travailler avec une configuration existante, passez à l'étape 8.110 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Si vous créez des données de configuration générique, vérifiez que vous ne spécifiez pas de noms de réseau (nom d'hôte, nom d'ordinateur et nom Rendezvous) et que l'interface de réseau (port) est réglée pour être configurée via Utilisation de DHCP ou Utilisation de BootP. 7 Entrez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. 8 Dans le panneau Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées sur lesquelles vous voulez travailler. Si les données de configuration enregistrées sont cryptées, tapez la phrase codée lorsque nécessaire. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Dans le panneau Interfaces de réseau, cliquez sur Ajouter pour spécifier les interfaces de réseau. 10 Une fois spécifiées toutes les données de configuration, vérifiez le résumé affiché par l'Assistant du serveur et cliquez éventuellement sur Revenir pour modifier les données. 11 Cliquez sur Enregistrer sous, puis sélectionnez Fiche de répertoire. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Ultérieurement dans ce processus, vous utiliserez Admin Serveur pour entrer le numéro de série après configuration d'un serveur cible. 12 Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Avant qu'un enregistrement de répertoire crypté soit utilisable par un serveur cible, vous devez fournir la phrase codée. 13 Accédez à /AutoServerSetup/ dans le répertoire où vous voulez enregistrer la configuration, nommez l'enregistrement de configuration et cliquez sur OK. Lorsque vous y êtes invité, entrez les informations requises pour vous authentifier comme administrateur de domaine. Les serveurs cibles recherchent les noms d'enregistrement dans l'ordre suivant : (insérez les zéros à gauche mais omettez les deux-points). Par exemple, 0030654dbcef. . Par exemple, 10.0.0.4. . Par exemple, monserveur. (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234. . Par exemple, monserveur.exemple.com. . Par exemple, 10.0 (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2).Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 111 generique (enregistrement que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). 14 Assurez-vous que l'infrastructure correcte est en place de façon à ce que les serveurs devant employer l'enregistrement de configuration stockée puissent le trouver. Le serveur de répertoire stockant l'enregistrement de configuration doit être en cours d'exécution. DHCP doit être configuré pour identifier le serveur de répertoire aux serveurs cibles en utilisant l'Option 95. De plus, il faudra éventuellement configurer DNS si vos données de répertoire comportent des noms d'hôtes. Reportez-vous à la section “Infrastructures de configuration du serveur” à la page 79 pour des informations supplémentaires sur l'infrastructure. Les guides d'administration Open Directory et des services de réseau fournissent des instructions pour configurer les répertoires et DHCP. 15 Si les données de configuration sont cryptées, rendez accessible la phrase codée au(x) serveur(s) cible(s). Vous pouvez fournir la phrase codée interactivement, à l'aide de l'assistant du serveur ou dans un fichier texte. Pour fournir la phrase codée dans un fichier, suivez l'étape 16. Pour la fournir interactivement, passez à l'étape 17. 16 Pour fournir une phrase codée dans un fichier, créez un fichier texte et tapez à la première ligne la phrase codée du fichier de configuration enregistré. Sauvegardez le fichier en utilisant l'un des noms suivants (les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) : .pass (insérez les zéros à gauche mais omettez les deuxpoints). Par exemple, 0030654dbcef.pass. .pass. Par exemple, 10.0.0.4.pass. .pass. Par exemple, monserveur.pass. .pass (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.pass. .pass. Par exemple, monserveur.exemple.com.pass. .pass. Par exemple, 10.0.pass (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Placez le fichier de phrase codée sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/SA_Keys/, où * correspond tout périphérique monté sous /Volumes. 17 Pour fournir interactivement une phrase codée, utilisez l'Assistant du serveur sur un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. Dans le panneau Bienvenue, choisissez Fichier > Fournir la phrase codée. Dans le zone de dialogue, entrez l'adresse IP, le mot de passe et la phrase codée du serveur cible.112 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Cliquez sur Envoyer. 18 Utilisez l'Assistant du serveur pour entrer le numéro de série du logiciel serveur du serveur cible. Reportez-vous au guide d'administration Open Directory pour une description du système de données de configuration enregistrées dans un répertoire. Détermination de l'état des configurations Il existe plusieurs manières d'afficher les informations d'état de configuration dans Assistant du serveur : • Après avoir démarré interactivement la configuration d'un ou plusieurs serveurs, des informations de progression sont affichées. Si la configuration aboutit, un serveur cible redémarre à la fin de la configuration. Si la configuration échoue, l'Assistant du serveur affiche des informations d'erreur. • Vous pouvez employer le panneau Destination disponible pendant les configurations interactives de serveur distant pour estimer si une configuration en cours nécessite votre attention. Si un serveur présente une icône d'erreur, cliquez dessus et lisez les informations. Par exemple, vous pouvez déterminez si un fichier de configuration enregistré n'a pas pu être utilisé par un serveur particulier du fait que les données de configuration sont cryptées et qu'une phrase codée n'a pas pu être trouvée. Vous pouvez enregistrer une liste de serveurs à contrôler dans le panneau Destination, en choisissant Fichier > Enregistrer la liste de serveurs. Lorsque vous voulez surveiller l'état de ces serveurs, utilisez Fichier > Charger la liste de serveurs. • Lorsqu'une configuration de serveur échoue, un historique d'erreurs est créé dans / System/Library/ServerSetup/Configured/POR.err sur le serveur cible. La configuration ne peut être redémarrée tant que ce fichier n'a pas été effacé. Le contenu de cet historique peut être affiché et le fichier d'historique effacé à l'aide de l'Assistant du serveur. Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Configurer un serveur distant et cliquez sur Continuer. Dans le panneau Destination, affichez la liste des serveurs en question. Si un historique d'erreurs existe pour un serveur, la ligne du serveur dans la liste contient une icône d'erreur. Sélectionnez la ligne et doublecliquez sur l'icône d'erreur. Si vous y êtes invité, fournissez le mot de passe de préréglage et cliquez sur Envoyer. Le contenu de l'historique est affiché et vous pouvez cliquer sur Supprimer pour effacer le fichier d'historique. Configuration des services Les sections suivantes abordent la configuration initiale de services individuels et vous indiquent où trouver des instructions complètes pour personnaliser les services en fonction des besoins.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 113 Configuration d'Open Directory À moins que votre serveur ne doive être intégré au système de répertoire d'un autre fabricant ou que l'architecture de répertoire d'un serveur que vous mettez à jour doive être immédiatement modifiée, vous pouvez tout de suite commencer à utiliser les répertoires que vous avez configurés pendant la configuration du serveur. Le guide d'administration Open Directory contient des instructions sur tous les aspects de la configuration de domaine Open Directory et de l'authentification : • configuration de l'accès d'un ordinateur client à des données de répertoire partagé, • réplique de répertoires LDAP et des informations d'authentification de maîtres Open Directory, • intégration avec Active Directory et autres répertoires non Apple, • configuration d'ouverture de session unique, • utilisation de Kerberos et autres techniques d'authentification. Configuration de la gestion des utilisateurs À moins d'utiliser un serveur exclusivement pour héberger du contenu Internet (comme des pages Web) ou de réaliser de la mise en grappe informatique, vous serez probablement amené à configurer des comptes utilisateurs en plus du compte administrateur créé pendant la configuration du serveur. Pour configurer un compte utilisateur : 1 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur le petit globe en haut de la fenêtre d'application pour sélectionner le répertoire auquel ajouter des utilisateurs. 3 Cliquez sur le bouton Nouvel utilisateur. 4 Spécifiez les réglages d'utilisateur dans les différents panneaux. Le guide de gestion des utilisateurs indique comment gérer les utilisateurs en configurant les comptes de groupe et d'ordinateur. Il décrit également comment configurer les réglages pour les préférences, de façon à personnaliser les environnements de travail des utilisateurs Mac OS X et Mac OS 9.1. Configuration des services de fichiers Lorsque vous activez les services de partage de fichiers, les utilisateurs peuvent partager des éléments dans les dossiers sélectionnés. Si vous activez le service de fichiers Apple pendant la configuration du serveur, les utilisateurs en possession de comptes peuvent partager des éléments en les plaçant dans le dossier Public de leur répertoire de départ ou en copiant ces éléments dans le dossier Boîte de dépôt d'un dossier Public d'un autre utilisateur. Si vous n'avez pas encore activé le service de fichiers Apple ou d'autres services de fichiers disponibles, vous pouvez le faire à présent.114 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Pour configurer le partage de fichiers : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Dans la liste sous le serveur concerné, cliquez sur chaque service de fichiers à activer, puis sur le bouton Démarrer le service dans la barre d'outils. Pour un partage avec des ordinateurs Macintosh, activez le service de fichiers Apple. Pour un partage avec des ordinateurs Windows, activez les services Windows. Pour fournir l'accès File Transfer Protocol (FTP), activez le service FTP. Pour un partage avec des ordinateurs UNIX, activez le service NFS. 3 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail et cliquez sur Partage pour configurer un point de partage. 4 Sélectionnez un volume ou un dossier à partager dans l'onglet Tous. 5 Cliquez sur Général, puis sélectionnez Partager cet élément et son contenu. 6 Cliquez sur Protocoles, puis sélectionnez les protocoles à employer pour le partage. Le guide d'administration des services de fichiers contient des instructions pour la gestion des points de partage et la configuration du partage de fichiers avec tous les protocoles. Configuration du service d'impression Lorsque vous activez le service d'impression, les utilisateurs de serveurs peuvent partager des imprimantes réseau PostScript ou des imprimantes PostScript et non PostScript connectées directement au serveur. Lorsque vous activez le service d'impression dans Admin Serveur, une file d'attente est configurée pour toute imprimante USB connectée au serveur. Aucune file d'imprimante n'est automatiquement configurée pour les imprimantes réseau, mais il est facile d'en ajouter. Pour configurer une file d'imprimante partagée : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Dans la liste sous le serveur en question, cliquez sur le bouton du service d'impression. 3 S'il est pas en cours d'exécution, cliquez sur le bouton Démarrer le service dans la barre d'outils. 4 Cliquez sur le bouton Réglages en bas de la fenêtre d'application, puis sur l'onglet Files d'attente. 5 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 6 Choisissez un protocole de connexion, identifiez une imprimante, puis cliquez sur OK. Les utilisateurs d'ordinateurs Mac OS X peuvent désormais ajouter l'imprimante à l'aide du Centre d'impression. Les utilisateurs de Mac OS 9 le feront à l'aide du Sélecteur.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 115 Pour plus d'informations sur la configuration des services d'impression, reportez-vous au guide d'administration du service d'impression. Configuration de service Web Vous pouvez utiliser le serveur HTTP Apache fourni avec Mac OS X Server pour héberger des sites Web d'utilisateurs individuels ou de serveur. Si vous avez activé le service Web dans l'Assistant du serveur, votre serveur est prêt à fournir des pages HTML à partir des dossiers des sites du serveur et des utilisateurs individuels. • Pour visualiser le site de serveur principal, ouvrez un navigateur Web sur un ordinateur ayant accès au serveur et tapez l'adresse IP ou le nom de domaine du serveur. • Pour visualiser le site d'un utilisateur, ajoutez une barre oblique (/), un tilde (~) et le diminutif de l'utilisateur après l'adresse du serveur. Par exemple, tapez http://192.268.2.1/~utilisateur Pour activer le service Web s'il n'est pas en cours d'exécution : 1 Si vous disposez des fichiers HTML de votre site principal, copiez-les dans le dossier Documents du répertoire /Bibliothèque/WebServer. Si les fichiers de votre site sont organisés en dossiers, copiez la structure des dossiers entière dans le dossier Documents. Dans le cas d'un site utilisateur, les fichiers se placent dans le dossier Sites du répertoire de départ de l'utilisateur. Si vous ne disposez pas encore de vos fichiers HTML, vous pouvez toujours activer le service Web pour voir comment il fonctionne à l'aide des pages de démarrage par défaut fournies avec Mac OS X Server. 2 Ouvrez Admin Serveur. 3 Dans la liste sous le serveur en question, cliquez sur le bouton du service Web. 4 S'il est pas en cours d'exécution, cliquez sur le bouton Démarrer le service dans la barre d'outils. Le guide d'administration des technologies Web décrit les nombreuses fonctions de service Web, notamment comment configurer SSL sur un site, activer WebMail et utiliser WebDAV pour le partage de fichiers. Configuration du service de courrier Si vous n'avez pas activé le service de courrier dans l'Assistant du serveur, vous pouvez le démarrer à l'aide d'Admin Serveur, comme décrit ci-dessus pour les autres services. Pour que vos utilisateurs puissent utiliser la totalité des services de courrier disponibles, vous devez définir d'autres réglages. Le guide d'administration du service de courrier fournit des instructions détaillées pour configurer et gérer un serveur de courrier.116 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Configuration de services réseau Si vous voulez qu'un serveur héberge l'un des services réseau suivants, recherchez les instructions de configuration dans le guide d'administration des services réseau : • service DHCP • DNS • service de coupe-feu • NAT (Network Address Translation) • VPN • service d'horloge réseau Configuration des services d'image système Pour en savoir plus sur l'utilisation de NetBoot et d'installation en réseau afin de simplifier la gestion et l'installation de systèmes d'exploitation clients et autres logiciels, reportez-vous au guide d'administration des images système. Il indique comment créer des images disque et configurer Mac OS X Server de façon que d'autres ordinateurs Macintosh puissent démarrer ou installer via le réseau, à partir de ces images. Configuration de l'enchaînement et de la diffusion de données Pour en savoir plus sur le mode d'administration d'un serveur d'enchaînement diffusant des flux de données en temps réel ou à la demande vers des ordinateurs clients, reportez-vous au guide d'administration du Serveur Enchaînement QuickTime. Configuration d'un serveur d'applications Pour configurer un serveur d'applications Java, reportez-vous au guide d'administration JBoss. Il indique comment développer et déployer des servlets, des beans et des applications d'entreprise, mais aussi comment configurer et administrer un serveur d'applications Java. Utilisez Admin Serveur pour administrer JBoss et Tomcat. Pour activer JBoss s'il n'est pas en cours d'exécution : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Dans la liste sous le serveur en question, cliquez sur Serveur d'applications. 3 Cliquez sur Démarrer le service. 117 A Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Identifiez le serveur dont les informations figurent dans le tableau ci-dessous : Élément Description Vos informations Identité du serveur en vue de son installation et sa configuration Pour l'installation et la configuration interactives d'un serveur sur le sous-réseau local, l'une de ces valeurs du serveur : - Adresse IP au format IPv4 (000.000.000.000) - Nom DNS (serveur.exemple.com) - Adresse MAC (00:03:93:71:26:52). Pour les installations et configurations à partir de la ligne de commande ou d'un sous-réseau distant, l'adresse IP du serveur cible au format IPv4. Mot de passe prédéfini (pour l'installation et la configuration à distance) Les 8 premiers chiffres du numéro de série du serveur cible, imprimé sur l'étiquette collée sur l'ordinateur. Pour les anciens ordinateurs ne portant pas ce type de numéro, entrez 12345678. Type d'installation Mise à niveau de la version 10.1 ou 10.2 ou nouvelle installation. Le volume (partition) cible est effacé lorsque vous effectuez une nouvelle installation. Disque ou partition cible Nom du disque ou de la partition (volume) cible118 Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Format de disque (pour les nouvelles installations seulement) Dans la plupart des cas, utilisez Mac OS Étendu (journalisé). Vous pouvez également utiliser Mac OS Étendu ou HFS+ (sensible à la casse). Partitionnement de disque (pour les nouvelles installations seulement) La taille minimum recommandée d'une partition de disque cible est de 4 Go. Mise en miroir de disque (pour les nouvelles installations seulement) Si vous possédez un deuxième disque sur le serveur cible, vous pouvez mettre en miroir le disque de démarrage sur celuici. Ainsi, si le disque principal n'est pas disponible, le deuxième disque est utilisé. Enregistrement des données de configuration Si vous voulez utiliser les données de configuration enregistrées pour configurer ce serveur, identifiez le fichier ou le répertoire dans lequel elles sont stockées. Si les données sont cryptées, identifiez également la phrase codée. Si vous voulez enregistrer les données de configuration de ce serveur dans un fichier, identifiez le fichier de configuration et éventuellement le fichier des clés. Indiquez également l'emplacement de sauvegarde des fichiers. Si vous voulez enregistrer les données de configuration de ce serveur dans un répertoire, identifiez un répertoire, ainsi que le nom et l'emplacement du fichier des clés. Langue Langue à utiliser pour l'administration du serveur (anglais, japonais, français ou allemand). Configuration de clavier Clavier de l'ad ministration du serveur. Élément Description Vos informationsAnnexe A Feuille de travail de Mac OS X Server 119 Numéro de série Numéro de série de votre copie de Mac OS X Server. Consultez l'enveloppe de votre disque d'installation ou l'étiquette sur votre serveur, comme décrit dans la documentation. Nom complet de l'administrateur (parfois appelé nom complet ou nom réel) Le nom complet ne peut être composé de plus de 255 octets. Le nombre de caractères va de 255 caractères romains à 85 caractères de 3 octets. Ce nom peut comporter des espaces et respecte la casse dans la fenêtre d'ouverture de session, mais pas lors de l'accès aux serveurs de fichiers. Nom abrégé de l'administrateur Le nom abrégé peut contenir jusqu'à 255 caractères romains, même s'il se limite généralement à huit ou moins. Ce nom ne peut être composé que des caractères a à z, A à Z, 0 à 9 ou _ (trait de soulignement). Mot de passe de l'administrateur Si vous enregistrez cette valeur, veillez à conserver cette feuille de travail en lieu sûr. Cette valeur respecte la casse. Il s'agit également du mot de passe de l'utilisateur root. Élément Description Vos informations120 Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Nom d'hôte Nom que DNS doit utiliser pour votre serveur. Vous indiquez la partie du nom DNS qui apparaît avant le nom de domaine (MonOrdinateur. ou MonOrdinateur.exemple.com). Le nom d'hôte doit commencer par une lettre et ne doit contenir que des caractères alphanumériques, un tiret (-) ou un point (.). Les clients Windows utilisent des noms d'hôte ne contenant pas plus de 15 caractères ASCII ; ces noms acceptent les caractères a-z, A-Z, 0-9, -, mais pas de point (.) ni d'espace. En outre, ils ne peuvent pas être composés de chiffres exclusivement. Nom de l'ordinateur Nom AppleTalk. Nom Rendezvous Nom apparaissant aux utilisateurs Mac OS X lorsqu'ils affichent les ordinateurs figurant sous /Network/Local/ Données d'interface réseau Votre serveur est équipé d'un port Ethernet intégré et de plusieurs autres installés sur une carte Ethernet. Enregistrez les informations de chaque port à activer. Enregistrez les données relatives à chaque port dans le tableau fourni plus loin dans cette feuille de travail. Élément Description Vos informationsAnnexe A Feuille de travail de Mac OS X Server 121 Utilisation d'Open Directory Sélectionnez l'un des éléments suivants : Serveur autonome (utilisez uniquement le domaine local). Connecté à un système de répertoires (obtenez les informations à partir d'un répertoire existant). Si vous sélectionnez cette option, utilisez l'une des quatre lignes suivantes dans ce tableau pour indiquer le mode de recherche du répertoire par le serveur. Maître Open Directory (fournissez les informations de répertoire aux autres ordinateurs). Si vous choisissez cette option, utilisez la ligne Utilisation du maître Open Directory. Aucune modification (pour les mises à niveau seulement). Utilisation de Tel que spécifié par le serveur DHCP Le répertoire à utiliser est identifié par un serveur DHCP. Utilisation de Répertoire LDAP Apple Le répertoire à utiliser sera LDAP Apple identifié par un serveur DHCP ou par la spécification d'une adresse IP ou d'un nom de domaine pour le serveur LDAP. Utilisation de Répertoire NetInfo Le répertoire ire à utiliser sera NetInfo. Choisissez une ou plusieurs des méthodes cidessous pour rechercher ce répertoire : - Diffusion - DHCP - Adresse IP statique (indiquez l'adresse IP et la balise NetInfo) Utilisation de Autre système de répertoire Le répertoire à utiliser sera configuré à l'aide de l'application Format de répertoire une fois que vous aurez configuré le serveur. Élément Description Vos informations122 Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Utilisation de maître Open Directory Vous pouvez éventuellement indiquer que vous voulez activer un contrôleur de domaine principal Windows sur le serveur. Entrez le nom d'ordinateur et le nom de domaine du contrôleur. Le nom d'ordinateur peut être composé des caractères a-z, A-Z, 0-9, - mais n'accepte pas les points (.), ni les espaces et ne peut pas être composé de chiffres exclusivement. Terminez la configuration du répertoire à héberger à l'aide d'Admin Serveur une fois la configuration du serveur achevée. Automatisation du démarrage du service Indiquez si vous voulez lancer automatiquement l'un des services ci-après au démarrage du serveur. Ces services ne réclament aucune autre configuration : Service de fichiers Apple Service FTP Service de fichiers Windows Service de courrier Service Web WebDAV Service d'horloge réseau Service NetBoot Service de diffusion QuickTime Fuseau horaire Choisissez le fuseau horaire que le serveur doit utiliser. Horloge réseau Vous pouvez éventuellement indiquer un serveur d'horloge réseau à utiliser. Élément Description Vos informationsAnnexe A Feuille de travail de Mac OS X Server 123 Les données d'interface réseau de ce serveur figurent dans le tableau ci-dessous : Port Caractéristique Vos informations Ethernet intégré (en0) Utiliser ou non le port pour les connexions TCP/IP Utiliser ou non le port pour les connexions AppleTalk. Les clients Mac OS 9 utilisent AppleTalk pour la consultation du Sélecteur et parce que certaines imprimantes le requièrent. N'activez pas plus d'un port AppleTalk par réseau AppleTalk. Si l'adresse IP est configurée manuellement : Adresse IP Masque de sous-réseau Routeur (utilisez l'adresse IP du serveur en cas de doute ou laissez ce champ vide) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si l'adresse IP est configurée à l'aide de DHCP avec une adresse IP manuelle : Adresse IP Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si l'adresse IP est configurée à l'aide de DHCP: ID client DHCP (facultatif) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si l'adresse IP est configurée à l'aide de BootP : Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Nom du port : Utiliser ou non pour TCP/IP Utiliser ou non pour AppleTalk 124 Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Si la connexion TCP/IP est configurée manuellement : Adresse IP Masque de sous-réseau Routeur (utiliser l'adresse IP du serveur en cas de doute) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP avec une adresse IP manuelle : Adresse IP Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP : ID client DHCP (facultatif) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de BootP : Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Nom du port : Utiliser ou non pour TCP/IP Utiliser ou non pour AppleTalk Si la connexion TCP/IP est configurée manuellement : Adresse IP Masque de sous-réseau Routeur (utiliser l'adresse IP du serveur en cas de doute) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP avec une adresse IP manuelle : Adresse IP Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Port Caractéristique Vos informationsAnnexe A Feuille de travail de Mac OS X Server 125 Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP : ID client DHCP (facultatif) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de BootP : Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Nom du port : Utiliser ou non pour TCP/IP Utiliser ou non pour AppleTalk Si la connexion TCP/IP est configurée manuellement: Adresse IP Masque de sous-réseau Routeur (utiliser l'adresse IP du serveur en cas de doute) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP avec une adresse IP manuelle : Adresse IP Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP : ID client DHCP (facultatif) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de BootP : Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Port Caractéristique Vos informations 127 B Annexe B Exemple de configuration L'exemple de configuration présenté dans cette annexe illustre une méthode de configuration de l'infrastructure réseau et de répertoires de Mac OS X Server dans le cas d'une petite entreprise. Mac OS X Server dans une petite entreprise Dans cet exemple, Mac OS X Server fournit des services de répertoire, réseau et de productivité aux employés d'une petite entreprise. Cette organisation utilisait jusqu'à présent un réseau local pour le partage des fichiers et d'une imprimante. L'acquisition de Mac OS X Server a permis d'implémenter un réseau intranet utilisant les services DSL et DNS d'un FAI. Voici le résumé des caractéristiques de ce scénario : Internet Coupe-feu Serveur DNS du FAI Client Mac OS X Commutateur Mac OS X Server (exemple.com) VPN DSL 192.168.0.1 Clients Windows Clients Mac OS X Imprimante partagée128 Annexe B Exemple de configuration • Un domaine LDAP Open Directory principal sur le serveur centralise la gestion des utilisateurs, y compris l'authentification des utilisateurs Mac OS X et Windows. • Le service DNS du FAI fournit le nom de domaine de l'entreprise (exemple.com). • Un serveur DNS exécutant Mac OS X Server fournit les services de nom pour le serveur, l'imprimante et tout autre périphérique intranet possédant une adresse IP statique. • Un coupe-feu entre le serveur et Internet protège le réseau intranet contre tout accès non autorisé. • Le service NAT permet aux utilisateurs du réseau intranet de partager l'adresse IP du FAI pour accéder à Internet, tandis que le service VPN permet aux employés d'accéder depuis Internet au réseau intranet en toute sécurité lorsqu'ils sont en déplacement. • Le service DHCP sur Mac OS X Server fournit les adresses IP dynamiques aux ordinateurs clients sur le réseau intranet. Le serveur et l'imprimante ont des adresses statiques, les ordinateurs clients des adresses dynamiques. Configuration du serveur Les instructions suivantes permettent de configurer Mac OS X Server dans cette petite entreprise hypothétique. Pour des informations complètes sur la configuration des services de répertoire, consultez le guide d'administration Open Directory. Pour en savoir plus sur la configuration des services réseau (coupe-feu IP, DHCP, etc.), consultez le guide d'administration des services réseau. Étape 1 : Configurer le réseau 1 Assurez-vous que le serveur a deux interfaces Ethernet (ports), l'une pour la connexion intranet (LAN) et l'autre pour la connexion du modem DSL. Utilisez l'interface la plus rapide pour la connexion du serveur. Une connexion à 10 Mbits suffit amplement pour la connexion DSL. 2 Connectez le serveur au réseau local (LAN) à l'aide de l'interface la plus rapide. Dans cet exemple, le serveur est connecté à un commutateur permettant de connecter les ordinateurs clients existants à l'imprimante partagée. Cette interface est qualifiée d'interne. Il est recommandé de connecter les périphériques à un concentrateur ou à un commutateur utilisant des câbles Ethernet CAT-5 de bonne qualité. Un commutateur grande vitesse de 10/100/1000 Mbits doit pouvoir prendre en charge les fonctions avancées du serveur, comme NetBoot, idéal sur les connexions rapides. 3 Connectez le serveur au modem DSL à l'aide de l'autre interface Ethernet. Celle-ci est qualifiée d'externe.Annexe B Exemple de configuration 129 Étape 2 : Configurez le serveur et le répertoire maître 1 Démarrez le serveur à partir du premier disque d'installation. La procédure utilisée varie selon le serveur. Dans cet exemple, imaginez que l'ordinateur est connecté à un moniteur, à un clavier et à un lecteur optique. Mettez l'ordinateur sous tension, insérez le premier disque d'installation dans le lecteur optique, puis redémarrez l'ordinateur tout en maintenant la touche C du clavier enfoncée. La section “Utilisation de l'application Assistant du serveur pour une installation à distance depuis les disques d'installation” à la page 88 décrit le démarrage d'autres types d'ordinateurs pour installer le logiciel serveur. 2 Lorsque le programme d'installation est lancé, suivez les instructions à l'écran. Si vous devez formater le disque de destination, consultez la section “Préparation des disques pour l'installation de Mac OS X Server” à la page 85 pour obtenir les instructions. Insérez le deuxième disque d'installation lorsque vous y êtes invité. Une fois l'installation terminée, le serveur redémarre et l'Assistant du serveur s'ouvre. 3 Complétez la feuille de travail qui se trouve à la page 117. Vous aurez besoin de ces informations à mesure que vous naviguerez dans les volets de l'Assistant. 4 Utilisez les volets Langue et Clavier pour sélectionner la langue d'administration du serveur. 5 Dans le volet Compte administrateur, entrez le nom et le mot de passe de l'administrateur du serveur. Cliquez sur Continuer. 6 Dans le volet Noms réseau, entrez le nom d'hôte, d'ordinateur et Rendezvous de votre serveur. Cliquez sur Continuer. Dans cet exemple, le nom d'hôte est censé être monserveur. 7 Assurez-vous que le volet Interfaces réseau affiche toutes vos interfaces Ethernet externes et internes. Si vous devez ajouter une interface, cliquez sur Ajouter. Assurez-vous aussi que l'interface externe est la première affichée dans le volet Interfaces réseau. L'interface en tête de liste est l'interface principale ou par défaut. Le service VPN l'utilise comme réseau public et traite ainsi toutes les autres comme des réseaux privés. Cliquez sur Continuer lorsque les deux interfaces s'affichent. 8 Un volet Connexion TCP/IP apparaît pour chaque interface Ethernet. Pour l'interface externe, choisissez Manuellement dans la liste déroulante Configurer, puis entrez l'adresse IP, le masque de sous-réseau et l'adresse ou les adresses DNS que votre FAI vous a communiquées. Cliquez sur Continuer. Pour l'interface interne, tapez les valeurs suivantes et cliquez sur Continuer : Configurer : Manuellement Adresse IP :192.168.0.1 (les valeurs 192.168 sont réservées aux LAN internes) Masque de sous-réseau : 255.255.0.0130 Annexe B Exemple de configuration Routeur : 192.168.0.1 Serveurs DNS : 192.168.0.1 9 Dans le volet Utilisation du répertoire, choisissez Maître Open Directory pour configurer un répertoire LDAP maître sur le serveur. Sélectionnez Activer le contrôleur de domaine Windows principal, puis tapez le nom d'un domaine/groupe de travail. Ces paramètres définiront un PDC Windows permettant aux utilisateurs de postes de travail Windows NT, Windows 2000 et Windows XP de s'y connecter, de modifier les mots de passe pendant une session et d'avoir des profils utilisateur itinérants et des répertoires de départ réseau sur le serveur. Un compte d'utilisateur unique suffit pour ouvrir une session sur un poste de travail Windows ou un ordinateur Mac OS X et accéder au même répertoire de départ réseau. Cliquez sur Continuer. 10 Complétez les autres volets de l'Assistant, puis cliquez sur Appliquer pour lancer la configuration du serveur. Une fois la configuration terminée, le serveur redémarre automatiquement. 11 Ouvrez une session sur le serveur avec le nom d'administrateur défini dans l'Assistant du serveur. Étape 3 : Configurer le coupe-feu 1 Ouvrez l'Admin Serveur en cliquant sur son icône dans le Dock. 2 Authentifiez-vous en tant qu'administrateur du serveur. 3 Dans la liste Ordinateurs & services, cliquez sur Coupe-feu. 4 Cliquez sur Démarrer le service dans la barre d'outils. 5 Sélectionnez le groupe d'adresses IP 192.168.0.0/16, puis cochez la case Autoriser en regard des services auxquels pourront accéder les employés au bureau. Vous devez au moins sélectionner les services DNS, DHCP et NetBoot. Le groupe comprend 255 adresses IP. La notation /16 est le raccourci du masque de sous-réseau 255.255.255.0. 6 Sélectionnez le groupe d'adresses IP Quelconque, puis cochez la case Autoriser en regard des services auxquels pourront accéder les clients externes derrière le coupe-feu. 7 Cliquez sur Enregistrer. Étape 4 : Configurer le service DNS 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez DNS dans la liste Ordinateurs & services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Assurez-vous que l'option Transferts de zones n'est pas activée et que celle Récursion l'est.Annexe B Exemple de configuration 131 4 Cliquez sur Zones, puis sur le bouton Ajouter (+) sous la liste des zones afin de configurer une zone pour le réseau intranet. Tapez les valeurs suivantes, puis cliquez sur OK : Nom de zone : exemple.com. (Le point final est obligatoire.) Type : Principal SAO : monserveur.exemple.com. (Le point final est obligatoire.) E-mail admin : admin.exemple.com. (Le point final est obligatoire.) 5 Pour définir les enregistrements de la zone principale, sélectionnez-la dans la liste des zones. Vous observerez que l'enregistrement NS (serveur de noms) existe déjà. Il a été créé en même temps que la zone. Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous les enregistrements de la liste des zones afin d'ajouter un enregistrement d'adresse (A) pour votre serveur. Tapez les valeurs suivantes, puis cliquez sur OK : Mapper de : monserveur.exemple.com. (Le point final est obligatoire.) Mapper vers : 192.168.0.1 Créer un enregistrement de mappage inverse : activez cette option Ajoutez d'autres enregistrements d'adresse pour chaque périphérique intranet (autres serveurs, imprimantes, etc.) possédant une adresse IP statique. Veillez à activer l'option Créer un enregistrement de mappage inverse pour chaque enregistrement d'adresse supplémentaire. 6 Cliquez sur Enregistrer, puis sur Démarrer le service. Étape 5 : Configurer le service DHCP Ces instructions permettent de configurer un serveur DHCP fournissant aux ordinateurs des employés des adresses IP dynamiques ainsi que l'identité des serveurs DNS, LDAP et WINS à utiliser. Lorsque la stratégie de recherche d'un ordinateur client est réglée sur Automatique (à l'aide de l'application Format de répertoire sur l'ordinateur client), l'identité des serveurs DNS, LDAP et WINS est automatiquement fournie en même temps que l'adresse IP. 1 Dans Admin Serveur, assurez-vous que le service DNS est en cours d'exécution. 2 Sélectionnez DHCP dans la liste Ordinateurs & services. 3 Cliquez sur Réglages. 4 Activez l'interface Ethernet interne et sélectionnez-la. 5 Cliquez sur le bouton Modifier pour définir la plage d'adresses à affecter dynamiquement. Cette plage doit être suffisamment étendue pour prendre en charge les ordinateurs clients existants et futurs. Veillez toutefois à exclure certaines adresses (au début ou à la fin de la plage) de façon à les réserver pour les périphériques nécessitant des adresses IP statiques ou pour les utilisateurs VPN. La plupart des données sont déjà indiquées par le système. En voici quelques exemples :132 Annexe B Exemple de configuration Adresse IP de début : 198.168.0.2 Adresse IP de fin : 98.168.0.102 Masque de sous-réseau : 255.255.0.0 Routeur : 192.168.0.1 6 Cliquez sur DNS et assurez-vous que les valeurs suivantes sont affichées : Domaine par défaut : exemple.com Serveurs de noms : 198.168.0.1 7 Cliquez sur LDAP afin de configurer DHCP et identifier le serveur que vous configurez comme source des informations de répertoire pour les clients auxquels sont affectées des adresses IP dynamiques. Le serveur que vous configurez est automatiquement identifié dans le champ Nom du serveur car vous avez défini un domaine LDAP principal sur ce serveur dans l'Assistant du serveur. Les autres paramètres sont facultatifs dans cet exemple. 8 Cliquez sur WINS afin de configurer DHCP et affecter des paramètres spécifiques à Windows aux clients auxquels sont affectées les adresses IP dynamiques. Entrez les valeurs suivantes : Serveur principal WINS/NBNS : 198.168.0.1 Type de noeud NBDD : Diffusion (noeud b) 9 Cliquez sur Enregistrer, puis sur Démarrer le service. Étape 6 : Configurer le service NAT 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez NAT dans la liste Ordinateurs & services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Sélectionnez l'interface externe dans le menu contextuel Partager votre connexion depuis. 4 Cliquez sur Enregistrer, puis sur Démarrer le service. Étape 7 : Configurer le service VPN 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez VPN dans la liste Ordinateurs & services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Activez le protocole L2TP sur IPSec (Layer Two Tunneling Protocol, Secure Internet Protocol) pour les utilisateurs d'ordinateurs Mac OS X version 10.3, de postes de travail Linux ou UNIX et Windows XP. Bien qu'il soit également possible d'utiliser le protocole PPTP décrit à l'étape suivante, L2TP assure une meilleure sécurité car il s'exécute sur IPSec. Spécifiez le secret partagé en tapant une chaîne dans le champ Secret partagé IPsec. Entrez une chaîne non intuitive. Par exemple, tapez des combinaisons inhabituelles de chiffres, de symboles et de caractères majuscules et minuscules. Il est recommandé de taper une chaîne de 8 à 12 caractères.Annexe B Exemple de configuration 133 Pour limiter les connexions VPN aux membres d'un groupe, sélectionnez Restreindre l'accès au groupe, puis sélectionnez le groupe. Cliquez sur le bouton Utilisateurs & groupes pour ouvrir un tiroir à partir duquel vous pouvez faire glisser un nom de groupe vers le champ. Entrez une adresse IP de début et de fin pour indiquer les adresses que le serveur VPN peut attribuer aux clients. Évitez celles que le serveur DHCP peut affecter. Évitez également celles indiquées lorsque vous avez activé le protocole PPTP. 4 Activez le protocole PPTP (Point to Point Tunneling Protocol) si les employés doivent accéder au réseau intranet à partir de postes de travail Windows, autres que Windows XP, ou Mac OS X version 10.2 hors du bureau. Si vous devez prendre en charge les anciens clients Windows ne gérant pas le protocole PPTP 128 bits, sélectionnez Autorise les clés de cryptage 40 bits, outre celles de 128 bits. Pour limiter les connexions VPN aux membres d'un groupe, sélectionnez Restreindre l'accès au groupe, puis sélectionnez le groupe. Cliquez sur le bouton Utilisateurs & groupes pour ouvrir un tiroir à partir duquel vous pouvez faire glisser un nom de groupe vers le champ. Tapez une adresse IP de début et de fin pour indiquer les adresses que le serveur VPN peut attribuer aux clients. Évitez les adresses que le serveur DHCP est configuré pour affecter. Évitez également les adresses que vous avez spécifiées lorsque vous avez activé le protocole L2TP sur IPSec. 5 Cliquez sur Enregistrer, puis sur Démarrer le service. Étape 8 : Configurer les services de productivité L'infrastructure requise pour configurer les services de fichiers, d'imprimantes et autres services de productivité est désormais disponible. Suivez les instructions des guides d'administration respectifs indiqués à la page 9 pour configurer les services de votre choix. De nombreux services, comme celui de fichiers Apple, nécessitent une configuration minimale. Il vous suffit de les démarrer à l'aide du logiciel d'Admin Serveur. Étape 9 : Créer les comptes d'utilisateurs et les répertoires de départ 1 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail. Le répertoire LDAP Open Directory principal est automatiquement disponible pour modification. Vous ajouterez un compte pour chaque employé dans ce répertoire maître. 2 Cliquez sur le bouton Nouvel utilisateur. 3 Spécifiez les réglages de l'utilisateur dans les différents volets. Le guide de gestion des utilisateurs décrit la configuration de tous les attributs des comptes d'utilisateurs, y compris les répertoires de départ. Il décrit également la gestion des utilisateurs en configurant des comptes de groupes et d'ordinateurs et le réglage des préférences pour personnaliser les environnements de travail des clients Macintosh.134 Annexe B Exemple de configuration Le guide d'administration Windows s'intéresse principalement à l'implémentation de la prise en charge des utilisateurs Windows. Utilisez ce document en complément du guide de gestion des utilisateurs et du guide d'administration Open Directory si votre serveur doit prendre en charge les utilisateurs Windows. Étape 10 : Configurer les ordinateurs clients Les informations qui suivent s'appliquent aux ordinateurs Mac OS X version 10.3. Pour plus d'informations sur la prise en charge des ordinateurs clients Windows, consultez le guide d'administration Windows. 1 Si nécessaire, configurez les clients Mac OS X pour extraire les informations du serveur DHCP. Les ordinateurs Mac OS X version 10.3 sont préconfigurés pour obtenir des adresses au moyen du protocole DHCP et récupérer les informations relatives à un répertoire LDAP depuis le serveur DHCP. Après avoir configuré le service DHCP avec les données d'un répertoire LDAP, ces données sont automatiquement transmises aux clients Mac OS X lorsqu'ils reçoivent leurs adresses IP du serveur DHCP. Voici les réglages préconfigurés : Les préférences réseau sont configurées pour utiliser DHCP. Pour accéder à ce paramètre, sélectionnez Préférences Système, ouvrez les préférences Réseau, choisissez l'interface Ethernet interne, puis Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle ou Via DHCP dans le menu local Configurer IPv4. La politique de recherche de l'ordinateur est configurée pour être définie automatiquement. Pour accéder à ce paramètre, ouvrez Format de répertoire (dans / Applications/Utilities/), puis cliquez sur Authentification. Si l'icône de verrouillage est verrouillée, cliquez dessus et authentifiez-vous en tant qu'administrateur. Dans le menu local Rechercher, choisissez Automatique, puis cliquez sur Appliquer. L'utilisation des informations LDAP fournies par le serveur DHCP est activée. Pour accéder à ce paramètre, ouvrez Format de répertoire puis cliquez sur Services. Si l'icône de verrouillage est verrouillée, cliquez dessus et authentifiez-vous en tant qu'administrateur. Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. Cliquez sur Utiliser le serveur LDAP fourni par DHCP, puis sur OK. 2 Configurer les clients Mac OS X de façon à utiliser le serveur VPN. Ouvrez l'application Connexion à Internet (dans /Applications/), puis cliquez sur VPN dans la barre d'outils. Sélectionnez le protocole L2TP sur IPSec ou PPP, puis cliquez sur Continuer. Choisissez Modifier les configurations dans le menu local Configurations. Tapez l'adresse IP externe fournie par le FAI, le nom et le mot de passe de l'utilisateur de l'ordinateur et (pour le protocole L2TP sur IPSec) le secret partagé. Cliquez sur OK. 135 Glossaire Glossaire administrateur Utilisateur disposant d'autorisations d'administration de serveur ou de domaine de répertoires. Les administrateurs sont toujours membres du groupe “admin” prédéfini. adresse IP Adresse numérique unique identifiant un ordinateur sur Internet. adresse IP statique Adresse IP affectée de manière permanente à un ordinateur ou un périphérique. Apache Serveur HTTP en code libre intégré à Mac OS X Server. Vous trouverez des informations détaillées sur Apache à l'adresse www.apache.org. authentification Processus de certification de l'identité d'un utilisateur, typiquement basé sur la validation d'un nom et d'un mot de passe utilisateur. L'authentification précède généralement le processus d'autorisation déterminant le niveau d'accès de l'utilisateur à une ressource. Par exemple, le service de fichiers autorise l'accès total aux dossiers et fichiers que possède un utilisateur authentifié. autorisation Processus par lequel un service détermine s'il doit permettre à un utilisateur l'accès à une ressource et quel degré d'accès il doit lui accorder. L'autorisation suit généralement le processus d'authentification prouvant l'identité de l'utilisateur. Par exemple, le service de fichiers autorise l'accès total aux dossiers et fichiers que possède un utilisateur authentifié. autorisations Réglages qui définissent le type d'accès aux éléments partagés dont bénéficient les utilisateurs. Vous pouvez attribuer quatre types d'autorisations d'accès à un point de partage, un dossier ou un fichier : lecture et écriture, lecture seule, écriture seule et aucune (pas d'accès). BIND (Berkeley Internet Name Domain) Programme livré avec Mac OS X Server et permettant l'implémentation du service DNS. Ce programme est également appelé démon lorsqu'il est en cours d'exécution. BSD (Berkeley System Distribution) Version d'UNIX sur laquelle repose le logiciel Mac OS X.136 Glossaire cache des préférences Emplacement de stockage servant à héberger les préférences de l'ordinateur et celles des groupes associés à cet ordinateur. Les préférences mises en cache vous aident à gérer des comptes d'utilisateurs locaux sur des ordinateurs portables. CGI (Common Gateway Interface) Script ou programme permettant d'ajouter des fonctions dynamiques à un site Web. Un script CGI transmet les informations entre un site Web et une application au service du site. Par exemple, si un utilisateur remplit un formulaire sur le site, un script CGI enverra le message à une application qui traitera les données et renverra une réponse à l'utilisateur. chemin de recherche Voir politique de recherche. client géré Utilisateur, groupe ou ordinateur dont les autorisations d'accès et/ou les préférences sont sous le contrôle d'un administrateur. clients sans système Ordinateurs ne disposant d'aucun système d'exploitation sur leurs disques durs locaux. Les ordinateurs sans système peuvent démarrer à partir d'une image disque installée sur un serveur NetBoot. compte d'ordinateurs Liste d'ordinateurs partageant les mêmes réglages de préférences et accessibles par les mêmes utilisateurs et groupes. comptes prédéfinis Comptes d'utilisateurs créés automatiquement lorsque vous installez Mac OS X. Certains comptes de groupes sont également prédéfinis. coupe-feu Logiciel destiné à protéger les applications réseau exécutées sur votre serveur. Le service de coupe-feu IP, intégré au logiciel Mac OS X Server, examine les paquets IP entrants et les refuse ou les accepte en fonction des filtres établis. délai de bail Période limitée durant laquelle les adresses IP sont affectées. Avec des baux courts, DHCP peut réaffecter des adresses IP sur des réseaux comptant plus d'ordinateurs que d'adresses disponibles. DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) Protocole utilisé pour la répartition d'adresses IP entre les ordinateurs clients. Chaque fois qu'un ordinateur client démarre, le protocole recherche un serveur DHCP et demande une adresse IP au serveur DHCP rencontré. Ce serveur cherche une adresse IP disponible et l'envoie à l'ordinateur client accompagnée d'un délai de bail: période pendant laquelle l'ordinateur client est autorisé à utiliser l'adresse. DNS (Domain Name System) Base de données distribuée qui fait correspondre des adresses IP à des noms de domaines. Un serveur DNS, appelé également serveur de noms, conserve la liste des noms et des adresses IP associées à chaque nom. Glossaire 137 domaine de répertoire Base de données spécialisée qui stocke des informations de référence sur les utilisateurs et les ressources réseau nécessaires au logiciel système et aux applications. La base de données est optimisée pour gérer de nombreuses requêtes d'informations et trouver et obtenir rapidement ces informations. Le domaine de répertoires peut également être appelé nœud de répertoire ou simplement répertoire. domaine local Domaine de répertoires accessible uniquement à partir de l'ordinateur sur lequel il réside. DSL (digital subscriber line) Technologie de transmission de données à large bande via le réseau téléphonique. exportation Terme NFS (Network File System) désignant le partage. FAI (Fournisseur d'accès à Internet) Entreprise qui commercialise l'accès à Internet et fournit généralement un service d'hébergement de sites web pour le commerce électronique, ainsi que des services de courrier. filtre Méthode de filtrage utilisée pour contrôler l'accès à votre serveur. Un filtre est constitué d'une adresse IP, d'un masque de sous-réseau et parfois d'un numéro de port et d'un type d'accès. L'adresse IP et le masque de sous-réseau déterminent la plage d'adresses IP à laquelle s'applique le filtre. Finder simplifié Environnement utilisateur comportant tableaux et grandes icônes et qui offre aux débutants une interface conviviale et simple. Les volumes ou disques montés auxquels les utilisateurs ont accès apparaissent dans des tableaux plutôt que sur le bureau standard. FireWire Technologie matérielle pour l'échange de données avec des périphériques, définie par le standard IEEE 1394. FTP (File Transfer Protocol) Protocole permettant aux ordinateurs de transférer des fichiers sur un réseau. Les clients FTP dont le système d'exploitation gère le protocole FTP peuvent se connecter à un serveur de fichiers et télécharger des fichiers, en fonction des autorisations d'accès dont ils bénéficient. La plupart des navigateurs Internet et bon nombre d'applications gratuites peuvent être utilisés pour accéder à un serveur FTP. groupe Ensemble d'utilisateurs ayant les mêmes besoins. Les groupes simplifient l'administration des ressources partagées. groupe de travail Ensemble d'utilisateurs pour lesquels vous définissez des préférences et des autorisations de groupe. Toutes les préférences que vous définissez pour un groupe sont stockées dans le compte de groupe. groupe principal Groupe par défaut d'un utilisateur. Le système de fichiers utilise l'identifiant du groupe principal lorsqu'un utilisateur accède à un fichier dont il n'est pas le possesseur. 138 Glossaire hôte de courrier Ordinateur qui fournit le service de courrier. HTML (Hypertext Markup Language) Ensemble de symboles ou de codes insérés dans un fichier à afficher par un navigateur Web. Le balisage indique au navigateur Web comment afficher les mots et images d'une page Web pour l'utilisateur. HTTP (Hypertext Transfer Protocol) Protocole client/serveur pour le Web. Le protocole HTTP constitue pour un navigateur Web un moyen d'accès à un serveur Web et de requête de documents hypermedia HTML. IANA (Internet Assigned Numbers Authority) Organisation chargée d'attribuer des adresses IP et des paramètres de protocole, ainsi que de gérer des noms de domaines. ID utilisateur Numéro permettant d'identifier un utilisateur de manière unique. Les ordinateurs Mac OS X utilisent les identifiants d'utilisateurs pour contrôler l'appartenance de répertoires et de fichiers à un utilisateur. identifiant de groupe principal Numéro unique identifiant un groupe principal. IGMP (Internet Group Management Protocol) Protocole Internet utilisé par les hôtes et les routeurs pour envoyer des paquets à des listes d'hôtes volontaires, dans le cadre d'un processus appelé multidiffusion. Le Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) utilise l'adressage multidiffusion, de même que le protocole SLP (Service Location Protocol). image disque Une fois ouvert (à l'aide de l'utilitaire Images disques), fichier qui crée sur un bureau Mac OS une icône comparable à un véritable disque ou volume. Les ordinateurs clients peuvent, à l'aide de NetBoot, démarrer via le réseau à partir d'une image disque basée sur un serveur et contenant un logiciel système. image fantôme Fichier invisible pour les applications et le logiciel système standard et utilisé par NetBoot pour écrire des informations sur le système lorsqu'un ordinateur client fonctionne à partir d'une image disque système située sur un serveur. IMAP (Internet Message Access Protocol) Protocole client/serveur de courrier permettant aux utilisateurs de stocker leur courrier sur le serveur de courrier plutôt que de le télécharger sur l'ordinateur local. Le courrier demeure sur le serveur jusqu'à ce que l'utilisateur décide de l'effacer. installation en réseau Procédure d'installation de systèmes et de logiciels sur des ordinateurs clients Mac OS X via un réseau. L'installation de logiciels peut être effectuée sous la supervision d'un administrateur ou sans aucune surveillance. IP (Internet Protocol) Également désigné par IPv4. Méthode utilisée conjointement avec le protocole TCP (Transmission Control Protocol) pour envoyer des données d'un ordinateur à un autre via un réseau local ou via Internet. Le protocole IP envoie les paquets de données, alors que le protocole TCP se charge de leur suivi.Glossaire 139 JBoss Serveur d'applications Java gérant les applications Java 2 Platform, Enterprise Edition (J2EE). Kerberos Système d'authentification réseau sécurisé. Kerberos utilise des tickets, délivrés pour un utilisateur, un service et une période déterminés. Une fois l'utilisateur authentifié, celui-ci peut accéder à des services supplémentaires sans devoir resaisir de mot de passe (signature unique) pourvu que ces services aient été configurés pour accepter les tickets Kerberos. Mac OS X Server utilise Kerberos v5. LAN (local area network) Réseau installé au sein d'un même bâtiment, par opposition au réseau étendu (WAN, Wide Area Network), reliant des locaux géographiquement dispersés,. LDAP (Lightweight Directory Access Protocol) Protocole client/serveur standard pour accéder à un domaine de répertoires. LPR (Line Printer Remote) Protocole standard d'impression via TCP/IP. module de connexion Voir module de connexion WebDAV. module de connexion WebDAV Région d'un site Web, généralement un dossier ou un répertoire, destinée à offrir l'accès aux utilisateurs et groupes WebDAV. MTA (Mail Transfer Agent) Service de courrier qui envoie le courrier sortant, reçoit le courrier entrant à l'attention des destinataires locaux et fait suivre le courrier entrant des destinataires non locaux vers d'autres MTA. multi-adressage Capacité à gérer plusieurs connexions réseau. Lorsque plusieurs connexions sont disponibles, Mac OS X sélectionne celle adéquate en fonction de l'ordre spécifié dans les préférences réseau. MySQL Outil de gestion de bases de données relationnelles en code libre, pour les serveurs Web. NAT (Network Address Translation) Méthode de connexion de plusieurs ordinateurs à Internet (ou tout autre réseau IP) en utilisant une seule adresse IP. NAT convertit les différentes adresses IP attribuées aux ordinateurs sur le réseau privé interne en une adresse IP commune pour les communications Internet. NetInfo L'un des protocoles Apple d'accès à un domaine de répertoires. Network File System (NFS) Protocole client/serveur utilisant TCP/IP pour permettre aux utilisateurs distants d'accéder à des fichiers comme s'ils se trouvaient sur leur disque. Le service NFS exporte les volumes partagés vers les ordinateurs en fonction de l'adresse IP, plutôt que du nom et mot de passe utilisateur. nœud de répertoire Voir domaine de répertoire.140 Glossaire nom abrégé Abréviation du nom d'un utilisateur. Le nom abrégé est utilisé par Mac OS X pour les répertoires de départ, l'authentification et les adresses électroniques. nom complet Voir nom d'utilisateur. nom d'utilisateur Nom complet d'un utilisateur, parfois qualifié de réel. Voir également nom abrégé. Open Directory Architecture des services de répertoires Apple qui peut accéder à des informations de référence sur les utilisateurs et les ressources réseau à partir de domaines de répertoires utilisant les protocoles LDAP, NetInfo, ou Active Directory, les fichiers de configuration BSD et les services de réseau. ordinateur administrateur Ordinateur Mac OS X sur lequel vous avez installé les applications de serveur situées sur le CD Admin Serveur Mac OS X. ordinateur invité Ordinateur inconnu ne figurant sur aucun compte d'ordinateurs de votre serveur. PHP (PHP Hypertext Preprocessor) Langage de script incorporé au langage HTML et utilisé pour créer des pages Web dynamiques. point de partage Dossier, disque dur (ou partition de disque dur) ou CD accessible via le réseau. Un point de partage constitue le point d'accès situé au premier niveau d'un groupe d'éléments partagés. Les points de partage peuvent être partagés à l'aide des protocoles AFP, Windows SMB, NFS (exportation) ou FTP. politique de recherche Liste des domaines de répertoires parmi lesquels un ordinateur Mac OS X effectue ses recherches lorsqu'il a besoin d'informations de configuration. Désigne également l'ordre dans lequel les domaines sont pris en compte lors de la recherche. Parfois appelé “chemin de recherche”. POP (Post Office Protocol) Protocole destiné à récupérer le courrier entrant. Après récupération, le courrier est stocké sur l'ordinateur de l'utilisateur et généralement supprimé automatiquement du serveur de courrier. possesseur Personne qui a créé un fichier ou un dossier et qui, dès lors, peut attribuer aux autres utilisateurs des autorisations d'accès à ces éléments. Le possesseur d'un élément dispose automatiquement des autorisations de lecture et d'écriture pour cet élément. Il peut également en transférer la propriété à un autre utilisateur. préférences gérées Préférences système ou d'applications sous le contrôle d'un administrateur. Le Gestionnaire de groupe de travail permet aux administrateurs de contrôler les réglages de certaines préférences système pour les clients gérés Mac OS X. Le Gestionnaire Macintosh permet aux administrateurs de contrôler à la fois les préférences système et les préférences d'applications pour les clients gérés Mac OS 9 et Mac OS 8.Glossaire 141 préréglages Attributs d'origine par défaut que vous spécifiez pour les nouveaux comptes créés à l'aide du Gestionnaire de groupe de travail. Vous ne pouvez utiliser les préréglages que lors de la création d'un compte. protocole AFP (Apple Filing Protocol) Protocole client/serveur utilisé par le service de fichiers Apple sur les ordinateurs compatibles Macintosh pour partager des services de fichiers et de réseau. AFP utilise TCP/IP et d'autres protocoles pour les communications entre ordinateurs d'un réseau. QTSS (Serveur Enchaînement QuickTime) Technologie permettant de diffuser des données en temps réel sur Internet. RAID (Redundant Array of Independent Disks) Unité de disque dur qui augmente la vitesse de lecture/écriture sur disque et/ou double les données par écriture miroir. Les utilisateurs accèdent au disque RAID comme s'il s'agissait d'une seule unité, bien que celui-ci puisse être divisé en de nombreuses partitions. Rendezvous Protocole développé par Apple pour la détection automatique d'ordinateurs, de périphériques et de services sur les réseaux IP. Ce protocole Internet est parfois désigné par Configuration zéro ou Multidiffusion DNS. Pour plus d'informations, consultez le site www.apple ou www.zeroconf.org répartition de la charge Procédure de répartition entre plusieurs serveurs des demandes de services réseau provenant d'ordinateurs clients, ce qui permet d'optimiser les performances en utilisant la capacité globale de tous les serveurs disponibles. répertoire de départ Dossier destiné à l'usage personnel d'un utilisateur. Entre autres, Mac OS X utilise également le répertoire de départ pour stocker des préférences système et des réglages d'utilisateur gérés pour les utilisateurs Mac OS X. répertoire de départ local Répertoire de départ résidant sur le disque dur de l'ordinateur auquel est connecté un utilisateur. Il n'est accessible qu'en se connectant directement à l'ordinateur où il réside ou via une connexion SSH. répertoire de groupe Répertoire servant à organiser les documents et les applications d'un intérêt particulier pour les membres d'un groupe et leur permettant de s'échanger des informations. ROM de démarrage Instructions sur les exigences matérielles utilisées par un ordinateur au cours des premières étapes du démarrage. Secure Sockets Layer (SSL) Protocole permettant d'envoyer sur Internet des informations cryptées et authentifiées.142 Glossaire serveur d'applications Logiciel exécutant et gérant d'autres applications, généralement des applications Web, auxquelles vous accédez via un navigateur Web. Les applications gérées par le serveur résident sur le même ordinateur que celui-ci. serveur de noms Voir DNS (Domain Name System). serveur NetBoot Serveur Mac OS X sur lequel le logiciel NetBoot est installé et configuré pour autoriser les clients à démarrer à partir d'images disques situées sur le serveur. services de répertoire Services fournissant au logiciel système et aux applications un accès uniforme aux domaines de répertoire et autres sources d'informations sur les utilisateurs et les ressources. SMB (Server Message Block) Protocole permettant à des ordinateurs clients d'accéder à des fichiers et à des services de réseau. Il peut être utilisé via TCP/IP, Internet ou d'autres protocoles. Les services Windows utilisent le protocole SMB pour fournir l'accès aux serveurs, imprimantes et autres ressources en réseau. SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) Protocole utilisé pour envoyer et transférer du courrier. Sa capacité à placer les messages entrants en file d'attente étant limitée, il n'est généralement utilisé que pour envoyer des messages, POP ou IMAP étant utilisés pour les recevoir. SNMP (Simple Network Management Protocol) Ensemble de protocoles standard utilisés pour gérer et contrôler des périphériques réseau sur plusieurs plates-formes. sous-réseau Regroupement d'ordinateurs clients faisant partie du même réseau, structuré en fonction de l'emplacement physique (les différents étages d'un bâtiment, par exemple) ou de l'utilisation (tous les élèves d'une même classe par exemple). L'utilisation de sous-réseaux permet de simplifier les tâches d'administration. sous-réseau IP Partie d'un réseau IP, pouvant être un segment de réseau physiquement indépendant, partageant une adresse réseau avec d'autres parties du réseau et identifiée par un numéro de sous-réseau. spam Courrier non sollicité, indésirable. TCP (Transmission Control Protocol) Méthode utilisée avec le protocole IP (Internet Protocol) pour envoyer, via Internet, des données sous forme d'unités de messages entre ordinateurs. Le protocole IP se charge de gérer le transfert des données, alors que le protocole TCP effectue le suivi individuel des unités de données (paquets). Chaque message est fractionné en plusieurs unités afin d'assurer un routage efficace via Internet. Tomcat Implémentation de référence officielle de Java Servlet 2.2 et JavaServer Pages 1.1, deux technologies complémentaires développées dans le cadre de Java Community Process.Glossaire 143 tous Tout utilisateur pouvant se connecter à un serveur de fichiers : utilisateur référencé ou invité, utilisateur FTP anonyme ou visiteur d'un site Web. URL (Uniform Resource Locator) Adresse d'un ordinateur, d'un fichier ou d'une ressource accessible sur un réseau local ou sur Internet. L'adresse URL se compose du nom du protocole utilisé pour accéder à la ressource, du nom de domaine qui identifie un ordinateur spécifique sur Internet et de la description hiérarchique de l'emplacement du fichier sur l'ordinateur. USB (Universal Serial Bus) Standard de communication entre un ordinateur et des périphériques externes utilisant un câble de connexion directe bon marché. utilisateur invité Utilisateur pouvant se connecter à votre serveur sans fournir de nom ni de mot de passe. utilisateur virtuel Autre adresse électronique (nom abrégé) d'un utilisateur. Similaire à un alias, mais impliquant la création d'un nouveau compte d'utilisateur. VPN (Virtual Private Network) Réseau privé virtuel utilisant le cryptage ainsi que d'autres technologies pour fournir des communications sécurisées sur un réseau public, en général Internet. Ces réseaux sont généralement moins onéreux que des réseaux privés réels qui recourent à des lignes privées, mais s'appuient sur le même système de cryptage aux deux extrémités de la ligne. Le cryptage peut être réalisé par des logiciels de coupe-feu ou par des routeurs. WAN, Wide Area Network Réseau reliant des sites géographiquement dispersés, par opposition au réseau local (LAN, Local Area Network), installé au sein d'un même groupe de bâtiments. L'interface WAN est généralement celle connectée à Internet. WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) Environnement de création en direct permettant aux utilisateurs clients d'extraire des pages Web d'un site, de les modifier, puis de les replacer sur le site sans que ce dernier ne cesse de fonctionner. WINS (Windows Internet Naming Service) Service de résolution de noms utilisé par les ordinateurs Windows pour faire correspondre les noms des clients avec des adresses IP. Un serveur WINS peut se trouver soit sur le réseau local, soit sur Internet.145 Index Index A Active Directory 31 Admin de bureau NetBoot 60 administration d'un serveur version 10.2 62 Admin Serveur 56 ouverture et authentification 56 utilisation 57 AirPort 42 Apache 39 Apple File Service (AFP) 37 Apple LDAP 30 Apple Remote Desktop (ARD) 61 AppleTalk 32 Assistant serveur 50 automatisation de l'installation du logiciel serveur 90 automatisation de la configuration de serveur 106 B Berkeley Software Distribution (BSD) 29, 31 C cache Web 39 comptes de groupes 33 configuration de service 112 configuration serveur 65 configuration automatique utilisant des données d'un fichier 106 configuration automatisée avec des données de répertoire 109 configuration interactive de plusieurs serveurs distants 105 configuration interactive locale 101, 102 configuration interactive locale par lot 103 contrôle de l'état 112 enregistrement des données de configuration dans un fichier 95 enregistrement des données de configuration dans un répertoire 96 informations nécessaires 94 mode hors connexion 106 stockage de copies de sauvegarde des données de configuration enregistrées 97 utilisation Open Directory 98 configurer l'ordinateur administrateur 49 configurer un poste de travail non Mac OS X 49 contrôle de l'espace disque 46 contrôle de serveur 60 D Darwin 29 défilement 46 détection de services 30 diskspacemonitor (outil) 46 disques HFS journalisés 46 documentation 14 Domain Name System (DNS) 41 Dynamic Host Configuration Protocol (DHCP) 41 E exportation d'utilisateurs et de groupes 55 exporter des volumes NFS 38 F feuille de travail 117 fichiers partagés 36 fonction de reprise IP 46 format de répertoire 50 FTP (File Transfer Protocol) 38 G gestion des utilisateurs comptes de groupe 33 comptes utilisateurs 33 gestion des utilisateurs Macintosh 33 gestion des utilisateurs Windows 34 répertoires de départ 33 gestion des utilisateurs Macintosh comptes mobiles 34 gestion des préférences 33 Gestionnaire des groupes de travail utilisation 51, 52146 Index Gestionnaire Macintosh 62 guides d'administration du serveur 14 H haute disponibilité 46 I importation d'utilisateurs et de groupes 55 Inspecteur 55 installation 65 installation du logiciel serveur automatisation de l'installation 90 configuration système requise 83 informations préalables 84 installation des logiciels serveur en option 92 installation interactive à distance 88 instructions matérielles 86 mot de passe prédéfini 86 préparation des disques 85 sur un ordinateur équipé de Mac OS X version 10.3 89 utilisation de l'application Installation pour une installation locale 87 utilisation de l'outil de ligne de commande 90 installation en réseau 35 installation et configuration de la feuille de travail 117 intégration dans des réseaux existants 45 J J2EE 45 Java 40 JBoss 45 K Kerberos 32 L LDAP 30, 31 M migration 78 MySQL 40 N NAT (Network Address Translation) 42 NetBoot 35 NetInfo 30 Network Information System (NIS) 31 nouveau partage des montages NFS 38 nouveautés de la version 10.3 9 O Open Directory authentification Kerberos 32 découverte des services de réseau 32 définition 30 politiques de recherche 31 réplique LDAP 46 utilisation de répertoires Apple 30 utilisation des répertoires non Apple 31 validation de mots de passe 31 OpenLDAP 30 ouverture du Gestionnaire de groupe de travail et authentification 51 P PackageMaker 60 partage de fichiers 36 Perl 40 PHP 40 planification de l'installation définir une stratégie 81 définition d'une stratégie d'intégration 78 définition d'une stratégie de migration 78 définition de l'infrastructure matérielle 79 déterminer les services à héberger 76 disponibilité du matériel 80 identification des serveurs à mettre en place 76 infrastructures de configuration du serveur 79 mise en place d'une équipe 75 objectifs 75 recherche et organisation des informations 81 points de partage 36 points partagés 54 politiques de recherche 31 préparation des disques pour l'installation du logiciel serveur 85 préréglage 53 programme d'installation 50 Q QTSS Publisher 44 QuickTime Broadcaster 44 R RAID logiciel 46 redémarrage automatique 46 Rendezvous 32 répertoires d'accueil 33 S scenarios entreprises créatives 26 scénarios ateliers et classes K-12 22 cluster informatique 25 entreprises 20 établissements d'enseignement supérieur 21 fournisseurs de services Web 27Index 147 pme/pmi 24 scripts CGI 40 Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) 43 serveurs d'applications 44 AXIS 44 JBoss 45 SOAP 44 Tomcat 44 WebObjects 45 service d'impression 39 service de courrier authentification 40 Cyrus 40 filtres antispam et antivirus 40 Postfix 40 SquirrelMail 40 service Location Protocol (SLP) 32 service NFS (Network File System) 38 services d'images du système d'exploitation 35 services de fichier 36 services de fichiers Apple File Service (AFP) 37 File Transfer Protocol (FTP) 38 Network File System (NFS) 38 partage 36 Windows 37 services de répertoires 30 services de réseau 40 coupe-feu IP 42 DHCP 41 DNS 41 IP failover 43 NAT 42 VPN 43 services du noyau du système 29 service Web 39 service WINS (Windows Internet Naming Service) 37 shells UNIX 62 signature unique 32 sites Web dynamiques 40 SMB (Server Message Block) 32 SquirrelMail 40 SSH 62 T Terminal 62 Tomcat 44 U utilitaire d'images de réseau 60 utilitaire de disque 46 utilitaires de ligne de commande 62 V validation de mots de passe 31 validation de mots de passe "Basic" 31 validation de mots de passe Simple Authentication and Security Layer (SASL) 31 verrouillage opportuniste 37 verrouillage strict 37 Virtual Private Network (VPN) 43 W WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) 39 Windows gestion des utilisateurs 34 intégration 46 navigation 37 services de fichiers 37 Boot Camp Installation & Setup Guide2 1 Contents 3 Boot Camp 3 Introduction 4 What You Need 4 If You’ve Already Used a Beta Version of Boot Camp 5 Upgrading Windows XP to Windows Vista 5 Installation Overview 6 Step 1: Run Boot Camp Assistant 6 Creating a Partition for Windows 8 Step 2: Install Windows 9 Selecting the Windows Partition 10 Formatting the Windows Partition 11 Setting Up Windows 12 Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows 13 Starting Up Using Mac OS X or Windows 13 Setting the Default Operating System 14 Selecting an Operating System During Startup 15 Using Windows on Your Mac 15 Using an Apple Keyboard with Windows 16 Using the Function Keys on an Apple Keyboard 16 Right-Clicking 16 Scrolling with a Trackpad 17 Using an Apple Remote 18 Using Bluetooth Devices with Windows 19 Ejecting Discs 19 Setting Your Computer to Restart Automatically After a Power Failure 19 Using Third-Party Utilities 20 Removing Windows from Your Computer 21 Troubleshooting 25 Learning More, Support, and Feedback 3 1 Boot Camp Run Microsoft Windows on an Intel-based Mac computer. Introduction Boot Camp enables you to install Windows on your Intel-based Mac computer, using a Microsoft Windows install disc that you provide. Windows is installed on its own partition. After installation, you can use either Windows or Mac OS X on your Mac computer. The Boot Camp Assistant application helps you create the Windows partition and restart your Mac using your Windows installation disc. Then you can follow these instructions to install Windows and install software drivers that enable Windows to work with your Mac hardware. Important: Before you use Boot Camp Assistant, print this document. It contains information you’ll need while installing Windows. NOTICE: Make sure to back up all of your data before using Boot Camp, and regularly back up data while using the software.4 What You Need Here’s what you need to install and set up Windows on your Mac:  An Intel-based Mac computer, with:  a USB keyboard and mouse, or a built-in keyboard and trackpad  Mac OS X version 10.5 or later (the latest version of Mac OS X is strongly recommended)  a built-in optical disc drive, or, if your computer doesn’t have a built-in optical drive, a compatible external optical drive For information on using your computer with an external optical drive, see the documentation that came with your computer.  all firmware updates for your computer For information about updating your computer’s system software and firmware, see page 21.  A Mac OS X Leopard installation disc, which can be either of the following:  a Mac OS X Leopard disc (included with all purchased copies of Leopard)  a Mac OS X Install Disc 1 (included with all Macs that have Leopard preinstalled)  At least 10 GB of free space on the disk you’re installing on  Boot Camp Assistant (located in /Applications/Utilities/)  Windows XP Home Edition or Professional with Service Pack 2 or later, or Windows Vista Home Basic, Home Premium, Business, or Ultimate Important: You must use a single full-install Windows installation disc (Service Pack 2 is required for Windows XP installations). Do not use an upgrade version of Windows and do not install an earlier version of Windows XP and attempt to update it later to SP2 or later. Use only 32-bit versions of Windows. If you have a Mac Pro or a MacBook Pro introduced in early 2008 or later, you can use a 64-bit version of Windows Vista. If You’ve Already Used a Beta Version of Boot Camp If this is your first time using Boot Camp, skip this section and go to “Installation Overview” on page 5. If you’ve already installed Boot Camp Beta on your computer and used it to create a Windows partition and install Windows, you don’t need to repartition your hard disk or reinstall Windows. Follow the instructions below to install new and updated Mac drivers for Windows. Important: If you’ve customized your Windows environment, write down your settings before updating the drivers. To install new and updated Mac drivers for Windows: 1 Restart your Mac using Windows. 2 Insert your Mac OS X Leopard installation disc.5 If the installer doesn’t start automatically, browse the disc using Windows Explorer and double-click the setup.exe file in the Boot Camp directory. 3 Click Repair. Note: If you use MediaFour’s MacDrive application, you may not see the Boot Camp directory. To see it, right-click the CD drive in Windows Explorer and choose MacDrive > Show Windows Files. Upgrading Windows XP to Windows Vista You can upgrade Windows XP to Windows Vista using a licensed copy of Windows Vista Home Basic, Home Premium, Business, or Ultimate. After upgrading to Windows Vista, you must reinstall the Boot Camp drivers. To upgrade Windows XP to Windows Vista: 1 Restart your Mac using Windows. 2 Insert your Windows Vista installation or upgrade disc. 3 Follow the instructions that came with Windows Vista. 4 After completing the Windows Vista upgrade, insert your Mac OS X Leopard installation disc. If the installer doesn’t start automatically, browse the disc using Windows Explorer and double-click the setup.exe file in the Boot Camp directory. Installation Overview Installing Windows on your Mac computer involves the following steps: Step 1: Run Boot Camp Assistant. Boot Camp Assistant helps you with these tasks:  Creating a partition for Windows Boot Camp Assistant creates a partition for Windows on your computer’s startup or other internal disk.  Starting the Windows installation Boot Camp Assistant gets you started with the Windows installation. Step 2: Install Windows. Step 3: Install the Boot Camp drivers on your Windows volume. Important: Before you begin, make sure you have a backup of the important information on your computer.6 Step 1: Run Boot Camp Assistant Boot Camp Assistant helps you create a new partition for Windows and gets you started with the Windows installation. Important: If you are using a portable computer, connect the power adapter before continuing. To use Boot Camp Assistant: 1 Log in to an administrator account on your computer, quit all open applications, and log out any other users on your computer. 2 Open Boot Camp Assistant (located in /Applications/Utilities/) and follow the onscreen instructions. Refer to the following sections for more information. Creating a Partition for Windows Boot Camp Assistant helps you create a new partition for Windows on an internal disk. The assistant dynamically partitions your startup disk, creating a new partition for Windows without erasing your existing Mac OS X system. If you have a computer with multiple internal disks, you can create a second partition on any of those disks or use an entire disk for Windows. See “Creating a Partition on a Computer with Multiple Internal Disks” on page 7. When you create the Windows partition, you can choose to use 32 GB, use half of the disk for Windows, or set a custom size. The Windows partition must be at least 5 GB and leave at least 5 GB of free space on the Mac OS X partition.7 To create a partition for Windows: 1 Set the size of your Windows partition. Refer to your Windows installer documentation to help you determine the best partition size for your system. Windows Vista requires more disk space than Windows XP. Note: A partition larger than 32 GB cannot be formatted as a FAT volume. See “Formatting the Windows Partition” on page 10. 2 Click Partition. Boot Camp Assistant creates the new Windows partition. Your original Mac OS partition, with all your software and information, remains intact. You can use Boot Camp Assistant later to remove the partition if you want to restore the disk to a single-partition Mac OS X volume (see page 20). Creating a Partition on a Computer with Multiple Internal Disks If you are installing Windows on a computer with more than one internal disk, select which disk to partition for Windows. You can:  create a second partition for Windows on any internal disk  erase a non-startup disk and create a single partition for Windows If you have already partitioned a disk, you can restore it to a single Mac OS X partition. In the “Create or Remove a Windows Partition” window, select a disk to see the options available for that disk.8 Step 2: Install Windows Read and follow these instructions for installing Windows on your Mac computer. Refer to your Windows documentation for general information about installing and setting up Windows. Important: Unless you’re using a portable computer, you’ll need a USB keyboard and mouse during installation. Important: If your computer doesn’t have a built-in optical disc drive, you must install Windows and Windows drivers using a compatible external optical drive. You can install any of the following versions of Windows:  Windows XP Home Edition or Professional  Windows Vista Home Basic, Home Premium, Business, or Ultimate Important: You must use a single full-install Windows installation disc (Service Pack 2 or later is required for Windows XP installations). Do not install an earlier version of Windows XP and attempt to update it later to SP2. To install Windows on your Mac computer: 1 If you already quit Boot Camp Assistant without installing Windows: a Open Boot Camp Assistant. b Select “Start the Windows installer.” c Click Continue. 2 If you are using a computer with more than one internal disk, select the disk on which you want to install Windows, and then click Continue. 3 Insert your Windows installation disc. 4 In Boot Camp Assistant, click Start Installation.9 5 Your computer starts up from the Windows installation disc. Follow the onscreen instructions. Refer to the following sections for more information. Selecting the Windows Partition It is very important to select the correct partition when installing Windows so that you don’t overwrite Mac OS X on your computer. To select the correct partition for Windows XP: m Select “C: Partition3 [FAT32].” To select the correct partition for Windows Vista: m Select “Disk 0 Partition 3 BOOTCAMP.” NOTICE: Do not create or delete a partition, or select any partition other than as noted below. Doing so may delete the entire contents of your Mac OS X partition.10 Formatting the Windows Partition Even though Boot Camp pre-formats the Windows partition, this partition can’t be used to boot the computer. You must reformat the new Windows partition using the Windows installer. To format the partition for Windows XP: m Select an NTFS or FAT format:  NTFS—Provides better reliability and security, but you will not be able to save files to the Windows volume from Mac OS X.  FAT—Provides better compatibility, allowing you to read and write files on the Windows volume from Mac OS X. This option is available only if the Windows partition you created in Step 2 is 32 GB or smaller. Important: Do not select “Leave the current file system intact.” To successfully install Windows XP, you must select one of the other options.11 To format the partition for Windows Vista: 1 Click “Drive options (advanced).” 2 Click Format, and then click OK. 3 Click Next. The Windows Vista partition is formatted using the NTFS file system. Setting Up Windows After you install the Windows software, your computer automatically restarts using Windows. Use the Windows setup screens to configure Windows.12 Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows After installing Windows, install Mac-specific drivers and other software for Windows using your Mac OS X Leopard installation disc. The Mac OS X disc installs drivers to support Mac components, such as:  graphics  networking  audio  AirPort wireless connectivity  Bluetooth®  Built-in iSight camera (external iSight cameras aren’t supported)  Apple keyboards  Apple Remote  brightness control for built-in displays The Mac OS X disc also installs the Boot Camp control panel for Windows and the Apple Boot Camp system tray item. To install the Boot Camp drivers: 1 Eject the Windows installation disc. a Go to My Computer. b Select the optical drive (D:). c Click “Eject this disk” in the System Tasks list. 2 Insert the Mac OS X disc. If the installer doesn’t start automatically, browse the disc using Windows Explorer and double-click the setup.exe file in the Boot Camp directory. 3 Follow the onscreen instructions. If a message appears that says the software you are installing has not passed Windows Logo testing, click Continue Anyway. Windows that appear only briefly during the installation don’t require your input. If nothing appears to be happening, there may be a hidden window that you must respond to. Check the taskbar and look behind open windows. Important: Do not click the Cancel button in any of the installer dialogs. 4 After your computer restarts, follow the instructions in the Found New Hardware Wizard to update your software drivers (Windows XP only). 5 Follow the instructions for any other wizards that appear.13 Note: Periodically, Apple may provide updated Boot Camp drivers, which you can download and install using Apple Software Update. To check for updated drivers manually, go to www.apple.com/support/bootcamp. Starting Up Using Mac OS X or Windows Once you’ve installed Windows and the Boot Camp drivers, you can start using Windows on your Mac. Boot Camp makes it easy to start up your computer using either Mac OS X or Windows. You can set the default operating system for your computer using Startup Disk preferences (Mac OS X) or the Boot Camp control panel (Windows). You can also select an operating system as your computer is starting up. Setting the Default Operating System You can use the Startup Disk pane of System Preferences in Mac OS X to set the default operating system for starting up your computer. Boot Camp also installs a Boot Camp control panel that lets you set the default operating system when you’re running Windows. To set the default operating system in Mac OS X: 1 In Mac OS X, choose Apple () > System Preferences. 2 Click Startup Disk. 3 Select the startup disk with the operating system you want to use by default. 4 If you want to start up that operating system now, click Restart.14 To set the default operating system in Windows: 1 In Windows, click the Boot Camp system tray item and choose Boot Camp Control Panel. Note: Your screen may look different, depending on which computer you’re using. 2 Select the startup disk with the operating system you want to use by default. 3 If you want to start up that operating system now, click Restart. To restart in Mac OS X using the Boot Camp system tray item: m In Windows, choose “Restart in Mac OS X” from the Boot Camp system tray item. Restarting in Mac OS X using the Boot Camp system tray item also sets the default operating system to Mac OS X. Selecting an Operating System During Startup You can select which operating system to use during startup by holding down the Option key. This displays icons for all available startup disks, and lets you override the default setting for the startup disk in Startup Disk preferences (Mac OS X) or the Boot Camp control panel (Windows) without changing that setting.15 To select an operating system during startup: 1 Restart your computer and hold down the Option key until disk icons appear onscreen. 2 Select the startup disk with the operating system you want to use, and then click the arrow beneath the icon. Using Windows on Your Mac The following sections provide information about running Windows on a Macintosh computer. If you’re not already familiar with how to use Windows, refer to the documentation that came with your Windows software. Using an Apple Keyboard with Windows Boot Camp sets the keys on your Apple keyboard to emulate a standard PC keyboard. This enables Control-Alt-Delete, Print Screen, and other common key commands to work with Windows. The following table tells you how to type PC key commands on an external Apple Keyboard, Apple Wireless Keyboard, and Mac portable computer built-in keyboards. For details, see: docs.info.apple.com/article.html?artnum=304270 PC key command Apple Keyboard Portable Mac built-in keyboard/ Apple Wireless Keyboard Control-Alt-Delete Control-Option-Delete ;1 Control-Option-Delete Alt Option Option AltGr Control-Option Control-Option Backspace Delete Delete Delete Delete ;1 Fn-Delete Enter Return Return Enter (numeric keypad) Enter Enter (with some built-in keyboards only)2 Insert Fn-Enter or Help Fn-Enter Num lock Clear Fn-F6 (with some built-in keyboards only) Pause/Break F16 Fn-Esc Print Screen F14 Fn-Shift-F11 Print active window Option-F14 Fn-Shift-Option-F11 Scroll/Lock F15 Fn-F12 Windows Command (x) Command (x) 1 Use the Delete key above the navigation keys. 2 Some Mac portable computers have a group of keys with small numbers on them that can be used as a numeric keypad. To use these keys as a keypad, press the F6 key to engage Num Lock, or hold down the Fn key while you press the keys in the keypad.16 Using the Function Keys on an Apple Keyboard Pressing function keys (F1–F12) on Mac portable built-in keyboards and on newer external Apple keyboards controls hardware features, such as volume, display brightness, and, on some keyboards, media playback. By holding down the Fn key as you press function keys, you can also use them to trigger application-specific software features. For example, if you open iTunes and press Fn-F1, iTunes Help opens. You can set the keyboard so that the function keys control application-specific features without pressing Fn. You then hold down Fn to use the function keys to control hardware features. To set whether the function keys control hardware or software features: 1 In Windows, click the Boot Camp system tray item and choose Boot Camp Control Panel. 2 Click the Keyboard tab. 3 Select or deselect “Use the F1–F12 keys to control software features.” Right-Clicking You can right-click when running Windows on your Mac using an Apple Mighty Mouse. If you are using a Mac portable computer, you can also right-click using the trackpad. To right-click using a Mighty Mouse: m Click the upper-right side of the mouse. To right-click using a trackpad: m Place two fingers on the trackpad and click the trackpad button. Scrolling with a Trackpad If you are using a Mac portable computer, you can use two fingers to scroll with the trackpad. To scroll using a trackpad: m Move two fingers on the trackpad simultaneously, vertically or horizontally. 17 Using an Apple Remote If your computer is equipped with a built-in infrared receiver, you can use an Apple Remote to control iTunes and Windows Media Player (not included with Boot Camp). The remote lets you change the sound volume, start or pause playback, and skip to the next or previous item. You can also use the remote to open iTunes in Windows. To open iTunes using an Apple Remote: m Press the Menu button. If iTunes is already open, you can press the Menu button to bring iTunes to the front. The Apple Remote uses an infrared transmitter, and works with Mac computers that have an infrared receiver. If the remote has an unobstructed line of sight to the receiver, it can work at a distance of up to 30 feet. Pairing Your Computer with an Apple Remote If you have more than one infrared-equipped computer at the same location, you can “pair” each computer with a specific Apple Remote. Otherwise, the computer takes commands from any remote within range. Pairing sets the computer to take commands only from the specified remote. You can pair your computer with only one remote at a time. To pair your computer with a remote: 1 Hold the remote close to the computer (3 to 4 inches) and point the remote at the front of the computer. 2 Press and hold both » and ‘ on the remote for about 5 seconds, until a chain link ( ) symbol appears onscreen. Unpairing Your Computer from an Apple Remote Pairing your computer with a remote tells the computer to take commands only from the specified Apple Remote. You can pair your computer with only one remote at a time. If you’ve paired your computer with an Apple Remote, you must unpair the computer before you can use the computer with a different remote. To unpair your computer from an Apple Remote: 1 In Windows, open the Boot Camp control panel and click the Remote tab. 2 Click Unpair.18 Disabling Remote Control You can use the Boot Camp control panel to disable the infrared receiver and prevent remote control of your computer. To disable the infrared receiver: 1 In Windows, open the Boot Camp control panel and click the Remote tab. 2 Select the “Disable remote control infrared receiver” checkbox. To turn infrared reception back on, deselect the option. Using Bluetooth Devices with Windows Before you can use a Bluetooth wireless device with Windows on your Mac, you must pair the device with your computer while running Windows. To pair a wireless Mighty Mouse or Apple keyboard with your Mac: 1 In Windows, open the Bluetooth Devices control panel. 2 In the Devices pane, click Add. 3 Follow the Bluetooth Device Wizard to set up your device. a To make your Apple wireless device discoverable, turn the device off and then on again. b In the passkey pane, select “Let me choose my own passkey” and enter a numeric code. Wireless Mighty Mouse: Enter four zeros (“0000”). Apple Wireless Keyboard: Enter six to sixteen digits. Passkeys for wireless devices are used to encrypt the information transmitted from the devices to your computer. You don’t need to remember the passkey.19 Ejecting Discs You can eject a CD or DVD using the Eject (C) key on an Apple keyboard. If your computer has an optical drive with a tray, use the Eject key to open or close the tray. You can also eject a disc by using Windows Explorer. To eject a disc, do one of the following: m Press and hold the Eject key on your Apple keyboard until the eject (C) symbol appears onscreen. m Right-click the disc icon in Windows Explorer and choose Eject from the menu that appears. m Select the disc icon in Windows Explorer and click Eject. m Hold down the primary mouse button as you start up your computer, until the disc ejects. If you have a Mac Pro computer, you can press Option-Eject to open or close the tray of an optional second optical drive. Setting Your Computer to Restart Automatically After a Power Failure Setting your computer to restart automatically after a power failure might be useful if you need to access your computer remotely. To set your computer to restart automatically after a power failure: 1 Click the Boot Camp system tray item and choose Boot Camp Control Panel. 2 Click the Power tab. 3 Select “Restart automatically after a power failure.” Using Third-Party Utilities Before installing and using a third-party disk utility for Windows, check with the vendor to make sure the utility is compatible with Boot Camp. NOTICE: Data loss can occur when using a disk utility that is not compatible with Boot Camp.20 Removing Windows from Your Computer How you remove Windows from your computer depends on whether you installed Windows on a single-volume disk or on a second disk partition. If you installed Windows on a second disk partition: Using Boot Camp Assistant as described below, remove Windows by deleting the Windows partition and restoring the disk to a single-partition Mac OS X volume. If your computer has multiple disks and you installed Windows on a disk that has only one partition: Start up in Mac OS X and use Disk Utility, in /Applications/Utilities, to erase the disk and reformat it as a Mac OS X volume. To delete Windows and the Windows partition: 1 Start up in Mac OS X. 2 Quit all open applications and log out any other users on your computer. 3 Open Boot Camp Assistant. 4 Select “Create or remove a Windows partition” and click Continue. 5 Do one of the following:  If your computer has a single internal disk, click Restore.  If your computer has multiple internal disks, select the disk with Windows on it, and then select “Restore to a single Mac OS partition” and click Continue. NOTICE: Make a backup of the important information on your computer before removing Windows. Windows software and all other information on the Windows partition will be erased.21 Troubleshooting If you’re having trouble partitioning a disk, using Boot Camp Assistant, or installing or running Windows on your Mac, check this section for possible solutions. For more troubleshooting information Go to www.apple.com/support/bootcamp. If Boot Camp Assistant won’t open because you haven’t updated your firmware or system software Boot Camp requires that you have Mac OS X v10.5 or later, and the latest firmware, installed on your computer. Some computers may require more than one firmware update. To update your computer’s system software: 1 From the Apple menu, choose Software Update. 2 If an update for Mac OS X appears in the list, select it. 3 Click Install. To update your computer’s firmware: 1 Go to www.apple.com/support/downloads. 2 Search for the firmware updates for your computer. For example, search for “Mac mini firmware update.” Important: Some computers may require more than one firmware update. See docs.info.apple.com/article.html?artnum=303880 for the current updates available for your computer. 3 Download all applicable firmware update packages. 4 Open each package and follow the onscreen instructions. If you can’t partition your disk In order to partition your disk and install Windows using Boot Camp Assistant, the disk must be a single partition, formatted as a Mac OS X Extended (Journaled) volume. If you have already partitioned your disk using Disk Utility or some other utility, you cannot use Boot Camp Assistant until you restore your disk to a single-partition Mac OS X volume. Boot Camp Assistant works only with internal disks. You cannot use Boot Camp Assistant to partition and install Windows on an external disk. 22 If a dialog appears saying “The disk cannot be partitioned because verification failed,” try repairing the disk using Disk Utility and running Boot Camp Assistant again. If that doesn’t work, back up all the information on your computer, start up from your Mac OS X Leopard installation disc, and erase the disk using Disk Utility. Restore the information to your computer from the backup and try running Boot Camp Assistant again. If you made the Windows partition too small First, back up all the information on your Windows partition. Then run Boot Camp Assistant to restore your disk to a single volume. Restart your computer and use Boot Camp Assistant to partition the disk again and reinstall Windows. Don’t forget to install the Boot Camp drivers after installing Windows. If you get a message saying “Installer Disc Not Found” when you try to install Windows Make sure you’re logged in to Mac OS X as an administrator. If the Windows installer isn’t responding If you’re using an Apple Mighty Mouse, the Windows installer may not respond if the mouse is connected directly to your computer. Connect the Mighty Mouse to the USB port on your keyboard. If Windows didn’t install properly Verify that you are using an original, full version of Windows XP Home Edition or Professional with Service Pack 2 or later, or Windows Vista Home Basic, Home Premium, Business, or Ultimate. Media Center, OEM, and upgrade versions of Windows XP are not recommended. Restart your computer and hold down the Option key until one or more disk icons appear on your screen. Insert the Windows installation disc. Select the Windows installation disc icon and then click the arrow beneath it. Quickly press any key on your keyboard to start the installer. Follow the onscreen instructions to repair or reinstall Windows. If you installed MediaFour MacDrive and you can’t find the Boot Camp drivers on the Mac OS X Leopard installation disc In Windows Explorer, right-click the CD drive and choose MacDrive > Show Windows Files. If the Boot Camp drivers weren’t successfully installed If it appears that the Boot Camp drivers weren’t successfully installed, try repairing them.23 To repair Boot Camp drivers: 1 Start up your computer in Windows. 2 Insert your Mac OS X Leopard installation disc. 3 If the installer doesn’t start automatically, browse the disc using Windows Explorer and double-click the setup.exe file in the Boot Camp directory. 4 Click Repair and follow the onscreen instructions. If a message appears that says the software you are installing has not passed Windows Logo testing, click Continue Anyway. If you need to reinstall specific drivers, you can install one driver at a time. For example, if your built-in iSight camera isn’t working, you can reinstall just the iSight driver. Individual drivers are in the Drivers folder on the Mac OS X Leopard installation disc. To reinstall a specific driver: 1 Insert your Mac OS X Leopard installation disc. 2 Quit AutoRun if it opens. 3 Using Windows Explorer, locate the driver that you want to reinstall. 4 Open the driver to start the installation. If you can’t eject a CD or DVD Most Apple keyboards have an Eject (C) key that ejects optical discs. To eject a CD or DVD: m Press and hold the Eject key until the eject (C) symbol appears onscreen. The Eject key on Apple keyboards works in Windows only after you have installed the Boot Camp drivers. See “Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows” on page 12. You must be logged in to a user account to use the Eject key. The Eject key does not work when the Welcome Screen is displayed. If your keyboard doesn’t have an Eject key, you can eject a disc using Windows Explorer. Select the disc and click Eject. If you’re still having trouble ejecting the disc, click and hold down the primary mouse button as you restart your computer, until the disc ejects. If your computer doesn’t always show the correct date and time You must have an active Internet connection in order to maintain the correct date and time when going between Mac OS X and Windows. If you are not connected to the Internet, you need to set the date and time manually when you change operating systems.24 If you can’t adjust the brightness of your display You can adjust the brightness of Mac portable computer displays using function keys on the keyboard. Press the F1 key to dim the display, or the F2 key to brighten it. Or, if you have an Apple keyboard with brightness symbols on the F1 and F2 keys, you can use them. If the brightness keys don’t appear to work, try pressing and holding the Fn key while pressing the F1 or F2 key. If that doesn’t work, make sure you’ve installed the Boot Camp drivers. See “Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows” on page 12. If you can’t adjust the sound volume You can adjust the sound volume in Windows by using the volume keys on your Apple keyboard. Press Volume Down (–) to lower the volume or Volume Up (-) to increase it. To mute the volume, press Mute (—). If the volume keys don’t appear to work, make sure you’ve installed the Boot Camp drivers. See “Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows” on page 12. If the Windows desktop doesn’t fill the entire screen If the Windows desktop doesn’t fill the entire screen, make sure you’ve installed the Boot Camp drivers. See “Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows” on page 12. If you installed the drivers and the desktop still doesn’t fill the entire screen, increase the desktop resolution setting in the Display control panel. If the screen is blank or distorted Some graphics cards may not work with both Mac OS X and Windows on a Mac computer. If you’re having trouble with your screen display when using Windows, try the following:  Use the graphics card that came with your Mac.  Make sure you’ve installed the Boot Camp drivers. See “Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows” on page 12.  Adjust the screen resolution setting in the Display control panel. If you can’t rename the Windows partition If you installed Windows XP on an NTFS partition, or you installed Windows Vista, you can only rename the Windows partition in Windows. Start up in Windows and rightclick the C: drive in Windows Explorer. Then type a name. If you have a RAID configuration RAID configurations using Boot Camp are not supported. For more information, go to www.apple.com/support/bootcamp and search for “RAID.”Learning More, Support, and Feedback For more information about Boot Camp, go to www.apple.com/bootcamp. For Boot Camp support, go to www.apple.com/support/bootcamp. Apple welcomes your feedback on Boot Camp. To submit feedback, go to www.apple.com/macosx/feedback. Apple does not provide support for installing or running Microsoft Windows software. To find help for Windows issues, go to www.microsoft.com/windows. © 2008 Apple Inc. All rights reserved. Apple, the Apple logo, AirPort, FireWire, iSight, Mac, MacBook, and Mac OS are trademarks of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. Leopard is a trademark of Apple Inc. The Bluetooth® word mark and logos are registered trademarks owned by Bluetooth SIG, Inc. and any use of such marks by Apple Inc. is under license. Intel, Intel Core, and Xeon are trademarks of Intel Corp. in the U.S. and other countries. Mighty Mouse™ & © 2007 CBS Operations Inc. All rights reserved. Other company and product names mentioned herein may be trademarks of their respective companies. 019-1178 2008-01 Installation de votre logiciel Les informations ci-après vous permettent d’utiliser rapidement DVD Studio Pro et abordent les rubriques suivantes :  À propos du contenu du coffret DVD Studio Pro (p. 2)  À propos de l’aide à l’écran (p. 3)  Mise à niveau de Mac OS X et de QuickTime (p. 4)  Installation de DVD Studio Pro sur système Mac OS X 10.3 (Panther) (p. 5)  Installation de DVD Studio Pro sur système Mac OS X 10.4 (Tiger) (p. 8)  Enregistrement de DVD Studio Pro (p. 10)  Comment entrer en contact avec l’assistance AppleCare (p. 11) Veillez également à examiner le document À lire avant d’installer DVD Studio Pro 4 qui se trouve sur le disque d’installation de DVD Studio Pro 4. Pour connaître les toutes dernières informations sur DVD Studio Pro, rendez-vous sur le site Web de DVD Studio Pro à l’adresse http://www.apple.com/fr/dvdstudiopro. F42938INS Page 1 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM2 À propos du contenu du coffret DVD Studio Pro Votre coffret DVD Studio Pro contient le logiciel et la documentation permettant d’enrichir votre production audio et vidéo. DVD Studio Pro 4 Installation Disc Ce disque contient l’ensemble des fichiers nécessaires à l’installation de DVD Studio Pro 4 et Compressor 2. Il comprend également les fichiers et répertoires suivants :  À lire avant d’installer DVD Studio Pro 4 : ce document contient des informations sur la configuration requise et les actions à prendre avant d’installer les applications et utilitaires qui l’accompagnent. Assurez-vous de l’avoir bien lu avant d’installer DVD Studio Pro 4.  Icône d’installation de DVD Studio Pro 4 : double-cliquez sur cette icône pour lancer le processus d’installation.  Icône d’installation du contenu de DVD Studio Pro : vous pouvez double-cliquer dessus pour commencer le processus d’installation des modèles et transitions de DVD Studio Pro si vous n’aviez pas souhaité les installer lors de l’installation initiale de DVD Studio Pro.  Dossier Documentation : il contient le document PDF Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro ainsi qu’un dossier Compressor dans lequel vous trouverez les documents PDF Manuel de l’utilisateur de Compressor et Manuel de l’utilisateur de Apple Qmaster. Chacun de ces documents comprend une page d’accueil avec des liens vers des fichiers PDF supplémentaires, comme Nouvelles fonctionnalités et des liens vers des sites Web connexes d’Apple. Vous trouverez également dans ce dossier Documentation une version PDF du présent document Installation de votre logiciel.  Dossier Extras : il contient les programmes d’installation du système de traitement distribué Apple Qmaster que vous utilisez lors de la configuration d’un réseau d’encodage distribué. Suivez le lien de Configuration de traitement distribué sur la page d’accueil de Manuel de l’utilisateur de Compressor pour obtenir des informations sur l’installation et la configuration de Apple Qmaster. Le dossier Extras contient également une icône d’installation du contenu de DVD Studio Pro. Vous pouvez double-cliquer dessus pour commencer le processus d’installation des modèles et transitions DVD Studio Pro si vous n’aviez pas souhaité les installer lors de l’installation initiale de DVD Studio Pro.  Dossier Modèles de films d’introduction : il comprend de la documentation ainsi que les versions NTSC et PAL de différents films que vous pouvez utiliser avec les modèles Apple proposés dans DVD Studio Pro. Version imprimée de la documentation Ce coffret contient le Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro 4. Ce document fournit des informations sur le processus de création de DVD, la planification de votre projet, la préparation des ressources et l’utilisation de DVD Studio Pro. F42938INS Page 2 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM3 À propos de l’aide à l’écran L’aide à l’écran (accessible à partir du menu Aide) permet d’accéder directement aux informations à l’écran, lorsque vous utilisez DVD Studio Pro et Compressor. Vous pouvez également y consulter les manuels de l’utilisateur à l’écran ainsi que des liens vers d’autres documents et sites Web connexes d’Apple. Manuels à l’écran de l’utilisateur Vous pouvez accéder aux manuels à l’écran de l’utilisateur de DVD Studio Pro et Compressor à partir du menu d’Aide de chaque application. Pour accéder au manuel à l’écran de l’utilisateur d’une application : m Dans l’application concernée, choisissez Manuel de l’utilisateur dans le menu d’Aide. Informations de dernière minute Vous retrouverez aussi bien dans DVD Studio Pro que dans Compressor un document Informations de dernière minute contenant des indications sur les problèmes rencontrés avec les matériels et logiciels tierce partie ainsi que sur d’autres problèmes connus. Vous pouvez y accéder à partit du menu d’Aide. Remarque : pour pouvoir télécharger un document d’Informations de dernière minute, vous devez être connecté à Internet. Pour accéder au document Informations de dernière minute d’une application : m Dans l’application, sélectionnez Aide > Informations de dernière minute. Un fichier PDF de la version actuelle des Informations de dernière minute de l’application se télécharge alors sur votre disque dur puis s’ouvre dans l’application Aperçu. Nouvelles fonctionnalités Vous retrouverez aussi bien pour DVD Studio Pro que pour Compressor un document intitulé Nouvelles fonctionnalités reprenant toutes les fonctionnalités ajoutées et améliorées par rapport à la version précédente. Ces informations sont également disponibles dans la section Nouvelles fonctionnalités de l’aide à l’écran. Pour accéder au document Nouvelles fonctionnalités d’une application : m Dans l’application, sélectionnez Aide > Nouvelles fonctionnalités. F42938INS Page 3 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM4 Mise à niveau de Mac OS X et de QuickTime Vous pouvez installer DVD Studio Pro 4 sur un ordinateur utilisant Mac OS X 10.3 (Panther) ou Mac OS X 10.4 (Tiger). Avant d’installer DVD Studio Pro, mettez à jour votre logiciel système pour vous assurer que vous bénéficiez bien de la dernière version de Panther ou Tiger. Vous devez également mettre á niveau QuickTime vers la dernière version. QuickTime est un produit de référence dans la manipulation de vidéo numérique et est requis par DVD Studio Pro. Remarque : pour connaître la configuration logicielle minimale requise, consultez le document À lire avant d’installer DVD Studio Pro 4 se trouvant sur le disque d’installation de DVD Studio Pro. Pour mettre à jour votre logiciel système : 1 Sélectionnez le menu Pomme > Mise à jour de logiciels. Une zone de dialogue affiche alors les nouveaux logiciels ou les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. 2 Si nécessaire, suivez les instructions à l’écran pour mettre à jour Mac OS X et QuickTime et obtenir ainsi les dernières versions. Remarque : si vous n’avez pas mis à jour votre logiciel système ou QuickTime depuis un certain temps, il sera peut-être nécessaire de répéter cette opération plusieurs fois pour installer les dernières versions de Mac OS X et QuickTime. Important : l’installation de DVD Studio Pro 4 et la saisie du numéro de série débloquent automatiquement les capacités multimédia étendues de QuickTime Pro 7. F42938INS Page 4 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM5 Installation de DVD Studio Pro sur système Mac OS X 10.3 (Panther) Lorsque vous installez DVD Studio Pro, ses composants sont placés dans le dossier Applications sur votre disque dur de démarrage. Remarque : avant d’installer le logiciel, vous devez vous connecter à votre ordinateur en tant qu’administrateur. Pour cela, vous devez taper le mot de passe administrateur. Pour plus d’informations, consultez la section “À propos de l’installation du logiciel et de l’enregistrement des fichiers” à la page 10. Important : l’installation de DVD Studio Pro doit se faire en deux étapes : la première est celle de l’installation de DVD Studio Pro et la seconde celle de l’installation du contenu complémentaire qui comprend notamment les modèles et transitions. Pour installer DVD Studio Pro et saisir le numéro de série : 1 Insérez le disque d’installation DVD Studio Pro 4 dans le lecteur DVD de votre ordinateur. 2 Double-cliquez sur l’icône d’installation DVD Studio Pro 4, puis suivez les instructions à l’écran. 3 Le programme d’installation exécute alors un programme pour déterminer si DVD Studio Pro peut être installé. Cliquez sur Continuer. 4 Lisez les informations de bienvenue, puis cliquez sur Continuer. 5 Lisez le Contrat de licence de logiciel, cliquez sur Continuer, puis sur Accepter. 6 Dans la zone de dialogue de licence, saisissez vos nom et prénom. Il n’est pas obligatoire de remplir le champ Entreprise. 7 Dans le champ de numéro de série, tapez le numéro de série de DVD Studio Pro figurant en couverture de ce document, puis cliquez sur OK. Prenez soin de recopier le numéro de série d’origine se trouvant sur l’étiquette apposée en couverture du présent document. Assurez-vous qu’il n’y a pas d’erreurs dans le champ de numéro de série. Veillez à ne pas confondre les caractères 0 (zéro) et O, 1 et L minuscule, le cas échéant. Vous devez également saisir les tirets figurant sur le numéro de série. Vérifiez qu’il n’y a pas d’espaces avant ou après le numéro de série. Remarque : si vous évoluez depuis une version antérieure de DVD Studio Pro, le programme d’installation recherche un numéro de série de DVD Studio Pro. S’il n’en trouve pas, vous êtes alors invité à le saisir. Important : veillez à saisir le numéro de série du logiciel et non l’identifiant d’assistance. Avertissement : si votre système ne répond pas à la configuration minimale requise, vous ne pourrez pas installer DVD Studio Pro. Consultez le document À lire avant d’installer DVD Studio Pro 4 se trouvant sur le disque d’installation de DVD Studio Pro 4 pour obtenir les détails de la configuration minimale requise. F42938INS Page 5 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM6 8 Sélectionnez le disque de démarrage, puis cliquez sur Continuer. Votre disque de démarrage doit disposer de la dernière version de Panther. 9 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour effectuer une installation simple, cliquez sur Installer ou sur Mettre à niveau.  Pour procéder à une installation personnalisée, cliquez sur le bouton Personnaliser et sélectionnez les éléments facultatifs que vous souhaitez installer, puis cliquez sur Installer ou sur Mettre à niveau. Important : si vous envisagez d’importer des fichiers de projet iDVD (à partir de iDVD 3 ou iDVD 4), iDVD doit être installé sur votre système ainsi que les correctifs d’iDVD. Remarque : l’installation de correctifs iDVD remplace les fichiers de correctif iDVD existants. Ces correctifs ne visent pas améliorer le fonctionnement d’iDVD ; ils servent uniquement à en augmenter les fonctionnalités pour pouvoir ouvrir des projets iDVD dans DVD Studio Pro. Important : il se peut d’ailleurs que vous constatiez la présence de l’option de mise à niveau sur des ordinateurs où aucune version de DVD Studio Pro n’a été installée auparavant. C’est parce que le programme d’installation a pu détecter sur votre ordinateur au moins un fichier commun aux fichiers à installer, ce qui est normal. 10 Une zone de dialogue vous invite alors à vous identifier en saisissant un nom et un mot de passe. Cliquez sur OK lorsque vous avez terminé. Le programme d’installation indique son état sur une barre de progression. Une zone de dialogue vous informe ensuite lorsque l’installation est terminée. Une fois DVD Studio Pro et Compressor installés, le programme d’installation du contenu se lance. Le contenu comprend notamment les modèles et transitions de DVD Studio Pro 3 et DVD Studio Pro 4. Remarque : les modèles et transitions de DVD Studio Pro 3 comprennent également ceux de DVD Studio Pro 2. F42938INS Page 6 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM7 Si vous ne souhaitez pas installer le contenu de DVD Studio Pro, sélectionnez Programme d’installation > Quitter l’installation (ou appuyez sur Commande + Q) pour quitter le programme d’installation. Cela vous permet de fermer le programme d’installation sans installer les fichiers de contenu, vous pouvez dès lors commencer à utiliser DVD Studio Pro et Compressor. Consultez le document intitulé Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro 4 et Manuel de l’utilisateur de Compressor 2 pour plus d’informations. Remarque : vous pouvez installer les fichiers de contenu ultérieurement à l’aide de l’icône d’installation de contenu DVD Studio Pro 4 se trouvant sur le disque d’installation de DVD Studio Pro 4. Pour installer le contenu de DVD Studio Pro : 1 Le programme d’installation exécute un programme pour déterminer si DVD Studio Pro peut être installé. Cliquez sur Continuer. 2 Lisez les informations de bienvenue, puis cliquez sur Continuer. 3 Lisez le Contrat de licence de logiciel, cliquez sur Continuer, puis sur Accepter. 4 Sélectionnez le disque sur lequel vous souhaitez installer le contenu. Contrairement à l’application, vous n’êtes pas obligé de choisir votre disque de démarrage. 5 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour effectuer l’installation sur l’emplacement par défaut, cliquez sur Continuer. L’emplacement par défaut étant /[Disque de démarrage]/Bibliothèque/Application Support/DVD Studio Pro/Apple.  Pour procéder à une installation sur un emplacement personnalisé, cliquez sur le bouton Choisir, sélectionnez le dossier de destination de votre choix, cliquez sur Ouvrir puis sur Continuer. 6 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour effectuer une installation simple, cliquez sur Installer ou sur Mettre à niveau.  Pour procéder à une installation personnalisée, cliquez sur le bouton Personnaliser et sélectionnez les éléments facultatifs que vous souhaitez installer, puis cliquez sur Installer ou sur Mettre à niveau. 7 Une zone de dialogue vous invite alors à vous identifier en saisissant un nom et un mot de passe. Cliquez sur OK lorsque vous avez terminé. Le programme d’installation indique son état sur une barre de progression. Une zone de dialogue vous informe ensuite lorsque l’installation est terminée. DVD Studio Pro et Compressor sont maintenant installés. Consultez le document intitulé Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro 4 et Manuel de l’utilisateur de Compressor 2 pour plus d’informations. F42938INS Page 7 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM8 Installation de DVD Studio Pro sur système Mac OS X 10.4 (Tiger) Lorsque vous installez DVD Studio Pro, ses applications sont placées dans le dossier Applications de votre disque dur de démarrage.Vous pouvez également choisir d’installer ou non le contenu de DVD Studio Pro 4 que vous pouvez installer sur l’emplacement par défaut, ou le dossier de destination de votre choix. Remarque : avant d’installer le logiciel, vous devez vous connecter à votre ordinateur en tant qu’administrateur. Pour cela, vous devez taper le mot de passe administrateur. Pour plus d’informations, consultez la section “À propos de l’installation du logiciel et de l’enregistrement des fichiers” à la page 10. Pour installer DVD Studio Pro et saisir le numéro de série : 1 Insérez le disque d’installation de DVD Studio Pro 4 dans le lecteur DVD de votre ordinateur. 2 Double-cliquez sur l’icône d’installation DVD Studio Pro 4, puis suivez les instructions à l’écran. 3 Le programme d’installation exécute alors un programme pour déterminer si DVD Studio Pro peut être installé. Cliquez sur Continuer. 4 Lisez les informations de bienvenue, puis cliquez sur Continuer. 5 Lisez le Contrat de licence de logiciel, cliquez sur Continuer, puis sur Accepter. 6 Sélectionnez le disque de démarrage, puis cliquez sur Continuer. Votre disque de démarrage doit disposer de la dernière version de Tiger. 7 Dans la zone de dialogue de licence, saisissez vos nom et prénom. Il n’est pas obligatoire de remplir le champ Entreprise. 8 Dans le champ de numéro de série, saisissez le numéro de série de DVD Studio Pro figurant en couverture de ce document, puis cliquez sur Continuer. Prenez soin de recopier le numéro de série d’origine se trouvant sur l’étiquette apposée en couverture du présent document. Assurez-vous qu’il n’y a pas d’erreurs dans le champ de numéro de série. Veillez à ne pas confondre les caractères 0 (zéro) et O, 1 et L minuscule, le cas échéant. Vous devez également saisir les tirets figurant sur le numéro de série. Vérifiez qu’il n’y a pas d’espaces avant ou après le numéro de série. Remarque : si vous évoluez depuis une version antérieure de DVD Studio Pro, le programme d’installation recherche un numéro de série de DVD Studio Pro. S’il n’en trouve pas, vous êtes alors invité à le saisir. Important : veillez à saisir le numéro de série du logiciel et non l’identifiant d’assistance. La fenêtre d’Installation standard s’affiche. Avertissement : si votre système ne répond pas à la configuration minimale requise, vous ne pourrez pas installer DVD Studio Pro. Consultez le document À lire avant d’installer DVD Studio Pro 4 se trouvant sur le disque d’installation de DVD Studio Pro 4 pour obtenir les détails de la configuration minimale requise. F42938INS Page 8 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM9 9 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Cliquez sur Installer ou Mettre à niveau pour effectuer une installation simple comprenant les applications et le contenu de DVD Studio Pro (installé à l’emplacement /[Disque de démarrage]/Bibliothèque/Application Support/DVD Studio Pro/Apple).  Cliquez sur Personnaliser pour n’installer que les éléments sélectionnés. Dans la fenêtre d’Installation personnalisée, sélectionnez les applications et le contenu à installer. Si vous choisissez d’installer le contenu multimédia de DVD Studio Pro, vous pouvez personnaliser l’emplacement dans lequel stocker les fichiers. Lorsque vous avez configuré la fenêtre d’Installation personnalisée, cliquez sur Installer ou Mettre à niveau. Remarque : il se peut que vous deviez agrandir la fenêtre et la colonne de Nom du paquet pour voir le nom complet de certains éléments dans leur intégralité. Le contenu de DVD Studio Pro comprend une icône de dossier dans la colonne Emplacement. Cliquez sur le dossier et choisissez Autre dans le menu local pour choisir un emplacement personnalisé pour le contenu de DVD Studio Pro. Important : il se peut que vous constatiez la présence de l’option de mise à jour sur des ordinateurs où aucune version de DVD Studio Pro n’a jamais été installée. C’est parce que le programme d’installation a pu détecter sur votre ordinateur au moins un fichier commun aux fichiers à installer, ce qui est normal. 10 Une zone de dialogue vous invite alors à vous identifier en saisissant un nom et un mot de passe. Cliquez sur OK lorsque vous avez terminé. Le programme d’installation indique son état sur une barre de progression. Une fois le disque installé, vous pouvez commencer à utiliser les applications de DVD Studio Pro et Compressor. F42938INS Page 9 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM10 Enregistrement de DVD Studio Pro Lorsque vous ouvrez l’une des applications de DVD Studio Pro pour la première fois, l’application vous invite à renseigner les informations d’enregistrement. Par défaut, les informations de la fiche personnelle de votre Carnet d’adresses sont automatiquement insérées dans les champs correspondants. Pour enregistrer DVD Studio Pro pour un utilisateur autre que celui indiqué dans la fiche personnelle de votre Carnet d’adresses : 1 Remplissez les champs Nom, Adresse, Entreprise et Adresse électronique. 2 Si vous souhaitez recevoir des informations sur les nouveautés Apple et les mises à jour de logiciels sur votre messagerie électronique, sélectionnez la case appropriée. 3 Pour afficher la politique de confidentialité d’Apple, cliquez sur Confidentialité. 4 Une fois terminé, cliquez sur S’enregistrer. DVD Studio Pro est désormais enregistré. À propos de l’installation du logiciel et de l’enregistrement des fichiers Mac OS X offre un environnement multi utilisateurs. Cela signifie que plusieurs utilisateurs peuvent utiliser le même ordinateur mais que chacun dispose de son propre répertoire d’accueil où il peut enregistrer ses fichiers sans que les autres utilisateurs puissent y accéder. Si des utilisateurs travaillent sur certains projets communs, ils doivent enregistrer ou placer leurs fichiers dans un emplacement accessible par les autres utilisateurs. Lors de l’installation ou de l’enregistrement de fichiers, y compris les fichiers de projet et les configurations personnalisées, pensez aux personnes qui doivent avoir accès à ces éléments. Servez-vous des informations suivantes pour vous aider à choisir l’emplacement des fichiers :  Dossier Partagé du répertoire Utilisateurs : tous les utilisateurs pouvant accéder à ce dossier, il constitue un bon emplacement pour enregistrer et stocker les fichiers que vous souhaitez partager : /[Disque de démarrage]/Utilisateurs/Partagé  Dossier Public du répertoire de départ d’un utilisateur : l’utilisateur doit activer le partage de fichier dans la fenêtre Partage des Préférences Système pour permettre aux autres utilisateurs d’accéder au dossier : /[Disque de démarrage]/Utilisateurs/[Nom d’utilisateur]/Public (par ex. /[Départ]/Public)  Racines de volume : en règle générale, tous les utilisateurs ont accès aux niveaux racine de volume, celles-ci constituant tous les volumes ou disques durs connectés. Si tous les utilisateurs doivent pouvoir accéder à certains fichiers, assurez-vous de les placer dans un dossier accessible, au niveau de la racine du volume. F42938INS Page 10 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM11 Remarque : si vous décidez de cliquer sur le bouton S’enregistrer plus tard, vous êtes alors invité à vous enregistrer à nouveau après cinq ouvertures de n’importe quelle application de DVD Studio Pro. Comment entrer en contact avec l’assistance AppleCare Dans votre coffret DVD Studio Pro vous trouverez de la documentation sur les options d’assistance disponibles auprès d’Apple. Divers niveaux d’assistance sont disponibles. Quel que soit votre problème, il est conseillé d’avoir les informations suivantes à portée de main lorsque vous contactez Apple pour obtenir de l’assistance. Plus vous pourrez fournir de renseignements aux techniciens d’assistance, plus rapide sera la gestion de votre problème.  L’identifiant d’assistance de DVD Studio Pro se trouvant à l’avant de ce document. Remarque : l’identifiant d’assistance à 11 chiffres est différent du numéro de série utilisé pour l’installation de DVD Studio Pro.  Version de Mac OS X installée. Pour connaître la version de Mac OS X, choisissez le menu Pomme > À propos de ce Mac.  La version de l’application installée à propos de laquelle vous avez une question. Vous pouvez voir le numéro de version de l’application en choisissant le menu Pomme > À propos de “Nom de l’application” (“Nom de l’application” représentant le nom de l’application).  Modèle d’ordinateur utilisé.  La quantité de RAM installée sur votre ordinateur. Pour la déterminer, choisissez le menu Pomme > À propos de ce Mac.  Tout matériel tiers connecté ou installé sur l’ordinateur, ainsi que le nom de son fabricant un disque dur, une carte vidéo, etc. L’assistance AppleCare est accessible en ligne à l’adresse suivante : http://www.apple.com/fr/support. Vous pouvez alors sélectionner l’application pour laquelle vous recherchez des informations. Vous pouvez également accéder directement au site Web AppleCare depuis le menu Aide de chacune des applications. Pour accéder au site Web AppleCare depuis une application : m Choisissez Aide > Assistance “Nom de l’application” (“Nom de l’application” représentant le nom de l’application). F42938INS Page 11 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM© 2005 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, DVD Studio Pro, Mac, Mac OS, Panther et QuickTime sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, iDVD et Tiger sont des marques d’Apple Computer, Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Computer, Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. F42938INS Page 12 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM Motion 3 Documentation supplémentaireK Apple Inc. Copyright © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. Vos droits sur le logiciel sont régis par le contrat de licence du logiciel annexé. Tout propriétaire ou utilisateur habilité d’une copie légale du logiciel Final Cut Studio est autorisé à reproduire cette publication, dans le but d’apprendre à l’utiliser. Toutefois, il est interdit de reproduire ou de transmettre à des fins commerciales tout ou partie de cette publication, ainsi que d’en vendre des exemplaires ou de la mettre à disposition dans le cadre de services d’assistance payants. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc. déposée aux Etats-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation du logo Apple « clavier » (Maj + Option + K) à des fins commerciales sans l’autorisation écrite préalable d’Apple peut constituer une contrefaçon de marque et une concurrence déloyale en violation des lois fédérales et nationales. Tous les efforts ont été mis en œuvre pour garantir l’exactitude des informations contenues dans le présent manuel. Apple Computer, Inc. ne saurait être tenu pour responsable des coquilles, ni des erreurs d’écriture. Remarque : Apple mettant fréquemment à disposition de nouvelles versions et des mises à jour de son logiciel système, de ses applications et de ses sites Internet, les illustrations présentes dans ce manuel peuvent présenter de légères différences avec ce qui apparaît sur votre écran. Apple Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014–2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, Final Cut, Final Cut Pro, Final Cut Studio, Mac et Mac OS sont des marques d’Apple Inc. déposées aux Etats-Unis et dans d’autres pays. Finder est une marque d’Apple Inc. Les autres noms de sociétés et de produits mentionnés dans le présent manuel sont des marques de leurs socié- tés respectives. La mention de produits tiers n’est proposée que dans un souci d’information et ne constitue en rien un cautionnement ou une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité en ce qui concerne les performances ou l’utilisation de ces produits. 3 1 Table des matières Chapitre 1 5 Compositing 3D 5 Coordonnées dans le monde réel 7 Outils de transformation 3D 17 Espace de travail et présentations 3D 26 Caméras 35 Interaction des groupes 2D et 3D 41 Éclairage Chapitre 2 49 Suivi de l’animation 49 À propos du suivi de l’animation 51 Fonctionnement d’un suiveur 52 Comportements Suivi de l’animation 54 Comportement Suivre les points d’une forme 55 Comportement Suivre le paramètre 55 Flux de travaux du suivi d’animation 82 Ajustement des suiveurs à l’écran 85 Stratégies pour un suivi amélioré 103 Paramètres des comportements de suivi d’animation1 5 1 Compositing 3D Créez des images 3D animées sophistiquées, intenses et plus réalistes dans un environnement de compositing multiplan. Déplacez des objets dans un espace en trois dimensions et ajoutez des caméras pour modifier l’endroit depuis lequel vous observez votre scène. Le compositing 3D introduit un certain nombre de nouveaux concepts dans l’art de l’animation. À première vue, ceux-ci peuvent paraître compliqués. Mais vous bénéficiez déjà d’un avantage : le monde réel dans lequel vous évoluez est un univers en trois dimensions, si bien qu’intuitivement, l’univers virtuel en 3D du Canevas de Motion vous semblera probablement familier. Coordonnées dans le monde réel Il est possible de décrire la position de n’importe quel objet du monde réel à l’aide d’un système simple de coordonnées . Par exemple, pour décrire la position de votre ordinateur, vous pourriez dire qu’il se trouve à 1,20 mètre de la porte, à 90 centimètres au-dessus du sol et à 1,50 mètre devant la fenêtre. Dans un système de coordonnées, chacune des trois valeurs utilisées pour décrire la position d’un objet correspond à un axe de coordonnées. Le point où les valeurs zéro de chaque axe se rencontrent s’appelle l’origine. Dans cet exemple, la valeur de X est égale à 1,2, celle de Y à 0,9 et celle de Z à 1,5.6 Chapitre 1 Compositing 3D Coordonnées et position des objet dans l’espace L’emplacement d’un objet dans Motion peut lui aussi être décrit de cette façon. Dans le système de coordonnées utilisé par Motion, les coordonnées du centre du Canevas sont 0, 0, 0. Le déplacement d’un objet vers la gauche entraîne une diminution de la valeur X, alors que le déplacement vers la droite correspond à une augmentation de cette valeur X. De la même façon, le déplacement d’un objet vers le haut a pour effet d’augmenter la valeur Y, alors que son déplacement vers le bas la diminue. Enfin, rapprocher un objet augmente la valeur Z, alors que l’éloigner la diminue. La principale différence entre une scène 2D et une scène 3D est que dans une scène 3D, vous avez la possibilité de changer de point de vue, de sorte que le déplacement d’un objet vers le haut ne se traduit pas toujours par une augmentation de sa valeur Y. Remarque : dans un nouveau projet, le Canevas est orienté de telle sorte que l’axe Z soit pointé directement vers vous. Cette orientation préserve l’orientation traditionnelle en deux dimensions des axes X et Y, qui s’étendent de gauche à droite (X) et de haut en bas (Y) sur le Canevas par défaut. Conventions 3D Quelques conventions sont couramment utilisées pour évoquer et afficher les environnements en trois dimensions.  Le mouvement d’un objet s’effectue le long d’un axe.  La rotation d’un objet s’effectue autour d’un axe.  Un code couleur est utilisé pour chaque axe : X en rouge, Y en vert et Z en bleu.  La rotation positive s’effectue autour d’un axe dans le sens contraire des aiguilles d’une montre.Chapitre 1 Compositing 3D 7 Outils de transformation 3D Il n’y a pas de différence inhérente entre les fichiers de projet 2D et 3D dans Motion. Vous pouvez à tout moment décider de commencer à travailler avec des groupes ou des couches en 3D, sans planification préalable. De fait, il est même possible de passer de la manipulation d’objets dans un espace 2D à la manipulation d’objets dans un espace 3D, et inversement. Cette section présente les outils que vous pouvez utiliser pour déplacer les objets sur le Canevas. L’image de la capture d’écran ci-dessus vient d’être importée dans la scène et est positionnée à l’origine de cette dernière. Pour déplacer l’image, utilisez l’outil de transformation 3D qui se trouve à droite de l’outil Sélectionner/Transformer dans la barre d’outils. Pou utiliser l’outil de transformation 3D : m Sélectionnez l’outil de transformation 3D dans la barre d’outils (appuyez sur Q). Deux choses se passent immédiatement lorsque vous sélectionnez l’outil de transformation 3D. Les contrôles à l’écran changent et la palette de l’objet change. Outil de transformation 3D8 Chapitre 1 Compositing 3D Contrôles à l’écran Lorsque vous sélectionnez l’outil de transformation 3D, trois flèches de couleur apparaissent dans le Canevas près du centre de l’image. Chaque flèche correspond à l’un des trois axes de coordonnées. Dans l’affichage par défaut, l’axe Z pointe directement vers vous, ce qui fait que seule la pointe de la flèche Z bleue est visible. Faites glisser l’une des flèches à l’écran pour déplacer l’image le long d’un axe particulier. Pour déplacer un objet à l’aide des contrôles à l’écran : 1 Sélectionnez l’objet à déplacer. 2 Faites glisser l’une des flèches de couleur représentant l’axe de déplacement souhaité. Pendant le glissement, la flèche active devient jaune et une fenêtre d’information affiche les coordonnées actuelles de l’objet ainsi que la distance de son déplacement. Comme toujours, les coordonnées sont données sous la forme X, Y et Z. Trois petits cercles apparaissent près des trois flèches de couleur. Il s’agit des poignées de rotation. Le fait de placer le pointeur sur l’un de ces cercles appelle un cercle de rotation pour un axe particulier. Pour faire pivoter un objet autour d’un seul axe à l’aide des contrôles à l’écran : 1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez faire pivoter. 2 Placez le pointeur sur la poignée de rotation (petit cercle) correspondant à l’axe de rotation souhaité. Le cercle de rotation apparaît. 3 Faites glisser le cercle pour appliquer une rotation à l’objet. Outil de transformation 3D actif Déplacement d’un objet le long de l’axe XChapitre 1 Compositing 3D 9 Une fenêtre d’informations affiche les valeurs de rotation actuelles ainsi que la distance sur laquelle l’objet a pivoté. Pour faire pivoter librement un objet autour de tous les axes à l’aide des contrôles à l’écran : 1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez faire pivoter. 2 Appuyez sur la touche Commande. Les trois cercles de rotation apparaissent. 3 Cliquez n’importe où à l’intérieur des cercles de rotation et faites glisser pour faire pivoter l’objet comme bon vous semble. Une fenêtre d’informations affiche les valeurs de rotation actuelles ainsi que la distance sur laquelle l’objet a pivoté. Important : la rotation effectuée avec l’outil 2D Sélectionner/Transformer ne concerne que l’axe Z. Poignée de rotation de l’axe X active Rotation de l’objet autour de l’axe X Rotation avec l’outil 3D autour de l’axe Z Rotation avec l’outil 2D Sélectionner/Transformer10 Chapitre 1 Compositing 3D Remarque : lorsque l’outil de transformation 3D est actif, un troisième ensemble de contrôles est disponible à l’écran : lespoignées d’échelle, qui apparaissent sur les bords du cadre de sélection entourant l’image sélectionnée. Contrôles de la palette de transformation 3D Outre les contrôles à l’écran, la palette fournit une autre méthode de transformation des objets dans un espace 3D. Déplacer Trois contrôles de la section Déplacer de la palette permettent de faire glisser l’objet sélectionné sur un axe ou sur plusieurs axes à la fois. Faites glisser à l’intérieur de l’un des contrôles Déplacer pour modifier les valeurs des paramètres d’objet concernés dans le Canevas : Affichage des contrôles à l’écran de l’outil de transformation 3D Il est possible d’activer ou de désactiver un sous-ensemble de contrôles de transformation 3D.  Appuyez sur la touche virgule (,) pour afficher les flèches des axes (mais pas les poignées de rotation, ni les poignées d’échelle).  Appuyez sur la touche point (.) pour afficher les poignées de rotation (mais pas les flèches des axes, ni les poignées d’échelle).  Appuyez sur la touche de barre oblique (\) pour afficher les poignées d’échelle (mais pas les flèches des axes, ni les poignées de rotation). Lorsque vous appuyez une seconde fois sur l’une des touches ci-dessus, l’affichage revient à la présentation par défaut, c’est-à-dire à celle dans laquelle les trois contrô- les à l’écran sont visibles. Choisissez un type d’axe. Faites glisser pour déplacer l’objet le long de l’axe Z. Faites glisser pour déplacer l’objet le long de l’axe X et de l’axe Y. Faites glisser pour déplacer l’objet le long de l’axe X et de l’axe Z.Chapitre 1 Compositing 3D 11  Déplacement Z : faites glisser ici pour déplacer l’objet sélectionné dans le Canevas le long de l’axe Z. Le glissement vers la droite augmente la valeur Z alors que le glissement vers la gauche la diminue. Maintenez la touche Commande enfoncée pendant le glissement afin d’augmenter ou de réduire simultanément l’échelle de l’objet lors de sa translation (c’est-à-dire, lors de son déplacement) pour conserver sa taille par rapport à la caméra.  Déplacement XY : faites glisser ici pour déplacer l’objet sélectionné dans le Canevas le long des axes X et Y. Le déplacement vers la droite ou vers la gauche augmente ou diminue la valeur X. Le déplacement vers le haut ou vers le bas augmente ou diminue la valeur Y. Ce contrôle produit le même résultat que lorsque vous déplacez un objet 2D directement dans le Canevas. Maintenez la touche Commande enfoncée pendant le glissement pour limiter le mouvement à l’axe qui correspond au sens initial du glissement.  Déplacement XZ : faites glisser ici pour déplacer l’objet sélectionné dans le Canevas le long des axes X et Z. Le glissement vers la droite ou vers la gauche augmente ou diminue la valeur X. Le glissement vers le haut ou vers le bas augmente ou diminue la valeur Z. Maintenez la touche Commande enfoncée pendant le glissement pour limiter le mouvement à l’axe qui correspond au sens initial du glissement. ∏ Astuce : tout comme dans l’Inspecteur, le fait de maintenir la touche Maj enfoncée pendant le glissement dans la palette donne lieu à des modifications plus importantes. À l’inverse, le fait de maintenir la touche Option enfoncée pendant le glissement entraîne des modifications de moindre importance. Rotation et Échelle La palette est munie de deux contrôles de glissement supplémentaires qui permettent de faire pivoter l’objet sélectionné et de le mettre à l’échelle dans le Canevas :  Rotation XYZ : faites glisser ici pour faire pivoter l’objet sélectionné dans le Canevas autour des trois axes. En partant de l’origine, le glissement vers le haut et vers le bas fait pivoter l’objet autour de l’axe X. Le glissement vers la gauche et vers la droite fait pivoter l’objet autour de l’axe Y. Maintenez la touche Commande enfoncée pendant le glissement pour limiter la rotation à l’axe Z.  Échelle : faites glisser ici pour mettre l’objet sélectionné dans le Canevas à l’échelle en respectant ses proportions. Le glissement vers la droite ou vers le haut, ou dans les deux directions à la fois, augmente la valeur d’échelle. Le glissement vers la gauche ou vers le bas, ou dans les deux directions à la fois, entraîne une diminution de la valeur d’échelle. Maintenez la touche Commande enfoncée pendant le glissement pour limiter la mise à l’échelle à l’axe qui correspond au sens initial du glissement.12 Chapitre 1 Compositing 3D Ajuster sur Le menu local Ajuster sur, situé sous les contrôles Déplacer, Rotation et Échelle de la palette, permet de sélectionner l’espace de coordonnées relatives utilisé pour les transformations. Il comporte trois options :  Axe local : il s’agit de l’option par défaut. Elle oriente les contrôles de transformation à l’écran en fonction des axes locaux de l’objet.  Axe mondial : cette option oriente les contrôles de transformation à l’écran en fonction des axes de la grille 3D du Canevas.  Axe de vue : cette option oriente les contrôles de transformation à l’écran en fonction de l’espace visuel de l’affichage actuel. L’axe Z est aligné sur la ligne de vision. Pour plus d’informations sur les présentations, reportez-vous à la section « Présentations » à la page 17. Coordonnées relatives Pour mieux comprendre le concept des coordonnées relatives, pensez à un système de satellites, tel que celui formé par la terre, la lune et le soleil. Le parent de la lune est la terre et le parent de la terre est le soleil. Généralement, lorsqu’on considère ces trois corps célestes, on définit la position de la lune par rapport à la terre (parent de la lune) et celle de la terre par rapport au soleil (parent de la terre). De même, dans Motion, la position et l’orientation d’un objet sont toujours déterminées par rapport au parent de ce dernier. Lorsque vous ajoutez un nouveau groupe à un projet Motion, ce groupe est créé aux coordonnées d’origine de son parent. Dans le cas d’un groupe de niveau racine (c’est-à-dire, un groupe qui n’est imbriqué dans aucun des autres groupes de la liste de couches), le parent est le projet lui-même. La position d’un objet placé à l’intérieur d’un groupe est décrite par rapport à son parent, c’est-à-dire le groupe. Groupe à X=50, Y=50, Z=50 Inspecteur des groupesChapitre 1 Compositing 3D 13 Dans l’exemple précédent, un groupe a été positionné aux coordonnées X, Y et Z de valeur 50, 50 et 50. Le groupe est situé à 50 unités de l’origine de son parent sur tous les axes (le parent étant le projet lui-même dans ce cas de figure). L’image à l’intérieur du groupe est positionnée aux coordonnées 0, 0, 0. Sa position étant relative à son parent (le groupe), l’image partage l’origine de son parent et a une position apparente de 50, 50, 50 dans le monde. Le fait de déplacer l’image vers la position 25, 25, 25 implique une translation de 25 unités par rapport à l’origine du groupe sur tous les axes. Bien que la position apparente de l’image par rapport au monde soit 75, 75, 75, ses valeurs de position dans l’Inspecteur sont 25, 25, 25, car sa position est toujours relative à son parent. Les valeurs de rotation sont également définies par rapport au parent d’un objet. Important : les transformations mondiales et de vue sont limitées à la palette et aux contrôles à l’écran ; toutes les transformations effectuées dans l’Inspecteur se font par rapport à l’espace du parent d’un objet. Image à l’intérieur d’un groupe à 25, 25, 25 Inspecteur d’images Groupe avec rotation Z définie à 45 degrés Image avec rotation Z définie à 90 degrés à l’intérieur d’un groupe dont la rotation Z est définie à 45 degrés14 Chapitre 1 Compositing 3D Ordre de couche et ordre de profondeur Pour le compositing en 2D, la Liste de couches montre l’ordre des couches, laquelle détermine les objets qui apparaissent au dessus d’autres objets. Les objets situés vers le haut de la liste apparaissent au dessus des objets qui se trouvent plus bas qu’eux dans la liste de couches. Important : le compositing des enfants des groupes 2D s’effectue toujours dans l’ordre de couche. Si vous déplacez le Groupe A au-dessous du Groupe B dans la Liste de couches, le Groupe B sera rendu au dessus du Groupe A. Groupe A en haut de la Liste de couches Résultat du compositing 2D dans le Canevas Groupe B en haut de la Liste de couches Résultat dans le CanevasChapitre 1 Compositing 3D 15 La Liste de couches montre également les relations parent-enfant des objets. à l’aide de retraits et de triangles d’affichage. La Liste de couches n’est pas le seul indicateur d’ordre utilisé pour les objets en 3D. En cas de tri par profondeur, un objet peut se trouver en bas de la liste de couches et néanmoins donner l’impression de se trouver au-dessus de tout le reste dans le Canevas parce que sa position est définie par rapport à la caméra actuelle. La méthode la plus courante d’ajustement de l’ordre de profondeur consiste à modifier la position Z d’une couche ou d’un groupe. Important : par défaut, le compositing des enfants des groupes 3D se fait dans l’ordre de profondeur. Dans le cas des groupes 3D ci-dessus, les objets sont composés dans l’ordre de profondeur ; leur position dans la liste de couches n’est pas en corrélation avec leur position dans l’espace 3D relatif à la caméra. Dans l’exemple ci-dessus, le groupe A bleu se trouve au-dessus du groupe A rouge dans la liste de couches, mais il apparaît derrière le groupe A rouge dans le Canevas parce qu’il est trié par ordre de profondeur. Le même principe s’applique aux groupes bleu B et rouge B. Enfant de Groupe éléphant Enfant de Groupe Parent de tous les objets situés au dessous Parent d’Éléphant Liste de couches Objets triés en fonction de l’ordre de profondeur dans le Canevas16 Chapitre 1 Compositing 3D Transformations 3D dans des groupes 2D Il est possible d’appliquer des transformations 3D à tous les objets, même lorsqu’ils se trouvent dans des groupes 2D. Vous pouvez tous les faire pivoter autour de n’importe quel axe et les déplacer le long de l’axe souhaité. N’oubliez pas que les objets qui se trouvent à l’intérieur des groupes 2D ne sont pas triés par profondeur et qu’ils ne peuvent pas se couper, quelle que soit leur position dans l’espace 3D. Ces deux groupes sont positionnés au même point dans l’espace 3D, mais du fait qu’ils sont triés par couche, le groupe A ne peut pas couper le groupe B. Si vous convertissez le groupe parent en 3D, les deux groupes auront une intersection. Remarque : si deux groupes sont coplanaires (occupent le même plan), leur compositing s’effectue dans l’ordre de couche, indépendamment du fait que le parent de l’objet soit un groupe 2D ou 3D. Dans un composite 2D, tous les objets sont coplanaires. Groupe parent 2D dans la Liste de couches Groupes triés en fonction de l’ordre de couche dans le Canevas Groupe parent 3D dans la Liste de couches Groupes triés en fonction de l’ordre de profondeur dans le CanevasChapitre 1 Compositing 3D 17 Espace de travail et présentations 3D Dans un espace de travail 3D, tout est observé du point de vue d’une caméra. Les présentations par défaut affichées dans l’espace de travail 3D sont des caméras de référence qui peuvent être utilisées et manipulées pour faciliter le placement et l’animation des objets, mais qui ne servent pas à rendre la sortie. Si vous souhaitez obtenir un rendu à partir d’une vue de caméra particulière, vous devez créer une caméra de scène. Pour plus d’informations sur les caméras, reportez-vous à la section « Caméras » à la page 26. Présentations Il existe plusieurs présentations d’affichage, chacune consistant en un agencement de fenêtres d’affichage(. Toutefois, toutes les présentations fonctionnent exactement de la même façon et toutes les présentations sont manipulées de manière absolument identique, quel que soit leur nombre. Chaque fenêtre d’affichage affiche la scène du point de vue d’une caméra. Les présentations des caméras de référence ont une position et une orientation par défaut particulières. Il existe deux types de caméras de référence par défaut :  les caméras orthogonales ;  les caméras de perspective. La caméra orthogonale permet de voir la scène en regardant directement le long de l’un des axes mondiaux : X, Y ou Z. Les « caméras » orthogonales par défaut n’apparaissent pas dans la Liste de couches, la Timeline ou le Canevas. Les caméras avant (frontale) et arrière regardent directement le long de l’axe Z. Les caméras du haut et du bas regardent directement le long de l’axe Y. Les caméras gauche et droite regardent directement le long de l’axe X. Aucune rotation18 Chapitre 1 Compositing 3D Les caméras orthogonales ne montrent aucune perspective. Les caméras de perspective (et les caméras de scène que vous ajoutez à un projet) déforment l’affichage de la même façon qu’une caméra réelle. Pour avoir accès aux vues des caméras de référence et aux commandes de caméra, vous devez tout d’abord ajouter une caméra à la scène. Pour ajouter une caméra de scène à un projet Motion : m Choisissez Objet > Nouvelle caméra (ou appuyez sur Commande + Option + C). Un objet caméra est ajouté dans la Liste de couches, la Timeline et le Canevas (dans ce dernier, la caméra apparaît sous la forme d’une icône fil de fer). L’outil de transformation 3D situé dans la barre d’outils devient actif, la palette de la caméra apparaît (si ce n’est pas le cas, appuyez sur F7) et l’onglet Caméra de l’Inspecteur devient disponible. Si vous ajoutez une caméra à un projet ne contenant aucun groupe 3D, la zone de dialogue suivante apparaît : Rotation dans une vue de caméra orthogonale Rotation dans une vue de caméra de perspectiveChapitre 1 Compositing 3D 19 Dès lors que vous ajoutez une caméra à un projet, le menu Caméra devient disponible dans le coin supérieur gauche du Canevas. Incrustations 3D Cinq types d’incrustations 3D peuvent apparaître dans le Canevas: les Outils de présentation 3D, la Boussole 3D, la Présentation cadre, la Grille 3D et les Icônes scène 3D. Vous pouvez passer d’une apparence à l’autre pour chaque incrustation dans le Canevas. Menu Caméra Boussole 3D Présentation cadre Outils Présentation 3D Menu Caméra Grille 3D affichée dans le Canevas20 Chapitre 1 Compositing 3D Pour changer l’apparence des incrustations 3D, effectuez l’une des opérations suivantes : m Choisissez Affichage > Incrustations 3D, puis choisissez le type d’incrustation 3D à afficher ou à masquer. m Dans le menu local Affichage de la barre d’outils, choisissez le type d’incrustation 3D à afficher ou à masquer. Outils de présentation 3D Menu Caméra Le menu Caméra, situé dans le coin supérieur gauche du Canevas, contient la liste des pré- sentations de caméra actives. Effectuez un choix dans une liste de caméras de référence et de caméras de scène et sélectionnez plusieurs commandes relatives aux présentations. Le menu Caméra se compose de trois sections :  La section supérieure permet de sélectionner la caméra active ainsi que toute autre caméra de scène que vous avez pu ajouter au projet. Si une scène contient plusieurs caméras, la caméra figurant le plus haut dans la Liste de couches et dans la Timeline sur l’image actuelle est la caméra active. Pour plus d’informations sur les caméras de scène, reportez-vous à la section « Caméras » à la page 26.  La partie du milieu permet de sélectionner une des caméras de référence par défaut : Perspective, Avant, Arrière, Gauche, Droite, En haut, En bas.  La partie du bas met deux commandes à votre disposition : Réinitialiser la présentation, qui réinitialise une caméra à sa présentation par défaut, et Encadrer les objets, qui encadre les objets sélectionnés dans la présentation active. Si aucun objet n’est sélectionné, Encadrer les objets réinitialise la caméra de référence pour afficher tous les objets de la scène. Menu CaméraChapitre 1 Compositing 3D 21 Outils de présentation 3D Les outils de présentation 3D peuvent servir à contrôler les caméras de référence et de scène. L’indicateur de caméra de scène apparaît à gauche des Outils de présentation 3D uniquement lorsqu’une caméra de scène est la caméra active. Il existe trois outils de pré- sentation 3D :  Balance : faites glisser cette zone pour déplacer la caméra le long des axes X et Y par rapport à la présentation actuelle.  Orbite : faites glisser cette zone pour que la caméra décrive une orbite autour de l’objet actuellement sélectionné dans la scène. Si aucun objet n’est sélectionné, la caméra tourne autour de son plan focal. Pour en savoir plus sur le plan focal d’une caméra, reportez-vous à la section « Commandes de caméra » à la page 27. L’orbite peut modifier les valeurs de position X, Y et Z, ainsi que les valeurs de rotation X et Y. Remarque : si vous utilisez l’outil Orbite pour modifier l’une des caméras orthogonales de référence, un astérisque apparaît en regard du nom de la présentation dans le menu Caméra. Il indique que la présentation n’est plus une véritable présentation orthogonale.  Travelling : faites glisser cette zone pour que la caméra effectue un travelling, c’est-à- dire, pour qu’elle se déplace le long de l’axe Z par rapport à la présentation actuelle. Outil Travelling Indicateur de caméra de scène Outil de panoramique Outil Orbite22 Chapitre 1 Compositing 3D Important : le fait de double-cliquer sur un outil de présentation 3D réinitialise tous les paramètres pouvant être modifiés par l’outil. Boussole 3D La Boussole 3D, qui apparaît dans le coin inférieur gauche du Canevas, sert de dispositif d’orientation et de raccourci. Elle peut être à l’état actif ou passif, selon que le pointeur se trouve dessus ou non. À l’état passif, elle indique l’orientation des trois axes mondiaux (X, Y et Z). À l’état actif, elle présente des raccourcis à code de couleurs pour les caméras (orthogonale et de perspective) de référence. Pour sélectionner une présentation de caméra de référence à l’aide de la Boussole 3D : 1 Placez le pointeur sur la boussole. La boussole passe à l’état actif, ce qui fait apparaître une icône avec libellé pour chaque présentation de caméra de référence. 2 Cliquez sur l’icône qui correspond à la caméra que vous souhaitez activer. La présentation qui est affichée dans le Canevas est mise à jour avec la présentation de la caméra de référence sélectionnée. Raccourcis des outils de présentation 3D Il est possible de se servir des outils Balance, Orbite et Travelling par l’intermédiaire des commandes du clavier et d’une souris à trois boutons :  Balance : faites glisser l’outil dans le Canevas tout en maintenant la touche Option et le bouton droit de la souris enfoncés.  Orbite: faites glisser l’outil dans le Canevas tout en maintenant la touche Commande et le bouton droit de la souris enfoncés.  Travelling : faites glisser l’outil dans le Canevas tout en maintenant la touche Commande, la touche Option et le bouton droit de la souris enfoncés. Boussole 3D à l’état passif Boussole 3D à l’état actifChapitre 1 Compositing 3D 23 Pour sélectionner une présentation de caméra de scène à l’aide de la Boussole 3D : 1 Placez le pointeur sur la Boussole 3D. La boussole passe à l’état actif. 2 Cliquez sur la Boussole 3D tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez une caméra de scène dans le menu contextuel. La présentation qui est affichée dans le Canevas change et laisse la place à la présentation de la caméra de scène sélectionnée. Remarque : vous pouvez aussi choisir une présentation de caméra de référence dans le menu contextuel Boussole 3D. Présentation cadre Lorsque vous déplacez un objet, une Présentation cadre apparaît dans le coin inférieur droit du Canevas. Elle montre la scène telle qu’elle peut être observée par une autre caméra. Si vous voyez actuellement la scène par l’intermédiaire de la caméra active, la Présentation cadre affiche le point de vue de la caméra de perspective. Si vous voyez la scène à l’aide de l’une des autres caméras, la Présentation cadre affiche la caméra active. Utilisez la Présentation cadre pour voir les résultats des modifications que vous effectuez dans les présentations orthogonales. Utilisez les préférences de Motion pour spécifier la taille de la Présentation cadre et le moment de son apparition dans le Canevas. Pour en savoir plus sur les propriétés de la présentation cadre, reportez-vous au chapitre 1, intitulé « Présentation de Motion », du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Présentation cadre24 Chapitre 1 Compositing 3D Grille 3D La Grille 3D montre le plan au sol du monde 3D. Le plan au sol est, comme son nom l’indique, un plan qui correspond au « sol » de la scène, dans lequel Y est égal à 0. Le plan au sol représente la ligne de division entre le « haut » et le « bas », entre les valeurs Y positives et les valeurs Y négatives. Son centre est le point de coordonnées 0, 0, 0. Icônes de scène 3D Les icônes de scène 3D sont les représentations à l’écran des caméras, des lumières et des lignes de bordure. Une ligne de bordure est dessinée lorsque le bord d’un objet fait face à la caméra, ce qui, en général, rend l’objet invisible. La ligne de bordure vous permet de sélectionner des objets qui, sans elle, ne seraient pas visibles. Aucune des icônes de scène 3D n’apparaît dans les images et les plans exportés. ∏ Astuce : double-cliquez sur une icône de caméra de scène pour la sélectionner et remplacer la présentation actuelle par celle de cette caméra. Grille 3D activée Caméra Indicateur de ligne de bordure Angle de vue de la caméra LumièreChapitre 1 Compositing 3D 25 Présentations d’affichage Motion permet de disposer de plusieurs présentations actives en même temps dans le Canevas pour faciliter l’animation et le positionnement des objets dans l’espace 3D. Le menu local View Layouts, situé dans la barre d’état, juste au-dessus des outils de présentation 3D, permet de choisir entre sept présentations d’affichage différentes. Chaque pré- sentation d’affichage est représentée par une icône dans le menu local :  Une seule fenêtre : sélection par défaut. Affiche une seule fenêtre dans le Canevas.  Deux fenêtres juxtaposées : affiche deux fenêtres dans le Canevas, l’une à côté de l’autre.  Deux fenêtres superposées : affiche deux fenêtres dans le Canevas, l’une au-dessus de l’autre.  Trois fenêtres, dont une grande en bas : affiche trois fenêtres, dont deux côte à côte en haut et une plus grande en bas.  Trois fenêtres, dont une grande à droite : affiche trois fenêtres, dont deux l’une sur l’autre du côté gauche et une plus grande occupant tout le côté droit.  Quatre fenêtres, dont une grande à droite : affiche quatre fenêtres, dont trois l’une sur l’autre du côté gauche et une plus grande occupant tout le côté droit.  Quatre fenêtres : affiche quatre fenêtres de même taille. Pour ouvrir plusieurs fenêtres dans le Canevas : m Choisissez une présentation dans le menu local View Layouts. Le Canevas affiche le layout (c’est-à-dire, la présentation) de votre choix. Menu local View Layouts 26 Chapitre 1 Compositing 3D Présentation active Lorsque vous travaillez avec plusieurs présentations, la présentation active est la dernière sur laquelle vous avez cliqué. La présentation active est indiquée par une bordure jaune. Seule la présentation active peut contenir des contrôles à l’écran. Caméras En mode 3D, tout ce que vous voyez dans le Canevas représente le point de vue d’une caméra, cette dernière pouvant être une caméra de référence par défaut ou une caméra de scène que vous créez. Vous pouvez créer des caméras pouvant être utilisées pour regarder la scène depuis différents points de vue. Vous pouvez placer, animer et appliquer des comportements aux caméras de la scène. Le fait de créer plusieurs caméras vous donne ensuite la possibilité d’activer des caméras différentes à des moments différents et donc de faire des coupes et passer à d’autres présentations au cours du projet. La présentation située dans le quart supérieur gauche est active.Chapitre 1 Compositing 3D 27 Création d’une caméra de scène Les caméras de scène que vous créez sont utilisées pour le rendu de la sortie. Les caméras de scène apparaissent dans le Canevas sous la forme d’icônes de caméra fil de fer et d’objets dans la Liste de couches et la Timeline. Pour ajouter une caméra de scène à un projet Motion : m Choisissez Objet > Nouvelle caméra (ou appuyez sur Commande + Option + C). Un objet caméra est ajouté dans la Liste de couches, la Timeline et le Canevas (dans ce dernier, l’objet est représenté par une icône fil de fer). L’outil de transformation 3D situé dans la barre d’outils devient actif, la palette de caméra apparaît (si elle n’est pas visible, appuyez sur la touche F7) et l’onglet Caméra de l’Inspecteur devient disponible. Commandes de caméra Vous pouvez modifier les propriétés d’une caméra de scène par le biais de la palette de caméra ou des onglets Caméra et Propriétés de l’Inspecteur. Paramètres dans l’Inspecteur L’onglet Caméra de l’Inspecteur propose six paramètres : Type de caméra : menu local qui définit le type de caméra utilisé. Deux options sont possibles : Cadrage (valeur par défaut) et Point de vue. L’origine de la caméra de type Cadrage se situe au plan focal. Le plan focal d’une caméra est un plan situé à une distance égale à la distance focale de la caméra le long de son axe Z local (ou ligne de vision) et orienté perpendiculairement à l’axe Z local de la caméra. L’origine de la caméra de type Point de vue se situe à son centre de projection. ∏ Astuce : la position de l’origine d’une caméra de type Cadrage est utile pour les mouvements orbitaux. La rotation de la caméra lui fait décrire une orbite, alors que la rotation d’une caméra de type Point de vue la fait pivoter. Caméra de type Cadrage Plan focal de caméra Angle de vue de la caméra Origine et centre de projection de la caméra de type Point de vue Origine de caméra de type Cadrage Angle de vue de la caméra28 Chapitre 1 Compositing 3D Angle de vue : curseur et curseur de valeur qui définissent l’angle de vue de la caméra, c’est-à-dire le nombre de degrés sur lesquels la caméra a une vue. La valeur d’angle peut être comprise entre 0 et 180 degrés. Remarque : lorsque vous animez le paramètre Angle de vue sur une caméra Cadrage, le résultat est un effet de travelling inverse. Le travelling inverse effectue un zoom avant dans la direction opposée au déplacement de la caméra. Lorsque vous animez le paramè- tre Angle de vue sur une caméra de type Cadrage, vous obtenez un zoom de caméra classique. Plan avant : curseur et curseur de valeur qui définissent la distance à laquelle la caméra commence à voir les objets. Les objets situés à une distance inférieure ne sont pas rendus par le point de vue de cette caméra. Plan arrière : curseur et curseur de valeur qui définissent la distance à laquelle la caméra cesse de voir des objets. Les objets situés à une distance supérieure ne sont pas rendus par le point de vue de cette caméra. Fondu avant : curseur et curseur de valeur qui définissent le facteur d’adoucissement pour le plan avant. Le facteur d’adoucissement définit une étendue limite sur laquelle un fondu entrant est effectué sur les objets proches. Angle de vue = 45˚ Angle de vue = 80˚ Angle de vue = 45˚ Angle de vue = 80˚ Caméra de type Cadrage Caméra de type Point de vueChapitre 1 Compositing 3D 29 Fondu arrière : curseur et curseur de valeur qui définissent le facteur d’adoucissement pour le plan arrière. Le facteur d’adoucissement définit une étendue limite sur laquelle un fondu sortant est effectué sur les objets éloignés. Positionnement des caméras Les caméras partagent les mêmes propriétés de transformation que tout autre objet dans Motion et peuvent être positionnées de la même façon, c’est-à-dire, à l’aide des contrôles à l’écran et par la modification des paramètres dans la palette ou l’Inspecteur. Pour en savoir plus sur les contrôles à l’écran, reportez-vous à la section « Outils de présentation 3D » à la page 21. En outre, les caméras peuvent être positionnées à l’aide de l’outil Orientation caméra. Remarque : pour plus de commodité, il est possible de déplacer une présentation de caméra orthogonale de manière à afficher la scène depuis une position et selon une orientation autres que celles par défaut. Outil Orientation caméra L’outil Orientation caméra permet de positionner la caméra dans l’espace 3D de la même façon que dans un jeu vidéo, en naviguant à l’aide du clavier et de la souris. Mise à l’échelle de caméra Vous pouvez utiliser le paramètre Échelle situé dans l’onglet Propriétés de l’Inspecteur pour mettre à l’échelle ce que voit la caméra. Le fait de changer la valeur d’échelle ne modifie pas le paramètre Angle de vue de la caméra. La modification de l’échelle n’a d’incidence que sur les caméras de type Cadrage. Imaginons que vous rapetissez pour ne plus mesurer que quelques centimètres de haut. Bien que votre environnement n’ait pas changé de taille, il vous paraîtra beaucoup plus grand. De même, si vous grandissez soudain jusqu’à mesurer 15 mètres de haut, le monde vous semblera beaucoup plus petit alors qu’il n’a subi aucune modification. L’augmentation ou la réduction de l’échelle d’une caméra produit le même effet. Outil Orientation caméra30 Chapitre 1 Compositing 3D Pour utiliser l’outil Orientation caméra : 1 Sélectionnez l’outil Orientation caméra dans la barre d’outils. Le pointeur change de forme pour indiquer que l’outil Orientation caméra est actif. 2 Utilisez les touches Flèche vers le haut, Flèche vers le bas, Flèche vers la gauche et Flèche vers la droite pour déplacer la caméra dans l’espace 3D. Pour un déplacement plus lent, faites de même en maintenant la touche Option enfoncée. 3 Faites glisser dans le Canevas pour orienter la caméra. Important : il n’est pas possible d’imbriquer une caméra dans un groupe 2D. Si vous essayez de créer ou d’ajouter une caméra à un groupe 2D, la zone de dialogue suivante apparaît : Les caméras ajoutées dans les groupes 2D sont automatiquement désactivées. Animation des caméras Les caméras peuvent être animées directement dans le Canevas de la même façon que tout autre objet d’un projet. Elles peuvent aussi être animées au moyen de comportements, notamment à l’aide des comportements de caméra spéciaux. Pour en savoir plus sur les comportements de caméra, reportez-vous à la section « Comportements de caméra » à la page 32. Caméra active Si une scène contient plusieurs caméras, celle qui apparaît le plus haut dans la Liste de couches et dans la Timeline correspondant à l’image actuelle est la caméra active. Bien que la caméra active soit la caméra par défaut utilisée pour l’exportation, vous pouvez sélectionner n’importe quelle caméra de scène pour l’exportation. La caméra 2 est la caméra active là où se trouve la tête de lecture.Chapitre 1 Compositing 3D 31 Isoler La commande Isoler (et le bouton Isoler) aligne provisoirement la présentation actuelle sur l’objet sélectionné et masque tous les autres objets de la scène. Cela permet d’accé- der plus facilement aux objets éloignés ou à ceux qui ne se distinguent pas bien. Pour isoler un objet : 1 Sélectionnez l’objet à isoler dans le Canevas, la Liste de couches ou la Timeline. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez Objet > Isoler (ou appuyez sur Contrôle + I).  Dans l’onglet Couches ou dans la Timeline, cliquez sur le bouton Isoler. La présentation actuelle change pour s’aligner sur l’objet sélectionné, et tous les autres objets de la scène sont masqués. Lorsqu’un objet est isolé, une caméra temporaire est créée et apparaît dans le menu Caméra. La caméra porte le même nom que l’objet isolé. Pour quitter la présentation isolée, effectuez l’une des opérations suivantes : m Choisissez Objet > Isoler (ou appuyez sur Contrôle + I). m Dans l’onglet Couches ou dans la Timeline, cliquez sur le bouton Isoler. Bouton Isoler Objet dans le Canevas Objet après isolation32 Chapitre 1 Compositing 3D m Choisissez une autre caméra dans le menu Caméra. Comportements de caméra Bien que la plupart des types de comportements puissent être appliqués aux caméras dans Motion, il existe un ensemble supplémentaire de comportements de caméra spéciaux. Pour ajouter un comportement de caméra : 1 Sélectionnez une caméra de scène dans la Liste de couches, la Timeline ou le Canevas. 2 Cliquez sur l’icône Ajouter comportement dans la barre d’outils et maintenez le bouton de la souris enfoncée, choisissez Caméra dans le menu local, puis sélectionnez un élément du sous-menu. Quatre comportements spécifiques aux caméras sont proposés : Travelling, Balayage, Zoom avant/arrière et Couche de zoom. Travelling Déplace la caméra à une distance spécifiée le long de l’axe Z de la caméra. Paramètres dans l’Inspecteur Distance : curseur et curseur de valeur qui définissent la distance du mouvement de travelling. Vitesse : menu local qui définit le type d’interpolation utilisé pour le mouvement. Les options possibles sont Constante, Atténuation en entrée, Atténuation en sortie, Atténuation en entrée/sortie, Accélérer et Ralentir. Commandes disponibles dans la palette La palette et l’Inspecteur proposent exactement les mêmes commandes. Balayage Fait pivoter la caméra selon un arc spécifié. Paramètres dans l’Inspecteur Début : cadran et curseur de valeur qui définissent l’angle de départ de l’orientation de la caméra par rapport à l’orientation actuelle de la caméra. Si la valeur de début est diffé- rente de zéro, la caméra passe directement à cette valeur au début du comportement. Utilisation de plusieurs présentations avec la commande Isoler Vous pouvez isoler autant d’objets que vous disposez de présentations. Il est possible de modifier un objet dans une présentation isolée tout en observant les résultats au moyen d’une caméra de scène dans une autre présentation. Une fois qu’un objet est isolé dans une vue, vous pouvez activer une autre fenêtre d’affichage et isoler un autre objet.Chapitre 1 Compositing 3D 33 Fin : cadran et curseur de valeur qui définissent l’angle final de l’orientation de la caméra par rapport à la valeur du paramètre Début de la caméra. Vitesse : menu local qui définit le type d’interpolation utilisé pour la rotation. Les options possibles sont Constante, Atténuation en entrée, Atténuation en sortie, Atténuation en entrée/sortie, Accélérer ou Ralentir. Axe : menu local qui définit l’axe autour duquel le balayage est effectué. Les options possibles sont Inclinaison X, Pivotement Y et Roulement Z. Contrôles disponibles dans la palette La palette et l’Inspecteur proposent exactement les mêmes contrôles. Zoom avant/arrière Anime le paramètre Angle de vue de la caméra. Paramètres dans l’Inspecteur Zoom : curseur et curseur de valeur qui définissent une valeur proportionnelle utilisée pour modifier le paramètre Angle de vue de la caméra. Vitesse : menu local qui définit le type d’interpolation utilisé pour le mouvement. Les options possibles sont Constante, Atténuation en entrée, Atténuation en sortie, Atténuation en entrée/sortie, Accélérer et Ralentir. Commandes disponibles dans la palette La palette et l’Inspecteur proposent exactement les mêmes commandes. Couche de zoom Déplace la caméra vers la position du point d’ancrage d’un objet cible. Lorsque la caméra atteint le point d’ancrage de l’objet, l’angle de vue change tout en décalant la position de la caméra. Ce comportement vous permet d’animer l’angle de vue de la caméra pendant le mouvement de la caméra, en fonction de la valeur Transition du comportement. Il convient en particulier aux caméras de type Cadrage. Paramètres dans l’Inspecteur Objet : cadre d’image servant à définir la cible du mouvement de la caméra. Faites glisser un objet de la Liste de couches dans le cadre. Transition : curseur et curseur de valeur qui déterminent le point du comportement où la caméra cesse de se déplacer et où le paramètre Angle de vue de la caméra commence à s’animer.34 Chapitre 1 Compositing 3D Si la transition définie est de 50 % dans un comportement Couche de zoom d’une longueur de 300 images, la caméra se déplace sur 150 images avant d’arriver à la position de l’objet cible, puis elle reste immobile pendant le reste du comportement ; le paramè- tre Angle de vue de la caméra s’anime pendant la durée restante. Si la valeur de Transition est définie à 100 %, le déplacement de caméra s’effectue sur les 300 images jusqu’à parvenir à la position de l’objet cible et l’angle de vue de la caméra ne s’anime pas. Si la durée du comportement Couche de zoom est de 100 images et si la Transition est réglée sur 50 %, le déplacement de la caméra prend 50 images pour arriver à la position de l’objet cible. Vitesse : menu local qui définit le type d’interpolation utilisé pour la rotation. Les options possibles sont Constante, Atténuation en entrée, Atténuation en sortie, Atténuation en entrée/sortie, Accélérer et Ralentir. Zoom : curseur et curseur de valeur qui définissent une valeur proportionnelle utilisée pour modifier le paramètre Angle de vue de la caméra. Une valeur autre que zéro détermine l’ampleur de la modification de l’angle de vue (et donc de la perspective) par rapport à l’angle de vue initial de la caméra. La valeur zéro laisse le paramètre Angle de vue inchangé. Commandes disponibles dans la palette La palette et l’Inspecteur proposent exactement les mêmes commandes. Glisser-déposer dans le Canevas Le fait de faire glisser et déposer un objet dans le Canevas l’ajoute à la scène au plan focal de la caméra actuelle. Faire glisser un objet dans la Liste de couches ou cliquer sur le bouton Appliquer situé dans la zone de Preview du navigateur a pour effet de placer cet objet aux coordonnées 0,0,0. Utilisation de caméras pour la configuration de présentations de travail utiles Lorsque vous créez un projet 3D, il peut être utile de placer les caméras de façon à pouvoir examiner la présentation de votre projet depuis différents points de vue. Au lieu de déplacer la caméra Perspective à maintes reprises, vous pouvez ajouter des caméras de scène servant de « signets spatiaux ». Comme vous n’aurez pas besoin d’utiliser ces camé- ras pendant l’exportation, assurez-vous de les désactiver avant le rendu.Chapitre 1 Compositing 3D 35 Interaction des groupes 2D et 3D Le type de groupe 3D donne plus de souplesse à vos projets, mais crée aussi des interactions complexes entre les types de groupe. Les groupes peuvent être de type 2D ou 3D, et il est possible de changer le type d’un groupe à tout moment. Pour changer le type 2D/3D d’un groupe : m Dans l’onglet Couches ou dans la Timeline, sélectionnez le groupe à modifier, puis effectuez l’une des opérations suivantes :  Choisissez Objet > Groupe 3D (ou appuyez sur Contrôle + D).  Cliquez sur l’icône 2D/3D dans la colonne État de la Liste de couches. Comportement au niveau racine Au niveau racine du projet, les groupes 2D n’ont pas le même comportement que lorsqu’ils sont imbriqués dans des groupes 3D. (Pour en savoir plus sur les groupes au niveau racine, reportez-vous à la section « Coordonnées relatives » à la page 12.) Les groupes 2D au niveau racine sont verrouillés sur la caméra, même si celle-ci est animée. Les groupes 2D en haut de la Liste de couches sont toujours rendus au premier plan et les groupes 2D au bas de la Liste de couches sont toujours rendus à l’arrière-plan. Les groupes 3D du niveau racine adjacents peuvent se croiser en fonction de l’ordre de profondeur. Icône 2D Icône 3D Liste de couches Résultat dans le Canevas36 Chapitre 1 Compositing 3D Dans l’exemple ci-dessus, le compositing des deux balles grises de la couche de premier plan 2D s’effectue toujours au-dessus du reste de la scène. La couche d’arrière-plan 2D est toujours composée au-dessous du reste de la scène. Le Groupe A et le Groupe B se coupent parce que ce sont des groupes 3D, mais aucun des deux ne peut couper les groupes 2D du niveau racine. Comportement des groupes 2D et 3D Bien que les groupes 2D et 3D aient beaucoup de propriétés en commun, la façon dont eux et leurs enfants se comportent et interagissent avec les autres objets d’un projet n’est pas la même. Les groupes 2D et 3D peuvent être des parents ou des enfants les uns des autres ; il n’y a pas de restriction au mélange des types de groupe. Onglet Groupe de l’Inspecteur L’onglet Groupe apparaît dans l’Inspecteur lorsque l’objet sélectionné est un groupe. Cet onglet contient le paramètre Type qui permet de faire basculer un groupe entre le mode 2D et le mode 3D. Les groupes 2D et 3D mettent à disposition des paramètres différents. Lorsque le paramètre Type est défini à 3D, les paramètres Aplatir et Ordre de couche deviennent disponibles. Lorsque la case Aplatir est cochée, tous les éléments du groupe 3D sont aplatis comme une « carte » ou un « panneau d’affichage ». Lorsque la case Ordre de couche est cochée, les enfants du groupe sont triés en fonction de l’ordre dans lequel ils apparaissent dans la Liste de couches et non en fonction de l’ordre de profondeur (c’est-à-dire, de leur position sur l’axe Z). Pour en savoir plus, voir « Ordre de couche et ordre de profondeur » à la page 14. Lorsque le paramètre Type est défini à 2D, le paramètre Résolution fixe devient disponible et vous permet de définir manuellement la taille d’un groupe. Par défaut, l’option Résolution fixe est désactivée et la taille du groupe dépend des couches qu’il contient. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section « Définition de la taille d’un groupe » dans le chapitre 2 du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Remarque : lorsqu’il est activé, le paramètre Résolution fixe rogne le groupe autour de son point d’ancrage afin de lui donner la taille spécifiée dans les paramètres Largeur fixe et Hauteur fixe.Chapitre 1 Compositing 3D 37 Propriétés des groupes 2D Un groupe 2D possède les propriétés suivantes :  Le compositing de ses enfants s’effectue dans l’ordre de couche.  Les filtres sont appliqués au groupe dans l’espace local, c’est-à-dire « à plat » sur l’image.  Le groupe est éclairé comme s’il s’agissait d’un seul objet ; ses enfants ne sont pas éclairés individuellement. Remarque : les groupes 2D au niveau racine ne sont pas éclairés.  Étant donné qu’il est toujours plat, un groupe 2D dispose des paramètres Rognage, Ombre portée et Quatre angles.  Sa résolution peut être fixe. Propriétés des groupes 3D Un groupe 3D possède les propriétés suivantes :  Le compositing de ses enfants s’effectue dans l’ordre de profondeur (conformément à leur position sur l’axe Z).  Les filtres sont appliqués au groupe dans l’espace de présentation. En d’autres termes, le filtre agit sur le groupe comme s’il était appliqué à l’objectif de la caméra qui observe le groupe. Damier d’un groupe 2D auquel le filtre Déformation en tourbillon est appliqué Damier d’un groupe 3D auquel le filtre Déformation en tourbillon est appliqué selon trois angles différents38 Chapitre 1 Compositing 3D  Ses enfants sont éclairés individuellement.  Seuls les groupes 3D pour lesquels le paramètre Aplatir est activé disposent des paramètres Rognage, Ombre portée et Quatre angles. Tramage Certaines opérations, tout comme l’application de divers filtres ou d’un masque, provoquent le tramage du groupe concerné. Lorsqu’il est tramé, un groupe est converti en image bitmap. Le tramage affecte les groupes 2D et 3D différemment. Lorsqu’un groupe 2D est tramé, les modes de fusion appliqués aux objets au sein du groupe n’ont plus aucune interaction avec les objets situés en dehors du groupe. Par ailleurs, si un groupe 3D est tramé, l’intégralité du groupe ne peut plus avoir aucune interaction avec les objets situés en dehors. Le groupe 3D tramé est traité comme s’il s’agissait d’un seul objet et utilise l’ordre de couche (dans l’onglet Couches) plutôt que l’ordre de profondeur (le long de l’axe Z) lors de son compositing avec le reste des éléments du projet. Remarque : même si un groupe 3D est tramé, les caméras et les lumières utilisées dans le projet ont toujours une interaction avec les objets situés au sein de ce groupe. Utilisation des objets à l’intérieur des groupes plats Lorsqu’un objet est déplacé le long de son axe Z à l’intérieur d’un groupe plat, ce qui inclut les groupes 2D et les groupes 3D aplatis, il semble plutôt grandir ou rapetisser que s’approcher ou s’éloigner de la caméra. Si vous ne parvenez pas à trouver un objet dans votre projet, vous pouvez le rechercher en redéfinissant son paramètre Position à 0, 0, 0. Cela a pour effet de centrer l’objet dans le groupe plat. Vous pouvez utiliser la commande Isoler pour aligner la présentation active sur l’axe du groupe plat. Elle facilite en effet l’ajustement des objets à l’intérieur du groupe. Pour en savoir plus sur la commande Isoler, reportez-vous à la section « Isoler » à la page 31.Chapitre 1 Compositing 3D 39 La modification des paramètres suivants déclenche le tramage d’un groupe : Groupes 2D  Modification des paramètres de fusion (Opacité, Mode de fusion, Conserver l’opacité)  Activation de l’option Ombre portée  Activation de l’option Quatre angles  Activation de l’option Rognage  Application de n’importe quel filtre  Ajout d’un masque  Ajout d’une lumière hors d’un groupe Groupes 3D  Modification des paramètres de fusion  Application de certains filtres  Ajout d’un masque  Ajout d’une lumière hors d’un groupe 3D avec le paramètre Aplatir activé Une fois le tramage déclenché par l’une de ces opérations, les événements suivants surviennent :  Un indicateur de tramage (semblable à un voyant) apparaît en regard du paramètre dans l’onglet Propriétés.  Un contour léger apparaît autour de l’icône représentant le groupe 2D ou 3D (à gauche de son nom) dans l’onglet Couches et la liste de couches de la Timeline. Important : les émetteurs de particules 3D, les réplicateurs 3D et les objets texte en relief sont traités comme des groupes 3D pour les besoins du tramage. Pas de tramage ; pas de voyant DEL Le mode de fusion normal produit un tramage ; voyant DEL allumé Pas de tramage Indicateur de tramage autour de l’icône de groupe40 Chapitre 1 Compositing 3D Exemples de tramage de groupe 2D et de groupe 3D L’exemple ci-dessus comprend deux groupes : le premier (le plus haut dans la Liste de couches) contient l’image d’un éléphant seul. Le second groupe contient l’image d’une famille d’éléphants. Dans l’exemple de gauche ci-dessus, le mode de fusion défini pour l’image représentant un éléphant seul (qui fait partie du groupe le plus haut dans la liste) est Lumière vive. Comme le groupe n’est pas tramé, le mode de fusion passe à travers le groupe et agit sur l’arrière-plan. Dans l’exemple de droite ci-dessus, le groupe le plus haut est tramé, de sorte que le mode de fusion de l’image de l’éléphant ne passe plus à travers. Dans l’exemple de gauche ci-dessus, le Groupe A et le Groupe B se coupent parce qu’ils ne sont pas tramés. Dans l’exemple de droite ci-dessus, le Groupe A a été tramé, de sorte que le Groupe A et le Groupe B ne se coupent plus. Important : si le mode de fusion défini pour un groupe est Pass Through et si un mode de fusion différent a été appliqué à l’un des enfants du groupe, les enfants ne sont pas tramés. Aucun groupe tramé Groupe du dessus tramé Aucun groupe tramé Groupe A traméChapitre 1 Compositing 3D 41 Éclairage L’éclairage peut être appliqué à un projet d’animation pour améliorer la profondeur et l’étendue du compositing. Il peut aussi contribuer à la création d’environnements réalistes pour les composites. Le système d’éclairage de Motion fonctionne uniquement sur les groupes 3D et leurs enfants. Pour ajouter une lumière à un projet : m Choisissez Objet > Nouvelle lumière (ou appuyez sur Commande + Maj + L). Un objet lumière est ajouté dans la Liste de couches, dans la Timeline et dans le Canevas (il est représenté dans ce dernier par une icône fil de fer) et l’outil de transformation 3D de la barre d’outils devient actif. Si vous ajoutez une lumière à un projet ne contenant aucun groupe 3D, la zone de dialogue suivante apparaît : Si vous sélectionnez Conserver en 2D, une lumière au niveau racine n’a aucun effet tant qu’il n’y a pas au moins un groupe 3D de niveau racine. Par défaut, les groupes et les objets affichent l’ombre résultant des lumières dès que ces dernières sont ajoutées. Processus d’activation des lumières Une lumière s’active lorsqu’elle est un enfant des objets suivants :  le projet (par exemple, une lumière se trouve au niveau racine du projet) ;  un groupe 3D aplati. Important : si vous déplacez un groupe 3D contenant une lumière dans un groupe 2D, la zone de dialogue suivante apparaît, sauf si le paramètre Aplatir du groupe est activé.42 Chapitre 1 Compositing 3D Propriétés modifiant l’apparence des lumières Lorsque vous ajoutez des lumières à une scène, deux groupes de propriétés contribuent à l’apparence des lumières : les propriétés de lumière et les propriétés d’éclairage des objets. Vous pouvez régler les propriétés de lumière en sélectionnant un objet lumière dans votre projet, puis en modifiant les valeurs de paramètre dans l’onglet Lumière de l’Inspecteur. Vous pouvez manipuler les propriétés d’éclairage des objets en sélectionnant un objet autre qu’un objet lumière dans le projet (une image, un plan vidéo, une forme, etc.), puis en ajustant les paramètres d’éclairage dans l’onglet Propriétés de cet objet. Les propriétés de lumière (c’est-à-dire, la qualité de la source lumineuse elle-même) sont réparties en plusieurs catégories : le type de lumière, son intensité et sa couleur. Par exemple, une ampoule électrique, le soleil et l’éclairage d’une discothèque ont chacun une apparence différente. Les propriétés d’éclairage peuvent être utilisées pour simuler ces différences. Paramètres de lumière Lorsque vous créez une lumière ou sélectionnez un objet lumière dans l’onglet Couches, l’onglet Lumière devient disponible dans l’Inspecteur. L’onglet Lumière contient les paramètres suivants : Type de lumière : menu local permettant de choisir entre quatre catégories de lumière.  Ambiance : une lumière ambiante émet de la lumière dans toutes les directions. Ce type de lumière n’a pas de position, ni de représentation dans le Canevas. La lumière ambiante éclaire tous les objets de la scène avec la même intensité de tous les côtés. Par ailleurs, les lumières ambiantes sont les seules à n’avoir aucune incidence sur les hautes lumières. Les lumières ambiantes sont le plus souvent utilisées pour ajouter un effet de remplissage global ou une dominante de couleur. Remarque : étant donné qu’il n’y a pas de propriété d’ambiance globale dans Motion, il se peut que vous deviez ajouter une lumière ambiante pour éviter l’obscurité totale. Combinaison de plusieurs types de lumière Chaque type de lumière possède ses propres attributs qui sont uniques. Il peut être nécessaire de combiner plusieurs types de lumière pour obtenir l’effet désiré. La plupart des scènes comportant des lumières doivent inclure une lumière ambiante pour ajouter de la profondeur ou éviter une obscurité totale. Comme pour les lumières du monde réel, vous pouvez utiliser plusieurs lumières pour mélanger des couleurs. Par exemple, un projecteur rouge et un projecteur bleu dirigés sur un objet blanc se mélangent pour produire du magenta.Chapitre 1 Compositing 3D 43  Directionnel : une lumière directionnelle émet des rayons de lumière parallèles dans une direction donnée à partir d’une source située à une distance infinie. Seule la rotation de cette lumière influe sur son effet. Une icône de lumière directionnelle peut être utilisée conjointement avec les contrôles de transformation pour mieux visualiser l’orientation de la lumière dans une scène. La lumière directionnelle apparaît sous la forme d’un cylindre dont l’une des extrémités a été retirée. Le cercle représente l’origine de la lumière et les lignes indiquent le sens dans lequel la lumière se propage.  Point : une lumière ponctuelle émet de la lumière dans toutes les directions à partir d’un seul point de l’espace 3D. Si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter une atténuation en fonction de la proximité d’un objet par rapport à la lumière. La lumière ponctuelle est la lumière utilisée par défaut dans Motion. Elle produit un résultat semblable à celui obtenu avec une ampoule incandescente. Lumière directionnelle Exemple de lumière directionnelle Lumière ponctuelle Exemple de lumière ponctuelle44 Chapitre 1 Compositing 3D  Spot : un spot émet de la lumière depuis une source lumineuse de forme conique et projette une forme elliptique sur les objets frappés par cette lumière. L’utilisation d’un spot offre une grande précision lorsque vous souhaitez limiter la zone éclairée par la lumière. Couleur : ensemble standard de contrôles qui permettent de sélectionner la couleur de la lumière. Intensité : équivaut au « variateur d’ambiance » de l’éclairage. Si vous utilisez une lumière directionnelle avec une intensité de 100 % et que vous la dirigez directement sur un objet de couleur rouge, celui-ci paraît rouge. Si vous baissez l’intensité, l’objet et la scène deviennent plus foncés. En revanche, si vous augmentez l’intensité au-dessus de 100 %, la scène commence à être surexposée, et l’objet peut finalement paraître blanc. Le curseur de valeur d’intensité peut être utilisé pour définir une valeur comprise entre 0 et 400, mais il n’y a pas de limite maximale d’intensité (utilisez le curseur de valeur pour définir une valeur supérieure à 400). Remarque : plusieurs lumières en interaction avec un objet se combinent pour augmenter la luminosité apparente de cet objet. Si deux lumières de spot dont l’intensité est définie à 100 % se chevauchent dans l’espace et sont orientées dans le même sens, le résultat obtenu est identique à celui que produirait une seule lumière de spot d’une intensité de 200 %. Début d’atténuation : curseur et curseur de valeur permettant de définir le point où commence l’atténuation d’une lumière. Dans le monde réel, la lumière s’atténue, c’est-à-dire que son effet diminue, à mesure que la distance par rapport à cette lumière augmente. En général, l’atténuation commence au centre de la lumière. Si vous définissez Début d’atté- nuation, vous avez un plus grand contrôle sur l’éclairage du projet. Ce paramètre s’applique uniquement aux types de lumière qui utilisent un paramètre Position (Point et Spot). Lumière de spot Exemple de lumière de spotChapitre 1 Compositing 3D 45 Dans l’exemple ci-dessous, une lumière est placée légèrement au dessus de l’origine de la scène. Trois cercles de cartes sont disposés respectivement à une distance de 200, 500 et 1 000 unités de la lumière. (Dans cet exemple, une source de lumière visible, à savoir l’ampoule placée au centre des cercles de cartes, est simulée à des fins d’illustration.) L’intensité de la lumière est définie à 100 % et l’atténuation à 10 %. Lorsque Début d’atténuation est défini à 0 (à gauche, ci-dessous), la lumière a déjà commencer à s’atté- nuer lorsqu’elle frappe le cercle le plus proche du centre. Lorsque Début d’atténuation est défini à 200 (à droite, ci-dessous), le cercle le plus proche du centre est éclairé avec une intensité de 100 % et les cercles extérieurs sont légèrement plus lumineux. Lorsqu’on augmente la valeur de Début d’atténuation à 500 (à gauche, ci-dessous), le cercle intérieur et celui du milieu sont éclairés avec une intensité de 100 % et le cercle extérieur est plus lumineux qu’avant. Enfin, lorsque Début d’atténuation est défini à 1 000 (à droite, ci-dessous), tous les cercles sont éclairés avec une intensité de 100 %. Début d’atténuation défini sur 0 Début d’atténuation défini sur 200 Début d’atténuation défini sur 500 Début d’atténuation défini sur 100046 Chapitre 1 Compositing 3D Dans l’exemple suivant, l’image de gauche contient une lumière dont l’intensité est définie à 100 % et celle de droite une lumière dont l’intensité est de 500 %. Dans l’image de droite, les cercles extérieurs sont légèrement plus lumineux, mais le cercle le plus au centre est surexposé. Si le début d’atténuation de la lumière de l’image de droite était augmenté à 1 000, tous les cercles seraient surexposés. Atténuation : curseur et curseur de valeur permettant de contrôler le taux d’atténuation d’une lumière ponctuelle ou d’une lumière de spot en fonction du paramètre Début d’atténuation. Lorsque la valeur de l’atténuation est faible, la lumière s’atténue sur une longue distance à partir de la source de lumière, ce qui signifie qu’elle se propage plus loin dans l’image. Plus cette valeur est élevée, plus l’atténuation se produit rapidement. Angle du cône de spot : cadran et curseur de valeur devenant disponibles uniquement lorsque le Type de lumière est Spot. L’angle du cône est mesuré à partir du centre de la lumière vers l’extérieur. Sa valeur peut être comprise entre 0 et 90°. La distance entre la lumière et sa cible a une incidence sur le résultat de ce paramètre. Si la lumière est proche, un angle de cône plus large peut être nécessaire pour éclairer une plus grande partie de l’objet. Si la lumière est éloignée, un angle de cône plus réduit peut être nécessaire pour isoler les objets. Adoucissement du cône : cadran et curseur de valeur qui deviennent disponibles uniquement lorsque le Type de lumière est Spot. Tout comme pour le paramètre Angle du cône, la valeur peut être comprise entre 0 et 90°. Elle est mesurée à partir du bord extérieur de l’angle du cône de spot. Si cette valeur est définie à 0, les lumières de spot ont un bord dur. Les valeurs faibles produisent un léger effet d’adoucissement à la limite de la zone éclairée. Les valeurs plus élevées produisent un fondu plus large et plus naturel. Étant donné que l’ajout d’un adoucissement accroît la surface éclairée par la lumière, il se peut que vous deviez ajuster l’angle pour obtenir l’effet désiré. Intensité définie à 100 ; Début d’atténuation défini à 0 Intensité définie à 500 ; Début d’atténuation défini à 0Chapitre 1 Compositing 3D 47 Propriétés d’éclairage des objets Tous les objets « éclairables » disposent de propriétés qui permettent de contrôler la façon dont ils réagissent aux lumières d’une scène. Vous pouvez ajuster ces propriétés pour un objet donné dans la section Éclairage de l’onglet Propriétés. L’onglet Propriétés de l’Inspecteur contient les contrôles d’éclairage suivants : Ombres : menu local qui permet de définir la manière dont un objet réagit aux lumières de la scène. Si cette option est activée, l’objet peut être éclairé. Si elle est désactivée, l’objet ignore les lumières de la scène. Si elle est définie à Hérité (valeur par défaut), l’objet utilise la valeur Ombres de son parent. Remarque : il est possible de sélectionner Activé pour le paramètre Ombres de l’enfant d’un groupe (quel que soit son niveau d’imbrication). Ce réglage annule tous les réglages de groupe qui ont été appliqués à l’objet enfant auparavant. Hautes lumières : case permettant d’activer ou de désactiver l’affichage des hautes lumiè- res sur les objets éclairés. Ce paramètre est sans effet si Ombres est défini à Désactivé. Brillance : curseur et curseur de valeur qui définissent l’intensité des hautes lumières sur un objet. Les valeurs élevées donnent à l’objet un aspect plus brillant. Il se peut que vous deviez régler avec beaucoup de précision les propriétés de surface d’objet et les paramètres d’éclairage pour obtenir le résultat souhaité. Amélioration des effets d’éclairage Les lumières ne projettent pas d’ombres dans Motion. Dans certains cas, le paramètre Ombre portée d’un objet peut être un substitut efficace si la caméra est immobile. Simulation d’ombre créée à l’aide du paramètre Ombre portée48 Chapitre 1 Compositing 3D Il existe une autre méthode pour simuler les ombres qui consiste à modifier un double de l’objet éclairé. Les sources lumineuses ne sont pas visibles. Vous pouvez simuler une source lumineuse visible en combinant une lumière ponctuelle avec une image ou une forme. Remarque : utilisez le comportement Suivre le mouvement pour déplacer une source lumineuse simulée avec une lumière dans un plan vidéo. Pour en savoir plus sur le comportement Suivre le mouvement, reportez-vous à la section « Flux de travaux du comportement Suivre le mouvement » à la page 59. Ombre simulée créée avec un double modifié de l’objet texte Source lumineuse visible simulée créée par combinaison d’une lumière avec une forme2 49 2 Suivi de l’animation Les comportements de suivi permettent de suivre le mouvement des objets, de stabiliser les plans ou de suivre les effets des filtres. À propos du suivi de l’animation Le suivi de l’animation est une méthode consistant à enregistrer le mouvement d’un élé- ment (une forme ou un point de référence au sein d’un plan) dans le Canevas, puis à appliquer les données de mouvement enregistrées à un autre élément du Canevas. Vous pouvez, par exemple, utiliser les techniques du suivi de l’animation pour « épingler » un graphisme réalisé en postproduction sur le côté d’un bus en mouvement, pour « accrocher » un cercle flou au visage d’une personne afin de préserver son anonymat ou pour « remplacer » le visage d’un cascadeur intrépide par celui d’un acteur connu mais prudent. Motion comprend un ensemble de comportements de suivi automatisés qui permettent de réaliser toutes ces opérations et bien d’autres :  Suivi du mouvement d’éléments dans les plans : vous pouvez appliquer les données de suivi d’un élément à l’arrière-plan (tel qu’un panneau publicitaire) à un élément superposé au premier plan (tel qu’un graphisme de logo) de sorte que ces deux éléments semblent emboîtés. Cette technique est appelée suivre le mouvement.  Suivi du mouvement d’objets animés dans le Canevas : vous pouvez appliquer les données d’animation d’un objet animé à un autre objet du projet. Vous pouvez, par exemple, accrocher un émetteur de particules de fumée à un vaisseau spatial animé, de sorte qu’un panache de fumée d’échappement « suive » le vaisseau spatial dans tous ses déplacements.  Stabilisation du mouvement de la caméra dans les plans : vous pouvez appliquer des données de suivi pour supprimer des mouvements de caméra ou un tremblement indésirables dans un film ou une séquence d’images. Cela permet, par exemple, de corriger les prises de vue effectuées avec la caméra à l’épaule. 50 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Déstabilisation des plans : vous pouvez restaurer les mouvements d’un plan stabilisé au préalable. Cette technique s’avère utile lorsque vous avez stabilisé un plan pour y ajouter un effet au premier plan, mais que vous souhaitez restaurer les mouvements originaux de la caméra dans le composite final.  Suivi du paramètre de position d’un filtre : vous pouvez appliquer des données de suivi au paramètre de position d’un filtre. Vous pouvez, par exemple, forcer le point central d’un filtre Rayons de lumière à suivre le faisceau d’une lampe de poche en mouvement dans un plan. Les données de suivi du faisceau de la lampe de poche sont appliquées à un seul paramètre du filtre (le paramètre Centre) plutôt qu’à l’ensemble du filtre.  Suivi des points de contrôle d’une forme ou d’un masque : vous pouvez appliquer les données de suivi de points de référence d’un plan aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque. Cette technique permet, par exemple, d’attacher un masque à un élément en mouvement dans un plan afin d’isoler cet élément pour lui appliquer des effets supplémentaires. Motion permet de suivre une ou plusieurs caractéristiques de référence au sein d’un plan :  Suivi à un seul point : effectuez le suivi d’un seul motif de référence (une petite zone de pixels) au sein d’un plan afin d’enregistrer des données de position.  Suivi à deux points : effectuez le suivi de deux motifs de référence au sein d’un plan et utilisez la relation entre les deux points suivis pour enregistrer des données de position, d’échelle et de rotation.  Suivi à quatre points : également appelé déformation par les quatre angles. Effectuez le suivi de quatre motifs de référence au sein d’un plan afin d’enregistrer des données de position, d’échelle et de rotation. Les quatre suiveurs analysent la relation entre les quatre motifs de référence, par exemple les angles du cadre d’une image ou d’un écran de télévision. Ces données sont appliquées à chaque coin d’une image ou d’un plan pour « accrocher » le plan de telle sorte qu’il donne l’impression d’être fixé au cadre de l’image ou à l’écran du téléviseur.  Suivi à plusieurs points : effectuez le suivi d’autant de motifs de référence que vous le souhaitez au sein d’un plan. Il est possible d’ajouter manuellement des suiveurs aux comportements Analyser animation et Stabiliser. Si vous appliquez un comportement Suivre les points, tiré de la sous-catégorie de comportement Forme, à une forme ou à un masque, un suiveur est automatiquement affecté à chaque point de contrôle de la forme. Remarque : bien que Motion dispose d’un espace de travail en 3D, le suivi effectué dans Motion est planaire. En d’autres termes, le suivi ne se produit pas dans l’espace Z. Ainsi, si vous analysez deux caractéristiques au sein d’un plan, et que ce plan est en mouvement dans l’espace 3D, vous enregistrez les modifications de position, d’échelle ou de rotation au fil du temps dans le plan, mais pas la transformation 3D elle-même. L’objet suivi est appelé élément d’arrière-plan ou source. L’objet auquel les données de suivi sont appliquées est appelé élément de premier plan ou de destination.Chapitre 2 Suivi de l’animation 51 Fonctionnement d’un suiveur Chaque suiveur analyse une zone de pixels tout au long d’une série d’images au sein d’un plan pour « accrocher » un motif lors de son déplacement dans le Canevas. Vous spécifiez la zone de pixels concernée sur une ou plusieurs images de référence et Motion se charge de suivre cette zone pendant une période donnée. La durée de cette période dépend de la longueur du comportement de suivi, de la longueur de la plage de lecture définie ou de la longueur du plan. Dans Motion, cette zone de pixels est appelée motif de référence et elle est automatiquement définie autour du suiveur à l’écran. L’idéal est que le motif de référence soit un détail constant, facilement identifiable et présentant un contraste élevé, ce qui le rend plus facile à suivre. Le suiveur passe d’une image à l’autre en échantillonnant de nombreuses positions à l’intérieur de la zone de recherche autour de son point central. Certaines de ces positions « correspondent » de manière plus précise que d’autres au motif de référence désigné au préalable. Le suiveur trouve la position à laquelle la zone de recherche correspond le mieux au motif de référence, avec un degré de précision de l’ordre du sous-pixel. Le suiveur attribue une valeur de corrélation pour chaque image analysée en mesurant le degré de ressemblance de la meilleure correspondance. Le suiveur recherche non seulement la position du motif de référence, mais identifie aussi la manière dont le motif se transforme (par changement d’échelle, rotation ou déformation) d’une image à l’autre. Imaginez, par exemple, que vous effectuez le suivi d’un logo placé sur la manche de chemise d’une personne qui passe devant la caméra. Si cette personne se retourne légèrement au moment de passer devant la caméra, le motif de référence subit une rotation. Le suiveur détecte non seulement la position du motif de référence, mais aussi toute modification de l’échelle ou de la rotation de ce motif. Une fois que la position et les valeurs de corrélation ont été déterminées par le suiveur pour une image donnée, Motion enregistre ces informations dans des images clés. Ce processus est ensuite répété pour chaque image jusqu’à ce que la fin de la plage de suivi soit atteinte. Suiveur52 Chapitre 2 Suivi de l’animation Les données enregistrées sont stockées sous forme d’images clés dans le comportement de suivi. Elles vous permettent d’appliquer rapidement les suivis à de nombreux autres éléments du projet. Remarque : le comportement Stabiliser utilise une technologie avancée qui analyse l’animation de la totalité de l’image d’un plan sans avoir recours à des suiveurs. Motion compte six comportements de suivi répartis comme suit: quatre dans la sous-caté- gorie de comportement Suivi de l’animation, un dans la sous-catégorie de comportement Formes et un dans la sous-catégorie de comportement Paramètre. Comportements Suivi de l’animation Motion utilise des comportements pour collecter, stocker et appliquer des données d’animation. Comme les données sont stockées dans le comportement (sous forme d’images clés), elles peuvent facilement être appliquées à d’autres objets au sein d’un projet. Le comportement Suivi de l’animation peut également être utilisé pour partager des données d’animation créées par des comportements ou des images clés entre des objets. Les comportements Suivi de l’animation sont appliqués de la même manière que tous les autres comportements. Lorsqu’un comportement de suivi effectue son analyse, des points de suivi apparaissent dans le Canevas et des images clés de suivi sont créées dans le comportement. Ces images clés résident dans le comportement qui est appliqué à un objet, elles ne sont pas appliquées à l’objet lui-même. Remarque : les points de suivi à l’écran et les images clés de suivi ne sont pas créés lorsque vous utilisez l’analyse d’animation par défaut du comportement Stabiliser. Le cas échéant, vous pouvez convertir les données d’animation enregistrées ou référencées par le comportement Suivre le mouvement, Stabiliser ou Déstabiliser en images clés d’objets. Une fois converti, le comportement de suivi est supprimé et les images clés de transformation sont incorporées à l’objet. Pour en savoir plus sur la conversion des comportements, reportez-vous à la section « Conversion de suivis en images clés » à la page 87. Il existe quatre comportements Suivi de l’animation :  Analyser animation : ce comportement n’est utilisé que pour générer et contenir des informations de suivi provenant d’un plan. Contrairement aux comportements Suivre le mouvement et Stabiliser, Analyser animation est dépourvu de la capacité de modifier l’objet suivi. Les suivis collectés par le comportement Analyser animation peuvent être appliquées à d’autres éléments du projet à l’aide du comportement Suivre le mouvement.Chapitre 2 Suivi de l’animation 53 Remarque : le comportement Analyser animation ne peut être appliqué qu’à une séquence (séquence QuickTime ou séquence d’images). Le comportement Analyser animation peut générer autant de suiveurs que vous le souhaitez.  Comportement Suivre le mouvement : ce comportement est utilisé pour « relier » un élément du premier plan à un élément à l’arrière-plan de sorte qu’ils semblent ne faire qu’un seul bloc. Cet effet peut être obtenu de trois manières différentes :  Vous pouvez relier un élément du premier plan à un élément d’arrière-plan au moyen du suivi à un point (position), à deux points (position, échelle ou rotation) ou à quatre points (déformation par les angles). Contrairement aux autres comportements de suivi, Suivre le mouvement peut effectuer le compositing ou vous laisser apporter des modifications supplémentaires (flou, étalonnage, etc.) avant la création du composite final.  Vous pouvez faire référence à un suivi enregistré dans un autre comportement de suivi. Il est possible de sélectionner les suivis auxquels il est fait référence dans le menu local des comportements de suivi qui se trouve dans l’Inspecteur ou dans la palette du comportement.  Vous pouvez rapidement appliquer les données d’animation d’un objet, par exemple l’animation créée par des comportements ou des images clés, à un autre élément du projet sans analyser l’objet source. Faites glisser l’objet source animé et déposez-le dans le cadre Source situé dans l’Inspecteur ou dans la palette du comportement afin d’appliquer son mouvement à l’objet de destination. Remarque : le comportement Suivre le mouvement peut être appliqué à pratiquement tous les types d’objets.  Comportement Stabiliser : ce comportement permet de supprimer tout mouvement non souhaité dans un plan, tel que le tremblement de la caméra. La stabilisation peut être appliquée aux mouvement horizontaux ou verticaux du plan ou à une combinaison de mouvements horizontaux et verticaux. Il existe trois manières d’obtenir cet effet :  Motion peut analyser et stabiliser automatiquement un plan sans utiliser de suiveurs. Dans ce cas, le comportement Stabiliser évalue la totalité de l’image d’un plan en effectuant une analyse de l’animation visant à enregistrer le mouvement de la caméra. Il permet deux utilisations différentes des données enregistrées : le lissage du plan, qui élimine tout tremblement indésirable tout en conservant le mouvement général de la caméra, et le verrouillage du plan, qui stabilise un sujet. Ce comportement permet d’analyser et de modifier la position, l’échelle et la rotation.54 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Outre l’analyse de l’animation sur toute l’image, vous avez la possibilité d’ajouter manuellement des suiveurs pour le suivi à un point (position) ou à deux points (position, échelle ou rotation). Par ailleurs, vous pouvez ajouter autant de suiveurs que vous le souhaitez. Lorsque vous ajoutez des suiveurs manuels au comportement Stabiliser, Motion stabilise le plan à l’aide de données qui proviennent des suiveurs plutôt que d’une analyse automatique de l’animation. Si cette méthode est utilisée, le suiveur déplace la totalité de l’image afin que le point de suivi se trouve exactement au même endroit dans chaque image successive.  Vous pouvez charger des suivis enregistrés dans un autre comportement Stabiliser. Pour charger un autre suivi, choisissez-le dans le menu local des comportements de suivi qui se trouve dans l’Inspecteur ou dans la palette de comportements de suivi. Remarque : le comportement Stabiliser ne peut être appliqué qu’à une séquence (séquence QuickTime ou séquence d’images).  Comportement Déstabiliser : ce comportement n’effectue aucun suivi. Il applique le mouvement enregistré par un autre comportement de suivi, tel que Stabiliser, à un plan ou à un objet. Cela vous permet de faire correspondre le tremblement de la caméra au sein d’un plan à des éléments du premier plan qui ont été ajoutés lors de la postproduction. Pour charger des données de suivi, choisissez un suivi dans le menu local des comportements de suivi qui se trouve dans l’Inspecteur ou dans la palette de comportements de suivi. Remarque : le comportement Déstabiliser peut être appliqué à pratiquement tous les types d’objets. Comportement Suivre les points d’une forme Le comportement Suivre les points, qui fait partie de la sous-catégorie de comportement Forme, permet de réaliser l’une des opérations suivantes :  relier les points de contrôle d’une forme ou d’un masque (y compris des traits de peinture) à des caractéristiques de référence situées dans un plan source. Vous pouvez, par exemple, dessiner un masque dans un plan autour d’une voiture, puis relier les points de contrôle du masque à la voiture en mouvement pour détacher cette dernière de l’arrière-plan. Vous pouvez ensuite appliquer des effets uniquement à la voiture sans toucher la zone de l’image qui se trouve autour ;  appliquer aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque des données de suivi existantes enregistrées par le comportement de suivi Analyser animation, Suivre le mouvement ou Stabiliser. Remarque : le comportement Suivre les points ne peut être appliqué qu’aux formes (y compris les traits de peinture) et aux masques.Chapitre 2 Suivi de l’animation 55 Comportement Suivre le paramètre Le comportement Suivre le paramètre, qui fait partie de la sous-catégorie de comportement Paramètre, permet de relier un paramètre de filtre, tel que le paramètre Centre d’un filtre Flou circulaire, à une caractéristique de référence à l’intérieur d’un plan. Les données de suivi peuvent être obtenues de deux manières :  Une fois que le comportement Suivre le paramètre a été ajouté au paramètre de position d’un filtre, un plan peut être analysé depuis l’intérieur du comportement et les données enregistrées peuvent être appliquées au paramètre de position.  Les données de suivi obtenues à partir d’un autre comportement de suivi peuvent être référencées par le comportement Suivre le paramètre. Les données enregistrées provenant du comportement référencé sont appliquées au paramètre de position. Remarque : le comportement Suivre le paramètre est conçu pour une utilisation avec le paramètre de position d’un filtre. Flux de travaux du suivi d’animation Les sections ci-après donnent un aperçu général des étapes nécessaires à la création d’un suivi à l’aide des comportements Suivi de l’animation. Elles comprennent également une description détaillée de tous les paramètres. Il est rare d’obtenir des résultats parfaits avec le suivi dès le premier essai et des réglages de précision sont généralement nécessaires. Pour en savoir plus sur les diverses méthodes de suivi, reportez-vous à la section « Stratégies pour un suivi amélioré » à la page 85. Important : sauf dans le cas du mode d’analyse automatique du comportement Stabiliser, l’analyse de suivi commence à la position actuelle de la tête de lecture pour tous les flux de travaux. Pour définir une zone de suivi, définissez un point de sortie pour le plan faisant l’objet du suivi. Pour définir un point de sortie, placez la tête de lecture sur l’image adé- quate, sélectionnez le plan, puis choisissez Marquer > « Marquer le point de sortie de la plage de lecture » (ou appuyez sur Commande + Option + O). Flux de travaux général du suivi d’animation (avec Analyser animation) Cette section fournit une vue d’ensemble du flux de travaux commun à la plupart des comportements de suivi d’animation. Le comportement Analyser animation est utilisé dans cet exemple. Le comportement Analyser animation analyse et stocke les informations de suivi provenant d’un plan. Ce comportement ne transforme pas l’objet suivi. Les données peuvent servir de référence à d’autres comportements de suivi. Pour obtenir une description complète des paramètres Analyser animation, reportezvous à la section « Contrôles du comportement Analyser animation » à la page 103.56 Chapitre 2 Suivi de l’animation Pour générer un suivi pour un plan à l’aide du comportement Analyser animation : 1 Sélectionnez la séquence à utiliser dans la liste de couches, dans la Timeline ou dans le Canevas, cliquez sur l’icône Ajouter comportement dans la barre d’outils, puis choisissez Suivi de l’animation > Analyser animation dans le menu local. Remarque : vous pouvez aussi sélectionner la séquence, sélectionner le comportement dans la Bibliothèque, puis cliquer sur le bouton Appliquer dans la zone d’aperçu de la Bibliothèque ou faire glisser le comportement depuis la Bibliothèque jusque dans la séquence. Le suiveur est ajouté à la séquence. Par défaut, un seul suiveur apparaît au centre du Canevas. 2 Lisez votre plan d’arrière-plan plusieurs fois pour déterminer un bon point de suivi, puis placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi. 3 Dans le Canevas, faites glisser le suiveur jusque sur le point de référence à utiliser. Remarque : pour en savoir plus sur l’utilisation du suiveur à l’écran, reportez-vous à la section « Ajustement des suiveurs à l’écran » à la page 82. Pour en savoir plus sur la sélection d’un bon point de référence pour le suivi, reportez-vous à la section « Stratégies pour un suivi amélioré » à la page 85. 4 Pour ajouter des suiveurs, cliquez sur le bouton Ajouter situé dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Chaque nouveau suiveur est ajouté au centre du Canevas.Chapitre 2 Suivi de l’animation 57 5 Faites glisser les suiveurs supplémentaires et déposez-les sur les points de référence à utiliser. 6 Pour effectuer le suivi d’une plage d’images donnée, ajustez les points de début et de fin du comportement de suivi dans la Timeline ou dans la mini-Timeline. 7 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Lorsque l’analyse de suivi commence, une fenêtre de progression s’ouvre et des points de suivi sont affichés sur la trajectoire d’animation dans le Canevas. Le point de suivi pour l’emplacement actuel de la tête de lecture est mis en évidence. Les images clés de suivi que contient le comportement apparaissent dans l’Éditeur d’images clés. Bouton Analyser Point de suivi pour l’emplacement actuel de la tête de lecture58 Chapitre 2 Suivi de l’animation Étant donné que le comportement Analyser animation ne transforme pas l’objet source, seules les images clés de suivi apparaissent dans l’Éditeur d’images clés. Si vous utilisez un comportement Suivre le mouvement ou Stabiliser, vous pouvez voir les images clés de suivi et les courbes de transformation de l’objet source (pour le comportement Stabiliser) ou de l’objet de destination (pour le comportement Suivre le mouvement). Une courbe de « confiance » est également affichée dans l’Éditeur d’images clés. Cette courbe fournit une indication visuelle de la précision du suiveur par rapport aux réglages de ses paramètres dans l’Inspecteur. Elle n’a pas vocation à servir pour l’édition. 8 Pour arrêter une opération de suivi, cliquez sur le bouton Stop dans la fenêtre de progression ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). ∏ Astuce : s’il vous semble que le suiveur est en train de perdre son motif de référence, ne cliquez pas tout de suite sur le bouton Stop. Laissez l’analyse se poursuivre encore pendant quelques secondes. En cas d’échec du suiveur, la tête de lecture viendra se placer directement sur l’image exacte où le suiveur a été perdu. Le suivi analysé, qui est inclus dans le comportement Analyser animation, peut à présent être chargé dans d’autres comportements de suivi (par l’intermédiaire d’un menu local situé dans la palette ou l’Inspecteur des autres comportements de suivi). Courbe de position X Courbe de position Y Menu local de comportements de suivi de la palette Suivre le mouvementChapitre 2 Suivi de l’animation 59 Remarque : le comportement Stabiliser ne peut charger que les suivis issus d’autres comportements Stabiliser. Flux de travaux du comportement Suivre le mouvement Cette section fournit une vue d’ensemble de plusieurs flux de travaux de comportement Suivre le mouvement comprenant notamment la déformation par les quatre angles. Pour obtenir une description complète des paramètres Suivre le mouvement, reportez-vous à la section « Contrôles du comportement Suivre le mouvement » à la page 104. Pour utiliser un comportement Suivre le mouvement, il vous faut au minimum deux objets dans votre projet : un élément à l’arrière-plan (ou source) et un objet au premier plan (ou destination). L’objet source fournit le mouvement en tant qu’objet animé ou suivi enregistré. Le mouvement de l’objet source est appliqué à l’objet de destination. Chargement de données dans un comportement Si le projet contient une séquence ou des objets animés lorsqu’un comportement Suivre le mouvement, Stabiliser ou Déstabiliser est appliqué, la séquence ou l’objet animé le plus proche au-dessous du comportement dans la Liste de couches est automatiquement appliqué à ce comportement et apparaît dans le cadre Source de ce dernier. Les données sont normalement écrasées une fois l’analyse de suivi effectuée, mais vous pouvez choisir un autre suivi dans le menu local des comportements de suivi. Il existe quatre méthodes pour affecter un objet animé ou des données de suivi à un comportement de suivi :  Choisissez un autre comportement de suivi dans le menu local de comportements de suivi.  Faites glisser un comportement de suivi ou un objet séquence dans le cadre Source de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur.  Faites glisser un objet animé dans le cadre Source de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’objet animé référencé est appliqué en tant que source au comportement actuel. Cette option ne concerne que les comportements Suivre le mouvement et Suivre les points.  Faites glisser un comportement de suivi ou un objet séquence directement sur le comportement de suivi actuel dans la Liste de couches. Le comportement de suivi ou l’objet séquence référencé est affecté en tant que source au comportement actuel. Remarque : pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâchez le bouton de la souris.60 Chapitre 2 Suivi de l’animation Utilisation du comportement Suivre le mouvement pour effectuer le suivi d’un élément d’arrière-plan Le comportement Suivre le mouvement est appliqué à l’élément au premier plan et suit une caractéristique de l’élément à l’arrière-plan. Les donnée du suivi sont appliquées à l’élément du premier plan pour que ce dernier « suive » le mouvement de la caractéristique du plan d’arrière-plan qui fait l’objet du suivi. Pour faire « suivre le mouvement » à un objet du premier plan à l’aide du comportement Suivre le mouvement : 1 Lisez plusieurs fois votre plan d’arrière-plan afin de déterminer un bon point de suivi. 2 Appliquez un comportement Suivre le mouvement à un élément du premier plan. Un seul suiveur (la case à cocher Ancrage qui se trouve dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur) est activé. Le suiveur Ancrage enregistre les données de position. 3 Décidez s’il faut activer des suiveurs supplémentaires pour le suivi à deux ou à quatre points.  Pour le suivi à deux points, cochez la case Échelle de rotation qui se trouve dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur (sous la case à cocher Ancrage).  Pour le suivi à quatre points, choisissez Quatre angles dans le menu local Type de l’onglet Comportements de l’Inspecteur, puis reportez-vous à la section « Déformation par les quatre angles à l’aide du comportement Suivre le mouvement » à la page 64. 4 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous souhaitez commencer le suivi. 5 Dans le Canevas, faites glisser le ou les suiveurs et déposez-le(s) sur le ou les points à suivre. Lorsque vous faites glisser le suiveur dans le Canevas, la zone autour du suiveur est agrandie pour vous aider à trouver un motif de référence approprié. L’émetteur de particules (qui émet des fleurs rouges) constitue l’élément au premier plan. La zone située autour du suiveur est agrandie lorsque vous faites glisser le point de suivi dans le Canevas.Chapitre 2 Suivi de l’animation 61 6 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’élément au premier plan est aligné sur l’élément à l’arrière-plan. 7 Si vous utilisez le suivi à deux points, activez (ou désactivez) les boutons Position, Échelle ou Rotation (sur la ligne Ajuster) pour ajouter (ou supprimer) des paramètres de suivi. Dans l’exemple ci-dessous, seule l’option Position est activée sur la ligne Ajuster de l’onglet Comportements. Par conséquent, la forme elliptique blanche ne subit aucune modification d’échelle ou de rotation due à la position des deux suiveurs. Dans l’exemple suivant, les options Position, Échelle et Rotation sont activées sur la ligne Ajuster de l’onglet Comportements. Par conséquent, la forme elliptique blanche change de position, d’échelle et de rotation en fonction de la position des deux suiveurs, mais elle donne toujours l’impression d’être physiquement attachée au cadre de l’image. Remarque : si vous utilisez le suivi à quatre points, l’échelle et la rotation sont automatiquement appliquées à l’objet déformé par les angles. Utilisation du comportement Suivre le mouvement pour appliquer des données d’animation à un élément du projet Le comportement Suivre le mouvement permet d’appliquer instantanément l’animation d’un objet source à un objet de destination, sans analyse de suivi. L’objet source peut être animé à l’aide de comportements ou d’images clés. Dans l’exemple ci-après, une « baguette magique » (constituée de formes rectangulaires) est animée le long d’une trajectoire d’animation. L’animation de la baguette est ensuite reliée à un émetteur de particules pour donner l’illusion que des étincelles s’échappent de l’extrémité de la baguette.62 Chapitre 2 Suivi de l’animation Pour appliquer la transformation d’un objet source à un objet de destination : 1 Appliquez un comportement Suivre le mouvement à un élément du projet. Dans notre exemple, un comportement Suivre le mouvement est appliqué à un émetteur de particules qui n’est pas animé. Les données d’animation (telles que les changements de position ou de rotation provoqués par des images clés ou des comportements) les plus proches au-dessous du comportement Suivre le mouvement dans la Liste de couches sont automatiquement appliquées en tant que sources et apparaissent dans le cadre Source. Dans cet exemple, la baguette animée constitue l’animation source. Important : les objets animés, les comportements et les séquences peuvent être déposés dans les cadres Source. 2 Assurez-vous que le paramètre Type est défini à Transformation dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. 3 Positionnez l’objet auquel le comportement Suivre le mouvement est appliqué à l’endroit souhaité dans le Canevas. Comportement Suivre le mouvement Cadre SourceChapitre 2 Suivi de l’animation 63 Dans cet exemple, l’émetteur de particules est placé à l’extrémité de la baguette. L’émetteur de particules et la baguette partagent à présent la même trajectoire d’animation. 4 Lancez la lecture du projet. Les particules suivent le mouvement de la baguette.64 Chapitre 2 Suivi de l’animation Déformation par les quatre angles à l’aide du comportement Suivre le mouvement Le comportement Suivre le mouvement permet de suivre quatre points d’un plan d’arrièreplan et d’appliquer le mouvement aux quatre angles d’un élément au premier plan. Il existe deux flux de travaux possibles pour la déformation par les quatre angles. Dans le premier exemple, un élément au premier plan est accroché à un élément d’arrière-plan à l’aide des suiveurs de quatre angles. Dans le deuxième exemple, l’élément au premier plan est accrochée par les angles avant que les suiveurs de quatre angles ne soient utilisés. Remarque : vous pouvez également utiliser le comportement Analyser animation ou Stabiliser pour effectuer un suivi à quatre points. Pour en savoir plus, voir « Utilisation du suivi à quatre points sans suivre le mouvement pour effectuer une déformation par les angles » à la page 72. La déformation de groupes par les angles nécessite la prise en compte de considérations particulières. Pour en savoir plus, voir « Suivi et groupes » à la page 101. Option 1 : verrouillage de l’image déformée sur les points de référence Ce flux de travaux est idéal pour une déformation par les quatre angles dans laquelle l’image transformée ou « déformée » a la même taille que l’« image » (ou les motifs de référence) de l’arrière-plan à laquelle elle est reliée. Dans l’exemple qui suit, une image au premier plan est accrochée au plan d’arrière-plan d’un cadre d’image. À propos de l’animation des objets de destination Il est possible d’utiliser le comportement Suivre le mouvement pour appliquer instantanément l’animation d’un objet (appelé objet source) à un autre objet (appelé objet de destination). L’objet source peut être animé à l’aide de comportements ou d’images clés. L’objet de destination peut également être animé. Vous pouvez indiquer si l’animation de l’objet de destination doit être ignorée par le comportement Suivre le mouvement ou ajoutée au comportement Suivre le mouvement. Pour ce faire, choisissez une option dans le menu local Transformer qui se trouve dans l’onglet Comportements de l’objet de destination. Si vous choisissez « Attacher à la source » dans le menu local Transformer, toute animation de l’objet de destination est ignorée et l’objet est verrouillé sur l’animation de l’objet source. Si vous choisissez « Imiter la source », toute animation de l’objet de destination est ajoutée à l’animation de l’objet source (à partir de l’image 0). Pour en savoir plus sur les options « Attacher à la source » et « Imiter la source », reportez-vous à la section « Contrôles du comportement Suivre le mouvement » à la page 104.Chapitre 2 Suivi de l’animation 65 Pour suivre une image à l’aide de quatre suiveurs : 1 Faites glisser la tête de lecture jusque sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi et appliquez un comportement Suivre le mouvement à l’élément au premier plan. 2 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, choisissez Quatre angles dans le menu local Type. Remarque : l’option Quatre angles n’est pas disponible si le comportement Suivre le mouvement est appliqué à un groupe 3D. Pour déformer un groupe 3D par les angles, cochez la case Aplatir située dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur. Dans le Canevas, un suiveur apparaît à chaque angle de l’objet au premier plan. Dans l’Inspecteur, la liste de suivis par défaut (Ancrage et Échelle de rotation) est remplacée par les suiveurs En haut à gauche, En haut à droite, En bas à droite et En bas à gauche. 3 Dans le Canevas, faites glisser chaque suiveur sur un « angle » de l’élément d’arrière-plan (dans cet exemple, les angles du cadre de l’image constituent les quatre points de suivi). Comme pour les suiveurs Analyser animation, un agrandissement apparaît dans le Canevas lorsque vous faites glisser les suiveurs. 4 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur.66 Chapitre 2 Suivi de l’animation L’élément au premier plan est « accroché » sur l’élément à l’arrière-plan. Remarque : dans cet exemple, un reflet est créé sur le tableau à l’aide d’une copie dupliquée et transformée de l’image suivie. Pour un réglage plus précis du suivi, il vous faudra peut-être effectuer de petits ajustements sur l’élément au premier plan, par exemple modifier son échelle ou sa rotation. Si vous choisissez l’option par défaut « Attacher à la source » dans le menu local Transformer de l’onglet Comportements de l’Inspecteur, l’objet suivi ne peut pas être transformé. Pour transformer l’objet suivi, choisissez Imiter la source dans le menu local Transformer. 5 Pour transformer l’élément au premier plan après avoir appliqué les données de suivi, choisissez Imiter la source dans le menu local Transformer de l’onglet Comportements de l’Inspecteur, puis effectuez vos ajustements dans l’onglet Propriétés de l’Inspecteur. Pour en savoir plus sur les options de transformation « Imiter la source » et « Attacher à la source », voir « Contrôles du comportement Suivre le mouvement » à la page 104. Option 2 : accrochage de l’objet par les angles avant le suivi Dans ce flux de travaux, un objet au premier plan est accroché au cadre d’une image d’arrière-plan à l’aide du paramètre Quatre angles de l’onglet Propriétés avant l’application du comportement Suivre le mouvement. Pour ajuster les quatre angles d’un élément, puis déformer cet élément par les angles : 1 Sélectionnez l’élément de premier plan que vous souhaitez déformer par les angles.Chapitre 2 Suivi de l’animation 67 2 Dans la barre d’outils, choisissez l’outil Quatre angles parmi les outils Sélectionner/Transformer. 3 Faites glisser chaque angle de l’élément au premier plan dans la position adéquate. Une fois que vous avez fait glisser un angle dans le Canevas, la case à cocher Quatre angles est activée dans l’onglet Propriétés. ∏ Astuce : il est recommandé de réduire l’opacité de l’objet au premier plan pour mieux distinguer les points de référence sur le plan à l’arrière-plan. Nous vous conseillons également de désactiver le magnétisme pour que l’image que vous êtes en train d’ajuster ne soit pas automatiquement alignée sur les guides du Canevas. 4 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi et appliquez le comportement Suivre le mouvement à l’élément au premier plan. 5 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, choisissez Quatre angles dans le menu local Type. Outil Quatre angles68 Chapitre 2 Suivi de l’animation Dans le Canevas, un suiveur apparaît sur chaque angle de l’objet au premier plan. Dans l’Inspecteur, la liste de suivis par défaut (Ancrage et Échelle de rotation) est remplacée par les suiveurs En haut à gauche, En haut à droite, En bas à droite et En bas à gauche. 6 Si nécessaire, faites glisser chaque suiveur dans le Canevas et réglez sa position avec précision dans la fenêtre Aperçu du suivi de l’Inspecteur. Important : pour régler les suiveurs avec précision ou les décaler sans modifier la forme de l’image au premier plan, choisissez Imiter la source dans le menu local Transformer. 7 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’élément au premier plan est « accroché » sur l’élément à l’arrière-plan. Option 3 : transformation de l’objet avant la déformation par les angles Dans ce flux de travaux, un objet au premier plan est transformé à l’aide des paramètres Échelle, Rotation et Position de l’onglet Propriétés pour l’adapter au cadre d’une image d’arrière-plan avant l’application du comportement Suivre le mouvement. Pour transformer une image et la déformer par les angles : 1 Sélectionnez l’élément de premier plan que vous souhaitez déformer par les angles.Chapitre 2 Suivi de l’animation 69 2 À l’aide des contrôles de transformation à l’écran ou de l’onglet Propriétés de l’Inspecteur, ajustez l’échelle, la position ou la rotation de l’élément au premier plan en fonction de son « cadre ». 3 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi et appliquez le comportement Suivre le mouvement à l’élément transformé. 4 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, choisissez Quatre angles dans le menu local Type. 5 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour ajuster les suiveurs sans modifier l’image au premier plan, choisissez Imiter la source dans le menu local Transformer, puis positionnez les suiveurs sur les motifs de référence (dans cet exemple, il s’agit des quatre angles intérieurs du cadre de l’image).  Pour ajuster les suiveurs en modifiant l’image au premier plan, choisissez « Attacher à la source » dans le menu local Transformer, puis positionnez les suiveurs sur les motifs de référence. 6 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’élément au premier plan est « accroché » sur l’élément à l’arrière-plan. Étant donné qu’il est possible que ce flux de travaux ne donne pas des résultats parfaits (par exemple, il se peut que l’élément au premier plan ne soit pas mis à l’échelle correcte ou ne se déplace pas avec l’image d’arrière-plan comme il le devrait), vous devrez peut-être appliquer un masque à l’image au premier plan ou la rogner.70 Chapitre 2 Suivi de l’animation Masquage et suivi Lorsqu’un masque est ajouté à un objet auquel des données de suivi ont été appliquées, ces données sont automatiquement appliquées au masque. Dans les images ci-dessous, l’image au premier plan est reliée à quatre points du plan d’arrière-plan, mais il faut encore lui appliquer un masque pour l’adapter au cadre de l’image (sans modifier irrégulièrement son échelle). Bien que le masque soit attaché à l’image au premier plan, il peut s’avérer nécessaire d’animer les modifications de la position et de l’échelle du masque pour tenir compte des modifications du plan d’arrière-plan au fil du temps. Remarque : une autre possibilité, si vous ne souhaitez pas utiliser un masque, consiste à rogner un objet auquel des données de suivi ont été appliquées en se servant des contrôles de rognage qui se trouvent dans l’onglet Propriétés de l’Inspecteur. Vous pouvez relier les points de contrôle d’un masque à un plan ou appliquer des données de suivi existantes aux points de contrôle d’un masque. Pour en savoir plus, voir « Flux de travaux du comportement Suivre les points » à la page 77. Élément de premier plan transformé et suivi Élément de premier plan transformé et suivi avec application d’un masqueChapitre 2 Suivi de l’animation 71 Déformation par quatre angles avec décalage En fonction de votre séquence source, il se peut que vous deviez déformer un élément par les angles en utilisant des points de référence décalés par rapport à la taille « déformée » finale de l’élément au premier plan. Pour ce faire, vous devez décaler les suiveurs à l’aide de l’option Imiter la source. Dans l’exemple simple ci-dessous, les motifs de référence à suivre sont situés à l’intérieur d’un cadre plutôt que sur ses angles. Étant donné que les points de référence de suivi ne se trouvent pas dans l’alignement du bord intérieur du cadre, vous devez décaler l’image par rapport aux quatre suiveurs. Sinon, l’image finale déformée par les angles semblera trop petite. L’exemple suivant montre comment décaler les suiveurs sans modifier l’image au premier plan. L’indicateur visuel de couleur orange (le contour orange) représente la taille finale de l’image déformée par les angles. Les indicateurs visuels orange encerclent les points de référence de suivi.72 Chapitre 2 Suivi de l’animation Pour suivre des points de référence décalés par rapport à l’image au premier plan : 1 Utilisez l’un des flux de travaux décrits ci-dessus pour préparer une déformation par les quatre angles à l’aide du comportement Suivre le mouvement. 2 Choisissez Imiter la source dans le menu local Transformer de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. 3 Dans le Canevas, faites glisser les suiveurs jusque sur les points de référence décalés. L’image n’est pas modifiée et demeure verrouillée sur son emplacement original. 4 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’élément au premier plan est « accroché » sur l’élément à l’arrière-plan. Utilisation du suivi à quatre points sans suivre le mouvement pour effectuer une déformation par les angles Cette section décrit un flux de travaux supplémentaire de déformation par les quatre angles faisant référence au suivi à quatre points provenant d’un comportement Analyser animation. Remarque : vous pouvez également effectuer ce flux de travaux avec le comportement Stabiliser.Chapitre 2 Suivi de l’animation 73 Pour enregistrer un suivi à quatre points à l’aide du comportement Analyser animation : 1 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi et appliquez un comportement Analyser animation à l’élément d’arrière-plan. Par défaut, un seul suiveur apparaît dans le Canevas. Pour les opérations Analyser animation et Stabiliser à quatre points, les suiveurs doivent être positionnés dans le sens des aiguilles d’une montre en partant de l’angle supérieur gauche. Cette façon de procéder permet de s’assurer que l’élément est correctement aligné lorsque la transformation est appliquée. 2 Faites glisser le suiveur (Suivi 1) sur le motif de référence souhaité dans l’angle supérieur gauche de l’élément d’arrière-plan. 3 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, cliquez sur Ajouter pour ajouter un deuxième suiveur, puis faites glisser ce deuxième suiveur (Suivi 2) sur le motif de référence souhaité dans l’angle supérieur droit de l’élément d’arrière-plan. 4 Ajoutez un autre suiveur (Suivi 3) et faites-le glisser sur le motif de référence souhaité dans l’angle inférieur droit de l’élément d’arrière-plan. 5 Ajoutez un autre suiveur (Suivi 4) et faites-le glisser sur le motif de référence souhaité dans l’angle inférieur gauche de l’élément d’arrière-plan. 6 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Le suivi est généré et ses données sont enregistrées dans le comportement. Remarque : vous pouvez enregistrer des comportements de suivi dans la Bibliothèque pour les utiliser ultérieurement. Pour appliquer le suivi à quatre points enregistré à un élément de premier plan : 1 Appliquez un comportement Suivre le mouvement à l’élément de premier plan que vous voulez déformer par les angles. 2 Si les données Analyser animation ne sont pas automatiquement appliquées, choisissez le suivi Analyser animation à quatre points existant dans le menu local des comportements de suivi. Suivi 1 Suivi 2 Suivi 4 Suivi 374 Chapitre 2 Suivi de l’animation 3 Choisissez Quatre angles dans le menu local Type de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. 4 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Les données de suivi à quatre points du comportement Analyser animation sont appliquées à l’élément au premier plan. Remarque : lorsque vous utilisez le comportement Suivre le mouvement pour effectuer un suivi à quatre points, les suiveurs sont automatiquement placés selon l’ordre approprié dans le Canevas une fois l’option Quatre angles sélectionnée dans le menu local Type de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Flux de travaux du comportement Stabiliser Cette section fournit une vue d’ensemble de l’utilisation du comportement de suivi Stabiliser pour stabiliser un film ou une séquence d’images. Pour obtenir une description complète des paramètres Stabiliser, reportez-vous à la section « Contrôles du comportement Stabiliser » à la page 109. Avec le comportement Stabiliser, trois méthodes sont possibles pour analyser un plan :  Utilisez la technique par défaut d’analyse avancée de l’animation qui évalue immé- diatement la totalité de l’image d’un plan pour en extraire les données d’animation sans utiliser de suiveurs à l’écran.  Utilisez des suiveurs à l’écran qui analysent un motif de référence (petit groupe de pixels) dans le Canevas. Ces suiveurs sont les mêmes que ceux utilisés par les comportements Suivre le mouvement et Analyser animation.  Utilisez une méthode combinant la technique d’analyse avancée de l’animation et les suiveurs à l’écran. Important : pour en savoir plus sur l’utilisation des suiveurs à l’écran avec le comportement Stabiliser, reportez-vous à la section « Ajout de suiveurs à la stabilisation » à la page 97. Lorsque vous disposez des résultats de l’analyse, vous pouvez les appliquer de deux maniè- res différentes. Le plan peut être soit lissé, pour éliminer tout tremblement indésirable mais en conservant le mouvement général de la caméra, soit verrouillé pour stabiliser le sujet. Le lissage peut avoir une incidence sur la translation, la rotation ou l’échelle, ce qui en fait un outil plus souple que les autres comportements de suivi pour certaines opérations. Le comportement Stabiliser est surtout utile pour supprimer le tremblement indésirable provoqué par un support de caméra instable, pour éliminer le vacillement de l’image dû aux prises de vue effectuées avec la caméra à l’épaule ou pour réduire les vibrations dans les scènes tournées depuis l’intérieur d’un véhicule.Chapitre 2 Suivi de l’animation 75 Remarque : aussi utile que soit le comportement Stabiliser, sachez que le flou d’animation présent dans l’image ne peut pas être éliminé, même si vous parvenez à lisser ou verrouiller correctement le sujet filmé. Ceci peut éventuellement avoir une incidence sur votre façon d’envisager la réalisation du composite. Pour stabiliser un plan à l’aide du comportement Stabiliser : 1 Appliquez un comportement Stabiliser au plan que vous souhaitez stabiliser. Remarque : contrairement aux flux de travaux des autres comportements, le mode automatique du comportement Stabiliser analyse la totalité du plan plutôt que la seule partie qui commence à l’emplacement actuel de la tête de lecture. 2 Définissez les options à utiliser pour l’analyse : a Choisissez une option dans le menu local Méthode de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur.  Choisissez Stabiliser pour verrouiller une image afin de supprimer les problèmes tels que le tremblement de la caméra.  Choisissez Lisser pour lisser le mouvement de la caméra dans le plan. b Choisissez une option dans le menu local Contours :  Choisissez Normale pour conserver la taille de la séquence stabilisée. Les transformations résultantes effectuées sur l’image stabilisée peuvent entraîner l’apparition de contours noirs mobiles autour du plan. Remarque : pour obtenir des suggestions concernant la correction des contours noirs, reportez-vous à la section « Suppression des contours noirs produits par la stabilisation » à la page 98. Les contours normaux conservent la taille du plan stabilisé, mais entraînent l’apparition de contours noirs autour du plan.76 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Choisissez Zoom pour agrandir le plan afin qu’il remplisse le Canevas. Cela empêche l’apparition de contours noirs autour du plan stabilisé. c Choisissez une option dans le menu local Direction :  Choisissez Horizontal et Vertical pour appliquer la transformation de stabilisation aux dimensions X et Y.  Choisissez Horizontal pour appliquer la transformation de stabilisation à la dimension X.  Choisissez Vertical pour appliquer la transformation de stabilisation à la dimension Y. d Activez ou désactivez les options Ajuster :  Activez l’option Position pour appliquer les données de position analysées au plan.  Activez l’option Échelle pour appliquer toutes les données d’échelle analysées au plan. Remarque : l’option Échelle n’a aucun rapport avec l’option Zoom du menu local Contours. Remarque : vous pouvez modifier les paramètres Méthode, Contours, Direction et Ajuster avant ou après l’analyse du plan. 3 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Remarque : le plan est stabilisé en fonction des paramètres définis. Contrairement aux suiveurs de Motion, l’analyse Stabiliser par défaut ne crée pas d’images clés dans l’Éditeur d’image clés. La transformation de l’objet stabilisé peut toutefois être convertie en images clés. Pour en savoir plus, voir « Conversion de suivis en images clés » à la page 87. Pour en savoir plus sur la correction des problèmes liés à la stabilisation, reportez-vous à la section « Dépannage des effets de stabilisation » à la page 96. L’option Zoom de Contours permet de redimensionner le plan stabilisé afin qu’il ne s’écarte pas des contours du Canevas.Chapitre 2 Suivi de l’animation 77 Remarque : comme dans le cas de la plupart des objets auxquels des comportements ont été appliqués, la trajectoire d’animation créée par la transformation est affichée dans le Canevas lorsque l’objet stabilisé est sélectionné. Flux de travaux du comportement Déstabiliser Cette section fournit une vue d’ensemble de l’utilisation du comportement de suivi Déstabiliser pour rétablir le tremblement ou le mouvement de la caméra dans un plan terminé. La seule fonction de ce comportement est d’appliquer un mouvement enregistré par un autre comportement de suivi (tel que Stabiliser) à un plan ou à un objet. Ceci vous permet soit de reproduire le mouvement de la caméra dans un plan d’arrière-plan sur les éléments situés au premier plan, soit de déstabiliser un plan stabilisé. Remarque : seul un projet comprenant un comportement de suivi avec des données d’animation enregistrées peut utiliser le comportement Déstabiliser. Pour utiliser le comportement Déstabiliser : 1 Sélectionnez l’objet à déstabiliser, cliquez sur l’icône Ajouter comportement dans la barre d’outils, puis choisissez Suivi de l’animation > Déstabiliser dans le menu local. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez un comportement de suivi dans le menu local de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur.  Faites glisser un comportement de suivi analysé dans le cadre Source de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’animation est appliquée à l’objet de destination. Flux de travaux du comportement Suivre les points Le comportement Suivre les points est prévu pour une utilisation avec des formes et des masques. Il peut être utilisé de différentes manières, en :  reliant les points de contrôle d’une forme ou d’un masque à un plan ;  appliquant des données de suivi provenant d’une autre analyse de suivi aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque ;  appliquant l’animation d’un objet aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque. Remarque : pour appliquer le mouvement analysé d’un objet à une forme ou à un masque dans son ensemble (et non aux points de contrôle de la forme ou du masque), utilisez le comportement Suivre le mouvement. Pour obtenir une description complète des paramètres Suivre les points, reportez-vous à la section « Contrôles du comportement Suivre les points » à la page 114. Établissement d’un lien entre les points de contrôle et un plan Cette section fournit un bref aperçu de l’utilisation du comportement Suivre les points pour relier les sommets d’une forme ou d’un masque à un plan.78 Chapitre 2 Suivi de l’animation Pour effectuer le suivi d’une forme ou d’un masque à l’aide du comportement Suivre les points : 1 Sélectionnez la forme ou le masque dont vous souhaitez effectuer le suivi, cliquez sur l’icône Ajouter comportement dans la barre d’outils, puis choisissez Formes > Suivre les points dans le menu local. Le comportement est ajouté à la forme et des suiveurs apparaissent pour chaque point de contrôle situé sur la forme. L’ordre des suiveurs correspond à l’ordre dans lequel la forme a été dessinée : le point de contrôle 1 correspond au Suivi 1, le point de contrôle 2 au Suivi 2, etc. Remarque : aucun suiveur n’est ajouté pour les points de contrôle de la forme qui sont désactivés. Vous conservez la possibilité d’activer et de désactiver les points de contrôle après l’application du comportement Suivre les points à une forme. Pour en savoir plus sur l’utilisation des points de contrôle des formes, reportez-vous au Chapitre 12, « Utilisation des formes et des masques », du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Dans cet exemple, le comportement Suivre les points est appliqué à un masque approximatif constitué de sept points de contrôle qui isolent une voiture dans un plan. Remarque : n’oubliez pas que les traits de peinture comprennent généralement un très grand nombre de points de contrôle. Nous vous conseillons de simplifier votre trait de peinture en supprimant ou en désactivant des points de contrôle avant de lui appliquer un comportement Suivre les points. Pour effectuer le suivi du trait dans son ensemble, plutôt que par ses points de contrôle, utilisez le comportement Suivre le mouvement. 2 Faites glisser les suiveurs et déposez-les sur leurs motifs de référence. Lorsque vous faites glisser un suiveur, une agrandissement de la zone située autour de celui-ci apparaît.Chapitre 2 Suivi de l’animation 79 3 Pour désactiver un suiveur, désélectionnez sa case dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Remarque : les points de contrôle auxquels aucun suiveur n’est associé ne sont pas modifiés. 4 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Les points de contrôle du masque sont reliés aux motifs de référence. Dans cet exemple, le masque permet d’isoler la voiture en mouvement, ce qui permet ensuite d’appliquer des effets de flou et de désaturation à l’arrière-plan sans toucher à la voiture. Remarque : comme pour tous les comportements, vous pouvez faire glisser ou copier (Option + glisser) un comportement Suivre les points sur une nouvelle forme dans la Liste de couches. Le comportement est réinitialisé lorsque vous l’appliquez à une nouvelle forme. Utilisation d’un objet comme source d’animation Cette section fournit un bref aperçu de l’utilisation du comportement Suivre les points pour appliquer l’animation d’un objet aux sommets d’une forme ou d’un masque. Pour ce flux de travaux, votre projet doit contenir un objet animé à l’aide d’images clés ou de comportements. Pour appliquer l’animation d’un objet aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque : 1 Appliquez le comportement Suivre les points à l’objet que vous voulez animer. S’il y a un objet animé au-dessous de l’objet auquel le comportement Suivre les points a été appliqué dans la Liste de couches, son animation est automatiquement appliquée au comportement Suivre les points, comme le montre le cadre Source de la palette et de l’Inspecteur. Plan original non modifié Un masque relié aux points de référence isole la voiture dans le plan et permet d’appliquer des effets distincts à celle-ci et à son arrière-plan.80 Chapitre 2 Suivi de l’animation Dans cet exemple, le comportement Suivre les points est appliqué à la forme de Bézier et une ligne utilisée comme animation source est animée à l’aide du comportement Rotation. Remarque : pour faire référence à un autre objet animé, faites glisser ce dernier dans cadre Source du comportement Suivre les points ou directement sur le comportement dans La liste de couches. L’animation de rotation de la ligne est appliquée à la forme de Bézier. Les tangentes conservent l’alignement déterminé par leurs angles originaux le long de la forme. 2 Pour aligner les tangentes en fonction de la transformation de l’objet source, cochez la case Aligner les tangentes dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. La forme de Bézier change de forme, car les tangentes au sommet correspondent à la transformation de l’animation source. Forme de Bézier à laquelle le comportement Suivre les points a été appliqué Objet source Le cadre Source de la palette affiche l’objet source référencé.Chapitre 2 Suivi de l’animation 81 Remarque : l’option « Attacher à la source » est sélectionnée par défaut dans le menu local Transformer. Pour en savoir plus sur l’utilisation du menu Transformer, reportez-vous à la section « Contrôles du comportement Suivre les points » à la page 114. Flux de travaux du comportement Suivre le paramètre Le comportement Suivre le paramètre permet de relier un paramètre de position d’un filtre à une caractéristique de référence dans un plan ou de lui appliquer des données de suivi existantes. Vous pouvez, par exemple, relier le centre d’un filtre Rayons de lumière à une lumière en mouvement dans un plan. Remarque : ce comportement n’est applicable qu’aux filtres dotés de paramètres de position, tels qu’Étalement, Anneaux concentriques, Rayons de lumière, Tunnel, etc. Pour obtenir une description complète du comportement Suivre le paramètre, reportezvous à la section « Contrôles du comportement Suivre le paramètre » à la page 115. Pour utiliser le comportement Suivre le paramètre : 1 Dans le Canevas, placez le point central du filtre sur le motif de référence. Dans cet exemple simple, le point central d’un flou est placé sur la plaque d’immatriculation d’une voiture. Remarque : pour utiliser les contrôles à l’écran d’un filtre, sélectionnez celui-ci dans la Liste de couches, puis choisissez l’outil Ajuster l’élément parmi les outils Sélectionner/ Transformer de la barre d’outils. Pour en savoir plus sur l’utilisation des filtres, reportezvous au Chapitre 10, « Utilisation des filtres », dans le Manuel de l’utilisateur de Motion 3. 2 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, cliquez sur le paramètre Centre tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Suivre dans le menu contextuel. Dans le Canevas, le contrôle à l’écran du filtre est remplacé par un suiveur. L’onglet Comportements devient actif et les paramètres de comportement Suivre sont affichés. Remarque : une icône de comportement apparaît à côté du paramètre Centre dans l’onglet Filtres. Elle indique que ce paramètre subi l’influence d’un comportement. Utilisez les contrôles à l’écran pour placer le point central d’un filtre sur le motif de référence du suivi.82 Chapitre 2 Suivi de l’animation Au besoin, vous pouvez ajuster le suiveur dans le Canevas. Si le motif de référence dont vous souhaitez effectuer le suivi est décalé par rapport au centre du filtre, servez-vous de la case Décaler la piste. Pour en savoir plus sur l’utilisation du paramètre Décaler la piste, reportez-vous à la section « Suivi de points cachés ou hors-cadre » à la page 94. 3 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Le centre du filtre est relié au plan. Remarque : vous pouvez modifier les paramètres du filtre une fois l’analyse effectuée. Ajustement des suiveurs à l’écran Certains contrôles à l’écran et commandes de l’interface sont communs aux comportements Analyser animation, Stabiliser et Suivre le mouvement. Un suiveur consiste en une seule commande à l’écran : le suiveur. La couleur par défaut des suiveurs à l’écran est le jaune. Selon la couleur de votre sujet, vous serez parfois amené à changer la couleur des suiveurs afin de pouvoir les distinguer dans le Canevas. Lorsque l’analyse de suivi commence, une fenêtre de progression s’ouvre et des points de suivi apparaissent dans le Canevas. Ces points de suivi forment la trajectoire d’animation (trajectoire ayant l’apparence d’une chaîne de perles) qui apparaît dans le Canevas après l’analyse. Le point de suivi pour l’emplacement actuel de la tête de lecture est mis en évidence.Chapitre 2 Suivi de l’animation 83 Pour positionner le suiveur, procédez de l’une des manières suivantes : m Faites glisser le suiveur dans le Canevas. Lorsque vous faites glisser le suiveur, la zone qui se trouve autour dans le Canevas est agrandie et sa position est affichée dans une fenêtre d’informations. Cette zone est un indicateur visuel destiné à vous aider à positionner le suiveur, ce n’est pas une zone de recherche. Remarque : contrairement à de nombreux suiveurs de corrélation, il n’est pas nécessaire de spécifier manuellement une zone de recherche lorsque vous configurez un suiveur dans Motion. Motion effectue automatiquement des recherches (avec une précision de l’ordre du sous-pixel) dans une zone par défaut située autour du point de suivi. L’onglet Comportements de l’Inspecteur comprend une zone Aperçu du suivi qui est actualisée à mesure que vous faites glisser le suiveur dans le Canevas. m Faites glisser le pointeur dans la zone Aperçu du suivi pour régler avec plus de précision la position du suiveur. À mesure que vous faites glisser le pointeur dans la zone d’aperçu, le suiveur est également actualisé dans le Canevas. Faites glisser le pointeur où bon vous semble à l’intérieur de la zone Aperçu du suivi pour ajuster la position du suiveur. Vous n’êtes pas obligé de faire glisser le signe plus (+) rouge.84 Chapitre 2 Suivi de l’animation m Cliquez sur le triangle d’affichage du suiveur dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, puis utilisez les contrôles de Position ajuster numériquement la position du suiveur. Pour déplacer plusieurs suiveurs à la fois : m Dans le Canevas, sélectionnez les suiveurs souhaités en les englobant dans un rectangle de sélection ou en cliquant sur le premier et sur le dernier tout en maintenant la touche Maj enfoncée, puis faites-les glisser jusqu’à une autre position. Les suiveurs sélectionnés apparaissent en blanc. Remarque : étant donné que vous risquez de déplacer les suiveurs à l’écran sans le vouloir si vous les sélectionnez à l’aide de la touche Maj, il est peut-être préférable de les sélectionner en traçant un rectangle de sélection autour. Pour désactiver des suiveurs à l’écran, procédez de l’une des manières suivantes : m Cliquez sur un suiveur dans le Canevas tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez « Masquer le comportement Suivre sélectionné » dans le menu contextuel. m Désélectionnez la case Suivre appropriée dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Une fois qu’un suiveur a été désactivé, il n’est plus utilisé lors de l’analyse. Pour activer des suiveurs à l’écran : m Cochez la case Suivre appropriée dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Pour changer la couleur du suiveur à l’écran : 1 Sélectionnez le suiveur, puis cliquez sur l’onglet Comportements dans l’Inspecteur. 2 Cliquez sur le triangle d’affichage du suiveur et utilisez les contrôles de Couleur pour modifier la couleur du suiveur. Contrôle Couleur du suiveurChapitre 2 Suivi de l’animation 85 Stratégies pour un suivi amélioré La sélection d’une bonne caractéristique de référence pour le suivi, dans un film ou dans une séquence d’images, est cruciale pour l’obtention d’un suivi précis. Le suivi est souvent une affaire de tâtonnement et, lorsqu’il concerne un seul motif de référence avec une seule analyse, il produit rarement un résultat parfait. Un processus réussi implique géné- ralement de combiner un suivi automatique et un suivi manuel, de faire des essais avec différents réglages de paramètres et de redéfinir certains points de référence à différents endroits du plan. Recherche d’un bon motif de référence La première étape du processus de sélection d’un bon motif de référence consiste à lire la séquence plusieurs fois. Lors du visionnage du plan, essayez de trouver un motif de référence qui respecte le plus grand nombre possible des règles indiquées ci-dessous :  Le motif contient des bords perpendiculaires, tels que des points, des intersections et des angles (il vaut mieux éviter les lignes et les bordures rectilignes comme motifs de référence de suivi).  Il s’agit d’un motif à contraste élevé.  Le motif contient des changements graduels de luminosité ou de couleur (exemple de changement brusques de luminosité ou de couleur : une ombre aux limites très marquées traversant votre motif de référence).  Le motif est présent dans toutes les images du plan (il ne sort pas de l’écran ou n’est pas caché par d’autres objets).  Le motif se distingue des autres motifs environnants dans le plan. Préparation manuelle de votre suivi Une autre technique possible est celle qui consiste à insérer manuellement des images clés de suivi. Ainsi, si vous disposez de 100 images à suivre, vous pouvez créer manuellement une image clé toutes les 10 images. Pour créer manuellement des images clés de suivi à l’aide du bouton Enregistrer : 1 Activez l’enregistrement (appuyez sur la touche A). 2 Dans le Canevas, placez le suiveur sur le point de référence à suivre. Une image clé de suivi est créée dans le comportement. Remarque : vous pouvez appuyer sur les touches Maj + Point pour faire un saut de 10 images en avant ou sur les touches Maj + Virgule pour faire un saut de 10 images en arrière. 3 Répétez l’étape 2 jusqu’à ce que vous ayez terminé le suivi.86 Chapitre 2 Suivi de l’animation Pour créer manuellement des images clés sans activer l’enregistrement : 1 Dans le Canevas, placez le suiveur sur le point de référence à suivre. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour Analyser animation, Suivre le mouvement ou Stabiliser (avec suiveurs manuels), choisissez Objet > « Ajouter une image clé Position » ou Objet > « Ajouter une image clé Résultat » (ou appuyez sur Contrôle + K).  Pour Stabiliser (mode automatique), choisissez Objet > « Ajouter une image clé Vecteur d’animation ». Modification manuelle des suivis Vous pouvez modifier manuellement les points de suivi. Pour régler manuellement un point de suivi à l’écran : 1 Placez la tête de lecture sur l’image que vous souhaitez modifier. Le point de suivi situé à l’emplacement actuel de la tête de lecture est mis en surbrillance. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Faites glisser le point de suivi mis en surbrillance dans le Canevas afin d’ajuster sa position.  Faites glisser le pointeur dans la zone Aperçu du suivi de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Remarque : le paramètre Position du suiveur permet uniquement d’ajuster le suiveur à l’écran, il ne concerne pas les points de suivi à l’écran. Pour obtenir un réglage plus précis, vous pouvez utiliser l’outil Zoom pour effectuer un zoom avant ou arrière sur le plan. Comme le zoom suit le pointeur, placez ce dernier sur le point de suivi dans le Canevas, puis faites-le glisser vers la droite pour effectuer un zoom avant. Faites-le glisser vers la gauche pour effectuer un zoom arrière sur le plan. Pour revenir à l’affichage normal, choisissez 100 % dans le menu local Niveau de zoom (situé dans la section inférieure droite de la barre d’outils). Vous pouvez également ajuster une courbe de suivi dans l’Éditeur d’images clés. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’Éditeur d’images clés, reportez-vous au Chapitre 6, « Courbes et animation à l’aide d’images clés », du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Outil ZoomChapitre 2 Suivi de l’animation 87 Conversion de suivis en images clés Les données de suivi enregistrées ou référencées par les comportements Suivre le mouvement, Stabiliser ou Déstabiliser peuvent être « incorporées » aux images clés de l’objet transformé. Les images clés de suivi sont appliquées à l’objet suivi et le comportement est supprimé du projet. Vous pouvez ensuite modifier les courbes d’animation dans l’Éditeur d’images clés. Étant donné qu’ils ne transforment pas l’image, les suivis enregistrés par le comportement Analyser animation ne peuvent pas être convertis en images clés. Un comportement Suivre le mouvement ou Stabiliser faisant référence aux données d’un comportement Analyser animation peut toutefois être converti en images clés. Pour convertir un comportement de suivi en images clés : 1 Sélectionnez le comportement Suivre le mouvement, Stabiliser ou Déstabiliser à convertir. 2 Choisissez Objet > « Convertir en images clés » (ou appuyez sur Commande + K). Une zone de dialogue apparaît pour confirmer la conversion. 3 Cliquez sur OK. Le comportement est converti en images clés modifiables et le comportement de suivi est supprimé. Pour en savoir plus sur la conversion des comportements en images clés, reportez-vous au Chapitre 5, « Utilisation des comportements », dans le Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’Éditeur d’images clés, reportez-vous au Chapitre 6, « Courbes et animation à l’aide d’images clés », du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Détérioration des suivis Une fois qu’une analyse a été effectuée, il est parfois nécessaire de recommencer le suivi d’une partie du plan. Plutôt que d’utiliser à nouveau de mauvaises images clés, il est conseillé de supprimer celles-ci avant de recommencer le suivi. Si les « mauvaises » images clés ne sont pas supprimées, le suiveur risque de continuer à utiliser l’ancien point de référence. Pour supprimer de mauvaise images clés de suivi : 1 Positionnez la tête de lecture sur l’image dans laquelle vous voulez redéfinir le motif de référence.88 Chapitre 2 Suivi de l’animation 2 Dans l’Éditeur d’images clés, faites glisser le pointeur pour sélectionner les images clés à supprimer. 3 Cliquez dans l’Éditeur d’images clés en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Couper dans le menu contextuel (ou appuyez sur la touche Suppr). 4 Dans le Canevas, faites glisser le suiveur sur le point de référence, puis cliquez sur Analyser. De nouvelles images clés de suivi sont créées. ∏ Astuce : si vous êtes confronté à plusieurs suiveurs problématiques, il peut s’avérer utile de désactiver les suiveurs que vous n’êtes pas en train de corriger afin de simplifier l’Éditeur d’images clés. De même, lorsque vous effectuez un réglage précis de suivis dans l’Éditeur d’images clés, il peut être pratique de simplifier ce qui est affiché dans le graphique. L’image ci-dessous montre les courbes d’une opération simple de déformation par quatre angles.Chapitre 2 Suivi de l’animation 89 Pour isoler rapidement une courbe, cliquez sur la case du paramètre dans la liste de paramètres de l’Éditeur d’images clés tout en maintenant la touche Option enfoncée. Lissage des courbes d’images clés de suivi Il est possible de lisser un suivi à l’aide de la fonction « Suppression d’images clés », disponible dans le menu Animation de la liste de paramètres de l’Éditeur d’images clés. Avant de lisser la courbe, il est conseillé de sauvegarder le comportement en le copiant dans la Bibliothèque ou en le dupliquant dans le projet. Pour lisser une courbe de suivi : 1 Dans l’Éditeur d’images clés, cliquez sur le menu Animation correspondant au suivi que vous souhaitez lisser, puis choisissez « Réduire les images clés » dans le menu local. Avant la simplification de la courbe, une image clé est affichée pour chaque image.90 Chapitre 2 Suivi de l’animation La zone de dialogue « Réduire les images clés » apparaît. L’option « Réduire les images clés » applique un algorithme de dilution aux images clés du paramètre choisi, ce qui réduit le nombre d’images clés dans ce paramètre tout en essayant de conserver une forme similaire pour la courbe. L’algorithme de dilution se règle de deux façons : l’augmentation de la tolérance maximale d’erreurs permet d’obtenir quelques images clés et l’augmentation du facteur de lissage rend les courbes plus lisses entre les valeurs d’images clés. Cet exemple utilise la valeur 5, ce qui signifie que 5 points de suivi concentrés sur le point actuellement évalué sont utilisés pour calculer la nouvelle valeur lissée du point actuel. Il s’agit d’un filtre gaussien (courbe en forme de cloche) standard. En d’autres termes, si vous conservez la valeur 5, les images 10, 11, 12, 13 et 14 sont prises en compte pour calculer la valeur de l’image 12. Si vous choisissez 3, les images 11, 12 et 13 sont utilisées. Plus le facteur de lissage est élevé, plus le nombre de points pris en compte pour chaque point de la courbe est important (et par conséquent, plus les calculs effectués sont nombreux). 2 Définissez les valeurs dans la zone de dialogue « Réduire les images clés ». La courbe est modifiée dans l’Éditeur d’images clés au fur et à mesure que vous ajustez les curseurs ou les curseurs de valeur dans la zone de dialogue. 3 Cliquez sur OK. Une fois simplifiée, la courbe est lissée et contient moins d’images clés.Chapitre 2 Suivi de l’animation 91 Calcul de la moyenne d’une courbe de suivi Une autre option de lissage possible consiste à appliquer le comportement de paramètre Moyenne à une courbe de suivi dans l’Éditeur d’images clés. Ce comportement a pour effet de lisser la transition d’une valeur d’image clé à l’autre. Les animations traitées à l’aide du comportement Moyenne sont plus fluides. Pour appliquer un comportement de paramètre Moyenne à une courbe de suivi : m Dans l’Éditeur d’images clés, cliquez sur la courbe de suivi en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Moyenne dans le menu contextuel. La moyenne du suivi est calculée et le résultat apparaît sous la forme d’une courbe simplifiée affichée derrière les images clés dans l’Éditeur d’images clés. Pour en savoir plus sur l’utilisation des comportements de paramètre Moyenne, reportezvous au Chapitre 5, « Utilisation des comportements », dans le Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Maintien de la qualité d’image Idéalement, le suivi d’une image doit être effectué en utilisant un maximum de données brutes. Plus la qualité de la séquence est élevée, plus la qualité du suivi le sera également. Demande d’un indice à Motion Motion est capable de vous « suggérer » de bons motifs de référence. Pour afficher les points de suivi suggérés : m Maintenez la touche Option enfoncée, cliquez sur un point de suivi dans le Canevas, puis maintenez le bouton de la souris enfoncé. Les points de suivi suggérés sont affichés sous forme de petits signes plus (+) jaunes. Tout suiveur que vous faites glisser vers l’un de ces points suggérés se place automatiquement sur ce point.92 Chapitre 2 Suivi de l’animation Les points suggérés ne constituent pas nécessairement des points de référence de suivi idéaux pour la caractéristique à suivre dans le plan. Il s’agit uniquement de zones de l’image actuelle choisies parce qu’elles correspondent aux critères indiqués pour les points de suivi, par exemple une zone à contraste élevé. Communication d’un indice à Motion Lorsque vous utilisez le comportement Analyser animation, vous pouvez indiquer à un suiveur la zone d’une image ultérieure dans laquelle il doit rechercher son motif de réfé- rence. Cet outil est idéal pour les types de plans suivants :  les plans contenant des caractéristiques qui se déplacent rapidement ;  les plans contenant des sujets se déplaçant le long d’un vecteur relativement droit (avec ou sans obstruction) ;  les plans contenant des panoramiques très rapides (il se peut que vous deviez redéfinir le suiveur « vers l’avant » à chaque changement de panoramique). Important : si votre opération de suivi échoue et que vous repositionnez votre suiveur, vous devez également redéfinir le suiveur vers l’avant dans le Canevas afin d’indiquer un nouveau vecteur d’animation à partir du nouveau point de référence. Pour définir des images vers l’avant : 1 Dans le Canevas, positionnez le suiveur sur le motif de référence souhaité. Dans l’image ci-dessous, le suiveur est positionné sur un motif de référence situé sur le pare-chocs avant de la voiture. SuiveurChapitre 2 Suivi de l’animation 93 2 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, utilisez le curseur ou le curseur de valeur « Rechercher des images vers l’avant » pour spécifier le nombre d’images que votre suiveur doit anticiper. Remarque : le nombre maximum d’images pour le curseur « Rechercher des images vers l’avant » est 10. Vous pouvez toutefois saisir un nombre d’images plus important à l’aide du curseur de valeur adjacent. 3 Maintenez la touche Commande enfoncée, cliquez sur le suiveur dans le Canevas, puis faites glisser le pointeur dans le sens du déplacement du motif de référence dans le plan. Lorsque vous faites glisser le point de suivi en maintenant la touche Commande enfoncée, un cadre apparaît et montre un agrandissement de l’image spécifiée dans le paramètre « Rechercher des images vers l’avant ». 4 Relâchez le bouton de la souris une fois que le suiveur vers l’avant est positionné sur le motif de référence. Remarque : vous pouvez utiliser des images vers l’avant lorsque vous effectuez un suivi à l’envers, c’est-à-dire en regardant vers les images précédentes plutôt que vers les images suivantes. Suivi d’images avec modifications de la perspective, de l’échelle ou de la rotation Vous pouvez essayer plusieurs stratégies différentes pour les images contenant des modifications importantes de taille et d’angle. Essayez tout d’abord d’utiliser une zone de recherche plus importante. Bien que Motion ne vous permette pas d’ajuster une zone de recherche de suivi à l’écran, vous pouvez modifier sa taille de recherche par défaut à l’aide du paramètre Rechercher la taille dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Cliquez sur le triangle d’affichage du suivi (Suivi 1, par exemple) pour afficher le paramètre Rechercher la taille.94 Chapitre 2 Suivi de l’animation Une deuxième stratégie consiste à diminuer la valeur Tolérance d’échec. Une valeur Tolé- rance d’échec plus faible augmente la probabilité pour le suiveur de trouver une correspondance approximative. Avec une valeur plus élevée, le suiveur utilise des critères de concordance plus stricts. Cliquez sur le triangle d’affichage du suivi pour afficher le paramètre Tolérance d’échec. Une autre stratégie consiste à accéder directement à l’image située au milieu du plan et à effectuer un suivi vers l’avant jusqu’à la dernière image du plan. Vous pouvez ensuite revenir à l’image du milieu et effectuer un suivi à l’envers jusqu’au début du plan. Suivi de points cachés ou hors-cadre Outre l’expérimentation avec différents réglages de paramètres de suivi, il existe une technique élémentaire permettant de corriger les points de suivi qui sont cachés parce qu’ils sortent du cadre ou parce qu’un autre objet passe devant eux. La séquence ci-dessous est un exemple simple de plan nécessitant un suivi décalé. Une voiture en mouvement passe derrière un arbre qui cache temporairement le motif de référence. Lorsque le motif de référence est caché, la case Décaler la piste permet de déplacer le suiveur et de choisir un nouveau motif de référence situé dans une zone autre que celle du motif de référence initial. Le décalage entre le motif de référence initial et le nouveau motif est calculé de sorte que la continuité de la trajectoire de suivi obtenue soit maintenue. Dans l’exemple suivant, le suivi est caché par un arbre ; le suiveur est donc déplacé sur un motif de référence voisin et le suivi continue jusqu’à ce que le motif d’origine réapparaisse. Bien qu’une seule zone soit examinée, les points sont enregistrés dans une autre zone. Le deuxième motif de suivi doit se déplacer dans le même sens que le motif initial. Pour décaler (déplacer) le suiveur à l’écran et le placer sur une zone visible de l’image : 1 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi décalé.Chapitre 2 Suivi de l’animation 95 Lorsqu’un suivi est perdu au cours d’une analyse, Motion revient automatiquement à l’image sur laquelle le suivi a échoué. Le « mauvais » point de suivi est signalé par un « x » dans le Canevas. Vous pouvez utiliser le mauvais point de suivi, ou tout point antérieur à l’image sur laquelle le suivi a échoué, pour placer le suiveur et sélectionner une nouvelle caracté- ristique de référence. Dans le Canevas, le point de suivi à l’emplacement actuel de la tête de lecture est mis en évidence. Le point de suivi correspondant à l’emplacement actuel de la tête de lecture est mis en surbrillance.96 Chapitre 2 Suivi de l’animation 2 Activez le bouton Décaler la piste dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. 3 Faites glisser le suiveur pour le placer à un autre endroit du Canevas. 4 Cliquez sur Analyser pour recommencer l’analyse de l’animation. Motion continue d’ajouter des images clés sur la trajectoire du point de suivi initial en fonction du mouvement du nouveau motif de référence décalé. Remarque : lorsque vous utilisez l’option Décaler la piste, veillez à ce que le nouveau motif de référence soit placé aussi près que possible de la caractéristique de suivi initiale. Idéalement, la caractéristique décalée devrait partager la même animation que la caractéristique suivie à l’origine et apparaître sur le même sujet. Suivi d’une séquence resynchronisée Lorsque vous travaillez sur un projet qui comprend des tâches de suivi et de resynchronisation, suivez les indications ci-dessous pour obtenir de meilleurs résultats :  Étant donné que le suiveur Motion effectue son analyse à la fréquence d’images du projet, assurez-vous que la fréquence d’images de la séquence à traiter correspond à celle du projet. Par exemple, si vous voulez effectuer le suivi d’une séquence dont la fréquence d’images est de 24 images par seconde (ips), la fréquence d’images de votre projet doit également être de 24 ips. Une fois l’analyse de suivi terminée, resynchronisez le plan à l’aide des paramètres Resynchronisation de l’onglet Média de l’Inspecteur ou à l’aide des comportements Resynchronisation.  Ne resynchronisez pas la séquence avant l’analyse de suivi.  Ne resynchronisez pas la séquence. Effectuez une analyse de suivi, puis resynchronisez la séquence. Cela pourrait avoir un effet négatif sur votre suivi. Remarque : si vous voulez vraiment effectuer le suivi d’un plan après l’avoir resynchronisé, il est recommandé de le resynchroniser, de l’exporter, puis de l’importer et d’effectuer l’analyse de suivi. Bouton Décaler la pisteChapitre 2 Suivi de l’animation 97 Dépannage des effets de stabilisation Si le résultat d’une opération de stabilisation ne vous satisfait pas, il existe plusieurs moyens possibles d’améliorer le résultat. La stabilisation fonctionne mieux avec des images réelles L’analyse automatique d’animation (analyse sans suiveurs) utilisée par le comportement Stabiliser fonctionne mieux avec des images réelles. Les images artificielles, telles que celles qui sont dépourvues de texture, ne conviennent pas au mode automatique du comportement Stabiliser. Les scènes qui contiennent des mouvements de panoramique très importants ne sont pas recommandées non plus. Les images contenant des données de caméra redondantes donnent de très bons résultats. Ajout de suiveurs à la stabilisation Si un plan stabilisé présente une section particulièrement saccadée que vous ne parvenez pas à lisser, vous pouvez ajouter des suiveurs à des sections non contiguës du plan. Les données d’animation provenant de l’analyse automatique d’animation sont remplacées par les sections du plan analysées à l’aide des suiveurs à l’écran. Pour utiliser un suiveur sur une section d’opération de stabilisation : 1 Une fois l’analyse d’animation Stabiliser terminée, lisez le plan pour déterminer la section à suivre. Important : analysez toujours la totalité du plan avant d’ajouter des suiveurs. Pour obtenir un résultat optimal, le comportement Stabiliser requiert des données « significatives », c’est-à-dire, une plage d’images importante. 2 Définissez un point de sortie pour l’analyse des suiveurs : placez la tête de lecture sur l’image à laquelle vous voulez arrêter l’analyse, puis choisissez Marquer > « Marquer le point de sortie de la plage de lecture » (ou appuyez sur Commande + Option + O). 3 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi, puis cliquez sur le bouton Ajouter dans l’Inspecteur. 4 Placez le suiveur sur le motif de référence à suivre dans le Canevas, puis cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’Inspecteur. La plage de lecture spécifiée est suivie, ce qui crée des points de suivi dans le Canevas et des images clés de suivi dans l’Éditeur d’images clés. Remarque : lorsque vous utilisez cette stratégie pour effectuer le suivi de plusieurs sections non contiguës du plan, utilisez autant que possible le même suiveur pour simplifier le suivi et éviter d’encombrer l’Éditeur d’images clés. Cette stratégie n’est pas recommandée pour de petites sections du plan. Par exemple, il vaut mieux ne pas y recourir pour la stabilisation par défaut de 25 images, une analyse de suivi sur 10 images, la stabilisation par défaut de 10 images, etc.98 Chapitre 2 Suivi de l’animation Modification des paramètres de lissage Si vous souhaitez lisser l’animation d’un plan, vous devriez tout d’abord essayer d’ajuster les paramètres de lissage. Ces paramètres sont Lissage de la conversion, Lissage de la rotation et Lissage de l’échelle. Le réglage des paramètres peut être effectué sans qu’il soit nécessaire d’analyser à nouveau le plan. Nouvelle analyse avec une qualité plus élevée Avant l’analyse, choisissez Mieux dans le menu local Qualité à l’intérieur de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’analyse prendra plus de temps, mais sera de meilleure qualité. Modification des données d’analyse Si aucune des solutions ci-dessus ne donne des résultats satisfaisants, examinez le paramè- tre Confiance dans l’Éditeur d’images clés, puis recherchez les images pour lesquelles le paramètre Confiance présente des valeurs très faibles. Si la transformation de l’image est particulièrement visible au niveau de ces images, vous pouvez convertir le comportement Stabiliser en images clés. Cela permet de créer des images clés de transformation sur l’objet stabilisé qu’il sera ensuite possible de modifier dans l’Éditeur d’images clés. Essayez de supprimer les images clés qui provoquent des pics inhabituels au niveau des images pour lesquelles vous avez constaté une valeur faible de la courbe Confiance. Pour en savoir plus sur la transformation de comportements en images clés, consultez la section « Conversion de suivis en images clés » à la page 87. Suppression des contours noirs produits par la stabilisation Lorsque vous utilisez le comportement Stabiliser, les transformations obtenues, qui servent à lisser ou à stabiliser le plan, provoquent l’apparition de contours noirs mobiles sur les bords de l’image. Bien que ce phénomène soit nécessaire pour obtenir l’effet désiré, il n’est généralement pas souhaitable de conserver ces contours noirs dans le plan final. Vous disposez de plusieurs moyens pour traiter ces contours. Zoom sur le plan Vous pouvez utiliser le menu local Contours dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur pour effectuer un zoom sur le plan. Pour effectuer un zoom sur le plan : m Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, choisissez Zoom dans le menu local Contours. Le plan est agrandi pour occuper la totalité de l’espace du Canevas, ce qui empêche l’apparition de contours noirs sur les bords du plan stabilisé.Chapitre 2 Suivi de l’animation 99 Redimensionnement de l’image de sortie pour l’adapter à la taille de l’image originale Si l’image obtenue doit avoir la même taille que l’image originale, la solution la plus rapide consiste à redimensionner l’image après l’analyse Stabiliser. Vous devrez agrandir l’image jusqu’à ce que les contours noirs se trouvent hors de son cadre. Cette méthode a pour inconvénient d’adoucir l’image en fonction du facteur d’agrandissement nécessaire. Pour redimensionner l’image stabilisée : 1 Sélectionnez le plan, puis cliquez sur l’onglet Propriétés de l’Inspecteur. 2 Réglez le paramètre Échelle de sorte que les contours ne soient plus visibles sur les bords du plan. Distorsion des bords Une dernière suggestion consiste à essayer différents filtres pour étirer les bords de l’image afin de remplir les vides éventuels. Vous pouvez, par exemple, essayer d’utiliser le filtre Étalement pour étirer les bords de l’image. Cette solution dépend en grande partie du type d’image et peut introduire d’autres défauts dans l’image qui peuvent ou non être acceptables. Dans l’image ci-dessous, un contour important est créé lorsque le plan est stabilisé.100 Chapitre 2 Suivi de l’animation Un filtre Étalement est ensuite appliqué au groupe dans lequel se trouve le plan stabilisé. L’image de gauche montre le plan après la première application du filtre au groupe. À première vue, le filtre semble peu efficace. Dans l’image de droite, le centre et la rotation du filtre ont été ajustés et le contour noir a été supprimé en étirant le bord droit de l’image. Important : pour que cette technique produise des effets, vous devez appliquer le filtre au groupe du plan plutôt qu’au plan lui-même. Remarque : vous devrez peut-être cocher la case Résolution fixe dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur pour éviter que l’effet du filtre Étalement ne soit rogné. Quelques indications générales Le suiveur Motion se sert de l’image source pour effectuer son analyse de suivi. Cela signifie qu’il utilise automatiquement la meilleure zone de recherche, la meilleure couleur, le meilleur contraste, une précision de l’ordre du sous-pixel, etc. dans le plan afin de générer des données de suivi optimales. Les stratégies de suivi habituelles, telles que l’utilisation d’astuces impliquant des filtres, le redimensionnement manuel d’une boîte de suivi ou de la zone de recherche ou la spécification d’une quantité d’échantillonnage de l’ordre du sous-pixel ne sont pas nécessaires. Toutefois, cela ne signifie pas que vous n’avez aucun effort à faire pour obtenir un suivi parfait. Les indications ci-dessous vous aideront à choisir ce qui est utile ou ce qui ne l’est pas pour votre analyse de suivi. Ce qui ne sera pas utile  Appliquer un filtre quelconque à un plan ou à un objet avant d’effectuer le suivi.  Isoler un plan suivi. Cela ne permet pas d’accélérer l’analyse de suivi.  Ajouter plusieurs comportements Stabiliser. Cela ne contribue pas à mieux stabiliser un plan analysé, car le suivi analyse la séquence source originale et non pas le résultat d’un plan analysé (ou d’un plan filtré).  Convertir un suivi en images clés et effectuer à nouveau la stabilisation.Chapitre 2 Suivi de l’animation 101  Sélectionner une caractéristique de référence de suivi qui ne change pas de perspective, d’échelle ou de rotation. Le suiveur Motion est conçu pour gérer de manière efficace les changements de perspective, d’échelle et de rotation. Ce qui sera utile  Supprimer l’entrelacement (les trames) de la séquence avant d’effectuer le suivi. Pour supprimer les trames de votre séquence, sélectionnez cette dernière dans l’onglet Média de la sous-fenêtre du projet, cliquez sur l’onglet Média dans l’Inspecteur, puis choisissez une option dans le menu local Ordre de trame. Remarque : l’entrelacement peut être présent dans les plans stabilisés à l’aide du mode d’analyse automatique du comportement Stabiliser.  Stabiliser un plan, l’exporter, l’importer, puis le stabiliser à nouveau.  Augmenter ou diminuer la netteté d’un plan ou d’un objet à l’aide d’un filtre, exporter le plan, importer le plan dans le même groupe que la séquence originale, effectuer le suivi du plan filtré, puis utiliser ces données de suivi comme source pour d’autres comportements de suivi. Remarque : d’autres astuces liées aux filtres peuvent également s’avérer utiles, telles que l’utilisation d’un filtre pour isoler un canal de couleur moins bruyant dans un plan ou un objet.  Régler la résolution d’affichage sur une valeur plus basse pour tenter d’accélérer l’analyse de suivi. Suivi et groupes Certains aspects particuliers doivent être pris en compte pour le suivi des groupes. Déformation de groupes par les angles Vous pouvez utiliser le comportement Suivre le mouvement pour déformer des groupes par les angles. Les indications ci-dessous vous permettront d’obtenir un résultat optimal :  Pour déformer un groupe 2D par les angles, il est recommandé de cocher la case Résolution fixe dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur.  Pour déformer un groupe 3D par les angles, vous devez cocher la case Aplatir dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur. Si l’option Aplatir n’est pas activée pour le groupe, l’option Quatre angles ne sera pas disponible dans le menu local Type des paramè- tres Suivre le mouvement. Une fois que vous avez choisi Quatre angles dans le menu local Type, l’option Quatre angles est activée dans l’onglet Propriétés de l’Inspecteur, ce qui entraîne le tramage du groupe. Pour en savoir plus sur le tramage, voir « Tramage » à la page 38. L’utilisation de l’une ou l’autre des techniques décrites ci-dessus peut toujours provoquer un redimensionnement dynamique. En cas de résultats non souhaités, exportez le groupe, importez-le, puis déformez l’objet par les angles.102 Chapitre 2 Suivi de l’animation Parallaxe dans les groupes 3D Lorsque vous suivez le mouvement de groupes 3D contenant des objets décalés dans l’espace Z, la parallaxe est simulée. La parallaxe désigne le déplacement apparent d’un objet par rapport à un arrière-plan distant, provoqué par une modification de la perspective, due par exemple à un changement de position de la caméra. Pour supprimer un effet de parallaxe, cochez la case Aplatir pour le groupe suivi dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur. Enregistrement des suivis Comme c’est le cas pour tous les comportements dans Motion, vous pouvez enregistrer les comportements de suivi dans la Bibliothèque. Toutefois, n’oubliez pas qu’un comportement de suivi doit faire référence à l’objet source suivi. Il est par conséquent peut-être plus logique d’enregistrer la totalité du groupe contenant le comportement de suivi, avec la séquence source, dans la Bibliothèque. Pour enregistrer un groupe dans la Bibliothèque : 1 Ouvrez la Bibliothèque et sélectionnez la catégorie dans laquelle vous voulez enregistrer le groupe, telle que la catégorie Favoris, par exemple. 2 Faites glisser le groupe contenant le comportement de suivi et sa séquence source (suivie) depuis l’onglet Couches, la Timeline ou l’Inspecteur et déposez-le dans le bas de la Bibliothèque. Le groupe est ajouté à la catégorie Bibliothèque. Pour enregistrer un comportement dans la Bibliothèque : 1 Ouvrez la Bibliothèque, puis sélectionnez la catégorie Favoris, Menu Favoris ou Comportements. 2 Faites glisser le comportement personnalisé à enregistrer de l’onglet Couches, de la Timeline ou de l’Inspecteur dans la pile au bas de la Bibliothèque. Les éléments personnalisés que vous enregistrez dans la Bibliothèque sont stockés dans le dossier /Utilisateurs/nomd’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/Final Cut Studio/ Motion/Library. Pour en savoir plus sur l’enregistrement des comportements dans la Bibliothèque, reportezvous au Chapitre 5, « Utilisation des comportements », du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Pour ajouter un groupe à un projet à partir de la Bibliothèque : 1 Ouvrez la Bibliothèque et sélectionnez la catégorie contenant le groupe. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour imbriquer le groupe dans un groupe existant, faites-le glisser sur le groupe existant dans l’onglet Couches.  Pour créer un nouveau groupe, faites-le glisser sur une zone vide dans la partie inférieure de l’onglet Couches.Chapitre 2 Suivi de l’animation 103 Le groupe est ajouté au projet. Pour appliquer un comportement à un plan à partir de la Bibliothèque : 1 Ouvrez la Bibliothèque, puis sélectionnez la catégorie Favoris, Menu Favoris ou Comportements. 2 Faites glisser le comportement sur le plan dans la liste de couches, la Timeline ou le Canevas. Pour faire référence à un autre comportement de suivi au sein d’un projet : 1 Ajoutez un comportement Analyser animation, Suivre le mouvement, Stabiliser ou Déstabiliser. 2 Dans l’Inspecteur ou dans la palette du comportement de suivi, choisissez un suivi dans le menu local des comportements de suivi. Le suivi est appliqué au comportement de suivi. Paramètres des comportements de suivi d’animation La section suivante contient une description détaillée des paramètres disponibles dans les différents comportements de suivi. Remarque : il est impossible d’effectuer le suivi d’objets clonés. Contrôles du comportement Analyser animation Le comportement Analyser animation est conçu pour être utilisé avec des séquences (films ou séquences d’images). Ce comportement peut être considéré comme un suiveur de corrélation traditionnel : vous placez un suiveur à l’écran sur un motif de référence dans un plan. Le mouvement du plan au niveau du point de référence spécifié est analysé et les données analysées sont enregistrées dans le comportement. Les données enregistrées peuvent ensuite être appliquées à d’autres objets du projet. Le comportement Analyser animation ne transforme pas l’image de départ. Il sert uniquement à générer des suivis qui seront utilisées comme références par les comportements Suivre le mouvement et Stabiliser. Remarque : analyser animation ne peut pas faire référence à d’autres comportements de suivi. Important : le comportement Analyser animation ne peut être appliqué qu’à des objets séquence (séquence QuickTime ou séquence d’images).104 Chapitre 2 Suivi de l’animation Paramètres disponibles dans la palette La palette Analyser animation contient des contrôles permettant de lancer l’analyse de suivi d’animation (bouton Analyser), d’inverser le sens du suivi (case Inverser) et de spé- cifier un suivi décalé (case Décaler la piste). Le suivi décalé permet de repositionner le suiveur sur un nouveau motif de référence. Les paramètres de la palette, qui apparaissent également dans l’Inspecteur, sont décrits ci-dessous. Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Mouvement : le paramètre Mouvement est muni de contrôles qui permettent de démarrer l’analyse de suivi et de spécifier la direction de l’analyse.  Analyser : cliquez sur le bouton Analyser pour lancer l’analyse de suivi d’animation. Une fois que vous avez cliqué sur le bouton Analyser, une fenêtre d’état apparaît pour indiquer la progression du suivi. Pour arrêter l’analyse, cliquez sur le bouton Stop de la fenêtre d’état ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). Le début du suivi correspond à la position actuelle de la tête de lecture et non au début du comportement dans la Timeline.  Inverser : si la case Inverser est sélectionnée, le plan est analysé à partir de la position actuelle de la tête de lecture jusqu’à la première image du plan (ou jusqu’à la première image du comportement de suivi). Remarque : vous devez placer la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer l’analyse inversée. Suivre : cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter des suiveurs au comportement Analyser animation. Un seul suiveur est disponible par défaut. Les nouveaux suiveurs sont ajoutés au centre du Canevas. Pour obtenir une description des paramètres Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, Rechercher des images vers l’avant, de ceux de la liste des suivis et des sous-paramètres de suiveur, reportez-vous à la section « Contrôles des suiveurs » à la page 117. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Analyser animation, voir « Flux de travaux général du suivi d’animation (avec Analyser animation) » à la page 55. Contrôles du comportement Suivre le mouvement Le comportement Suivre le mouvement peut être appliqué à différents types d’objets, tels que des groupes, des caméras, des formes, des émetteurs de particules, etc. Important : lorsque vous appliquez le comportement Suivre le mouvement à un groupe, assurez-vous que la séquence source faisant l’objet du suivi ne se trouve pas à l’intérieur de ce groupe.Chapitre 2 Suivi de l’animation 105 Paramètres disponibles dans la palette La palette Suivre le mouvement contient des contrôles permettant de charger dans le comportement un objet animé ou des données de suivi provenant d’un autre comportement de suivi (via le cadre Source ou le menu local des comportements de suivi), de lancer l’analyse d’animation (bouton Analyser), d’inverser le sens du suivi (case Inverser), de décaler le suivi (case Décaler la piste), de spécifier si l’objet de destination est déformé par les quatre angles (menu local Type) et de choisir la transformation appliquée à l’objet de destination (paramètre Ajuster). Les paramètres de la palette, qui apparaissent également dans l’Inspecteur, sont décrits ci-dessous. Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Source : faites glisser l’objet source destiné au comportement Suivre le mouvement dans ce cadre. L’objet source peut-être un autre comportement de suivi, un objet animé ou un objet séquence. Lorsqu’un comportement Suivre le mouvement est ajouté à un objet, l’objet animé, le suivi enregistré ou l’objet séquence le plus proche du comportement dans la Liste de couches apparaît dans ce cadre. Pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâchez le bouton de la souris. Si un objet n’appartenant pas à une séquence (tel qu’une forme ou un masque) est déposé dans le cadre Source, les suiveurs ne sont plus disponibles dans le comportement Suivre le mouvement. Remarque : si le comportement Suivre le mouvement est appliqué à un masque, l’objet masqué est automatiquement sélectionné en tant que source.  Menu local des comportements de suivi : faites un choix dans une liste de données de suivi (provenant d’autres comportements de suivi) à l’intérieur du projet. Mouvement : le paramètre Mouvement est muni de contrôles permettant de démarrer l’analyse de suivi et de spécifier la direction de l’analyse.  Analyser : cliquez sur le bouton Analyser pour lancer l’analyse de suivi d’animation. Une fois que vous avez cliqué sur le bouton Analyser, une fenêtre d’état apparaît pour indiquer la progression du suivi. Pour arrêter l’analyse, cliquez sur le bouton Stop de la fenêtre d’état ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). Le début du suivi correspond à la position actuelle de la tête de lecture et non au début du comportement dans la Timeline.  Inverser : si la case Inverser est sélectionnée, le plan est analysé depuis la position actuelle de la tête de lecture jusqu’à la première image du plan (ou jusqu’à la première image du comportement de suivi). Remarque : vous devez placer la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer l’analyse inversée. Type : ce menu local permet de choisir entre le suivi à un point, le suivi à deux points et le suivi à quatre points.106 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Transformation : cette option autorise le suivi à un ou deux points qui transforme l’objet de destination.  Quatre angles : cette option permet d’activer le suivi à quatre points qui déforme l’objet de destination par les angles. Les paramètres Direction et Ajuster ne sont plus disponibles lorsque cette option est sélectionnée. Remarque : l’option Quatre angles n’est pas disponible si le comportement Suivre le mouvement est appliqué à un groupe 3D. Pour déformer un groupe 3D par les angles, cochez la case Aplatir dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur. Direction : ce menu local permet de spécifier la dimension sur laquelle le mouvement enregistré est appliqué à l’objet de destination : X et Y, seulement X ou seulement Y. Transformer : ce menu local permet de choisir la manière dont l’objet de destination (c’est-à-dire, l’objet auquel le comportement Suivre le mouvement est appliqué) se déplace.  Attacher à la source : cette option « colle » l’objet de premier plan au suivi enregistré ou à la source d’animation. Utilisez l’option « Attacher à la source » lorsque l’objet source change d’échelle ou subit une rotation et que vous voulez que l’objet de destination reste « collé » à un endroit particulier de l’objet source. Toute animation qui existait sur l’objet de destination avant l’application du suivi est effacée. Remarque : bien que l’objet de destination soit attaché au mouvement de l’objet source, il est possible de modifier la position de l’objet de destination (c’est-à-dire, de le décaler par rapport à l’objet source). Il est impossible de mettre l’objet de destination à l’échelle ou de le faire pivoter. Dans l’exemple ci-dessous, le comportement Suivre le mouvement est appliqué à la forme de « gélule » de couleur rouge et utilise la flèche blanche animée comme objet source. Un comportement Rotation a été appliqué à la flèche blanche qui tourne dans le sens des aiguilles d’une montre.Chapitre 2 Suivi de l’animation 107 Lorsque l’option « Attacher à la source » est sélectionnée dans le menu local Transformer, la forme rouge est verrouillée sur un endroit particulier de la flèche (dans cet exemple, il s’agit de sa pointe) lorsqu’elle suit le mouvement de cette dernière. Remarque : vous ne pouvez pas transformer un objet suivi si l’option « Attacher à la source » est sélectionnée. Il est, par exemple, impossible de modifier l’échelle, la position ou la rotation d’un objet déformé par les angles.  Imiter la source : cette option permet à l’objet de destination « d’imiter » le suivi enregistré ou la source d’animation. Toute animation qui existait sur l’objet au premier plan avant l’application du suivi est ajoutée à ce dernier. Remarque : comme pour l’option « Attacher à la source », vous pouvez modifier la position de l’objet de destination (c’est-à-dire, le décaler par rapport à l’objet source). Vous pouvez en outre redimensionner l’objet de destination ou le faire pivoter. Dans les images ci-dessous, l’option Imiter la source est sélectionnée dans le menu local Transformer. La forme rouge n’est verrouillée sur aucun point de la flèche blanche, mais elle imite l’animation de cette dernière. L’option Imiter la source permet de transformer un objet suivi dans l’onglet Propriétés de l’Inspecteur. Vous pouvez, par exemple, modifier l’échelle, la position ou la rotation d’un objet déformé par les angles. Si vous utilisez l’option Quatre angles, l’option Imiter la source permet en outre d’ajuster les suiveurs sans ajuster l’image au premier plan. Ajuster : ce paramètre permet de choisir le type de transformation appliqué à l’objet de destination.  Position : lorsque cette option est activée, la position de l’objet source (à l’arrière-plan) est appliquée à l’objet de destination (au premier plan). Lorsque l’option Position est sélectionnée, le suiveur Ancrage (position) est activé.108 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Échelle : lorsque cette option est activée, l’échelle de l’objet source (à l’arrière-plan) est appliquée à l’objet de destination (au premier plan). La source du suivi doit contenir des données d’échelle pour que ce paramètre ait un effet. Lorsque l’option Échelle est sélectionnée, le suiveur Échelle de rotation est activé.  Rotation : lorsque cette option est activée, la rotation de l’objet source (arrière-plan) est appliquée à l’objet de destination (premier plan). La source du suivi doit contenir des données de rotation pour que ce paramètre ait un effet. Lorsque l’option Rotation est sélectionnée, le suiveur Échelle de rotation est activé. Ancrage : disponible si le suivi à un point ou à deux points est activé (lorsque Transformation est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur Ancrage. Le suiveur Ancrage enregistre les données de position. Lorsque l’option Position est sélectionnée dans les paramètres Ajuster, le suiveur Ancrage est activé. Si le comportement Suivre le mouvement fait référence à un autre comportement, tel qu’Analyser animation, le suiveur Ancrage devient le suiveur Début. Les sous-paramètres du suiveur sont remplacés par un menu local qui permet de sélectionner le suiveur du comportement référencé que vous voulez appliquer comme suiveur Début. Par défaut, le Suivi 1 du comportement référencé est appliqué comme suiveur Début et le Suivi 2 est appliqué comme suiveur Échelle de rotation. S’il n’existe qu’un seul suiveur dans le comportement référencé, le Suivi 1 est appliqué aux deux suiveurs Suivre le mouvement. Échelle de rotation : disponible si le suivi à un point ou à deux points est activé (lorsque Transformation est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur Échelle de rotation. Les données de rotation et d’échelle sont enregistrées en utilisant la relation entre les suiveurs Ancrage et Échelle de rotation. Lorsque l’option Échelle ou Rotation est sélectionnée dans les paramètres Ajuster, le suiveur Échelle de rotation est activé. Lorsque le comportement Suivre le mouvement fait référence à un autre comportement, les suiveurs du comportement référencé sont appliqués aux suiveurs Suivre le mouvement.Chapitre 2 Suivi de l’animation 109 Lorsque le comportement Suivre le mouvement fait référence à un autre comportement, tel qu’Analyser animation, les sous-paramètres du suiveur Échelle de rotation sont remplacés par un menu local qui permet de sélectionner le suiveur du comportement réfé- rencé que vous voulez appliquer comme suiveur Échelle de rotation. En haut à gauche : disponible si le suivi à quatre points est activé (lorsque Quatre angles est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur supérieur gauche. En haut à droite : disponible si le suivi à quatre points est activé (lorsque Quatre angles est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur supérieur droit. En bas à droite : disponible si le suivi à quatre points est activé (lorsque Quatre angles est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur inférieur droit. En bas à gauche : disponible si le suivi à quatre points est activé (lorsque Quatre angles est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur inférieur gauche. Lorsque le comportement Suivre le mouvement fait référence à un autre comportement, tel qu’Analyser animation, les sous-paramètres des suiveurs En haut à gauche, En haut à droite, En bas à droite et En bas à gauche sont remplacés par un menu local qui permet de sélectionner le suiveur du comportement référencé que vous voulez appliquer à chaque suiveur Suivre le mouvement. Pour obtenir une description des paramètres Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, « Rechercher des images vers l’avant », de ceux de la liste de suivis et des sous-paramètres de suiveur, reportez-vous à la section « Contrôles des suiveurs » à la page 117. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Suivre le mouvement, voir « Flux de travaux du comportement Suivre le mouvement » à la page 59. Contrôles du comportement Stabiliser Le comportement Stabiliser a recours à une méthode différente de celle utilisée par les comportements Suivre le mouvement et Analyser animation pour analyser le mouvement dans un plan. Il n’est généralement pas nécessaire d’utiliser des suiveurs pour stabiliser un plan. La méthode sophistiquée qu’utilise ce comportement pour évaluer l’animation consiste à effectuer automatiquement le suivi de chaque pixel d’une image à la suivante. Un vecteur d’animation est ensuite calculé à partir de cette analyse. L’analyse peut être effectuée sur la totalité du plan ou sur une zone d’intérêt. Une zone d’intérêt est une zone du plan définie par l’utilisateur en vue de son analyse.110 Chapitre 2 Suivi de l’animation Si le résultat de l’analyse automatique requiert une correction supplémentaire, vous pouvez effectuer un suivi manuel sur des zones temporelles non contiguës du plan. Si vous constatez, par exemple, la présence d’un saut de caméra supplémentaire sur les images 350 à 380, vous pouvez ajouter un suiveur pour analyser uniquement cette portion du plan. Les données enregistrées à partir de l’analyse supplémentaire sont ajoutées aux données enregistrées par le suivi automatique et pour mieux lisser le plan. Outre la prise en compte du mouvement horizontal, vertical ou horizontal et vertical dans le plan, le comportement Stabiliser examine également la position, l’échelle et la rotation. Important : le comportement Stabiliser ne peut être appliqué qu’aux objets séquence (séquence QuickTime ou séquence d’images). Paramètres disponibles dans la palette La palette Stabiliser contient des contrôles permettant de charger un autre suivi de stabilisation dans le comportement (via le cadre Source ou le menu local des comportements de suivi), de lancer l’analyse d’animation (bouton Analyser), de spécifier si le plan doit être stabilisé ou lissé (menu local Méthode), de définir comment le plan stabilisé doit être « dimensionner » (menu local Contours) et de choisir le type de transformation à appliquer au plan analysé (paramètre Ajuster). Les paramètres de la palette, qui apparaissent également dans l’Inspecteur, sont décrits ci-dessous. Remarque : lorsque l’option Lissage est sélectionnée dans le menu local Méthode, des paramètres supplémentaires deviennent disponibles dans la palette et dans l’Inspecteur. Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Source : faites glisser un objet source destiné au comportement dans ce cadre. L’objet source peut-être un autre comportement Stabiliser ou un objet séquence. Pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâ- chez le bouton de la souris.  Menu local des comportements de suivi : faites un choix dans une liste de données de suivi (provenant d’autres comportements de suivi) au sein du projet. Remarque : lorsque vous sélectionnez une option dans le menu local des comportements de suivi, le bouton Ajouter, qui permet d’ajouter des suiveurs, n’est plus disponible. Mouvement : ce paramètre contient le bouton Analyser qui permet de lancer l’analyse de suivi. Filtre SmoothCam de Final Cut Pro Lorsqu’un plan ou une séquence Final Cut Pro contenant un filtre SmoothCam est exporté vers Motion, le filtre est converti en comportement Stabiliser dans Motion. L’option Lissage, plutôt que l’option par défaut Stabiliser, est sélectionnée dans le menu local Méthode.Chapitre 2 Suivi de l’animation 111  Analyser : cliquez sur le bouton Analyser pour lancer l’analyse de suivi d’animation. Une fois que vous avez cliqué sur le bouton Analyser, une fenêtre d’état apparaît pour indiquer la progression du suivi. Pour arrêter l’analyse, cliquez sur le bouton Stop de la fenêtre d’état ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). Si vous utilisez le comportement Stabiliser (sans suiveurs), le suivi commence au début du plan et non à l’emplacement actuel de la tête de lecture. Qualité : ce menu local permet de définir le niveau de précision de l’analyse d’animation. Il propose deux niveaux de qualité : Plus rapide et Mieux.  Plus rapide : cette option permet un fonctionnement plus rapide, mais l’analyse d’animation est moins détaillée.  Mieux : cette option est plus lente, mais donne lieu à une analyse plus détaillée. Il s’agit de l’option recommandée lorsque le plan contient des mouvements de rotation. Remarque : elle équivaut au réglage par défaut du filtre SmoothCam dans Final Cut Pro. Zone de détection : lorsque cette case est activée, une zone rouge apparaît dans le Canevas pour vous permettre de définir un sujet ou une zone à analyser. La partie du plan située en dehors de la zone de détection est ignorée. Les contrôles à l’écran de la zone de détection sont semblables à ceux utilisés pour les formes. Pour ajuster la zone de détection dans le Canevas, procédez de l’une des manières suivantes : m Faites glisser la zone pour modifier sa position. m Faites glisser une poignée pour redimensionner la zone. Les poignées situées sur les coins de la zone permettent de redimensionner simultanément la largeur et la hauteur. Celles situées au milieu des côtés en haut et en bas permettent de redimensionner la hauteur. Les poignées situées au milieu des côtés gauche et droit permettent de redimensionner la largeur. m Maintenez la touche option enfoncée lorsque vous faites glisser une poignée pour redimensionner la zone à partir de son centre. m Pour modifier l’angle de la zone, faites glisser la poignée de rotation qui se trouve au milieu de la zone. Poignée de rotation de la zone de détection112 Chapitre 2 Suivi de l’animation Méthode : ce menu local définit la manière dont la stabilisation est appliquée au plan.  Stabiliser : cette méthode tente de verrouiller l’animation du sujet principal du plan afin d’éliminer l’animation. L’arrière-plan donne alors l’impression de bouger autour du sujet faisant l’objet du suivi.  Lissage : cette méthode permet de lisser le mouvement apparent de la caméra en respectant le mouvement général de l’image. Elle est utile pour éliminer le tremblement qui accompagne parfois le mouvement de la caméra. Lorsqu’il est activé, ce mode propose trois curseurs correspondant à chacune des dimensions susceptibles d’être lissées.  Lissage de la conversion : permet de lisser le mouvement dans les dimensions X et Y.  Lissage de la rotation : permet de lisser la rotation de l’image.  Lissage de l’échelle : permet de lisser un zoom irrégulier. Remarque : ne définissez Lissage de l’échelle à plus de 0 que si vous êtes sûr qu’un zoom est effectué sur l’image. Contours : lorsqu’un plan est stabilisé, les transformations effectuées sur l’image stabilisée peuvent entraîner l’apparition de contours noirs mobiles autour du plan. Ce menu local définit la manière dont les bords sont traités.  Normale : conserve la taille de la séquence stabilisée. Les contours noirs mobiles sont maintenus sur les bords du plan.  Zoom : agrandit le plan de sorte qu’il occupe tout le Canevas. Cela empêche l’apparition des contours noirs sur les bords, mais l’échelle du plan stabilisé est augmentée. Direction : ce menu local permet de spécifier la dimension sur laquelle le mouvement enregistré est appliqué à l’image analysée : X et Y, seulement X ou seulement Y. Ajuster : ce paramètre permet de choisir la transformation à laquelle la stabilisation est appliquée.  Position : lorsque cette option est activée, la stabilisation est appliquée à la position de l’image analysée.Chapitre 2 Suivi de l’animation 113  Échelle : lorsque cette option est activée, la stabilisation est appliquée à l’échelle de l’image analysée.  Rotation : lorsque cette option est activée, la stabilisation est appliquée à la rotation de l’image analysée. Suivre : cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter des suiveurs au comportement Stabiliser. Par défaut, les nouveaux suiveurs sont ajoutés au centre du Canevas. Une fois qu’un suiveur a été ajouté à un comportement Stabiliser :  le paramètre Zone de détection n’est plus disponible ;  la case Inverser devient disponible pour vous permettre d’effectuer le suivi d’un plan à l’envers ;  les contrôles Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, « Rechercher des images vers l’avant » et ceux de la liste de suivis deviennent disponibles. Remarque : vous ne pouvez pas ajouter de suiveurs au comportement Stabiliser si un autre comportement est utilisé comme source pour la stabilisation. Pour obtenir une description des paramètres Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, « Rechercher des images vers l’avant », de ceux de la liste de suivis et des sous-paramètres de suiveur, reportez-vous à la section « Contrôles des suiveurs » à la page 117. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Stabiliser, voir « Flux de travaux du comportement Stabiliser » à la page 74. Contrôles du comportement Déstabiliser Le comportement Déstabiliser est utilisé pour appliquer à un objet un mouvement suivi dans un autre comportement de suivi. Ce comportement n’effectue aucune analyse de suivi. Le comportement Déstabiliser peut être appliqué à différents types d’objets, tels que des groupes, des caméras, des formes, des émetteurs de particules, etc. Paramètres disponibles dans la palette La palette Déstabiliser contient deux contrôles permettant de charger un autre suivi de stabilisation dans le comportement : le cadre Source ou le menu local des comportements de suivi. Ces contrôles sont identiques à ceux de l’Inspecteur, tels que décrits ci-dessous. Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Source : faites glisser un comportement Stabiliser dans ce cadre pour charger les données dans le comportement Déstabiliser. Pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâchez le bouton de la souris.  Menu local des comportements de suivi : faites un choix dans une liste de données de suivi (provenant d’autres comportements de suivi) au sein du projet.114 Chapitre 2 Suivi de l’animation Remarque : le comportement Déstabiliser peut être converti en images clés. Pour en savoir plus, voir « Conversion de suivis en images clés » à la page 87. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Déstabiliser, reportez-vous à la section « Flux de travaux du comportement Déstabiliser » à la page 77. Contrôles du comportement Suivre les points Le comportement Suivre les points permet d’associer les points de contrôle d’une forme ou d’un masque (y compris des traits de peinture) à des caractéristiques de réfé- rence situées dans un plan source. Il permet également d’appliquer aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque des données de suivi existantes enregistrées par les comportements de suivi Analyser animation, Suivre le mouvement ou Stabiliser. Paramètres disponibles dans la palette La palette Suivre les points contient des contrôles permettant de charger un objet animé ou un comportement de suivi dans le comportement (via le cadre Source ou le menu local des comportements de suivi), de spécifier la manière dont l’objet de destination se déplace, de lancer l’analyse d’animation (bouton Analyser), d’inverser le sens du suivi (case Inverser) et de décaler le suivi (case Décaler la piste). Les paramètres de la palette, qui apparaissent également dans l’Inspecteur, sont décrits ci-dessous. Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Source : faites glisser un objet source destiné au comportement Suivre les points dans ce cadre. L’objet source peut-être un autre comportement de suivi, un objet animé ou un objet séquence. Pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâchez le bouton de la souris.  Menu local des comportements de suivi : faites un choix dans une liste de données de suivi (provenant d’autres comportements de suivi) au sein du projet. Transformer : ce menu local permet de choisir la manière dont l’objet de destination se déplace.  Attacher à la source : cette option « colle » l’objet de destination au suivi enregistré ou à la source d’animation. Utilisez l’option « Attacher à la source » lorsque l’objet source change d’échelle ou subit une rotation et que vous voulez que l’objet de destination reste « collé » à un endroit particulier de cet objet source. Toute animation qui existait sur l’objet de destination avant l’application du suivi est effacée. Remarque : bien que l’objet de destination soit attaché au mouvement de l’objet source, il est possible de décaler l’objet de destination par rapport à l’objet source.  Imiter la source : cette option permet à l’objet de destination « d’imiter » le suivi enregistré ou la source d’animation. Toute animation qui existait sur l’objet au premier plan avant l’application du suivi est ajoutée à ce dernier. Remarque : comme pour l’option « Attacher à la source », vous pouvez décaler l’objet de destination par rapport à l’objet source. Chapitre 2 Suivi de l’animation 115 Aligner les tangentes : si cette case est désactivée, les tangentes restent alignées en fonction de leurs angles d’origine. Si elle est activée, les tangentes sont adaptées à la transformation de l’animation source et la forme est modifiée. Mouvement : le paramètre Mouvement comporte des contrôles permettant de démarrer l’analyse de suivi et de spécifier la direction de l’analyse.  Analyser : cliquez sur le bouton Analyser pour lancer l’analyse de suivi d’animation. Une fois que vous avez cliqué sur le bouton Analyser, une fenêtre d’état s’affiche pour indiquer la progression du suivi. Pour arrêter l’analyse, cliquez sur le bouton Stop de la fenêtre d’état ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). Le début du suivi correspond à la position actuelle de la tête de lecture et non au début du comportement dans la Timeline.  Inverser : si la case Inverser est sélectionnée, le plan est analysé à partir de la position actuelle de la tête de lecture jusqu’à la première image du plan (ou jusqu’à la première image du comportement de suivi). Remarque : vous devez placer la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer l’analyse inversée. Pour obtenir une description des paramètres Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, « Rechercher des images vers l’avant », de ceux de la liste de suivis et des sous-paramètres de suiveur, reportez-vous à la section « Contrôles des suiveurs » à la page 117. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Suivre les points, voir « Flux de travaux du comportement Suivre les points » à la page 77. Contrôles du comportement Suivre le paramètre Le comportement Suivre le paramètre permet de relier un paramètre de position d’un filtre à une caractéristique de référence au sein d’un plan ou de lui appliquer des données de suivi existantes. Paramètres disponibles dans la palette La palette Suivre le paramètre contient des contrôles permettant de charger un comportement de suivi dans le comportement (via le cadre Comportement source ou le menu local des comportements de suivi), de spécifier la manière dont le paramètre de position se déplace, de lancer l’analyse d’animation (bouton Analyser), d’inverser le sens du suivi (case Inverser) et de décaler le suivi (case Décaler la piste). Les paramètres de la palette, qui apparaissent également dans l’Inspecteur, sont décrits ci-dessous.116 Chapitre 2 Suivi de l’animation Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Source : faites glisser l’objet source du suivi dans ce cadre. L’objet source peut-être un autre comportement de suivi ou un objet séquence. Faites glisser un comportement dans le cadre Source pour charger ce suivi dans le comportement Suivre le paramètre. Pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâ- chez le bouton de la souris. Remarque : les objets animés ne peuvent pas être utilisés comme sources pour le comportement Suivre le paramètre.  Menu local des comportements de suivi : faites un choix dans une liste de données de suivi (provenant d’autres comportements de suivi) au sein du projet. Transformer : ce menu local permet de choisir la manière dont le paramètre de position du filtre se déplace.  Attacher à la source : cette option « colle » le centre du filtre au suivi enregistré ou à la source d’animation. Utilisez l’option « Attacher à la source » lorsque l’objet source change d’échelle ou subit une rotation et que vous voulez que le centre du filtre reste « collé » à un endroit particulier de cet objet source. Toute animation qui existait sur le centre du filtre avant l’application du suivi est effacée. Remarque : bien que le centre du filtre soit attaché au mouvement de l’objet source, il est possible de le décaler par rapport à l’objet source.  Imiter la source : cette option permet au centre du filtre « d’imiter » le suivi enregistré ou la source d’animation. Toute animation qui existait sur le centre du filtre avant l’application du suivi est ajoutée à ce dernier. Remarque : comme pour l’option « Attacher à la source », vous pouvez décaler le centre du filtre par rapport à l’objet source. Mouvement : le paramètre Mouvement comporte des contrôles permettant de démarrer l’analyse de suivi et de spécifier la direction de l’analyse.  Analyser : cliquez sur le bouton Analyser pour lancer l’analyse de suivi d’animation. Une fois que vous avez cliqué sur le bouton Analyser, une fenêtre d’état s’affiche pour indiquer la progression du suivi. Pour arrêter l’analyse, cliquez sur le bouton Stop de la fenêtre d’état ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). Le début du suivi correspond à la position actuelle de la tête de lecture et non au début du comportement dans la Timeline.  Inverser : si la case Inverser est sélectionnée, le plan est analysé depuis la position actuelle de la tête de lecture jusqu’à la première image du plan (ou jusqu’à la première image du comportement de suivi). Remarque : vous devez placer la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer l’analyse inversée.Chapitre 2 Suivi de l’animation 117 Pour obtenir une description des paramètres Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, « Rechercher des images vers l’avant », de ceux de la liste de suivis et des sous-paramètres de suiveur, reportez-vous à la section « Contrôles des suiveurs » à la page 117. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Suivre le paramètre, voir « Flux de travaux du comportement Suivre le paramètre » à la page 81. Contrôles des suiveurs Tous les suiveurs à l’écran, quel que soit le comportement de suivi d’animation, ont en commun les paramètres suivants : Aperçu du suivi : cette zone d’aperçu offre un agrandissement du point de référence de suivi pour le suiveur sélectionné. L’aperçu est actualisé au fur et à mesure que vous ajustez la position du suiveur dans le Canevas. Vous pouvez également faire glisser le pointeur dans la zone d’aperçu pour ajuster la position du suiveur. Lorsque vous faites glisser le pointeur dans la zone d’aperçu, l’image bouge autour du viseur rouge dans l’aperçu et le suiveur se déplace dans le Canevas. Décaler la piste : si le point de référence d’un suiveur est temporairement masqué ou sort de l’écran, ce paramètre vous permet de sélectionner un autre point de référence qui poursuit la même trajectoire de suivi que le point de référence initial. Pour en savoir plus sur le suivi décalé, reportez-vous à la section « Suivi de points cachés ou horscadre » à la page 94. Zoom auto : choisissez une option de ce menu local pour régler le niveau d’agrandissement lorsque vous positionnez un suiveur dans le Canevas. Ce menu permet de faire un zoom avant sur le Canevas lorsque vous recherchez un motif de référence de suivi idéal. Vous disposez de quatre options :  Aucun : aucun agrandissement n’est effectué lorsque vous déplacez le suiveur dans le Canevas (seul le suiveur apparaît).  2x : lorsque vous déplacez le suiveur dans le Canevas, la zone autour du suiveur est agrandie selon un facteur d’agrandissement deux fois supérieur au niveau de zoom normal.  4x : lorsque vous déplacez le suiveur dans le Canevas, la zone autour du suiveur est agrandie selon un facteur d’agrandissement quatre fois supérieur au niveau de zoom normal.  8x : lorsque vous déplacez le suiveur dans le Canevas, la zone autour du suiveur est agrandie selon un facteur d’agrandissement huit fois supérieur au niveau de zoom normal. Mode zoom auto : choisissez une option de ce menu local pour régler l’affichage du suiveur automatiquement agrandi dans le Canevas. Trois possibilités s’offrent à vous :  Normal : affiche un motif normal.118 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Contraste : affiche le motif du suiveur avec détection du contraste.  Bord : affiche le motif du suiveur avec détection des bords. Le mode Zoom auto ne concerne que les suiveurs dans le Canevas. Il n’apparaît pas dans l’Aperçu du suivi dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Remarque : le réglage Mode zoom auto n’a aucun effet si vous choisissez Aucun dans le menu local Zoom auto. Rechercher des images vers l’avant : ce curseur et ce curseur de valeur permettent de spé- cifier le nombre d’images « futures » que le suiveur devra analyser. En d’autres termes, vous pouvez indiquer au suiveur de rechercher son point de référence dans une zone particulière. Ce réglage est particulièrement utile pour les séquences contenant des objets qui se déplacent rapidement, car le point de référence peut rapidement s’éloigner du suiveur. Pour en savoir plus sur l’utilisation de « Rechercher des images vers l’avant », reportez-vous à la section « Communication d’un indice à Motion » à la page 92. Liste de suivis : affiche les suiveurs du comportement. Dans les comportements Analyser animation et Stabiliser, les suiveurs qui figurent dans cette liste sont appelés « Suivi 1 », « Suivi 2 », etc. Dans le comportement Suivre le mouvement, les suiveurs sont appelés « Ancrage » et « Échelle de rotation ». Si le suivi à quatre points est activé, les suiveurs sont appelés « En haut à gauche », « En haut à droite », « En bas à droite » et « En bas à gauche ». Pour désactiver un suiveur, désélectionnez la case correspondante. Pour supprimer un suiveur, cliquez sur le bouton Supprimer. Les suiveurs désactivés ne sont pas analysés avec le suivi. Remarque : il n’est pas possible de supprimer les suiveurs du comportement Suivre le mouvement. Cliquez sur le triangle d’affichage en regard du nom du suivi pour faire apparaître des paramètres supplémentaires :  Position : affiche les positions X et Y du suiveur. Les curseurs de valeur de gauche et de droite représentent respectivement les positions X et Y. Cliquez sur le triangle d’affichage pour afficher des curseurs de valeur de position avec libellé.  Rechercher la taille : utilisez ce curseur ou ce curseur de valeur pour augmenter ou réduire la taille de la zone de recherche du suiveur. Dans Motion, vous ne spécifier pas la taille d’une zone de recherche lorsque vous configurez vos suiveurs dans le Canevas. Utilisez le curseur ou le curseur de valeur pour modifier la taille de recherche par défaut. Si la taille de recherche est réglée sur 200 pour cent, la zone de recherche du suiveur est deux fois plus grande que la zone de recherche par défaut.Chapitre 2 Suivi de l’animation 119  Tolérance d’échec : ce paramètre définit le niveau de tolérance d’erreur, ou valeur de confiance, du suivi. En d’autres termes, il définit un « score » qui sera utilisé par le suiveur pour déterminer s’il est capable ou non de trouver une caractéristique de réfé- rence concordante. Si le résultat est supérieur à ce score, la concordance est acceptée par le suiveur. Si le résultat est inférieur à ce score, le suiveur rejette la concordance. Une fois qu’un résultat a été refusé, le Comportement d’échec est activé.  Comportement d’échec : ce menu local spécifie l’action à entreprendre si la valeur de confiance du suivi est inférieure à la valeur définie pour la Tolérance d’échec. Les options suivantes sont proposées :  Retentative intelligente : le suiveur essaye de trouver le motif de référence dans une zone de recherche plus étendue. Si le motif est introuvable, le suiveur passe à l’option Prédire. Retentative intelligente est le comportement d’échec par défaut.  Stop : arrête l’analyse dès que le suiveur perd le motif de référence. Vous pouvez également interrompre une analyse en cliquant sur ce bouton dans la zone de dialogue qui indique la progression du suivi ou en appuyant sur la touche Échappement (Échap).  Prédire : le suiveur prédit une nouvelle zone de recherche sans créer d’images clés jusqu’à ce qu’il trouve un élément correspondant au motif de référence. Cette option est particulièrement bien adaptée aux objets suivis qui passent derrière des objets au premier plan.  Prédire et tonalité : lorsqu’un échec est détecté, le suiveur prédit l’emplacement de l’image clé en fonction d’un vecteur déterminé à l’aide des deux dernières images clés, puis il continue le suivi dans la nouvelle zone.  Ne pas prédire : le suiveur reste à sa place et recherche les éléments concordants suivants à mesure que les images du plan défilent. Le suiveur ne crée pas d’images clés pendant sa recherche d’un élément concordant.  Utiliser les images clés existantes : cette option vous permet de créer manuellement des images clés sur la trajectoire de votre suivi. Vous pouvez ensuite revenir à l’image de départ et commencer le suivi. La logique de recherche cherche la trajectoire d’animation créée par les images clés existantes.  Couleur : cliquez (ou cliquez en maintenant la touche Contrôle enfoncée) sur le cadre de couleur pour définir une nouvelle couleur pour le suiveur à l’écran. Vous pouvez aussi cliquer sur la pipette et sélectionner une couleur dans le Canevas. Par défaut, les suiveurs sont affichés en jaune. Lorsqu’un suiveur est sélectionné, son point central est blanc et la couleur du cadre de la zone de recherche est celle qui est définie dans le cadre de couleur. Pour ajuster individuellement les canaux de couleur, y compris le canal alpha, cliquez sur le triangle d’affichage. Félicitations. Vous et votre iMac êtes faits l’un pour l’autre.Bienvenue sur votre iMac. www.apple.com/fr/imac Gestes Magic Mouse Utilisez ces gestes pour contrôler votre Mac. Centre d’aide gestes facetime Caméra FaceTime HD intégrée Passez des appels vidéos vers les derniers iPad, iPhone, iPod touch ou Mac. Centre d’aide Défilement Balayage à deux doigts Clic à deux Zoom d’écran boutons Clic à un bouton E/S à haut débit Thunderbolt Connectez des appareils et écrans hautes performances. Centre d’aide thunderboltMission Control Une vue d’ensemble de tout ce qui tourne sur votre Mac. Centre d’aide mission control OS X Lion www.apple.com/fr/macosx Plein écran Affichez les apps en plein écran d’un simple clic. Centre d’aide plein écran Mac App Store Le meilleur moyen de découvrir et télécharger des apps Mac. Centre d’aide launchpad mac app store Launchpad Bénéficiez d’un accès instantané et simplifié à toutes vos apps. Centre d’aide iPhoto Organisez, modifiez et partagez vos photos. Aide iPhoto photos iMovie Transformez vos vidéos perso en films cultes. Aide iMovie movie GarageBand